Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 374/2021

Urteil vom 13. August 2021

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Wüest.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokat André M. Brunner,
Beschwerdeführerin,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente; Invalideneinkommen),

Beschwerde gegen das Urteil des Kantonsgerichts Basel-Landschaft vom
22. Oktober 2020 (725 20 239 / 252).

Sachverhalt:

A.
Die 1979 geborene A.________ arbeitete vom 1. Dezember 2001 bis zum 31. Januar 2017 bei der B.________ AG und war dadurch bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 7. Juni 2013 erlitt sie einen Autounfall, bei dem sie sich unter anderem Verletzungen (Frakturen) am rechten Fuss und an der linken Hand zuzog. Die Suva anerkannte ihre Leistungspflicht und erbrachte die gesetzlichen Leistungen. Per 31. Januar 2017 stellte sie die Taggeldleistungen ein, da A.________ in Bezug auf die Unfallfolgen wieder zu 75 % arbeitsfähig sei. In der Folge bezog A.________ Taggelder der Arbeitslosenversicherung. Nach einer Rückfallmeldung vom 31. Juli 2018 richtete die Suva erneut Taggelddeistungen bei einer Arbeitsunfähigkeit von 100 % aus. Nach medizinischen und erwerblichen Abklärungen, insbesondere nach Veranlassung einer Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit in der Rehaklinik C.________ (Bericht vom 9. Juli 2019), teilte sie A.________ mit Schreiben vom 23. Juli 2019 mit, dass sie die Taggelder und Heilkosten per 31. August 2019 einstellen und den Rentenanspruch prüfen werde. Mit Verfügung vom 31. Juli 2019 sprach sie ihr ab 1. September 2019 eine Invalidenrente
basierend auf einem Invaliditätsgrad von 22 % und eine Integritätsentschädigung bei einem Integritätsschaden von 13 % zu. Die dagegen erhobene Einsprache hiess die Suva mit Einspracheentscheid vom 12. Mai 2020 dahingehend teilweise gut, dass sie den Invaliditätsgrad auf 23 % erhöhte.

B.
Mit Urteil vom 22. Oktober 2020 wies das Kantonsgericht Basel-Landschaft die hiergegen geführte Beschwerde ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, es seien das angefochtene Urteil und der Einspracheentscheid vom 12. Mai 2020 aufzuheben und es sei ihr bis zum Abschluss der Ausbildung zur medizinischen Sekretärin weiterhin das Taggeld auszurichten. Zu gegebener Zeit sei ihr für die Zeit nach dem Abschluss der Umschulung eine Invalidenrente auf der Basis des bis dahin eingetretenen Sachverhalts auszurichten. Eventualiter seien das angefochtene Urteil und der Einspracheentscheid aufzuheben und es sei ihr eine Rente auf der Basis eines Invaliditätsgrades von 38 % zuzusprechen.
Während die Suva mit Verweis auf die Begründung im vorinstanzlichen Urteil auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Gesundheit (BAG) auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 135 II 384 E. 2.2.1). Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.

2.1. Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz zu Recht den Fallabschluss per 31. August 2019 und einen Rentenanspruch der Beschwerdeführerin ab 1. September 2019 basierend auf einem Invaliditätsgrad von 23 % bestätigte.

2.2. Die Integritätsentschädigung war bereits im Einspracheverfahren nicht mehr streitig, sodass diesbezüglich Teilrechtskraft eingetreten ist (vgl. dazu BGE 144 V 354 E. 4.3 mit Hinweisen).

2.3. Im angefochtenen Entscheid sind die massgebenden Bestimmungen und Grundsätze über das anwendbare Recht (BGE 141 V 657 E. 3.5.1; Abs. 1 der Übergangsbestimmungen zur Änderung des UVG vom 25. September 2015, AS 2016 4375, 4387) und die Voraussetzungen des Fallabschlusses mit gleichzeitiger Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG; BGE 137 V 199 E. 2.1; 134 V 109 E. 4) richtig dargelegt. Darauf wird verwiesen.

3.

3.1. Vorab rügt die Beschwerdeführerin eine Verletzung des rechtlichen Gehörs (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV). Sie macht geltend, sie habe in der vorinstanzlichen Beschwerde vorgebracht, dass sie als medizinische Sekretärin ein Einkommen erzielen werden könne, welches das bisherige, gestützt auf das Kompetenzniveau 1 festgelegte Invalideneinkommen übersteige. Damit habe sich die Vorinstanz nicht auseinandergesetzt. Dasselbe gelte in Bezug auf ihre Vorbringen zum anwendbaren Kompetenzniveau.

3.2. Mit dieser Rüge dringt die Beschwerdeführerin nicht durch. In Erwägung 4.3 des angefochtenen Urteils hielt die Vorinstanz fest, der Beschwerdeführerin wäre es auch ohne die Ausbildung zur medizinischen Sekretärin möglich gewesen, mindestens ein Invalideneinkommen im Umfang zu erzielen, wie es die Beschwerdegegnerin gestützt auf das Kompetenzniveau 2 der Schweizerischen Lohnstrukturerhebung des Bundesamtes für Statistik (LSE) berechnet habe. Sie hat damit dargelegt, weshalb ihrer Ansicht nach die erwähnte Ausbildung dem Fallabschluss per 31. August 2019 nicht entgegensteht. Auch hinsichtlich des für die Ermittlung des Invalideneinkommens anwendbaren Kompetenzniveaus hat das kantonale Gericht die entscheidwesentlichen Punkte dargelegt, womit es seiner Begründungspflicht nachgekommen ist. Der Gehörsanspruch nach Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV verlangt denn auch nicht, dass sich die Behörde bei der Begründung ihres Entscheides mit allen Parteistandpunkten einlässlich auseinandersetzt und jedes einzelne Vorbringen ausdrücklich widerlegt (BGE 142 II 49 E. 9.2, 136 I 229 E. 5.2; Urteil 8C 662/2020 13. Januar 2021 E. 5.2.2).

4.
Strittig ist sodann der Zeitpunkt des Fallabschlusses.

4.1. Die Vorinstanz stellte in diesem Zusammenhang fest, per 31. August 2019 seien die Folgen des Unfallereignisses vom 7. Juni 2013 resp. des Rückfalles vom 30. Juli 2018 nach Aktenlage soweit abgeheilt gewesen, dass von einer weiteren ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustands mehr habe erwartet werden können. Sie prüfte sodann, ob zu jenem Zeitpunkt noch Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung im Gange waren (vgl. Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG) und bejahendenfalls, ob die Ausbildung zur medizinischen Sekretärin geeignet sei, den Invaliditätsgrad zu beeinflussen. Beide Fragen verneinte sie. Zum einen handle es sich bei der von der IV-Stelle erteilten Kostengutsprache für die Ausbildung zur medizinischen Sekretärin um eine Massnahme der Frühintervention und nicht um eine eigentliche Eingliederungsmassnahme nach Art. 8 ff
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 8 Principe - 1 Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
1    Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
a  que ces mesures soient nécessaires et de nature à rétablir, maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels;
b  que les conditions d'octroi des différentes mesures soient remplies.78
1bis    Le droit aux mesures de réadaptation n'est pas lié à l'exercice d'une activité lucrative préalable. La détermination des mesures tient notamment compte:
a  de l'âge de l'assuré;
b  de son niveau de développement;
c  de ses aptitudes, et
d  de la durée probable de la vie active.79
1ter    En cas d'interruption d'une mesure de réadaptation, l'octroi de la même mesure ou d'une autre mesure de réadaptation est examiné à nouveau conformément aux al. 1 et 1bis.80
2    Les assurés ont droit aux prestations prévues aux art. 13 et 21, quelles que soient les possibilités de réadaptation à la vie professionnelle ou à l'accomplissement de leurs travaux habituels.81
2bis    Les assurés ont droit aux prestations prévues à l'art. 16, al. 3, let. b, que les mesures de réadaptation soient nécessaires ou non pour maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels.82
3    Les mesures de réadaptation comprennent:
a  des mesures médicales;
abis  l'octroi de conseils et d'un suivi;
ater  des mesures de réinsertion préparant à la réadaptation professionnelle;
b  des mesures d'ordre professionnel;
c  ...
d  l'octroi de moyens auxiliaires;
e  ...
4    ...88
. IVG, weshalb die Beschwerdegegnerin nicht mit dem Fallabschluss habe zuwarten müssen. Zum anderen habe der Ausbildungskurs zur medizinischen Sekretärin keine Auswirkungen auf das hypothetisch unfallbedingt auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt zumutbarerweise erzielbare Invalideneinkommen und damit auf den Invaliditätsgrad. Mithin würde der erfolgreiche Abschluss der Ausbildung an dem
von der Beschwerdegegnerin berechneten Mindesteinkommen nichts ändern.

4.2. Die Beschwerdeführerin bestreitet nicht, dass der Heilungsprozess der Gesundheitsbeeinträchtigungen abgeschlossen sei. Sie opponiert jedoch dem Fallabschluss per 31. August 2019 mit dem Hinweis, dass zu jenem Zeitpunkt die Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung noch nicht abgeschlossen gewesen seien.

4.3.

4.3.1. Rechtsprechungsgemäss kann sich der in Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
Satz 1 UVG vorbehaltene Abschluss allfälliger Eingliederungsmassnahmen der IV, soweit es um berufliche Massnahmen geht, nur auf Vorkehren beziehen, welche geeignet sind, den der Invalidenrente der Unfallversicherung zugrunde zu legenden Invaliditätsgrad zu beeinflussen (RKUV 2004 Nr. U 508 S. 165 E. 5.2.2, U 105/03; Urteile 8C 103/2019 vom 16. April 2019 E. 4.1; 8C 651/2016 vom 15. Dezember 2016 E. 4.3).

4.3.2. Es mag zwar sein, dass die Beschwerdeführerin - wie sie vorträgt - den von der Invalidenversicherung finanzierten Ausbildungskurs zur medizinischen Sekretärin im Zeitpunkt des Einspracheentscheides der Suva noch nicht abgeschlossen hatte. Wie die Vorinstanz aber richtig erkannte, ist dieser Kurs nicht geeignet, den der Invalidenrente der Unfallversicherung zugrunde zu legenden Invaliditätsgrad zu beeinflussen, wie sich aus dem Folgenden ergibt.

4.3.3. Zunächst scheint es sich beim Ausbildungskurs zur medizinischen Sekretärin nicht um eine Eingliederungsmassnahme im Sinne von Art. 8 ff
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 8 Principe - 1 Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
1    Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
a  que ces mesures soient nécessaires et de nature à rétablir, maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels;
b  que les conditions d'octroi des différentes mesures soient remplies.78
1bis    Le droit aux mesures de réadaptation n'est pas lié à l'exercice d'une activité lucrative préalable. La détermination des mesures tient notamment compte:
a  de l'âge de l'assuré;
b  de son niveau de développement;
c  de ses aptitudes, et
d  de la durée probable de la vie active.79
1ter    En cas d'interruption d'une mesure de réadaptation, l'octroi de la même mesure ou d'une autre mesure de réadaptation est examiné à nouveau conformément aux al. 1 et 1bis.80
2    Les assurés ont droit aux prestations prévues aux art. 13 et 21, quelles que soient les possibilités de réadaptation à la vie professionnelle ou à l'accomplissement de leurs travaux habituels.81
2bis    Les assurés ont droit aux prestations prévues à l'art. 16, al. 3, let. b, que les mesures de réadaptation soient nécessaires ou non pour maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels.82
3    Les mesures de réadaptation comprennent:
a  des mesures médicales;
abis  l'octroi de conseils et d'un suivi;
ater  des mesures de réinsertion préparant à la réadaptation professionnelle;
b  des mesures d'ordre professionnel;
c  ...
d  l'octroi de moyens auxiliaires;
e  ...
4    ...88
. IVG, sondern um eine Massnahme der Frühintervention gemäss Art. 7d Abs. 2 lit. b
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7d - 1 Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
1    Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
a  de faciliter l'accès à une formation professionnelle initiale des mineurs dès l'âge de 13 ans atteints dans leur santé et des jeunes adultes jusqu'à l'âge de 25 ans atteints dans leur santé, ainsi que de soutenir leur entrée sur le marché du travail;
b  de maintenir à leur poste les assurés en incapacité de travail (art. 6 LPGA72);
c  de permettre la réadaptation des assurés à un nouveau poste au sein de la même entreprise ou ailleurs.73
2    Les offices AI peuvent ordonner les mesures suivantes:
a  adaptation du poste de travail;
b  cours de formation;
c  placement;
d  orientation professionnelle;
e  réadaptation socioprofessionnelle;
f  mesures d'occupation;
g  conseils et suivi.
3    Nul ne peut se prévaloir d'un droit aux mesures d'intervention précoce.
4    Le Conseil fédéral peut compléter la liste des mesures. Il règle la durée de la phase d'intervention précoce et fixe le montant maximal pouvant être consacré, par assuré, aux mesures de ce type.
IVG zu handeln, wie bereits die Überschrift der Mitteilung der IV-Stelle vom 23. November 2017 nahe legt. Mit Hilfe der Massnahmen der Frühintervention soll der bisherige Arbeitsplatz erhalten bleiben oder sollen die Versicherten an einem neuen Arbeitsplatz innerhalb oder ausserhalb des bisherigen Betriebes eingegliedert werden (Art. 7d Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7d - 1 Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
1    Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
a  de faciliter l'accès à une formation professionnelle initiale des mineurs dès l'âge de 13 ans atteints dans leur santé et des jeunes adultes jusqu'à l'âge de 25 ans atteints dans leur santé, ainsi que de soutenir leur entrée sur le marché du travail;
b  de maintenir à leur poste les assurés en incapacité de travail (art. 6 LPGA72);
c  de permettre la réadaptation des assurés à un nouveau poste au sein de la même entreprise ou ailleurs.73
2    Les offices AI peuvent ordonner les mesures suivantes:
a  adaptation du poste de travail;
b  cours de formation;
c  placement;
d  orientation professionnelle;
e  réadaptation socioprofessionnelle;
f  mesures d'occupation;
g  conseils et suivi.
3    Nul ne peut se prévaloir d'un droit aux mesures d'intervention précoce.
4    Le Conseil fédéral peut compléter la liste des mesures. Il règle la durée de la phase d'intervention précoce et fixe le montant maximal pouvant être consacré, par assuré, aux mesures de ce type.
IVG; Urteil 8C 837/2019 vom 16. September 2020 E. 5.3). Mit Ausbildungskursen im Speziellen sollen die Eingliederungschancen der versicherten Personen mit verhältnismässigem Ausbildungsaufwand erhöht werden (vgl. Kreisschreiben über die Früherfassung und die Frühintervention [KSFEFI], Rz. 3012.2). Solche Massnahmen der Frühintervention stellen keine Eingliederungsmassnahmen dar (vgl. KSFEFI, Rz. 3003).

4.3.4. Zwar sprach die IV-Stelle der Beschwerdeführerin den Ausbildungskurs erst rund 3,5 Jahre nach der IV-Anmeldung vom April 2014 zu, was gegen eine Massnahme der Frühintervention spricht (vgl. Art. 49
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 49 Mise en oeuvre des mesures de réadaptation - L'office AI décide de mettre en oeuvre ou non des mesures de réadaptation (art. 28, al. 1, let. a), douze mois au plus tard après que l'assuré a fait valoir son droit aux prestations selon l'art. 29, al. 1, LPGA299.
IVG i.V.m. Art. 1septies
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI)
RAI Art. 1septies Durée de la phase d'intervention précoce - La phase d'intervention précoce s'achève par:
a  la décision relative à la mise en oeuvre des mesures de réadaptation prévues à l'art. 8, al. 3, let. ater 13 et b, LAI;
b  la communication du fait qu'aucune mesure de réadaptation ne peut être mise en oeuvre avec succès et que le droit à la rente sera examiné, ou
c  la décision selon laquelle l'assuré n'a droit ni à des mesures de réadaptation prévues à l'art. 8, al. 3, let. ater 14 et b, LAI, ni à une rente.
IVV). Indessen teilte sie ihr auch zweimal ausdrücklich mit, dass Eingliederungsmassnahmen nicht möglich seien: am 12. März 2015 mit Hinweis auf den Gesundheitszustand der Beschwerdeführerin und am 8. Dezember 2017 aufgrund der laufenden Betreuung durch die Arbeitslosenversicherung. Ein Taggeld richtete sie der Beschwerdeführerin folgerichtig nicht aus. Mit Vorbescheid vom 12. Juli 2018 kündigte sie ihr sodann die Zusprache einer vom 1. Februar 2015 bis zum 30. November 2016 befristeten Invalidenrente an, wobei sie von einer 100%igen Arbeitsfähigkeit für angepasste Tätigkeiten ausging.

4.3.5. Letztlich kann dabei offen bleiben, ob es sich beim von der IV-Stelle finanzierten Ausbildungskurs um eine Massnahme der Frühintervention gemäss Art. 7d Abs. 2 lit. b
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 7d - 1 Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
1    Les mesures d'intervention précoce ont pour but:
a  de faciliter l'accès à une formation professionnelle initiale des mineurs dès l'âge de 13 ans atteints dans leur santé et des jeunes adultes jusqu'à l'âge de 25 ans atteints dans leur santé, ainsi que de soutenir leur entrée sur le marché du travail;
b  de maintenir à leur poste les assurés en incapacité de travail (art. 6 LPGA72);
c  de permettre la réadaptation des assurés à un nouveau poste au sein de la même entreprise ou ailleurs.73
2    Les offices AI peuvent ordonner les mesures suivantes:
a  adaptation du poste de travail;
b  cours de formation;
c  placement;
d  orientation professionnelle;
e  réadaptation socioprofessionnelle;
f  mesures d'occupation;
g  conseils et suivi.
3    Nul ne peut se prévaloir d'un droit aux mesures d'intervention précoce.
4    Le Conseil fédéral peut compléter la liste des mesures. Il règle la durée de la phase d'intervention précoce et fixe le montant maximal pouvant être consacré, par assuré, aux mesures de ce type.
IVG oder um eine Eingliederungsmassnahme im Sinne von Art. 8 ff
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 8 Principe - 1 Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
1    Les assurés invalides ou menacés d'une invalidité (art. 8 LPGA77) ont droit à des mesures de réadaptation pour autant:
a  que ces mesures soient nécessaires et de nature à rétablir, maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels;
b  que les conditions d'octroi des différentes mesures soient remplies.78
1bis    Le droit aux mesures de réadaptation n'est pas lié à l'exercice d'une activité lucrative préalable. La détermination des mesures tient notamment compte:
a  de l'âge de l'assuré;
b  de son niveau de développement;
c  de ses aptitudes, et
d  de la durée probable de la vie active.79
1ter    En cas d'interruption d'une mesure de réadaptation, l'octroi de la même mesure ou d'une autre mesure de réadaptation est examiné à nouveau conformément aux al. 1 et 1bis.80
2    Les assurés ont droit aux prestations prévues aux art. 13 et 21, quelles que soient les possibilités de réadaptation à la vie professionnelle ou à l'accomplissement de leurs travaux habituels.81
2bis    Les assurés ont droit aux prestations prévues à l'art. 16, al. 3, let. b, que les mesures de réadaptation soient nécessaires ou non pour maintenir ou améliorer leur capacité de gain ou leur capacité d'accomplir leurs travaux habituels.82
3    Les mesures de réadaptation comprennent:
a  des mesures médicales;
abis  l'octroi de conseils et d'un suivi;
ater  des mesures de réinsertion préparant à la réadaptation professionnelle;
b  des mesures d'ordre professionnel;
c  ...
d  l'octroi de moyens auxiliaires;
e  ...
4    ...88
. IVG (vgl. etwa Art. 16 Abs. 2 lit. c
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 16 Formation professionnelle initiale - 1 L'assuré qui a arrêté son choix professionnel, qui n'a pas encore eu d'activité lucrative et à qui sa formation professionnelle initiale occasionne, du fait de son invalidité, des frais beaucoup plus élevés qu'à une personne valide a droit au remboursement de ses frais supplémentaires si la formation répond à ses aptitudes.
1    L'assuré qui a arrêté son choix professionnel, qui n'a pas encore eu d'activité lucrative et à qui sa formation professionnelle initiale occasionne, du fait de son invalidité, des frais beaucoup plus élevés qu'à une personne valide a droit au remboursement de ses frais supplémentaires si la formation répond à ses aptitudes.
2    La formation professionnelle initiale doit si possible viser l'insertion professionnelle sur le marché primaire du travail et être mise en oeuvre sur ce marché.
3    Sont assimilés à la formation professionnelle initiale:
a  la formation dans une nouvelle profession pour les assurés qui, après la survenance de l'invalidité, ont entrepris de leur propre chef une activité professionnelle inadéquate qui ne saurait être raisonnablement poursuivie;
b  le perfectionnement dans le domaine professionnel de l'assuré ou dans un autre domaine, pour autant qu'il soit approprié et convenable, et qu'il permette, selon toute vraisemblance, de maintenir ou d'améliorer la capacité de gain de l'assuré, à l'exception du perfectionnement dispensé dans les organisations visées à l'art. 74; il peut être dérogé à cette exception dans des cas dûment motivés définis par l'OFAS;
c  la préparation à un travail auxiliaire ou à une activité en atelier protégé.
4    Le Conseil fédéral peut fixer les conditions d'octroi des mesures visées à l'al. 3, let. c, à savoir leur nature, leur durée et leur étendue.
IVG) handelt. Wie die Vorinstanz jedenfalls im Ergebnis richtig erkannte, könnte die Beschwerdeführerin auch ohne die Ausbildung zur medizinischen Sekretärin ein Einkommen in der Höhe des von der Suva ermittelten Invalideneinkommens erzielen (vgl. E. 5 f. hiernach). Insoweit ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz in Bestätigung des Einspracheentscheids der Suva 12. Mai 2020 davon ausging, im Zeitpunkt des Fallabschlusses am 31. August 2019 seien keine Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung im Gange gewesen, welche geeignet gewesen wären, den von der Suva berechneten Invaliditätsgrad zu beeinflussen, und sie infolgedessen einen Anspruch der Beschwerdeführerin auf weitere Taggeldleistungen nach dem 31. August 2019 verneinte.

5.
Streitig ist sodann die Höhe des Invalideneinkommens.

5.1. Unbestritten ist, dass das Invalideneinkommen anhand der statistischen Werte der LSE, Tabelle TA1 (TA1 tirage skill level), zu bestimmen ist. Während die Suva und die Vorinstanz davon ausgehen, die Beschwerdeführerin könne ein Einkommen entsprechend dem Kompetenzniveau 2 erzielen, macht diese geltend, für die Bemessung des Invalideneinkommens sei auf das Kompetenzniveau 1 abzustellen.

5.2. Die Vorinstanz stellte gestützt auf die Beurteilung der Rehaklinik C.________ fest, der Beschwerdeführerin sei unfallbedingt nur noch eine sehr leichte, vorwiegend sitzende Tätigkeit zuzumuten, die ganztags ausgeübt werden könne. Zusätzlich seien insgesamt mindestens 2 Stunden Pausen pro Tag zu berücksichtigen, da im Verlauf des Tages eine Verschlechterung des Gangbildes auftrete und es zusätzlich zu einer Schmerzzunahme an der linken Hand komme. Aufgrund der rechtsseitigen Fussbeschwerden komme nur eine wechselbelastende Tätigkeit in Frage, ohne Ersteigen von Leitern und Gerüsten und mit einer maximal einstündigen Geh- und Stehdauer am Stück. Wegen der Einschränkungen der linken Hand seien keine Expositionen gegenüber Vibrationen und Stössen sowie kein Krafteinsatz möglich. Damit sei die berufliche Tätigkeit als Verkäuferin nicht mehr zumutbar.

5.3. Wenn die versicherte Person nach Eintritt der Invalidität - wie hier - nicht auf einen angestammten Beruf zurückgreifen kann, rechtfertigt sich die Anwendung von LSE-Kompetenzniveau 2 nach der bundesgerichtlichen Praxis nur dann, wenn sie über besondere Fertigkeiten und Kenntnisse verfügt (Urteile 8C 737/2020 vom 23. Juli 2021 E. 2; 8C 5/2020 vom 22. April 2020 E. 5.3.2; 8C 227/2018 vom 14. Juni 2018 E. 4.2.2 und 8C 457/2017 vom 11. Oktober 2017 E. 6.3, je mit Hinweisen). In diesem Zusammenhang stellte das kantonale Gericht fest, die Beschwerdeführerin habe im Jahr 1997 eine Lehre als Sporttextil-Verkäuferin mit einer sehr guten Note abgeschlossen. Von November 2000 bis November 2001 habe sie als Filialleiterin in einer Modeboutique gearbeitet, wo sie unter anderem 5 Mitarbeitende geführt, das Kassenwesen geleitet und die Filialadministration innegehabt habe. Zwar liege diese Tätigkeit - wie auch der Lehrabschluss - bereits lange zurück, sodass ihr heute keine entscheide Bedeutung zugemessen werden könne. Immerhin zeige sich aber, dass die Beschwerdeführerin nicht nur einfache Verkaufstätigkeiten ausgeübt, sondern bereits kurze Zeit nach dem Lehrabschluss Führungs- und Unternehmensverantwortung übernommen habe, was durchaus
als besondere Fähigkeit anzusehen sei. Zudem zeige die Teilnahme am Ausbildungskurs zur medizinischen Sekretärin, dass die Beschwerdeführerin über ein hohes intellektuelles Niveau verfüge, was sich auch aus dem absolvierten Ausbildungskurs für Ausbildner im Jahr 2001 und dem Expertenkurs für Verkauf und Warenkunde im Detailhandel im Jahr 2006 sowie der Ausbildung als Hypnosetherapeutin im Jahr 2012 ergebe. Ausschlaggebend für die Einreihung im Kompetenzniveau 2 sei vorliegend aber, dass die Beschwerdeführerin viele Jahre bei der B.________ AG nicht nur als Möbelverkäuferin, sondern auch als Lehrmeisterin sowie als stellvertretende Teamleiterin gearbeitet und als Prüfungsexpertin beim Schweizerischen Möbelverband gewirkt habe. Diese beruflichen Umstände würden davon zeugen, dass die Beschwerdeführerin über besondere Fähigkeiten und Kompetenzen verfüge, die auch branchenübergreifend zum Zuge kämen. Es sei deshalb nicht davon auszugehen, die Beschwerdeführerin könne nur noch intellektuell nicht anspruchsvolle Arbeiten mit einer Minimal- oder gar keiner Ausbildung verrichten. Es stehe ihr vielmehr ein genügend breites Feld von erwerblichen Tätigkeiten des Kompetenzniveaus 2 offen.

5.4. Die Beschwerdeführerin bestreitet, dass sie über besondere Fertigkeiten und Kenntnisse verfügt. Dies zeige sich etwa darin, dass sie auch ohne die heute vorliegenden unfallbedingten körperlichen Einschränkungen nie mehr als einen Lohn des Kompetenzniveaus 1 habe erreichen können. Die Vorinstanz hielt diesbezüglich allerdings zutreffend fest, dass - gerade mit Blick auf die unterdurchschnittlichen Löhne im Detailhandel - für die Bestimmung des Kompetenzniveaus nicht der für eine früher ausgeübte berufliche Tätigkeit entrichtete Lohn ausschlaggebend ist, sondern die daraus gewonnenen Kenntnisse und Fähigkeiten. Mit der Vorinstanz ist davon auszugehen, dass die Beschwerdeführerin die im Rahmen der bisherigen Tätigkeiten und Ausbildungen (Lehrmeisterin; Filialleiterin mit Führungsaufgaben; stellvertretende Teamleiterin; Prüfungsexpertin; Ausbildungskurs für Ausbildner) erworbenen praktischen Fähigkeiten nicht ausschliesslich in einer Verkaufstätigkeit, sondern auch in einer wechselbelastenden Tätigkeit, etwa in der Administration, verwerten kann (vgl. Urteil 8C 534/2019 vom 18. Dezember 2019 E. 5.3.3.2). Auch wenn sie seit dem Unfall vom 7. Juni 2013 keiner Erwerbstätigkeit mehr nachgegangen ist, sie seit 2011 keine Lehrlinge
mehr betreut hat und auch die Tätigkeit als stellvertretende Teamleiterin mehrere Jahre zurückliegt, kann nicht gesagt werden, der Beschwerdeführerin seien lediglich noch einfache Tätigkeiten körperlicher oder handwerklicher Art (entsprechend dem Kompetenzniveau 1) zuzumuten. Immerhin nahm sie zuletzt an einer Ausbildung zur medizinischen Sekretärin teil, wenngleich sie dabei nach eigenen Angaben an ihre Leistungsgrenze stiess. Soweit die Beschwerdeführerin vorbringt, die Tätigkeit als Prüfungsexpertin beim Schweizerischen Möbelverband sei unentgeltlich erfolgt, weshalb dabei keine besonderen Fertigkeiten hätten gewonnen werden können, überzeugt dies nicht, ist doch die Erlangung von besonderen Kenntnissen nicht von der Entlöhnung abhängig.

5.5. Aus dem Urteil 8C 136/2019 vom 2. Juli 2019 kann die Beschwerdeführerin bereits deshalb nichts für sich ableiten, weil dort das Kompetenzniveau im Rahmen der Ermittlung des Invalideneinkommens vor Bundesgericht nicht strittig war. Auf Seiten des Invalideneinkommens gab einzig der Abzug vom Tabellenlohn Anlass zu Diskussionen. Ausserdem liegt der hier zu beurteilende Fall auch hinsichtlich der absolvierten Aus- und Weiterbildungen anders: Während im dort beurteilten Fall der Versicherte ausschliesslich im Gartenbau tätig war und über keine abgeschlossene Ausbildung als Landschaftsgärtner verfügte, kann die Beschwerdeführerin eine abgeschlossene Lehre, eine Ausbildung zur Ausbildnerin und Expertin für Lehrabschlussprüfungen sowie Erfahrungen als Filialleiterin und stellvertretende Teamleiterin vorweisen.

5.6. Auch aus der Invaliditätsbemessung der Invalidenversicherung vermag die Beschwerdeführerin nichts zu ihren Gunsten abzuleiten. Abgesehen davon, dass die Invaliditätsschätzung der Invalidenversicherung gegenüber dem Unfallversicherer keine Bindungswirkung entfaltet (BGE 133 V 549 E. 6, 131 V 362; Urteil 8C 563/2020 vom 7. Dezember 2020 E. 4.2.5) bestand im Zeitpunkt des Einspracheentscheids der Suva erst der Vorbescheid der IV-Stelle. Diesem ist zudem zu entnehmen, dass auch ausgehend vom Kompetenzniveau 1 ab Dezember 2016 kein Anspruch auf eine Invalidenrente mehr bestehe. Insoweit musste sich die IV-Stelle nicht veranlasst sehen, sich näher mit dem anwendbaren Kompetenzniveau (1 oder 2) zu befassen.

5.7. Nach dem Gesagten verletzte die Vorinstanz kein Bundesrecht, indem sie bei der Ermittlung des Invalideneinkommens auf das Kompetenzniveau 2 abstellte.

6.
Streitig ist schliesslich die Höhe des Abzugs vom Tabellenlohn.

6.1. Die Vorinstanz erwog, es bestehe ein genügend breites Spektrum an zumutbaren Verweistätigkeiten auch im Kompetenzniveau 2. Der erhöhte Pausenbedarf der Beschwerdeführerin von 2 Stunden pro Tag sei bereits bei der Beurteilung der Leistungsfähigkeit in Form einer Reduktion des Arbeitspensums im Umfang von 24 % berücksichtigt worden. Andere Umstände, die zu einem höheren Abzug führen würden, seien nicht ersichtlich. Weder der Umstand, dass die Beschwerdeführerin zwar ganztags arbeitsfähig, hierbei aber nur reduziert leistungsfähig sei, noch die Tatsache, dass ihr nur noch sehr leichte Tätigkeiten möglich seien, rechtfertige einen Abzug vom Tabellenlohn. Der von der Suva gewährte Abzug von 5 % für die qualitativen Beeinträchtigungen sei nicht zu beanstanden.

6.2. Die Beschwerdeführerin macht demgegenüber einen Abzug von 15 % geltend. Häufige Pausen seien bei der Arbeit ineffizient, was in Form eines Abzugs zu berücksichtigen sei. Soweit sie sich dabei auf das Urteil des Bundesgerichts 9C 765/2019 vom 11. Mai 2020 beruft, kann ihr nicht gefolgt werden, wurde doch auch im dort beurteilten Fall - gleich wie hier - dem erhöhten Pausenbedarf bereits im Rahmen der Einschätzung der Arbeitsfähigkeit hinreichend Rechnung getragen. Sodann hielt die Vorinstanz zwar gestützt auf den Bericht der Rehaklinik C.________ vom 9. Juli 2019 fest, die Beschwerdeführerin benötige täglich insgesamt mindestens 2 Stunden Pause. Daraus kann die Beschwerdeführerin aber nicht ableiten, der zusätzliche Pausenbedarf sei im Durchschnitt höher als 2 Stunden, zumal im Bericht der Rehaklinik unter dem Titel Schlussfolgerungen und Empfehlungen von zusätzlichen Pausen, insgesamt zirka - und nicht mindestens - 2 Stunden pro Tag, die Rede ist. Weiter erblickt die Beschwerdeführerin im Umstand, dass ihr nur noch sehr leichte Tätigkeiten mit weiteren Einschränkungen zumutbar seien, einen Grund für einen erhöhten Abzug. Unter sehr leichten Tätigkeiten, vorwiegend sitzend ausgeübt, sind Arbeiten zu verstehen, bei denen Lasten
von maximal 5 kg zu hantieren sind (vgl. Bericht der Rehaklinik C.________ zur Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit vom 9. Juli 2019). Dass die Beschwerdeführerin bei einer solchen Tätigkeit nur bei Inkaufnahme einer Lohneinbusse reale Chancen für eine Anstellung haben soll, ist nicht nachvollziehbar, dürfte das Kompetenzniveau 2 doch eine Vielzahl sitzender Tätigkeiten beinhalten, bei denen Lasten unter 5 kg zu hantieren sind. In Bezug auf die übrigen Einschränkungen (vgl. E. 5.2 hiervor) hat die Vorinstanz richtig erkannt, dass trotz dieser Beeinträchtigungen von einem genügend breiten Spektrum an zumutbaren Verweistätigkeiten auszugehen ist. Ebenso wenig fällt der Aspekt der fehlenden Dienstjahre ins Gewicht, zumal die Beschwerdeführerin mit Blick auf ihre früheren Tätigkeiten als Filialleiterin über Berufserfahrung im Administrativbereich verfügt (vgl. Arbeitszeugnis vom 30. November 2001; vgl. Urteil 9C 422/2017 vom 18. Mai 2018 E. 4.5.2).

6.3. Wenn die Vorinstanz insgesamt einen Abzug von 5 % als angemessen erachtete, so kann darin nach dem Gesagten keine rechtsfehlerhafte Ermessensausübung (vgl. BGE 132 V 393 E. 3.3; Urteil 8C 58/2018 vom 7. August 2018 E. 3.1.2) erblickt werden.

6.4. Damit hat es bei dem von der Vorinstanz ermittelten Invalideneinkommen in der Höhe von Fr. 44'016.- sein Bewenden. Die Gegenüberstellung (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG) mit dem unbestritten gebliebenen Valideneinkommen von Fr. 57'024.- ergibt einen Invaliditätsgrad von 23 %, weshalb die Beschwerde auch in diesem Punkt unbegründet ist.

7.
Zusammenfassend hat die Vorinstanz kein Bundesrecht verletzt, indem sie den Zeitpunkt des Fallabschlusses per 31. August 2019 sowie den Invaliditätsgrad von 23 % bestätigt hat. Die Beschwerde ist demnach abzuweisen.

8.
Dem Verfahrensausgang entsprechend hat die unterliegende Beschwerdeführerin die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Basel-Landschaft und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 13. August 2021

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Der Gerichtsschreiber: Wüest