Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Cour II

B-768/2011

Arrêt du 31 août 2012

Claude Morvant (président du collège),

Composition Philippe Weissenberger, Ronald Flury, juges,

Muriel Tissot, greffière.

Canton X._______,
Parties
recourant,

contre

Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie OFFT,

Effingerstrasse 27, 3003 Berne,

autorité inférieure.

Objet Subventions en matière de formation professionnelle.

Faits :

A.

A.a Début 2009, le Canton X._______ (ci-après : le recourant), agissant par son Service (...), a livré à l'Office fédéral de la statistique OFS, dans le cadre du recensement des effectifs en vue du financement de la formation professionnelle, les données statistiques 2008 concernant notamment la formation de gestionnaire en intendance, récoltées par Y._______, laquelle dispense ladite formation.

A.b En juin 2009, l'OFS a communiqué, pour contrôle, au recourant un tableau, intitulé "Financement de la formation professionnelle - Formations prises en compte pour le subventionnement, Nombre des élèves en 2008", distinguant, pour chaque canton, notamment le nombre total d'élèves en formation professionnelle initiale en entreprise (duale) et en école à plein temps.

A.c Par courriel du 15 juillet 2009, le recourant a signalé à l'OFS que les chiffres figurant sur ledit tableau étaient erronés s'agissant des professions de l'agriculture (CFC d'agriculteur et CFC de gestionnaire en intendance), relevant qu'il existait pour ces deux professions des élèves fréquentant la filière en école et en duale.

A.d En réponse, l'OFS et l'Office fédéral de la formation professionnelle et de la technologie OFFT (ci-après : l'autorité inférieure) ont indiqué, par courriers électroniques des 16 et 17 juillet 2009, que, dans le domaine de l'agriculture, la formation aux professions d'agriculteur ou de gestionnaire en intendance pouvait se faire selon différents modèles (2 années, 3 années, partiellement en dual, etc.). Cependant, il n'en demeurait pas moins que ces formations possédaient un caractère dual "conformément aux ordonnances sur la formation (art. 19 de la loi sur la formation professionnelle)". C'est pourquoi, il avait été décidé, par principe, de qualifier la formation à ces deux professions, pendant toute la durée de l'apprentissage, comme formation duale même si des parties à temps plein y étaient intégrées ; ceci étant valable pour toutes les professions concernées et pour tous les cantons.

A.e Par courrier du 19 octobre 2009, le recourant a fait part de son étonnement à l'autorité inférieure s'agissant de la qualification en tant que formation duale des formations d'agriculteur et de gestionnaire en intendance. Aussi, il a requis l'autorité inférieure de lui indiquer sur quelle base cette "décision" avait été prise.

B.
Par décision du 12 novembre 2009, intitulée "Formation professionnelle : forfaits 2009 versés aux cantons", l'autorité inférieure a indiqué qu'un forfait de Fr. (...) était versé au recourant, conformément au tableau de calcul annexé. Celui-ci mentionne, pour chaque canton, le nombre de "contrats de formation 2008", sur la base des chiffres fournis par l'OFS, distinguant d'une part les formations en entreprise et, d'autre part, les formations en école à plein temps. Il indique également les montants des forfaits y relatifs, soit Fr. 2'140.90 par contrat de formation en entreprise et Fr. 3'859.28 par contrat de formation en école à plein temps.

C.
En réponse au courrier du recourant du 19 octobre 2009, l'autorité inférieure a, par lettre du 30 novembre 2009, exposé que les formations professionnelles étaient définies comme étant "dispensées en entreprise" ou "assurées en école à plein temps" et saisies en tant que telles pour toute la durée de la formation. Dans le cas de formations mixtes, aux années de formation à plein temps succèdent toujours des années de formation suivies en école professionnelle et caractérisées par des coûts dégressifs. Les contrats de formation sont toutefois décomptés sur une durée de 3 ou de 4 ans. Sur la base du relevé actuel, l'OFS n'est cependant en mesure ni de procéder toujours de manière correcte à la répartition des formations mixtes (formation en entreprise / formation dans des écoles à plein temps) ni de valider les contrats de formation initiale après vérification par les cantons. Aussi, elle a relevé que c'est avec raison que, lors de la livraison de sa statistique des élèves et étudiants, le recourant avait toujours déclaré à l'OFS les deux professions d'agriculteur et de gestionnaire en intendance dans la catégorie "formation duale".

D.
Par courrier du 29 mars 2010, Y._______ - à qui le recourant avait transmis, début février 2010, la décision du 12 novembre 2009 - a contesté auprès de l'autorité inférieure le montant du forfait fixé dans celle-ci, en arguant que la subvention fédérale ne distinguait pas entre la formation en filière duale et celle en école à plein temps des apprentis gestionnaires en intendance, attendu qu'elle avait reçu du recourant pour ceux-ci un forfait correspondant à 56 contrats de formation en entreprise à Fr. 2'140.90, alors qu'elle dispense cette formation selon les deux filières. Aussi, elle a requis que lui soit versé un forfait correspondant à 24 contrats de formation en entreprise à Fr. 2'140.90 et 32 contrats de formation en école à plein temps à Fr. 3'859.28, soit un supplément de Fr. 54'988.15. Elle a encore fait valoir que le canton Z._______, qui offre également deux filières pour la formation de gestionnaire en intendance, a reçu des forfaits 2009 distinguant ces deux filières.

E.
Par réponse du 21 mai 2010, l'autorité inférieure a indiqué à Y._______ que les données fournies à l'OFS pour la statistique de la formation professionnelle devaient contenir toutes les indications requises en tant que statistique individuelle pour chaque profession, c'est-à-dire en particulier le type de contrat codé correctement. Or, malgré les nombreuses sollicitations de l'OFS, Y._______ n'a pas livré de manière correcte et complète les données statistiques requises. Aussi, il ne lui était pas possible d'approuver sa demande.

F.
Par courrier du 26 octobre 2010, le recourant a fait savoir à l'autorité inférieure que la décision du 12 novembre 2009 comportait une erreur qui ne pouvait pas lui être imputée, de sorte qu'il convenait de la corriger en lui versant le montant faisant défaut, soit Fr. 54'988.15. Il a sollicité le prononcé d'une décision formelle.

G.
Le 15 décembre 2010, l'autorité inférieure a rendu une décision formelle contenant le dispositif suivant : "La requête du 26 octobre 2010 du Service (...) est rejetée, pour autant qu'elle fasse l'objet d'une entrée en matière". Elle a exposé en substance que le recourant n'avait pas livré de manière correcte et complète toutes les données statistiques requises par l'OFS et qu'il ne lui était plus possible de revenir sur le subventionnement 2009.

H.
Par écritures du 25 janvier 2011, le recourant a recouru auprès du Tribunal administratif fédéral contre "la décision du 15 décembre 2010 concernant les subventions 2009 pour les gestionnaires en intendance, respectivement celle du 12 novembre 2009 concernant les forfaits versés aux cantons", en concluant, sous suite de frais et dépens, à ce qui suit :

"1. Admettre le présent recours ;

2. Partant, annuler la décision dont est recours dans la mesure où elle n'entre pas en matière sur la reconsidération du décompte 2009 des forfaits attribués au Canton X._______ pour les apprentis gestionnaires en intendance ;

3. Partant, constater que la décision du 12 novembre 2009 est entachée d'une erreur s'agissant de la répartition du nombre de contrats de formation en entreprise ou en école à plein temps pour les apprentis gestionnaires en intendance ;

4. Principalement, modifier le décompte des forfaits versés au Canton X._______ pour 2009 en augmentant le nombre de contrats de formation en école à plein temps et en réduisant du même chiffre le nombre de contrats de formation en entreprise pour les gestionnaires en intendance conformément aux données livrées à l'Office fédéral de la statistique (ci-après l'OFS), précisément ajouter 32 forfaits à plein temps à CHF 3'859.28, soit CHF 123'496.95 et réduire de 32 forfaits en dual à CHF 2'140.90, soit CHF 68'508.80, partant adapter le montant total des forfaits par une somme supplémentaire de CHF 54'988.15 ;

5. Subsidiairement, renvoyer le dossier à l'intimée pour qu'elle reconsidère et/ou révise la décision du 12 novembre 2009 et la corrige dans le sens d'une répartition correcte du nombre de ces contrats de formation basée sur les données livrées à l'OFS et adapte en conséquence le montant total des forfaits selon les chiffres du point 4."

A l'appui de ses conclusions, il expose en substance que la décision du 15 décembre 2010, de même que celle du 12 novembre 2009, procèdent d'une constatation inexacte des faits pertinents. Il soutient qu'il est faux de prétendre que les données statistiques 2009 (recte : 2008) fournies par lui ne remplissent pas les conditions de l'OFS, dès lors qu'il a immédiatement contesté, en juillet 2009, la répartition des gestionnaires en intendance entre les filières duale et en école à plein temps. Il relève par ailleurs que l'autorité inférieure allègue désormais, dans sa décision du 15 décembre 2010, une hypothétique non-conformité des données livrées alors que son refus de prendre en compte sa revendication s'est toujours fondé sur une soi-disant décision interne selon son courriel du 17 juillet 2009. Il poursuit en exposant qu'alors qu'en 2008, une répartition des forfaits de gestionnaire en intendance entre les deux filières duale et en école à plein temps a été réalisée, que la même procédure de livraison des données à l'OFS a été exécutée en 2009, l'autorité inférieure a soudain décrété que seule la formation duale était prise en compte pour les formations mixtes. Or, l'art. 53 de la loi sur la formation professionnelle n'empêche en rien de faire une distinction entre formation duale et à plein temps pour les formations mixtes de type gestionnaire en intendance. Cette distinction a par ailleurs bien été opérée pour le canton Z._______ en 2009.

I.
Invitée à se prononcer sur le recours, l'autorité inférieure en a proposé le rejet dans ses observations responsives du 23 mars 2011. Elle expose que, suite à la modernisation du relevé de la statistique de la formation professionnelle initiale en 2005-2006, les cantons livrent depuis 2007 des "données individuelles avec identification de la personne" par le biais de l'application en ligne SFPI (Statistique de la formation professionnelle initiale). Les données individuelles permettent d'effectuer un contrôle ciblé des informations livrées à l'OFS par les cantons. Ceux-ci annoncent également les "types de contrats conclus", permettant ainsi d'identifier la nature de la formation (système dual, en école à plein temps, etc.). Ainsi, seule la variable "type de contrat conclu" permet de faire la distinction entre "en entreprise" (formation duale) et "en école à plein temps" (formation à plein temps). En l'espèce, elle indique que, jusqu'à présent, seul le recourant a été dans l'impossibilité de livrer les données sur les personnes en formation et les contrats d'apprentissage (statistique individuelle) pour la profession de gestionnaire en intendance, alors que l'OFS a insisté à plusieurs reprises, aussi bien par voie orale que par écrit, pour qu'il le fasse. Le recourant a certes fourni, après le relevé officiel, des chiffres forfaitaires pour la répartition des contrats de formation en entreprise et en école à plein temps pour la formation de gestionnaire en intendance mais, faute de variables, l'OFS n'a pu ni examiner ni vérifier ces données, de sorte qu'elle n'a, par voie de conséquence, pas pu les accepter. Quant à la situation dans le canton Z._______, elle expose qu'une comparaison avec ce canton n'est pas indiquée, dès lors que celui-ci a livré les données concernant la profession de gestionnaire en intendance de manière appropriée.

J.
Invité à répliquer, le recourant a répondu le 10 mai 2011. Il fait valoir que les informations reçues tant de la part de l'OFS que de la part de l'autorité inférieure ont été contradictoires et de nature à créer une insécurité dont il ne saurait subir les conséquences. Il expose en effet que l'argument, selon lequel la distinction entre les filières duale et en école à plein temps ne peut se faire que moyennant des statistiques individualisées, n'a jamais été soulevé et expliqué de cette manière, tant à Y._______ qu'à lui-même, avant la lettre de l'autorité inférieure du 21 mai 2010 à Y._______. Aussi, il indique s'être fié de bonne foi aux informations reçues à l'époque de la part de l'autorité inférieure et de l'OFS, de sorte qu'il n'a pas fait "opposition" dans les délais. De plus, il relève que la décision du 12 novembre 2009 a été rendue alors qu'il avait contesté les faits à son origine et requis des précisions quant à ses fondements juridiques.

K.
Invitée à dupliquer, l'autorité inférieure a répondu le 10 juin 2011. Elle relève notamment que, si elle a prononcé la décision du 12 novembre 2009 alors que l'affaire faisait encore l'objet de discussions, c'est parce qu'elle ne pouvait pas retarder son versement final des forfaits 2009 à cause d'un seul canton qui n'avait, jusqu'à ce jour, pas livré correctement toutes les données requises par l'OFS.

Les arguments avancés de part et d'autre au cours de la présente procédure seront repris plus loin dans la mesure où cela s'avère nécessaire.

Droit :

1.

1.1 Le Tribunal administratif fédéral est compétent pour statuer sur le présent recours (cf. art. 31
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA).
, 32
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro:
1    Il ricorso è inammissibile contro:
a  le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale;
b  le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari;
c  le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi;
d  ...
e  le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti:
e1  le autorizzazioni di massima per impianti nucleari,
e2  l'approvazione del programma di smaltimento,
e3  la chiusura di depositi geologici in profondità,
e4  la prova dello smaltimento;
f  le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie;
g  le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva;
h  le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco;
i  le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR);
j  le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico.
2    Il ricorso è inoltre inammissibile contro:
a  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f;
b  le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale.
et 33
SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni:
a  del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente;
b  del Consiglio federale concernenti:
b1  la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale,
b10  la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie;
b2  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari,
b3  il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita,
b4  il divieto di determinate attività secondo la LAIn30,
b4bis  il divieto di organizzazioni secondo la LAIn,
b5  la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia,
b6  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori,
b7  la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici,
b8  la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione,
b9  la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato,
c  del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cbis  del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale;
cquater  del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione;
cquinquies  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria;
cter  dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria;
d  della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente;
e  degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione;
f  delle commissioni federali;
g  dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende;
h  delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione;
i  delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale.
let. d de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral [LTAF, RS 173.32] et art. 5 al. 1 let. c
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 5 - 1 Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
1    Sono decisioni i provvedimenti delle autorità nel singolo caso, fondati sul diritto pubblico federale e concernenti:
a  la costituzione, la modificazione o l'annullamento di diritti o di obblighi;
b  l'accertamento dell'esistenza, dell'inesistenza o dell'estensione di diritti o di obblighi;
c  il rigetto o la dichiarazione d'inammissibilità d'istanze dirette alla costituzione, alla modificazione, all'annullamento o all'accertamento di diritti o di obblighi.
2    Sono decisioni anche quelle in materia d'esecuzione (art. 41 cpv. 1 lett. a e b), le decisioni incidentali (art. 45 e 46), le decisioni su opposizione (art. 30 cpv. 2 lett. b e 74), le decisioni su ricorso (art. 61), le decisioni in sede di revisione (art. 68) e l'interpretazione (art. 69).24
3    Le dichiarazioni di un'autorità che rifiuta o solleva pretese da far valere mediante azione non sono considerate decisioni.
de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative [PA, RS 172.021]).

1.2 La qualité pour recourir doit être reconnue au recourant (cf. art. 48 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 48 - 1 Ha diritto di ricorrere chi:
1    Ha diritto di ricorrere chi:
a  ha partecipato al procedimento dinanzi all'autorità inferiore o è stato privato della possibilità di farlo;
b  è particolarmente toccato dalla decisione impugnata; e
c  ha un interesse degno di protezione all'annullamento o alla modificazione della stessa.
2    Ha inoltre diritto di ricorrere ogni persona, organizzazione o autorità cui un'altra legge federale riconosce tale diritto.
PA). Les dispositions relatives au délai de recours (cf. art. 22a al. 1 let. c
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 22a - 1 I termini stabiliti dalla legge o dall'autorità in giorni non decorrono:
1    I termini stabiliti dalla legge o dall'autorità in giorni non decorrono:
a  dal settimo giorno precedente la Pasqua al settimo giorno successivo alla Pasqua incluso;
b  dal 15 luglio al 15 agosto incluso;
c  dal 18 dicembre al 2 gennaio incluso.
2    Il capoverso 1 non si applica nei procedimenti concernenti:
a  l'effetto sospensivo e altre misure provvisionali;
b  gli appalti pubblici.60
et 50
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 50 - 1 Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
1    Il ricorso dev'essere depositato entro 30 giorni dalla notificazione della decisione.
2    Il ricorso per denegata o ritardata giustizia può essere interposto in ogni tempo.
PA), à la forme et au contenu du mémoire de recours (cf. art. 52 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
1    L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente.
2    Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi.
3    Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso.
PA) et au paiement de l'avance de frais (cf. art. 63 al. 4
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
1    L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
2    Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi.
3    Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura.
4    L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100
4bis    La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla:
a  da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario;
b  da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101
5    Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105
PA) sont respectées.

1.3 Par décision du 12 novembre 2009, l'autorité inférieure a fixé le montant du forfait 2009 versé au recourant pour la formation professionnelle. Ce dernier n'a pas recouru contre cette décision, de sorte que celle-ci a acquis force de chose jugée. Néanmoins, par lettre du 26 octobre 2010, le recourant a fait savoir à l'autorité inférieure que la décision du 12 novembre 2009 comportait une erreur s'agissant du forfait relatif à la formation de gestionnaire en intendance et, partant, a requis celle-ci de la "corriger" en lui versant le solde manquant sur les subventions 2009.

L'objet de la procédure porte en l'espèce sur la décision du 15 décembre 2010 statuant sur la demande de reconsidération du 26 octobre 2010 de la décision du 12 novembre 2009.

1.3.1 La demande de reconsidération - aussi appelée demande de réexamen ou de nouvel examen - est adressée à une autorité administrative en vue d'obtenir l'annulation ou la modification d'une décision qu'elle a prise. La possibilité de demander le réexamen d'une décision administrative après l'expiration du délai de recours n'est pas expressément prévue par la PA. La jurisprudence et la doctrine ont cependant déduit cette faculté de l'art. 66
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA, qui institue une procédure de révision, d'office ou à la demande d'une partie, des décisions rendues par l'autorité de recours, ainsi que de l'art. 4 de l'ancienne Constitution fédérale du 29 mai 1874 (aCst.) - lequel correspond sur ce point à l'art. 29 al. 1
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999
Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole.
1    In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole.
2    Le parti hanno diritto d'essere sentite.
3    Chi non dispone dei mezzi necessari ha diritto alla gratuità della procedura se la sua causa non sembra priva di probabilità di successo. Ha inoltre diritto al patrocinio gratuito qualora la presenza di un legale sia necessaria per tutelare i suoi diritti.
et 2
SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999
Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole.
1    In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole.
2    Le parti hanno diritto d'essere sentite.
3    Chi non dispone dei mezzi necessari ha diritto alla gratuità della procedura se la sua causa non sembra priva di probabilità di successo. Ha inoltre diritto al patrocinio gratuito qualora la presenza di un legale sia necessaria per tutelare i suoi diritti.
de la Constitution fédérale de la Confédération Suisse du 18 avril 1999 (Cst., RS 101) (cf. ATF 120 Ib 42 consid. 2b et réf. cit. ; arrêt du Tribunal administratif fédéral [TAF] A-4068/2010 du 22 octobre 2010 consid. 4.2 ; Alfred Kölz/Isabelle Häner, Verwaltungsverfahren und Verwaltungsrechtspflege des Bundes, 2e éd., Zurich 1998, No 428 p. 158).

1.3.2 Les demandes de nouvel examen ne sauraient cependant servir à remettre continuellement en question des décisions administratives entrées en force de chose jugée ni surtout à éluder les dispositions légales sur les délais de recours. La jurisprudence a, en conséquence, admis que les autorités administratives ne sont tenues de se saisir d'une demande de réexamen, et de statuer sur le fond, que lorsque certaines conditions sont remplies, soit lorsque les circonstances se sont modifiées dans une mesure notable depuis le prononcé de la première décision ou si le requérant invoque l'un des motifs de révision énoncés à l'art. 66
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA (cf. ATF 100 Ib 368 consid. 3 ; arrêt du Tribunal fédéral 2A.374/2000 du 30 novembre 2000 consid. 3b et réf. cit.). Les circonstances nouvelles ou le motif de révision ne peuvent être invoqués que si les faits qui n'ont pas été pris en considération sont "importants", c'est-à-dire s'ils sont susceptibles d'entraîner - ensuite d'une appréciation juridique correcte - une décision différente de celle qui a été prise et favorable au requérant (cf. ATF 122 II 17 consid. 3 ; décision du Conseil fédéral du 29 juin 1994, publiée partiellement in : Jurisprudence des autorités administratives de la Confédération [JAAC] 59.28 ; arrêt du TAF C-1621/2010 du 15 avril 2011 consid. 2.2). Dans les autres situations, l'autorité administrative n'est pas tenue de réexaminer sa décision mais elle est toujours libre de le faire (cf. ATAF 2010/5 consid. 2.1.1 ; arrêt du Tribunal fédéral 4A.7/2002 du 7 février 2003 consid. 3 ; Pierre Moor, Droit administratif, vol. II, Berne 2002, p. 343).

1.3.3 Ainsi, l'autorité saisie d'une demande de réexamen doit tout d'abord contrôler si les conditions requises pour l'obliger à statuer sont remplies. Si tel est le cas, elle doit entrer en matière, au besoin compléter l'instruction, et rendre une nouvelle décision au fond sur la base des moyens de preuve ou arguments nouveaux. Cette décision peut faire l'objet d'un recours pour des motifs de fond. Si elle estime en revanche que les conditions requises ne sont pas remplies, alors même que le requérant prétendrait le contraire, elle pourra déclarer irrecevable la requête de nouvel examen ou confirmer purement et simplement sa première décision, sans complément d'instruction ni adjonction de motifs, de sorte que cette prise de position est assimilable à une décision de non-entrée en matière.Sa décision ne fera alors pas courir un nouveau délai de recours sur la question qui a déjà fait l'objet de la décision entrée en force ; le requérant pourra simplement recourir en alléguant que l'autorité inférieure a nié à tort l'existence des conditions requises. L'autorité de recours se limitant, pour sa part, à examiner si l'autorité inférieure a déclaré à tort ou à raison la demande irrecevable. Dans la première hypothèse, elle ne pourra qu'inviter cette dernière à examiner la demande au fond ; dans la seconde, elle rejettera le recours. Enfin, si, sans y être obligée, l'autorité examine le fond d'une demande de reconsidération et rend une nouvelle décision au fond, les voies de recours habituelles sont également ouvertes contre cette nouvelle décision (cf. ATF 113 Ia 146 consid. 3c ; 109 Ib 246 consid. 4a ; 100 Ib 368 consid. 3b ; arrêt du Tribunal fédéral 2A.374/2000 précité consid. 3b ; Kölz/Häner, op. cit., No 449 p. 164 ; Moor, op. cit., p. 344).

1.4 En l'espèce, la décision attaquée dispose que la requête du 26 octobre 2010 du recourant est "rejetée, pour autant qu'elle fasse l'objet d'une entrée en matière". Ce dispositif n'est pas clair. En effet, soit l'autorité estime que les conditions requises pour l'obliger à statuer sont remplies et entre en matière pour rendre une nouvelle décision sur le fond ; soit elle considère que celles-ci ne sont pas réalisées et déclare dans ce cas la requête irrecevable.

1.4.1 Selon les principes généraux du droit civil et du droit administratif, un dispositif peu clair s'interprète notamment à la lumière des considérants de l'acte qui le contient (cf. arrêt du Tribunal fédéral 9C_180/2008 du 29 octobre 2008 consid. 1.1). En l'espèce, l'autorité inférieure relève, dans ses considérants, que le nombre de contrats de formation recensés et validés par l'OFS constitue la base pour le calcul des forfaits annuels. Elle indique avoir, par courrier du 21 mai 2010, justifié son refus d'entrer en matière par le fait que le recourant n'avait pas livré de manière correcte et complète toutes les données statistiques requises par l'OFS, ce qui n'avait pas permis à ce dernier de les vérifier et de les valider comme pour toutes les autres professions. A ce jour, ajoute-t-elle, les données fournies par le recourant ne remplissent toujours pas les exigences de l'OFS ; c'est pourquoi, il ne lui est plus possible de revenir sur le subventionnement 2009.

1.4.2 Il ressort de ce qui précède que l'autorité inférieure ne se prononce aucunement sur les arguments du recourant. Au contraire, elle ne retient aucun élément ou circonstance justifiant de revenir sur le subventionnement 2009. Aussi, nonobstant les termes du dispositif de la décision attaquée, il y a lieu de considérer que l'autorité inférieure n'est pas entrée en matière sur la demande de reconsidération du recourant ; ce qu'a par ailleurs également compris ce dernier, dès lors qu'il conclut à l'annulation de la décision dont est recours "dans la mesure où elle n'entre pas en matière sur la reconsidération du décompte 2009 des forfaits".

Ceci étant, il convient de retenir que les chiffres 3 et 4 des conclusions du recourant relatifs au litige au fond sont, en tant qu'ils sortent du cadre de l'objet de la contestation - défini par le dispositif de la décision attaquée -, irrecevables (cf. ATF 131 V 164 consid. 2.1 ; arrêt du Tribunal fédéral 2C_777/2009 du 21 avril 2010 consid. 1.1 ; arrêts du TAF A-5083/2008 du 9 septembre 2009 consid. 5.1 et C-1621/2010 précité consid. 3.1).

Pour le reste, le recours est recevable.

2.
L'objet du litige consiste en l'espèce à examiner si c'est à tort ou à raison que l'autorité inférieure n'est pas entrée en matière sur la demande de reconsidération du recourant.

2.1 Comme exposé plus haut (cf. consid. 1.3.2), l'autorité est tenue d'entrer en matière sur une demande de reconsidération si les circonstances se sont modifiées dans une mesure notable depuis le prononcé de la première décision ou si le requérant invoque un motif de révision énoncé, de manière exhaustive (cf. arrêt du TAF A-4068/2010 précité consid. 4.1), à l'art. 66
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA. A teneur de cette disposition, l'autorité de recours procède notamment, à la demande d'une partie, à la révision de sa décision (al. 2) : si la partie allègue des faits nouveaux importants ou produit de nouveaux moyens de preuve (let. a) - soit des faits ou des moyens de preuve qu'elle ne connaissait pas lors de la première décision ou dont elle ne pouvait pas se prévaloir ou n'avait pas de raison de se prévaloir à cette époque (cf. arrêt du Tribunal fédéral 2A.288/2000 du 20 juillet 2000 consid. 2a) - ; si la partie prouve que l'autorité n'a pas tenu compte de faits importants établis par pièces ou n'a pas statué sur certaines conclusions (let. b) - soit qu'elle a omis, par inadvertance, de prendre en considération une pièce déterminée, versée au dossier, ou l'a mal lue, s'écartant par mégarde de sa teneur exacte (cf. ATF 122 II 17 consid. 3) - ; ou si la partie prouve que l'autorité a violé les art. 10
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 10 - 1 Le persone, cui spetti di prendere o preparare la decisione, devono ricusarsi:
1    Le persone, cui spetti di prendere o preparare la decisione, devono ricusarsi:
a  se hanno un interesse personale nella causa;
b  se sono il coniuge o il partner registrato di una parte o convivono di fatto con essa;
bbis  se sono parenti o affini in linea retta, o in linea collaterale fino al terzo grado, di una parte;
c  se sono rappresentanti d'una parte o hanno agito per essa nella medesima causa;
d  se possono avere per altri motivi una prevenzione nella causa.
2    Se la ricusazione è contestata, decide l'autorità di vigilanza; quando concerne un membro d'un collegio, decide quest'ultimo senza il suo concorso.
, 59
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 59 - L'autorità di ricorso non può affidare l'istruzione del ricorso a persone dell'autorità inferiore ne ad altre persone che abbiano avuto una parte nell'elaborazione della decisione impugnata; l'articolo 47 capoversi 2 a 4 è inoltre applicabile se la decisione impugnata poggia su istruzioni dell'autorità di ricorso.
ou 76
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 76 - 1 Il consigliere federale, contro il cui dipartimento è diretto il ricorso, si astiene nella decisione del Consiglio federale.
1    Il consigliere federale, contro il cui dipartimento è diretto il ricorso, si astiene nella decisione del Consiglio federale.
2    Il suo dipartimento può partecipare, nel procedimento del Consiglio federale, come un ricorrente e può inoltre prendere parte alla procedura di corapporto secondo l'articolo 54 della legge federale del 19 settembre 1978131 sull'organizzazione dell'amministrazione.
3    Se durante la procedura di corapporto sono addotti nuovi elementi di fatto o di diritto, il ricorrente, eventuali controparti o altri interessati devono essere sentiti al riguardo.
sur la récusation, les art. 26
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 26 - 1 Nella sua causa, la parte o il suo rappresentante ha il diritto di esaminare alla sede dell'autorità che decide o d'una autorità cantonale, designata da questa, gli atti seguenti:
1    Nella sua causa, la parte o il suo rappresentante ha il diritto di esaminare alla sede dell'autorità che decide o d'una autorità cantonale, designata da questa, gli atti seguenti:
a  le memorie delle parti e le osservazioni delle autorità;
b  tutti gli atti adoperati come mezzi di prova;
c  le copie delle decisioni notificate.
1bis    Se la parte o il suo rappresentante vi acconsente, l'autorità può notificare per via elettronica gli atti da esaminare.64
2    L'autorità che decide può riscuotere una tassa per l'esame degli atti d'una causa definita; il Consiglio federale stabilisce la tariffa delle tasse.
à 28
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 28 - L'atto il cui esame è stato negato alla parte può essere adoperato contro di essa soltanto qualora l'autorità gliene abbia comunicato oralmente o per scritto il contenuto essenziale quanto alla contestazione e, inoltre, le abbia dato la possibilità di pronunciarsi e indicare prove contrarie.
sur le droit de consulter les pièces ou les art. 29
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 29 - La parte ha il diritto d'essere sentita.
à 33
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 33 - 1 L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti.
1    L'autorità ammette le prove offerte dalla parte se paiano idonee a chiarire i fatti.
2    Se la loro assunzione implichi una spesa relativamente elevata, che andrebbe a carico della parte ove fosse soccombente, l'autorità può subordinarla alla condizione che la parte anticipi, entro un termine, le spese che possono essere ragionevolmente pretese da essa; la parte indigente ne è dispensata.
sur le droit d'être entendu (let. c). L'art. 66
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA ne fonde pas un droit de l'administré à la reconsidération d'une décision administrative pour le motif qu'elle est erronée en droit ou fondée sur une appréciation inexacte des circonstances qui étaient connues au moment de la décision ni non plus à faire adopter une autre théorie juridique ou encore à bénéficier d'une nouvelle interprétation ou d'une nouvelle pratique (cf. ATF 105 Ib 245 consid. 3a ; arrêt du TAF C-1621/2010 précité consid. 2.3). L'art. 66 al. 3
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA - également applicable par analogie aux décisions de première instance (cf. arrêt du TAF B-4124/2009 du 5 février 2010 consid. 3 ; Kölz/Häner, op. cit., N° 434 p. 159) - prévoit par ailleurs que les motifs mentionnés à son al. 2 let. a à c n'ouvrent pas la révision s'ils pouvaient être invoqués dans la procédure précédant la décision ou par la voie du recours contre celle-ci. Une révision est ainsi exclue lorsque l'administré, avec la diligence qu'on peut raisonnablement exiger de lui, aurait été en mesure d'invoquer, déjà dans la procédure ordinaire de recours, les circonstances présentées à l'appui de sa demande de révision (cf. ATF 111 Ib 209 consid. 1 ; 105 Ib 245 consid. 3a ; décision de la Commission suisse de recours en matière d'asile du 25 novembre 1998, publiée partiellement in : JAAC 64.7 consid. 6).

2.2 En l'espèce, le recourant fait valoir dans son recours que la décision du 12 novembre 2009 repose sur une constatation erronée des faits pertinents, dès lors qu'elle ne distingue pas pour les gestionnaires en intendance entre les deux filières de formation. En outre, en décrétant que seule la formation duale était prise en compte pour les formations mixtes, l'autorité inférieure a violé l'art. 53
SR 412.10 Legge federale del 13 dicembre 2002 sulla formazione professionale (Legge sulla formazione professionale, LFPr) - Legge sulla formazione professionale
LFPr Art. 53 Contributi forfettari ai Cantoni - 1 I contributi forfettari versati ai Cantoni sono calcolati principalmente in base al numero di persone che seguono una formazione professionale di base. Tengono inoltre adeguatamente conto dell'ampiezza e del genere della formazione di base, nonché dell'offerta di formazione professionale superiore. Il Consiglio federale può considerare altri criteri.21
1    I contributi forfettari versati ai Cantoni sono calcolati principalmente in base al numero di persone che seguono una formazione professionale di base. Tengono inoltre adeguatamente conto dell'ampiezza e del genere della formazione di base, nonché dell'offerta di formazione professionale superiore. Il Consiglio federale può considerare altri criteri.21
2    I contributi forfettari sono versati per i compiti seguenti:
a  l'offerta di:
a1  sostegno individuale speciale delle persone in formazione professionale di base su due anni (art. 18 cpv. 3),
a10  qualifica dei consulenti in orientamento professionale, negli studi e nella carriera (art. 50).
a2  provvedimenti per preparare alla formazione professionale di base (art. 12 cpv. 1),
a3  scuole professionali di base (art. 21),
a4  corsi interaziendali e corsi di formazione equivalenti organizzati fuori sede (art. 23 cpv. 1),
a5  formazione generale approfondita in preparazione alla maturità professionale federale (art. 25),
a6  corsi di preparazione agli esami federali di professione e agli esami professionali federali superiori (art. 28),
a7  cicli di formazione in scuole specializzate superiori (art. 29),
a8  formazione professionale continua (art. 30 a 32),
a9  corsi di formazione per formatori (art. 45),
b  lo svolgimento di esami e altre procedure di qualificazione (art. 40 cpv. 1), fatto salvo l'articolo 52 capoverso 3 lettera c.
de la loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr, RS 412.10), de même que les principes d'égalité de traitement et de protection contre l'arbitraire. Il fait ensuite valoir que c'est suite à la lettre de Y._______ du 29 mars 2010 - laquelle indique notamment que, renseignements pris auprès d'autres cantons, elle a appris que le canton Z._______ avait reçu pour 2009 des subventions pour la formation de gestionnaire en intendance distinguant les filières formation en entreprise et formation en école à plein temps - qu'il a réalisé que la décision du 12 novembre 2009 était erronée, de même que les explications y relatives contenues dans les correspondances des 16 et 17 juillet 2009 et 30 novembre 2009. Il indique également que rien dans le dossier ne prouve qu'il n'aurait pas respecté ses obligations tant envers l'OFS qu'envers l'autorité inférieure ; les données matérielles ont été livrées correctement.

Il ressort du dossier que, dans sa décision du 12 novembre 2009, l'autorité inférieure, considérant la formation de gestionnaire en intendance proposée par le recourant comme une formation mixte, a sciemment subventionné les 56 contrats annoncés au tarif dual, soit à un tarif moins élevé que celui prévu pour la formation en école à plein temps. Le point, contesté, de savoir si c'est à juste titre que la totalité des contrats de formation de gestionnaire en intendance a été recensée et subventionnée au titre de formation duale, constitue un motif de recours, au même titre que la prétendue constatation inexacte des faits pertinents (cf. art. 49 let. a
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 49 - Il ricorrente può far valere:
a  la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento;
b  l'accertamento inesatto o incompleto di fatti giuridicamente rilevanti;
c  l'inadeguatezza; questa censura non è ammissibile quando un'autorità cantonale ha giudicato come autorità di ricorso.
et b PA). Il en va de même du motif tiré de l'égalité de traitement avec le canton Z._______, dès lors que le recourant, qui l'allègue sans pour autant avoir pu le démontrer, a pu prendre connaissance du montant des subventions allouées à chaque canton en consultant l'annexe à la décision d'attribution des forfaits 2009. Ces moyens auraient ainsi dû être invoqués, avec la diligence requise, dans un recours dirigé contre la décision du 12 novembre 2009. Or, dite décision est entrée en force de chose jugée et ne peut plus faire l'objet d'un moyen juridictionnel ordinaire. Le recourant ne peut en effet qu'alléguer dans la présente procédure que l'autorité inférieure a nié à tort l'existence des conditions requises pour l'obliger à statuer (cf. consid. 1.3.3). Or, le recourant ne fait pas valoir de faits ou de moyens de preuve nouveaux au sens de l'art. 66 al. 2 let. a
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA. En effet, il ne ressort pas des pièces versées au dossier, et le recourant ne le prétend du reste pas, qu'il aurait, à ce jour, livré - et si tant est qu'il n'ait pas été en mesure de le faire jusqu'à l'entrée en force de la décision du 12 novembre 2009 - les données statistiques individualisées requises par l'OFS et, notamment, la variable "type de contrat". Le point, également contesté, de savoir si le recourant a correctement livré les données statistiques ou s'il connaissait ou non les exigences de l'OFS quant à la livraison desdites données, relève de la contestation au fond et échappe de ce fait à l'examen par le tribunal de céans. Aussi, en tant que les griefs formulés par le recourant ont en l'espèce trait au fond du litige, ils sont dénués de pertinence et, par conséquent, irrecevables.

3.
Enfin, le recourant soutient dans ses écritures avoir été induit en erreur par des informations contradictoires, erronées ou encore lacunaires. Il relève ainsi qu'en 2009, l'autorité inférieure lui indiquait que la formation de gestionnaire en intendance était prise en compte uniquement comme formation duale - alors que la distinction entre formation duale et en école à plein temps a été réalisée en 2008 et confirmée en 2010. En mai 2010, cette dernière exposait en revanche que la distinction entre les filières duale et école à plein temps était possible pour la formation de gestionnaire en intendance moyennant des statistiques individualisées ; alors que cet argument, relève-t-il, n'avait, jusqu'alors, jamais été soulevé et expliqué de cette manière. Les précisions quant à la livraison de données individualisées et les conséquences financières découlant de celle-ci n'étaient pas connues. Ce n'est en effet qu'en mai 2010, que l'autorité inférieure a transmis les informations nécessaires à une livraison conforme à ses attentes. Aussi, il soutient que, c'est de bonne foi, sur la base d'indications erronées contenues dans les correspondances des 16 et 17 juillet 2009 et 30 novembre 2009, qu'il a cru qu'il n'était pas possible de différencier les deux filières de formation de gestionnaire en intendance, de sorte qu'il n'a pas recouru contre la décision d'attribution des forfaits 2009. Dès lors, il considère que sa bonne foi doit être prise en compte et conduire à une reconsidération de cette décision, laquelle est fondée sur des éléments juridiques erronés. Enfin, il relève qu'en prononçant sa décision le 12 novembre 2009 - alors que les faits à la base de celle-ci étaient contestés -, l'autorité inférieure a ignoré des allégués importants avancés en temps utiles, violant de ce fait l'art. 32
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 32 - 1 Prima di decidere, l'autorità apprezza tutte le allegazioni rilevanti prodotte dalla parte in tempo utile.
1    Prima di decidere, l'autorità apprezza tutte le allegazioni rilevanti prodotte dalla parte in tempo utile.
2    Essa può tener conto delle allegazioni tardive che sembrino decisive.
PA.

3.1 En tant qu'il s'en prend à la motivation de la décision du 12 novembre 2009, il y a lieu de considérer que le recourant fait valoir, à titre de motif de révision, une violation des dispositions sur le droit d'être entendu au sens de l'art. 66 al. 2 let. c
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA. Le droit à une décision motivée découlant du droit d'être entendu implique l'obligation pour l'autorité d'exposer les motifs de sa décision de manière à ce que le destinataire de celle-ci puisse la comprendre et l'attaquer utilement s'il y a lieu. La question de savoir si une décision est suffisamment motivée est distincte de celle de savoir si la motivation adoptée est convaincante. Dès lors que l'on peut discerner les motifs qui fondent une décision, le droit à une décision motivée est respecté, même si la motivation présentée est erronée (cf. arrêt du Tribunal fédéral 6B_518/2009 du 29 septembre 2009 consid. 2.5). Pour constituer un motif de révision, il faut que le vice de procédure ait eu comme conséquence, de par sa nature ou par la manière dont la motivation a été faite ou par le contenu de cette motivation, de priver l'intéressé de la possibilité d'utiliser les voies de droit ordinaires ou tout au moins de le dissuader d'en faire usage (cf. André Grisel, Traité de droit administratif, vol. II, Neuchâtel 1984, p. 949 ; Moor, op. cit., p. 341 ; ATF 105 Ib 245 consid. 3a et b ; décision de la Commission suisse de recours en matière d'asile précitée, publiée partiellement in : JAAC 64.7 consid. 6a ; cf. également art. 66 al. 3
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 66 - 1 L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
1    L'autorità di ricorso, a domanda di una parte o d'ufficio, procede alla revisione della sua decisione quando sulla stessa ha influito un crimine o un delitto.
2    Essa procede, inoltre, alla revisione della sua decisione, a domanda di una parte, se:
a  la parte allega fatti o produce mezzi di prova nuovi e rilevanti;
b  la parte prova che l'autorità di ricorso non ha tenuto conto di fatti rilevanti che risultano dagli atti o di determinate conclusioni;
c  la parte prova che l'autorità di ricorso ha violato gli articoli 10, 59 o 76 sulla ricusazione o l'astensione, gli articoli 26-28 sull'esame degli atti o gli articoli 29-33 sul diritto di essere sentiti; oppure
d  la Corte europea dei diritti dell'uomo ha accertato in una sentenza definitiva che la Convenzione del 4 novembre 1950118 per la salvaguardia dei diritti dell'uomo e delle libertà fondamentali (CEDU) o i suoi protocolli sono stati violati oppure ha chiuso la causa con una composizione amichevole (art. 39 CEDU), per quanto un indennizzo non sia atto a compensare le conseguenze della violazione e la revisione sia necessaria per ovviarvi.
3    I motivi indicati nel capoverso 2 lettere a-c non danno adito a revisione se la parte poteva invocarli nella procedura precedente la decisione del ricorso o mediante un ricorso contro quest'ultima.
PA).

3.2 En l'espèce, la raison pour laquelle la formation de gestionnaire en intendance offerte par le recourant a été recensée et subventionnée en tant que seule formation duale lui a été exposée par correspondances des 16 et 17 juillet 2009 et 30 novembre 2009. La lettre du 30 novembre 2009 est certes parvenue au recourant après la notification de la décision relative aux forfaits 2009 mais néanmoins avant l'échéance du délai de recours. Aussi, le recourant disposait de toutes les informations nécessaires pour comprendre et contester en temps utiles cette décision. Contrairement à ce qu'il prétend, il était dès lors parfaitement en mesure de faire valoir ses moyens dans le cadre d'une procédure ordinaire de recours contre la décision d'attribution des forfaits 2009. C'est parce qu'il s'est déclaré convaincu par les motifs exposés à l'appui de dite décision qu'il ne l'a pas contestée dans le délai de recours. Il avait pourtant fait part de son étonnement à l'autorité inférieure dans un courrier du 19 octobre 2009 quant à la qualification en tant que formation duale des formations d'agriculteur et de gestionnaire en intendance, en relevant que ni la circulaire du 27 janvier 2009 ni le document intitulé "application de l'art. 53 al. 1
SR 412.10 Legge federale del 13 dicembre 2002 sulla formazione professionale (Legge sulla formazione professionale, LFPr) - Legge sulla formazione professionale
LFPr Art. 53 Contributi forfettari ai Cantoni - 1 I contributi forfettari versati ai Cantoni sono calcolati principalmente in base al numero di persone che seguono una formazione professionale di base. Tengono inoltre adeguatamente conto dell'ampiezza e del genere della formazione di base, nonché dell'offerta di formazione professionale superiore. Il Consiglio federale può considerare altri criteri.21
1    I contributi forfettari versati ai Cantoni sono calcolati principalmente in base al numero di persone che seguono una formazione professionale di base. Tengono inoltre adeguatamente conto dell'ampiezza e del genere della formazione di base, nonché dell'offerta di formazione professionale superiore. Il Consiglio federale può considerare altri criteri.21
2    I contributi forfettari sono versati per i compiti seguenti:
a  l'offerta di:
a1  sostegno individuale speciale delle persone in formazione professionale di base su due anni (art. 18 cpv. 3),
a10  qualifica dei consulenti in orientamento professionale, negli studi e nella carriera (art. 50).
a2  provvedimenti per preparare alla formazione professionale di base (art. 12 cpv. 1),
a3  scuole professionali di base (art. 21),
a4  corsi interaziendali e corsi di formazione equivalenti organizzati fuori sede (art. 23 cpv. 1),
a5  formazione generale approfondita in preparazione alla maturità professionale federale (art. 25),
a6  corsi di preparazione agli esami federali di professione e agli esami professionali federali superiori (art. 28),
a7  cicli di formazione in scuole specializzate superiori (art. 29),
a8  formazione professionale continua (art. 30 a 32),
a9  corsi di formazione per formatori (art. 45),
b  lo svolgimento di esami e altre procedure di qualificazione (art. 40 cpv. 1), fatto salvo l'articolo 52 capoverso 3 lettera c.
LFPr (contrats de formation initiale)", ne mentionnaient ce principe. Il est dès lors mal venu pour le recourant de se prévaloir de sa bonne foi, attendu qu'en vertu de ce principe précisément, il lui incombait de faire preuve de la diligence requise, en prenant rapidement contact avec Y._______ - qui, pour sa part, n'a pas "cru" les motifs de ladite décision -, quant à la suite à donner à celle-ci, dès lors que cette dernière est destinataire des subventions versées pour la formation de gestionnaire en intendance et a également livré les données statistiques à l'OFS.

S'agissant enfin des allégués avancés par le recourant que l'autorité inférieure aurait ignorés en prononçant sa décision le 12 novembre 2009, violant de ce fait l'art. 32
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 32 - 1 Prima di decidere, l'autorità apprezza tutte le allegazioni rilevanti prodotte dalla parte in tempo utile.
1    Prima di decidere, l'autorità apprezza tutte le allegazioni rilevanti prodotte dalla parte in tempo utile.
2    Essa può tener conto delle allegazioni tardive che sembrino decisive.
PA, le tribunal ne voit pas non plus, et le recourant ne le précise du reste pas, les raisons pour lesquelles il n'aurait pas pu invoquer ce grief dans le cadre d'une procédure ordinaire de recours contre la décision du 12 novembre 2009.

D'autres motifs pouvant - selon ce qui a été exposé plus haut (cf. consid. 2.1) - conduire à la reconsidération de la décision du 12 novembre 2009 font défaut et ne sont, au demeurant, pas allégués.

4.
Sur le vu de ce qui précède, il y a lieu de retenir que c'est à juste titre que l'autorité inférieure n'est pas entrée en matière sur la demande de réexamen du recourant. Mal fondé, le recours doit en conséquence être rejeté, dans la mesure où il est recevable.

5.
Les frais de procédure, comprenant l'émolument judiciaire et les débours, sont mis à la charge de la partie qui succombe (art. 63 al. 1
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
1    L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
2    Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi.
3    Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura.
4    L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100
4bis    La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla:
a  da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario;
b  da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101
5    Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105
PA et art. 1 al. 1
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF)
TS-TAF Art. 1 Spese processuali - 1 Le spese del procedimento dinanzi al Tribunale amministrativo federale (Tribunale) comprendono la tassa di giustizia e i disborsi.
1    Le spese del procedimento dinanzi al Tribunale amministrativo federale (Tribunale) comprendono la tassa di giustizia e i disborsi.
2    La tassa di giustizia copre le spese per la fotocopiatura delle memorie delle parti e gli oneri amministrativi normalmente dovuti per i servizi corrispondenti, quali le spese di personale, di locazione e di materiale, le spese postali, telefoniche e di telefax.
3    Sono disborsi, in particolare, le spese di traduzione e di assunzione delle prove. Le spese di traduzione non vengono conteggiate se si tratta di traduzioni tra lingue ufficiali.
du règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral [FITAF, RS 173.320.2]). Si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes (art. 63 al. 2
SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA)
PA Art. 63 - 1 L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
1    L'autorità di ricorso mette nel dispositivo le spese processuali, consistenti in una tassa di decisione nelle tasse di cancelleria e negli sborsi, di regola a carico della parte soccombente. Se questa soccombe solo parzialmente, le spese processuali sono ridotte. Per eccezione, si possono condonare le spese processuali.
2    Nessuna spesa processuale è messa a carico dell'autorità inferiore ne delle autorità federali, che promuovano il ricorso e soccombano; se l'autorità ricorrente, che soccombe, non è un'autorità federale, le spese processuali le sono addossate in quanto la causa concerna interessi pecuniari di enti o d'istituti autonomi.
3    Alla parte vincente possono essere addossate solo le spese processuali che abbia cagionato violando le regole di procedura.
4    L'autorità di ricorso, il suo presidente o il giudice dell'istruzione esige dal ricorrente un anticipo equivalente alle presunte spese processuali. Stabilisce un congruo termine per il pagamento con la comminatoria che altrimenti non entrerà nel merito. Se sussistono motivi particolari, può rinunciare interamente o in parte a esigere l'anticipo.100
4bis    La tassa di decisione è stabilita in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Il suo importo oscilla:
a  da 100 a 5000 franchi nelle controversie senza interesse pecuniario;
b  da 100 a 50 000 franchi nelle altre controversie.101
5    Il Consiglio federale disciplina i dettagli relativi alla determinazione delle tasse.102 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005103 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010104 sull'organizzazione delle autorità penali.105
PA). L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière (art. 2 al. 1
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF)
TS-TAF Art. 2 Calcolo della tassa di giustizia - 1 La tassa di giustizia è calcolata in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Sono fatte salve le norme in materia di tasse e spese previste da leggi speciali.
1    La tassa di giustizia è calcolata in funzione dell'ampiezza e della difficoltà della causa, del modo di condotta processuale e della situazione finanziaria delle parti. Sono fatte salve le norme in materia di tasse e spese previste da leggi speciali.
2    Il Tribunale può aumentare la tassa di giustizia al di là degli importi massimi previsti dagli articoli 3 e 4 se particolari motivi, segnatamente un procedimento temerario o necessitante un lavoro fuori dall'ordinario, lo giustificano.2
3    In caso di procedimenti che hanno causato un lavoro trascurabile, la tassa di giustizia può essere ridotta se si tratta di decisioni concernenti le misure provvisionali, la ricusazione, la restituzione di un termine, la revisione o l'interpretazione, come pure di ricorsi contro le decisioni incidentali. L'importo minimo previsto dall'articolo 3 o dall'articolo 4 deve essere rispettato.
1ère phrase et art. 4
SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF)
TS-TAF Art. 4 Tassa di giustizia per le cause con interesse pecuniario - Nelle cause con interesse pecuniario, la tassa di giustizia ammonta a:
FITAF).

En l'espèce, les frais de procédure sont fixés à Fr. 2'000.- et mis à la charge du recourant. Ils sont compensés par l'avance de frais du même montant versée par ce dernier le 14 février 2011.

Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :

1.
Le recours est rejeté, dans la mesure où il est recevable.

2.
Les frais de procédure, d'un montant de Fr. 2'000.-, sont mis à la charge du recourant. Ils sont compensés par l'avance de frais du même montant déjà versée.

3.
Le présent arrêt est adressé :

- au recourant (acte judiciaire)

- à l'autorité inférieure (n° de réf. D341 Forfaits aux cantons ; acte judiciaire)

- au Département fédéral de l'économie (acte judiciaire)

- à l'Office fédéral de la statistique OFS (en extrait ; courrier A)

Le Président du collège : La Greffière :

Claude Morvant Muriel Tissot

Indication des voies de droit :

La présente décision peut être attaquée devant le Tribunal fédéral, 1000 Lausanne 14, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 82 ss
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria
LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi:
a  contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico;
b  contro gli atti normativi cantonali;
c  concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari.
, 90
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria
LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento.
ss et 100 de la loi fédérale du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral [LTF, RS 173.110]). Le mémoire doit être rédigé dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signé. La décision attaquée et les moyens de preuve doivent être joints au mémoire, pour autant qu'ils soient en mains du recourant (art. 42
SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria
LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati.
1    Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati.
2    Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.14 15
3    Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata.
4    In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201616 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento:
a  il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati;
b  le modalità di trasmissione;
c  le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.17
5    Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione.
6    Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi.
7    Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili.
LTF).

Expédition : 5 septembre 2012