Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

5A 923/2020

Urteil vom 1. Juli 2021

II. zivilrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Escher, präsidierendes Mitglied,
Bundesrichter Marazzi, Schöbi,
Gerichtsschreiber Monn.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,

gegen

Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________ strasse www (Parzelle Nr. xxx), bestehend aus :

1. C.C.________,
2. D.C.________,
3. E.E.________,
4. F.E.________,
5. G.E.________,
6. H.H.________,
7. I.H.________,
8. J.J.________,
9. K.K.________,
10. L.K.________,
11. M.M.________,
12. N.M.________,
13. O.________,
14. Einfache Gesellschaft P.________,
be stehend aus :

14.1. Q.P.________,
14.2. R.P.________,
14.3. S.P.________,
14.4. T.P.________,
14.5. U.P.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Manuel Bucher,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Definitive Rechtsöffnung,

Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Nidwalden, Beschwerdeabteilung in Zivilsachen, vom 14. Oktober 2020 (BAZ 20 15).

Sachverhalt:

A.
Mit Zahlungsbefehl Nr. yyy des Betreibungsamts Nidwalden vom 30. April 2020 betrieb die Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www A.________ für Prozesskosten, die diesem von der Nidwaldner Justiz auferlegt worden waren: die Erstattung vorgeschossener Gerichtskosten von Fr. 15'000.-- und die Parteientschädigung von Fr. 14'168.95 gemäss dem Urteil ZK 15 14 des Kantonsgerichts Nidwalden vom 8. April 2016 (nebst 5 % Zins seit dem 8. August 2016) sowie die Parteientschädigung von Fr. 2'649.05 gemäss dem Entscheid ZA 16 13, P 16 15 / P 17 28 des Obergerichts des Kantons Nidwalden vom 2. April 2019 (nebst 5 % Zins seit dem 25. August 2019). Die beiden Entscheide haben die Klage auf Ausschluss von A.________ aus der Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________ strasse www vom 23. April 2015 zum Gegenstand. Das Kantonsgericht hiess die Klage gut, das Obergericht bestätigte dieses Urteil. Der dagegen von A.________ erhobenen Beschwerde an das Bundesgericht war kein Erfolg beschieden (Urteil 5A 735/2019 vom 3. März 2020).

B.
Nachdem A.________ Rechtsvorschlag erhoben hatte, ersuchte die Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www das Kantonsgericht Nidwalden um definitive Rechtsöffnung. Das Kantonsgericht entsprach dem Gesuch, wobei es den Zins seit 8. Mai 2020 zusprach. A.________ gelangte darauf an das Obergericht des Kantons Nidwalden. Dieses wies seine Beschwerde mit Urteil vom 14. Oktober 2020 ab.

C.

C.a. Mit Beschwerde vom 2. November 2020 wendet sich A.________ an das Bundesgericht. Er beantragt, den Entscheid des Obergerichts "vollständig aufzuheben" (Ziffer 1), und ersucht das Bundesgericht, "gemäss Art. 106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG von Amtes wegen im Rahmen des Streitgegenstandes die Aktivlegitimation als materiellrechtliche Voraussetzung des eingeklagten Anspruchs zu prüfen" (Ziffer 4). Für das bundesgerichtliche Verfahren ersucht er um unentgeltliche Rechtspflege (Ziffer 2). Sein Begehren, der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu erteilen, wies das Bundesgericht mit Verfügung vom 3. November 2020 mangels hinreichender Begründung ab.

C.b. Dazu eingeladen, sich zur Beschwerde zu äussern, beantragt die Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www (Beschwerdegegnerin), die Beschwerde vollumfänglich abzuweisen (Beschwerdeantwort vom 15. April 2021). Das Obergericht erklärt unter Hinweis auf den angefochtenen Entscheid, auf eine Vernehmlassung zu verzichten (Schreiben vom 19. Februar 2021). In seiner Replik vom 10. Mai 2021 hält der Beschwerdeführer an seinen Beschwerdeanträgen fest. Die Eingabe wurde der Beschwerdegegnerin zur Wahrung des rechtlichen Gehörs zur Kenntnis gebracht.

Erwägungen:

1.
Die Beschwerde richtet sich gegen den Endentscheid einer letzten kantonalen Instanz, die als oberes Gericht auf Rechtsmittel hin über eine vermögensrechtliche Schuldbetreibungs- und Konkurssache geurteilt hat (Art. 72 Abs. 2 Bst. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
1    Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile.
2    Sont également sujettes au recours en matière civile:
a  les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions:
b1  sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile,
b2  sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies,
b3  sur le changement de nom,
b4  en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage,
b5  en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux,
b6  les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte,
b7  ...
, 75
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
1    Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37
2    Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si:
a  une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
b  un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique;
c  une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties.
und 90
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure.
BGG). Die gesetzliche Streitwertgrenze von Fr. 30'000.-- (Art. 74 Abs. 1 Bst. b
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 74 Valeur litigieuse minimale - 1 Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
1    Dans les affaires pécuniaires, le recours n'est recevable que si la valeur litigieuse s'élève au moins à:
a  15 000 francs en matière de droit du travail et de droit du bail à loyer;
b  30 000 francs dans les autres cas.
2    Même lorsque la valeur litigieuse minimale n'est pas atteinte, le recours est recevable:
a  si la contestation soulève une question juridique de principe;
b  si une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique;
c  s'il porte sur une décision prise par une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
d  s'il porte sur une décision prise par le juge de la faillite ou du concordat;
e  s'il porte sur une décision du Tribunal fédéral des brevets.
BGG) ist erreicht, die Beschwerdefrist (Art. 100 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
1    Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète.
2    Le délai de recours est de dix jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite;
b  les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale;
c  les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93.
d  les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95.
3    Le délai de recours est de cinq jours contre:
a  les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change;
b  les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales.
4    Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national.
5    En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral.
6    ...96
7    Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps.
i.V.m. 45 Abs. 1 BGG) eingehalten. Auf die Beschwerde ist einzutreten.

2.

2.1. Die Beschwerde an das Bundesgericht ist ein reformatorisches Rechtsmittel (Art. 107 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
1    Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties.
2    Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance.
3    Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100
4    Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102
BGG). Die rechtsuchende Partei muss grundsätzlich einen Antrag in der Sache stellen (BGE 137 II 313 E. 1.3), also angeben, welche Punkte des kantonalen Entscheids sie anficht und inwiefern der angefochtene Entscheid abgeändert werden soll (BGE 133 III 489 E. 3.1; Urteil 5A 346/2016 vom 29. Juni 2017 E. 2.1, nicht publ. in: BGE 143 III 361). Allein der Antrag, den angefochtenen Entscheid aufzuheben, genügt hierzu nicht und macht die Beschwerde an sich unzulässig. Ausnahmsweise reicht ein blosser Rückweisungsantrag aus, wenn das Bundesgericht im Falle einer Gutheissung in der Sache naturgemäss nicht selbst entscheiden könnte (BGE 134 III 379 E. 1.3). Für die Auslegung der Rechtsbegehren kann das Bundesgericht die Begründung der Beschwerde heranziehen (BGE 136 V 131 E. 1.2).

2.2. Unter dem Titel "Rechtsbegehren" beantragt der Beschwerdeführer lediglich die Aufhebung des angefochtenen Entscheids. Er stellt kein förmliches reformatorisches Begehren, das Rechtsöffnungsgesuch abzuweisen, noch verlangt er, die Sache an die Vorinstanz zurückzuweisen. Seine Forderung, "die Aktivlegitimation als materiellrechtliche Voraussetzung des eingeklagten Anspruchs" zu prüfen (s. Sachverhalt Bst. C), ist kein Antrag im Rechtssinne. Sie beschlägt die Begründung der Beschwerde. Zusammen mit den weiteren Ausführungen in der Beschwerdebegründung wird aber insgesamt deutlich, dass der Beschwerdeführer zumindest sinngemäss die Abweisung des Rechtsöffnungsbegehrens verlangt. Insofern ist dem gesetzlichen Erfordernis eines reformatorischen Antrags Genüge getan.

3.
Der Streit dreht sich um die Aktivlegitimation im Rechtsöffnungsverfahren.

3.1. Der Beschwerdeführer argumentiert, anstelle der einzelnen Stockwerkeigentümer habe die Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www die Betreibung eingeleitet und das Gesuch um definitive Rechtsöffnung gestellt. Zur Ausschlussklage sei der von der Pflichtverletzung betroffene Stockwerkeigentümer legitimiert, nicht jedoch die Gemeinschaft selbst. Entsprechend sei auch nur dieser Stockwerkeigentümer zur Durchsetzung des Ausschlusses berechtigt. Die nicht aktivlegitimierte Stockwerkeigentümergemeinschaft könne sich nicht auf ein Urteil berufen, das nicht in ihrem eigenen Namen ergangen ist bzw. in welchem sie nicht Prozesspartei war.

3.2. Das Obergericht betont, dass das vorliegende Verfahren keine Ausschlussklage, sondern ein Gesuch um definitive Rechtsöffnung zum Gegenstand habe. Was der Beschwerdeführer zur Ausschlussklage ausführe, sei unbeachtlich und nicht weiter zu vertiefen. Dass die "Beschwerdegegnerschaft" nicht aktivlegitimiert sei, behaupte der Beschwerdeführer erst im (kantonalen) Beschwerdeverfahren; in seinem Rechtsvorschlag habe er dies nicht geltend gemacht und im erstinstanzlichen Verfahren habe er trotz erstreckter Frist keine Stellungnahme eingereicht. Dadurch entstehe der Eindruck, als wolle sich der Beschwerdeführer lediglich unter Zuhilfenahme von Rabulistik, Trölerei und Verfahrensverschleppung der Zwangsvollstreckung fälliger Forderungen entziehen. Rechtsmissbrauch finde jedoch keinen Rechtsschutz.
Den vorinstanzlichen Feststellungen zufolge will die "Beschwerdegegnerschaft" diejenigen Forderungen durchsetzen, die ihr der Beschwerdeführer im Rahmen des Verfahrens um seinen Ausschluss aus der Stockwerkeigentümergemeinschaft verursachte. Diese Beträge seien Gegenstand der Betreibung Nr. yyy des Betreibungsamts Nidwalden bzw. des Zahlungsbefehls vom 30. April 2020, des Gesuchs um definitive Rechtsöffnung vom 28. Mai 2020, des erstinstanzlichen Entscheids vom 20. August 2020 und des kantonalen Beschwerdeverfahrens. In der Folge schildert das Obergericht, wie das jeweilige Rubrum im Gesuch um definitive Rechtsöffnung, im erstinstanzlichen Entscheid, in der Ausschlussklage und in den diesbezüglichen Gerichtsentscheiden formuliert war. Es stellt fest, dass sowohl im Ausschlussprozess über alle Instanzen hinweg als auch im Betreibungs- und im Rechtsöffnungsverfahren immer dieselben Personen oder die an ihrer Statt in den Prozess eintretenden Rechtsnachfolger als Prozessgegner des Beschwerdeführers aufgetreten seien. Diese Personen entsprächen "der Gemeinschaft der Stockwerkeigentümer minus dem Beschwerdeführer". Daraus folgert das Obergericht, dass eine die Rechtsdurchsetzung verunmöglichende Widersprüchlichkeit oder eine fehlende
Aktivlegitimation nicht vorliege. Gestützt auf diese Erwägungen spricht das Obergericht die Rechtsöffnung aus, da der Beschwerdeführer die Vollstreckbarkeit der fraglichen Urteile nicht bestreite und sich weder auf die Tilgung oder Stundung noch auf die Verjährung der Schuld berufe.

3.3. Die Beschwerdegegnerin schliesst sich im Wesentlichen den vorinstanzlichen Erwägungen an. Eine angeblich fehlerhafte Bezeichnung als "Stockwerkeigentümergemeinschaft bestehend aus" anstelle der Bezeichnung "Stockwerkeigentümer bestehend aus", die weder von den kantonalen Instanzen noch vom Bundesgericht konsequent und akribisch verwendet wurde, könne "bereits aus Gründen des überspitzten Formalismus" nicht schädlich sein; wenn sich der Beschwerdeführer darauf berufe, setze er sich dem Vorwurf des Rechtsmissbrauchs aus. Mit Bezug auf das Urteil ZK 15 14 vom 8. April 2016 (s. Sachverhalt Bst. A) weist die Beschwerdegegnerin ausserdem darauf hin, dass das Kantonsgericht die Prozesskosten entweder allen Stockwerkeigentümern materiell-rechtlich gemeinsam oder im Sinne einer Solidargläubigerschaft zugesprochen habe, so dass auch nur ein einziges Mitglied der Gemeinschaft allein die Bezahlung der gesamten Forderung mit befreiender Wirkung gegen alle hätte verlangen können. Entsprechend könne offenbleiben, ob den übrigen Teilnehmern die Aktivlegitimation fehlt oder ob diese gemeinsam mit dem einzigen (oder mit mehreren) Berechtigten teilnehmen können.

3.4. Beruht die Forderung auf einem vollstreckbaren Entscheid eines schweizerischen Gerichts oder einer schweizerischen Verwaltungsbehörde, so wird die definitive Rechtsöffnung erteilt, wenn nicht der Betriebene durch Urkunden beweist, dass die Schuld seit Erlass des Entscheids getilgt oder gestundet worden ist, oder die Verjährung anruft (Art. 81 Abs. 1
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 81 - 1 Lorsque la poursuite est fondée sur un jugement exécutoire rendu par un tribunal ou une autorité administrative suisse, le juge ordonne la mainlevée définitive de l'opposition, à moins que l'opposant ne prouve par titre que la dette a été éteinte ou qu'il a obtenu un sursis, postérieurement au jugement, ou qu'il ne se prévale de la prescription.
3    Si le jugement a été rendu dans un autre État, l'opposant peut en outre faire valoir les moyens prévus par une convention liant cet État ou, à défaut d'une telle convention, prévus par la loi fédérale du 18 décembre 1987 sur le droit international privé161, à moins qu'un juge suisse n'ait déjà rendu une décision concernant ces moyens.162
SchKG).

3.4.1. Das Rechtsöffnungsverfahren ist ein Urkundenprozess: Die Prüfungszuständigkeit des Rechtsöffnungsrichters umfasst ausschliesslich Fragen im Zusammenhang mit der Tauglichkeit der präsentierten Urkunden (BGE 142 III 720 E. 4.1; 133 III 645 E. 5.3). Ziel des Verfahrens ist nicht die Feststellung des materiellen Bestandes der in Betreibung gesetzten Forderung, sondern lediglich die Anerkennung des Vorliegens einer vollstreckbaren Urkunde dafür (BGE 138 III 583 E. 6.1.1; 132 III 140 E 4.1.1; 58 I 363 E. 2). Vorbehalten bleiben Mängel, die zur Nichtigkeit des Vollstreckungstitels führen und die der Rechtsöffnungsrichter von Amtes wegen beachten muss (BGE 130 III 125 E. 2 S. 128; Urteil 5D 106/2014 vom 24. September 2014 E. 5 mit Hinweis). Der Rechtsöffnungsrichter hat insbesondere folgende drei Identitäten zu prüfen: erstens die Identität zwischen dem Betreibenden und dem auf dem Rechtsöffnungstitel genannten Gläubiger, zweitens die Identität zwischen dem Betriebenen und dem auf dem Rechtsöffnungstitel genannten Schuldner, sowie drittens die Identität zwischen der in Betreibung gesetzten Forderung und derjenigen, die sich aus dem Rechtsöffnungstitel ergibt (BGE 141 I 97 E. 5.2; 139 III 444 E. 4.1.1). Ob ein gültiger
Rechtsöffnungstitel vorliegt, prüft das Gericht von Amtes wegen (BGE 140 III 372 E. 3.3.3; 103 Ia 47 E. 2e; s. auch das zur Publikation vorgesehene Urteil 5A 434/2020 vom 17. November 2020 E. 4.2.1 mit Hinweisen). Diese Regel gilt auch für das Beschwerdeverfahren, und zwar in dem Sinne, dass die Rechtsmittelinstanz bei offensichtlichen Mängeln die Beschwerde gegen die Erteilung der Rechtsöffnung gutheissen muss, selbst wenn der fragliche Einwand vor erster Instanz nicht erhoben wurde (zit. Urteil 5A 434/2020 a.a.O.).

3.4.2. Wie das Bundesgericht in seinem Urteil betreffend den Ausschluss des Beschwerdeführers aus der Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www unter Hinweis auf Art. 649b Abs. 1
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 649b - 1 Le copropriétaire peut être exclu de la communauté par décision judiciaire lorsque, par son comportement ou celui de personnes auxquelles il a cédé l'usage de la chose ou dont il répond, des obligations envers tous les autres ou certains copropriétaires sont si gravement enfreintes que l'on ne peut exiger d'eux la continuation de la communauté.
1    Le copropriétaire peut être exclu de la communauté par décision judiciaire lorsque, par son comportement ou celui de personnes auxquelles il a cédé l'usage de la chose ou dont il répond, des obligations envers tous les autres ou certains copropriétaires sont si gravement enfreintes que l'on ne peut exiger d'eux la continuation de la communauté.
2    Si la communauté ne comprend que deux copropriétaires, chacun d'eux peut intenter action; dans les autres cas et sauf convention contraire, une autorisation votée à la majorité de tous les copropriétaires, non compris le défendeur, est nécessaire.
3    Le juge qui prononce l'exclusion condamne le défendeur à aliéner sa part de copropriété et, à défaut d'exécution dans le délai fixé, ordonne la vente aux enchères publiques de la part, les dispositions relatives à la réalisation forcée des immeubles étant applicables, à l'exclusion de celles qui régissent la fin de la copropriété.
ZGB und auf zwei Lehrmeinungen klarstellt, ist zur Klage auf Ausschluss eines Stockwerkeigentümers aus der Gemeinschaft nicht die Stockwerkeigentümergemeinschaft als Verwaltungsgemeinschaft, sondern der oder die gestörten Miteigentümer aktivlegitimiert (Urteil 5A 735/2019 vom 3. März 2020 E. 3.3.1 mit Hinweisen). Gibt es mehr als zwei Miteigentümer, ist gemäss von Art. 649b Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 649b - 1 Le copropriétaire peut être exclu de la communauté par décision judiciaire lorsque, par son comportement ou celui de personnes auxquelles il a cédé l'usage de la chose ou dont il répond, des obligations envers tous les autres ou certains copropriétaires sont si gravement enfreintes que l'on ne peut exiger d'eux la continuation de la communauté.
1    Le copropriétaire peut être exclu de la communauté par décision judiciaire lorsque, par son comportement ou celui de personnes auxquelles il a cédé l'usage de la chose ou dont il répond, des obligations envers tous les autres ou certains copropriétaires sont si gravement enfreintes que l'on ne peut exiger d'eux la continuation de la communauté.
2    Si la communauté ne comprend que deux copropriétaires, chacun d'eux peut intenter action; dans les autres cas et sauf convention contraire, une autorisation votée à la majorité de tous les copropriétaires, non compris le défendeur, est nécessaire.
3    Le juge qui prononce l'exclusion condamne le défendeur à aliéner sa part de copropriété et, à défaut d'exécution dans le délai fixé, ordonne la vente aux enchères publiques de la part, les dispositions relatives à la réalisation forcée des immeubles étant applicables, à l'exclusion de celles qui régissent la fin de la copropriété.
ZGB ein ermächtigender Mehrheitsbeschluss aller Miteigentümer mit Ausnahme des Beklagten erforderlich; das Vorliegen eines solchen Ermächtigungsbeschlusses ist keine Sachurteils-, sondern eine materiellrechtliche Voraussetzung (zit. Urteil 5A 735/2019 a.a.O. mit Hinweis). Aktiv- und Passivlegitimation sind materiellrechtliche Voraussetzungen des eingeklagten Anspruchs und als solche von Amtes wegen zu prüfen (BGE 108 II 216 E. 1).

3.5. Mit Bezug auf die Identität zwischen dem Betreibenden und dem auf dem Rechtsöffnungstitel genannten Gläubiger ergibt sich im konkreten Fall Folgendes:

3.5.1. Im Urteil ZK 15 14 vom 8. April 2016, das hier als einer von zwei Vollstreckungstiteln zur Beurteilung steht (s. Sachverhalt Bst. A), verpflichtet das Kantonsgericht Nidwalden den Beschwerdeführer in den Ziffern 4 und 5 seines Erkenntnisses, die fraglichen Geldsummen "den Klägern" zu bezahlen. Als "Kläger" führt das Rubrum achtzehn Personen auf, von denen fünf eine einfache Gesellschaft bilden. Aus diesen Klägern besteht - laut Rubrum - die Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www "mit Ausnahme des Beklagten". Der kantonsgerichtliche Urteilsspruch widerspiegelt mithin die geschilderte materiellrechtliche Situation, wonach zur Ausschlussklage der oder die einzelnen Stockwerkeigentümer befugt sind. Anders verhält es sich mit dem zweiten Vollstreckungstitel, dem Entscheid ZA 16 13, P 16 15 / P 17 28 des Obergerichts des Kantons Nidwalden vom 2. April 2019 (s. Sachverhalt Bst. A). Gemäss Ziffer 3 des dortigen Urteilsdispositivs hat der Berufungskläger die Parteientschädigung von Fr. 2'649.05 "der Berufungsbeklagten" zu bezahlen. Als "Berufungsbeklagte" bezeichnet das obergerichtliche Rubrum die "Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www... mit Ausnahme A.________", bestehend aus achtzehn Personen
(einschliesslich der fünfköpfigen einfachen Gesellschaft), wobei eine Person gegenüber dem erstinstanzlichen Urteil durch eine andere ersetzt wurde. Obwohl die Stockwerkeigentümergemeinschaft im Ausschlussprozess nach Massgabe des Bundesprivatrechts nicht Partei sein kann, ist laut dem zur Vollstreckung vorgelegten Gerichtsentscheid vom 2. April 2019 also die Eigentümergemeinschaft die Gläubigerin der Forderung auf Bezahlung einer Parteientschädigung.
Was nun das Verfahren zur Vollstreckung der fraglichen Geldforderungen angeht, ist im Zahlungsbefehl vom 30. April 2020 als "Gläubiger" die "STWEG B.________strasse www, V.________ bestehend aus (siehe Beilage) " aufgeführt; die auf der Beilage aufgeführten Personen entsprechen denjenigen, die der Entscheid des Obergerichts vom 2. April 2019 nennt. Der Antrag im Rechtsöffnungsgesuch vom 28. Mai 2020 lautet wie folgt: "Es sei der Gesuchstellerin in der Betreibung Nr. yyy des Betreibungsamtes Nidwalden (Zahlungsbefehl vom 30. April 2020) definitive Rechtsöffnung zu erteilen für [...]". Als "Gesuchstellerin" bezeichnet das Gesuch die "Stockwerkeigentümergemeinschaft B.________strasse www... (Eigentümerschaft - ohne Beklagter - der Parzelle xxx, Grundbuch V.________) ". Unter den achtzehn Personen, aus denen die Gesuchstellerin dem Gesuch zufolge besteht, haben sich gegenüber dem Zahlungsbefehl in drei Fällen Wechsel ergeben: W.E.________ wurde durch E.E.________ ersetzt, X.E.________ durch F.E.________ und Y.J.________ durch J.J.________.

3.5.2. Wie die vorigen Feststellungen zeigen, zeichnet das Obergericht nicht mit der gebotenen Sorgfalt nach, wer im Erkenntnis- und im Vollstreckungsverfahren als Prozessgegner des Beschwerdeführers auftrat. Vielmehr steht nach dem Gesagten fest, dass die Beschwerdegegnerin, die den Zahlungsbefehl Nr. yyy erwirkt und in der Folge um Rechtsöffnung ersucht hat, nicht mit den Personen übereinstimmt, die das Urteil ZK 15 14 des Kantonsgerichts Nidwalden vom 8. April 2016 urkundlich als Gläubiger der in Betreibung gesetzten Geldforderungen ausweist. Mit Bezug auf dieses Schriftstück ist dem Beschwerdeführer darin beizupflichten, dass der Beschwerdegegnerin die Rechtsöffnung nicht gestützt auf ein Urteil erteilt werden kann, das gar nicht in ihrem Namen ergangen ist. Die Beseitigung des Rechtsvorschlags scheitert an der fehlenden Identität zwischen der betreibenden Partei und den auf dem Rechtsöffnungstitel genannten Gläubigern. Die Beschwerde ist in dieser Hinsicht begründet. Entgegen der Meinung der Vorinstanz und der Beschwerdegegnerin kann dem Beschwerdeführer in diesem Zusammenhang kein treuwidriges oder rechtsmissbräuchliches Verhalten vorgeworfen werden. Der Rechtsvorschlag bedarf keiner Begründung (Art. 75 Abs. 1
SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP)
LP Art. 75 - 1 Il n'est pas nécessaire de motiver l'opposition. Celui qui l'a cependant motivée n'est pas limité par la suite aux moyens énoncés.
1    Il n'est pas nécessaire de motiver l'opposition. Celui qui l'a cependant motivée n'est pas limité par la suite aux moyens énoncés.
2    Le débiteur qui conteste son retour à meilleure fortune (art. 265, 265a) doit le mentionner expressément dans son opposition, sauf à être déchu du droit de faire valoir ce moyen.
3    Les dispositions sur l'opposition tardive (art. 77) et sur l'opposition dans la poursuite pour effets de change (art. 179, al. 1) sont réservées.
Satz 1 SchKG).
Auch dass der Beschwerdeführer im erstinstanzlichen Verfahren (trotz beantragter und gewährter Fristerstreckung) auf eine Stellungnahme verzichtete, war für die kantonalen Instanzen kein Grund, nicht von Amtes wegen zu prüfen, ob die im Vollstreckungstitel als Gläubiger ausgewiesene (n) und die betreibende (n) Person (en) identisch sind. Schliesslich steht fest, dass die Beschwerdegegnerin sowohl im Ausschlussprozess als auch im hier fraglichen Vollstreckungsverfahren von einem Anwalt vertreten war bzw. ist. Angesichts dessen kann - allein für die Zwecke der Vollstreckung des Kostenspruches im Urteil vom 8. April 2016 - auch eine Umdeutung der Bezeichnung des Gläubigers (Zahlungsbefehl) und der gesuchstellenden Partei (Rechtsöffnungsverfahren) kein Thema sein. Dass das Rechtsöffnungsverfahren von seiner Natur her ein formstrenger Urkundenprozess ist (E. 3.4.1), darf zumindest unter Anwältinnen und Anwälten als bekannt gelten.
Was den Entscheid des Obergerichts vom 2. April 2019 angeht, ist die zur Beseitigung des Rechtsvorschlags vorausgesetzte Identität zwischen der betreibenden und der als Gläubigerin ausgewiesenen Person gegeben: Der Beschwerdeführer hat die Parteientschädigung von Fr. 2'649.05 der Beschwerdegegnerin zu bezahlen; diese hat auch die Betreibung eingeleitet. Zwar steht dieser Urteilsspruch im Widerspruch zum Bundesprivatrecht, dem zufolge ein Miteigentümer im Zivilprozess über seinen Ausschluss nicht der Stockwerkeigentümergemeinschaft, sondern den anderen Miteigentümern gegenüber steht, die allein zur Ausschlussklage aktivlegitimiert sind (E. 3.4.2). Dass das Obergericht als Berufungsinstanz im Ausschlussprozess diesbezüglich nicht dem (zutreffenden) Urteil des Kantonsgerichts gefolgt ist, mag zwar erstaunen, steht der Beseitigung des Rechtsvorschlages grundsätzlich aber nicht entgegen. Denn das Rechtsöffnungsverfahren dreht sich lediglich um das Vorliegen einer vollstreckbaren Urkunde und nicht um den materiellen Bestand der streitigen Forderung (E. 3.4.1). Dass die besagte Ungereimtheit den Vollstreckungstitel als geradezu nichtig erscheinen lasse und der Beschwerdegegnerin die Rechtsöffnung für den obergerichtlichen Kostenspruch
aus diesem Grund zu versagen sei, macht der Beschwerdeführer nicht geltend und ist auch nicht ersichtlich. Inhaltliche Mängel einer Entscheidung führen nur ausnahmsweise zur Nichtigkeit (s. dazu BGE 133 II 366 E. 3.2; 130 III 125 E. 2). Nichts anderes gilt hinsichtlich des Umstands, dass es in der Zusammensetzung der Beschwerdegegnerin seit Erlass des Zahlungsbefehls zu Wechseln gekommen ist. Dem angefochtenen Entscheid zufolge hat eine personale Veränderung in der Zusammensetzung der Stockwerkeigentümergemeinschaft keine Auswirkungen auf die Fähigkeit einer Stockwerkeigentümergemeinschaft, nach Massgabe von Art. 712l Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907
CC Art. 712l - 1 La communauté acquiert, en son nom, les avoirs résultant de sa gestion, notamment les contributions des copropriétaires et les disponibilités qui en sont tirées, comme le fonds de rénovation.
1    La communauté acquiert, en son nom, les avoirs résultant de sa gestion, notamment les contributions des copropriétaires et les disponibilités qui en sont tirées, comme le fonds de rénovation.
2    Elle peut, en son nom, actionner ou être actionnée en justice, ainsi que poursuivre et être poursuivie.586
ZGB unter ihrem Namen zu klagen und zu betreiben und beklagt und betrieben zu werden. Der Beschwerdeführer beanstandet diese Erkenntnis vor Bundesgericht nicht. Auch in anderer Hinsicht erhebt der Beschwerdeführer mit Bezug auf die Parteientschädigung von Fr. 2'649.05 gemäss Ziffer 3 des obergerichtlichen Entscheids vom 2. April 2019 keine Beanstandungen gegen die Rechtsöffnung, so dass es diesbezüglich mit dem angefochtenen Entscheid sein Bewenden hat.

4.
Im Ergebnis ist die Beschwerde begründet, soweit sich der Beschwerdeführer hinsichtlich der vom Kantonsgericht zugesprochenen Prozesskostenforderung von insgesamt Fr. 29'168.95 gegen die Rechtsöffnung wehrt. Das Rechtsmittel ist in diesem Sinne teilweise gutzuheissen. Gemessen am Streitwert von Fr. 31'818.-- obsiegt der Beschwerdeführer zu über neunzig Prozent. Bei diesem Ausgang des Verfahrens hat die Beschwerdegegnerin für die gesamten Gerichtskosten aufzukommen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
Satz 1 und 2 BGG). Eine Entschädigung (Art. 68 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG) ist nicht geschuldet. Dass ihm persönlich für das bundesgerichtliche Beschwerdeverfahren konkrete notwendige Kosten entstanden sind, macht der Beschwerdeführer, der vor Bundesgericht ohne anwaltliche Vertretung auftritt, nicht geltend. Damit wird sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren gegenstandslos.

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.

1.1. Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der Entscheid des Obergerichts des Kantons Nidwalden, Beschwerdeabteilung in Zivilsachen, vom 14. Oktober 2020 wird aufgehoben. In der Betreibung Nr. yyy des Betreibungsamts Nidwalden wird der Beschwerdegegnerin für Fr. 2'649.05 (Parteientschädigung gemäss Entscheid ZA 16 13, P 16 15 / P 17 28 des Obergerichts Nidwalden vom 2. April 2019) nebst 5 % Zins seit dem 8. Mai 2020 die definitive Rechtsöffnung erteilt. Soweit weitergehend, wird das Rechtsöffnungsbegehren abgewiesen.

1.2. Die Sache wird zur Neuverteilung der Kosten und der Parteientschädigungen des kantonalen Verfahrens an die Vorinstanz zurückgewiesen.

1.3. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.

2.
Das Gesuch des Beschwerdeführers um unentgeltliche Rechtspflege für das bundesgerichtliche Verfahren wird als gegenstandslos abgeschrieben.

3.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.

4.
Es werden keine Parteientschädigungen zugesprochen.

5.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Nidwalden, Beschwerdeabteilung in Zivilsachen, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 1. Juli 2021

Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Das präsidierende Mitglied: Escher

Der Gerichtsschreiber: Monn