Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

2C 1018/2019

Urteil vom 16. Juli 2020

II. öffentlich-rechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Seiler, Präsident,
Bundesrichter Zünd,
Bundesrichterin Aubry Girardin,
Bundesrichter Donzallaz,
Bundesrichter Beusch,
Gerichtsschreiberin de Sépibus.

Verfahrensbeteiligte
1. A.A.________,
2. B.________,
Beschwerdeführer,
beide vertreten durch Advokat Andreas Wiede,

gegen

Realgymnasium U.________,
Bildungsdirektion des Kantons Zürich,
Walcheplatz 2, 8001 Zürich.

Gegenstand
Nichtbestehen der Aufnahmeprüfung,

Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Zürich, 4. Abteilung, vom 31. Oktober 2019 (VB.2019.00505).

Sachverhalt:

A.
C.A.________ absolvierte im Frühling des Jahres 2019 am Realgymnasium U.________ die Aufnahmeprüfung für das Langgymnasium. Am 22. März 2019 teilte der Prorektor dieses Gymnasiums den Eltern von C.A.________ mit, dass ihr Sohn mit einem Gesamtdurchschnitt von 4,34, sich ergebend aus den Noten der Aufnahmeprüfung (Note 3,63 in Deutsch und Note 4,25 in Mathematik) und seiner Erfahrungsnote im ersten Semester des sechsten Schuljahres (Note 4 in Deutsch und Note 5,5 in Mathematik), die Voraussetzungen zur Aufnahme ins Langgymnasium nicht erfülle.
Im Anschluss an diese Benachrichtigung wurde die Prüfungsnote in Mathematik von C.A.________ auf 4,5 angehoben, weshalb sich sein Gesamtdurschnitt auf 4,41 erhöhte. Da C.A.________s Notendurchschnitt weiterhin unter der für die Aufnahme von Volksschüler/innen erforderlichen Mindestnote von 4,5 lag, erhielt er jedoch weiterhin keinen günstigen Bescheid durch das Realgymnasium, was dessen Rektor den Eltern von C.A.________ am 28. März 2019 mitteilte

B.
Den gegen den Entscheid des Realgymnasiums erhobenen Rekurs wies die Bildungsdirektion des Kantons Zürich mit Verfügung vom 29. Juli 2019 ab. Gegen diesen Entscheid wurde eine Beschwerde beim Verwaltungsgericht des Kantons Zürich erhoben. Dieses wies am 8. August 2019 das Realgymnasium U.________ an, C.A.________ ab Beginn des Schuljahrs 2019/2020 einstweilen in das Langgymnasium aufzunehmen. Die Beschwerde an das Verwaltungsgericht des Kantons Zürich blieb jedoch erfolglos (Urteil vom 31. Oktober 2019).

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten und subsidiärer Verfassungsbeschwerde vom 5. Dezember 2019 gelangten A.A.________ und B.________, die Eltern von C.A.________, gemeinsam an das Bundesgericht. Sie beantragen, das Urteil des Verwaltungsgerichts aufzuheben und ihren Sohn definitiv in das Langgymnasium aufzunehmen. Eventualiter sei das Urteil des Verwaltungsgerichts aufzuheben und das Verfahren zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Während die Vorinstanz auf eine Vernehmlassung verzichtete, beantragte die Bildungsdirektion, die Beschwerde abzuweisen. Die Beschwerdeführer replizierten.
Der Abteilungspräsident entsprach mit Verfügung vom 10. Dezember 2019 dem Gesuch um vorsorgliche Massnahmen und gestattete dem Sohn der Beschwerdeführer den provisorischen Besuch des Langgymnasiums für die Dauer des bundesgerichtlichen Verfahrens unter dem Vorbehalt, dass dieser die entsprechenden Leistungen am Gymnasium erbringe und die kantonalen Behörden nicht um eine Abänderung der Verfügung ersuchen.

Erwägungen:

1.

1.1. Die frist- (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
BGG) und formgerecht (Art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) eingereichte Eingabe betrifft eine Angelegenheit des öffentlichen Rechts (Art. 82 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
BGG) und richtet sich gegen das kantonal letztinstanzliche (Art. 86 Abs. 1 lit. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
BGG), verfahrensabschliessende (Art. 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG) Urteil eines oberen Gerichts (Art. 86 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions:
1    Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Tribunal administratif fédéral;
b  du Tribunal pénal fédéral;
c  de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision;
d  des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert.
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
3    Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal.
BGG).

1.2. Das Rechtsmittel ist als Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten zulässig, da mit der vorliegenden Beschwerde nicht ein Urteil über das Ergebnis von Prüfungen und anderen Fähigkeitsbewertungen auf dem Gebiet der Schule angefochten ist (Art. 83 lit. t
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
BGG). Die Beschwerdeführer machen eine Ungleichbehandlung mit Blick auf die Aufnahmeregelung des Kantons Zürich an das Langgymnasium geltend. Die mitgeteilten Noten und der darauf basierende Notendurchschnitt sind nicht Streitgegenstand des vorliegenden Verfahrens.
Die Beschwerdeführer sind Inhaber der elterlichen Sorge. Ihnen steht die Vertretung ihres Sohns von Gesetzes wegen zu (vgl. Art. 304 Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 304 - 1 Les père et mère sont, dans les limites de leur autorité parentale, les représentants légaux de leurs enfants à l'égard des tiers.
1    Les père et mère sont, dans les limites de leur autorité parentale, les représentants légaux de leurs enfants à l'égard des tiers.
2    Lorsque les père et mère sont tous deux détenteurs de l'autorité parentale, les tiers de bonne foi peuvent présumer que chaque parent agit avec le consentement de l'autre.381
3    Les père et mère ne peuvent procéder à des cautionnements ni créer des fondations ou effectuer des donations au nom de l'enfant, à l'exception des présents d'usage.382
ZGB). Sie sind damit zur Ergreifung dieses Rechtsmittels sowohl im eigenen Namen als auch im Namen ihres Sohns berechtigt (vgl. Urteile 2C 824/2019 E. 1.2 vom 31. Januar 2020; 2C 1137/2018 E. 1.1 vom 14. Mai 2019; 2C 974/2014 vom 27. April 2015 E. 1.3; 2C 149/2008 vom 24. Oktober 2008 E. 1.2; vgl. auch BGE 119 Ia 178 E. 2b S. 181 f.). Die Beschwerdeführer sind bereits im kantonalen Verfahren als Partei beteiligt gewesen und dort mit ihren Anträgen nicht durchgedrungen. Ausserdem sind sie durch das angefochtene Urteil in ihren schutzwürdigen Interessen besonders berührt. Sie sind somit zur Erhebung des Rechtsmittels legitimiert (Art. 89 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    Ont aussi qualité pour recourir:
a  la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions;
b  l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération;
c  les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale;
d  les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours.
3    En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir.
BGG). Auf die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten ist daher einzutreten, was gleichzeitig die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausschliesst (Art. 113
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 113 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours constitutionnels contre les décisions des autorités cantonales de dernière instance qui ne peuvent faire l'objet d'aucun recours selon les art. 72 à 89.
BGG). Auf Letztere ist demzufolge nicht einzutreten.

1.3. Mit der Beschwerde kann namentlich die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG), wobei es - unter Berücksichtigung der allgemeinen Rüge- und Begründungspflicht (Art. 42 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG) - grundsätzlich nur die geltend gemachten Vorbringen prüft, sofern allfällige weitere rechtliche Mängel nicht geradezu offensichtlich sind (vgl. BGE 142 I 135 E. 1.5 S. 144; 133 II 249 E. 1.4.1 S. 254). Der Verletzung von Grundrechten sowie kantonalem und interkantonalem Recht geht das Bundesgericht nur nach, falls eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und ausreichend begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG; vgl. BGE 143 II 283 E. 1.2.2 S. 286; 139 I 229 E. 2.2 S. 232). Diese qualifizierte Rüge- und Begründungsobliegenheit nach Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG verlangt, dass in der Beschwerde klar und detailliert anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids dargelegt wird, inwiefern verfassungsmässige Rechte verletzt wurden (vgl. BGE 143 I 1 E. 1.4 S. 5; 133 II 249 E. 1.4.2 S. 254). Die Anwendung kantonalen Rechts wird sodann vom Bundesgericht nur daraufhin geprüft, ob dadurch Bundesrecht - namentlich das Willkürverbot oder die Rechtsgleichheit -
verletzt wurde (vgl. BGE 142 II 369 E. 2.1 S. 372; 138 I 143 E. 2 S. 149 f.; Urteil 2C 747/2018 vom 11. März 2019 E. 1.2).

2.
Seinem Urteil legt das Bundesgericht den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Der von der Vorinstanz festgestellte Sachverhalt kann nur erfolgreich gerügt, berichtigt oder ergänzt werden, wenn er offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht und die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG; Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG; vgl. BGE 142 I 135 E. 1.6 S. 144 f.; 140 III 16 E. 1.3.1 S. 17 f.). Rügt die beschwerdeführende Partei eine offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung, haben ihre Vorbringen den Anforderungen von Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG zu genügen (vgl. BGE 139 I 72 E. 9.2.3.6 S. 96; 133 II 249 E. 1.4.3 S. 255; Urteil 2C 1106/2018 vom 4. Januar 2019 E. 2.2).

2.1. Die Beschwerdeführer beanstanden vorab, die Vorinstanz habe den Sachverhalt willkürlich festgestellt, indem sie festhielt, dass ihr Sohn C.A.________ in seinen Schulzeugnissen von der 2. zur 6. Primarklasse in Deutsch stets eine Note zwischen 4 und 4.5 erzielt habe. Abge sehen von der Note im ersten Semester der 6. Klasse habe der Notendurchschnitt in Deutsch vielmehr stets zwischen 4,5 und 5 geschwankt. Dies zeige auf, dass die für die Aufnahme ins Langgymnasium relevante Benotung in Deutsch (Note 4) im ersten Semester der 6. Klasse willkürlich tief angesetzt worden sei. Die Beschwerdeführer verlangen zwar nicht die Überprüfung dieser Deutschnote, stellen sich aber auf den Standpunkt, dass der von der Vorinstanz willkürlich festgestellte Sachverhalt zur Aufhebung des angefochtenen Entscheids führen müsse.

2.2. Diese Rüge ist unbegründet. Gemäss § 11 Abs. 1 und Abs. 3 des Reglements des Regierungsrats vom 13. Juni 1999 für die Aufnahme in die Gymnasien im Anschluss an die 6. Primarklasse (Aufnahmereglement; AufnahmeR ZH; LS 413.250.1) ist für Kandidatinnen und Kandidaten der öffentlichen Schule die Erfahrungsnote des letzten regulären Zeugnis massgebend (vgl. § 11 Abs. 1 und Abs. 3 AufnahmeR ZH). Daraus folgt, dass nur die Erfahrungsnote des ersten Semesters der 6. Primarklasse für die Aufnahme in das Gymnasium von Relevanz und eine allfällig willkürliche Feststellung der Erfahrungsnoten der vorangehenden Jahre nicht entscheiderheblich ist (BGE 142 I 135 E. 1.6 S. 144 f.). Anzumerken ist ferner, dass höhere Erfahrungsnoten in diesen Jahren auch nicht zwingend nahelegen, dass die Deutschnote im ersten Semester der 6. Klasse willkürlich festgelegt worden wäre. Der Antrag der Beschwerdeführer, das Urteil aus diesem Grund aufzuheben, geht insofern fehl.

3.
Die Beschwerdeführer machen ferner geltend, das Aufnahmereglement verstosse gegen das in Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV verankerte Gleichbehandlungsgebot, insoweit es vorsehe, dass Volks schüler/innen der 6. Primarklasse nicht zum Langgymnasium zugelassen werden, auch wenn sie den für Privatschüler/innen erforderlichen Prüfungsdurchschnitt bei der Aufnahmeprüfung in die Mittelschule von 4,0 erreichen.

3.1. § 14 des Mittelschulgesetzes des Kantons Zürich vom 13. Juni 1999 (MSG ZH; LS 413.21) bestimmt, dass der Regierungsrat des Kantons Zürich die Bedingungen für die Aufnahme in die Mittelschule festlegt und die definitive Aufnahme vom Bestehen einer Prüfung und einer Probezeit abhängig ist. Gestützt auf diese Bestimmung hat der Regierungsrat am 13. Juni 1999 das Aufnahmereglement erlassen.

3.2. Gemäss § 13 AufnahmeR ZH werden Kandidatinnen und Kandidaten aus einer Privatschule in die Mittelschule aufgenommen, wenn sie bei der Aufnahmeprüfung eine Prüfungsnote von mindestens 4,0 vorweisen. Gleiches gilt für kandidierende Personen aus der 5. Klasse der Primarschule der öffentlichen Schule, bei denen die Erfahrungsnote ebenso keine Berücksichtigung findet (vgl. § 11 Abs. 2 AufnahmeR ZH i.v.m. § 1a AufnahmeR ZH). Kandidatinnen und Kandidaten der öffentlichen Schule im Anschluss an die 6. Klasse müssen hingegen mindestens eine Mischnote von 4,5 erreichen, welche sich aus dem Durchschnitt der Prüfungsnote sowie der Erfahrungsnote des ersten Semesters der 6. Primarklasse ergibt (vgl. § 11 und 12 AufnahmeR ZH).

3.3. Da die Mischnote des Sohns der Beschwerdeführer unter der gemäss § 12 AufnahmeR ZH erforderlichen Note 4,5 lag, wurde ihm der definitive Zugang zum Gymnasium verwehrt. Die Vorinstanz schützte diesen Entscheid mit der Begründung, dass die Erfahrungsnote nicht einzig dazu diene, Volksschüler/innen zu privilegieren, sondern ihr Einbezug die Prognose für den Erfolg im Gymnasium optimiere. Entgegen der Auffassung der Beschwerdeführer sei das Aufnahmereglement nicht auslegungsbedürftig. Dass die Berücksichtigung der Erfahrungsnoten nicht im Ermessen der Prüfungsorgane liege, habe der Zürcher Regierungsrat in einer Weisung zum Erlass des Aufnahmereglements ausdrücklich klargestellt. Die Zulassungsverweigerung des Sohns der Beschwerdeführer stelle auch keinen Verstoss gegen Art. 8 Abs. 1
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1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV dar, da die unterschiedliche Behandlung von Volks- gegenüber Privatschüler/innen, soweit überhaupt von gleichen Sachverhalten auszugehen sei, auf sachlichen Gründen beruhe.

3.4. Die Vorinstanz anerkannte zwar, dass mit dieser Regelung Volksschüler/innen eine fiktive Erfahrungsnote von 5,0 angerechnet werde und dass eine derartige Schematisierung in Einzelfällen zu einer Ungleichbehandlung führen könne. Angesichts der Notendurchschnitte von Volksschüler/innen von deutlich über 5,0 wirke sich die Regelung aber meistens zulasten der Kandidierenden von Privatschulen und nicht derjenigen von öffentlichen Schulen aus. Gegenüber dem Beschwerdeführer faktisch bessergestellt seien denn auch nur Privatschüler/innen, deren Erfahrungsnote an einer öffentlichen Schule tiefer als 5,0 wäre. Die Absenkung der Aufnahmehürde für Kandidierende ohne Erfahrungsnote diene dazu, zwischen Kandidierenden mit und ohne Erfahrungsnote vergleichbare Verhältnisse herzustellen. Eine allfällige faktische Ungleichbehandlung sei hinnehmbar, da die Schematisierung den Sohn der Beschwerdeführer nur indirekt treffe, indem sie nur wenig andere ihm gegenüber privilegiere. Er werde hingegen gleich behandelt wie alle anderen Volksschüler/innen, die während des Besuchs der 6. Klasse an einer öffentlichen Schule die Aufnahmeprüfung absolvieren.

3.5. Die Beschwerdeführer setzen dieser Würdigung entgegen, dass kein vernünftiger Grund bestehe, die Erfahrungsnote zuungunsten von Volksschüler/innen zu berücksichtigen. Die Verweigerung der Zulassung von Volksschüler/innen, wenn diese in der Aufnahmeprüfung die Note 4 erreichten, entbehre jeglicher Rechtfertigung. Wenn unbestritten sei, dass mit dem Einschluss der Erfahrungsnote verhindert werden könne, dass ausschliesslich die Tagesleistung eines Kandidaten für die Aufnahme in das Gymnasium ausschlaggebend sei, so dürfe nicht ausser Acht gelassen werden, dass die Erfahrungsnote das Ergebnis von ganz unterschiedlichen und verschiedenartigen Prüfungen sei, für deren Bewertung einheitliche Kriterien weitgehend fehlten. Diese würden von hunderten, äusserst unterschiedlichen Lehrpersonen abgenommen, welche über einen erheblichen Ermessensspielraum verfügten und sehr unterschiedlich zusammengesetzten Schulklassen gegenüberstünden. Da die Noten in der Regel aufgrund einer klasseninternen Normalverteilung erteilt würden, sei zudem ihre Vergleichbarkeit von Klasse zu Klasse und von Schule zu Schule sehr beschränkt.

3.6. Gemäss den Beschwerdeführern sei die ausschliessliche Berücksichtigung der Mischnote bei Volksschüler/innen der 6. Primarklasse schliesslich auch deswegen problematisch, weil damit ein Anreiz entstehe, Volksschüler/innen mit einer Erfahrungsnote unter 5,0 von der öffentlichen Schule zu nehmen, um ihre Erfolgschancen bei der Aufnahme ins Langgymnasium zu optimieren. Dies könne nicht im Sinne der öffentlichen Schule sein, nicht zuletzt auch, weil diese Möglichkeit nur wohlhabenden Erziehungsberechtigten offenstehe und damit die Chancengleichheit aller Kinder zusätzlich unterhöhle. Schliesslich führen die Beschwerdeführer ins Feld, dass ein begabter Kandidat zwar einen schlechten Tag haben, ein unbegabter aber angesichts der äusserst hohen Anforderungen der schriftlichen Aufnahmeprüfung diese kaum je einfach aus Glück bestehen könne.

3.7. Insoweit die Vorinstanz festhält, dass der Sohn der Beschwerdeführer nicht gegenüber anderen Volksschüler/innen aus der 6. Primarklasse benachteiligt werde, halten die Beschwerdeführer fest, dass diese Frage nicht Streitgegenstand des vorliegenden Verfahrens sei. Es müsse ausschliesslich geklärt werden, ob es mit Art. 8 Abs. 1
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1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV vereinbar sei, dass Volksschüler/innen aus der 6. Primarklasse nicht zum Gymnasium zugelassen werden, obwohl sie in der Aufnahmeprüfung die Note 4 erreicht haben, welche für Schüler/innen aus der Privatschule und Schüler/innen aus der 5. Primarklasse ausreichend ist.

4.

4.1. Das Bundesgericht hat sich in einem im Jahre 2019 entschiedenen Fall schon einmal mit der Frage der Verfassungsmässigkeit des Aufnahmereglements befasst (vgl. Urteil 2C 1137/2018 vom 14. Mai 2019 E. 2 und 5). Strittig war, ob die unterschiedlichen Anforderungen an die Aufnahme von Privat- und Volksschüler/innen der 6. Primarklasse in das Gymnasium (Prüfungsnote von mindestens 4,0 für Privatschüler/innen und Mischnote von mindestens 4,5 für Volksschüler/innen der 6. Primarklasse) vor dem in Art. 8
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2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV verankerten Gleichbehandlungsgebot standhielten. Die beschwerdeführende Privatschülerin hatte sich auf den Standpunkt gestellt, dass die dem Aufnahmereglement zugrundeliegende Schematisierung verfassungswidrig sei. Sie führe dazu, dass in den Jahren, in denen der Durchschnitt der Erfahrungsnoten der Volksschüler/innen über einer 5 liege, wie dies beispielsweise im Jahre 2015 der Fall war, als dieser bei 5,29 lag, Volksschüler/innen auch mit Noten unter einer 4 in der Aufnahmeprüfung ins Langgymnasium aufgenommen würden.

4.2. Das Bundesgericht stellte fest, dass die unterschiedlichen Aufnahmebedingungen von Privat- und Volkschüler/innen auf vernünftigen Gründen beruhten. Der Einbezug der Erfahrungsnote optimiere die Prognose für den Verbleib im Gymnasium, da die Erfahrungsnote Leistungen abbilde, die über einen längeren Zeitraum hinweg erbracht werden und weniger abhängig von der Tagesform eines Kandidierenden seien. Die Berücksichtigung der Erfahrungsnote von Privatschüler/innen sei hingegen nicht möglich, da Privatschulen im Gegensatz zu öffentlichen Schulen nicht der gleichen Aufsicht unterlägen. Obwohl nicht ausgeschlossen werden könne, dass die im Aufnahmereglement angelegte Schematisierung zu einer faktischen Ungleichbehandlung von Privat- und Volksschüler/innen führen könne, insbesondere wenn die tatsächliche durchschnittliche Erfahrungsnote wesentlich über oder unterhalb einer Note von 5,0 liege, gelangte das Bundesgericht zur Auffassung, dass diese aus Praktikabilitäts- und Rechtssicherheitsgründen gerechtfertigt sei. Einzig wenn die durchschnittliche Erfahrungsnote im langjährigen Mittel wesentlich über oder unterhalb der Note 5,0 zu liegen käme, müsse der Regierungsrat eine Änderung des Aufnahmereglements zur Gewährleistung der
Gleichbehandlung im Sinne von Art. 8 Abs. 1
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2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV prüfen.

4.3. Wie in dem vom Bundesgericht entschiedenen Fall stellt sich vorliegend die Frage, ob die in den § 11 i.V.m. § 12 AufnahmeR festgelegten unterschiedlichen Anforderungen an die Prüfungsnote der Aufnahmeprüfung von Privat- und Volksschüler/innen mit Art. 8 Abs. 1
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1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV vereinbar sei. Es gilt vorliegend insbesondere zu prüfen, ob Volksschüler/innen der 6. Primarklasse, deren Prüfungsnote zwar über 4, deren Mischnote aber unter 4,5 zu liegen kommt, vom Gymnasium ausgeschlossen werden dürfen.

4.4. Das in Art. 8 Abs. 1
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1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV verankerte Gebot der rechtsgleichen Behandlung verlangt, dass Gleiches nach Massgabe seiner Gleichheit gleich und Ungleiches nach Massgabe seiner Ungleichheit ungleich behandelt wird. Es ist verletzt, wenn ein Erlass hinsichtlich einer entscheidwesentlichen Tatsache rechtliche Unterscheidungen trifft, für die ein vernünftiger Grund in den zu regelnden Verhältnissen nicht ersichtlich ist, oder wenn er Unterscheidungen unterlässt, die sich aufgrund der Verhältnisse aufdrängen. Die Frage, ob für eine rechtliche Unterscheidung ein vernünftiger Grund in den zu regelnden Verhältnissen ersichtlich ist, kann zu verschiedenen Zeiten unterschiedlich beantwortet werden, je nach den herrschenden Anschauungen und Verhältnissen. Dem Gesetzgeber bleibt im Rahmen dieser Grundsätze und des Willkürverbots ein weiter Gestaltungsspielraum (vgl. BGE 144 I 113 E. 5.1.1 S. 115; 143 I 361 E. 5.1 S. 367 f.; 142 II 425 E. 4.2 S. 427; 139 I 242 E. 5.1 S. 254). Ein gewisser Schematismus ist dabei angesichts der Vielfalt der zu regelnden Fälle hinzunehmen (BGE 143 I 65 E. 5.2 S. 68). Eine besondere Zurückhaltung des Verfassungsrichters drängt sich hier um so mehr auf, als es nicht nur um einen Vergleich zwischen zwei Kategorien
von Berechtigten, sondern um das Gesamtsystem geht; der Gesetzgeber oder Verfassungsrichter läuft daher stets Gefahr, neue Ungleichheiten zu schaffen, wenn er im Hinblick auf zwei Kategorien Gleichheit erzielen will (BGE 143 I 65 E. 5.2 S. 68).

4.5. Die Frage der rechtsungleichen Behandlung muss im Lichte des Zweckes des Aufnahmereglements beurteilt werden. Dieser besteht unbestrittenermassen darin, eine Selektion der geeignetsten Schüler/ innen für das Langgymnasium vorzunehmen.

4.6. Welches Aufnahmeverfahren bzw. welche Kriterien am besten geeignet sind, dieses Ziel zu erreichen, wird kontrovers diskutiert. Den Vorteilen von allgemeinen Aufnahmeprüfungen (gleiche Prüfungsbedingungen, erhöhte Objektivität) stehen Nachteile gegenüber, die insbesondere darin bestehen, dass die Prüfungen nur eine Momentaufnahme der Leistungsfähigkeit der Anwärter und Anwärterinnen für das Gymnasium abbilden. Erfahrungsnoten ermöglichen ihrerseits die Berücksichtigung von Leistungen über eine längere Zeitspanne hinweg, ihre Vergleichbarkeit ist jedoch aufgrund der stärker subjektiv geprägten Beurteilung der schulischen Leistung und des klasseninternen Bezugssystems bei der Notengebung beschränkt. In der Wissenschaft wird darauf hingewiesen, dass kein Selektionsmodus zu einer optimalen Kandidatenauslese führt und insbesondere Kinder aus bildungsfernen und sozial benachteiligten Haushalten im heutigen Schulsystem nicht die gleichen Chancen haben, in das Gymnasium aufgenommen zu werden (vgl. Jann/Combet, Zur Entwicklung der intergenerationalen Mobilität in der Schweiz, Schweizerische Zeitschrift für Soziologie, 2/2012, S. 163f.)

4.7. Die Ausgestaltung der Aufnahmebedingungen in das Gymnasium durch die Kantone erfolgt denn auch auf sehr unterschiedliche Weise und hängt insbesondere auch von der Art und Weise ab, wie die Sekundarstufe I, welche den zweiten Teil der obligatorischen Schulzeit darstellt, organisiert ist. In einigen Kantonen wird der Unterricht in verschiedenen Leistungsgruppen (getrennte Klassen mit zwei oder mehr Niveaus, gemischte Klassen mit verschiedenen Niveaus in den Hauptfächern usw.) organisiert. In anderen Kantonen gibt es bereits auf der Sekundarstufe I Klassenzüge, die auf das Gymnasium vorbereitenund es gibt auch Kantone, wie Zürich, in denen das Gymnasium auf Sekundarstufe beginnt (sog. Langgymnasium). Die Aufnahmeverfahren sind im Detail unterschiedlich. Der Selektion zugrunde liegen Gesamtbeurteilungen, Noten und Aufnahmeprüfungen oder eine Kombination davon. In einigen Kantonen müssen alle Anwärterinnen und Anwärter eine Prüfung ablegen, in anderen nur ein Teil der Schüler/innen. In gewissen Kantonen stellt die Aufnahmeprüfung eine Alternative dar, wenn die Schule für den Besuch der gymnasialen Ausbildung keine Empfehlung ausspricht. In gewissen Kantonen besteht zudem eine Probezeit im ersten Jahr des Gymnasiums, welche die
Bestätigung bzw. die Korrektur des Übertrittsentscheids ermöglicht. Auch die Aufnahmebedingungen für Privatschüler/innen sind je nach Kanton unterschiedlich geregelt. Wird in gewissen Kantonen ausschliesslich auf die Resultate der Aufnahmeprüfungen abgestellt, so erfolgt in anderen die Aufnahme gleich wie in der Volksschule gestützt auf die Erfahrungsnoten (Schweizerische Konferenz der kantonalen Erziehungsdirektoren, Übertritt in allgemeinbildende Schulen der Sekundarschule II: rechtliche Grundlagen, Informationszentrum IDES, 2017).

4.8. Das Bundesgericht anerkannte in seinem Urteil 2C 1137/2018 vom 14. Mai 2019, dass der Entscheid, bei der Aufnahme von Volksschüler/innen in das Gymnasium auf eine Mischnote von 4,5 abzustellen, im Lichte von Art. 8 Abs. 1
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Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV nicht zu beanstanden sei, soweit die Erfahrungsnote im langjährigen Mittel nicht wesentlich über oder unterhalb der Note 5,0 zu liegen komme. Damit hat das Bundesgericht zum Ausdruck gebracht, dass Ungleichbehandlungen von Volks- und Privatschüler/innen hinzunehmen sind, insoweit sie auf nachvollziehbaren, sachlich begründeten Kriterien beruhen und die Anlegung unterschiedlicher Massstäbe an die Prüfungsnote der Aufnahmeprüfung nicht langfristig in unhaltbarer Weise die eine oder die andere Schülerkategorie begünstigt bzw. benachteiligt.

4.9. Dass das Abstellen auf eine Mischnote bei Volksschüler/innen geeignet ist, zu einer Optimierung der Kandidatenauslese zu führen, wird von den Beschwerdeführenden nicht bestritten. Diesem Entscheid ist inhärent, dass der an der Aufnahmeprüfung zu erreichende minimale Notendurchschnitt je nach erreichter Erfahrungsnote unterschiedlich ausfällt. Dieses willkürfreie und die Rechtsgleichheit wahrende System wird nicht dadurch in Frage gestellt, dass es sich nicht auf den Bereich der Privatschulen ausdehnen lässt und für diese eine andere Aufnahmeregelung getroffen werden muss.

4.10. Soweit die Beschwerdeführenden sich auf den Standpunkt stellen, dass das Bundesgericht zwar gebilligt habe, dass einzelne Privatschüler/innen, nicht jedoch auch einzelne Volksschüler/innen in Bezug auf den zu erreichenden Mindestnotendurchschnitt an der Aufnahmeprüfung vergleichsweise strengere Voraussetzungen zu erfüllen haben, gehen sie fehl. Das Bundesgericht stellte in seinem Urteil klar, dass der durch das Aufnahmereglement angelegte schematisierende Ausgleich auch dann zulässig ist, wenn er sich zuungunsten der kandidierenden Personen mit Erfahrungsnote auswirkt. Es hat mithin ausgeschlossen, dass die Volksschüler/innen über ein Wahlrecht verfügen, ob sie sich die Erfahrungsnote anrechnen lassen wollen oder nicht. In Anbetracht dieser Rechtsprechung hat die Vorinstanz durch ihren Entscheid, den Sohn der Beschwerdeführenden nicht zum Gymnasium zuzulassen, Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV nicht verletzt.

5.
Im Ergebnis erweist sich die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten als unbegründet, weshalb sie abzuweisen ist. Auf die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ist nicht einzutreten. Diesem Verfahrensausgang entsprechend tragen die Beschwerdeführer unter solidarischer Haftung die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Parteientschädigungen sind nicht geschuldet (Art. 68 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
und Abs. 3 BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten wird abgewiesen.

2.
Auf die subsidiäre Verfassungsbeschwerde wird nicht eingetreten.

3.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden den Beschwerdeführern unter solidarischer Haftbarkeit auferlegt.

4.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Verwaltungsgericht des Kantons Zürich, 4. Abteilung, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 16. Juli 2020

Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Seiler

Die Gerichtsschreiberin: de Sépibus