Bundesverwaltungsgericht
Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal


Abteilung II

B-4073/2021

Urteil vom 7. Juni 2022

Richter Daniel Willisegger (Vorsitz),

Besetzung Richter Pietro Angeli-Busi, Richter Jean-Luc Baechler,

Gerichtsschreiberin Astrid Hirzel.

A._______,
Parteien
Beschwerdeführer,

gegen

Staatssekretariat für Bildung,
Forschung und Innovation SBFI,

Vorinstanz,

Prüfungskommission Technische Kaufleute
c/o ANAVANT Schweizerischer Verband
technischer Kaderleute,

Erstinstanz.

Gegenstand Berufsprüfung für Technische Kaufleute 2020.

Sachverhalt:

A.

A.a A._______ (nachfolgend: Beschwerdeführer) absolvierte 2020 zum zweiten Mal die Berufsprüfung für Technische Kaufleute. Mit Verfügung vom 21. Oktober 2020 teilte ihm die Prüfungskommission Technische Kaufleute (nachfolgend: Erstinstanz oder Prüfungskommission) mit, dass er die Prüfung nicht bestanden habe. In fünf von neun Prüfungsteilen erzielte er die Note 3.5. Die Gesamtnote betrug 3.8.

A.b Mit Eingabe vom 18. November 2020 erhob der Beschwerdeführer gegen den Prüfungsentscheid Beschwerde beim Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation SBFI (nachfolgend: Vorinstanz) und beantragte die Aufhebung der Prüfungsverfügung und Notenanhebungen in den Prüfungsteilen 1 (auf Note 4), 6 (auf Note 4.5) und 8 (in Anwendung einer korrigierten Notenskala auf mind. Note 4) sowie die Möglichkeit, den Prüfungsteil 9 ohne Anrechnung eines Fehlversuchs wiederholen zu können. Nach Absolvieren der mündlichen Prüfung (Prüfungsteil 9) sei neu zu verfügen. Eventualiter sei die Prüfungsverfügung vom 21. Oktober 2020 aufzuheben, die bereits bestandenen Prüfungsteile seien als bestanden zu werten und der Beschwerdeführer sei ohne Anrechnung eines Fehlversuchs zur Repetition der nicht bestandenen Prüfungsteile zuzulassen. In verfahrensrechtlicher Hinsicht beantragte er, die Erstinstanz sei aufzufordern, bei den Prüfungsteilen 1, 6 und 8 bekannt zu geben, welche Punkte bei den einzelnen Antworten vergeben worden seien, und ihm anschliessend Gelegenheit zur Beschwerdeergänzung zu geben.

B.
Mit Entscheid vom 21. Juli 2021 wies die Vorinstanz die Beschwerde ab und auferlegte dem Beschwerdeführer Verfahrenskosten von Fr. 860.-. Dem vor Vorinstanz anwaltlich vertretenen Beschwerdeführer wurde keine Parteientschädigung zugesprochen.

C.
Mit Eingabe vom 8. September 2021 erhob der Beschwerdeführer dagegen Beschwerde vor Bundesverwaltungsgericht. Er beantragt, "es seien die Fachnoten im Sinne der Beanstandungen anzuheben und die Prüfung als bestanden zu erklären".

D.
Mit Vernehmlassung vom 11. November 2021 beantragt die Vorinstanz, die Beschwerde sei abzuweisen.

E.
Mit Vernehmlassung vom 12. November 2021 beantragt die Erstinstanz, die Beschwerde sei abzuweisen, soweit darauf einzutreten sei.

Das Bundesverwaltungsgericht zieht in Erwägung:

1.
Das Bundesverwaltungsgericht ist für die Beurteilung der vorliegenden Beschwerde zuständig (Art. 61 Abs. 2
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr)
LFPr Art. 61 - 1 Les autorités de recours sont:
1    Les autorités de recours sont:
a  une autorité cantonale désignée par le canton, pour les décisions prises par les autorités cantonales ou par les prestataires de la formation professionnelle ayant un mandat du canton;
b  le SEFRI, pour les autres décisions prises par des organisations extérieures à l'administration fédérale.
c  ...
2    Au surplus la procédure est régie par les dispositions générales du droit de la procédure administrative fédérale.
des Berufsbildungsgesetzes vom 13. Dezember 2002 [BBG, SR 412.10] i.V.m. Art. 31 f
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20.
. sowie Art. 33 Bst. d
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)
LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions:
a  du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale;
b  du Conseil fédéral concernant:
b1  la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26,
b10  la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44;
b2  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27,
b3  le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29,
b4  l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31,
b4bis  l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens,
b5  la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34,
b6  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36,
b7  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38,
b8  la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40,
b9  la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42;
c  du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cbis  du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel;
cquater  du procureur général de la Confédération, en matière de rapports de travail des procureurs qu'il a nommés et du personnel du Ministère public de la Confédération;
cquinquies  de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail de son secrétariat;
cter  de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail des membres du Ministère public de la Confédération élus par l'Assemblée fédérale (Chambres réunies);
d  de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées;
e  des établissements et des entreprises de la Confédération;
f  des commissions fédérales;
g  des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises;
h  des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées;
i  d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral.
des Verwaltungsgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005 [VGG, SR 173.32] und Ziff. 7.32 der Prüfungsordnung über die Berufsprüfung Technischer Kaufmann/Technische Kauffrau mit eidgenössischem Fachausweis vom 1. Januar 2019 [nachfolgend: Prüfungsordnung]). Der Beschwerdeführer hat ein Rechtsschutzinteresse an der Überprüfung seines Gesamtergebnisses der Berufsprüfung als Technischer Kaufmann, da vorliegend der Entscheid über das Bestehen oder Nichtbestehen der Prüfung in Frage steht (vgl. BGE 136 I 229 E. 2.6). Er ist zur Beschwerdeführung legitimiert (Art. 48 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque:
1    A qualité pour recourir quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire;
b  est spécialement atteint par la décision attaquée, et
c  a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification.
2    A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir.
des Verwaltungsverfahrensgesetzes vom 20. Dezember 1968 [VwVG, SR 172.021]), hat den Kostenvorschuss bezahlt (Art. 63 Abs. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG) und die Beschwerde frist- und formgerecht eingereicht (Art. 50 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 50 - 1 Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision.
1    Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision.
2    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
und Art. 52 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
1    Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains.
2    Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours.
3    Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable.
VwVG). Auf die Beschwerde ist einzutreten.

2.

2.1 Das Bundesverwaltungsgericht überprüft angefochtene Prüfungsentscheide umfassend, soweit sich die Rügen auf Verfahrensmängel im Prüfungsablauf sowie die Auslegung und Anwendung von Rechtsnormen beziehen (vgl. Art. 49
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer:
a  la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation;
b  la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents;
c  l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours.
VwVG; BVGE 2010/11 E. 4.2 in fine), jedoch mit einer gewissen Zurückhaltung, soweit diese sich auf die materielle Bewertung von Prüfungsleistungen beziehen (BVGE 2010/11 E. 4.1; BVGE 2010/10 E. 4.1; vgl. Urteil des BGer 2P.44/2007 vom 2. August 2007 E. 2.2 in fine). Auf die Rüge der Unangemessenheit der Bewertung von Prüfungsleistungen ist nur dann detailliert einzugehen, wenn die beschwerdeführende Partei selbst substantiierte und überzeugende Anhaltspunkte mit den entsprechenden Beweismitteln dafür liefert, dass das Ergebnis materiell nicht vertretbar ist, eindeutig zu hohe Anforderungen gestellt oder die Prüfungsleistungen offensichtlich unterbewertet wurden (BVGE 2010/21 E. 5.1, BVGE 2010/11 E. 4.3). Die entsprechenden Rügen müssen insbesondere von objektiven Argumenten und Beweismitteln getragen sein (BVGE 2010/10 E. 4.1). Solange die Bewertung nicht als fehlerhaft oder offensichtlich unangemessen erscheint beziehungsweise keine Anhaltspunkte dafür vorliegen, dass sich die Examinierenden von sachfremden Kriterien haben leiten lassen, ist auf die Meinung der Experten abzustellen und es besteht kein Anlass von der vorgenommenen Beurteilung abzuweichen. Das Bundesverwaltungsgericht hat sich lediglich davon zu überzeugen, dass die Korrekturen beziehungsweise Bewertungen insgesamt nachvollziehbar und schlüssig sind (vgl. BVGE 2008/14 E. 3.2). Auf Verfahrensfragen nehmen all jene Einwände Bezug, die den äusseren Ablauf der Prüfung, die Aufgabenstellung oder das Vorgehen bei der Bewertung betreffen (Urteil des BVGer B-6256/2009 vom 14. Juni 2010 E. 3). Ein rechtserheblicher Verfahrensmangel liegt vor, wo ein Mangel in kausaler Weise das Prüfungsergebnis eines Kandidaten entscheidend beeinflussen kann oder beeinflusst hat (Urteil des BGer 2D_6/2010 vom 24. Juni 2010 E. 5.2). Die Beweislast für allfällige Verfahrensfehler obliegt der beschwerdeführenden Partei (Urteil des BVGer B-822/2016 vom 24. August 2017 E. 4 in fine).

2.2 In einem Beschwerdeverfahren nehmen diejenigen Prüfungsexperten, deren Bewertung beanstandet wird, im Rahmen der Vernehmlassung der Prüfungskommission Stellung. Dabei überprüfen sie ihre Bewertung und geben bekannt, ob und aus welchen Gründen sie eine Korrektur als gerechtfertigt erachten oder nicht. Solange konkrete Hinweise auf Befangenheit fehlen und die Beurteilung weder als offensichtlich fehlerhaft noch als völlig unangemessen, sondern vielmehr als schlüssig und überzeugend erscheint, ist deshalb auf die Meinung der Prüfungsexperten abzustellen. Voraussetzung dafür ist, dass die Stellungnahme insofern vollständig ist, als darin die substantiierten Rügen der beschwerdeführenden Partei beantwortet werden und die Auffassung der Prüfungsexperten, insbesondere soweit sie von derjenigen der beschwerdeführenden Partei abweicht, nachvollziehbar und einleuchtend ist (BVGE 2010/11 E. 4.2).

3.

3.1 Die Berufsprüfung zum Technischen Kaufmann mit eidgenössischem Fachausweis besteht aus neun Prüfungsteilen, die in Ziff. 5.1 Prüfungsordnung festgelegt sind. Es handelt sich um die Prüfungsteile 1 "Supply Chain Management", 2 "Marketing und Verkauf", 3 "Personalmanagement", 4 "Finanzwirtschaft", 5 "Unternehmensführung", 6 "Recht und Volkswirtschaft", 7 "Integrierte Fallstudie", 8 "Problemlösungs- und Entscheidungsmethodik" und 9 "Präsentation und Kommunikation". Die Prüfung ist bestanden, wenn: a) die Gesamtnote nicht unter 4.0 liegt; b) nicht mehr als 2 Prüfungsteilnoten unter 4.0 liegen; c) keine Prüfungsteilnote unter 3.0 liegt; d) der Prüfungsteil 7 "Integrierte Fallstudie" mit einer Note von mindestens 4.0 oder höher bestanden wird (Ziff. 6.41 Prüfungsordnung). Die Gesamtnote der Prüfung ist das Mittel aus den Noten der einzelnen Prüfungsteile. Sie wird auf eine Dezimale gerundet (Ziff. 6.23 Prüfungsordnung). Die Prüfungskommission entscheidet allein auf Grund der erbrachten Leistungen über das Bestehen der Prüfung. Wer die Prüfung bestanden hat, erhält den eidgenössischen Fachausweis (Art. 43 Abs. 1
SR 412.10 Loi fédérale du 13 décembre 2002 sur la formation professionnelle (LFPr)
LFPr Art. 43 Brevet et diplôme; inscription au registre - 1 Le brevet est décerné à la personne qui a réussi l'examen professionnel fédéral. Le diplôme est décerné à la personne qui a réussi l'examen professionnel fédéral supérieur.
1    Le brevet est décerné à la personne qui a réussi l'examen professionnel fédéral. Le diplôme est décerné à la personne qui a réussi l'examen professionnel fédéral supérieur.
2    Le brevet et le diplôme sont délivrés par le SEFRI.
3    Le SEFRI tient un registre public des noms des titulaires d'un brevet ou d'un diplôme.
Satz 1 BBG i.V.m. Ziff. 6.43 Prüfungsordnung).

3.2 Der Beschwerdeführer hat die Bestehenskriterien in Bst. a und b von Ziff. 6.23 Prüfungsordnung nicht erfüllt: Die Gesamtnote beträgt gerundet 3.8 und fünf Prüfungsteilnoten liegen unter 4.0 (Prüfungsteile 1, 4, 6, 8 und 9). Er rügt, wie bereits vor der Vorinstanz, eine Unterbewertung einzelner Aufgaben aus den Prüfungsteilen 1, 6 und 8, wobei er nicht bei sämtlichen Aufgaben darlegt, wie viele Punkte er statt der erteilen Punkteanzahl beantragt.

3.3 Die Vorinstanz erwägt im angefochtenen Entscheid, die Prüfungskommission sei auf sämtliche rechtserheblichen Vorbringen des Beschwerdeführers eingegangen und habe sich damit auseinandergesetzt. Die vorgenommene Bewertung sei daher, soweit dies überhaupt im Rahmen der eingeschränkten Kognition überprüft werden könne, nicht zu beanstanden. In keinem Prüfungsteil erscheine eine Notenanhebung gerechtfertigt. Es liege auch kein Verfahrensfehler vor. Vernehmlassungsweise führt sie aus, die Vorbringen des Beschwerdeführers vor Bundesverwaltungsgericht unterschieden sich nicht von denjenigen im vorinstanzlichen Verfahren. Die Prüfungsexperten hätten die Bewertungen zu den vorgebrachten Beanstandungen sachlich und lückenlos begründet und damit rechtsgenüglich ausgeführt. Auch nach nochmaliger Überprüfung der Begründungen der Prüfungsexperten komme die Vorinstanz zum Schluss, dass der Beschwerdeführer in jeder Hinsicht korrekt, sogar wohlwollend, bewertet worden sei.

3.4 Die Prüfungsexperten haben die jeweils erwarteten Lösungen sowie die Bewertungsskalen in Punkten und die einzelnen Fachnotenblätter bereits im vorinstanzlichen Verfahren eingereicht und zu den Vorbringen des Beschwerdeführers Stellung genommen. Sie erklärten, welche Lösungen von den Prüfungskandidaten erwartet wurden, wie die Antworten des Beschwerdeführers - soweit im vorinstanzlichen Verfahren beanstandet - bewertet wurden und inwiefern seine Antworten den Anforderungen nicht zu genügen vermochten. Im Beschwerdeverfahren vor Bundesverwaltungsgericht äussern sie sich erneut zu den noch vorgebrachten Beanstandungen des Beschwerdeführers.

3.5

3.5.1 Bezüglich Aufgabe 2.4 (IT-Notfallkonzept) im Prüfungsteil 1 "Supply Chain Management" macht der Beschwerdeführer geltend, die Bewertung sei willkürlich und nicht nachvollziehbar. Seine Antwort müsse mit 6 statt 4 Punkten bewertet werden.

3.5.2 Bei dieser Aufgabe ging es um ein IT-Notfallkonzept bei der Zusammenführung von drei Enterprise Resource Planning-Systemen (ERP, Softwarelösung zur Ressourcenplanung). Die Vorinstanz erwägt, für das Maximum von 6 Punkten müssten gemäss Bewertungsschema alle 6 Probleme und Massnahmen bezeichnet und korrekt beschrieben werden (lineare Punkteverteilung). Es sei unverständlich, wie der Beschwerdeführer auf die Idee komme, er habe 6 Punkte verdient. Die Prüfungsexperten erklären vor Bundesverwaltungsgericht, ihre Bewertung beinhalte keinen Widerspruch und sei nicht willkürlich. In Teil A seien 3 Probleme während der Migration und in Teil B 3 Probleme nach der Migration zu bezeichnen. Der Beschwerdeführer habe lediglich 3 der 6 Antworten richtig, wobei eine Antwort nicht ganz korrekt gewesen sei. Die erfolgte Bewertung mit 4 Punkten sei sehr grosszügig, aber korrekt.

3.5.3 Der Beschwerdeführer hat als Probleme während der Migration die Mitarbeitendenschulung, einen möglichen Datenverlust sowie die Datensicherung und das Abstimmen von Schnittstellen genannt, wobei er nur für Zweiteres 1 Punkt erhielt. Die Prüfungsexperten führen aus, die Mitarbeitendenschulung und das Abstimmen von Schnittstellen müssten vor Beginn der Migration stattfinden, weshalb diese Antworten nicht als korrekt gewertet werden könnten. Als Probleme nach der Migration bezeichnet der Beschwerdeführer die Datenkompatibilität, den Service sowie allfällige Ausfälle und einen Software-Update. Die Prüfungsexperten haben die beiden letzten Antworten mit je 1 Punkt bewertet und erklärt, eine Prüfung der Datenkompatibilität nach der Migration sei zeitlich viel zu spät, weshalb diese Antwort nicht bewertet werden könne. Wofür der 4. Punkt vergeben wurde, geht aus den Akten nicht hervor. Jedenfalls erscheint die Bewertung mit 4 Punkten angesichts des Umstands, dass der Beschwerdeführer lediglich 3 von 6 Problemstellungen richtig ausgeführt hat, äusserst grosszügig und nicht unangemessen.

3.5.4 Zu Aufgabe 3.2 (Beschaffungsstrategien), Teilaufgabe B, bringt der Beschwerdeführer vor, die Bewertung mit 4 Punkten sei böswillig. Er verstehe die Ausführungen der Prüfungsexperten im vorinstanzlichen Verfahren nicht. Kapitalbildung habe mit flüssigen Mitteln zu tun und eine Lagersenkung mit der Schaffung von Synergien. Es sei Haarspalterei, wenn seine Antwort, die Bestellung von ganzen Armaturen beim Kunden zu tätigen, als falsch gewertet werde. Die Prüfungsexperten wüssten genau, was er gemeint habe. Der Grund für die Weitergabe von Aufträgen sei eine Kosteneinsparung, weshalb diese Antwort ebenfalls richtig sei. Es sei unverständlich, diese als nichtssagend einzustufen. Ausserdem sei es logisch, dass das Wissen im eigenen Unternehmen mit der Zeit fehle, wenn ein Auftrag an einen Zulieferer weitergegeben werde. Der Beschwerdeführer spezifiziert nicht, wie viele Punkte er beantragt, sinngemäss ist er jedoch der Ansicht, seine Antwort zu Teilaufgabe B sei vollständig und korrekt.

3.5.5 Die Aufgabe beinhaltete die Evaluation eines zusätzlichen Lieferanten für die Beschaffung bestehend aus drei Teilaufgaben. Gefragt wurde im Teil B nach 2 Einkaufs- beziehungsweise Beschaffungsstrategien, deren Definition und jeweils 2 Vor- und Nachteilen. Die Vorinstanz führt aus, es erscheine korrekt, dass die Prüfungsexperten für die redundanten Antworten "Kapitalbindung" und "Lagersenkung" nicht doppelt Punkte verteilt hätten. Die Vorinstanz habe zwar ein gewisses Verständnis dafür, wenn der Beschwerdeführer wegen der Verwechslung von Kunden mit Lieferanten von Haarspalterei spreche (Definition der 2. Strategie). Dennoch sei seine Antwort nicht richtig: Ein Kunde sei kein Lieferant. Die Prüfungsexperten könnten nur bewerten, was geschrieben worden sei. Eine gewisse Genauigkeit bei der Verwendung von Begriffen dürfe von den Prüfungskandidaten erwartet werden. Im Übrigen habe der Beschwerdeführer den Haupteinwand der Prüfungsexperten, wonach ein Armaturenbrett kein komplexes System sei, nicht entkräften können. Ferner könne es nicht als Willkür bezeichnet werden, dass die Antwort "Kosten einsparen" als zu oberflächlich und nichtssagend qualifiziert worden sei und der Nachweis von detaillierterem Wissen verlangt werde. Bei einer Prüfung auf diesem Niveau dürfe mehr als die Wiedergabe von Allgemeinwissen verlangt werden. Die Prüfungsexperten erklären, die Bewertung sei weder böswillig noch willkürlich, sondern korrekt. Es könne nur bewertet werden, was im Lösungsbogen stehe. Die Bewertung werde nach Kriterien durchgeführt, die für alle Kandidaten gelten würden und die auf der Praxis und der Fachliteratur basierten.

3.5.6 Der Beschwerdeführer nannte als erste Strategie "JIT" (just in time), was von den Prüfungsexperten als korrekte Antwort gewertet wurde, obwohl es sich dabei eigentlich um ein Belieferungskonzept handle. Der Beschwerdeführer nannte als Vorteile dieser Strategie "Kapitalbindung" und "Lagersenkung". Die Prüfungsexperten erachteten diese Aspekte als identisch. Diese Bewertung erscheint entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers weder als offensichtlich fehlerhaft noch als völlig unangemessen, haben beide bezeichneten Vorteile mit den Kosten zu tun. Der Beschwerdeführer substantiiert denn auch den von ihm in der Beschwerde angetönten Synergieeffekt nicht weiter. Als 2. Beschaffungsstrategie nannte der Beschwerdeführer eine modulare, wobei die Experten dies nur als teilweise richtig bewertet haben, da es sich dabei eigentlich um eine Produktionsstrategie handle. Die Definition des Beschwerdeführers "Es werden z.B. ganze Armaturenbretter von Autos bei ein Kunde hergestellt" wurde als falsch bewertet, da die Bestellung nicht beim Kunden, sondern beim Lieferanten erfolge und der Beschwerdeführer die Begrifflichkeit des Modular-Sourcing nicht verstanden habe (ein ganzes Armaturenbrett als Gussmodul entspreche nicht einem komplexen System). Diesen Ausführungen ist nichts hinzuzufügen. Als Vorteil der modularen Strategie nannte der Beschwerdeführer unter anderem Kosteneinsparungen. Da dies gemäss den Prüfungsexperten für jede Beschaffungsstrategie gelte und der Beschwerdeführer den genauen Zusammenhang nicht aufgezeigt habe, sei dieses Stichwort alleine nichtssagend, weshalb dafür keine Punkte erteilt worden seien. Diese Bewertung ist überzeugend. Als Nachteil der Strategie nannte der Beschwerdeführer unter anderem den Verlust von Knowhow. Die Prüfungsexperten qualifizierten diese Antwort als nicht korrekt, da gerade beim Modular-Sourcing von der Spezialisierung der Zulieferer profitiert werden könne. Der Beschwerdeführer erklärt sinngemäss, er habe sich bei der Antwort auf den Knowhow-Verlust "im eigenen Unternehmen" bezogen, was jedoch aus den Prüfungsunterlagen nicht hervorgeht. Jedenfalls besteht kein Anlass, diesbezüglich von der Bewertung der Prüfungsexperten abzuweichen.

3.5.7 Zu Aufgabe 3.3 (Investitionsprojekt, Infrastruktur), Teilaufgabe A, führt der Beschwerdeführer aus, es sei absurd, ihm keine Punkte zu erteilen. Seine Antworten 2-4 seien als bauliche Massnahmen einzustufen (Behälter für Giftstoffe bereitstellen, Vorhandensein Erste-Hilfe-Kasten, Gewährleistung der Entsorgung durch interne oder externe Stellen). Dafür müssten Ort und Platz vorhanden sein. Sinngemäss beantragt er das Punktemaximum.

3.5.8 Gemäss Aufgabenstellung sah ein Produktionsbetrieb aufgrund des Firmenwachstums einen Lagerneubau vor. Gefragt waren in diesem Zusammenhang 4 Merkmale zur baulichen Infrastruktur, die für eingelagerte Chemikalien aus Sicht der Sicherheit und Ökologie zwingend nötig sind, wobei die Begründungen nachvollziehbar auszuführen waren. Die Vorinstanz erwägt, die Bewertung der Antworten des Beschwerdeführers sei korrekt. Die Prüfungsexperten erklären, es sei ausdrücklich nach baulichen Massnahmen gefragt worden. Die Antworten des Beschwerdeführers ohne weiteren Beschrieb beträfen Fahrhabe. Keine der Antworten sei richtig, weil sie nicht kompatibel mit der Fragestellung seien, weshalb dafür keine Punkte erteilt worden seien.

3.5.9 Der Beschwerdeführer verkennt, dass der Umstand, dass Platz vorhanden sein muss, eine Massnahme nicht per se zu einer baulichen macht, wonach ausdrücklich gefragt worden ist. In der Musterlösung werden Löscheinrichtungen, abschliessbare Räume für giftige Stoffe, Löschwasserrückhalt, Auffangwanne und Brandschutzeinrichtungen genannt, woraus erhellt, dass die Antworten des Beschwerdeführers an der Fragestellung vorbeigehen. Die Bewertung der Prüfungsexperten mit 0 Punkten ist daher schlüssig.

3.6

3.6.1 Bezüglich Aufgabe 2.3 (Vertragserfüllung) im Prüfungsteil 6 "Recht und Volkswirtschaft" bringt der Beschwerdeführer vor, er habe alle Rechte, die dem Verkäufer nach Obligationenrecht zustünden, erwähnt, weshalb ihm die volle Punktzahl zustehe. Die Benotung erscheine willkürlich und unfair. Das Fach sei als bestanden zu erklären.

3.6.2 Den Prüfungskandidaten wurde ein Sachverhalt aus dem Vertragsrecht präsentiert, in dem es um den Gläubigerverzug ging. Gefragt waren 3 rechtliche Möglichkeiten eines Verkäufers, dessen Milch nicht vereinbarungsgemäss durch den Käufer angenommen wird, gegenüber dem Käufer. Die Antworten mussten unter Bezeichnung des einschlägigen Gesetzesartikels begründet werden. Die Vorinstanz erklärt, die Prüfungsexperten hätten die korrekte Lösung und die Punktevergabe nachvollziehbar und lückenlos erläutert. Der Beschwerdeführer habe anscheinend die Funktionsweise von Leistungsstörungen im Vertragsrecht nicht verstanden. Der dargestellte Sachverhalt schweige im Übrigen zur Zahlungspflicht. Der Beschwerdeführer nehme offenbar Leistung Zug um Zug an, was bei einem Milchliefervertrag praxisfremd sei. Der Beschwerdeführer erkenne nicht, dass der Schuldnerverzug nicht dasselbe wie der Gläubigerverzug sei und es sich vorliegend um eine Sachleistung handle. Zudem offenbare der Beschwerdeführer in seiner Beschwerdeschrift, dass er die Erfüllungsprobleme im Vertragsrecht keineswegs verstehe. Eine strengere Bewertung wäre ebenso vertretbar gewesen. Die Prüfungsexperten führen aus, es seien maximal 2 Punkte pro rechtliche Möglichkeit erteilt worden. Die Leistung des Beschwerdeführers sei einerseits unvollständig gewesen. Andererseits habe er sich in seiner Antwort zu den Pflichten der Käuferschaft geäussert, was an der Problemstellung des Gläubigerverzugs vorbeigehe. Damit habe er die gestellte Frage nicht beantwortet. Indem er sich ferner auf die Bestimmungen zum Schuldnerverzug beziehe, zeige er, dass er die gestellte Problematik nicht erkannt habe. Dennoch seien ihm 4 von möglichen 6 Punkten erteilt worden, was äusserst grosszügig sei.

3.6.3 Der Beschwerdeführer beantwortete die Prüfungsfrage wie folgt: "OR 184. Der Käufer ist verpflichtet, seine Ware zu bezahlen, da es abgemacht worden ist. OR Art. 97. Der Verkäufer kann die Ware zurücknehmen. Jedoch kann er dem Käufer auf Schadenersatz. OR Art. 109. Über dies hat er Anspruch auf Ersatz, auf das Dahinfallen des Vertrags erwachsen Schadens". Er hält dafür, den Erfüllungsanspruch des Verkäufers korrekt umschrieben zu haben und verkennt dabei, dass ihm für seine entsprechenden Ausführungen Punkte erteilt worden sind. Zusammen mit der Erwähnung der Schadenersatzmöglichkeit, wenn auch unter Nennung der unzutreffenden Gesetzesbestimmungen, erhielt er 4 von 6 Punkten. Eine offensichtliche Unterbewertung liegt daher nicht vor.

3.6.4 Zu Aufgabe 3.2 (Angebotsveränderung), Teilaufgabe 1, bringt der Beschwerdeführer vor, er sei auf die Frage eingegangen und habe diese korrekt beantwortet. Selbstverständlich gebe es noch mehr Antwortmöglichkeiten, jedoch verdiene seine Antwort die volle Punktzahl. Sie sei nicht falsch. Zu Teilaufgabe 2 macht er geltend, er habe auch diese richtig beantwortet. Es sei unzutreffend, dass er keine volkswirtschaftlichen Überlegungen angestellt habe, denn er habe sich überlegt, wie preiselastisch die Nachfrage sei und ob die Kundschaft bei einer Preiserhöhung zum Konkurrenten gehen und man diese verlieren werde.

3.6.5 Gemäss Aufgabenstellung waren die Prüfungskandidaten bei einem Genussmittelhersteller zuständig für den Einkauf von Kakao, dem wichtigsten Bestandteil eines Produkts dieses Unternehmens. Im weltweit grössten Anbaugebiet von Kakaobohnen mit einem Marktanteil von 70 % hatte ein Schädlingsbefall über die Hälfte der diesjährigen Ernte vernichtet. In Teilaufgabe 1 wurde nach nun bestehenden Herausforderungen gefragt sowie möglichen Vorkehrungen, die man hätte treffen müssen, um darauf vorbereitet zu sein. In Teilaufgabe 2 wurde gefragt, wovon eine Preiserhöhung für das fragliche Produkt aus ökonomischer Sicht abhängig ist. Die Vorinstanz führt aus, der Beschwerdeführer habe sich auf die Preiselastizität der Nachfrage beschränkt und sei nicht auf die gewinnbringende Preiserhöhung eingegangen. Damit habe er einen relevanten Aspekt ausser Acht gelassen. Er habe sich weder mit den Folgen einer hohen Preiselastizität noch mit der Situation einer unelastischen Nachfrageseite auseinandergesetzt. Die Punkteverteilung sei angemessen. Die Prüfungsexperten qualifizierten die Leistung des Beschwerdeführers als nur teilweise korrekt und oberflächlich. Er erhielt insgesamt 6 von 12 möglichen Punkten (3 pro Teilaufgabe).

3.6.6 Der Beschwerdeführer beantwortete die Teilaufgabe 1 wie folgt: "Es muss überprüft werden wo neue Lieferanten besorgt werden, damit die Produktion weiterläuft. Da ich jetzt gross einkaufen muss, brauchen wir gross Lager, was Kosten verursacht. Vielleicht mit Lieferant JIT Vertrag möglich, muss abgeklärt werden. Lieferanten kontaktieren und besprechen oder andere Quellen finden". Die Prüfungsexperten erklären, der Beschwerdeführer habe sich einzig auf betriebswirtschaftliche Betrachtungen und Vorkehrungen beschränkt und keine volkswirtschaftlichen Überlegungen angestellt (Zusammenspiel von Angebot und Nachfrage und Preismodellen). Erwartet wurden gemäss Musterlösung Ausführungen zur massiven Reduktion des (weltweiten) Angebots, zur Preissteigerung bei allen Bohnensorten sowie zu steigenden Produktions- und Herstellungskosten. Als Herausforderungen und Vorkehrungen waren die permanente Beobachtung der Beschaffungsmärkte sowie das Unterhalten von engen Kontakten zu den Anbaugebieten zu nennen, das Beobachten und Kennen der Konkurrenz sowie deren Lieferketten, die Identifikation und Kontaktpflege zu alternativen Lieferanten (Ausweichmöglichkeiten, Minimierung von Klumpenrisiken), grössere Rohstoff- und Warenlager (Engpässe vermeiden), Beobachten der Rohstoffbörsen, Aushandeln von langfristigen Lieferverträgen mit Fixpreisen, das Abschwächen von Preisschwankungen mittels Hedging Instrumenten. Daraus geht hervor, dass der Beschwerdeführer weder eine vollständige Analyse vorgenommen noch alle entsprechenden Herausforderungen und Vorkehrungen genannt hat. Seine Ausführungen wurden, soweit korrekt, gewertet, jedoch verkennt er, dass für das Punktemaximum zusätzliche Aspekte hätten ausgeführt werden müssen. Die vorgenommene Bewertung mit 3 Punkten erweist sich daher nicht als offensichtlich fehlerhaft. Gleiches gilt für Teilaufgabe 2, die der Beschwerdeführer wie folgt beantwortet hat: "Sie ist davon abhängig wie Preiselastisch die Nachfrage ist. Wenn wir Preis erhöhen könnte passieren das Kunden beim Konkurrenten einkaufen". Diese Antwort wurde als korrekt bewertet, jedoch fehlen auch hier zusätzliche wichtige Aspekte, die gemäss Musterlösung für das Erreichen des Punktemaximums erforderlich sind (Folgen einer hohen/unelastischen Preiselastizität der Nachfrage auf den möglichen Gewinn, Vorhandensein von Substitutionsgütern, Berücksichtigen des Verhaltens der Konkurrenz, der Konsumentenstimmung und der allgemeinen Wirtschaftslage).

3.7

3.7.1 Betreffend Teil 1 (Postkorbaufgabe) im Prüfungsteil 8 "Problemlösungs- und Entscheidungsmethodik" rügt der Beschwerdeführer, es sei in einer Prüfung von zentraler Bedeutung, zu wissen, welche Aufgaben mit wie vielen Punkten bewertet würden. Er plane danach seine Zeit und Prioritätensetzung. Wenn er nicht wisse, wie er bewertet werde, sei eine effektive und effiziente Organisation in der Prüfung nicht möglich. Die Punktevergabe im Nachhinein überrasche und erscheine als willkürlich. Der Prüfungsteil sei insgesamt als bestanden zu erklären und die ungenügende Bewertung aufzuheben.

3.7.2 Die Aufgabenstellung beinhaltete das Erstellen eines Aktionsplans (jeweils unter Angabe von Priorität und Delegation) und eines Zeitplans (jeweils unter Angabe von Dauer, Pendenz und Begründung). Der Beschwerdeführer erzielte 12 Punkte. Die Vorinstanz führt aus, die Prüfungsexperten hätten in ihrer Stellungnahme im vorinstanzlichen Verfahren detailliert erklärt, wie die Bewertung zustande gekommen sei. Der Beschwerdeführer gehe von der falschen Annahme aus, dass Punkte stets linear verteilt werden müssten. Das von den Prüfungsexperten erläuterte Punkteschema mache aber bei dieser Aufgabe Sinn. Es sei aber klar, dass das Schema den Kandidaten in der Aufgabenstellung nicht bereits bekannt gegeben werden könne, ansonsten man ihnen die Hälfte der Lösung bereits erläutert hätte. Es handle sich somit nicht um eine Punktevergabe "im Nachhinein", sondern um eine korrekte Bewertung anhand eines bestehenden Schemas, das für alle Kandidaten gleich angewendet worden sei. Die Prüfungsexperten erklären, auf dem Deckblatt der Prüfung sei sichtbar festgehalten gewesen, dass diese Aufgabe mit maximal 24 Punkten bewertet werde, wobei es sich um die Hälfte der maximal möglichen 48 Punkte dieses Prüfungsteils handle. Zudem sei die vorgesehene Zeit für die Prüfungsaufgabe von ca. 30 Minuten auf dem Deckblatt vermerkt gewesen (die Hälfte der gesamten Prüfungszeit für diesen Prüfungsteil). Es stehe den Kandidaten selbstverständlich frei, wie sie ihre Zeit einteilen wollten.

3.7.3 Der Prüfungskommission steht bei der Festlegung der Punkte- beziehungsweise Notenskala ein erheblicher Ermessensspielraum zu, sofern diese Frage weder im Gesetz noch im anwendbaren Prüfungsreglement geregelt ist. In einem solchen Fall ist eine lineare Notenskala nicht zwingend, vielmehr sind unterschiedliche Bewertungsmethoden zulässig (Urteil des BVGer B-822/2016 vom 24. August 2017 E. 6.1.2). Beispielsweise ist die Anwendung einer geknickten Notenskala vertretbar und angemessen, soweit sie rechtsgleich angewandt wird (BVGE 2010/10 E. 5.2). Auch liegt es im Ermessen der Prüfungskommission, die Punkte- beziehungsweise Notenskala erst nachträglich festzulegen oder sogar angemessen zu korrigieren (Urteile des BVGer B-822/2016 vom 24. August 2017 E. 6.2.1 und B-2568/2008 vom 15. September 2008 E. 6 und E. 7). Die Wegleitung zur Prüfungsordnung Technischer Kaufmann/Technische Kauffrau vom 3. März 2016 sieht lediglich vor, dass die Bewertung im Prüfungsteil 8 in Punkten vorzunehmen ist (Ziff. 3.2.8 der Wegleitung). Dem Beschwerdeführer wurde das Bewertungssystem für diese Aufgabe (Skalenbewertung, jeweils zwei Skalen für Aktions- und Zeitplan) im vorinstanzlichen Verfahren eingehend dargelegt. Es ist nach dem oben Ausgeführten zulässig und wurde auch nicht nachträglich geändert oder angepasst. Die Prüfungsexperten haben die konkrete Bewertung der Antworten des Beschwerdeführers im Einzelnen erläutert. Sowohl die vorgesehene Prüfungszeit für diese Aufgabe als auch das zugehörige Punktemaximum waren ihm bekannt, was er denn auch nicht bestreitet. Die Rüge des Beschwerdeführers erweist sich als unbegründet.

3.7.4 Bei Aufgabe 2.1 (SWOT-Analyse/SWOT-Matrix) beantragt der Beschwerdeführer das Maximum von 6 Punkten: Er habe im Teil A alle Gründe, wie in der Aufgabenstellung gefordert, genannt und im Teil B die wesentlichen Unterschiede exakt beschrieben.

3.7.5 Gefragt wurde in der Aufgabe nach 2 Gründen für eine regelmässige Auseinandersetzung eines Unternehmens mit Stärken, Schwächen, Chancen und Risiken und nach dem Unterschied zwischen einer Stärke und einer Chance in der SWOT-Analyse, wobei der Unterschied der beiden Begriffe exakt beschrieben werden musste. Die Vorinstanz erklärt, es spreche nichts dagegen, dass die Prüfungsexperten für nicht ausreichend konkrete oder nicht ausreichend praxis- oder fallbezogene Antworten Punktabzüge vornehmen würden. Von einem Prüfungskandidaten der höheren Berufsbildung dürfe erwartet werden, dass er nicht nur theoretischen Begriffe nennen könne, sondern diese im Kontext anwenden und daraus die entsprechenden konkreten Schlüsse ziehen könne. Der erwartete zusätzliche Lösungsgehalt sei in den Antworten des Beschwerdeführers nicht enthalten. Die Prüfungsexperten führen aus, es sei interessant, dass der Beschwerdeführer in seiner Beschwerde den einzigen Unterschied von Stärken und Schwächen in einer SWOT-Analyse in der Unterscheidung zwischen internen und externen Faktoren orte, und den Rest als selbsterklärend deklariere. Genau dieser selbsterklärende Rest sei aber in der Prüfung zu erläutern gewesen.

3.7.6 Der Beschwerdeführer beantwortete die erste Frage wie folgt. "Um Chancen zu erkennen und sie zu ergreifen auf dem Markt. Um sich seine Schwächen bewusst zu werden und sie vielleicht auszubügeln". Die Prüfungsexperten erachteten dies als einfach Beschreibung von 2 einzelnen SWOT-Elementen, nicht aber als die geforderten 2 Gründe für die regelmässige Durchführung der Analyse. Die Prüfungsexperten erklären, die korrekte Antwort hätte eine gesamtheitliche Begründung zum Einsatz des Instruments sein sollen. Dieses diene dazu, die eigene aktuelle Positionierung zu überprüfen (Standortbestimmungen) und Veränderungen rechtzeitig zu erkennen. Es sei eine gesamtheitliche Orientierungshilfe für ein Unternehmen, wie es am besten am Markt auftrete. Diese Ausführungen korrespondieren mit der Musterlösung. Die Antwort des Beschwerdeführers auf die Frage 2 lautete: "Stärken sind Interne Faktoren. Chancen sind externe Faktoren und kommen von aussen". Die Prüfungsexperten qualifizierten die Antwort als korrekt, aber den Unterschied zu wenig exakt beschreibend. Sie führen aus, ein wesentlicher Aspekt sei, dass interne Faktoren direkt vom Unternehmen beeinflusst werden könnten, hingegen externe Faktoren kaum direkt beeinflusst, sondern bestenfalls adaptiert werden könnten. Die Musterlösung lautet entsprechend. Die Antworten des Beschwerdeführers wurden mit 3 von 6 möglichen Punkten bewertet, was weder als offensichtlich fehlerhaft noch als völlig unangemessen erscheint.

3.7.7 Der Beschwerdeführer bringt zu Aufgabe 2.2 (Szenarioanalyse) vor, deren Bewertung sei nicht korrekt. Er habe 5 von 11 Antworten richtig angekreuzt. Für 11 richtige Antworten erhalte man 6 Punkte, ergo müsse er mindestens 2.5 oder 3 Punkte erhalten. Stattdessen habe er nur 1 Punkt erhalten. Dies sei unverständlich und unfair. Das Fach Problemlösungs- und Entscheidungsmethodik sei als bestanden zu erklären.

3.7.8 Bei der Aufgabe mussten 11 Aussagen zur Szenarioanalyse durch Ankreuzen von "trifft zu" oder "trifft nicht zu" bewertet werden. Der Beschwerdeführer hat 5 Aussagen korrekt und 6 Aussagen falsch qualifiziert und gestützt auf den Punkteschlüssel dafür 1 Punkt erhalten. Vorinstanz erwägt, indem die falsch angekreuzten Aussagen negativ beurteilt würden (Bonus/Malus-System), werde verhindert, dass alleine durch erfolgreiches Raten ein gutes Prüfungsergebnis erzielt werden könne. Das sei sachlich richtig und zulässig. Die Prüfungsexperten erklären, die Punktevergabe bei einer Multiple-Choice-Aufgabe erfolge nicht rein arithmetisch, wie der Beschwerdeführer vorrechne, sondern basierend auf einer definierten Punkteskala. Damit solle vermieden werden, dass beispielsweise alle Spalten "trifft zu" angekreuzt würden und so systematisch nach dem Zufallsprinzip Punkte erzielt würden. Mit 5 (von insgesamt 11) korrekten Zuordnungen habe der Beschwerdeführer gemäss Punkteschlüssel 1 von maximal 6 Punkten erreicht. Der Punkteschlüssel sei bei allen Kandidaten gleich angewandt worden.

3.7.9 Soweit der Beschwerdeführer die Punkteskala beanstandet, ist auf das in E. 3.7.3 Ausgeführte zu verweisen. Die Ausgestaltung des Punkteverteilschlüssels dergestalt, dass die Prüfungskandidaten nicht für zufällig angekreuzte Aussagen Punkte erhalten können, ist im Übrigen nicht zu beanstanden. Es ist üblich, bei Multiple-Choice-Aufgaben eine Bewertungsmethode zu wählen, die insbesondere die Wahrscheinlichkeit von Zufallstreffern ausgleicht (Urteil des BVGer B-2229/2011 vom 13. Februar 2012 E. 7.2.1).

3.8 Somit bestehen, unter Berücksichtigung der gebotenen Zurückhaltung (vgl. E. 2) vorliegend keine Anhaltspunkte dafür, dass die vorgenommenen Bewertungen offensichtlich unhaltbar sind. Auch liegen keine Hinweise dafür vor, dass sich die Examinierenden von sachfremden Kriterien hätten leiten lassen. Es besteht daher kein Anlass von den vorgenommenen Beurteilungen der Prüfungsexperten abzuweichen.

4.

4.1 Sinngemäss rügt der Beschwerdeführer schliesslich, er sei nicht ordnungsgemäss zu Prüfungsteil 9 "Präsentation und Kommunikation" (mündliche Prüfung) aufgeboten worden, weshalb er zu spät zur Prüfung erschienen sei und nicht mehr genügend Vorbereitungszeit gehabt habe. Er habe rechtzeitig bei der Erstinstanz beanstandet, kein Prüfungsaufgebot erhalten zu haben. Dass er anschliessend per E-Mail zwar das Prüfungsaufgebot, aber ohne Beilage erhalten habe, sei nicht ihm anzulasten. Er habe als Repetent bezüglich Prüfungsablauf auch nicht von seiner bestehenden Prüfungserfahrung profitieren können, da die Prüfung während der Pandemie stattgefunden habe und damit nichts wie beim ersten Prüfungsversuch gewesen sei. Wegen der geltenden Einschränkungen habe er gedacht, dass die Prüfungskandidaten vor Ort aufgerufen werden würden, damit es nicht zu vielen Durchmischungen komme. Wenn er die reguläre Vorbereitungszeit zur Verfügung gehabt hätte, hätte er die Prüfung locker mit der Note 5 bestanden. Schliesslich habe er ohne reguläre Vorbereitungszeit die Note 3.5 erzielt. Er habe die Prüfungsexperten gefragt, ob er die Prüfung als letzter Kandidat absolvieren könne. Dies sei ihm jedoch verwehrt worden. Er habe gleichentags den Prüfungsleiter benachrichtigt. Dieser habe ihn auf den Beschwerdeweg verwiesen.

4.2 Die Vorinstanz erwägt im angefochtenen Entscheid, der Beschwerdeführer habe das per Einschreiben versandte Prüfungsaufgebot nicht abgeholt. Daher greife die Zustellfiktion. Selbst wenn dies nicht zutreffen würde, hätte der Beschwerdeführer aufgrund der klaren Formulierung des Prüfungsaufgebots, das ihm sodann per E-Mail zugestellt worden sei, merken müssen, dass die Beilage fehle, und es sei ihm ausreichend Zeit geblieben, das irrtümlich nicht angehängte Beiblatt bei der Prüfungskommission nachzuverlangen. Es erscheine wenig glaubhaft, das er als Repetent nicht gewusst haben, dass vor Beginn der offiziellen Prüfungszeit eine Vorbereitungszeit von 30 Minuten zur Verfügung stehe. Vernehmlassungsweise führt die Vorinstanz aus, das Prüfungsaufgebot sei klar formuliert gewesen. Es sei daher offensichtlich gewesen, dass die übliche Vorbereitungszeit zur Verfügung stehen werde.

4.3 Die Erstinstanz erklärt, sie habe das Prüfungsaufgebot per Einschreiben versendet. Dieses sei vom Beschwerdeführer nicht abgeholt worden. Die Zustellfiktion greife daher. Der Brief sei anschliessend per A-Post erneut versandt worden. Die Einwände betreffend Pandemie seien unbegründet, denn genau diese Elemente seien im Schutzkonzept, das auch auf der Webseite verfügbar gewesen sei, ausdrücklich geregelt gewesen.

4.4 Der Beschwerdeführer absolvierte die mündliche Prüfung am 29. September 2020 und erzielte die Note 3.5. Aus den Akten geht hervor, dass das Prüfungsaufgebot an den Beschwerdeführer am 31. August 2020 eingeschrieben aufgegeben worden war. Am 1. September 2020 wurde die Sendung zur Abholung gemeldet (Abholungseinladung) und am 9. September 2020 mit dem Vermerk "Nicht abgeholt" retourniert. Auf dem Couvert war die von der Prüfungskommission verwendete Adresse des Beschwerdeführers durchgestrichen und aufgedruckt, dass die richtige Adresse dem Absender zu melden sei. Es ist erstellt, dass der Beschwerdeführer umgezogen ist, einen Nachsendeauftrag - wie er selber gegenüber dem Prüfungsleiter eingeräumt hat - installiert, die Prüfungskommission aber erst über die neue Wohnadresse in Kenntnis gesetzt hat, als er das fehlende Prüfungsaufgebot mit E-Mail vom 11. September 2020 beanstandete. Aus den Akten geht hervor, dass die Prüfungskommission keine Stunde nach Eingang dieser E-Mail dem Beschwerdeführer das Prüfungsaufgebot per E-Mail, allerdings ohne Beiblatt, zugestellt hat. Zudem wurde das Prüfungsaufgebot gemäss Prüfungskommission zusätzlich per A-Post versendet, was der Beschwerdeführer nicht bestreitet. Im Prüfungsaufgebot ist neben den üblichen Angaben (Prüfungsort, -zeit, -experten) ausgeführt, dass das "beiliegende Blatt mit den Angaben zu den Vorbereitungszimmern und dem Schutzkonzept" zu beachten sei. Im Beiblatt, das der Beschwerdeführer nachweislich nicht erhalten hat, wird ausgeführt, dass die Vorbereitung 35 Minuten vor dem persönlichen Prüfungstermin gemäss Aufgebot beginne und 30 Minuten dauere. Die Kandidaten müssten sich 35 Minuten vor dem Prüfungstermin im Vorbereitungszimmer einfinden. Nach der Vorbereitung hätten sie 5 Minuten Zeit, das Prüfungszimmer aufzusuchen. Ferner ist erstellt, weil durch die Vor- und Erstinstanz nicht bestritten, dass der Beschwerdeführer am Prüfungstag (29. September 2020) nicht 35 Minuten vor dem eigentlichen Prüfungstermin eingetroffen ist, sondern später, weshalb seine Vorbereitungszeit verkürzt war. Aktenkundig ist ferner eine E-Mail des Beschwerdeführers an den Prüfungsleiter vom 29. September 2020, in dem er sich auf ein Telefongespräch mit dem Prüfungsleiter bezieht und ausführt, dass die heutige mündliche Prüfung schlecht gelaufen sei, weil er nicht optimal informiert worden sei (Prüfungsaufgebot ohne Beiblatt). Er erklärt, dass er keine Zeit für die Vorbereitung der Präsentation gehabt habe und dass auch der zweite Teil der Prüfung aufgrund der Situation nicht gut verlaufen sei. Er hält dem Prüfungsleiter gegenüber fest, es sei "unmöglich, das mir die Informationen mitgeteilt worden sind, da ich bei der Post ein Dauerauftrag habe und alle Briefe
sonst erhalte".

4.5 Der Prüfungsteil 9 besteht aus 2 Prüfungspositionen. Vorliegend geht es um Position 1. Diese umfasst eine Präsentation von 10 Minuten und ein Reflexionsgespräch von 5 Minuten (Ziff. 5.11 Prüfungsordnung; Ziff. 3.2 und 3.2.9 Wegleitung). Die Prüfungskandidaten erhalten in der Vorbereitungszeit von 30 Minuten eine Ausgangslage. Diese analysieren sie, leiten einen Lösungsvorschlag für eine Präsentation daraus ab und bereiten für ein definiertes Zielpublikum eine Präsentation von 10 Minuten vor. (Ziff. 3.2.9 Wegleitung). Auch in den mit der Anmeldungsbestätigung versandten "Richtlinien für die Prüfung 2020" wird in Ziff. 4.3 ausgeführt, dass die Prüfungskandidaten sich 30 Minuten auf die Präsentation vorbereiten können. Der Beschwerdeführer stellt sich sinngemäss auf den Standpunkt, er habe aufgrund des fehlenden Beiblatts zum Prüfungsaufgebot nicht gewusst, dass er sich 35 Minuten vor Prüfungsbeginn am Prüfungsort hätte einfinden müssen. Dies grenzt an Treuwidrigkeit. Der Grundsatz von Treu und Glauben nach Art. 5 Abs. 3
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
1    Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État.
2    L'activité de l'État doit répondre à un intérêt public et être proportionnée au but visé.
3    Les organes de l'État et les particuliers doivent agir de manière conforme aux règles de la bonne foi.
4    La Confédération et les cantons respectent le droit international.
der Bundesverfassung der Schweizerischen Eidgenossenschaft vom 18. April 1999 (BV, SR 101) richtet nicht nur an Behörden, sondern ausdrücklich auch an Private (BGE 134 V 145 E. 5.2) und gebietet loyales und vertrauenswürdiges Verhalten im Rechtsverkehr. Der Beschwerdeführer muss sich die Prüfungsordnung, die Wegleitung, die Richtlinien und das erneut per E-Mail und A-Post zugestellte Prüfungsaufgebot entgegenhalten lassen, ebenso wie den Umstand, dass er diese Prüfung bereits einmal absolviert hat, wenn auch nicht während der Einschränkungen aufgrund der Pandemie.

4.6 Die Zustellfiktion gilt nur für behördliche Zustellungen: Wird der Empfänger einer eingeschriebenen Briefpostsendung nicht angetroffen und wird daher eine Abholeinladung in seinen Briefkasten oder in sein Postfach gelegt, so gilt die Sendung in jenem Zeitpunkt als zugestellt, in dem sie auf der Poststelle abgeholt wird. Geschieht dies nicht innert der Abholfrist, die sieben Tage beträgt, wird die Sendung am letzten Tag dieser Frist als eröffnet vermutet. Diese sogenannte Zustellfiktion rechtfertigt sich, weil für die an einem Verfahren Beteiligten nach dem Grundsatz von Treu und Glauben die Pflicht besteht, dafür zu sorgen, dass ihnen behördliche Akte eröffnet werden können. Die Rechtsprechung gilt während eines hängigen Verfahrens, wenn die Verfahrensbeteiligten mit der Zustellung eines behördlichen oder gerichtlichen Entscheids oder einer Verfügung mit einer gewissen Wahrscheinlichkeit rechnen müssen (Erfordernis des hängigen Prozessrechtsverhältnisses; Urteil des Bundesgerichts 2C_35/2016 vom 18. Juli 2016 E. 3.1). Für das Verwaltungsverfahren ist die Zustellfiktion in Art. 20 Abs. 2bis
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 20 - 1 Si le délai compté par jours doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
1    Si le délai compté par jours doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication.
2    S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche.
2bis    Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.50
3    Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.51
VwVG gesetzlich verankert. Ob diese vorliegend greift, kann offenbleiben, jedenfalls liegt in Gesamtwürdigung der Umstände kein Verfahrensfehler vor. Selbst wenn ein solcher anzunehmen wäre, bliebe dessen Feststellung folgenlos, da der Beschwerdeführer - aufgrund der Ausführungen in E. 3 - auch durch eine Wiederholung des Prüfungsteils 9, welche er im vorinstanzlichen Verfahren noch ausdrücklich beantragt hatte, die Prüfung nicht bestehen könnte, weil das Bestehenskriterium von Ziff. 6.41 Bst. b Prüfungsordnung, wonach nicht mehr als 2 Prüfungsteilnoten unter 4.0 liegen dürfen, ohnehin nicht erfüllt wäre.

5.
Zusammenfassend ergibt sich, dass die Abweisung der Beschwerde gegen den Prüfungsentscheid vom 21. Oktober 2020 durch die Vorinstanz bundesrechtlich nicht zu beanstanden ist. Die Beschwerde erweist sich als unbegründet und ist abzuweisen.

6.
Entsprechend dem Verfahrensausgang hat der unterliegende Beschwerdeführer die Verfahrenskosten zu tragen (Art. 63 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG sowie Art. 1 ff
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 1 Frais de procédure - 1 Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours.
1    Les frais de procédure devant le Tribunal administratif fédéral (tribunal) comprennent l'émolument judiciaire et les débours.
2    L'émolument judiciaire couvre les frais de photocopie des mémoires et les frais administratifs normaux, tels que les frais pour le personnel, les locaux et le matériel ainsi que les frais postaux, téléphoniques et de télécopie.
3    Les débours comprennent notamment les frais de traduction et les frais occasionnés par l'administration des preuves. Les frais de traduction ne sont pas facturés lorsqu'il s'agit de la traduction d'une langue officielle à une autre.
. des Reglements über die Kosten und Entschädigungen vor dem Bundesverwaltungsgericht vom 21. Februar 2008 [VGKE, SR 173.320.2]). Die Spruchgebühr richtet sich nach Umfang und Schwierigkeit der Streitsache, Art der Prozessführung und finanzieller Lage der Parteien (Art. 63 Abs. 4bis
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
1    En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis.
2    Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes.
3    Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure.
4    L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101
4bis    L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé:
a  entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106
VwVG und Art. 2 Abs. 1
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 2 Calcul de l'émolument judiciaire - 1 L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés.
1    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. Les modes de calcul des frais prévus par des lois spéciales sont réservés.
2    Le tribunal peut fixer un émolument judiciaire dépassant les montants maximaux visés aux art. 3 et 4, si des motifs particuliers le justifient, notamment une procédure téméraire ou nécessitant un travail exceptionnel.2
3    S'agissant de décisions relatives à des mesures provisionnelles, à la récusation, à la restitution d'un délai, à la révision ou à l'interprétation d'une décision, ainsi que de recours formés contre des décisions incidentes, les frais peuvent être revus à la baisse compte tenu du travail réduit qui en découle. Les montants minimaux mentionnés aux art. 3 et 4 doivent être respectés.
VGKE). Sie ist auf Fr. 1'200.- festzusetzen. Es ist keine Parteientschädigung zuzusprechen (Art. 64 Abs. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)
PA Art. 64 - 1 L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
1    L'autorité de recours peut allouer, d'office ou sur requête, à la partie ayant entièrement ou partiellement gain de cause une indemnité pour les frais indispensables et relativement élevés qui lui ont été occasionnés.
2    Le dispositif indique le montant des dépens alloués qui, lorsqu'ils ne peuvent pas être mis à la charge de la partie adverse déboutée, sont supportés par la collectivité ou par l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué.
3    Lorsque la partie adverse déboutée avait pris des conclusions indépendantes, les dépens alloués peuvent être mis à sa charge, dans la mesure de ses moyens.
4    La collectivité ou l'établissement autonome au nom de qui l'autorité inférieure a statué répond des dépens mis à la charge de la partie adverse déboutée en tant qu'ils se révéleraient irrécouvrables.
5    Le Conseil fédéral établit un tarif des dépens.107 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral108 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales109 sont réservés.110
VwVG i.V.m. Art. 7 Abs. 1
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF)
FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
1    La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige.
2    Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion.
3    Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens.
4    Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens.
5    L'art. 6a s'applique par analogie.7
VGKE).

7.
Nach Art. 83 Bst. t
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre:
a  les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit58 jugée par un tribunal;
b  les décisions relatives à la naturalisation ordinaire;
c  les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent:
c1  l'entrée en Suisse,
c2  une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit,
c3  l'admission provisoire,
c4  l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi,
c5  les dérogations aux conditions d'admission,
c6  la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation;
d  les décisions en matière d'asile qui ont été rendues:
d1  par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger,
d2  par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit;
e  les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération;
f  les décisions en matière de marchés publics:
fbis  les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs65;
f1  si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou
f2  si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics63;
g  les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes;
h  les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale;
i  les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile;
j  les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave;
k  les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit;
l  les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises;
m  les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
n  les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent:
n1  l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision,
n2  l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire,
n3  les permis d'exécution;
o  les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules;
p  les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:70
p1  une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public,
p2  un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications71;
p3  un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste73;
q  les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent:
q1  l'inscription sur la liste d'attente,
q2  l'attribution d'organes;
r  les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3474 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)75;
s  les décisions en matière d'agriculture qui concernent:
s1  ...
s2  la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production;
t  les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession;
u  les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers79);
v  les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national;
w  les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe.
x  les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198183, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs;
y  les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal;
z  les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie86 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe.
des Bundesgerichtsgesetzes vom 17. Juni 2005 (BGG, SR 173.110) ist die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten an das Bundesgericht unzulässig gegen Entscheide über das Ergebnis von Prüfungen und anderen Fähigkeitsbewertungen, namentlich auf den Gebieten der Schule, der Weiterbildung und der Berufsausübung. Unter diesen Ausschlussgrund fallen Prüfungsergebnisse im eigentlichen Sinn, aber auch alle anderen Entscheide, die sich auf eine Bewertung der intellektuellen oder physischen Fähigkeiten oder die Eignung eines Kandidaten beziehen (BGE 138 II 42 E. 1.1). Wenn andere Entscheide im Zusammenhang mit einer Prüfung strittig sind, insbesondere solche organisatorischer oder verfahrensrechtlicher Natur, bleibt das Rechtsmittel zulässig (BGE 147 I 73 E. 1.2.1).

Demnach erkennt das Bundesverwaltungsgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Verfahrenskosten von Fr. 1'200.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt. Der einbezahlte Kostenvorschuss wird nach Eintritt der Rechtskraft des vorliegenden Urteils zur Bezahlung der Verfahrenskosten verwendet.

3.
Es wird keine Parteientschädigung zugesprochen.

4.
Dieses Urteil geht an den Beschwerdeführer, die Vorinstanz und die Erstinstanz.

Für die Rechtsmittelbelehrung wird auf die nächste Seite verwiesen.

Der vorsitzende Richter: Die Gerichtsschreiberin:

Daniel Willisegger Astrid Hirzel

Rechtsmittelbelehrung:

Gegen diesen Entscheid kann innert 30 Tagen nach Eröffnung beim Bundesgericht, 1000 Lausanne 14, Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten geführt werden, sofern die Voraussetzungen gemäss Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours:
a  contre les décisions rendues dans des causes de droit public;
b  contre les actes normatifs cantonaux;
c  qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires.
., 90 ff. und 100 BGG gegeben sind. Die Frist ist gewahrt, wenn die Beschwerde spätestens am letzten Tag der Frist beim Bundesgericht eingereicht oder zu dessen Handen der Schweizerischen Post oder einer schweizerischen diplomatischen oder konsularischen Vertretung übergeben worden ist (Art. 48 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 48 Observation - 1 Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
1    Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse.
2    En cas de transmission électronique, le moment déterminant pour l'observation d'un délai est celui où est établi l'accusé de réception qui confirme que la partie a accompli toutes les étapes nécessaires à la transmission.20
3    Le délai est également réputé observé si le mémoire est adressé en temps utile à l'autorité précédente ou à une autorité fédérale ou cantonale incompétente. Le mémoire doit alors être transmis sans délai au Tribunal fédéral.
4    Le délai pour le versement d'avances ou la fourniture de sûretés est observé si, avant son échéance, la somme due est versée à La Poste Suisse ou débitée en Suisse d'un compte postal ou bancaire en faveur du Tribunal fédéral.
BGG). Die Rechtsschrift ist in einer Amtssprache abzufassen und hat die Begehren, deren Begründung mit Angabe der Beweismittel und die Unterschrift zu enthalten. Der angefochtene Entscheid und die Beweismittel sind, soweit sie die beschwerdeführende Partei in Händen hat, beizulegen (Art. 42
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG).

Versand: 10. Juni 2022

Zustellung erfolgt an:

- den Beschwerdeführer (Gerichtsurkunde)

- die Vorinstanz (Ref-Nr. [...]; Gerichtsurkunde)

- die Erstinstanz (Gerichtsurkunde)