Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

4A 478/2019

Urteil vom 29. Januar 2020

I. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Kiss, Präsidentin,
Bundesrichter Rüedi,
Bundesrichterin May Canellas,
Gerichtsschreiber Stähle.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Kenad Melunovic Marini,
Beschwerdeführer,

gegen

1. B.B.________,
2. C.B.________,
beide vertreten durch Fürsprecher Harold Külling,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
Darlehen,

Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts
des Kantons Aargau, Zivilgericht, 2. Kammer,
vom 14. August 2019 (ZOR.2019.17).

Sachverhalt:

A.
B.B.________ (Beschwerdegegner 1) und C.B.________ (Beschwerdegegnerin 2) sind Erben der am 16. April 2013 verstorbenen D.B.________. Sie sind der Ansicht, dass D.B.________ vor ihrem Tod einen Darlehensvertrag mit A.________ abgeschlossen und ihm in diesem Zusammenhang ein Darlehen in Höhe von Fr. 35'000.-- gewährt habe.

B.
Mit Eingabe vom 22. August 2017 klagten B.B.________ und C.B.________ beim Bezirksgericht Bremgarten mit dem Begehren, A.________ sei zu verurteilen, ihnen Fr. 45'000.-- nebst Zins zu 5 % seit dem 1. September 2014 (für den Betrag von Fr. 35'000.--) beziehungsweise seit dem 22. Juli 2015 (für den Betrag von Fr. 10'000.--) zu bezahlen. Sie begehrten damit die Rückzahlung des Darlehens von Fr. 35'000.--; im Umfang von Fr. 10'000.-- bezog sich die Klage auf den Verkauf eines Fahrzeugs, welches Eigentum von D.B.________ gewesen sei.
Mit Entscheid vom 6. Dezember 2018 verurteilte das Bezirksgericht A.________, B.B.________ und C.B.________ solidarisch Fr. 35'000.-- nebst Zins zu 5 % seit dem 5. September 2014 zu bezahlen. Im Übrigen wies es die Klage ab.
A.________ focht diesen Entscheid mit Berufung beim Obergericht des Kantons Aargau an. Dieses wies die Berufung mit Urteil vom 14. August 2019 ab.

C.
A.________ verlangt mit Beschwerde in Zivilsachen, das Urteil der Vorinstanz sei aufzuheben und die Klage sei abzuweisen. Eventualiter sei das Obergericht anzuweisen, den Entscheid des Bezirksgerichts aufzuheben und die Klage abzuweisen. Subeventualiter sei das angefochtene Urteil aufzuheben und die Sache zu neuer Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Das Obergericht verzichtete auf Vernehmlassung. Die Beschwerdegegner begehren die Abweisung der Beschwerde und den Beizug der "Strafakten im Strafverfahren wegen mehrfacher Urkundenfälschung gegen den Beschwerdeführer ST.2015.57; ST.2014.30007 beim Bezirksgericht Bremgarten AG, SST.2016.202 beim Obergericht des Kantons Aargau". Der Beschwerdeführer replizierte, worauf die Beschwerdegegner eine Duplik eingereicht haben.

Erwägungen:

1.

1.1. Das angefochtene Urteil des Obergerichts ist ein Endentscheid (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) einer Vorinstanz im Sinne von Art. 75
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
BGG. Weiter erreicht der Streitwert den nach Art. 74 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG geltenden Mindestbetrag von Fr. 30'000.--. Die Beschwerde in Zivilsachen ist damit grundsätzlich zulässig.

1.2. Auf den von den Beschwerdegegnern beantragten Beizug weiterer Akten kann verzichtet werden, da sich dies zur Beurteilung der Rügen des Beschwerdeführers nicht als notwendig erweist.

2.

2.1. Mit Beschwerde in Zivilsachen können Rechtsverletzungen nach Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG gerügt werden. Die Beschwerde ist hinreichend zu begründen, ansonsten darauf nicht eingetreten werden kann (BGE 140 III 115 E. 2 S. 116; 134 II 244 E. 2.1). In der Beschwerdeschrift ist in gedrängter Form darzulegen, inwiefern der angefochtene Akt Recht verletzt (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG). Unerlässlich ist dabei, dass auf die Begründung des angefochtenen Entscheids eingegangen und im Einzelnen aufgezeigt wird, worin eine vom Bundesgericht überprüfbare Rechtsverletzung liegt. Die beschwerdeführende Partei soll in der Beschwerde an das Bundesgericht nicht bloss die Rechtsstandpunkte, die sie im kantonalen Verfahren eingenommen hat, erneut bekräftigen, sondern mit ihrer Kritik an den als rechtsfehlerhaft erachteten Erwägungen der Vorinstanz ansetzen (BGE 140 III 115 E. 2 S. 116, 86 E. 2 S. 89). Diese Begründungsanforderungen gelten auch für die Beschwerdeantwort, wenn darin Erwägungen der Vorinstanz beanstandet werden, die sich für die im kantonalen Verfahren obsiegende Partei ungünstig auswirken können (BGE 140 III 86 E. 2 S. 89 mit Hinweisen).

2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). "Offensichtlich unrichtig" bedeutet dabei "willkürlich" (BGE 140 III 115 E. 2 S. 117; 135 III 397 E. 1.5). Die Partei, welche die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz anfechten will, muss klar und substanziiert aufzeigen, inwiefern diese Voraussetzungen erfüllt sein sollen (BGE 140 III 16 E. 1.3.1 S. 18 mit Hinweisen). Wenn sie den Sachverhalt ergänzen will, hat sie zudem mit präzisen Aktenhinweisen darzulegen, dass sie entsprechende rechtsrelevante Tatsachen und taugliche Beweismittel bereits bei den Vorinstanzen prozesskonform eingebracht hat (BGE 140 III 86 E. 2 S. 90).

2.3. Soweit die Parteien die vorinstanzliche Beweiswürdigung kritisieren, ist zu beachten, dass das Bundesgericht in diese nur eingreift, wenn sie willkürlich ist. Willkür liegt nach der Rechtsprechung nicht schon dann vor, wenn eine andere Lösung ebenfalls in Betracht zu ziehen oder gar vorzuziehen wäre, sondern bloss, wenn der angefochtene Entscheid offensichtlich unhaltbar ist, mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch steht, eine Norm oder einen unumstrittenen Rechtsgrundsatz krass verletzt oder in stossender Weise dem Gerechtigkeitsgedanken zuwiderläuft (BGE 141 III 564 E. 4.1; 140 III 16 E. 2.1; je mit Hinweisen). Die Beweiswürdigung ist mithin nicht schon dann willkürlich, wenn sie nicht mit der Darstellung der beschwerdeführenden Partei übereinstimmt, sondern bloss, wenn sie offensichtlich unhaltbar ist (BGE 141 III 564 E. 4.1; 135 II 356 E. 4.2.1). Dies ist dann der Fall, wenn das Gericht Sinn und Tragweite eines Beweismittels offensichtlich verkannt hat, wenn es ohne sachlichen Grund ein wichtiges und entscheidwesentliches Beweismittel unberücksichtigt gelassen oder wenn es auf der Grundlage der festgestellten Tatsachen unhaltbare Schlussfolgerungen gezogen hat (BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266; 137 III 226 E.
4.2 S. 234; 136 III 552 E. 4.2). Inwiefern die Beweiswürdigung willkürlich sein soll, ist in der Beschwerde klar und detailliert aufzuzeigen (BGE 134 II 244 E. 2.2). Namentlich genügt es nicht, einzelne Beweise anzuführen, die anders als im angefochtenen Entscheid gewichtet werden sollen, und dem Bundesgericht in appellatorischer Kritik die eigene Auffassung zu unterbreiten, als ob diesem freie Sachverhaltsprüfung zukäme (vgl. BGE 140 III 264 E. 2.3 S. 266 f.; 116 Ia 85 E. 2b).

3.
Im bundesgerichtlichen Verfahren ist einzig der von den Beschwerdegegnern geltend gemachte (Rückerstattungs-) Anspruch aus dem Darlehensvertrag strittig.

3.1. Das Bezirksgericht kam zusammengefasst zum Ergebnis, der Abschluss eines Darlehensvertrags über Fr. 35'000.-- zwischen dem Beschwerdeführer als Borger und der verstorbenen D.B.________ als Darleiherin sei rechtsgenügend erstellt. Dem Beschwerdeführer sei der Beweis für die von ihm behauptete Rückerstattung des Darlehens misslungen. Der Betrag von Fr. 35'000.-- sei daher zur Rückzahlung fällig. Das Obergericht schützte diese Argumentation.

3.2. Der Beschwerdeführer wendet sich sinngemäss mit drei Rügen gegen das angefochtene Urteil: In erster Linie macht er geltend, die Vorinstanzen hätten mit ihrem Schluss auf eine Rückerstattungspflicht den Verhandlungsgrundsatz verletzt, denn von den Beschwerdegegnern sei eine solche Pflicht nicht behauptet worden (dazu Erwägung 3.3). Sodann kritisiert er, das zwischen den Parteien bestehende Rechtsverhältnis sei als einfache Gesellschaft und nicht als Darlehen zu qualifizieren (dazu Erwägung 3.4). Schliesslich bringt er vor, den Betrag von Fr. 35'000.-- ohnehin bereits zurückbezahlt zu haben (dazu Erwägung 3.5).

3.3. In Ziffer 4 der Beschwerdeschrift rügt der Beschwerdeführer unter dem Titel "Fehlen eines Tatsachenvortrags" eine Verletzung von Art. 55 Abs. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
und von Art. 150 Abs. 1
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 150 Objet de la preuve - 1 La preuve a pour objet les faits pertinents et contestés.
1    La preuve a pour objet les faits pertinents et contestés.
2    La preuve peut également porter sur l'usage, les usages locaux et, dans les litiges patrimoniaux, le droit étranger.
ZPO. Er macht wie schon im vorinstanzlichen Verfahren geltend, die Beschwerdegegner hätten es versäumt, die dem Darlehensvertrag zugrunde liegenden Tatsachen zu behaupten. Dies habe die Vorinstanz missachtet und ihr Urteil auf einen Sachverhalt gestützt, der von den Beschwerdegegnern nicht vorgetragen worden sei.

3.3.1. In Verfahren, die wie das vorliegende vom Verhandlungsgrundsatz beherrscht sind, tragen die Parteien die Verantwortung für die Beschaffung des Tatsachenstoffs. Sie haben alle Tatbestandselemente der materiellrechtlichen Normen zu behaupten, die den von ihnen anbegehrten Anspruch begründen (siehe Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
ZPO). Der Behauptungslast ist Genüge getan, wenn die Parteien in ihrem Tatsachenvortrag in allgemeiner Weise sämtliche Tatsachen benennen, welche unter die ihren Antrag stützenden Normen zu subsumieren sind. Ein solchermassen vollständiger Tatsachenvortrag wird als schlüssig bezeichnet, da er bei Unterstellung, er sei wahr, den Schluss auf die anbegehrte Rechtsfolge zulässt. Dabei bestimmt sich nach den einschlägigen bundesrechtlichen Normen, welche Tatsachen für einen schlüssigen Vortrag zu behaupten sind. Bestreitet der Prozessgegner den schlüssigen Tatsachenvortrag der behauptungsbelasteten Partei, greift eine über die Behauptungslast hinausgehende Substanziierungslast. Die Vorbringen sind diesfalls nicht nur in den Grundzügen, sondern in Einzeltatsachen zergliedert so umfassend und klar darzulegen, dass darüber Beweis abgenommen oder dagegen der Gegenbeweis angetreten werden kann (BGE 127 III 365 E. 2b S. 368; Urteil
4A 441/2019 vom 9. Dezember 2019 E. 2.1; je mit Hinweisen).
Eine Tatsachenbehauptung braucht dabei nicht alle Einzelheiten zu enthalten; es genügt, wenn die Tatsachen, die unter die das Begehren stützenden Normen zu subsumieren sind, in einer den Gewohnheiten des Lebens entsprechenden Weise in ihren wesentlichen Zügen oder Umrissen behauptet werden (BGE 136 III 322 E. 3.4.2 S. 328). Was offensichtlich in anderen, ausdrücklich vorgebrachten Parteibehauptungen enthalten ist, muss nicht explizit behauptet werden (sog. implizite bzw. mitbehauptete Tatsachen: Urteil 4A 625/2015 vom 29. Juni 2016 E. 4.1, nicht publ. in: BGE 142 III 581, mit Hinweisen).

3.3.2. In der Klageschrift der Beschwerdegegner wird in Ziffer III.1 auf Seite 6 was folgt ausgeführt:

"Unbestrittenermassen gewährte die verstorbene Ehegattin des [Beschwerdegegners 1] dem [Beschwerdeführer] ein Darlehen in der Höhe von Fr. 35'000.--. Mit Schreiben vom 17. Juli 2014 hat der [Beschwerdegegner 1] dieses Darlehen zur Rückzahlung kündigen lassen."

3.3.3. Das Obergericht erwog, mit diesen Ausführungen - Gewährung eines Darlehens an den Beschwerdeführer - hätten die Beschwerdegegner der Definition des Darlehens nach Art. 312
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 312 - Le prêt de consommation est un contrat par lequel le prêteur s'oblige à transférer la propriété d'une somme d'argent ou d'autres choses fongibles à l'emprunteur, à charge par ce dernier de lui en rendre autant de même espèce et qualité.
OR folgend rechtsgenügend behauptet, die verstorbene D.B.________ habe dem Beschwerdeführer den Betrag von Fr. 35'000.-- ausbezahlt und dieser sich zur Rückzahlung des nämlichen Betrags verpflichtet.

3.3.4. Der Beschwerdeführer meint, die Beschwerdegegner hätten in der Klageschrift zwar rechtsbegrifflich einen Vertragstypus genannt, es aber unterlassen, die diesem zugrunde liegenden rechtserheblichen Tatsachen zu behaupten. Namentlich werde damit nicht gesagt, welche tatsächlichen Umstände zur Übertragung des Eigentums an der Geldsumme geführt und woraus sich die Verpflichtung des Beschwerdeführers zur Rückzahlung ergeben soll. Gälte bei der blossen Nennung des Vertragstypus das diesem zugrunde liegende Tatsachenfundament stets als mitbehauptet, werde der Verhandlungsgrundsatz "zur Unkenntlichkeit ausgehölt".

3.3.5. Es trifft zu, dass sich die Behauptungslast grundsätzlich einzig auf Tatsachen bezieht (siehe vorstehende Erwägung 3.3.1 und namentlich Urteil 4D 28/2013 vom 23. Oktober 2013 E. 5). Inwieweit in diesem Zusammenhang rechtliche Ausführungen und insbesondere die Nennung von Rechtsbegriffen von Bedeutung sind, braucht vorliegend nicht im Einzelnen erörtert zu werden. Die Beschwerdegegner behaupteten, es sei ein Darlehen gewährt worden, woraus sie die Rückzahlungspflicht des Beschwerdeführers ableiteten. Es handelt sich beim Ausdruck "Darlehensgewährung" zwar (auch) um einen Rechtsbegriff, indes um einen solchen des täglichen Lebens, der als "Tatsachenkomplex in seiner juristischen Zusammenfassung" dem Erfordernis eines schlüssigen Tatsachenvortrags unter den gegebenen Umständen und mit Blick auf die darauf gestützte Rechtsfolge vorliegend genügte (siehe auch CHRISTOPH HURNI, in: Berner Kommentar, Schweizerische Zivilprozessordnung, Bd. I, 2012, N. 20 zu Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
ZPO und bereits C. JÜRGEN BRÖNNIMANN, Die Behauptungs- und Substanzierungslast im schweizerischen Zivilprozessrecht, 1989, S. 139147; MARTIN SARBACH, Die richterliche Aufklärungs- und Fragepflicht im schweizerischen Zivilprozessrecht, 2003, S. 26 f.). Die Darlegung
konkreter Einzeltatsachen zum Vertragsabschluss und -inhalt sowie zur Übertragung des Eigentums an der Geldsumme, wie dies der Beschwerdeführer verlangt, wäre erst erforderlich gewesen, wenn dieser den Sachverhaltsvortrag der Beschwerdegegner entsprechend bestritten hätte (vgl. Urteil 4A 590/2015 vom 20. Juni 2016 E. 4.2). Er bringt in dieser Hinsicht einzig vor, in der Duplik dargelegt zu haben, dass er den strittigen Betrag von Fr. 35'000.-- D.B.________ zurückbezahlt habe, "ohne dass er hierzu verpflichtet worden wäre bzw. war". Auch unter Berücksichtigung dieses Einwands ist den Vorinstanzen keine Verletzung von Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
ZPO vorzuwerfen, wenn sie schlossen, die Beschwerdegegner hätten - in ihrem Vorbringen, D.B.________ habe dem Beschwerdeführer ein Darlehen in Höhe von Fr. 35'000.-- gewährt, - in einer den Gewohnheiten des Lebens entsprechenden Weise die Auszahlung des Betrags von Fr. 35'000.-- und das Bestehen einer Rückerstattungspflicht mitbehauptet. Damit ist auch dem Standpunkt des Beschwerdeführers der Boden entzogen, wonach die von ihm im bezirksgerichtlichen Verfahren vorgebrachte gegenteilige Behauptung, es habe keine Rückzahlungspflicht bestanden, von den Beschwerdegegnern nicht bestritten und damit anerkannt worden
sei.
Nachdem somit umstritten war, ob der Betrag von Fr. 35'000.-- mit einer Pflicht zur Rückerstattung übergeben wurde, kann offen bleiben, ob zu dieser Tatsache in Anwendung von Art. 153 Abs. 2
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 153 Administration des preuves d'office - 1 Le tribunal administre les preuves d'office lorsque les faits doivent être établis d'office.
1    Le tribunal administre les preuves d'office lorsque les faits doivent être établis d'office.
2    Il peut les administrer d'office lorsqu'il existe des motifs sérieux de douter de la véracité d'un fait non contesté.
ZPO von Amtes wegen hätte Beweis erhoben werden können, was die Vorinstanz im Sinne einer Eventualbegründung bejahte, der Beschwerdeführer indes verneint. Im Zusammenhang mit der zu dieser Frage vorgenommenen Beweiswürdigung ist auch die vorinstanzliche Berücksichtigung der Akten eines gegen den Beschwerdeführer geführten Strafverfahrens zu sehen, in dem dieser bestätigt habe, dass es sich beim Rechtsgeschäft, das der Geldübergabe zugrunde lag, um ein Darlehen handelte. Wie namentlich die Erwägungen des Bezirksgerichts zeigen, verhält es sich - anders, als der Beschwerdeführer meint - nicht so, dass sich erst aus diesen, von den Beschwerdegegnern im erstinstanzlichen Verfahren als Beweis offerierten Unterlagen ein hinreichender Tatsachenvortrag ergäbe. Eine Verletzung von Art. 55
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 55 Maxime des débats et maxime inquisitoire - 1 Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
1    Les parties allèguent les faits sur lesquels elles fondent leurs prétentions et produisent les preuves qui s'y rapportent.
2    Les dispositions prévoyant l'établissement des faits et l'administration des preuves d'office sont réservées.
oder von Art. 150
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 150 Objet de la preuve - 1 La preuve a pour objet les faits pertinents et contestés.
1    La preuve a pour objet les faits pertinents et contestés.
2    La preuve peut également porter sur l'usage, les usages locaux et, dans les litiges patrimoniaux, le droit étranger.
ZPO ist nicht auszumachen.

3.4.

3.4.1. Der Beschwerdeführer moniert sodann, die Vorinstanz hätte die Übergabe des Geldbetrags "bei richtiger Anwendung von Art. 57
SR 272 Code de procédure civile du 19 décembre 2008 (CPC) - Loi sur les fors
CPC Art. 57 Application du droit d'office - Le tribunal applique le droit d'office.
ZPO" als Beitrag von D.B.________ an eine (zusammen mit ihm gebildete) einfache Gesellschaft im Sinne von Art. 530 Abs. 1
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 530 - 1 La société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes conviennent d'unir leurs efforts ou leurs ressources en vue d'atteindre un but commun.
1    La société est un contrat par lequel deux ou plusieurs personnes conviennent d'unir leurs efforts ou leurs ressources en vue d'atteindre un but commun.
2    La société est une société simple, dans le sens du présent titre, lorsqu'elle n'offre pas les caractères distinctifs d'une des autres sociétés réglées par la loi.
OR und nicht als ein (zurückzuerstattendes) Darlehen qualifizieren müssen. Zwar habe er - so der Beschwerdeführer weiter - im Strafverfahren von einem "Darlehen" gesprochen, doch sei er ein juristischer Laie, sodass seiner Aussage in diesem Zivilverfahren "rechtlich keine bindende Bedeutung" zukomme. Ferner sprächen "alle materiellen Umstände" gegen ein Darlehen.
Mit seinen Ausführungen greift der Beschwerdeführer die Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanzen an. Diese hatten nämlich in tatsächlicher Hinsicht festgehalten, dass sich die Parteien auf eine Rückzahlungspflicht geeinigt hätten. Die Ermittlung des wirklichen Parteiwillens (tatsächlicher Konsens) gehört zur Beweiswürdigung (BGE 142 III 239 E. 5.2.1 mit Hinweisen). Dass diese geradezu willkürlich wäre, wie der Beschwerdeführer vor Bundesgericht (einzig) rügen könnte (Erwägung 2.3), behauptet er nicht. Dass es sodann bundesrechtswidrig wäre, bei dem von den Vorinstanzen festgestellten tatsächlichen Parteiwillen auf ein Darlehensverhältnis zu schliessen, zeigt der Beschwerdeführer nicht hinreichend auf (siehe Erwägung 2.1).

3.4.2. Fehl geht auch die in diesem Zusammenhang vorgetragene Kritik, das Obergericht habe den Anspruch auf rechtliches Gehör des Beschwerdeführers verletzt, da es ohne Begründung mit dem Bezirksgericht von einem Darlehen im Sinne von Art. 312 ff
SR 220 Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre I: Des obligations résultant d'un contrat
CO Art. 312 - Le prêt de consommation est un contrat par lequel le prêteur s'oblige à transférer la propriété d'une somme d'argent ou d'autres choses fongibles à l'emprunteur, à charge par ce dernier de lui en rendre autant de même espèce et qualité.
. OR ausgegangen sei. Der Beschwerdeführer verweist auf das Protokoll der erstinstanzlichen Hauptverhandlung, in der er diesbezügliche rechtliche Ausführungen gemacht haben will, tut aber nicht (mit Aktenhinweisen) dar, dass er entsprechende Rügen im obergerichtlichen Verfahren erhoben hätte (siehe Erwägung 2.2). Abgesehen davon hat sich das Obergericht in Erwägung 2.2.2 des angefochtenen Urteils durchaus mit der Abgrenzung von Darlehen und einfacher Gesellschaft auseinandergesetzt.

3.5. Schliesslich macht der Beschwerdeführer - wie schon vor den Vorinstanzen - geltend, er habe den von D.B.________ zur Verfügung gestellten Betrag von Fr. 35'000.-- bereits zurückbezahlt.
Die Vorinstanzen kamen zum Beweisergebnis, eine solche Rückzahlung sei nicht erstellt. Der Beschwerdeführer behaupte wohl, D.B.________ jahrelang finanziell unterstützt zu haben, ohne aber den Beweis dafür zu erbringen, dass er dies zwecks Rückzahlung des Darlehens getan habe.
In seiner Beschwerde an das Bundesgericht wirft der Beschwerdeführer der Vorinstanz zwar vor, damit in Willkür verfallen zu sein. Er vermag eine solche indes nicht darzutun, wenn er im Wesentlichen seinen bereits vor Obergericht dargelegten Standpunkt wiederholt und ausführt, inwiefern er zum Lebensunterhalt von D.B.________ finanziell beigetragen habe. Auf die zutreffende Erwägung des Obergerichts, aus diesen Ausführungen ergebe sich nicht, dass die finanzielle Unterstützung zur Rückzahlung des Darlehens erfolgt sei, geht der Beschwerdeführer nicht ein.

4.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Bei diesem Ausgang des Verfahrens wird der Beschwerdeführer kosten- und entschädigungspflichtig (siehe Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
und Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Der Beschwerdeführer hat die Beschwerdegegner für das bundesgerichtliche Verfahren mit insgesamt Fr. 2'500.-- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Aargau, Zivilgericht, 2. Kammer, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 29. Januar 2020

Im Namen der I. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Kiss

Der Gerichtsschreiber: Stähle