Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

2C 725/2021

Sentenza del 25 gennaio 2022

II Corte di diritto pubblico

Composizione
Giudici federali Aubry Girardin, Presidente,
Hänni, Beusch,
Cancelliere Savoldelli.

Partecipanti al procedimento
A.________,
patrocinato dall'avv. Marco Armati,
ricorrente,

contro

Divisione delle contribuzioni della Repubblica e Cantone Ticino, viale Stefano Franscini 6, 6501 Bellinzona.

Oggetto
Imposta cantonale 2013,

ricorso in materia di diritto pubblico contro la sentenza emanata il 12 luglio 2021 dalla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino (80.2020.51).

Fatti:

A.
Con rogito del 1° febbraio 2012 del notaio B.________, Lugano, è stata costituita la C.________ SA, Lugano. In quel contesto, A.________, cittadino italiano con permesso B, ha confermato l'assunzione e la sottoscrizione di 100 azioni al portatore del valore di fr. 1'000.-- ciascuna, interamente liberate.
Con decisione del 23 agosto 2017 l'Ufficio circondariale di tassazione di Lugano ha notificato a A.________ la tassazione per il periodo fiscale 2013, commisurando la sua sostanza imponibile in fr. 6'391'000.-- e quella determinante per l'aliquota in fr. 6'566'000.--. Rispetto alla dichiarazione presentata dal contribuente, ha infatti aggiunto alla sostanza imponibile il valore delle azioni della C.________ SA, che al 31 dicembre 2013 ammontava a fr. 6'470'000.--.

B.
Con reclamo del 19 settembre 2017 il contribuente ha sostenuto di non essere mai stato azionista della C.________ SA e che ciò era attestato da una dichiarazione sottoscritta dall'amministratore unico della stessa il 1° settembre 2017, che indicava che "dall'elenco azionisti in [suo] possesso... A.________ non risulta essere mai stato azionista e/o avente economicamente diritto della società" e precisava che "nel 2013 le azioni della spettabile C.________ SA sono regolarmente dichiarate dagli azionisti".
Il 2 febbraio 2018 il fisco si è quindi rivolto al rappresentante del reclamante, rilevando come dall'atto costitutivo della C.________ SA il contribuente risultasse sottoscrittore dell'intero pacchetto azionario e invitandolo a produrre una copia del contratto di cessione delle azioni oppure una copia del contratto fiduciario stipulato fra il reclamante e il terzo azionista occulto.

C.
Il 3 aprile 2018 il patrocinatore del reclamante ha trasmesso all'autorità di tassazione le dichiarazioni d'imposta relative al periodo fiscale 2013 di D.________, E.________ e F.________, qualificati come reali azionisti della C.________ SA.
Con decisione del 18 marzo/22 luglio 2020 il fisco ha tuttavia respinto il reclamo rilevando che "le dichiarazioni (e non le decisioni di tassazione) delle altre tre persone non costituiscono la comprova dell'effettivo possesso delle azioni, conto tenuto del fatto che tali persone per il periodo fiscale 2013 non risultano nemmeno nel registro dei contribuenti". Nel seguito, A.________ si è invano rivolto anche alla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino la quale, con sentenza del 12 luglio 2021, ha respinto il suo gravame.

D.
Il 14 settembre 2021 A.________ ha impugnato quest'ultimo giudizio con ricorso in materia di diritto pubblico al Tribunale federale, domandando: in via principale, l'annullamento dello stesso e il rinvio dell'incarto alla Corte cantonale, per assumere le prove richieste ed emettere una nuova decisione; in via subordinata, la riforma dello stesso, nel senso che il reclamo è accolto e, di conseguenza, il valore del pacchetto azionario della C.________ SA non è computato nel suo imponibile in riferimento all'imposta cantonale 2013. Protesta inoltre tasse, spese e ripetibili per ogni istanza, chiedendo il conferimento dell'effetto sospensivo al ricorso.
La Camera di diritto tributario e il fisco ticinese hanno proposto che l'impugnativa sia respinta e la sentenza querelata sia confermata, formulando osservazioni di cui verrà detto, per quanto necessario, nel seguito. Con decreto presidenziale del 21 settembre 2021 l'istanza di conferimento dell'effetto sospensivo al gravame è stata respinta. Il 3 dicembre 2021 il ricorrente ha quindi ribadito la propria posizione.

Diritto:

1.

1.1. Il ricorso concerne una causa di diritto pubblico che non ricade sotto nessuna delle eccezioni previste dall'art. 83
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
LTF ed è diretto contro una decisione finale (art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
LTF) resa in ultima istanza cantonale da un tribunale superiore (art. 86 cpv. 1 lett. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
e cpv. 2 LTF).

1.2. Esso è stato presentato nei termini dal destinatario del giudizio contestato (art. 46 cpv. 1 lett. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
1    Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas:
a  du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus;
b  du 15 juillet au 15 août inclus;
c  du 18 décembre au 2 janvier inclus.
2    L'al. 1 ne s'applique pas:
a  aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles;
b  à la poursuite pour effets de change;
c  aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c);
d  à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale;
e  aux marchés publics.19
in relazione con l'art. 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF), con interesse all'annullamento dello stesso (art. 89 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LTF), e va pertanto esaminato quale ricorso ordinario in materia di diritto pubblico giusta l'art. 82
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
segg. LTF (sentenza 2C 770/2016 del 26 settembre 2016 consid. 1.2.1, 2 e 3 relativa a un caso analogo).

1.3. Tuttavia, davanti a questa Corte l'insorgente è solo legittimato a formulare conclusioni riguardanti la sentenza del Tribunale amministrativo. Per quanto direttamente volte anche alla modifica delle decisioni emesse dalle istanze precedenti, le sue conclusioni sono quindi inammissibili (DTF 134 II 142 consid. 1.4).

2.

2.1. Di principio, nell'ambito del ricorso in materia di diritto pubblico il Tribunale federale verifica liberamente l'applicazione del diritto federale, quindi anche la conformità del diritto cantonale armonizzato e la sua applicazione da parte delle istanze inferiori alle disposizioni della legge federale sull'armonizzazione fiscale (art. 106 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF; DTF 144 II 313 consid. 5.1 e 5.3). Secondo l'art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF, la violazione di diritti fondamentali è però esaminata solo se il ricorrente ha motivato la censura (art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF; DTF 144 II 313 consid. 5.1). Salvo nei casi - qui non pertinenti - citati dall'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF, con il ricorso in materia di diritto pubblico non è invece possibile criticare la violazione del diritto cantonale come tale, di cui si può semmai denunciare un'applicazione lesiva del diritto federale e, segnatamente, del divieto d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.) o di altri diritti costituzionali (DTF 137 V 143 consid. 1.2; sentenza 2C 337/2019 del 4 marzo 2021 consid. 2.1).

2.2. Per quanto concerne i fatti, il Tribunale federale fonda il suo ragionamento giuridico sull'accertamento che è stato svolto dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF). Può scostarsene quando è stato eseguito in violazione del diritto ai sensi dell'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF o in modo manifestamente inesatto, ovvero arbitrario, profilo sotto il quale viene esaminato anche l'apprezzamento delle prove (DTF 136 III 552 consid. 4.2). A meno che non ne dia motivo la decisione impugnata (art. 99 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF), non tiene neppure conto di fatti o mezzi di prova nuovi, che non possono comunque essere posteriori al querelato giudizio (cosiddetti "nova in senso proprio"; DTF 139 III 120 consid. 3.1.2).

2.3. Il gravame rispetta i requisiti in materia di motivazione menzionati solo in parte. Nella misura in cui li disattende, sfugge di conseguenza a un esame di questa Corte. D'altro canto, sul piano dei fatti il Tribunale federale non può nemmeno considerare aggiunte e precisazioni formulate liberamente nel testo (sentenza 2C 772/2020 del 30 ottobre 2020 consid. 2.2). Infine, le condizioni previste dall'art. 99 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF non sono date rispettivamente dimostrate, di modo che i documenti allegati all'impugnativa e relativi al merito, che non si trovino già altrimenti agli atti, non vanno a priori esaminati.

3.
Litigiosa è l'imposizione del capitale azionario della C.________ SA. Come indicato anche dalla Corte cantonale, il ricorrente non ha dichiarato la partecipazione nella società, mentre l'autorità fiscale l'ha aggiunta alla sua sostanza imponibile fondandosi sul fatto che, al momento della costituzione della stessa, egli ha confermato di aver assunto e sottoscritto tutte e 100 le azioni al portatore del valore nominale di fr. 1'000.-- ciascuna e non vi erano prove chiare e inequivocabili per ammettere l'esistenza di un rapporto fiduciario.

3.1. Nei considerandi in diritto della querelata sentenza (ivi, consid. 1 e 2), ai quali si può rinviare a titolo integrativo (art. 109 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 109 Cours statuant à trois juges - 1 Le refus d'entrer en matière sur les recours qui ne soulèvent pas de question juridique de principe ni ne portent sur un cas particulièrement important alors qu'ils ne sont recevables qu'à cette condition (art. 74 et 83 à 85) est prononcé par la cour statuant à trois juges. L'art. 58, al. 1, let. b, n'est pas applicable.
1    Le refus d'entrer en matière sur les recours qui ne soulèvent pas de question juridique de principe ni ne portent sur un cas particulièrement important alors qu'ils ne sont recevables qu'à cette condition (art. 74 et 83 à 85) est prononcé par la cour statuant à trois juges. L'art. 58, al. 1, let. b, n'est pas applicable.
2    La cour décide dans la même composition et à l'unanimité:
a  de rejeter un recours manifestement infondé;
b  d'admettre un recours manifestement fondé, en particulier si l'acte attaqué s'écarte de la jurisprudence du Tribunal fédéral et qu'il n'y a pas de raison de la réexaminer.
3    L'arrêt est motivé sommairement. Il peut renvoyer partiellement ou entièrement à la décision attaquée.
LTF), i Giudici ticinesi hanno esposto correttamente il quadro legale che regge l'imposizione della sostanza (art. 13
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 13 Objet de l'impôt - 1 L'impôt sur la fortune a pour objet l'ensemble de la fortune nette.
1    L'impôt sur la fortune a pour objet l'ensemble de la fortune nette.
2    La fortune grevée d'usufruit est imposable auprès de l'usufruitier.
3    Les parts de placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe sont imposables pour la différence entre la valeur de l'ensemble des actifs du placement et celle de ses immeubles en propriété directe.87
4    Le mobilier de ménage et les objets personnels d'usage courant ne sont pas imposés.
segg. della legge federale del 14 dicembre 1990 sull'armonizzazione delle imposte dirette dei Cantoni e dei Comuni [LAID; RS 642.14]; art. 40 segg. della legge tributaria del Cantone Ticino del 21 giugno 1994 [LT/TI; RL/TI 640.100]).
Altrettanto corretta è la presentazione della giurisprudenza relativa al riconoscimento di rapporti fiduciari, che è stata sviluppata in materia di imposta federale diretta ma che è valida anche in materia di imposta cantonale (sentenze 2C 864 2020 dell'8 marzo 2021 consid. 5.2 in fine e 2C 148/2016 del 25 agosto 2017 consid. 9).

3.2. In relazione al riconoscimento di rapporti fiduciari, come quello in discussione in questa sede, basti quindi ribadire quanto segue:
in primo luogo che le autorità fiscali hanno il diritto di attribuire rapporti e negozi giuridici alla persona a nome della quale sono stati stipulati e che, nel caso in cui il contribuente sostenga invece l'esistenza di un rapporto fiduciario, le regole generali in merito all'onere della prova gli impongono di apportarne la dimostrazione (DTF 140 II 248 consid. 3.5; sentenza 2C 91/2019 del 12 settembre 2019 consid. 3.3);
in secondo luogo che, in base alla prassi amministrativa (codificata nel promemoria - rapporto fiduciario dell'amministrazione federale delle contribuzioni dell'ottobre 1967), i rapporti fiduciari sono fiscalmente riconosciuti solo se: (1) tra il fiduciante e il fiduciario esistono accordi scritti risalenti all'epoca in cui il mandato fiduciario è stato conferito; (2) i beni sotto mandato fiduciario sono esattamente descritti; (3) il fiduciario non corre alcun rischio in relazione all'investimento, all'amministrazione e alla vendita dei beni fiduciari; (4) il fiduciario riceve dal fiduciante una commissione calcolata in base alle quote usuali per il genere di prestazioni fornite e le condizioni sono menzionate con precisione nel relativo contratto; (5) i bilanci che il fiduciario presenta all'autorità fiscale indicano chiaramente che questi detiene beni patrimoniali a titolo fiduciario; (6) nella contabilità del fiduciario vengono aperti e tenuti conti particolari che indicano sia i beni fiduciari sia i diritti e gli obblighi del fiduciante;
in terzo luogo che il riconoscimento fiscale di un rapporto fiduciario può avvenire anche in un altro modo, a condizione però che le prove addotte a tal fine siano chiare e permettano quindi di constatarne l'esistenza in maniera inequivocabile ( eindeutig, einwandfrei; sans discussion possibile, de façon évidente; sentenze 2C 987/2020 del 22 giugno 2021 consid. 4.1; 2C 864/2020 dell'8 marzo 2021 consid. 5; 2C 631/2017 del 30 gennaio 2019 consid. 2.1 e 2C 770/2016 del 26 settembre 2016 consid. 2 seg.).

4.

4.1. Come detto, ricordato che a sostegno dell'imposizione l'autorità fiscale si è fondata sull'atto costitutivo della C.________ SA, nel quale il ricorrente ha confermato l'assunzione e la sottoscrizione di 100 azioni al portatore del valore di fr. 1'000.-- ciascuna, interamente liberate (precedente consid. A), la Camera di diritto tributario ha constatato che le condizioni previste dal promemoria dell'amministrazione federale delle contribuzioni non erano rispettate, rispettivamente che la prova chiara ed inequivocabile dell'esistenza di un rapporto fiduciario non era stata fornita nemmeno nella fattispecie.
Al riguardo ha infatti osservato che ciò non era avvenuto: (1) né attraverso la dichiarazione rilasciata dall'amministratore unico della C.________ SA il 1° settembre 2017, secondo cui "dall'elenco azionisti in [suo] possesso... A.________ non risulta essere mai stato azionista e/o avente economicamente diritto della società"; (2) né attraverso la produzione delle dichiarazioni di imposta 2013 di D.________, E.________ e F.________, qualificati come azionisti della C.________ SA; (3) né attraverso il certificato di lavoro rilasciato il 30 agosto 2014 dalla G.________ SA; (4) né attraverso la domanda di edizione del contratto fiduciario che sarebbe nelle mani di G.________ SA, ex partner di lavoro del ricorrente, che spettava a quest'ultimo produrre.

4.2. Nella sua impugnativa, il ricorrente non concorda invece con tale conclusione, definendola lesiva del divieto d'arbitrio (art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost.).
Nel contempo, in merito alle prove offerte ma non assunte (ovvero alla domanda di audizione di taluni testi e alla richiesta di edizione del libro dei soci dalla C.________ SA rispettivamente del contratto fiduciario dalla G.________ SA), denuncia una violazione del diritto di essere sentito, per l'assenza di una motivazione che dia conto delle ragioni di questa rinuncia (art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost.).

5.

5.1. Come visto, il giudizio impugnato si esprime espressamente in relazione a quattro prove distinte e cioè: (1) alla dichiarazione rilasciata dall'amministratore unico della C.________ SA il 1° settembre 2017, secondo cui "dall'elenco azionisti in [suo] possesso... A.________ non risulta essere mai stato azionista e/o avente economicamente diritto della società"; (2) alle dichiarazioni di imposta 2013 di D.________, E.________ e F.________, qualificati come azionisti della C.________ SA; (3) al certificato di lavoro rilasciato il 30 agosto 2014 dalla G.________ SA; (4) alla domanda di edizione del contratto fiduciario che sarebbe nelle mani di G.________ SA.
Nei primi tre casi, la Corte cantonale procede a un apprezzamento, che il Tribunale federale rivede solo nell'ottica del divieto d'arbitrio (precedente consid. 2.2). Nel quarto caso (rifiuto di chiedere direttamente il contratto fiduciario alla G.________ SA) si fonda invece su motivi procedurali, ovvero sul fatto che l'onere della prova è a carico del ricorrente e non spetta all'autorità rivolgersi direttamente a terze persone per ottenere documenti a favore dello stesso.

5.2. Quando rimprovera all'autorità inferiore un accertamento dei fatti manifestamente inesatto - cioè arbitrario - l'insorgente deve motivare la censura con precisione (art. 106 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
LTF; DTF 140 III 115 consid. 2). In questo contesto, non basta che opponga il proprio punto di vista alle conclusioni dell'istanza inferiore. Siccome, nel campo dell'accertamento dei fatti e dell'apprezzamento delle prove, i giudici cantonali godono di un grande potere discrezionale, deve in effetti dimostrare che la sentenza impugnata ignora il senso e la portata di un mezzo di prova, omette senza ragioni valide di tenere conto di una prova importante, suscettibile di modificare l'esito della lite, oppure ammette o nega un fatto, ponendosi in aperto contrasto con gli atti o interpretandoli in modo insostenibile (DTF 140 III 264 consid. 2.3).

5.3. Nonostante il richiamo al divieto d'arbitrio contenuto nel ricorso, simile dimostrazione non è qui però addotta, né in relazione alla dichiarazione rilasciata il 1° settembre 2017 dall'amministratore unico della C.________ SA, né riguardo alle dichiarazioni fiscali di quelli che sarebbero i reali azionisti della società, il cui apprezzamento è ancora litigioso.
Riferendosi al giudizio impugnato solo in modo frammentario, e quindi contravvenendo anche all'art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF, che richiede un confronto con le argomentazioni della Corte cantonale (DTF 142 III 364 consid. 2.4), il ricorrente si limita infatti a presentare una personale lettura della fattispecie per poi contrapporla a quella esposta in sede cantonale, ciò che non basta.

5.4. Sia come sia, l'arbitrio nella valutazione di queste prove non è in ogni caso dato. Come visto, per attestare l'esistenza di un rapporto fiduciario come quello sostenuto dal contribuente sono in effetti necessarie prove chiare e inequivocabili (precedente consid. 3.2), che non possono essere manifestamente riconosciute né nelle dichiarazioni fiscali 2013 delle tre persone che sarebbero i reali azionisti della società (D.________, E.________ e F.________), né nella dichiarazione rilasciata il 1° settembre 2017 dall'amministratore unico della C.________ SA.
In base ai fatti che risultano dalla querelata sentenza, che vincolano di principio anche il Tribunale federale (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF; giudizio impugnato, consid. 3.4), le tre dichiarazioni fiscali prodotte in sede di reclamo a dimostrazione del fatto che i reali azionisti della società erano altre persone non sono infatti mai giunte al fisco e non sono quindi mai nemmeno sfociate in una decisione di tassazione, di modo che - già solo per questo motivo - la loro forza probante non può che essere fortemente relativizzata. D'altra parte, nella misura in cui ad esse fa indirettamente rinvio anche la dichiarazione rilasciata il 1° settembre 2017 dall'amministratore unico della C.________ SA (indicando come "nel 2013 le azioni della spettabile C.________ SA sono regolarmente dichiarate dagli azionisti"), stessa cosa vale per tale documento, il cui tenore è per altro assai generico.

5.5. Nel contempo, a maggior fortuna non è destinata la critica relativa al rifiuto, da parte della Camera di diritto tributario, di chiedere in edizione il contratto fiduciario dalla G.________ SA, che l'insorgente formula richiamandosi al "potere coercitivo" che l'autorità cantonale avrebbe avuto a disposizione, ma di cui non avrebbe a torto fatto uso.

5.5.1. Nell'ambito di una procedura di tassazione come quella in esame, gli obblighi di terze persone si limitano infatti ai casi previsti dagli art. 43
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 43 Attestations de tiers - 1 Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
1    Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut l'exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
-45
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 45 Informations de tiers - Pour chaque période fiscale, une attestation doit être remise aux autorités fiscales par:
a  les personnes morales, sur les prestations versées aux membres de l'administration et d'autres organes; les fondations, en outre, sur les prestations fournies à leurs bénéficiaires;
b  les institutions de la prévoyance professionnelle et de la prévoyance individuelle liée, sur les prestations fournies à leurs preneurs de prévoyance ou bénéficiaires;
c  les sociétés simples et les sociétés de personnes, sur tous les éléments qui revêtent de l'importance pour la taxation de leurs associés, notamment sur les parts de ces derniers au revenu et à la fortune de la société;
d  les placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe, sur les éléments déterminants pour l'imposition de ces immeubles.
e  les employeurs, sur les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur proprement dites ainsi que sur l'attribution et l'exercice d'options de collaborateur.
LAID (MARTIN ZWEIFEL/HUGO CASANOVA/MICHAEL BEUSCH/SILVIA HUNZIKER, Schweizerisches Steuerverfahrensrecht, 2a ed. 2018, § 18 n. 1), che sono dei disposti ai quali l'insorgente non si richiama, e che non entrano comunque in discussione.
In particolare, alla fattispecie non è in effetti applicabile nemmeno l'art. 43
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 43 Attestations de tiers - 1 Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
1    Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut l'exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
LAID perché, come risulta dal suo capoverso 2, questa norma serve (dopo avere intimato una diffida al contribuente) per ottenere attestazioni che egli non ha fornito motu proprio, non quindi in casi come quello in esame, dove in gioco è la produzione di un contratto cui il ricorrente sostiene (genericamente) di non avere accesso. Di principio, questo disposto non impone inoltre al fisco di agire, ma gliene concede solo la facoltà (sentenza 2C 1205/2012 del 25 aprile 2013 consid. 3.5.3, con riferimento al carattere potestativo dell'art. 127 cpv. 2
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 127 - 1 Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
1    Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
a  l'employeur, sur ses prestations au travailleur;
b  les créanciers et les débiteurs, sur l'état, le montant, les intérêts des dettes et créances, ainsi que sur les sûretés dont elles sont assorties;
c  les assureurs, sur la valeur de rachat des assurances et sur les prestations payées ou dues en vertu de contrats d'assurance;
d  les fiduciaires, gérants de fortune, créanciers gagistes, mandataires et autres personnes qui ont ou avaient la possession ou l'administration de la fortune du contribuable, sur cette fortune et ses revenus;
e  les personnes qui sont ou étaient en relations d'affaires avec le contribuable, sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut les exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
LIFD, come detto, di uguale tenore a quello dell'art. 43 cpv. 2
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 43 Attestations de tiers - 1 Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
1    Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut l'exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
LAID).

5.5.2. Ritenuto che la richiesta di produzione del contratto fiduciario appare quanto di più ragionevole il fisco ticinese potesse pretendere, e che essa va quindi anche considerata rispettosa del principio di proporzionalità (DTF 142 II 69 consid. 5.1; MARTIN ZWEIFEL/SILVIA HUNZIKER, in: Zweifel/Beusch [editori], Kommentar StHG, 3a ed. 2017, n. 4 segg. e 38a ad art. 42
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 42 Obligations du contribuable - 1 Le contribuable doit faire tout ce qui est nécessaire pour assurer une taxation complète et exacte.
1    Le contribuable doit faire tout ce qui est nécessaire pour assurer une taxation complète et exacte.
2    Sur demande de l'autorité de taxation, il doit notamment fournir des renseignements oraux ou écrits, présenter ses livres comptables, les pièces justificatives et autres attestations ainsi que les pièces concernant ses relations d'affaires.
3    Les personnes physiques dont le revenu provient d'une activité lucrative indépendante et les personnes morales doivent joindre à leur déclaration:
a  les comptes annuels signés (bilan, compte de résultats) concernant la période fiscale, ou
b  en cas de tenue d'une comptabilité simplifiée en vertu de l'art. 957, al. 2, CO186: un relevé des recettes et des dépenses, de l'état de la fortune ainsi que des prélèvements et apports privés concernant la période fiscale.187
4    Le mode de tenue et de conservation des documents visés à l'al. 3 est régi par les art. 957 à 958f CO.188
LAID), la mancata produzione dello stesso non può d'altra parte che andare a scapito dell'insorgente, come in sostanza concluso dalla Corte cantonale.
È infatti vero che la procedura che ci occupa si fonda su un modello di tassazione mista, in base al quale il contribuente e l'autorità di tassazione stabiliscono congiuntamente quanto dovuto al fisco. Altrettanto vero è però: da un canto, che in questo ambito il contribuente deve fare tutto il necessario per consentire una tassazione completa e esatta fornendo, a domanda dell'autorità, informazioni orali e scritte e presentare libri contabili, giustificativi e altri attestati, come anche documenti concernenti le relazioni d'affari (art. 42 cpv.1 e
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 42 Obligations du contribuable - 1 Le contribuable doit faire tout ce qui est nécessaire pour assurer une taxation complète et exacte.
1    Le contribuable doit faire tout ce qui est nécessaire pour assurer une taxation complète et exacte.
2    Sur demande de l'autorité de taxation, il doit notamment fournir des renseignements oraux ou écrits, présenter ses livres comptables, les pièces justificatives et autres attestations ainsi que les pièces concernant ses relations d'affaires.
3    Les personnes physiques dont le revenu provient d'une activité lucrative indépendante et les personnes morales doivent joindre à leur déclaration:
a  les comptes annuels signés (bilan, compte de résultats) concernant la période fiscale, ou
b  en cas de tenue d'une comptabilité simplifiée en vertu de l'art. 957, al. 2, CO186: un relevé des recettes et des dépenses, de l'état de la fortune ainsi que des prélèvements et apports privés concernant la période fiscale.187
4    Le mode de tenue et de conservation des documents visés à l'al. 3 est régi par les art. 957 à 958f CO.188
2 LAID); d'altro canto, che le conseguenze dell'assenza di una prova correttamente richiesta dall'autorità al contribuente in merito ad un aspetto che concorre a diminuire il suo onere fiscale devono essere sopportate da quest'ultimo (DTF 146 II 6 consid. 4.2; 142 II 69 consid. 5.1 e 140 II 248 consid. 3.5; sentenze 2C 596/2020 del 10 marzo 2021 consid. 2.3.2 e 2C 425/2020 del 13 luglio 2020 consid. 3.1; FELIX RICHNER/WALTER FREI/STEFAN KAUFMANN/HANS ULRICH MEUTER, Handkommentar zum DBG, 3a ed. 2016, n. 25 segg. ad art. 127
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 127 - 1 Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
1    Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
a  l'employeur, sur ses prestations au travailleur;
b  les créanciers et les débiteurs, sur l'état, le montant, les intérêts des dettes et créances, ainsi que sur les sûretés dont elles sont assorties;
c  les assureurs, sur la valeur de rachat des assurances et sur les prestations payées ou dues en vertu de contrats d'assurance;
d  les fiduciaires, gérants de fortune, créanciers gagistes, mandataires et autres personnes qui ont ou avaient la possession ou l'administration de la fortune du contribuable, sur cette fortune et ses revenus;
e  les personnes qui sont ou étaient en relations d'affaires avec le contribuable, sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut les exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
LIFD).

6.

6.1. Respinte le critiche relative all'apprezzamento di talune prove, che il ricorrente riteneva - ma a torto - costituire una dimostrazione chiara ed inequivocabile in merito all'esistenza di un rapporto fiduciario, va ancora esaminata la censura con la quale egli si lamenta della rinuncia all'assunzione, da parte della Corte cantonale, delle ulteriori prove offerte, che sarebbe stata decisa senza fornire motivazione, e quindi ledendo il diritto di essere sentito garantito dall'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost.
Nel dettaglio, la censura riguarda: da un lato, la richiesta di audizione di testi (il notaio rogante, l'amministratore unico e l'ex amministratore unico della C.________ SA, l'amministratore unico della G.________ SA); d'altro lato, la domanda di edizione del libro dei soci dalla C.________ SA e del contratto fiduciario dalla G.________ SA.

6.2. Dall'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost. sono dedotte diverse garanzie; tra queste, il diritto ad una decisione motivata, ad offrire prove pertinenti e ad ottenerne l'assunzione. Per giurisprudenza, la motivazione di una decisione è sufficiente quando una parte è messa in condizione di rendersi conto della portata del provvedimento che la concerne e di poterlo impugnare con cognizione di causa (DTF 143 III 65 consid. 5.2 e 142 II 154 consid. 4.2). Sul piano formale, il diritto di essere sentito è rispettato anche se la motivazione è implicita, risulta dai diversi considerandi componenti la decisione, oppure da rinvii; occorre però che ciò non ne ostacoli troppo la comprensione (DTF 141 V 557 consid. 3.2.1; sentenza 2C 115/2019 del 21 aprile 2020 consid. 4.1).
Tale garanzia non impedisce inoltre all'autorità di porre fine all'istruttoria, quando le prove assunte le hanno permesso di formarsi una propria opinione e le ulteriori prove offerte non potrebbero condurla a modificare il suo convincimento (DTF 134 I 140 consid. 5.3). In questo contesto, il Tribunale federale riconosce alle istanze inferiori un ampio potere, ammettendo una lesione dell'art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi.
Cost. solo se non hanno manifestamente compreso il senso e la portata di un mezzo di prova, se hanno omesso di considerare un mezzo di prova pertinente senza un serio motivo, o se, in base agli elementi raccolti, hanno tratto delle deduzioni che devono essere valutate come insostenibili (DTF 143 IV 500 consid. 1.1 e 140 III 264 consid. 2.3).

6.3. Ora, in merito al rifiuto di dar seguito alla richiesta di edizione del contratto fiduciario dalla G.________ SA già si è detto nel considerando 5.5. Ancorché breve, la motivazione c'era (ed era corretta), di modo che l'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost. non è stato violato.
D'altra parte, se è vero che i Giudici ticinesi non si esprimono espressamente sulla richiesta di edizione del libro dei soci, al quale fa rinvio la dichiarazione del 1° settembre 2017, altrettanto vero è che essi prendono posizione sull'argomento nei considerandi 3.2 e 3.3 del loro giudizio, con il quale il ricorrente - rappresentato da un avvocato - si confronta di nuovo solo in modo molto frammentario e quindi lesivo dell'art. 42 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF (DTF 142 III 364 consid. 2.4). Indipendentemente da ciò vale poi quanto detto, ovvero che nell'ambito di una procedura di tassazione come quella in esame, gli obblighi di terzi si limitano ai casi previsti dagli art. 43
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 43 Attestations de tiers - 1 Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
1    Les tiers qui ont ou ont eu des relations contractuelles avec le contribuable doivent lui remettre les attestations portant sur l'ensemble de leurs relations contractuelles et sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut l'exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
-45
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 45 Informations de tiers - Pour chaque période fiscale, une attestation doit être remise aux autorités fiscales par:
a  les personnes morales, sur les prestations versées aux membres de l'administration et d'autres organes; les fondations, en outre, sur les prestations fournies à leurs bénéficiaires;
b  les institutions de la prévoyance professionnelle et de la prévoyance individuelle liée, sur les prestations fournies à leurs preneurs de prévoyance ou bénéficiaires;
c  les sociétés simples et les sociétés de personnes, sur tous les éléments qui revêtent de l'importance pour la taxation de leurs associés, notamment sur les parts de ces derniers au revenu et à la fortune de la société;
d  les placements collectifs qui possèdent des immeubles en propriété directe, sur les éléments déterminants pour l'imposition de ces immeubles.
e  les employeurs, sur les avantages appréciables en argent dérivant de participations de collaborateur proprement dites ainsi que sur l'attribution et l'exercice d'options de collaborateur.
LAID, che sono dei disposti ai quali l'insorgente non si richiama, e che non entrano comunque in discussione (precedente consid. 5.5). In via di principio, anche in questo caso occorre quindi rilevare che se il ricorrente voleva far capo a tale elenco degli azionisti, per poi sottoporlo all'apprezzamento dei Giudici ticinesi, spettava a lui procurarselo direttamente.

6.4. Sempre a differenza di quanto indicato nell'impugnativa, il diritto a una decisione motivata garantito dall'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
Cost. non è stato infine leso nemmeno in relazione ai differenti testi che l'insorgente ha proposto ai Giudici ticinesi di sentire (il notaio rogante, l'amministratore unico e l'ex amministratore unico della C.________ SA, l'amministratore unico della G.________ SA).

6.4.1. Analogamente a quanto previsto dall'art. 115
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 115 Offre de preuves - Les offres de preuves du contribuable doivent être acceptées, à condition qu'elles soient propres à établir des faits pertinents pour la taxation.
LIFD in materia di imposta federale diretta, giusta l'art. 41 cpv. 2
SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID)
LHID Art. 41 Droits du contribuable - 1 Le contribuable peut consulter les pièces du dossier qu'il a produites ou signées. Il peut prendre connaissance des autres pièces une fois les faits établis et à condition que des intérêts publics ou privés ne s'y opposent pas.
1    Le contribuable peut consulter les pièces du dossier qu'il a produites ou signées. Il peut prendre connaissance des autres pièces une fois les faits établis et à condition que des intérêts publics ou privés ne s'y opposent pas.
2    Les offres de preuves du contribuable doivent être acceptées, à condition qu'elles soient propres à établir des faits importants.
3    Les décisions de taxation sont notifiées au contribuable par écrit et doivent indiquer les voies de droit. Les autres décisions et prononcés doivent, en outre, être motivés.
LAID le prove offerte dal contribuente devono essere ammesse, nella misura in cui siano idonee ad accertare i fatti rilevanti per la tassazione.
D'altra parte, in base alla giurisprudenza relativa all'art. 115
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 115 Offre de preuves - Les offres de preuves du contribuable doivent être acceptées, à condition qu'elles soient propres à établir des faits pertinents pour la taxation.
LIFD, tra le possibili prove rientra di principio anche l'audizione di persone che sono disposte ad essere udite come teste (sentenze 2C 546/2017 del 16 luglio 2018 consid. 2.8; 2C 188/2010 del 24 gennaio 2011 consid. 6.5 e 2A.480/2005 del 23 febbraio 2006 consid. 2.3; PETER LOCHER, Kommentar zum DBG, III. Teil, 2015, n. 1 e 10 ad art. 127
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 127 - 1 Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
1    Doivent donner des attestations écrites au contribuable:
a  l'employeur, sur ses prestations au travailleur;
b  les créanciers et les débiteurs, sur l'état, le montant, les intérêts des dettes et créances, ainsi que sur les sûretés dont elles sont assorties;
c  les assureurs, sur la valeur de rachat des assurances et sur les prestations payées ou dues en vertu de contrats d'assurance;
d  les fiduciaires, gérants de fortune, créanciers gagistes, mandataires et autres personnes qui ont ou avaient la possession ou l'administration de la fortune du contribuable, sur cette fortune et ses revenus;
e  les personnes qui sont ou étaient en relations d'affaires avec le contribuable, sur leurs prétentions et prestations réciproques.
2    Lorsque, malgré sommation, le contribuable ne produit pas les attestations requises, l'autorité fiscale peut les exiger directement du tiers. Le secret professionnel protégé légalement est réservé.
LIFD, n. 14 ad art. 115
SR 642.11 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'impôt fédéral direct (LIFD)
LIFD Art. 115 Offre de preuves - Les offres de preuves du contribuable doivent être acceptées, à condition qu'elles soient propres à établir des faits pertinents pour la taxation.
LIFD, con ulteriori rinvii alla prassi e alla dottrina; ZWEIFEL/CASANOVA/BEUSCH/HUNZIKER, op. cit., § 14 n. 36).

6.4.2. Ora, in merito a tale disponibilità non vi sono indicazioni specifiche su cui questa Corte possa basarsi (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF) e - sempre al riguardo - il ricorrente non fa nemmeno valere un accertamento manifestamente inesatto dei fatti.
Indipendentemente da ciò, va poi rilevato che se è vero che circa la richiesta di sentire i testi contenuta nel gravame presentato in sede cantonale detto giudizio non contiene nessun rifiuto esplicito, altrettanto vero è che la posizione della Camera di diritto tributario è evidente ed è quella secondo cui la prova chiara ed inequivocabile - da portare in alternativa al rispetto delle condizioni previste dal promemoria dell'amministrazione federale delle contribuzioni (precedente consid. 3.2) - doveva necessariamente passare attraverso la dimostrazione del fatto che le persone indicate come azionisti durante la procedura (precedente consid. C), avessero anche dichiarato al fisco le loro partecipazioni, ciò che però non è avvenuto.

6.4.3. Nel considerando 3.5 del giudizio impugnato, con il quale l'insorgente di nuovo non si confronta e sul cui contenuto non occorre quindi soffermarsi nemmeno in questa sede, la Corte cantonale rileva infatti che le tre persone citate erano tutte tenute a presentare una dichiarazione d'imposta, ma che nessuna di esse lo ha fatto.
Constatato che le stesse erano le uniche ad essere state indicate quali azionisti in alternativa al ricorrente giunge quindi anche alla logica conclusione che la prova del rapporto fiduciario - che doveva essere chiara ed inequivocabile - non era stata fornita.

6.5. Sempre in questo contesto, si può in effetti ribadire che l'apprezzamento delle prove alla base dell'implicito rifiuto di sentire i testi proposti non risulta nemmeno arbitrario. Constatato che le persone - che erano state notificate dal ricorrente medesimo quali reali azionisti della C.________ SA - erano tutte tenute a presentare una dichiarazione d'imposta, ma che nessuna vi ha proceduto, del tutto sostenibile era difatti anche concludere che la prova chiara ed inequivocabile del rapporto fiduciario non era stata addotta.
D'altra parte, occorre aggiungere che il Tribunale federale ha anche già rilevato che la sola audizione di testimoni mal si presta a provare, con la sicurezza e la precisione necessarie, l'esistenza rispettivamente l'estensione di rapporti fiduciari come quello che è qui in discussione (sentenza 2A.195/1991 del 23 aprile 1993 consid. 8c).

7.
Per quanto precede, nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto. Le spese giudiziarie seguono la soccombenza (art. 66 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF); non vengono assegnate ripetibili (art. 68 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.

2.
Le spese giudiziarie di fr. 3'000.-- sono poste a carico del ricorrente.

3.
Comunicazione al patrocinatore del ricorrente, alla Divisione delle contribuzioni e alla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino.

Losanna, 25 gennaio 2022

In nome della II Corte di diritto pubblico
del Tribunale federale svizzero

La Presidente: F. Aubry Girardin

Il Cancelliere: Savoldelli