dient und also sein Bestand von dem der letztem abhängt. Das
gesetzliche Verfahren besteht mithin im gegebenen Falle darin, dass
die Konkursverwaltung Betreihung auf Pfandverwertung anhebt, worauf
sie dann nach erhobenen Rechtsverschlage gerichtlich vorzugehen hat.
Wollte man aber auch mit der Vorinstanz entgegen dem Gesagten annehmen,
dass der Anspruch der Masse, den Gegenstand als E i g e n t u m des
Gemeinsohuldners zu verwerten, nur den Normalfall des Art. 242 bilde und
unter Umständen auch die Beanspruchung beschränkter dinglicher Rechte,
und im besonderen Pfandrechte, darunter iallen könne, so stände doch hier
der erfolgten -Fristansetzung im Wege, dass das fragliche Pfandrecht an
sich gar nicht bestritten ist und der Streit sich lediglich darum dreht,
ob die Forderung bestehe. Ist letzeres zu bejahen, so anerkennt damit
der Rekurreut das Pfandrecht und die Zulässigkeit seiner Verwertung
im Konkursverfahren ohne weiteres, wie er vor Bundesgericht neuerdings
hervorheht. Zu einer Fristansetzung in der Absicht, ein gerichtliches
Verfahren betr. den Bestand des Pfandrechtes zu provoziren, liegt
also kein Grund vor, sondern es handelt sich für die Konkursverwaltung
lediglich darum, die F o r d e r u n g zur Anerkennung zu bringen, und
nach Erreichung dieses Zieles steht der konkursrechtlichen Verwertung
der Pfänder kein Hinderniss mehr entgegen. -
Demnach hat die Schuldbetreihungsu. Konkurskammer erkannt: Der Rekurs
wird begründet erklärt, und die konkan-
amtliche Fristansetzung vom 26. Januar 1915 aufgehoben._;,Vv _ ,
und Konkurskammer. N° 23. 111
23. Arrét du 30 mars1915 dans la cause Grindatto.
Art. 284
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 284 - Ove tali oggetti siano stati asportati clandestinamente o con violenza, potranno essere riportati, con l'assistenza della polizia, nei locali appigionati o affittati, entro dieci giorni dall'asportazione. Sono salvi i diritti dei terzi di buona fede. In caso di contestazione, decide il giudice.497 |
de retention du bailleur invoque un droit opposant à la réintégration,
celle-ci ne peut avoir lieu avant que le juge ait décidé que le droit
prétendu n'existe pas ou qu'il n'est pas de nature à faire obstacle à
la réintégration.
Eugène Echard créancier de Nicolas Dufour pour loyer a requis, en vertu de
l'art. 284
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 284 - Ove tali oggetti siano stati asportati clandestinamente o con violenza, potranno essere riportati, con l'assistenza della polizia, nei locali appigionati o affittati, entro dieci giorni dall'asportazione. Sono salvi i diritti dei terzi di buona fede. In caso di contestazione, decide il giudice.497 |
une pendule régulateur, un buffet et une armoire. En date du 22 février
1915 l'office & réintégré au domicile du débiteur les trois objets qui
se trouvaient en la possession de J . Grindatto. Ceiui-ci qui prétend
les avoir acquis de bonne foi de Dufour a porte plainte à l'autorité de
surveillance en concluant à ce qu'ils lui soient restitués.
Par decision du 12 mars 1915 l'autorité de surveillance a écarté le
recours ; elle constate que la reintegration a été opérée dans les dix
jours des le déplacement des objets et que par conséquent l'office
s'est conforme à l'art. 284
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 284 - Ove tali oggetti siano stati asportati clandestinamente o con violenza, potranno essere riportati, con l'assistenza della polizia, nei locali appigionati o affittati, entro dieci giorni dall'asportazione. Sono salvi i diritti dei terzi di buona fede. In caso di contestazione, decide il giudice.497 |
tiers de bonne foi qui, en cas de contestation, doivent s'adresser aux
tribunaux. Grindatto a recouru au Tribunal fédéral.
Statuant sur ces faits et considérant en d r o i t :
L'art. 284
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 284 - Ove tali oggetti siano stati asportati clandestinamente o con violenza, potranno essere riportati, con l'assistenza della polizia, nei locali appigionati o affittati, entro dieci giorni dall'asportazione. Sono salvi i diritti dei terzi di buona fede. In caso di contestazione, decide il giudice.497 |
qu'en cas de contestation c'est au juge qu'il appartient de statuer. La
seule signification possible de cette disposition c'est que, lorsqu'un
tiers invoque un droit s'opposant à la réintégration, celle-ci ne peut
avoir lieu avant que le juge ait décidé que le droit prétendu n'existe
pas ou qu'il n'est pas de nature à faire obstacle à Ia réintégration. La
solution contraire aurait des conséquences inadmissibles: si par exemple
le tiers qui a acquis de bonne foi un droit de gage sur les objets était
112 Entscheidungen der Schuldbetreibungs--
tenu d'en abandonner 1a possession, par là méme son droit de gage
s'éteindrait et il ne pourrait plus dans le preces le faire valoir avec
succès quoique évidemment ce droit solt préférable à celui du bailleur. Il
serait en outre contraire à toutes les regles sur la possession d'exiger
du tiers qui en fait possède qu'il se porte demandeur contre le bailleur
qui invoque son droit de retention, mais qui ne possède plus.
C'est à tort que l'Office de Genève soutient que la manière de voir
ici exposée conduit à l'abrogation pure et simple des prescriptions
de l'art. 284. Get article protége le droit de retention du bailieur
contre le débiteur et contre Ies tiers de mauvaise foi, mais non pas
contre les tiers qui de bonne foi sont devenus possesseu rs des objets.
Or comme, d'après l'art. 3 CCS, la bonne foi est présumée, c'est au
bailieur qui prétend que le tiers est de mauvaise foi qu'ii incombe de
se porter demandeur et d'en rapporter la preuve, et, aussi longtemps
que le procès n'a pas été jugé en sa faveur la possession de tiers ne
saurait etre troublée par I'office.
Par ces motifs, la Chambre des Poursuites et dies Faillites · pr o n
o nssc e : Le recours est admis en ce sens que i'oisice de Genève est
tenu de restituer au recourant les objets désignés
sous N° 1, 3 ei; 5 du preces-verba] de réiutégration du 17 février
1915.und Konkarskammer. N° 24. _ 113
24. Metdu 31 mars 1915 dans 1a cause Administration des Festes suisses.
La jurisprudence du Tribunal fédéral fixant à 10 jours le délai dans
lequel le tiers doit formaler sa revendication a une portée générale et
s'applique à toutes les formes de revendication prévues à l'art. 106
SR 281.1 Legge federale dell'11 aprile 1889 sulla esecuzione e sul fallimento (LEF) LEF Art. 106 - 1 Se vien fatto valere che sul bene pignorato un terzo è titolare di un diritto di proprietà, di pegno o di un altro diritto incompatibile con il pignoramento o che deve essere preso in considerazione in proseguimento di esecuzione, l'ufficio d'esecuzione ne fa menzione nel verbale di pignoramento o, se questo è già stato notificato, ne dà speciale avviso alle parti. |
|
1 | Se vien fatto valere che sul bene pignorato un terzo è titolare di un diritto di proprietà, di pegno o di un altro diritto incompatibile con il pignoramento o che deve essere preso in considerazione in proseguimento di esecuzione, l'ufficio d'esecuzione ne fa menzione nel verbale di pignoramento o, se questo è già stato notificato, ne dà speciale avviso alle parti. |
2 | I terzi possono notificare le loro pretese fintanto che la somma ricavata dalla realizzazione del bene pignorato non sia stata ripartita. |
3 | Dopo la realizzazione, i terzi possono far valere al di fuori della procedura esecutiva le pretese fondate sul diritto civile in caso di furto, smarrimento o privazione contro la sua volontà di cosa mobile (art. 934 e 935 CC230) oppure in caso di acquisizione in mala fede (art. 936 e 974 cpv. 3 CC). La vendita a trattative private giusta l'articolo 130 della presente legge è equiparata alla vendita all'asta pubblica ai sensi dell'articolo 934 capoverso 2 CC. |
A. Dans une poursuite dirigée contre Francois Szell, à Genève, l'office
des poursuites de Zurich I, sur requisitjon de l'office de Genève, a
saisi, le 18 novembre 1913, .au profit d'une série de quatre créanciers
au nombre desquels se trouvait l'Administration des Festes suisses,
arrondissement de Zurich, pour une créance de 977 fr. 20 différents objets
mobiliers d'une valeur estimative de 841 fr. et l'avoir du débiteur au
compte de chèques n° VIII 3185 auprès de I'Administration des postes
à Zurich.
Le 6 mars 1914, l'état de coilocation fut déposé pour la répartition du
produit de la réalisation des 37 objets mobiliers saisis. L'Administration
des postes participa à cette répartition pour un dividende de 44 fr. 30.
Le 22 février 1915, I'Administration des Festes écrivit à l'Office de
Genève, lui signalant le fait que la somme de 110 fr. 35, représentant
l'avoir du débiteur au compte de chèques compris dans la saisie n'avait
pas encore été distribuée aux ayants droit. De plus, I'Administration des
Postes revendiquait un droit de rétention sur cette somme. L'office de
Genève fit droit à la première de ces demandes, mais reiusa de prendre en
considération la revendication du droit de retention parce que tardive.
B'. L'Administration des Postes recourut contre cette décision à
i'autorité de surveillance des offices de poursuites et de kailljtes
du canton de Genève. Elle soutenait que sa revendication n'était pas
tardive, étant donné : 1° que, à la date du 25 février 1915, la somme
de 110 fr. 35 n'était pas encore sortie des mains de la