Tribunale federale
Tribunal federal

9C 137/2007 {T 0/2}

Sentenza del 21 aprile 2008
II Corte di diritto sociale

Composizione
Giudici federali U. Meyer, Presidente,
Borella, Kernen,
cancelliere Grisanti.

Parti
I.________,
ricorrente, patrocinato dall'avv. Stefano Zanetti, piazza Governo 4, 6500 Bellinzona,

contro

1. G.________, patrocinata dall'avv. Alberto F. Forni, via Luganetto 3, 6962 Viganello,
2. Fondazione istituto collettore LPP Amministrazione conti di libero passaggio, 8022 Zurigo,
3. Fondazione Collettiva LPP Rentenanstalt Swiss Life, 8022 Zurigo,
opponenti.

Oggetto
Previdenza professionale,

ricorso contro il giudizio del Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino del 6 marzo 2007.

Fatti:

A.
Con giudizio del 23 ottobre 2006, cresciuto in giudicato il 14 novembre seguente, il Pretore del Distretto di L.________ ha pronunciato il divorzio tra I.________ e G.________ e ha accertato tra l'altro il diritto della moglie all'accredito della metà della prestazione d'uscita accumulata dal marito durante il matrimonio, che era stato celebrato il 27 febbraio 1998.

Il 27 novembre 2006 il giudice del divorzio ha trasmesso al Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino l'incarto per determinare l'importo esatto da accreditare; importo che non aveva potuto essere stabilito nella procedura di divorzio.

B.
Esperiti i propri accertamenti, statuendo per giudice unico, la Corte cantonale ha stabilito che al momento del matrimonio non risultavano averi previdenziali del marito. Alla crescita in giudicato della sentenza di divorzio quest'ultimo avrebbe per contro disposto di una prestazione di uscita di fr. 2'717.- presso la Fondazione collettiva LPP della Rentenanstalt nonché di un avere di libero passaggio di fr. 81'621.15 presso la Fondazione istituto collettore LPP.

Ciò premesso, il giudice cantonale ha quantificato in fr. 84'338.15 l'avere di previdenza acquisito da I.________ durante il matrimonio e soggetto a divisione. Di conseguenza ha fatto ordine alla Fondazione collettiva LPP della Rentenanstalt e alla Fondazione istituto collettore LPP (a debito del conto n. ...) di versare a favore di G.________ - su un conto di libero passaggio da aprirsi presso quest'ultima Fondazione - la somma di fr. 1'358.50, rispettivamente di fr. 40'810.60 oltre interessi compensativi a partire dal 14 novembre 2006 (pronuncia del 6 marzo 2007).

C.
Patrocinato dall'avv. Stefano Zanetti, I.________ ha presentato ricorso al Tribunale federale, al quale chiede di modificare il giudizio cantonale e di fare ordine "alla Fondazione collettiva LPP della Rentenanstalt di versare a favore della signora G.________ sul conto N. ..., l'importo di fr. 21'407.45". Allegando nuova documentazione, il ricorrente osserva che al momento del matrimonio egli avrebbe in realtà disposto di una prestazione di libero passaggio di fr. 38'806.25. Pretende in conseguenza di ciò che l'avere di vecchiaia da lui maturato durante il matrimonio ammonterebbe a fr. 42'814.90 e che di questo importo soli fr. 21'407.45 spetterebbero alla ex moglie.

Rappresentata dall'avv. Alberto F. Forni, G.________ propone la reiezione del gravame ed evidenzia l'intempestività delle allegazioni ricorsuali. Per parte loro, la Fondazione istituto collettore LPP e la Fondazione collettiva LPP della Rentenanstalt, quest'ultima agente tramite Swiss Life, hanno rinunciato a presentare proposte specifiche, al pari dell'Ufficio federale delle assicurazioni sociali che non si è determinato.

Diritto:

1.
1.1 Interposto da una parte particolarmente toccata dalla decisione e avente un interesse degno di protezione al suo annullamento o alla sua modifica (art. 89 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
LTF), il ricorso, diretto contro una decisione finale (art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
LTF) pronunciata in una causa di diritto pubblico (art. 82 lett. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
LTF) da un'autorità cantonale di ultima istanza (art. 86 cpv. 1 lett. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
LTF), è di principio ricevibile essendo stato depositato entro il termine (art. 100 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
LTF) e nella forma (art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
LTF) di legge senza che si realizzi un'eccezione ai sensi dall'art. 83
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
LTF.

1.2 Il ricorso può essere presentato per violazione del diritto, conformemente a quanto stabilito dagli art. 95 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
96 LTF. Costituisce una violazione del diritto federale in particolare anche un accertamento incompleto dei fatti determinanti (v. Hansjörg Seiler/Nicolas von Werdt/Andreas Güngerich, Kommentar zum Bundesgerichtsgesetz, Berna 2007, no. 24 all'art. 97
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
). Per il resto, il Tribunale federale fonda la sua sentenza sui fatti accertati dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF). Può scostarsi da questo accertamento solo qualora esso sia avvenuto in modo manifestamente inesatto o in violazione del diritto ai sensi dell'art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
LTF (art. 105 cpv. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
LTF).

2.
Dopo avere interpellato le parti e gli istituti di previdenza da esse indicati (Fondazione collettiva LPP della Rentenanstalt, Fondazione istituto collettore LPP, Cassa di compensazione X.________, V.________), il primo giudice ha ritenuto che il ricorrente non disponesse di alcun avere previdenziale al momento del matrimonio. Infatti, nonostante il patrocinatore del ricorrente avesse indicato nella Fondazione istituto collettore LPP l'istituto di previdenza competente al momento del matrimonio, quest'ultima aveva segnalato in sede istruttoria di avere unicamente ricevuto nel corso dell'aprile/maggio 2004 un importo di fr. 79'246.45 a titolo di libero passaggio da parte della V.________, presso la quale l'interessato era stato affiliato dal 1° marzo al 31 agosto 2003. Per parte sua, la Cassa di compensazione X.________, presso la quale I.________ era stato assicurato dal 1° gennaio 2002 al 31 maggio 2003, aveva in precedenza comunicato di avere trasmesso il 13 giugno 2003 una prestazione di libero passaggio di fr. 76'041.- alla V.________. Ulteriori accertamenti sulla provenienza di questo importo non sono stati effettuati.

3.
3.1 Per la prima volta in sede federale, il ricorrente produce documentazione dalla quale risulta che egli avrebbe percepito indennità di disoccupazione una prima volta dal 13 maggio 1996 al 30 marzo 1998 e una seconda volta dal 1° marzo 2003 al 28 febbraio 2005. Inoltre allega un'attestazione 19 marzo 2007 della Cassa pensioni della B.________ dalla quale si evince che in data 17 giugno 1999 l'istituto di previdenza S.________ avrebbe versato alla predetta Cassa pensioni una prestazione di libero passaggio a lui attribuibile di fr. 38'806.25. Da tali circostanze, l'insorgente deduce l'impossibilità di un accumulo di fr. 84'338.15 - come per contro ritenuto dal primo giudice - in otto anni di matrimonio e, soprattutto, in soli quattro anni di attività. Egli rimprovera così al primo giudice di avere reso il suo giudizio sulla base di documentazione incompleta ed esige che l'avere di vecchiaia da lui maturato durante il matrimonio sia quantificato in fr. 42'814.90.

3.2 Il ricorrente, che fa valere per la prima volta in sede federale queste specifiche circostanze, non dimostra né spiega minimamente perché non avrebbe potuto allegarle precedentemente dinanzi alla precedente istanza. Ora, secondo l'art. 99 cpv. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
LTF, possono essere addotti fatti nuovi e nuovi mezzi di prova soltanto se ne dà motivo la decisione dell'autorità inferiore. Ciò non si avvera tuttavia nel caso di specie. Il ricorrente avrebbe infatti - al più tardi una volta raccolte le dichiarazioni dei vari istituti previdenziali interpellati dal primo giudice - con ogni verosimiglianza potuto (e dovuto) allegare i fatti e i mezzi di prova invocati già in sede cantonale. Invece, dopo essere stato informato dal giudice delegato dell'esito degli accertamenti e avere ricevuto la possibilità di determinarsi, ha fatto sapere mediante comunicazione 27 febbraio 2007 dell'avv. Zanetti di non avere ulteriori osservazioni. Ne discende che questi fatti e i relativi mezzi di prova, nuovi, sono inammissibili e non possono essere considerati ai fini del presente giudizio.

4.
Ciò non significa tuttavia ancora che il ricorso vada automaticamente respinto e la pronuncia cantonale confermata. A prescindere dall'(in)ammissibilità dei nuovi fatti e mezzi di prova allegati in questa sede, il ricorrente, seppur con una motivazione piuttosto approssimativa, fa valere anche un accertamento incompleto dei fatti e quindi una violazione del diritto federale da parte del primo giudice.

4.1 Nel settore delle assicurazioni sociali, la procedura è retta dal principio inquisitorio. In virtù di tale principio il giudice deve accertare d'ufficio i fatti determinanti della causa, fermo restando tuttavia l'obbligo per le parti di collaborare a tale accertamento nella misura in cui ciò risulti loro possibile ed esigibile. Il giudice deve segnatamente procedere o disporre indagini supplementari in presenza di valide ragioni, quali possono essere delle censure invocate dalle parti o comunque degli indizi risultanti dagli atti (DTF 117 V 282 consid. 4a con riferimenti). Questa Corte ha ad esempio già avuto modo di statuire che se anche le parti si astengono dal prestare la collaborazione necessaria ed esigibile, un assicuratore - lo stesso potendo valere, mutatis mutandis, per il giudice in caso di ricorso - può statuire sulla base degli atti unicamente se non gli risulta possibile, senza difficoltà e complicazioni particolari, stabilire altrimenti i fatti (v. ad esempio la sentenza del Tribunale federale delle assicurazioni K 123/01 del 14 gennaio 2003, pubblicata in REAS 2003 pag. 156, consid. 2.2 con riferimenti).

4.2 Nel caso di specie, anche volendo riconoscere che al ricorrente incombesse un obbligo di collaborare accresciuto alla ricostruzione e all'individuazione dei pregressi rapporti con gli istituti di previdenza, trattandosi di circostanze che egli doveva conoscere meglio di qualunque altra persona (v. consid. 3.2 non pubblicato in DTF 131 II 265; 128 II 139 consid. 2b pag. 142 seg. con riferimenti), il giudice cantonale non poteva comunque accontentarsi dei dati raccolti e concludere, come invece ha fatto, per l'assenza di averi previdenziali alla data del matrimonio. Soprattutto la comunicazione 26 gennaio 2007 della Cassa di compensazione X.________ avrebbe dovuto indurre l'autorità giudiziaria di primo grado ad approfondire la situazione. Basti qui ricordare che la Corte cantonale aveva giustamente richiesto, il 23 gennaio precedente, alla Cassa di precisare, oltre alla questione dell'affiliazione e dell'eventuale esistenza di una prestazione di libero passaggio alla data del matrimonio, i nominativi di eventuali precedenti e successivi istituti previdenziali ai quali l'interessato sarebbe stato affiliato. Ora, in virtù della risposta 26 gennaio 2007 della Cassa, che si era limitata ad indicare il periodo di assicurazione del
ricorrente presso di lei (dal 1° gennaio 2002 al 31 maggio 2003) e l'avvenuta trasmissione, il 13 giugno 2003, di una prestazione di libero passaggio di fr. 76'041.- alla V.________, il primo giudice avrebbe dovuto approfondire la questione della provenienza della prestazione di libero passaggio che, considerate la breve durata di affiliazione presso la Cassa e l'entità dell'importo trasmesso alla V.________, non poteva evidentemente essere stata accumulata nei soli 15 mesi di affiliazione presso detta Cassa. Questa riflessione doveva immediatamente imporsi anche alla luce degli ulteriori dati all'inserto, segnatamente dell'attestato della V.________, dal quale risultava chiaramente l'entità modesta dei contributi previdenziali conteggiati al ricorrente. Anche in considerazione di questo fatto, vista la palese sproporzione tra l'importo trasmesso dalla Cassa di compensazione X.________ e l'entità dei contributi del secondo pilastro conteggiati successivamente dalla V.________, doveva apparire chiara la preesistenza, al momento dell'affiliazione presso la Cassa di compensazione, di prestazioni di libero passaggio attribuibili al ricorrente. Tanto più che quest'ultimo, classe 1946, doveva vantare più anni d'attività lucrativa al
momento del matrimonio, concluso all'età di 52 anni. In tali circostanze, la Corte cantonale avrebbe quantomeno dovuto nuovamente interpellare la Cassa di compensazione e chiedere delucidazioni sulla provenienza della prestazione. Delucidazioni che per giunta avrebbero potuto essere ottenute senza difficoltà e complicazioni particolari (v. consid. 4.1). Ora, avendo omesso di approfondire questo aspetto importante ai fini di una corretta valutazione della vertenza, la Corte cantonale ha accertato i fatti determinanti in maniera incompleta e commesso una violazione del diritto federale (v. Seiler/von Werdt/Güngerich, op. cit., no. 24 all'art. 97
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
). Si impone pertanto il rinvio degli atti all'istanza precedente affinché disponga i necessari atti istruttori e si pronunci nuovamente sull'ammontare degli averi di previdenza accumulati dal ricorrente durante il matrimonio e sulla loro ripartizione a metà in conformità alla pronuncia di divorzio.

4.3 Va da sé che tale soluzione non intende in nessun modo incentivare comportamenti abusivi e esonerare i divorzianti dai propri obblighi di collaborazione, inducendoli segnatamente ad ostacolare il compito del giudice chiamato a fare piena luce sulla loro situazione previdenziale o comunque a speculare che, in caso di giudizio a loro sfavorevole, possano ancora, al momento opportuno, presentare i fatti e i mezzi di prova fino ad allora occultati. È chiaro che simili comportamenti rimangono vietati e verrebbero sanzionati in presenza di un'istruttoria condotta in conformità ai principi procedurali applicabili. Nel caso di specie, la questione era tuttavia un'altra. Si è trattato infatti di definire l'estensione dell'obbligo del giudice di accertare i fatti d'ufficio indipendentemente dall'obbligo per le parti di collaborare all'accertamento di questi fatti.

5.
Il (mancato) rispetto dell'obbligo di collaborare viene nondimeno indirettamente considerato anche nel presente contesto con il giudizio sulle spese. Il ricorrente, che dopo avere sottaciuto o comunque dimenticato per lunghi anni (durante la procedura di divorzio, prima, e durante quella assicurativa sociale, poi) l'esistenza dei pregressi (e peraltro nemmeno così remoti) rapporti previdenziali e che improvvisamente (in seguito a un giudizio da lui ritenuto sfavorevole), senza spiegarne le ragioni, vi si richiama producendo la documentazione invano cercata per anni, ha senz'altro contribuito con il suo comportamento processuale a causare le spese di giustizia del presente ricorso (art. 66 cpv. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
LTF). Tenuto conto dell'esito del giudizio, che vede l'insorgente vincente in causa, ma anche delle particolari circostanze del caso, si giustifica di ripartire le spese giudiziarie a metà tra gli ex coniugi I.________. Per le stesse ragioni si rinuncia ad assegnare ripetibili per la sede federale (art. 68 cpv. 1 e
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
4 LTF).

Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:

1.
Il ricorso è accolto nel senso che, annullato il giudizio del Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino del 6 marzo 2007, la causa è rinviata all'istanza di primo grado affinché proceda a un complemento istruttorio conformemente ai considerandi e renda un nuovo giudizio.

2.
Le spese giudiziarie di fr. 500.- sono poste a carico degli ex coniugi I.________ nella misura di metà ciascuno.

3.
Non si assegnano indennità di parte.

4.
Comunicazione alle parti, al Tribunale delle assicurazioni del Cantone Ticino e all'Ufficio federale delle assicurazioni sociali.
Lucerna, 21 aprile 2008
In nome della II Corte di diritto sociale
del Tribunale federale svizzero
Il Presidente: Il Cancelliere:

Meyer Grisanti