Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 160/2017

Urteil vom 22. Juni 2017

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Wirthlin, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Durizzo.

Verfahrensbeteiligte
IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdeführerin,

gegen

A.________,
vertreten durch Procap für Menschen mit Handicap,
Beschwerdegegner.

Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente, Revision),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 22. Dezember 2016.

Sachverhalt:

A.
A.________, geboren 1975, meldete sich am 22. Juli 2005 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Gemäss Bericht des Dr. med. B.________, Spezialarzt FMH für Kinder und Jugendliche, der ihn seit 1982 kannte, zeigten sich seit Geburt autistische Züge mit einem geistigen Entwicklungsrückstand und einer Sprachstörung. Die IV-Stelle des Kantons Zürich holte ein Gutachten des Dr. med. C.________, Facharzt FMH Psychiatrie und Psychotherapie, mit neuropsychologischer Untersuchung durch Frau lic. phil. D.________, Psychologin FSP, vom 28. Mai 2006 ein. Es wurden die Diagnosen eines frühkindlichen Autismus (ICD-10 F84.0) sowie einer rezidivierenden depressiven Störung, gegenwärtig leichte Episode (ICD-10 F33.0), gestellt. A.________ sei nur an einem geschützten Arbeitsplatz arbeitsfähig. Mit Verfügung vom 30. August 2006 sprach ihm die IV-Stelle ab dem 1. Februar 2006 eine ganze Invalidenrente zu. Am 25. Februar 2009 bestätigte sie den Anspruch. Berufliche Massnahmen waren gemäss Verfügung der nach einem Wohnsitzwechsel nunmehr zuständigen IV-Stelle des Kantons Thurgau vom 28. September 2010 gesundheitlich bedingt nicht möglich und wurden deshalb abgelehnt.
Im Zuge einer von Amtes wegen eingeleiteten Rentenrevision holte die IV-Stelle des Kantons Zürich, wo A.________ zwischenzeitlich wieder wohnte, ein Gutachten des Prof. Dr. med. E.________, Neurologie FMH sowie Psychiatrie und Psychotherapie FMH, vom 31. Juli 2015 mit neuropsychologischer Abklärung durch Frau F.________, Fachpsychologin für Neuropsychologie FSP, vom 29. Juli 2015 ein. Es wurden keine psychiatrischen Diagnosen mit Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit gestellt. Am 4. März 2016 verfügte die IV-Stelle die Einstellung der Invalidenrente.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 22. Dezember 2016 gut. Es hob die Verfügung vom 4. März 2016 auf und stellte fest, dass der Beschwerdeführer über den 30. April 2016 hinaus Anspruch auf eine ganze Invalidenrente hat.

C.
Die IV-Stelle führt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei die Verfügung vom 4. März 2016 zu bestätigen. Des Weiteren ersucht sie um Gewährung der aufschiebenden Wirkung ihrer Beschwerde.
A.________ lässt auf Abweisung der Beschwerde und Bestätigung des angefochtenen Entscheides schliessen.

D.
Mit Verfügung vom 17. Mai 2017 hat der Instruktionsrichter dem Antrag der IV-Stelle betreffend aufschiebende Wirkung stattgegeben, nachdem der Versicherte sich damit einverstanden erklärt hat.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss den Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG erhoben werden. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG), und kann deren Sachverhaltsfeststellung nur berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist folglich weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann sie mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen. Immerhin prüft das Bundesgericht, unter Berücksichtigung der allgemeinen Pflicht zur Begründung der Beschwerde (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
und 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG), grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen, sofern die rechtlichen Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (BGE 141 V 234 E. 1 S. 236 mit Hinweisen).

2.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz die Voraussetzungen für eine Rentenrevision zu Recht mangels erheblicher Veränderung des Gesundheitszustandes als nicht erfüllt erachtet hat.

2.1. Das kantonale Gericht hat die für die Beurteilung massgeblichen Bestimmungen und Grundsätze zutreffend dargelegt. Es wird darauf verwiesen.

2.2. Hervorzuheben ist, dass eine abweichende medizinische oder rechtliche Einschätzung von im Wesentlichen unveränderten tatsächlichen Verhältnissen keine materielle Revision im Sinne von Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG begründet (BGE 141 V 9 E. 2.3 S. 11; 115 V 308 E. 4a/bb S. 313; SVR 2004 IV Nr. 5 S. 13, I 574/02 E. 2). Bloss auf einer anderen Wertung beruhende, revisionsrechtlich unerhebliche Differenzen sind von revisionsbegründenden tatsächlichen Veränderungen abzugrenzen. Eine ärztliche Schlussfolgerung, die von der früheren abweicht, obwohl sich der beurteilte Gesundheitszustand effektiv nicht verändert hat, ist meist auf eine unterschiedliche Ausübung des medizinischen Ermessens zurückzuführen (vgl. BGE 137 V 210 E. 3.4.2.3 S. 253).
Die Feststellung einer revisionsbegründenden Veränderung erfolgt durch eine Gegenüberstellung eines vergangenen und des aktuellen Zustandes. Gegenstand des Beweises ist somit das Vorhandensein einer entscheidungserheblichen Differenz in den - hier den medizinischen Gutachten zu entnehmenden - Tatsachen. Der Beweiswert eines zwecks Rentenrevision erstellten Gutachtens hängt folglich wesentlich davon ab, ob es sich ausreichend auf das Beweisthema - erhebliche Änderung (en) des Sachverhalts - bezieht. Einer für sich allein betrachtet vollständigen, nachvollziehbaren und schlüssigen medizinischen Beurteilung, die im Hinblick auf eine erstmalige Beurteilung der Rentenberechtigung beweisend wäre (vgl. dazu BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352), mangelt es daher in der Regel am rechtlich erforderlichen Beweiswert, wenn sich die (von einer früheren abweichende) ärztliche Einschätzung nicht hinreichend darüber ausspricht, inwiefern eine effektive Veränderung des Gesundheitszustandes stattgefunden hat. Vorbehalten bleiben Sachlagen, in denen es evident ist, dass die gesundheitlichen Verhältnisse sich verändert haben (SVR 2012 IV Nr. 18 S. 81, 9C 418/2010 E. 4.2).

3.
Die Vorinstanz hat die medizinischen Berichte, insbesondere die Gutachten des Dr. med. C.________ und des Prof. Dr. med. E.________, auf die sich die Rentenzusprechung beziehungweise die Rentenaufhebung stützten, eingehend dargelegt und sorgfältig gewürdigt.

Nach Dr. med. C.________ sei der Versicherte bei der Rentenzusprechung wegen eines frühkindlichen Autismus (ICD-10 F84.0) lediglich in einem geschützten Bereich arbeitsfähig. Der Gutachter schilderte, dass die Mutter zum Versicherten als Kleinkind keinen Zugang gefunden habe. Auf äussere Reize habe er nicht reagiert. Bis ins Alter von drei Jahren habe er seinen kleinen Bruder nicht beachtet und kaum mit anderen Kindern gespielt. Er habe bis zum Alter von sieben Jahren kein Wort gesprochen. Dr. med. C.________ schloss auf die erwähnte Diagnose eines Autismus aufgrund der extremen Kontaktstörung schon in den ersten Lebensmonaten, einer starken Objektbezogenheit, der Verzögerung der Sprachentwicklung, repetitiver und stereotyper Verhaltensmuster mit Tics, Schwierigkeiten im sozialen Interaktionsverhalten und neuropsychologischer Beeinträchtigung. Des Weiteren leide er unter depressiven Beschwerden, sei deswegen im Jahr 1999 in psychiatrischer Behandlung gewesen. Grundsätzlich seien handwerkliche Tätigkeiten zumutbar, jedoch nur im geschützten Bereich.
Prof. Dr. med. E.________ habe die Diagnose einer seit Kindheit bestehenden Autismus-Spektrum-Störung (ICD-10 F84.0) nicht bestätigen können. Dies schloss er insbesondere aus den Lebensumständen des Versicherten. Er pflege Freundschaften, gehe zum Karaoke-Singen, befinde sich seit vier Jahren in einer stabilen Beziehung und sei als Taxifahrer beschäftigt. Die nach ICD-10 erforderlichen Kriterien seien nicht erfüllt.
Dass nach der ursprünglichen Verfügung eine rentenerhebliche Verbesserung des Gesundheitszustandes eingetreten wäre, war damit jedoch nach den vorinstanzlichen Feststellungen nicht ausgewiesen. Die IV-Stelle hätte die Rente deshalb nicht aufheben dürfen.

4.
Die IV-Stelle macht geltend, dass bei der Rentenzusprechung auch eine Depression vorgelegen habe, die nunmehr remittiert sei.

4.1. Für das kantonale Gericht stand fest, dass die von Dr. med. C.________ zusätzlich diagnostizierte rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig leichte Episode (ICD-10 F33.0), nicht ausschlaggebend gewesen sei für die Rentenzusprechung. Die Remission der depressiven Erkrankung lasse daher nicht auf eine Verbesserung des Invaliditätsgrades schliessen und eine Rentenrevision aus diesem Grund sei nicht gerechtfertigt.

Die beschwerdeführende IV-Stelle legt dazu kurz ihre eigene Sichtweise dar. Dem kantonalen Gericht könne zwar insofern zugestimmt werden, als der depressiven Symptomatik damals eine untergeordnete Rolle zugekommen sei. Nach Dr. med. C.________ habe jedoch auch diese Diagnose die Arbeitsfähigkeit beeinflusst. Eine Remission sei deshalb geeignet, sich auf den Invaliditätsgrad auszuwirken. Damit sei ein Revisionsgrund gegeben. Damit wird jedoch nicht näher aufgezeigt, inwiefern die vorinstanzlichen Feststellungen geradezu offensichtlich unrichtig oder sonstwie bundesrechtswidrig wären. Es genügt insbesondere die nicht weiter belegte Behauptung nicht, dass Dr. med. C.________ damals von einer Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit ausgegangen sei.
Bei der Folgenabschätzung der erhobenen gesundheitlichen Beeinträchtigungen für die Arbeitsfähigkeit kommt der Arztperson keine abschliessende Beurteilungskompetenz zu. Es fällt dem Bundesgericht zu, den unbestimmten Rechtsbegriff der Arbeitsunfähigkeit (Art. 6
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité.
ATSG) zu konkretisieren. Seine praktische Handhabung obliegt im Einzelfall der rechtsanwendenden Stelle. Beweismittel sind umfassend zu würdigen und auf ihre Schlüssigkeit und Beweiskraft hin zu prüfen (Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
ATSG sowie Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
und Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV; BGE 140 V 193 E. 3.1 und 3.2 S. 194 ff.). Nach ständiger Rechtsprechung gelten psychische Störungen grundsätzlich nur dann als invalidisierend, wenn sie schwer und therapeutisch nicht (mehr) angehbar sind (BGE 141 V 281 E. 4.3.1.2 S. 299; 139 V 547 E. 9.4 S. 568).
Vor diesem Hintergrund ist der Vorinstanz darin beizupflichten, dass die Rentenzusprechung allein wegen des allgemeinen Entwicklungsrückstands, der Sprachstörung sowie autistischen Zügen erfolgte. Bei der gegebenen leichten depressiven Episode fehlte es bereits an der Schwere des psychischen Leidens. Sie vermochte keine Arbeitsunfähigkeit zu begründen. Diesbezüglich massgeblich war nicht die Einschätzung durch den Arzt. Die Remission der leichten depressiven Erkrankung genügt daher nicht als Rentenrevisionsgrund.

5.
Die IV-Stelle bringt weiter vor, dass nach den eigenen Angaben des Versicherten anlässlich der Begutachtung durch Prof. Dr. med. E.________ eine Verbesserung der subjektiven Befindlichkeit eingetreten sei. Daraus folgt jedoch nichts Zwingendes. Es kann aus seinen Schilderungen, er sei im Moment zufrieden und glücklich, nicht abgeleitet werden, dass allein deswegen eine Verbesserung der Arbeitsfähigkeit aufgrund einer Angewöhnung oder Anpassung an die Behinderung eingetreten sei. Diese Sichtweise findet selbst im Gutachten des Prof. Dr. med. E.________ keine Stütze (vgl. auch unten E. 5.3).

5.1. Prof. Dr. med. E.________ begründete die von ihm attestierte volle Arbeitsfähigkeit denn auch vielmehr damit, dass seiner Auffassung nach die damals diagnostizierte Autismus-Spektrum-Störung nicht zu bestätigen sei. Aus seiner Sicht bestanden keine Gesundheitsstörungen, die Fähigkeitsstörungen mit handicapierender Wirkung im beruflichen Kontext hervorrufen würden. Einfache Tätigkeiten ohne hohe Anforderungen an die Handlungsplanung und den Intellekt könne der Beschwerdeführer leisten.
Das kantonale Gericht erachtete dies als revisionsrechtlich unbeachtliche andere Würdigung eines unveränderten Sachverhalts und nicht als Veränderung der tatsächlichen Verhältnisse. Damit fehle es an dieser Revisionsvoraussetzung.

5.2. Nach Prof. Dr. med. E.________ liessen sich aufgrund der Lebensumstände (oben E. 3) die für die Diagnose eines Autismus erforderlichen Verhaltensauffälligkeiten nicht begründen. Inwiefern sich der Sachverhalt verändert beziehungsweise der Gesundheitszustand verbessert hätte, wird im Gutachten jedoch nicht aufgezeigt.
Dr. med. C.________ hatte am 28. Mai 2006 nebst den schon in der Kindheit gezeigten Auffälligkeiten geschildert, dass der Versicherte bei seiner ersten Tätigkeit bei einer Innendekorationsfirma als nicht fähig erachtet worden sei, eine Lehre zu absolvieren. Es habe sich dabei um einen geschützten Arbeitsplatz gehandelt. Weitere Arbeitsstellen habe der Versicherte wegen ungenügender Leistungen oder sozial auffälligen Verhaltens verloren. Teilweise habe er selber gekündigt, weil er sich häufig und ungerechtfertigt kritisiert gefühlt habe. Die Abklärungen der IV-Stelle bestätigten damals, dass es sich bei der früheren Arbeitsstelle bei der Innendekorationsfirma um einen geschützten Arbeitsplatz gehandelt habe. Der Familienbetrieb beschäftigte drei bis vier Mitarbeiter. Nach den Angaben des Inhabers benötigte der Versicherte ständige Betreuung. Er habe ihn einfache Tätigkeiten ausführen lassen und selber immer mit ihm gearbeitet und eine Endkontrolle durchgeführt. Der Versicherte habe sehr lange gebraucht, bis er etwas beherrscht habe, sei dann aber bezüglich Genauigkeit kaum mehr zu überbieten gewesen. Autos seien seine Leidenschaft gewesen. Er fahre akribisch genau.

Inwiefern sich hinsichtlich der beruflichen Fähigkeiten etwas geändert hätte oder weshalb sich der Versicherte nunmehr auch ausserhalb eines geschützten Arbeitsplatzes behaupten könnte, lässt sich dem Gutachten des Prof. Dr. med. E.________ nicht schlüssig entnehmen. Es geht daraus hervor, dass der Versicherte nachts Taxi fahre. Die Taxiprüfung hatte er jedoch bereits im Jahr 2005 absolviert, was Dr. med. C.________ in seinem Gutachten erwähnte. Es findet sich in den Akten ein Arbeitsvertrag mit der G.________, wonach der Versicherte seit dem 1. Mai 2011 als Taxifahrer mit einem Pensum von vier Stunden pro Woche beschäftigt sei. Nach den Angaben des Arbeitgebers vom 16. April 2014 habe er im Jahr 2013 insgesamt 3'400 Franken verdient.
Daraus mag geschlossen werden, dass sich insgesamt eine gewisse Stabilisierung ergeben hat, seit der Versicherte regelmässig als Taxifahrer beschäftigt ist. Es ist jedoch davon auszugehen, dass es sich auch dabei um einen geschützten Arbeitsplatz handelt. Der Versicherte erzielt nur ein geringes Einkommen; es liegt noch unter dem Invalideneinkommen, das ihm die IV-Stelle bei der ursprünglichen Rentenverfügung angerechnet hat.

5.3. Es ist daher nicht ersichtlich, inwiefern die Würdigung der medizinischen Akten durch das kantonale Gericht offensichtlich unrichtig wäre. Der vorinstanzlichen Beurteilung ist deshalb beizupflichten. Von einer rentenerheblichen Verbesserung des Gesundheitszustandes und insbesondere einer Steigerung der Arbeitsfähigkeit kann nicht ausgegangen werden. Dass Prof. Dr. med. E.________ die von seinem Vorgutachter gestellte Diagnose nicht bestätigen konnte, genügt angesichts der dargelegten Umstände nicht als Revisionsgrund.

6.
Die IV-Stelle bringt vor, nach dem aktuellen neuropsychologischen Zusatzgutachten sei eine valide Erfassung kognitiver Defizite nicht möglich gewesen und es bestehe deshalb ein Ausschlussgrund. Sie scheint sich damit darauf zu berufen, dass die Annahme eines die Arbeitsfähigkeit beeinträchtigenden psychischen Leidens ausgeschlossen sei.
Sogenannte Ausschlussgründe sind praxisgemäss bei Anwendung der Rechtsprechung zu den psychosomatischen Leiden zu prüfen. Beruht die Leistungseinschränkung auf Aggravation oder einer ähnlichen Konstellation, liegt regelmässig keine versicherte Gesundheitsschädigung vor. Eine solche Ausgangslage ist etwa gegeben, wenn: eine erhebliche Diskrepanz zwischen den geschilderten Schmerzen und dem gezeigten Verhalten oder der Anamnese besteht; intensive Schmerzen angegeben werden, deren Charakterisierung jedoch vage bleibt; keine medizinische Behandlung und Therapie in Anspruch genommen wird; demonstrativ vorgetragene Klagen auf den Sachverständigen unglaubwürdig wirken; schwere Einschränkungen im Alltag behauptet werden, das psychosoziale Umfeld jedoch weitgehend intakt ist (BGE 141 V 281 E. 2.2 S. 287; 131 V 49 E. 1.2 S. 51).
Inwiefern die Anwendung der betreffenden Rechtsprechung hier überhaupt gerechtfertigt wäre, kann offen bleiben (vgl. auch BGE 140 V 8 E. 2.2.1.3 S. 13 f.). Denn der Gutachter hat die Autismus-Diagnose beziehungsweise eine dadurch bedingte Arbeitsunfähigkeit nicht deshalb ausgeschlossen, weil die kognitiven Fähigkeiten oder Defizite bei der neuropsychologischen Zusatzuntersuchung nicht valid zu erfassen waren. Deren Ergebnisse waren für die Begründung seiner vom Vorgutachter abweichenden Diagnosestellung nicht entscheidend. Er erwähnte sie erst nach der Diskussion der Autismus-Diagnose. Nach Einschätzung der Neuropsychologin sei das Testprofil zwar ungültig. Dennoch gehe sie von Einschränkungen der kognitiven Leistungsfähigkeit, der intellektuellen Begabung und der schulischen Fähigkeiten aus wegen der Bildungsbiografie mit Sonderschule sowie Anlehre ohne Berufsschule und mit reduzierten Anforderungen. In der Beurteilung des Prof. Dr. med. E.________ waren die insoweit auch neuropsychologisch bestätigten Defizite - bei grenzwertigem Intelligenzquotient - als Persönlichkeitsakzentuierung mit ängstlich-dependenten und unreifen Anteilen zu interpretieren (ICD-10 Z73.1). Aufgrund der Krankengeschichte könne in der Kindheit und
Jugendzeit auch eine Aktivitäts- und Aufmerksamkeitsstörung (ADHS) vorgelegen haben. Des Weiteren lasse die Bildungsbiografie vermuten, dass der Versicherte nur zu einfachen, repetitiven Arbeiten ohne höhere Anforderungen an die exekutiven Funktionen und die intellektuellen Fähigkeiten in der Lage sei.
Mit Blick darauf kann dem Einwand der beschwerdeführenden IV-Stelle nicht gefolgt werden. Darüber hinaus lässt sich auch aus diesen Ausführungen des Gutachters keine rentenerhebliche Verbesserung des Gesundheitszustandes beziehungsweise der Arbeitsfähigkeit gegenüber dem Vorgutachten des Dr. med. C.________ erkennen.

7.
Die Vorbringen der beschwerdeführenden IV-Stelle vermögen die vorinstanzlichen Feststellungen im angefochtenen Entscheid nach den vorstehenden Erwägungen insgesamt nicht als offensichtlich unrichtig oder sonstwie bundesrechtswidrig erscheinen zu lassen. Mit dem kantonalen Gericht ist davon auszugehen, dass seit der ursprünglichen Rentenverfügung vom 30. August 2006 keine rentenerhebliche Verbesserung des Gesundheitszustandes, insbesondere keine Steigerung der Arbeitsfähigkeit, eingetreten ist. Der Versicherte hat deshalb auch weiterhin Anspruch auf eine ganze Invalidenrente.

8.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden dem Prozessausgang entsprechend der Beschwerdeführerin auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 BGG); des Weiteren hat sie dem Versicherten eine Parteientschädigung zu bezahlen (Art. 68 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Die Beschwerdeführerin hat den Beschwerdegegner für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'400.- zu entschädigen.

4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 22. Juni 2017

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Die Gerichtsschreiberin: Durizzo