Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Abteilung II

B-187/2018

Urteil vom 22. Juli 2019

Richterin Vera Marantelli (Vorsitz),

Besetzung Richter Marc Steiner, Richter David Aschmann,

Gerichtsschreiberin Della Batliner.

Lidl Stiftung + Co. KG,

Stiftsbergstrasse 1, DE-74172 Neckarsulm,

vertreten durch Schmauder & Partner AG
Parteien
Patent- und Markenanwälte VSP,

Zwängiweg 7, 8038 Zürich,

Beschwerdeführerin,

gegen

Eidgenössisches Institut für Geistiges Eigentum IGE, Stauffacherstrasse 65/59g, 3003 Bern,

Vorinstanz.

Gegenstand Internationale Registrierung IR 1'235'004 Deluxe (fig.).

Sachverhalt:

A.
Die Beschwerdeführerin ist Inhaberin der international registrierten, nachfolgend abgebildeten Marke Nr. 1'235'004

mit einer Basiseintragung in der Tschechischen Republik. Mit Mitteilung der OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle) vom 30. April 2015 wurde bei der Vorinstanz der Schutz dieser internationalen Registrierung für die Schweiz im Rahmen des Protokolls zum Madrider Abkommen über die internationale Registrierung von Marken für folgende Waren beantragt:

Klasse 5: Aliments pour bébés; compléments d'apport nutritionnel; compléments minéraux; compléments vitaminés.

Klasse 29: Viande et produits de viande, poisson et produits de poisson, autres fruits de mer (non vivants) et produits en ceux-ci, volaille et produits de volaille, gibier et produits de gibier, saucisses et charcuterie, mollusques et crustacés (non vivants) et produits en ceux-ci, extraits de viande, poisson, volaille, gibier et légumes, fruits et légumes, y compris sous forme conservée et/ou marinée et/ou précuite et/ou sous forme de salade, pulpe de fruits et légumes, produits de pommes de terre de tous types (compris dans cette classe), tous les produits précités sous forme préservée, conservée, cuite, séchée et/ou congelée; noix transformées, assortiments de noix transformées, y compris avec fruits séchés; gelées, confitures, marmelades, purées de fruits et autres pâtes à tartiner sucrées à base de produits laitiers, pâtes à tartiner aux noisettes, pâtes à tartiner à base de poisson (comprises dans cette classe); oeufs, lait et produits laitiers (compris dans cette classe), beurre, fromage et produits à base de fromage, crème, yaourt, fromage blanc; lait en poudre pour l'alimentation; desserts à base de yaourt, caillebotte (quark), crème, lait et/ou fruits; huiles et graisses comestibles; soupes, bouillons et ragoûts, y compris prêts à servir; salades à base de viande, poisson, volaille, gibier, saucisses, fruits de mer, légumes et/ou fruits; chips, pommes allumettes; plats cuisinés et aliments surgelés, en particulier se composant entièrement ou principalement de viande, poisson, volaille, gibier, fruits de mer, pommes de terre, fruits préparés, légumes et/ou fromages (compris dans cette classe); produits alimentaires et substances diététiques, autres qu'à usage médical, entièrement ou essentiellement composés des produits précités (compris dans cette classe).

Klasse 30: Café, thé, cacao, sucre, riz, tapioca, sagou, succédanés de café; farine et préparations à base de céréales; céréales, muesli et produits au blé complet; boissons à base de café, thé, cacao et chocolat; préparations de café et de cacao destinées à la fabrication de boissons alcoolisées ou non alcoolisées; aromates pour aliments; pain, pâtisseries et confiseries, bonbons (y compris ceux à base de succédanés de sucre), chocolat et produits en chocolat, pralines, glaces comestibles; flans; miel, sirop de mélasse; levure, poudre à lever, amidon à usage alimentaire; sel, moutarde; mayonnaise, ketchup; vinaigre, sauces (condiments), sauces à salade; épices, extraits d'épices, herbes séchées à usage culinaire; pizzas et produits à base de pizza, pâtes alimentaires, y compris prêts à servir et/ou congelés; sandwiches, petits pains et baguettes; sandwiches; sushis; plats préparés et produits alimentaires surgelés, en particulier entièrement ou essentiellement à base de produits au blé complet, pâtisseries, confiseries, pâtes et/ou riz (compris dans cette classe); produits alimentaires et substances diététiques, autres qu'à usage médical, entièrement ou essentiellement composés des produits précités (compris dans cette classe).

Klasse 31: Fruits frais et légumes frais; fruits à coque.

Klasse 32: Bières; bières sans alcool, bières de régime; boissons mélangées contenant de la bière; eaux minérales et gazeuses et autres boissons sans alcool; boissons aux fruits et à base de jus de fruits, jus de fruits; jus de légumes (boissons); sirops et autres préparations pour la confection de boissons.

Klasse 33: Boissons alcoolisées (autres que bières), comprises dans cette classe, vins, spiritueux et liqueurs ainsi que boissons alcoolisées mélangées, cocktails et apéritifs à base de spiritueux ou de vin; boissons contenant du vin; préparations alcoolisées pour la confection de boissons.

B.
Die Vorinstanz verweigerte vorläufig die Schutzausdehnung auf die Schweiz aufgrund Vorliegens des Gemeingutcharakters bezüglich sämtlicher beanspruchter Waren und erliess am 21. Januar 2016 eine "notification de refus provisoire total (sur motifs absolus)". Mit Stellungnahme vom 9. Juni 2016 ersuchte der Rechtsvertreter der Beschwerdeführerin um
(uneingeschränkte) Eintragung der Marke. Am 9. September 2016 hielt die Vorinstanz weiterhin an ihrer Zurückweisung fest. Dazu äusserte sich der Rechtsvertreter mit Eingabe vom 13. Oktober 2016.

C.
Mit Verfügung vom 23. November 2017 erliess die Vorinstanz die Schutzverweigerung für sämtliche beanspruchten Waren gestützt auf Art. 2 lit. a
SR 232.11 Loi fédérale du 28 août 1992 sur la protection des marques et des indications de provenance (Loi sur la protection des marques, LPM) - Loi sur la protection des marques
LPM Art. 2 Motifs absolus d'exclusion - Sont exclus de la protection:
a  les signes appartenant au domaine public, sauf s'ils se sont imposés comme marques pour les produits ou les services concernés;
b  les formes qui constituent la nature même du produit et les formes du produit ou de l'emballage qui sont techniquement nécessaires;
c  les signes propres à induire en erreur;
d  les signes contraires à l'ordre public, aux bonnes moeurs ou au droit en vigueur.
des Markenschutzgesetzes vom 28. August 1992 (MSchG, SR 232.11). Zur Begründung führte sie im Wesentlichen an, bei der vorliegenden internationalen Registrierung komme dem Wortelement "Deluxe" in mehreren Amtssprachen der eindeutige Sinngehalt "Luxus-" oder "luxuriös" zu. Das Zeichen erschöpfe sich damit in einer direkt beschreibenden und qualitativ anpreisenden Angabe. Die grafische Ausgestaltung des Zeichens vermöge den Gesamteindruck nicht wesentlich zu beeinflussen. Damit fehle dem Zeichen die erforderliche konkrete Unterscheidungskraft.

D.
Mit Eingabe vom 9. Januar 2018 reichte die Inhaberin der internationalen Registrierung "Deluxe" Beschwerde beim Bundesverwaltungsgericht ein und beantragte die Aufhebung der vorinstanzlichen Verfügung, die Rücknahme der definitiven Schutzverweigerung für das Gebiet der Schweiz und die Eintragung der Marke für sämtliche beanspruchten Waren. Im Falle des Obsiegens seien den Antragsstellern die Kosten des Verfahrens zu erstatten und eine Parteientschädigung zuzusprechen. Die vorliegende Wort-/Bildmarke weise eine sehr spezielle grafische Gestaltung auf, welche dem Zeichen die notwendige Kennzeichnungskraft verschaffe. Schon deshalb gehöre die Marke "Deluxe (fig.)" nicht zum Gemeingut. Des Weiteren verständen die hiesigen Abnehmerkreise unter dem Markenwort "Deluxe" nicht "Luxus-" oder "luxuriös", weshalb es in Bezug auf die beanspruchten Waren nicht direkt beschreibend und anpreisend sei. Es handle sich um einen mehrdeutigen und eigenständigen Fantasieausdruck. Die Marke werde als betrieblicher Herkunftshinweis aufgefasst und berge höchstens noch eine indirekte Anspielung auf gewisse der beanspruchten Waren.

E.
Mit Vernehmlassung vom 16. März 2018 beantragte die Vorinstanz die vollumfängliche Abweisung der Beschwerde unter Kostenfolge. Sie verweist in der Begründung auf ihre bisherigen Ausführungen und ruft in kurzer Form die Hauptpunkte der Schutzverweigerung in Erinnerung.

F.
Auf weitere Vorbringen der Parteien und die eingereichten Akten wird, soweit erforderlich, in den nachfolgenden Erwägungen eingegangen.

Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:

1.
Das Bundesverwaltungsgericht ist zur Beurteilung von Beschwerden gegen Verfügungen in Markensachen der Vorinstanz zuständig (Art. 31
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20.
, 32
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 32 Exceptions - 1 Le recours est irrecevable contre:
1    Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit jugée par un tribunal;
b  les décisions concernant le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et les votations populaires;
c  les décisions relatives à la composante «prestation» du salaire du personnel de la Confédération, dans la mesure où elles ne concernent pas l'égalité des sexes;
d  ...
e  les décisions dans le domaine de l'énergie nucléaire concernant:
e1  l'autorisation générale des installations nucléaires;
e2  l'approbation du programme de gestion des déchets;
e3  la fermeture de dépôts en profondeur;
e4  la preuve de l'évacuation des déchets.
f  les décisions relatives à l'octroi ou l'extension de concessions d'infrastructures ferroviaires;
g  les décisions rendues par l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
h  les décisions relatives à l'octroi de concessions pour des maisons de jeu;
i  les décisions relatives à l'octroi, à la modification ou au renouvellement de la concession octroyée à la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR);
j  les décisions relatives au droit aux contributions d'une haute école ou d'une autre institution du domaine des hautes écoles.
2    Le recours est également irrecevable contre:
a  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'une opposition ou d'un recours devant une autorité précédente au sens de l'art. 33, let. c à f;
b  les décisions qui, en vertu d'une autre loi fédérale, peuvent faire l'objet d'un recours devant une autorité cantonale.
, 33
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale;
b  du Conseil fédéral concernant:
b1  la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26,
b10  la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44;
b2  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27,
b3  le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29,
b4  l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31,
b4bis  l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens,
b5  la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34,
b6  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36,
b7  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38,
b8  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40,
b9  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42;
c  du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cbis  du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cquater  du procureur général de la Confédération, en matière de rapports de travail des procureurs qu'il a nommés et du personnel du Ministère public de la Confédération;
cquinquies  de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail de son secrétariat;
cter  de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail des membres du Ministère public de la Confédération élus par l'Assemblée fédérale (Chambres réunies);
d  de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées;
e  des établissements et des entreprises de la Confédération;
f  des commissions fédérales;
g  des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises;
h  des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées;
i  d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral.
Bst. e des Bundesgesetzes vom 17. Juni 2005 über das Bundesverwaltungsgericht [Verwaltungsgerichtsgesetz, VGG, SR 173.32]). Als Verfügungsadressatin und Inhaberin der international registrierten Marke ist die Beschwerdeführerin im Sinne von Art. 48 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque:
1    A qualité pour recourir quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est spécialement atteint par la décision attaquée, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir.
des Bundesgesetzes vom 20. Dezember 1968 über das Verwaltungsverfahren (Verwaltungsverfahrensgesetz, VwVG, SR 172.021) zur Beschwerdeführung legitimiert. Sie hat den eingeforderten Kostenvorschuss innert Frist bezahlt (Art. 63 Abs. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG). Auf die im Übrigen frist- und formgerechte Beschwerde ist somit einzutreten.

2.
Streitig ist das Vorliegen des Gemeingutcharakters der einzutragenden Marke "Deluxe" bezüglich sämtlicher beanspruchter Waren.

3.

3.1 Die Tschechische Republik und die Schweiz sind Mitgliedsstaaten sowohl der Pariser Übereinkunft zum Schutz des gewerblichen Eigentums, revidiert in Stockholm am 14. Juli 1967 (PVÜ, SR 0.232.04) als auch des Protokolls zum Madrider Abkommen über die internationale Registrierung von Marken vom 27. Juni 1989 (MMP, SR 0.232.112.4). Zwischen Staaten, welche - wie die Tschechische Republik und die Schweiz - sowohl das Protokoll als auch das Madrider Abkommen über die internationale Registrierung von Marken, revidiert in Stockholm am 14. Juli 1967 (MMA, SR 0.232.112.3) unterzeichnet haben, gilt, dass die Schutzverweigerung innerhalb von zwölf Monaten nach dem Datum der Notifikation durch die OMPI zu erklären ist (vgl. Art. 5 Abs. 2 Bst. a und b in Verbindung mit Art. 9sexies Abs. 1 Bst. a und b MMP). Die mit der Mitteilung der OMPI am 30. April 2015 beginnende Frist ist mit der provisorischen Schutzverweigerung vom 21. Januar 2016 gewahrt.

3.2 Art. 5 Abs. 1 MMP verweist hinsichtlich der möglichen Gründe einer Schutzverweigerung auf das PVÜ. Gemäss Art. 6quinquies PVÜ darf die Eintragung einer Marke unter anderem verweigert oder für ungültig erklärt werden, wenn die Marken jeder Unterscheidungskraft entbehren oder ausschliesslich aus Zeichen oder Angaben zusammengesetzt sind, die im Verkehr zur Bezeichnung der Art, der Beschaffenheit, der Menge, der Bestimmung, des Wertes, des Ursprungsortes der Erzeugnisse oder der Zeit der Erzeugung dienen können, oder die im allgemeinen Sprachgebrauch oder in den redlichen und ständigen Verkehrsgepflogenheiten des Landes, in dem der Schutz beansprucht wird, üblich sind. Dieser absolute Ausschlussgrund deckt sich im Wesentlichen mit demjenigen des schweizerischen Markenschutzgesetzes, welches in Art. 2 Bst. a
SR 232.11 Loi fédérale du 28 août 1992 sur la protection des marques et des indications de provenance (Loi sur la protection des marques, LPM) - Loi sur la protection des marques
LPM Art. 2 Motifs absolus d'exclusion - Sont exclus de la protection:
a  les signes appartenant au domaine public, sauf s'ils se sont imposés comme marques pour les produits ou les services concernés;
b  les formes qui constituent la nature même du produit et les formes du produit ou de l'emballage qui sont techniquement nécessaires;
c  les signes propres à induire en erreur;
d  les signes contraires à l'ordre public, aux bonnes moeurs ou au droit en vigueur.
MSchG Zeichen im Gemeingut grundsätzlich ihren Schutz versagt. Die Rechtsprechung nach dem Markenschutzgesetz kann somit vorliegend herangezogen werden.

4.

4.1 Gemäss Art. 2 Bst. a
SR 232.11 Loi fédérale du 28 août 1992 sur la protection des marques et des indications de provenance (Loi sur la protection des marques, LPM) - Loi sur la protection des marques
LPM Art. 2 Motifs absolus d'exclusion - Sont exclus de la protection:
a  les signes appartenant au domaine public, sauf s'ils se sont imposés comme marques pour les produits ou les services concernés;
b  les formes qui constituent la nature même du produit et les formes du produit ou de l'emballage qui sont techniquement nécessaires;
c  les signes propres à induire en erreur;
d  les signes contraires à l'ordre public, aux bonnes moeurs ou au droit en vigueur.
MSchG sind Zeichen, die zum Gemeingut gehören, vom Markenschutz ausgeschlossen, es sei denn, dass sie sich als Marke für die Waren oder Dienstleistungen durchgesetzt haben. Als Gemeingut gelten einerseits Zeichen, die für den Wirtschaftsverkehr freizuhalten sind, und andererseits Zeichen, die sich mangels Unterscheidungskraft nicht zur Identifikation von Waren oder Dienstleistungen eignen und damit nicht als Hinweis auf eine bestimmte betriebliche Herkunft verstanden werden (Städeli/Brauchbar Birkhäuser, in: David/Frick [Hrsg.], Kommentar zum Markenschutz- und Wappenschutzgesetz, 3. Aufl. 2017, Art. 2 N. 34).

4.2 Die Unterscheidungskraft fehlt Sachbezeichnungen sowie Zeichen, die beschreibend sind. Beschreibende Zeichen sind Angaben, die sich in einem direkten Bezug zum gekennzeichneten Gegenstand erschöpfen, also von den massgeblichen Verkehrskreisen unmittelbar und ausschliesslich als Aussage über bestimmte Eigenschaften der zu kennzeichnenden Waren oder Dienstleistungen verstanden werden. Darunter fallen namentlich Wörter, die geeignet sind, im Verkehr als Hinweis auf Art, Zusammensetzung, Qualität, Quantität, Bestimmung, Verwendungszweck, Wert, Wirkungsweise, Inhalt, Form, Verpackung oder Ausstattung der beanspruchten Ware oder Dienstleistung aufgefasst zu werden (Urteil des BGer 4A_492/2007 vom 14. Februar 2008 E. 3.4 "Gipfeltreffen"; BGE 128 III 447 E. 1.5 "Première"; Städeli / Brauchbar Birkhäuser, a.a.O., Art. 2 N. 84; Eugen Marbach, in: Schweizerisches Immaterialgüter- und Wettbewerbsrecht, Bd. III/1, Markenrecht, 2. Aufl. 2009, Rz. 247, 313 f.). Der Umstand, dass die Marke Gedankenassoziationen weckt oder Anspielungen enthält, die nur entfernt auf die Waren oder Dienstleistungen hindeuten, macht ein Zeichen noch nicht zum Gemeingut. Der gedankliche Zusammenhang mit den Waren oder Dienstleistungen muss vielmehr derart sein, dass der beschreibende Charakter der Marke für einen erheblichen Teil der schweizerischen Markenadressaten ohne besondere Denkarbeit oder besonderen Aufwand an Fantasie zu erkennen ist (BGE 128 III 447 E. 1.5 "Première"; BGE 127 III 160 E. 2b/aa "Securitas"; Urteil des BVGer B-4697/2014 vom 16. Dezember 2016 E. 4.2 "Apotheken Cockpit"). Zum Gemeingut zählen damit insbesondere auch Zeichen, die sich in allgemeinen Qualitätshinweisen oder reklamehaften Anpreisungen erschöpfen (BGE 128 III 447 E. 1.6 "Première"; BGE 129 III 225 E. 5.2 "Masterpiece"; Urteil des BVGer B-600/2018 vom 14. Januar 2019 E. 4.4 "hype [fig.]").

4.3 Die Markenprüfung erfolgt in Bezug auf alle vier Landessprachen. Dabei kommt jeder Sprache der gleiche Stellenwert zu. Ist die Marke aus Sicht der massgeblichen Verkehrskreise auch nur nach einer Landessprache schutzunfähig, so ist die Eintragung zu verweigern (BGE 131 III 495 E. 5 "Felsenkeller"; Marbach / Ducrey / Wild, Immaterialgüter- und Wettbewerbsrecht, 4. Aufl. 2017, Rz. 606). Auch englische Ausdrücke können Gemeingut sein (BGE 129 III 228 E. 5.1 "Masterpiece"; Urteil des BGer 4A.5/2003 vom 22. Dezember 2003 E. 3.1-3.2 "Discovery Travel & Adventure Channel"; Urteil des BVGer B-5642/2014 vom 16. Juli 2015 E. 5.7 "Equipment"), es sei denn sie werden von einem erheblichen Teil der Abnehmerkreise nicht verstanden, was etwa der Fall sein kann, wenn ein Ausdruck nicht zum Grundwortschatz gehört (Urteil des BVGer B-3052/2009 vom 16. Februar 2010 E. 2.3 "Diamonds of the tsars"; vgl. Claudia Keller, Do you speak English? - Anmerkungen zum Bundesverwaltungsgerichtsentscheid B-804/2007 vom 4. Dezember 2007 "Delight Aromas [fig.]", in sic! 2008, 485). Fachkreise verfügen in ihrem Fachgebiet oft über gute Englischkenntnisse (Urteil des BGer 4A_455/2008 vom 1. Dezember 2008 E. 4.3 "AdRank"; Urteile des BVGer B-3394/2007 vom 29. September 2008 E. 4.2 "Salesforce.com" und B-7204/2007 vom 1. Dezember 2008 E. 7 "Stencilmaster"). Fremdwörter können sich branchenspezifisch auch als Sachbezeichnungen etabliert haben und im Zusammenhang mit den konkreten Waren oder Dienstleistungen vom breiten Publikum in einem beschreibenden Sinn aufgefasst werden (Urteile des BVGer B-5531/2007 vom 12. Dezember 2008 E. 7 "Apply-Tips" und B-600/2007 vom 21. Juli 2007 E. 2.3.3 "Volume up").

5.

5.1 Vorab ist zu bestimmen, an welche Abnehmer sich die beanspruchten Waren der vorliegend streitigen Marke richten.

5.2 Die Vorinstanz hielt dazu fest, die massgeblichen Verkehrskreise setzten sich in erster Linie aus schweizerischen Durchschnittskonsumenten zusammen, wobei auch Fachkreise wie beispielsweise Detailhändler oder Restaurationsbetriebe zu berücksichtigen seien. Seitens der Beschwerdeführerin blieb dies insoweit unbestritten, als sie sich in ihrer Beschwerdeschrift in allgemeiner Weise auf "Schweizer Abnehmer" bezog.

5.3 Die beanspruchten Klassen 5, 29, 30, 31, 32, 33 betreffen Babynahrung, Nahrungsergänzungsmittel und eine Vielfalt weiterer Waren der Lebensmittel- und Getränkeindustrie. Die meisten dieser sogenannten Konsumgüter des täglichen Bedarfs werden mit geringer oder "durchschnittlicher" Aufmerksamkeit eingekauft (BGE 122 III 382 E. 3a "Kamillosan") und vornehmlich an Endkonsumenten vertrieben. Obwohl keine beanspruchte Warenklasse ausschliesslich von Fachkreisen nachgefragt wird, treffen auch allfällige Zwischenhändler, Detailhändler und Restaura-tionsbetriebe Kaufentscheide zu vorgenannten Produkten, weshalb sie als Abnehmerschaft zu berücksichtigen sind. Da die Schutzverweigerung auf der fehlenden Unterscheidungskraft der strittigen Marke gründet, ist dennoch ein besonderes Augenmerk auf die Sicht der Letztabnehmer zu legen. Denn bei Waren, die sowohl an Fachleute als auch an Endverbraucher vertrieben werden, steht die Sichtweise der grössten und am wenigsten erfahrenen Marktgruppe im Vordergrund (David Aschmann, in: Noth / Bühler / Thouvenin [Hrsg.], Markenschutzgesetz [MSchG], 2. Aufl. 2017, Art. 2 Bst. a N. 29, insb. 32).

6.

6.1 Es ist zu prüfen, ob dem Zeichen "Deluxe" die notwendige Unterscheidungskraft zukommt. Auszugehen ist dabei zunächst von der Frage nach dem Sinngehalt des Wortelements "Deluxe".

6.1.1 In der angefochtenen Verfügung hielt die Vorinstanz fest, das Wortelement "Deluxe" sei eindeutig lesbar. Dabei handle es sich um ein englisches Adjektiv, welches etwas besonders Luxuriöses, Elegantes bezeichne. Im gleichen Sinne werde das französische Adjektiv "de luxe" verwendet. Auch im deutschen Sprachgebrauch bezeichne "de luxe" etwas mit allem Luxus oder aufs Beste Ausgestattetes. Aufgrund der schriftbildlichen, phonetischen und inhaltlichen Ähnlichkeit sei dabei unbeachtlich, dass "Deluxe" etwa im Französischen getrennt geschrieben werde.

6.1.2 Die Beschwerdeführerin bestreitet, dass "Deluxe" von den Schweizer Abnehmern ohne Gedankenarbeit im Sinne von "Luxus-" oder "luxuriös" verstanden werde. Es handle sich um einen mehrdeutigen und eigenständigen Fantasieausdruck, welcher auf Seiten der Schweizer Abnehmer genügend Raum für Gedankenarbeit lasse und als betrieblicher Herkunftshinweis aufgefasst werde. Es könne höchstens noch eine indirekte Anspielung auf gewisse der beanspruchten Waren erblickt werden.

6.1.3 Das Wortelement "Deluxe" enthält für französischsprachige Verkehrskreise die unmittelbar erkennbaren Bestandteile des französischen Adjektivs "de luxe". Das englische Adjektiv unterscheidet sich davon lediglich insofern, als es ohne Abstand geschrieben wird. Der Begriff ist mit dem Sinngehalt "besonders viel bietend" und "mit allem Luxus" im deutschen Duden verzeichnet (https://www.duden.de/rechtschreibung/de_luxe, abgerufen am 23.05.2019). Die lexikalische Bedeutung in der französischen Sprache reicht gemäss "Le petit Robert" von "coûteux" im Sinne von kostspielig oder teuer (https://dict.leo.org/französisch-deutsch/couteux, abgerufen am 23.05.2019) zu "somptueux" beziehungsweise hochherrschaftlich, prächtig (https://dict.leo.org/französisch-deutsch/somptueux, abgerufen am 23.05.2019; Le petit Robert de la langue française, Paris, édition 2016). Beim englischen Wort tritt im Vergleich zum französischen der Kostenaspekt eher in den Hintergrund: In der Cambridge Dictionary wird mit dem Adjektiv "deluxe" etwas sehr Luxuriöses oder Elegantes umschrieben (https://dictionary.cambridge.org/de/worterbuch/englisch-deutsch/deluxe, abgerufen am 29.05.2019). Massgeblich bei der Sinngebung sind hier insbesondere zusätzliche Qualitäten, welche sich in der üblichen Version eines Gegenstandes nicht finden. Die beiden Nuancen des Begriffs "Deluxe" zeigen im einen Zusammenhang den (hohen) Preis, im anderen die besondere Eleganz oder Ausstattung des Objekts auf, machen das Wortelement dadurch aber nicht mehrdeutig. Weitere Bedeutungen sind weder ersichtlich noch werden sie von der Beschwerdeführerin konkret dargelegt. Von einem eigenständigen Fantasieausdruck kann nicht die Rede sein, da das Wortelement "Deluxe" beim Schweizer Endkonsumenten der lexikalischen Bedeutung entsprechend die klare Vorstellung eines luxuriösen Artikels auslöst. Auch mit der Grossschreibung des Wortes vermag keine Verfremdung herbeigeführt zu werden. Wie die Vorinstanz bereits mit Hinweis auf ihre lexikalischen Recherchen zutreffenderweise ausführte, haftet dem Wort "Deluxe" für die relevanten Verkehrskreise ein Hauch von "Luxus-" oder "luxuriös" an. Damit steht der von den massgebenden Verkehrskreisen zugeschriebene Sinngehalt des Wortelements eindeutig fest.

6.2 Weiter ist zu untersuchen, ob die Marke "Deluxe" für die beanspruchten Waren beschreibend oder anpreisend sein könnte.

6.2.1 Die Vorinstanz hat der strittigen Marke in der angefochtenen Verfügung den Schutz aufgrund seiner direkt beschreibenden und qualitativ anpreisenden Angabe verweigert. Es sei im vorliegend relevanten Warensegment der Lebensmittel (auch Babynahrung) und Getränke üblich geworden, einzelne Waren oder ganze Warenlinien mittels Aufschriften bestimmten Güte- und/oder Preisklassen zuzuordnen. Die genannten Bezeichnungen dienten dann der Kategorisierung und nicht einem betrieblichen Herkunftshinweis. Mit dem Begriff "Deluxe" würden daher insbesondere Produkte von besonderer und spezieller Qualität und Güte charakterisiert. Sämtliche der beanspruchten Waren würden in verschiedenen Qualitätsklassen angeboten und es sei möglich, diese etwa als "de-luxe-Version" auf dem Markt zu positionieren. Eine Kennzeichnung mit "Deluxe" lasse die Abnehmer somit ohne weiteres erkennen, dass es sich um luxuriöse, das heisst qualitativ hochwertige Ware handle.

6.2.2 Die Beschwerdeführerin bestreitet, dass sich das strittige Zeichen in Bezug auf die beanspruchten Waren in einer direkt beschreibenden und qualitativ anpreisenden Angabe erschöpfen soll. Auch im Zusammenhang mit den vorliegend beanspruchten Waren der Klassen 5, 29, 30, 31, 32 und 33 sei der Ausdruck "Deluxe" als ungewöhnlich einzustufen. Unzutreffend sei zudem die Ansicht der Vorinstanz, dass es im vorliegend relevanten Warensegment üblich geworden sei, einzelne Waren oder ganze Warenlinien mittels Aufschriften wie "Deluxe" respektive "Luxus-" bestimmten Güte- und/oder Preisklassen zuzuordnen. Des Weiteren bemängelte sie die in einer Beilage der Verfügung dargestellten Treffer/Belege aus einer Google-Recherche nach dem Begriff "Deluxe".

6.2.3 In der von der Vorinstanz ins Recht gelegten Google Recherche findet sich eine Auswahl von acht verschiedenen Produkten unterschiedlicher Hersteller im Nahrungsmittel- und Getränkesegment. Mit den Aufschriften Deluxe, DELUXE oder DE LUXE ist deren Beschreibung als qualitativ hochwertige Ware erkennbar und zugleich die Ungewöhnlichkeit des Ausdrucks hinreichend widerlegt. Aus Endkonsumentensicht unterscheiden sich bei vielen verschiedenen Detailhändlern Luxus-Warenlinien vom regulären Sortiment, von Low-Budget-Waren oder etwa Light-Produkten. Diese Kategorisierung führt aber gerade nicht dazu, dass die Ware auf einen bestimmten Hersteller zurückgeführt wird, sondern dass Waren desselben Herstellers in verschiedene Qualitäts- und/oder Preisklassen unterteilt werden. Der anpreisende Charakter liegt auf der Hand, zumal die Beschwerdeführerin nicht substantiiert zu bestreiten vermag, dass die genannte Bezeichnung eine bestimmte Qualitäts-Kategorie aller beanspruchten Waren umschreibt. Dies erscheint von ihr durchaus gewollt, denn die Beschwerdeführerin selbst hebt in einer Pressemitteilung den besonders hochwertigen und ausgesuchten Charakter ihrer Deluxe-Produkte hervor (https://www.presseportal.de/pm/58227/3269706, siehe auch https://www.
foodaktuell.ch/lidl-erweitert-linie-der-luxus-produkte/, beide abgerufen am 3.6.2019).

6.2.4 In diesem Sinne ist das Wort "Deluxe" direkt beschreibend und anpreisend in Bezug auf eine Eigenschaft (Qualität) der beanspruchten Waren. Ob der strittige Begriff einer Freihaltebedürftigkeit unterliegt, kann offenbleiben.

7.

7.1 Nachdem das Wortelement "Deluxe" dem Gemeingut angehört und für sich allein nicht schutzfähig ist, kann der strittigen Marke einzig durch die grafische Gestaltung Schutz verliehen werden.

7.2 Die Vorinstanz vertritt die Ansicht, dass die geschwungene Schrift mit bogenförmiger Unterstreichung auf etikettenhaftem Hintergrund nicht aus dem Rahmen des Gewöhnlichen falle und deren Verwendung mit Teils untereinander verbundenen Buchstaben häufig etwas Edles, Glamouröses oder Luxuriöses zum Ausdruck gebracht werde. Die Verschnörkelung des Anfangsbuchstabens sowie dessen Verbindung mit dem Buchstaben "x" steche ausserdem im Gesamteindruck nicht ins Auge und gehe in der Grafik unter. Die unterschiedliche Dicke der bogenhaften Verbindung sei minim und falle im Gesamteindruck ebenfalls nicht auf. "Deluxe" sei auch mit Farbanspruch etikettenhaft. Die Form und die bogenförmige Linie seien nicht als ausserordentlich zu bezeichnen.

7.3 Die Beschwerdeführerin macht in ihrer Beschwerde hauptsächlich geltend, dass die strittige Marke über ein unterscheidungskräftiges grafisches Element verfüge und daher auch für die beschreibenden beziehungsweise qualitativ anpreisenden Waren einzutragen sei. Die der Verfügung beiliegenden wenigen Treffer/Belege aus zwei Google-Recherchen nach den Begriffen "Deluxe" und "luxurious font" genügten keinesfalls als Nachweis, dass geschwungene Schriftarten häufig verwendet würden. Diese Belege beträfen nicht das hier relevante Warensegment, sondern Hotels und Restaurants, Schmuck, Uhren und Bekleidungen etc. Insbesondere der Anfangsbuchstabe "D" sei auffallend gestaltet und deren Verbindung mit dem "x" steche dem Betrachter im Gesamteindruck sofort ins Auge. Besagter Bogen führe auch noch am unteren rechten Ende des Buchstabens "u" vorbei. Des Weiteren beinhalte der Anfangsbuchstabe einen "freistehenden" vertikalen Balken, welcher in völlig unüblicher Weise nicht mit dem Bogen/Bauch verbunden sei. All dies sei absolut ungewöhnlich und präge sich tief ins Gedächtnis der Schweizer Abnehmer ein.

7.4 Das Wortelement "Deluxe" ist in einer kursiven, weissen Schriftart verfasst. Der Strich des "D" ist nicht mit dem Bauch des Buchstabens verbunden, sondern einzig mit dem zusätzlichen Schnörkel, der auf den Bauch folgt. Dieser Schnörkel ist zudem mit der Serife des "u" und insbesondere mit dem Buchstaben "x" dergestalt verbunden, dass er bei näherer Betrachtung als Verlängerung des diagonalen Querbalkens des "x" von links unten nach rechts oben erscheinen kann. Zudem variiert die Breite des Schnörkels ähnlich einer Welle: Die dicksten Abschnitte befinden sich in der Mitte vom Bauch und am Ende des "D" sowie in der Mitte der bogenhaften Verbindung zwischen "D" und "x". Abgesehen vom verschnörkelten "D" und der minim in die Horizontale weitergezogenen Serife des "x" sind die weiteren Buchstaben schlicht und regelmässig kursiv gehalten. Der Schriftzug ist auf einem viereckigen, schwarzen, unten abgerundeten geometrischen Hintergrund abgebildet. Die Abrundung wird mit einer bogenförmigen, grauen und schwarzen Linie unterstrichen.

7.5 Das Argument der Beschwerdeführerin, die Belege der angefochtenen Verfügung beträfen nicht das vorliegend beanspruchte Warensegment, verfängt nicht. Denn es ist davon auszugehen, dass die vorliegend relevanten Verkehrskreise auch dieselben sind, die etwa in Restaurants Waren der vorliegend beanspruchten Klassen konsumieren. Ausserdem findet der Grundsatz der produktbezogenen Prüfung der Unterscheidungskraft ihre Schranke bei Ausdrücken des allgemeinen Sprachgebrauchs, allgemeinen Qualitätshinweisen sowie reklamehaften Anpreisungen, die in allgemeiner Weise auf Waren und Dienstleistungen irgendwelcher Art angewendet werden können (Urteile des BVGer B-5642/2014 vom 16. Juli 2015 E. 5.5 Equipment und B-6747/2009 vom 26. Februar 2010 E. 5.2 "Wow"). Umso mehr hat dies für eine kursive, von den Parteien als "geschwungen" bezeichnete Schrift zu gelten, welche sich nicht stark von anderen, üblichen Gestaltungsformen abhebt. Sie bleibt auch mit dem verschnörkelten "D" und der Verbindung zum "u" und "x" unauffällig. Eine leichte Verschnörkelung des Anfangsbuchstabens ist ein naheliegendes Gestaltungsmittel. Die unterschiedliche Dicke des wellenartigen Schnörkels ist wenig ausgeprägt und fällt kaum ins Gewicht. Ob eine "geschwungene" Schriftart mit teils untereinander verbundenen Buchstaben für etwas Edles, Glamouröses oder Luxuriöses steht - wie die Vorinstanz in ihrer Verfügung festhält - ist nicht relevant. Massgebend ist, dass die Schriftart - selbst mit der Verschnörkelung des "D" und der Verbindung mit den Buchstaben "u" und "x" - für sich allein nicht den Rahmen des Gewöhnlichen sprengt. Dies lässt sich mit den abgebildeten Google-Treffern der Vorinstanz belegen.

7.6 Bei einer gesamthaften Betrachtung nimmt das auf Anhieb lesbare und den überwiegenden Teil der Marke ausfüllende Wortelement "Deluxe" den grössten Raum der strittigen Marke ein. Der "freistehende" Balken des Buchstabens "D" sowie die Verschnörkelung und die Verbindung zum "u" und "x" gehen im Vergleich zum Wortelement selbst unter und treten erst auf den zweiten Blick überhaupt ins Bewusstsein der massgeblichen Verkehrskreise. Der schwarze Hintergrund dient im Auge des an den beanspruchten Waren interessierten Betrachters einzig der maximalen Hervorhebung des weissen Wortelements, ebenso erscheinen die bogenförmige Abrundung und deren "Unterstreichen" mittels grauer und schwarzer Linie als stilistische Mittel zur Akzentuierung des Wortbestandteils. Dem Vorwurf einer etikettenhaften Umrahmung kann die Beschwerdeführerin nichts Substanzielles entgegensetzen (Urteile des BVGer B-1643/2007 vom 13. September 2007 "basilea PHARMACEUTICA"; B-5296/2012 vom 30. Oktober 2013 "toppharm Apotheken"). Der Farbanspruch (schwarz, weiss und silber) macht die Marke nicht in dem Sinn einprägsam, dass sie von den relevanten Verkehrskreisen unmittelbar mit dieser selbst in Verbindung gebracht wird. Die gestalterischen Elemente halten sich somit insgesamt im Hintergrund und ordnen sich dem Wortelement "Deluxe" unter. Vorliegend führt dies dazu, dass insbesondere das beschreibende und anpreisende Wortelement in der Erinnerung der relevanten Verkehrskreise haften bleibt.

8.

8.1 Die Beschwerdeführerin beruft sich auf Eintragungen ihrer Marke in mehreren Ländern des Auslands und leitet daraus eine Indizwirkung für die Schutzfähigkeit des Zeichens in der Schweiz ab. Zudem handle es sich ihrer Ansicht nach um einen Grenzfall.

8.2 Massgebend bei der Beantwortung der Frage, ob ein Zeichen Gemeingut darstellt, ist einzig die Sachlage in der Schweiz. Ausländischen Entscheidungen kommt daher gemäss ständiger bundesgerichtlicher Rechtsprechung grundsätzlich keine bindende präjudizielle Wirkung zu. Als eigentliche Indizien für die Eintragungsfähigkeit des betreffenden Zeichens als Marke sind solche Entscheide freilich nur dann zu werten, wenn es sich um einen Grenzfall handelt (Urteil des BGer 4A_261/2010 E. 4.1; Urteil des BVGer B-2937/2010 vom 14. Juli 2010 E. 5 "Gran Maestro"; BGE 130 III 113 E. 3.2 "Montessori"). Der vorliegende Fall ist aufgrund des klaren Gemeingutcharakters der Marke nicht als Grenzfall zu betrachten.

9.
Zusammenfassend ist festzuhalten, dass das Zeichen "Deluxe" von den relevanten Verkehrskreisen als beschreibend und anpreisend wahrgenommen wird. Auch die grafische Gestaltung vermag dem im Gemeingut stehenden Wortelement keine Unterscheidungskraft zu verleihen. Das Zeichen ist daher gemäss Art. 2 Bst. a
SR 232.11 Loi fédérale du 28 août 1992 sur la protection des marques et des indications de provenance (Loi sur la protection des marques, LPM) - Loi sur la protection des marques
LPM Art. 2 Motifs absolus d'exclusion - Sont exclus de la protection:
a  les signes appartenant au domaine public, sauf s'ils se sont imposés comme marques pour les produits ou les services concernés;
b  les formes qui constituent la nature même du produit et les formes du produit ou de l'emballage qui sont techniquement nécessaires;
c  les signes propres à induire en erreur;
d  les signes contraires à l'ordre public, aux bonnes moeurs ou au droit en vigueur.
MSchG vom Markenschutz ausgeschlossen. Die Beschwerde ist abzuweisen.

10.
Bei diesem Ausgang sind die Kosten des Beschwerdeverfahrens der Beschwerdeführerin aufzuerlegen (Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG). Die Gerichtsgebühren sind nach Umfang und Schwierigkeit der Streitsache, Art der Prozessführung und finanzieller Lage der Parteien festzulegen (Art. 63 Abs. 4bis
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG, Art. 2 Abs. 1
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 2 Calcul de l'émolument judiciaire - 1 L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés.
1    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés.
2    Le tribunal peut fixer un émolument judiciaire dépassant les montants maximaux visés aux art. 3 et 4, si des motifs particuliers le justifient, notamment une procédure téméraire ou nécessitant un travail exceptionnel.2
3    S'agissant de décisions relatives à des mesures provisionnelles, à la récusation, à la restitution d'un délai, à la révision ou à l'interprétation d'une décision, ainsi que de recours formés contre des décisions incidentes, les frais peuvent être revus à la baisse compte tenu du travail réduit qui en découle. Les montants minimaux mentionnés aux art. 3 et 4 doivent être respectés.
des Reglements vom 21. Februar 2008 über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht [VGKE, SR 73.320.2]). Bei Streitigkeiten betreffend Markeneintragungen sind Vermögensinteressen betroffen. Die Gerichtsgebühr bemisst sich folglich in erster Linie nach dem Streitwert (Art. 4
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 4 Emolument judiciaire dans les contestations pécuniaires - Dans les contestations pécuniaires, l'émolument judiciaire se monte à:
VGKE). Die Schätzung des Streitwerts hat sich an den Erfahrungswerten der Praxis zu orientieren, wobei bei eher unbedeutenden Zeichen grundsätzlich ein Streitwert zwischen Fr. 50'000.- und Fr. 100'000.- angenommen wird (BGE 133 III 490 E. 3.3 "Turbinenfuss [3D]"). Von diesem Erfahrungswert ist auch für das vorliegende Verfahren auszugehen. Die Kosten des vorliegenden Verfahrens sind mit Fr. 3'000.- zu beziffern und nach Eintritt der Rechtskraft dem von der Beschwerdeführerin in gleicher Höhe einbezahlten Kostenvorschuss zu entnehmen. Der Vorinstanz als Bundesbehörde ist keine Parteientschädigung auszurichten (Art. 7 Abs. 3
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
1    La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
2    Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion.
3    Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens.
4    Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens.
5    L'art. 6a s'applique par analogie.7
VGKE).

Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Verfahrenskosten von Fr. 3'000.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt und dem von ihr in gleicher Höhe geleisteten Kostenvorschuss entnommen.

3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.

4.
Dieses Urteil geht an:

- die Beschwerdeführerin (Gerichtsurkunde)

- die Vorinstanz (Ref-Nr. 1235004; Gerichtsurkunde)

- das Eidg. Justiz- und Polizeidepartement EJPD (Gerichtsurkunde)

Für die Rechtsmittelbelehrung wird auf die nächste Seite verwiesen.

Die vorsitzende Richterin: Die Gerichtsschreiberin:

Vera Marantelli Della Batliner

Rechtsmittelbelehrung:

Gegen diesen Entscheid kann innert 30 Tagen nach Eröffnung beim Bundesgericht, 1000 Lausanne 14, Beschwerde in Zivilsachen geführt werden (Art. 72 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
.,90 ff. und 100 BGG). Die Frist ist gewahrt, wenn die Beschwerde spätestens am letzten Tag der Frist beim Bundesgericht eingereicht oder zu dessen Handen der Schweizerischen Post oder einer schweizerischen diplomatischen oder konsularischen Vertretung übergeben worden ist (Art. 48 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 48 Observation - 1 Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
1    Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
2    En cas de transmission électronique, le moment déterminant pour l'observation d'un délai est celui où est établi l'accusé de réception qui confirme que la partie a accompli toutes les étapes nécessaires à la transmission.20
3    Le délai est également réputé observé si le mémoire est adressé en temps utile à l'autorité précédente ou à une autorité fédérale ou cantonale incompétente. Le mémoire doit alors être transmis sans délai au Tribunal fédéral.
4    Le délai pour le versement d'avances ou la fourniture de sûretés est observé si, avant son échéance, la somme due est versée à La Poste Suisse ou débitée en Suisse d'un compte postal ou bancaire en faveur du Tribunal fédéral.
BGG). Die Rechtsschrift ist in einer Amtssprache abzufassen und hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. Der angefochtene Entscheid und die Beweismittel sind, soweit sie die beschwerdeführende Partei in Händen hat, beizulegen (Art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG).

Versand: 13. August 2019