Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

9C 432/2015

Urteil vom 23. September 2015

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Glanzmann, Präsidentin,
Bundesrichter Meyer, Parrino,
Gerichtsschreiberin Fleischanderl.

Verfahrensbeteiligte
IV-Stelle des Kantons St. Gallen,
Brauerstrasse 54, 9016 St. Gallen,
Beschwerdeführerin,

gegen

A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Regula Schmid,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente; Arbeitsunfähigkeit),

Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 1. Juni 2015.

Sachverhalt:

A.

A.a. Die 1964 geborene A.________ meldete sich im Oktober 2009 unter Hinweis auf die Folgen eines im Januar 2008 erlittenen Unfalls bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons St. Gallen klärte die Verhältnisse in medizinischer und beruflich-erwerblicher Hinsicht ab. Namentlich gestützt auf ein bei der Medizinischen Abklärungsstelle (MEDAS) veranlasstes interdisziplinäres Gutachten vom 11. Dezember 2012 sowie eine beim Regionalen Ärztlichen Dienst (RAD) eingeholte Stellungnahme vom 25. März 2013 kündigte die Verwaltung vorbescheidweise die Zusprechung einer ganzen Invalidenrente für den Zeitraum vom 1. April 2010 bis 30. September 2011 an; ein weitergehender Rentenanspruch wurde auf der Basis eines ermittelten Invaliditätsgrads von nurmehr 10 % verneint. Nachdem A.________ dagegen opponiert und u.a. Berichte der Klinik B.________ vom 3. und 18. Juni 2013, des Spitals C.________ vom 9. Oktober 2013 sowie der Klinik D.________ vom 9. und 13. November 2013 hatte auflegen lassen, zog die IV-Stelle weitere Berichte der Klinik D.________ vom 13. November 2013, des Spitals C.________ vom 20. November 2013 und des RAD vom 17./20. Dezember 2013 bei. Mit Verfügung vom 16. April 2014 hielt sie an
ihrem Vorbescheid fest.

A.b. Am 12. August 2013 teilte die IV-Behörde der Versicherten mit, dass ihr Gesuch um berufliche Eingliederungsmassnahmen abgelehnt werde. Im Mai/Juni 2014 wurde A.________ erneut zwecks beruflicher Massnahmen/Arbeitsvermittlung bei der IV-Stelle vorstellig. Diese ersuchte den RAD um Stellungnahme (vom 4. August 2014) und trat, nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens, mit Verfügung vom 25. September 2014 auf das Leistungsbegehren nicht ein.

B.
Das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen vereinigte die in der Folge angehobenen Beschwerdeverfahren. In teilweiser Gutheissung der gegen die Rentenverfügung vom 16. April 2014 geführten Beschwerde hob es den betreffenden Verwaltungsakt auf und sprach A.________ für die Zeit vom 1. April 2010 bis 28. Februar 2014 eine ganze und ab 1. März 2014 eine halbe Invalidenrente zu. Bezüglich des Anspruchs auf berufliche Massnahmen wies es die Sache zur weiteren Abklärung und neuen Verfügung im Sinne der Erwägungen an die IV-Stelle zurück (Dispositiv-Ziff. 2 des Entscheids vom 1. Juni 2015). Die gegen die Nichteintretensverfügung der IV-Stelle vom 25. September 2014 gerichtete Beschwerde hiess das Gericht ebenfalls teilweise gut und hob die angefochtene Verfügung auf (Dispositiv-Ziff. 3 des Entscheids vom 1. Juni 2015).

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt die IV-Stelle, Dispositiv-Ziff. 2 des angefochtenen Entscheids sei insoweit aufzuheben, als der Versicherten ab 1. Oktober 2011 eine ganze und ab 1. März 2014 eine halbe Invalidenrente zugesprochen worden sei. Ferner sei dem Rechtsmittel die aufschiebende Wirkung zu erteilen.

Während A.________ auf Abweisung der Beschwerde schliessen lässt, verzichtet das Bundesamt für Sozialversicherungen auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), und kann deren Sachverhaltsfeststellung von Amtes wegen nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; vgl. dazu BGE 132 II 257 E. 2.5 S. 262; 130 III 136 E. 1.4 S. 140). Immerhin prüft es, unter Berücksichtigung der allgemeinen Begründungspflicht der Beschwerde (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen, sofern die rechtlichen Mängel nicht geradezu offensichtlich sind. Es ist jedenfalls nicht gehalten, wie eine erstinstanzliche Behörde alle sich stellenden rechtlichen Fragen zu untersuchen, wenn diese vor Bundesgericht nicht mehr vorgetragen werden (BGE 133 II 249 E. 1.4.1 S. 254 mit Hinweisen).

2.

2.1. Unter kognitionsrechtlich eingeschränktem Blickwinkel zu prüfen ist, ob die Vorinstanz der Beschwerdegegnerin zu Recht über die am 16. April 2014 für den Zeitraum vom 1. April 2010 bis 30. September 2011 verfügte ganze Rente hinausgehende Leistungen zugesprochen hat.

2.2. Die für die Beurteilung relevanten rechtlichen Grundlagen wurden im angefochtenen Entscheid zutreffend dargelegt. Es betrifft dies insbesondere die Bestimmungen und Grundsätze zu den Begriffen der Erwerbsunfähigkeit (Art. 7 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
und 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
ATSG) und der Invalidität (Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG), zum Umfang des Rentenanspruchs (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG), zur Bedeutung ärztlicher Auskünfte bei der Invaliditätsschätzung (BGE 125 V 256 E. 4 S. 261 mit Hinweisen; vgl. auch BGE 132 V 93 E. 4 S. 99) sowie zur Beweiskraft medizinischer Unterlagen (BGE 125 V 351 E. 3a S. 352 mit Hinweis; ferner BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232). Darauf wird verwiesen.

3.
Die Beschwerdegegnerin erlitt anfangs Januar 2008 einen Unfall, bei welchem sie von einem schweren Holzelement am Rücken getroffen wurde. In der Folge fanden auf Grund der Verletzungen im Bereich der Hals- und Brustwirbelsäule (HWS/BWS) am 4. Februar 2008, 17. Juli 2009 sowie 18. Januar und 15. März 2011 operative Versorgungen statt. Im Rahmen von stationären Rehabilitationen hielt sie sich vom 11. Februar bis 14. März 2008 sowie vom 27. Juli bis 26. August 2009 in der Klinik D.________, vom 21. bis 30. März 2011 in der Klinik B.________ und vom 7. Oktober bis 9. November 2013 erneut in der Klinik D.________ auf. Schliesslich war sie vom 10. September bis 3. Oktober 2013 im Spital C.________ hospitalisiert.

4.

4.1. Unbestrittenermassen bestand für den Zeitraum vom Unfallereignis anfangs 2008 bis ca. drei Monate nach Durchführung der letzten Operation im März 2011, d.h. bis im Juni 2011, eine vollständige Arbeitsunfähigkeit für sämtliche Tätigkeiten. Die Beschwerdeführerin sprach der Versicherten unter Berücksichtigung des Umstands, dass die Anmeldung bei der Invalidenversicherung im Oktober 2009 erfolgt war und der Rentenanspruch daher frühestens sechs Monate später entstehen konnte (Art. 29 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 29 Naissance du droit et versement de la rente - 1 Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré.
1    Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré.
2    Le droit ne prend pas naissance tant que l'assuré peut faire valoir son droit à une indemnité journalière au sens de l'art. 22.
3    La rente est versée dès le début du mois au cours duquel le droit prend naissance.
4    Les rentes correspondant à un taux d'invalidité inférieur à 50 % ne sont versées qu'aux assurés qui ont leur domicile et leur résidence habituelle (art. 13 LPGA) en Suisse. Cette condition doit également être remplie par les proches pour lesquels une prestation est réclamée.
IVG), in Beachtung von Art. 88a Abs. 1
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre.
1    Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre.
2    Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie.
IVV für den Zeitraum vom 1. April 2010 bis 30. September 2011 eine ganze Rente zu (Verfügung vom 16. April 2014). Weitergehende Rentenleistungen lehnte sie auf Grund der Einschätzung der Gutachter der MEDAS vom 11. Dezember 2012 sowie des RAD vom 25. März und 17./20. Dezember 2013, wonach rückenadaptierte Beschäftigungen mit Heben und Tragen von Lasten bis zu fünf Kilogramm sowie unter Vermeiden von körperfernem Tragen und Heben von Lasten über einem Kilogramm ab Ende Juni 2011 vollzeitig zumutbar seien, mangels rentenbegründender Invalidität ab. Die gutachtlich aus orthopädischer Sicht festgestellte, medizinisch-theoretisch einer Therapie als zugänglich beschriebene deutliche Dekonditionierung wurde
bezüglich ihrer allfälligen Auswirkungen auf die Leistungsfähigkeit der Beschwerdegegnerin im Sinne eines IV-fremden Faktors ausgeblendet.

4.2. Das kantonale Gericht hielt dieser Schlussfolgerung in seinem Entscheid entgegen, die erwähnte deutliche Dekonditionierung und die darauf zurückzuführenden Funktionsbeeinträchtigungen bildeten nach der Aktenlage direkte Folge der zahlreichen Wirbelsäulenleiden bzw. der dadurch notwendig gewordenen operativen Eingriffe. Bereits die medizinischen Fachpersonen der Klinik D.________ hätten in ihrem Austrittsbericht vom 12. Dezember 2011 darauf hingewiesen, dass die deutliche Schwäche der Körpermuskulatur mit niedriger Belastbarkeit aus den Funktionsstörungen der HWS und BWS resultierten. Die Dekonditionierung stelle vorliegend insbesondere keinen Zustand ohne Krankheitswert dar, der seine Erklärung im Wesentlichen in einem - sich an einem von der fachmedizinischen Einschätzung abweichenden subjektiven Krankheitskonzept der Versicherten orientierenden - Schon- und Vermeidungsverhalten finde. Des Weitern bedürfe die Behebung der Dekonditionierung laut ärztlicher Aussage einer medizinischen Trainingstherapie (MTT) und liege nicht im alleinigen Einflussbereich der Beschwerdegegnerin. Diese Verhältnisse hätten der orthopädische MEDAS-Gutachter und der RAD übersehen, wenn sie der Dekonditionierung die invalidenversicherungsrechtliche
Bedeutsamkeit vollständig absprächen. In Anbetracht der ärztlichen Arbeitsfähigkeitsschätzungen, namentlich des Spitals C.________ vom 9. Oktober und 20. November 2013, der Klinik D.________ vom 13. November 2013sowie des RAD vom 17./20. Dezember 2013, sei mit dem Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit davon auszugehen, dass die Versicherte seit Austritt aus der Klinik D.________ vom 9. November 2013 in Berücksichtigung auch der durch die Dekonditionierung bedingten Beeinträchtigung des Leistungsvermögens in einer leidensangepassten Tätigkeit zu 50 % einsatzfähig sei. Für die Zeit bis zum Austritt vom 9. November 2013 sei sodann namentlich gemäss Bericht der Klinik B.________ vom 3. Juni 2013 als erstellt anzusehen, dass auf Grund des chronischen Schmerzsyndroms und der hohen Morphinabgaben keine Arbeitsfähigkeit bestanden habe.

5.
Zu prüfen ist in einem ersten Schritt die Arbeitsfähigkeit der Beschwerdegegnerin ab 9. November 2013.

5.1. In ihrer polydisziplinären Expertise vom 11. Dezember 2012 hatten die MEDAS-Gutachter eine deutliche körperliche Dekonditionierung konstatiert, welche einer "Therapie orthopädisch, medizin-theoretisch zugänglich" sei. Aus psychiatrischer Sicht wurde der Versicherten ferner das Erlernen eines Entspannungsverfahrens empfohlen, das sich prognostisch auf die Schmerzwahrnehmung und somit auf das Beschwerdebild und die Arbeitsfähigkeit auswirke. Der RAD führte in seiner Stellungnahme vom 25. März 2013 aus, die somatischen Gutachter hätten infolge der deutlichen körperlichen Dekonditionierung zur Durchführung einer MTT geraten. Am 17./20. Dezember 2013 hielt der RAD ferner fest, die Versicherte habe zwischenzeitlich von den Rehabilitationsmassnahmen (Rekonditionierung) merklich profitieren können und es werde ihr empfohlen, diese Vorkehren ambulant weiterzuführen. Im Zeitpunkt des Austritts aus der Klinik D.________ vom 9. November 2013 sei die Arbeitsfähigkeit bei noch anhaltendem Rehabilitationspotenzial leidensadaptiert auf 50 % geschätzt worden. Mit überwiegender Wahrscheinlichkeit sei bei konsequenter Weiterverfolgung der ambulanten Therapiemassnahmen diese Arbeitsfähigkeit auf 100 % steigerbar. Die Gutachter hätten bei der
Beurteilung des verbliebenen Leistungsvermögens die IV-fremden Faktoren (Dekonditionierung) ausblenden müssen, was mit einer gutachtlich leidensangepasst auf 100 % veranschlagten Arbeitsfähigkeit denn auch geschehen sei.

5.2. Die tatsächliche Umsetzbarkeit des nach medizinisch-theoretischer Einschätzung an sich bestehenden funktionellen Leistungsvermögens bedingt nach zitierter ärztlicher Feststellung unstreitig bestimmte Therapiemassnahmen. In einem derartigen Fall ist danach zu fragen, ob die notwendigen Schritte der versicherten Person allein überantwortet werden können. Bejahendenfalls ist die von der Beschwerdeführerin vertretene Sichtweise ohne weiteres statthaft. Wenn die versicherte Person das prinzipiell vorhandene erwerbliche Potential jedoch aus Gründen, die mit dem Gesundheitsschaden zusammenhängen, auch bei zumutbarer Willensanstrengung nicht in eigener Verantwortung realisieren kann, muss geprüft werden, ob es zur Aktivierung der grundsätzlich gegebenen Arbeitsfähigkeit noch der Durchführung von - der Invalidenversicherung obliegenden - Eingliederungsmassnahmen bedarf. Dabei sollen, etwa im Rahmen eines Arbeitstrainings, den Folgen des Gesundheitsschadens zugehörige, nicht aus eigenem Antrieb überwindbare Defizite in erwerbsrelevanten Fertigkeiten ausgeglichen oder etwa das krankheitsbedingt verlorene Vertrauen in die physische Belastbarkeit (im Umfang der objektiven Leistungsfähigkeit) wieder aufgebaut werden (vgl. Urteile [des
Eidg. Versicherungsgerichts] I 601/05 vom 11. August 2006 E. 2.3.2 und I 2/06 vom 23. Mai 2006 E. 2.2).

5.2.1. Laut ärztlicher Empfehlung ist die Beschwerdegegnerin in erster Linie gehalten, ihre körperliche Leistungsfähigkeit zu steigern (Rekonditionierung). Während ihrer Hospitalisationen im Spital C.________ (vom 10. September bis 3. Oktober 2013) und in der Klinik D.________ (vom 7. Oktober bis 9. November 2013) absolvierte sie zum Aufbau der Muskel- und Nackenmuskulatur sowie zur Verstärkung der HWS-Beweglichkeit demgemäss eine multimodale Schmerztherapie und physiotherapeutische Behandlungen (vgl. Austrittsbericht des Spitals C.________ vom 9. Oktober 2013). Dadurch konnte eine wesentliche Verbesserung der Kraft der Extremitätenmuskulatur und der allgemeinen Belastbarkeit bewirkt werden. Zur weiteren Kräftigung und Stabilisierung wurden der Versicherten nach dem Austritt aus der Klinik D.________ insbesondere ein regelmässiges Heimprogramm, zweimal wöchentlich ambulant durchzuführende Physiotherapiesitzungen und die Weiterführung einer physiotherapeutisch geleiteten MTT nahe gelegt (Berichte der Klinik D.________ vom 9. und 13. November 2013; Stellungnahme des RAD vom 17./20. Dezember 2013).

5.2.2. Die Beschwerdegegnerin bedarf nach dem Gesagten primär einer medizinischen Therapie, deren erfolgreiche Durchführung wiederum Voraussetzung für allfällige berufliche Massnahmen bildet. So hielten die Ärzte der Klinik D.________ in ihrem Bericht vom 13. November 2013 denn auch ausdrücklich fest, es werde im Rahmen des Rehabilitationsaufenthalts ein rascher Kraft- und Konditionsaufbau bezweckt mit anschliessender IV-Wiedereingliederung. Ferner war im Austrittsbericht des Spitals C.________ vom 9. Oktober 2013 ebenfalls vermerkt worden, der vordergründige Wunsch der Versicherten bestehe darin, eine IV-Wiedereingliederung (im Sinne einer Umschulung zur Ernährungsberaterin) machen zu können. Die indizierten Therapien sind hier, anders als etwa im zuvor genannten Urteil I 2/06 vom 23. Mai 2006, nicht spezifisch und unmittelbar auf die Eingliederung in das Erwerbsleben gerichtet, sondern entsprechen einer Behandlung des Leidens an sich, vor allem der allgemeinen Kräftigung und Stärkung der Muskulatur. Massnahmen dieser Art gehen gemäss Art. 12
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 12 Droit à des mesures médicales dans un but de réadaptation - 1 L'assuré a droit, jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de 20 ans, aux mesures médicales de réadaptation qui n'ont pas pour objet le traitement de l'affection comme telle, mais sont directement nécessaires à sa réadaptation pour lui permettre de fréquenter l'école obligatoire, de suivre une formation professionnelle initiale, d'exercer une activité lucrative ou d'accomplir ses travaux habituels.
1    L'assuré a droit, jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de 20 ans, aux mesures médicales de réadaptation qui n'ont pas pour objet le traitement de l'affection comme telle, mais sont directement nécessaires à sa réadaptation pour lui permettre de fréquenter l'école obligatoire, de suivre une formation professionnelle initiale, d'exercer une activité lucrative ou d'accomplir ses travaux habituels.
2    L'assuré qui accomplit une mesure d'ordre professionnel au sens des art. 15 à 18c au moment d'atteindre l'âge de 20 ans a droit à des mesures médicales de réadaptation visant directement la réadaptation à la vie professionnelle jusqu'à la fin de la mesure d'ordre professionnel, mais au plus tard jusqu'à ce qu'il atteigne l'âge de 25 ans.
3    Les mesures médicales de réadaptation doivent être de nature à améliorer de façon durable et importante la capacité de l'assuré à fréquenter l'école, à suivre une formation, à exercer une activité lucrative ou à accomplir ses travaux habituels, ou être de nature à prévenir une diminution notable de cette capacité. Le droit à ces mesures n'existe que si le médecin traitant spécialisé a posé un pronostic favorable tenant compte de la gravité de l'infirmité.
IVG indessen nicht zu Lasten der Invalidenversicherung, obgleich die Behandlung des Leidens an sich gewöhnlich auch einen günstigen Effekt auf die Arbeits- und Erwerbsfähigkeit ausübt.
Entsprechen die aus medizinischer Sicht notwendigen "Überbrückungsmassnahmen" somit nicht Eingliederungsmassnahmen im Sinne der Art. 8 ff
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 8 Principe - 1 Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
1    Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
a  que ces mesures soient nécessaires et de nature à rétablir, maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels;
b  que les conditions d'octroi des différentes mesures soient remplies.78
1bis    Le droit aux mesures de réadaptation n'est pas lié à l'exercice d'une activité lucrative préalable. La détermination des mesures tient notamment compte:
a  de l'âge de l'assuré;
b  de son niveau de développement;
c  de ses aptitudes, et
d  de la durée probable de la vie active.79
1ter    En cas d'interruption d'une mesure de réadaptation, l'octroi de la même mesure ou d'une autre mesure de réadaptation est examiné à nouveau conformément aux al. 1 et 1bis.80
2    Les assurés ont droit aux prestations prévues aux art. 13 et 21, quelles que soient les possibilités de réadaptation à la vie professionnelle ou à l'accomplissement de leurs travaux habituels.81
2bis    Les assurés ont droit aux prestations prévues à l'art. 16, al. 3, let. b, que les mesures de réadaptation soient nécessaires ou non pour maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels.82
3    Les mesures de réadaptation comprennent:
a  des mesures médicales;
abis  l'octroi de conseils et d'un suivi;
ater  des mesures de réinsertion préparant à la réadaptation professionnelle;
b  des mesures d'ordre professionnel;
c  ...
d  l'octroi de moyens auxiliaires;
e  ...
4    ...88
. IVG, sondern einer - in den Zuständigkeitsbereich der Krankenversicherung fallenden - Heilbehandlung, so durfte die Verwaltung im Zusammenhang mit dem anrechenbaren Invalideneinkommen von der Fiktion einer zumutbaren Verwertung der - vorerst noch - rein medizinisch-theoretischen Arbeitsfähigkeit ausgehen (vgl. Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG in Verbindung mit Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG; in diesem Sinne auch Urteil I 601/05 vom 11. August 2006 E. 2.3.3).

Indem das kantonale Gericht für die Zeit ab 9. November 2013 von einem im invalidenversicherungsrechtlichen Kontext lediglich zu 50 % verwertbaren Leistungsvermögen der Beschwerdegegnerin ausgegangen ist, hat es demnach Bundesrecht im Sinne von Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG verletzt.

6.

6.1. Für den vorangehenden Zeitraum (von Ende Juni 2011) bis 9. November 2013 hat die Vorinstanz eine Arbeitsfähigkeit im Wesentlichen mit dem Argument des chronischen Schmerzsyndroms und der an die Beschwerdegegnerin deshalb abgegebenen hohen Mengen an Morphin verneint (vgl. E. 4.2 am Ende hievor).

6.2. Aus dem MEDAS-Gutachten vom 11. Dezember 2012 geht hervor, dass die Versicherte neben anderen Medikamenten täglich eine Tablette des opioidhaltigen Schmerzmittels Targin einnimmt. Dennoch vermochten die Ärzte anlässlich ihrer Untersuchungen keine kognitiven Einschränkungen bei der Beschwerdegegnerin festzustellen. So fanden sich im Rahmen der psychiatrischen Abklärungen keine Hinweise für Störungen der Aufmerksamkeit oder der Konzentration. Auch konnten formale oder inhaltliche Denkstörungen ausgeschlossen werden. Auf Grund der unauffälligen psychiatrischen Befundlage wurde eine psychisch bedingte Beeinträchtigung der Arbeitsfähigkeit in der Folge verneint. Die in körperlicher Hinsicht vorgenommenen Teilbegutachtungen ergaben sodann ebenfalls keine Anhaltspunkte, dass die Einnahme des genannten Medikaments die Versicherte in ihren Funktionen zusätzlich eingeschränkt hätte. Entgegen der vorinstanzlichen Betrachtungsweise wurde der Umstand der "hohen Morphingaben" im Rahmen der MEDAS-Begutachtung somit durchaus gewürdigt, ihm indessen mit Blick auf die Leistungsfähigkeit der Explorandin keine vermindernde Wirkung beigemessen. Einzig im Sprechstundenbericht der Klinik B.________ vom 3. Juni 2013, auf welchen im angefochtenen
Entscheid Bezug genommen wird, war erwähnt worden, dass die Beschwerdegegnerin seit Jahren unter einem mittels Morphinen behandelten chronischen Schmerzsyndrom leide und die Erwerbsfähigkeit deshalb nicht mehr gegeben sei. Diese Einschätzung hatte jedoch ausdrücklich unter dem Vorbehalt einer ergänzenden neurologischen Untersuchung gestanden, die am 18. Juni 2013 in der Klinik B.________ durchgeführt wurde. Im gleichentags verfassten Bericht schlossen die Ärzte eine neurologisch generierte Symptomatik explizit aus und hielten fest, aus fachneurologischer Optik könne bezüglich der Einschätzung der Arbeitsfähigkeit nichts beigetragen werden, was über die orthopädische oder rheumatologische Beurteilung hinausgehe. Während der Hospitalisation im Spital C.________ vom 10. September bis 3. Oktober 2013 gelang es schliesslich, die Opiate schrittweise zu reduzieren und zuletzt gänzlich abzusetzen (vgl. Bericht vom 9. Oktober 2013). Allein auf der Basis der entsprechenden ärztlichen Angaben lassen sich mithin keine überzeugenden Rückschlüsse auf eine als Folge des chronischen Schmerzsyndroms und des damit in Zusammenhang stehenden hohen Gebrauchs an Schmerzmitteln aufgetretene vollständige Arbeitsunfähigkeit ziehen.

Vor diesem Hintergrund ist mit der Beschwerdeführerin davon auszugehen, dass sich die Expertise der MEDAS auch in diesem Kontext als schlüssige und sämtlichen Anforderungen an beweiskräftige medizinische Berichte genügende Entscheidgrundlage erweist. Gestützt auf deren Schlussfolgerungen und die diese bestätigenden Stellungnahmen des RAD vom 25. März und 17./20. Dezember 2013 sowie 4. August 2014 kann der Beschwerdegegnerin für die Zeit ab Ende Juni 2011 eine im Rahmen leidensangepasster Tätigkeiten uneingeschränkte Arbeitsfähigkeit bescheinigt werden. Soweit das kantonale Gericht zu einem anderen Ergebnis gelangt ist, kann darauf infolge offensichtlich unrichtiger Feststellung des rechtserheblichen medizinischen Sachverhalts nicht abgestellt werden.

7.
Hinsichtlich der Eckdaten des Einkommensvergleichs wird auf die entsprechenden - letztinstanzlich unbestritten gebliebenen - Abschnitte der kantonalgerichtlichen Begründung verwiesen. In Anbetracht eines ab Ende Juni 2011 ausgewiesenen Invaliditätsgrads von höchstens 10 % steht der Beschwerdegegnerin daher in Nachachtung von Art. 88a Abs. 1
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre.
1    Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre.
2    Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie.
IVV ab 1. Oktober 2011 keine Invalidenrente mehr zu. Es bleibt bei der mit Verfügung der Beschwerdeführerin vom 16. April 2014 zugesprochenen ganzen Rente für den Zeitraum vom 1. April 2010 bis 30. September 2011.

8.
Bezüglich der beruflichen Massnahmen ist der vorinstanzliche Entscheid nicht angefochten, weil die Beschwerdeführerin dessen Dispositiv-Ziff. 2 nur im Rentenpunkt an das Bundesgericht weitergezogen hat. Im Hinblick auf die auf entsprechende Neuanmeldung der Beschwerdegegnerin im Mai/Juni 2014 hin ergangene Nichteintretensverfügung der Beschwerdeführerin vom 25. September 2014 bleibt es, da ebenfalls unangefochten geblieben, bei der vorinstanzlich entschiedenen Aufhebung (Dispositiv-Ziff. 3 des Entscheids; Art. 107 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
BGG ).

9.
Mit dem Urteil in der Hauptsache wird das Gesuch der Beschwerdeführerin um Gewährung der aufschiebenden Wirkung gegenstandslos (Urteil 9C 454/2013 vom 29. Oktober 2013 E. 5.2, in: AJP 2014 S. 253).

10.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend sind die Gerichtskosten der Beschwerdegegnerin aufzuerlegen (Art. 65 Abs. 4 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
in Verbindung mit Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen. Dispositiv-Ziff. 2, 4 und 6 des Entscheids des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 1. Juni 2015 werden mit der Feststellung aufgehoben, dass der Beschwerdegegnerin für die Zeit vom 1. April 2010 bis 30. September 2011 eine ganze Invalidenrente zusteht. Die Verfügung der Beschwerdeführerin vom 16. April 2014 wird bestätigt.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.

3.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Kosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen zurückgewiesen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 23. September 2015

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Glanzmann

Die Gerichtsschreiberin: Fleischanderl