Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 900/2017
Urteil vom 30. Mai 2018
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Wirthlin, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Betschart.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Markus Zimmermann,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Mobiliar Versicherungsgesellschaft AG,
Bundesgasse 35, 3011 Bern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 7. November 2017 (VBE.2017.47).
Sachverhalt:
A.
A.________, geb. 1958, ist seit März 2007 bei der B.________ AG als Versicherungsbroker tätig und über die Arbeitgeberin bei der Schweizerischen Mobiliar Versicherungsgesellschaft AG (nachfolgend: Mobiliar) gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 21. September 2014 rutschte er auf einer ausgelegten nassen Zeltplane nach vorne und gegen aussen aus, stürzte und verletzte sich am rechten Knie. Der erstbehandelnde Arzt, Dr. med. C.________, Facharzt für Allgemeine Medizin FMH, diagnostizierte am 22. September 2014 eine Zerrung des medialen Seitenbands/ Läsion am rechten Knie, und beschloss mit dem Versicherten ein zuwartendes Verhalten. Eine Arbeitsunfähigkeit attestierte er nicht. Nach einer weiteren Arztkonsultation am 18. November 2015 und einer MRI-Untersuchung am 12. Dezember 2015 unterzog sich A.________ am 4. März 2016 einer medialen Teilmeniskektomie mit Knorpelglättung am rechten Knie. Die Mobiliar teilte ihm mit Schreiben vom 13. Mai 2016 mit, dass die noch geklagten Beschwerden nicht in kausalem Zusammenhang mit dem Ereignis vom 21. September 2014 stünden, weshalb ab dem 18. November 2015 keine Leistungspflicht mehr bestehe. Auf Ersuchen von A.________ erliess die Versicherung am 18. Mai 2016 eine
gleichlautende Verfügung. Die dagegen erhobene Einsprache wies sie mit Entscheid vom 29. November 2016 ab.
B.
Mit Entscheid vom 7. November 2017 wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau die gegen den Einspracheentscheid gerichtete Beschwerde ab.
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragt, in Aufhebung des angefochtenen Entscheids seien ihm die gesetzlichen Leistungen ab 18. November 2015 zuzusprechen; eventualiter sei die Sache zur weiteren Abklärung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Die Mobiliar beantragt die Abweisung der Beschwerde. Das Versicherungsgericht und das Bundesamt für Gesundheit verzichten auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
2.
2.1. Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie eine Leistungspflicht der Beschwerdegegnerin ab 18. November 2015 mangels eines natürlichen Kausalzusammenhangs verneinte.
2.2. Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze über den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6

SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
Hervorzuheben ist, dass bei Entscheiden gestützt auf versicherungsinterne ärztliche Beurteilungen, die im Wesentlichen oder ausschliesslich aus dem Verfahren vor dem Sozialversicherungsträger stammen, strenge Anforderungen an die Beweiswürdigung zu stellen sind: Bestehen auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der ärztlichen Feststellungen, ist eine versicherungsexterne medizinische Begutachtung im Verfahren nach Art. 44

SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
3.
3.1. Der Beschwerdeführer wirft der Vorinstanz vor, sie habe den medizinischen Sachverhalt nicht hinreichend geklärt, indem sie es unterlassen habe, ein Gutachten einzuholen.
3.2. Die Vorinstanz gab die medizinischen Akten korrekt wieder, worauf verwiesen wird. Zunächst leitete sie daraus zutreffend ab, dass der Leistungsanspruch nicht als Grundfall, sondern unter dem Aspekt eines Rückfalls bzw. einer Spätfolge zu beurteilen sei. Denn zwischen dem ersten Besuch beim Hausarzt am 22. September 2014, bei dem keine weiteren Therapien oder Abklärungen beschlossen wurden, und dem erneuten Arztbesuch im Spätherbst 2015, nach dem die MRI-Untersuchung angeordnet wurde, lag weder eine Arbeitsunfähigkeit vor noch fand eine Behandlung statt. Zudem fehlen echtzeitliche ärztliche Aussagen über Brückensymptome. Anhaltspunkte für solche Brückensymptome ergeben sich weder aus den (unbegründeten und unbelegten) gegenteiligen Behauptungen des Dr. med. D.________ noch aus der in der Beschwerdeschrift zitierten E-Mail-Nachricht des Beschwerdeführers vom 6. Juni 2016, wonach er ständig Schmerzen gehabt, die Knieschiene monatelang getragen und die schmerzstillende Creme stets aufgetragen habe. Denn hierbei handelt es sich um eine blosse Parteibehauptung. Mit der Vorinstanz ist somit davon auszugehen, dass nicht das Dahinfallen der Kausalität, sondern das Vorliegen eines natürlichen (sowie adäquaten) Kausalzusammenhangs
zwischen den als Rückfall oder Spätfolge geltend gemachten Beschwerden und dem Unfall nachzuweisen ist, damit eine erneute Leistungspflicht des Unfallversicherers entsteht (vgl. anstelle vieler: Urteil 8C 61/2016 vom 19. Dezember 2016 E. 3.2, in: SVR 2017 UV Nr. 19 S. 63).
3.3. In Würdigung der medizinischen Aktenlage kam das kantonale Gericht zum Schluss, dass kein natürlicher Kausalzusammenhang zwischen dem Unfallereignis vom 21. September 2014 und den ab Spätherbst 2015 behandelten Kniebeschwerden bestehe. Es stützte sich dabei im Wesentlichen auf den Aktenbericht des beratenden Arztes der Beschwerdegegnerin, Dr. med. E.________, Facharzt für Chirurgie, vom 23. November 2016, der von einer degenerativen Ursache des Meniskusrisses ausgeht.
4.
4.1. Dr. med. E.________ führte in seinem Bericht vom 23. November 2016 (ergänzt durch das Schreiben vom 1. Februar 2017) im Wesentlichen aus, dass der Beschwerdeführer am 21. September 2014 beim Ausgleiten auf der nassen Zeltplane ein Valgus-Trauma mit einer Zerrung des medialen Seitenbands am rechten Knie erlitten habe. Dagegen sei es nicht zu einem axialen Stauchungstrauma mit zusätzlicher Rotationskomponente gekommen, und es hätten auch keine klinischen Anzeichen einer frischen Meniskusruptur bestanden. Der Hausarzt sei von einer Druckdolenz des medialen Seitenbands mit typischer Verstärkung bei Valgisation ausgegangen und habe auch auf vorbestehende Beschwerden hingewiesen. Dies korreliere mit den Befunden der MRI-Aufnahmen vom 12. Dezember 2015, in denen diskrete ödematöse Veränderungen im Bereich des medialen Seitenbandapparats, passend zu einer leichten Zerrung, beschrieben würden. Die im MRI-Bericht, im Operationsbericht vom 4. März 2016 sowie im Austrittsbericht vom 11. März 2016 geschilderte komplexe Läsion des medialen Meniskushinterhorns und der pars intermedia mit irregulären Rissen sei klassisch degenerativ bedingt. Auch der von Dr. med. D.________ festgestellte Lappenriss sei im Zusammenhang mit der komplexen
Rissform anzusehen. Weiter beschreibe Dr. med. D.________ eine leichte Varus-Achse, die eine entsprechend erhöhte Kompression für den medialen Meniskus beinhalte. Zusätzlich lägen ebenfalls degenerativ bedingte Knorpelschäden (Chondrose Grad I femoral und tibial, Chondrose Grad I bis II lateral tibial) vor. Folglich könne in der Gesamtschau dieser Aspekte - fehlendes Ereignis, fehlende initiale Klinik, klassische komplexe Rissform, keine auch in der Folge typische Meniskussymptomatik, nachgewiesener Schaden aufgrund des Valgus-Traumas - mit der Zerrung des Innenbands nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit von einem Meniskusschaden ausgegangen werden, der durch den Unfall vom 31. September 2014 verursacht worden sei. Daran änderten auch die Ausführungen des Dr. med. D.________ vom 8. Juli 2016 nichts, zumal vom Hausarzt mehrfach betont worden sei, dass der Versicherte schon vorbestehend leichte Knieschmerzen gehabt habe. Dies korreliere absolut mit der Klinik und der bildgebend festgestellten Pathologie.
4.2.
4.2.1. Dr. med. D.________ verweist demgegenüber zunächst auf eine Brückensymptomatik, die jedoch - wie gesagt - nicht belegt ist (s. vorne E. 3.2). Sodann spricht er von einem mehrfach glaubhaft geschilderten Kniedistorsionstrauma mit Sturz. Mit der Vorinstanz ist allerdings zu erwidern, dass es sich hierbei um eine beweisrechtlich unzulässige "Post-hoc-ergo-propter-hoc-Argumentation" handelt. Eine gesundheitliche Schädigung kann demnach nicht schon deswegen als durch einen Unfall verursacht gelten, weil sie nach diesem aufgetreten ist (vgl. BGE 119 V 335 E. 2b/bb S. 341 f.; vgl. Urteil 8C 354/2015, 8C 362/2015 vom 13. Oktober 2015 E. 7.2, in: SVR 2016 UV Nr. 24 S. 75). Demgegenüber zeigte Dr. med. E.________ - in Würdigung der Stellungnahmen des Dr. med. D.________ - einerseits auf, dass der erstbehandelnde Arzt keine klinischen Anzeichen einer frischen Meniskusläsion festgestellt hatte und es namentlich weder zu einer Arbeitsunfähigkeit noch zu Blockierungen des Kniegelenks gekommen sei, was bei einem unfallbedingten Meniskusriss zu erwarten gewesen wäre. Andererseits legte er dar, dass sowohl die Art der Verletzung (Rissform, Knorpelschäden) als auch die vorbestehenden Kniebeschwerden gegen eine traumatische Meniskusverletzung
sprechen. Der Vorinstanz ist somit darin zu folgen, dass die abweichende Einschätzung des Dr. med. D.________ nicht geeignet ist, auch nur geringe Zweifel an der Beurteilung des Dr. med. E.________ zu wecken.
4.2.2. Daran ändern auch die vom Beschwerdeführer ins Feld geführten fachlichen Qualifikationen des Dr. med. Weiss nichts. Denn es gilt der Erfahrungstatsache Rechnung zu tragen, dass behandelnde Ärztinnen und Ärzte nicht nur in der Funktion als Hausärzte (BGE 135 V 465 E. 4.5. S. 470; 125 V 351 E. 3a/cc S. 353), sondern auch als spezialärztlich behandelnde Medizinalpersonen im Hinblick auf ihre auftragsrechtliche Vertrauensstellung in Zweifelsfällen mitunter eher zu Gunsten ihrer Patienten aussagen (Urteile 8C 180/2017 vom 21. Juni 2017 E. 4.4.2; 8C 616/2014 vom 25. Februar 2015 E. 5.3.3.3 in: SVR 2015 IV Nr. 26 S. 78; 8C 231/2013 vom 18. Juli 2013 E. 5.3 in: SVR 2013 IV Nr. 40 S. 119, je mit Hinweisen).
4.3. Dr. med. E.________ erstellte den Aktenbericht vom 23. November 2015 in Kenntnis aller medizinischen Unterlagen, berücksichtigte sämtliche relevanten gesundheitlichen Beschwerden und setzte sich insbesondere auch mit den Einwänden des Dr. med. D.________ auseinander, die er zu entkräften vermochte. Er verneinte die natürliche Kausalität im Wesentlichen anhand des Unfallhergangs, des Verletzungsbilds und der vorbestehenden Beschwerden. Sein Bericht ist einleuchtend, schlüssig und nachvollziehbar begründet. Mit der Vorinstanz ist die Beurteilung des Dr. med. E.________ somit als beweiskräftig anzusehen und die Notwendigkeit weiterer Abklärungen zu verneinen.
4.4. Daran vermögen auch die übrigen Vorbringen des Beschwerdeführers nichts zu ändern: Er macht zum einen geltend, es dürfe nicht zum Verlust seiner Ansprüche gegen die Unfallversicherung führen, dass er im Vertrauen auf seinen Hausarzt lange mit der Operation der Knieverletzung zugewartet habe. Zum andern dürfe die Unfallkausalität nicht schon deswegen verneint werden, weil er im Zeitraum vom 21. September 2014 bis zur Operation im März 2016 nie arbeitsunfähig gewesen sei, denn dies sei lediglich darauf zurückzuführen, dass er eine körperlich leichte Bürotätigkeit ausübe. Letzteres mag zwar zutreffen, doch geht aus den vorstehenden Erwägungen hervor, dass andere, gewichtigere Umstände gegen einen Kausalzusammenhang sprechen. Soweit der Beschwerdeführer sich auf Brückensymptome berufen will, ist zu entgegnen, dass eine frische Meniskusruptur gemäss Dr. med. E.________ zu einer Blockade des Kniegelenks geführt hätte, eine solche hier aber nicht dokumentiert ist. Im Übrigen zeigte Dr. med. E.________ auf, dass die Meniskusverletzung überwiegend wahrscheinlich degenerative Ursachen hat, so dass sich der zeitliche Abstand zwischen dem Unfallereignis und der Behandlung letztlich weder zu Gunsten noch zu Ungunsten des Beschwerdeführers
auswirkt.
4.5. Im Ergebnis hatte die Vorinstanz keinen Anlass, weitere Sachverhaltsabklärungen zu treffen und verneinte die natürliche Kausalität der ab Spätherbst 2015 geklagten Beschwerden im rechten Knie sowie eine entsprechende Leistungspflicht der Beschwerdegegnerin ab 18. November 2015 zu Recht. Die Beschwerde ist abzuweisen.
5.
Bei diesem Verfahrensausgang hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 30. Mai 2018
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Betschart