S. 349 / Nr. 60 Bundesrechtliche Abgaben (i)

BGE 79 I 349

60. Sentenza 11 dicembre 1953 nella causa Ballinari contro Dipartimento delle
finanze del Cantone Ticino.

Regeste:
Tassa militare.
1. Adempimento tardivo della scuola reclute da parte d'un naturalizzato.
2. Ordinamento della restituzione delle tasse militari (cambia. mento di
giurisprudenza).
Militärsteuer.
1. Verspätetes Bestehen der Rekrutenschule nach Einbürgerung.
2. Rückerstattung der Militärsteuer (Praxisänderung).
Taxe d'exemption du service militaire.
1. Accomplissement tardif du service à l'école de recrues après
naturalisation.
2. Remboursement de la taxe d'exemption (changement de jurisprudence).


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A. - Silvano Ballinari, nato nel 1925, acquistò la cittadinanza svizzera il 29
marzo 1949. L'8 novembre seguente, egli venne dichiarato abile al servizio
militare. Fu chiamato alla scuola reclute nel 1951 e, terminata questa scuola,
incorporato nella Cp. pes. fuc. mont. IV/95. Nel 1952 fece il primo corso di
ripetizione con la truppa.
Egli fu assoggettato alla tassa militare pel 1950, ma non pel 1949, ritenuto
che aveva ricuperato il servizio mancato in quell'anno con la scuola reclute
frequentata nel 1951.
Ballinari insorse contro l'assoggettamento alla tassa pel 1950. Egli addusse
che non aveva chiesto il rinvio della scuola reclute. Il ritardo non sarebbe
quindi imputabile a colpa sua.
Con risoluzione 11 febbraio 1953 il Dipartimento delle finanze del Cantone
Ticino respinse il ricorso.
B. - Ballinari ha deferito questa risoluzione al Tribunale federale,
chiedendone l'annullamento per i motivi fatti valere in sede cantonale.
Il Dipartimento cantonale delle finanze e l'Amministrazione federale delle
contribuzioni hanno proposto la reiezione del gravame.
L'amministrazione federale fa osservare die Ballinari deve la tassa non solo
pel 1950, ma anche pel 1949. Durante questi due anni egli fu bensì a
disposizione delle autorità militari, ma non potè prestare i corsi di
ripetizione cori la truppa, non essendo ancora istruito militarmente e
incorporato nell'esercito. Anche nel 1951 egli mancò un corso di ripetizione.
Tuttavia, frequentando la scuola reclute prestò in quell'anno più di 11 giorni
di servizio, il che lo esentua dal pagamento della tassa a norma dell'art. 24
cp. 3 lett. a del Regolamento di esecuzione (RTM). La scuola reclute non gli
conferisce però, contrariamente all'opinione dell'autorità cantonale, anche il
diritto al rimborso della tassa pel 1949, atteso che non si trattava di un
servizio di compensazione.

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Considerando in diritto:
1.- A norma dell'art. 2
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 2 Autorisation de mise sur le marché - 1 L'autorisation de mise sur le marché pour les médicaments prêts à l'emploi est régie par l'art. 9 LPTh.
1    L'autorisation de mise sur le marché pour les médicaments prêts à l'emploi est régie par l'art. 9 LPTh.
2    Une autorisation est nécessaire dans tous les cas:
a  pour les médicaments prêts à l'emploi qui contiennent des organismes génétiquement modifiés (OGM);
b  pour les transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation7.
della legge 12 aprile 1907/1 aprile 1949 concernente
l'organizzazione militare (OM), chi non presta servizio (servizio militare
vero e proprio o servizio complementare; art. 1) è sottoposto al pagamento
della tassa militare d'esenzione (art. 1 della legge sulla tassa d'esenzione
del servizio militare; LTM). Per poter prestare il servizio non basta però che
l'uomo sia stato riconosciuto idoneo a servire sotto le armi o nei servizi
complementari (art. 5
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 5 Plan d'investigation pédiatrique - 1 Le plan d'investigation pédiatrique visé à l'art. 54a LPTh doit comporter un programme de recherche et développement garantissant que les données nécessaires pour déterminer les conditions auxquelles le médicament concerné peut être autorisé pour le traitement de la population pédiatrique seront élaborées.
1    Le plan d'investigation pédiatrique visé à l'art. 54a LPTh doit comporter un programme de recherche et développement garantissant que les données nécessaires pour déterminer les conditions auxquelles le médicament concerné peut être autorisé pour le traitement de la population pédiatrique seront élaborées.
2    Un plan d'investigation pédiatrique doit être joint:
a  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'un médicament contenant au moins un nouveau principe actif, selon la procédure ordinaire;
b  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'un médicament important contre des maladies rares (médicament orphelin) contenant au moins un nouveau principe actif;
c  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'une nouvelle indication, d'une nouvelle forme pharmaceutique ou d'un nouveau mode d'administration pour un médicament visé à la let. a ou b qui est déjà autorisé.
3    Cette obligation est aussi remplie si le requérant présente le plan d'investigation pédiatrique approuvé en dernier lieu par un pays désigné par Swissmedic comme ayant un contrôle des médicaments équivalent. Le requérant informe sans délai Swissmedic du respect de toutes les exigences prévues dans le plan d'investigation approuvé à l'étranger.
4    Sur demande ou d'office, Swissmedic peut accorder une dérogation partielle ou totale à l'obligation d'élaborer un plan d'investigation pédiatrique, notamment:
a  s'il y a lieu de penser que le médicament est vraisemblablement inefficace dans la population pédiatrique ou que son utilisation est sujette à caution pour des raisons de sécurité;
b  si le médicament est destiné à traiter une maladie qui survient uniquement chez l'adulte;
c  si le médicament ne présente vraisemblablement pas de bénéfices thérapeutiques significatifs par rapport aux traitements existants pour les patients pédiatriques.
5    Sur demande ou d'office, il peut autoriser que des études ou d'autres mesures du plan d'investigation pédiatrique soient initiées ou achevées à une date ultérieure, notamment:
a  lorsqu'il est indiqué d'effectuer des études sur les adultes avant d'initier des études sur la population pédiatrique;
b  lorsque les études sur la population pédiatrique durent plus longtemps que les études sur les adultes.
6    Avant le dépôt d'une demande d'autorisation de mise sur le marché, il peut, sur demande:
a  approuver un plan d'investigation pédiatrique;
b  accorder une dérogation conformément à l'al. 4, ou
c  autoriser un report conformément à l'al. 5.
OM); occorre altresì che sia stato incorporato in una
classe dell'esercito (attiva, landwehr e landsturm) o assegnato ad uno dei
servizi complementari (art. 1
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 1 - 1 La présente ordonnance règle:
1    La présente ordonnance règle:
a  l'autorisation de mise sur le marché des médicaments prêts à l'emploi;
b  l'autorisation de procédés;
c  les critères de classification dans les catégories de remise;
d  les restrictions à la distribution;
e  l'autorisation de vente par correspondance de médicaments;
f  la surveillance du marché et la vigilance;
g  l'information du public;
h  la liste des recommandations de dosage pour l'usage de médicaments en pédiatrie;
i  la publication des résultats des essais cliniques.
2    Elle s'applique également, par analogie, aux transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation5.
3    L'art. 31 ne s'applique pas aux transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, ch. 2, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation.
4    Les définitions de l'art. 2 de l'ordonnance du 14 novembre 2018 sur les autorisations dans le domaine des médicaments (OAMéd)6 sont applicables.
cp. 3 OM). Secondo la prassi degli organi
militari, l'incorporazione nell'esercito ha luogo quando il milite ha ricevuto
la sua istruzione di base, normalmente dopo la scuola reclute. Finchè l'uomo
abile al servizio non è stato istruito militarmente e non è stato incorporato
è bensì a disposizione delle autorità militari, ma non può adempire il suo
obbligo di servizio e deve quindi la tassa militare d'esenzione (art. 1
SR 661 Loi fédérale du 12 juin 1959 sur la taxe d'exemption de l'obligation de servir (LTEO)
LTEO Art. 1 - Les citoyens suisses qui n'accomplissent pas ou n'accomplissent qu'en partie leur obligation de servir6 sous forme de service personnel (service militaire ou service civil) doivent fournir une compensation pécuniaire.
cp. 1
LTM e 14 RTM; RU 73 I 388 /390).
2.- L'obbligo militare di Ballinari prese inizio nel marzo 1949, con
l'acquisto della cittadinanza svizzera. Siccome però fu chiamato alla scuola
reclute e fu incorporato solo nel 1951, si trovò per gli anni 1949 e 1950
nella situazione dell'uomo dichiarato abile al servizio, ma non istruito
militarmente e non ancora incorporato nell'esercito. Per questi due anni, il
ricorrente è quindi soggetto alla tassa militare. L'assoggettamento è dato per
un motivo generale, senza riguardo al fatto se Ballinari abbia mancato un
servizio prestato dalla truppa e indipendentemente dalle ragioni per cui
assolse tardivamente la scuola reclute (RU 73 I 388 sgg., 57 I 32 e 56 I 44
consid. 2 e). Per il 1949, il caso del ricorrente è del resto espressamente
regolato dal RTM (art. 21 combinato con l'art. 22 lett. a).
3.- Il Dipartimento cantonale delle finanze ha ritenuto

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che Ballinari deve la tassa pel 1950, ma non pel 1949, poiché avrebbe
compensato il servizio mancato in quell'anno con la scuola reclute del 1951.
Quest'opinione è conforme alla giurisprudenza vigente. Nella sua sentenza 13
marzo 1930 su ricorso Bise il Tribunale federale ha infatti giudicato che
assolvendo tardivamente la scuola reclute il milite acquista il diritto alla
restituzione della tassa pagata per l'anno in cui avrebbe dovuto frequentarla,
se fosse stato reclutato con la sua classe. La stessa sentenza ha inoltre
confermato la prassi anteriore del Consiglio federale, secondo cui il milite
che per un motivo o per un altro - non ha prestato un servizio, può ricuperare
la tassa pagata per quell'anno quando avrà fatto un servizio di sostituzione,
sia in un anno in cui la sua truppa non è chiamata sotto le armi, sia dopo che
la sua classe ha terminato i corsi obbligatori (RU 56 I 44 -45). Con la
sentenza 19 febbraio 1931 su ricorso Vogel il Tribunale federale ha ribadito i
principi enunciati nella sentenza Bise e precisato che il milite deve la tassa
per l'anno in cui assolve tardivamente la scuola reclute soltanto se manca un
servizio di ripetizione al quale fu chiamato (RU 57 I 32). Questa
giurisprudenza dev'essere riesaminata.
Adempie il suo obbligo militare e non deve quindi la tassa d'esenzione chi
presta il servizio obbligatorio. Orbene, per l'anno in cui frequenta la scuola
reclute, il milite presta il servizio che gl'incombe. Egli non deve infatti
assolvere, lo stesso anno, anche un corso di ripetizione (art. 4
dell'ordinanza 9 dicembre 1947,'24 novembre 1949 del Dipartimento militare
federale; art. 2 del DCF 19 dicembre 1952, abrogato e sostituito dall'art. 5
dell'Ordinanza del Consiglio federale 27 novembre 1953 concernente
l'adempimento del servizio d'istruzione, RU 1953, 1049). Lo stesso vale anche
pel milite che compie la scuola reclute fuori termine. Con questa prestazione
egli adempie il servizio al quale è tenuto, avuto riguardo alla sua situazione
di ritardata rio. La scuola reclute lo dispensa dunque, per l'anno in cui ha
luogo, dal pagamento della tassa; va però da sè che questo medesimo servizio

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non può in pari tempo essere considerato come un servizio di compensazione
(art. 107 RTM), che gli conferirebbe il diritto al ricupero della tassa per
l'anno nel quale avrebbe dovuto ricevere normalmente la sua instruzione
militare di base. Questa e le altre tasse eventualmente dovute per gli anni
anteriori a quello della scuola reclute potranno invece essergli restituite
più tardi, quando avrà assolto, oltre i corsi di ripetizione che incombono
ancora alla sua classe d'età, dei servizi di compensazione. Il primo di questi
servizi darà diritto alla restituzione della tassa pagata pel primo anno
(cosiddetto anno di scuola reclute); il secondo servizio di compensazione alla
restituzione della tassa pagata pel secondo anno, e così via (art. 108 RTM).
Il diritto alla restituzione si prescrive dopo spirato il quinto anno a
contare da quello in cui ha avuto luogo il servizio di compensazione (art. 110
RTM).
Questo nuovo ordinamento della restituzione delle tasse vale anche pel
naturalizzato. Prima della naturalizzazione il naturalizzato non ha alcun
obbligo militare verso la Svizzera. Se, acquistata la cittadinanza svizzera
non e chiamato tempestivamente ad assolvere la scuola reclute, egli si trova
nella stessa situazione del milite che all'età di prestar servizio era
cittadino svizzero e che per un motivo qualsiasi riceve tardivamente la sua
istruzione militare di base.
4.- Da quanto esposto risulta che la scuola reclute assolta da Ballinari lo
dispensa dal pagamento della tassa militare pel 1951, ma non gli conferisce
contemporaneamente il diritto alla compensazione con la tassa dovuta pel 1949.
Egli deve pagare le tasse militari per gli anni 1949 e 1950, tasse che
potranno essergli restituite quando avrà assolto dei servizi di compensazione.
Il Tribunale federale pronuncia:
Il ricorso è respinto. Il ricorrente è soggetto alla tassa militare per gli
anni 1949 e 1950.
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 79 I 349
Date : 01 janvier 1953
Publié : 11 décembre 1953
Source : Tribunal fédéral
Statut : 79 I 349
Domaine : ATF- Droit constitutionnel
Objet : Tassa militare.1. Adempimento tardivo della scuola reclute da parte d'un naturalizzato.2...
Classification : Changement de Jurisprudence


Répertoire des lois
LTEM: 1
SR 661 Loi fédérale du 12 juin 1959 sur la taxe d'exemption de l'obligation de servir (LTEO)
LTEO Art. 1 - Les citoyens suisses qui n'accomplissent pas ou n'accomplissent qu'en partie leur obligation de servir6 sous forme de service personnel (service militaire ou service civil) doivent fournir une compensation pécuniaire.
OMéd: 1 
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 1 - 1 La présente ordonnance règle:
1    La présente ordonnance règle:
a  l'autorisation de mise sur le marché des médicaments prêts à l'emploi;
b  l'autorisation de procédés;
c  les critères de classification dans les catégories de remise;
d  les restrictions à la distribution;
e  l'autorisation de vente par correspondance de médicaments;
f  la surveillance du marché et la vigilance;
g  l'information du public;
h  la liste des recommandations de dosage pour l'usage de médicaments en pédiatrie;
i  la publication des résultats des essais cliniques.
2    Elle s'applique également, par analogie, aux transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation5.
3    L'art. 31 ne s'applique pas aux transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, ch. 2, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation.
4    Les définitions de l'art. 2 de l'ordonnance du 14 novembre 2018 sur les autorisations dans le domaine des médicaments (OAMéd)6 sont applicables.
2 
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 2 Autorisation de mise sur le marché - 1 L'autorisation de mise sur le marché pour les médicaments prêts à l'emploi est régie par l'art. 9 LPTh.
1    L'autorisation de mise sur le marché pour les médicaments prêts à l'emploi est régie par l'art. 9 LPTh.
2    Une autorisation est nécessaire dans tous les cas:
a  pour les médicaments prêts à l'emploi qui contiennent des organismes génétiquement modifiés (OGM);
b  pour les transplants standardisés au sens de l'art. 2, al. 1, let. c, de l'ordonnance du 16 mars 2007 sur la transplantation7.
5
SR 812.212.21 Ordonnance du 21 septembre 2018 sur les médicaments (OMéd) - Ordonnance sur les médicaments
OMéd Art. 5 Plan d'investigation pédiatrique - 1 Le plan d'investigation pédiatrique visé à l'art. 54a LPTh doit comporter un programme de recherche et développement garantissant que les données nécessaires pour déterminer les conditions auxquelles le médicament concerné peut être autorisé pour le traitement de la population pédiatrique seront élaborées.
1    Le plan d'investigation pédiatrique visé à l'art. 54a LPTh doit comporter un programme de recherche et développement garantissant que les données nécessaires pour déterminer les conditions auxquelles le médicament concerné peut être autorisé pour le traitement de la population pédiatrique seront élaborées.
2    Un plan d'investigation pédiatrique doit être joint:
a  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'un médicament contenant au moins un nouveau principe actif, selon la procédure ordinaire;
b  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'un médicament important contre des maladies rares (médicament orphelin) contenant au moins un nouveau principe actif;
c  aux demandes d'autorisation de mise sur le marché d'une nouvelle indication, d'une nouvelle forme pharmaceutique ou d'un nouveau mode d'administration pour un médicament visé à la let. a ou b qui est déjà autorisé.
3    Cette obligation est aussi remplie si le requérant présente le plan d'investigation pédiatrique approuvé en dernier lieu par un pays désigné par Swissmedic comme ayant un contrôle des médicaments équivalent. Le requérant informe sans délai Swissmedic du respect de toutes les exigences prévues dans le plan d'investigation approuvé à l'étranger.
4    Sur demande ou d'office, Swissmedic peut accorder une dérogation partielle ou totale à l'obligation d'élaborer un plan d'investigation pédiatrique, notamment:
a  s'il y a lieu de penser que le médicament est vraisemblablement inefficace dans la population pédiatrique ou que son utilisation est sujette à caution pour des raisons de sécurité;
b  si le médicament est destiné à traiter une maladie qui survient uniquement chez l'adulte;
c  si le médicament ne présente vraisemblablement pas de bénéfices thérapeutiques significatifs par rapport aux traitements existants pour les patients pédiatriques.
5    Sur demande ou d'office, il peut autoriser que des études ou d'autres mesures du plan d'investigation pédiatrique soient initiées ou achevées à une date ultérieure, notamment:
a  lorsqu'il est indiqué d'effectuer des études sur les adultes avant d'initier des études sur la population pédiatrique;
b  lorsque les études sur la population pédiatrique durent plus longtemps que les études sur les adultes.
6    Avant le dépôt d'une demande d'autorisation de mise sur le marché, il peut, sur demande:
a  approuver un plan d'investigation pédiatrique;
b  accorder une dérogation conformément à l'al. 4, ou
c  autoriser un report conformément à l'al. 5.
Répertoire ATF
56-I-37 • 57-I-28 • 73-I-387 • 79-I-349
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
questio • tribunal fédéral • obligation militaire • nationalité suisse • recourant • service militaire • taxi • instruction militaire de base • conseil fédéral • département cantonal • fédéralisme • répartition des tâches • décision • pratique judiciaire et administrative • salaire • défense militaire • temps atmosphérique • motif • ordre militaire • suppression
... Les montrer tous
AS
AS 1953/1049