Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}
8C 607/2012

Urteil vom 3. Dezember 2012
I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Niquille, Bundesrichter Maillard,
Gerichtsschreiberin Durizzo.

Verfahrensbeteiligte
K.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Yolanda Schweri,
Beschwerdeführer,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung
(Invalidenrente; Integritätsentschädigung),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 9. Mai 2012.

Sachverhalt:

A.
Mit Verfügung vom 20. März 2010 und Einspracheentscheid vom 7. September 2010 sprach die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) K.________, geboren 1961, für die am 16. Dezember 1998 (Treppensturz mit Rückenverletzung) und am 10. April 1982 (Sturz beim Aussteigen aus einem Lieferungsfahrzeug mit Schulterverletzung) erlittenen Unfälle ab dem 1. Januar 2010 eine Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 24 % sowie eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 32,80 % (Rückenbeschwerden: 27,80 %; Schulterbeschwerden: 5 %) zu.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 9. Mai 2012 ab.

C.
K.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei ihm, nach Einholung eines medizinischen Gutachtens, eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von mindestens 46 % und eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 70 % zuzusprechen.
Während die SUVA auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
1.1 Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
und Art. 96
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour:
a  inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse;
b  application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire.
BGG erhoben werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Es ist somit weder an die in der Beschwerde geltend gemachten Argumente noch an die Erwägungen der Vorinstanz gebunden; es kann eine Beschwerde aus einem anderen als dem angerufenen Grund gutheissen und es kann sie mit einer von der Argumentation der Vorinstanz abweichenden Begründung abweisen (vgl. BGE 130 III 136 E. 1.4 S. 140). Gemäss Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
BGG ist die Beschwerde hinreichend zu begründen, andernfalls wird darauf nicht eingetreten (Art. 108 Abs. 1 lit. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
1    Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière:
a  sur les recours manifestement irrecevables;
b  sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2);
c  sur les recours procéduriers ou abusifs.
2    Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge.
3    L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité.
BGG). Das Bundesgericht prüft grundsätzlich nur die geltend gemachten Rügen; es ist nicht gehalten, wie eine erstinstanzliche Behörde alle sich stellenden rechtlichen Fragen zu prüfen, wenn diese vor Bundesgericht nicht mehr vorgetragen wurden. Es kann die Verletzung von Grundrechten und von kantonalem und interkantonalem Recht nur insofern prüfen, als eine solche Rüge in der Beschwerde vorgebracht und begründet worden ist (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG).

1.2 Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze zum Anspruch auf eine Invalidenrente der Unfallversicherung (Art. 18 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
1    Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52
2    Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA.
UVG; Art. 8
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
1    Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée.
2    Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13
3    Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15
ATSG), zur Ermittlung des Invaliditätsgrades bei erwerbstätigen Versicherten nach der Einkommensvergleichsmethode (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG) sowie zum Anspruch auf eine Integritätsentschädigung (Art. 24 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
1    Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66
2    L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67
UVG) zutreffend dargelegt. Darauf wird verwiesen.

3.
3.1 Verwaltung und Vorinstanz sind gestützt auf die Einschätzung von SUVA-Kreisarzt Dr. med. O.________ (Berichte vom 9. November und vom 21. Dezember 2009) und die von ihm veranlasste Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit EFL durch die Ergonomie X.________ (Bericht vom 6. Dezember 2009), davon ausgegangen, dass dem Versicherten eine körperlich sehr leichte, vorwiegend sitzende Tätigkeit ganztags mit vermehrten Pausen von bis zu einer Stunde pro Tag zumutbar seien.
Beschwerdeweise wird geltend gemacht, dass die medizinischen Berichte widersprüchlich und ergänzende Abklärungen erforderlich seien.

3.2 Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen wurde zwar stets Beweiswert zuerkannt, jedoch kommt ihnen praxisgemäss nicht dieselbe Beweiskraft wie einem gerichtlichen oder einem im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
ATSG vom Versicherungsträger in Auftrag gegebenen Gutachten zu. So soll bei Gerichtsgutachten "nicht ohne zwingende Gründe" von den Einschätzungen des medizinischen Experten abgewichen werden. Gutachten externer Spezialärzte, welche von Versicherungsträgern im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
1    Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles:
a  expertise monodisciplinaire;
b  expertise bidisciplinaire;
c  expertise pluridisciplinaire.
2    Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours.
3    Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts.
4    Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente.
5    Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c.
6    Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur.
7    Le Conseil fédéral:
a  peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1;
b  édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1;
c  crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques.
ATSG eingeholt wurden und den Anforderungen der Rechtsprechung entsprechen, darf das Gericht vollen Beweiswert zuerkennen, solange "nicht konkrete Indizien gegen die Zuverlässigkeit" der Expertise sprechen. Soll ein Versicherungsfall jedoch ohne Einholung eines externen Gutachtens entschieden werden, so sind an die Beweiswürdigung strenge Anforderungen zu stellen. Bestehen auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der versicherungsinternen ärztlichen Feststellungen, so sind ergänzende Abklärungen vorzunehmen (BGE 135 V 465 E. 4.4 S. 469 f.).

3.3 SUVA-Kreisarzt Dr. med. O.________ schilderte die Vielzahl der (beim Unfallversicherer aktenkundigen) Unfälle, die der Versicherte seit 1982 erlitten hat, die dabei erlittenen Verletzungen und den jeweiligen weiteren Verlauf eingehend. Seiner Einschätzung nach haben im Wesentlichen zwei Ereignisse zu den heutigen Beschwerden geführt. So hatte sich der Versicherte am 10. April 1982 einen Bruch an der Brustwirbelsäule zugezogen (Kompressionsfraktur Th11), welcher in der Folge konsolidierte, jedoch eine zusätzliche Kyphosierung von 30 bis 35° verursachte, was die Statik der Wirbelsäule deutlich veränderte. Die Balance könne heute gesamthaft wieder gehalten werden durch einen gestreckten Verlauf des mittleren Teils der Brustwirbelsäule und eine sehr betonte Lendenlordose, wodurch indessen auch die tieflumbalen Beschwerden zu erklären seien. Des Weiteren finde sich eine leicht eingeschränkte Schulterfunktion rechts nach Revision des Schultergelenks im Jahr 1999, bedingt durch den am 16. Dezember 1998 erlittenen Unfall. Eine im Jahr 1986 zugezogene Klavikulafraktur habe zu einer etwas veränderten, jedoch zu vernachlässigenden Stellung der Schulter geführt. Der Kreisarzt machte seine Einschätzung der Arbeitsfähigkeit angesichts der
komplexen Situation von der bei der EFL abzuklärenden Belastbarkeit abhängig. Auch diese zeigte als Hauptproblem die vermindert belastbare Wirbelsäule. Da jedoch die Muskulatur gut entwickelt, abgesehen von der Wirbelsäule die Beweglichkeit aller Gelenke nicht eingeschränkt und die Kondition des Versicherten sehr gut war, wurde eine sehr leichte, vorwiegend sitzende Tätigkeit als ganztags zumutbar erachtet, wobei insbesondere bei Kumulation verschiedener Belastungsfaktoren zusätzliche Pausen erforderlich seien. Als solche Faktoren wurden das Heben von Gewichten, das einhändige Tragen, die verminderte Ausdauerkraft der Schulter-Nackenmuskulatur rechts bei der Arbeit über Kopf (jeweils mit weiteren Angaben zu den zumutbaren Gewichten), längeres Stehen, Gehen, Kriechen, Treppen- und Leitersteigen (zufolge verminderter Belastbarkeit des rechten Beines), längeres Sitzen, Knien und wiederholtes Kniebeugen (wegen der verminderten Belastbarkeit der Lendenwirbelsäule) sowie Hockeposition und vorgeneigtes Stehen genannt. Gestützt darauf formulierte der Kreisarzt als Zumutbarkeitsprofil eine sehr leichte, vorwiegend sitzende Arbeit ganztags mit vermehrten Pausen von insgesamt einer Stunde pro Arbeitstag zur Lockerung der Muskulatur, wobei
lediglich Lasten bis 5 kg gehandhabt werden könnten. Die leichte Einschränkung der Schulterfunktion rechts verliere in diesem Kontext an Bedeutung und sei für die Belastbarkeit nicht limitierend.

3.4 Angesichts dieser detaillierten, auf der Evaluation der funktionellen Leistungsfähigkeit basierenden Umschreibung der noch zumutbaren Tätigkeiten vermögen die vom Beschwerdeführer vorgebrachten Einwände keine Zweifel an der Richtigkeit der Einschätzung des Kreisarztes zu begründen, zumal er im Einzelnen weder die Ergebnisse der EFL noch die Berichte des Kreisarztes beanstandet.
Er beruft sich vielmehr namentlich auf das von der Invalidenversicherung eingeholte Gutachten des Dr. med. S.________, Orthopädische Chirurgie FMH, vom 29. April 2009, welcher ihn gut sieben Monate zuvor untersucht und eine 50%ige Arbeitsfähigkeit in einer leichten bis mittelschweren Tätigkeit attestiert hatte. Der Gutachter ging davon aus, dass der Versicherte, der damals noch in seiner angestammten Tätigkeit als Postangestellter arbeitete, indessen das Pensum bereits von 50 auf 25 % hatte reduzieren müssen, aktuell auch in einer dem Rückenleiden bestmöglich angepassten Tätigkeit lediglich zu 50 % arbeitsfähig wäre. Er empfahl einen operativen Eingriff (ventrale Aufrichtung und dorsale Stabilisierung), nachdem sämtliche konservativen Therapiemöglichkeiten ausgeschöpft seien, worauf mit einer Arbeitsfähigkeit von 80 % zu rechnen sei. In der Folge waren jedoch in der Klinik Z._______ Fazettengelenksinfiltrationen durchgeführt worden, auf welche der Versicherte sehr gut reagierte, sodass auf diese Operation verzichtet wurde. Angesichts dieses Verlaufs und der später bei der EFL gezeigten Ergebnisse lassen sich mit dem Bericht des Dr. med. S.________ keine Zweifel an der Zuverlässigkeit der Testung der Belastbarkeit und der darauf
basierenden Einschätzung des SUVA-Kreisarztes begründen. Hinsichtlich des Berichts über die EFL wird geltend gemacht, dass die dortige Abklärung ohne Kenntnis aller körperlichen und kognitiven Einschränkungen durchgeführt worden sei. Um welche es sich dabei handelt und inwiefern dadurch die Ergebnisse der Testung zu Ungunsten des Beschwerdeführers unzuverlässig ausgefallen wären, wird jedoch nicht weiter dargelegt. Gerügt wird diesbezüglich im Übrigen, dass Interpretationsbedarf bestehe hinsichtlich des zeitlichen Umfangs der erforderlichen Pausen. Es wird im EFL-Bericht ausdrücklich festgehalten, dass zufolge Kumulation verschiedener Belastungsfaktoren im angestammten Beruf als Briefträger eine Stunde pro Halbtag bei einem zumutbaren Halbtagespensum erforderlich sei; aus dem gleichen Grund seien auch in einer sehr leichten, ganztags zumutbaren Tätigkeit vermehrte Pausen erforderlich, ohne dass diesbezüglich eine zeitliche Konkretisierung erfolgte. Der Kreisarzt setzte diesen Bedarf auf eine Stunde pro Tag fest. Die SUVA weist in ihrer Vernehmlassung zutreffend darauf hin, dass sich die im EFL-Bericht genannten Belastungsfaktoren in einer sehr leichten Tätigkeit nicht kumulieren werden, weshalb eine weitergehende zeitliche
Berücksichtigung der erforderlichen Pausen nicht angezeigt ist. Ergänzende Abklärungen erübrigen sich bei diesem Ergebnis.

4.
Hinsichtlich der erwerblichen Auswirkungen wird die Ermittlung des Invalideneinkommens gestützt auf DAP-Blätter (Dokumentation der SUVA über Arbeitsplätze) bemängelt, welche unter Berücksichtigung einer Leistungseinschränkung von 12 % wegen des vermehrten Pausenbedarfs einen zumutbarerweise erzielbaren Lohn von Fr. 53'746.- ergab.

4.1 Es wird gerügt, dass die ausgewählten Tätigkeiten dem Zumutbarkeitsprofil nur teilweise entsprächen. Was indessen im Einzelnen vorgebracht wird, etwa dass mittelschweres manuelles Hantieren, ausschliessliches Sitzen oder Rotationen in der Körperhaltung erforderlich seien, findet in den entsprechenden Dokumentationen der Arbeitsplätze keine Stütze, und es fehlt auch an ärztlichen Attesten dafür, dass eine Tätigkeit mit Gehörschutz wegen eines geklagten Tinnitus nicht angezeigt sei. Im Übrigen aber ergibt eine Verifizierung mittels Beizugs des statistischen Durchschnittslohns, dass der von der SUVA gestützt auf die DAP-Blätter ermittelte Betrag unter dem anwendbaren Tabellenlohn liegt. Dieser belief sich gemäss der vom Bundesamt für Statistik herausgegebenen Lohnstrukturerhebung (LSE) 2010, Tabelle TA1 (S. 26), für Männer, Anforderungsniveau 4 (einfache und repetitive Tätigkeiten), monatlich auf Fr. 4'901.-. Umgerechnet auf die betriebsübliche wöchentliche Arbeitszeit von 41,6 Stunden (Betriebsübliche Arbeitszeit nach Wirtschaftsabteilungen, in Stunden pro Woche; abrufbar unter www.bfs.admin.ch) ergibt sich für das Jahr des Rentenbeginns 2010 (BGE 128 V 174, 129 V 222) ein monatliches Einkommen von Fr. 5'097.- beziehungsweise
ein Jahreslohn von Fr. 61'164.-. Bei einem Rendement von 88 % resultiert ein Invalideneinkommen von Fr. 53'825.-. Ein zusätzlicher leidensbedingter Abzug vom Tabellenlohn (BGE 129 V 472 E. 4.2.3 S. 481; 126 V 75 E. 5 S. 78 ff.) liesse sich hier gestützt auf die Einwände des Beschwerdeführers, wonach er nur noch leichte Tätigkeiten auszuüben vermöge, die Notwendigkeit eines ergonomisch optimal angepassten Arbeitsplatzes ausgewiesen und damit das Zumutbarkeitsprofil erheblich eingeschränkt sei, mit Blick auf den allein massgeblichen ausgeglichenen Arbeitsmarkt nicht rechtfertigen (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG; BGE 134 V 64 E. 4.2.1 S. 70 f.; 110 V 273 E. 4b S. 276; vgl. auch Urteil 8C 20/2012 vom 4. April 2012 E. 3.3). Rechtsprechungsgemäss ist zu berücksichtigen, dass gesundheitlich beeinträchtigte Personen, die selbst bei leichten Hilfsarbeitertätigkeiten behindert sind, im Vergleich zu voll leistungsfähigen und entsprechend einsetzbaren Arbeitnehmern lohnmässig benachteiligt sind und deshalb in der Regel mit unterdurchschnittlichen Lohnansätzen rechnen müssen, insbesondere wenn sie in ihrer letzten Tätigkeit körperliche Schwerarbeit verrichtet haben (BGE 129 V 472 E. 4.2.3 S. 481; 126 V 75 E. 5 S. 78 ff.). Dies trifft beim Beschwerdeführer,
welcher als Postangestellter tätig war, nicht zu, und es besteht bei einer leidensangepassten leichten Tätigkeit keine Einschränkung, die über den erhöhten Pausenbedarf hinausgehen würde; dieser wurde bereits mit einem Rendement von 88 % berücksichtigt. Das von der SUVA gestützt auf DAP-Profile ermittelte Invalideneinkommen ist somit im Ergebnis nicht zu beanstanden.

4.2 Der Beschwerdeführer macht weiter geltend, dass er eine seinem Leiden optimal angepasste Tätigkeit als Chauffeur gefunden habe und mit wechselndem Pensum, durchschnittlich zu 55 %, damit aber am maximal möglichen Limit arbeite.
Für die Festsetzung des Invalideneinkommens ist nach der Rechtsprechung primär von der beruflich-erwerblichen Situation auszugehen, in welcher die versicherte Person konkret steht. Übt sie nach Eintritt der Invalidität eine Erwerbstätigkeit aus, bei der - kumulativ - besonders stabile Arbeitsverhältnisse gegeben sind und anzunehmen ist, dass sie die ihr verbleibende Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausschöpft, und erscheint zudem das Einkommen aus der Arbeitsleistung als angemessen und nicht als Soziallohn, gilt grundsätzlich der tatsächlich erzielte Verdienst als Invalidenlohn (BGE 129 V 472 E. 4.2.1 S. 475).
Massgebender Zeitpunkt für die richterliche Überprüfung ist indessen der angefochtene Einspracheentscheid vom 7. September 2010 (BGE 129 V 167 E. 1 S. 169). Da der Einwand erst letztinstanzlich vorgebracht wird, kann darauf nicht weiter eingegangen werden, zumal es auch an hinreichenden sachverhaltlichen Grundlagen für die zuverlässige Beurteilung der diesbezüglich entscheidwesentlichen Frage fehlt, ob der Beschwerdeführer mit der neu angetretenen Stelle seine verbleibende Arbeitsfähigkeit in zumutbarer Weise voll ausschöpft; der vor Bundesgericht neu eingereichte Bericht der Klinik Z.________ vom 31. Mai 2012 (vgl. Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG) äussert sich nicht dazu, ob medizinische Gründe eine Eingliederung mit vollem Pensum verhindern (RKUV 2005 Nr. U 560 S. 398, U 3/04 E. 2.2; Urteile 8C 605/2012 vom 21. September 2012 E. 5 in fine; 8C 365/2012 vom 30. Juli 2012 E. 6.2 in fine).

4.3 Damit muss es mit dem von der SUVA ermittelten Invalideneinkommen von Fr. 53'746.- sein Bewenden haben. Verglichen mit dem unbeanstandet gebliebenen Valideneinkommen von Fr. 71'001.- resultiert ein Invaliditätsgrad von 24 %.

5.
Zu überprüfen bleibt die von der SUVA zugesprochene Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 32,80 % unter Berücksichtigung der Rückenbeschwerden (27,80 %) und der Schulterbeschwerden (5 %).

5.1 Beschwerdeweise wird zunächst geltend gemacht, dass unfallbedingte Diskushernien zu Unrecht ausser Acht geblieben seien. Der SUVA-Kreisarzt hat sich dazu in seinem Bericht vom 9. November 2009 dahingehend geäussert, dass die untersten beiden Bandscheiben der Lendenwirbelsäule degenerativ etwas verändert seien, die Altersnorm nicht zwingend überschreitend. Indessen stünden die tieflumbalen Beschwerden in kausalem Zusammenhang mit der Wirbelfraktur (Th11). Die SUVA hat den Versicherten in ihrer Verfügung vom 22. März 2010 denn auch darauf aufmerksam gemacht, sich zu melden, wenn der Gesundheitszustand erneut ärztlicher Behandlung bedürfe. Die mit dem unfallbedingten Leiden verbundene Einschränkung der Belastbarkeit der Wirbelsäule ist Gegenstand der zugesprochenen Integritätsentschädigung. Dass unfallbedingt eine darüber hinausgehende Integritätseinbusse besteht, ist nicht ausgewiesen. Entgegen dem Einwand des Beschwerdeführers ist gemäss Einschätzung des SUVA-Kreisarztes vom 21. Dezember 2009 eine Verschlechterung mittel- bis langfristig zwar nicht ganz auszuschliessen, aber auch nicht bereits vorhersehbar (Art. 36 Abs. 4
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 36 - 1 Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87
1    Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87
2    L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est calculée selon les directives figurant à l'annexe 3.
3    En cas de concours de plusieurs atteintes à l'intégrité physique, mentale ou psychique, dues à un ou plusieurs accidents, l'indemnité pour atteinte à l'intégrité est fixée d'après l'ensemble du dommage.88 L'indemnité totale ne peut dépasser le montant maximum du gain annuel assuré. Il est tenu compte, dans le taux d'indemnisation, des indemnités déjà reçues en vertu de la loi.
4    Il sera équitablement tenu compte des aggravations prévisibles de l'atteinte à l'intégrité. Une révision n'est possible qu'en cas exceptionnel, si l'aggravation est importante et n'était pas prévisible.89
5    L'assuré qui, dans le cadre d'une maladie professionnelle, développe un mésothéliome ou d'autres tumeurs dont l'évolution est tout aussi défavorable en termes de survie a droit à une indemnité pour atteinte à l'intégrité physique dès l'apparition de la maladie.90
UVV). Er hat die Beschwerden, welche entsprechend der Funktionseinschränkung zu bestimmen sind, mit dem
obersten nach SUVA-Tabelle 7 (Integritätsschaden bei Wirbelsäulenaffektionen) vorgesehenen Richtwert bei Frakturen berücksichtigt (+++, starke Dauerschmerzen, Zusatzbelastung nicht möglich, auch nachts und in Ruhe, bei Verstärkung lange Erholungszeit: 30 %; die Berücksichtigung einer Integritätseinbusse von 27,8 % erklärt sich dadurch, dass sich der Unfall vor Inkrafttreten des UVG ereignet hat). Es wird beschwerdeweise nichts vorgebracht, was eine den Richtwert überschreitende Beurteilung rechtfertigen würde.

5.2 Was die Bemessung des Integritätsschadens hinsichtlich der Schulterbeschwerden betrifft, wird zunächst geltend gemacht, dass der Kreisarzt nicht alle Unfallereignisse berücksichtigt habe, ohne dass jedoch erläutert würde, um welche es sich dabei handle. Der Kreisarzt erwähnt im Übrigen ausdrücklich, dass die Schulterbeschwerden entscheidend auf das Ereignis vom 16. Dezember 1998 zurückzuführen seien. Dass die Beweglichkeit an sich eingeschränkt wäre, findet in den Akten keine Stütze; es geht aus dem EFL-Bericht hervor, dass eine verminderte Ausdauerkraft der Schulter-Nackenmuskulatur rechts und deshalb eine körperliche Limitierung bei Überkopfarbeiten besteht. Eine entsprechende Berücksichtigung der für Einschränkungen der Schulterbeweglichkeit vorgesehenen Richtwerte rechtfertigt sich daher nicht. Es wird im Übrigen nichts vorgebracht, was den vom Kreisarzt erhobenen allein massgeblichen medizinischen Befund (BGE 115 V 147 E. 1; Urteil 8C 812/2010 vom 2. Mai 2011 E. 6.2) einer leichten bis mässigen Periarthropathie als unzutreffend und eine Festsetzung der entsprechenden Integritätsentschädigung auf 10 % statt auf 5 % als gerechtfertigt erscheinen liesse. Eine Angemessenheitskontrolle ist dem Bundesgericht verwehrt (Art. 95
lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG; BGE 132 V 393 E. 3.3 S. 399; Urteil 8C 644/2008 vom 19. August 2009 E. 6.1, nicht publ. in: BGE 135 V 353, aber in: SVR 2010 IV Nr. 6 S. 13; vgl. auch BGE 134 V 322 E. 5.3 S. 328).

5.3 Schliesslich hat sich das kantonale Gericht zu den geltend gemachten Beschwerden zufolge von Verletzungen am rechten Bein zutreffend geäussert und dargelegt, dass und weshalb keine zu entschädigende Integritätseinbusse besteht. Gestützt auf die Schilderung der Unfallereignisse und des jeweiligen weiteren Verlaufs im Kreisarztbericht vom 9. November 2009 ergeben sich keine Hinweise darauf, dass es zufolge des im Jahr 1986 erlittenen Treppensturzes auf einem Schiff über den 21. August 1987 hinaus zu anhaltenden Beschwerden am rechten Fuss und Sprunggelenk gekommen wäre. Des Weiteren bestehen aufgrund der dort aufgelisteten Unfallereignisse und entsprechenden Verletzungen sowie anhand der Befunderhebung des Kreisarztes auch keine Anhaltspunkte für andauernde Kniebeschwerden.

5.4 Auch die zugesprochene Integritätsentschädigung ist damit nicht zu beanstanden.

6.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
BGG). Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 65 Abs. 4 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
1    Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins.
2    L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière.
3    Son montant est fixé en règle générale:
a  entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires;
b  entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations.
4    Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent:
a  des prestations d'assurance sociale;
b  des discriminations à raison du sexe;
c  des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs;
d  des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24.
5    Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4.
in Verbindung mit Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 3. Dezember 2012
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Ursprung

Die Gerichtsschreiberin: Durizzo