Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 176/2018

Urteil vom 27. September 2018

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Jancar.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Ernst Brem, und dieser substituiert durch Rechtsanwalt Ernst Johannes Brem,
Beschwerdeführer,

gegen

Zürich Versicherungs-Gesellschaft AG, Rechtsdienst, Generaldirektion Schweiz, Postfach, 8085 Zürich Versicherung,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang; Berufskrankheit),

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 22. Dezember 2017 (UV.2016.00111).

Sachverhalt:

A.

A.a. A.________ war vom 1. Februar 1998 bis 16. November 2011 als Opernsänger im Opernhaus B.________ angestellt. Am 9. Januar 2008 zog er sich während der Probe für die Oper "C.________" ein Gehörtrauma zu. Damals war er bei der D.________ Industrie Versicherung AG obligatorisch unfallversichert.

A.b. Am 16. November 2011 erlitt er erneut ein Gehörtrauma, als bei der Hauptprobe zu der Oper "E.________" drei zu laut verstärkte Gongschläge aus dem Lautsprecher ertönten. Im Zeitpunkt dieses Vorfalls war er bei der Zürich Versicherungs-Gesellschaft AG (nachfolgend Zürich) obligatorisch unfallversichert. Das Universitätsspital F.________ diagnostizierte am 17. November 2011 einen Tinnitus Grad II. Die Zürich holte u. a. ein Gutachten des Prof. Dr. med. G.________, Facharzt für HNO-Heilkunde und Phoniatrie-Pädaudiologie, und des Psychiaters Dr. med. H.________, vom 17. Dezember 2014 ein. Mit Verfügung vom 30. März 2015 stellte sie ihre Leistungen für Heilbehandlung und Taggeld per 11. November 2013 ein und verzichtete auf die Rückforderung der bis 31. März 2015 ausgerichteten Taggelder. Die Einsprache des Versicherten wies sie mit Entscheid vom 5. April 2016 ab.

B.
Die hiergegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 22. Dezember 2017 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt der Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei die Zürich zu verpflichten, ihm ab 1. April 2015 eine Übergangsrente nach Art. 19 Abs. 3
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG und Art. 30
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 30 Rente transitoire - 1 Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
1    Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
a  dès la naissance du droit à une indemnité journalière de l'AI;
b  avec la décision négative de l'AI concernant la réadaptation professionnelle;
c  avec la fixation de la rente définitive.
2    Pour les assurés qui sont réadaptés professionnellement à l'étranger, la rente transitoire sera allouée jusqu'à l'achèvement de la réadaptation. Les prestations en espèces des assurances sociales étrangères sont prises en compte conformément à l'art. 69 LPGA.66
UVV auszurichten sowie die Heilbehandlungskosten zu übernehmen. Die rückwirkend geschuldeten Renten seien zu 5 % zu verzinsen. Eventuell sei die Sache zu neuer Beurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.

Die Zürich schliesst auf Beschwerdeabweisung. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung. Am 23. April 2018 hält der Versicherte an seinem Rechtsbegehren fest.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 135 II 384 E. 2.2.1 S. 389).
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es die Leistungseinstellung der Zürich per 11. November 2013 betreffend das Ereignis vom 16. November 2011 bestätigte.

Die Vorinstanz hat die rechtlichen Grundlagen betreffend den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers erforderlichen natürlichen und adäquaten Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem Gesundheitsschaden im Allgemeinen (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f.) und bei psychischen Unfallfolgen bzw. Tinnitus im Besonderen (BGE 138 V 248, 115 V 133) richtig dargelegt. Gleiches gilt bezüglich des Fallabschlusses (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
UVG) und des massgebenden Beweisgrads der überwiegenden Wahrscheinlichkeit (BGE 138 V 218 E. 6 S. 221). Richtig sind auch die vorinstanzlichen Ausführungen zum Begriff der Berufskrankheit (Art. 9
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 9 Maladies professionnelles - 1 Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
1    Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
2    Sont aussi réputées maladies professionnelles les autres maladies dont il est prouvé qu'elles ont été causées exclusivement ou de manière nettement prépondérante par l'exercice de l'activité professionnelle.
3    Sauf disposition contraire, la maladie professionnelle est assimilée à un accident professionnel dès le jour où elle s'est déclarée. Une maladie professionnelle est réputée déclarée dès que la personne atteinte doit se soumettre pour la première fois à un traitement médical ou est incapable de travailler (art. 6 LPGA).28
UVG; BGE 126 V 183, 119 V 200). Darauf wird verwiesen.

3.
Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, der Tinnitus und die Hyperakusis des Beschwerdeführers seien nicht auf eine organisch-strukturelle Gehörsläsion zurückzuführen. Gemäss dem Gutachten des Prof. Dr. med. G.________ und des Dr. med. H.________ vom 17. Dezember 2014 lägen daneben nur psychische Gesundheitsschäden vor. Laut dem Bericht der Dr. med. I.________, Fachärztin für Hals-, Nasen- und Ohrenkrankheiten, vom 14. November 2013 sei somatischerseits am 11. November 2013 der Endzustand erreicht und die Behandlung beendet worden. Somit sei der Fallabschluss durch die Zürich auf dieses Datum hin rechtens. Der adäquate Kausalzusammenhang der Gesundheitsschäden des Versicherten zum Ereignis vom 16. November 2011 sei nach der Praxis zu den psychischen Unfallfolgen zu prüfen. Damals seien bei der Hauptprobe zur Oper "E.________" drei Gongschläge durch den Lautsprecher unerwartet extrem laut verstärkt worden, nachdem die Mitwirkenden bereits vorher einem sehr hohen Dauerschallpegel ausgesetzt gewesen seien. Dieses Ereignis sei als banal oder maximal als mittelschwer im Grenzbereich zu den leichten Unfällen zu qualifizieren. Da kein Adäquanzkriterium erfüllt sei, seien die Gesundheitsschäden des Versicherten nicht adäquat kausal auf
dieses Ereignis zurückzuführen. Demnach könne offen bleiben, ob es als Unfall zu qualifizieren sei. Anzufügen sei, dass die Adäquanz auch bezüglich des Ereignisses vom 9. Januar 2008 zu verneinen sei. Weiter sei zu prüfen, ob eine Berufskrankheit vorliege. Laut dem Gutachten des Prof. Dr. med. G.________ und des Dr. med. H.________ vom 17. Dezember 2014 sei kein wesentlicher Hörschaden sicher nachweisbar. Dies entspreche dem Bericht des Dr. med. J.________, Facharzt für Ohren-, Nasen- und Halskrankheiten, Hals- und Gesichtschirurgie und Arbeitsmedizin FMH, Suva Arbeitsmedizin, vom 14. Februar 2013, wonach die Reintonaudiogramme ein altersentsprechend normales Gehör zeigten. Ein wesentlicher Gehörschaden nach Anhang 1 zur UVV sei damit nicht erstellt. Der Tinnitus und die Hyperakusis seien - wie gezeigt - nicht auf eine organisch-strukturelle Gehörsläsion zurückzuführen, weshalb sie nicht in diesem Anhang figurierten. Prof. Dr. med. K.________, Leitender Arzt, Klinik für Ohren-, Nasen-, Hals- und Gesichtschirurgie, Universitätsspital F.________, habe am 24. Februar 2016 ausgeführt, es erscheine ihm in überwiegendem Masse wahrscheinlich, dass der Tinnitus und die Hyperakusis des Versicherten im Zusammenhang mit seiner
Berufstätigkeit als Chorsänger stünden. Dies reiche jedoch nicht zur Annahme einer Berufskrankheit aus, da hierfür eine ausschliessliche oder stark überwiegende Wahrscheinlichkeit verlangt werde. Somit sei die Beschwerde abzuweisen.

4.

4.1. Der Beschwerdeführer rügt, vorinstanzlich habe er die Edition der Akten aus dem laufenden Strafverfahren in der Sache gegen die Verantwortlichen des Opernhauses B.________ sowie der Akten der Unfallversicherung L.________ SE zum Ereignis vom 9. Januar 2008 beantragt. Diese Akten erlaubten unabhängig von den medizinischen Expertisen einen umfassenden Blick auf die Schallereignisse vom 9. Januar 2008 und 16. November 2011. Der angefochtene Entscheid lasse nicht erkennen, ob diese wesentlichen Akten beigezogen worden seien. Deren Edition werde erneut als Beweis offeriert.

4.2.

4.2.1. Die Vorinstanz hat die Strafakten zum Ereignis vom 16. November 2011 nicht beigezogen und sich zum entsprechenden Editionsantrag nicht geäussert. Demnach ist es nicht zu beanstanden, dass der Beschwerdeführer letztinstanzlich Akten aus dem Strafverfahren auflegt bzw. zitiert. Denn der vorinstanzliche Entscheid gibt hierzu Anlass (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG). Indessen kann der Versicherte hieraus nichts zu seinen Gunsten ableiten. Er legt nämlich nicht dar und es ist nicht ersichtlich, inwiefern aus diesen Strafakten entscheidwesentliche neue Erkenntnisse resultieren sollen (vgl. auch E. 10.4 hiernach; vgl. SVR 2017 IV Nr. 58 S. 181, 8C 785/2016 E. 7.4; Urteil 5A 1023/2017 vom 15. August 2018 E. 3.3). Insbesondere gibt er selber an, in dem im Strafverfahren erstellten Gutachten Eggenschwiler sei ausgeführt worden, anhand der vorhandenen Unterlagen könne die effektive Gehörsbelastung nicht festgestellt werden.

4.2.2. Beim Ereignis vom 9. Januar 2008 war der Versicherte nicht bei der Zürich, sondern bei der D.________ obligatorisch unfallversichert. Die Zürich haftet somit nicht für die Folgen dieses Ereignisses, weshalb sich sowohl die Edition der entsprechenden Akten als auch die von der Vorinstanz diesbezüglich vorgenommene Adäquanzprüfung (vgl. E. 3 hiervor) erübrigen.

5.

5.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, am 16. April 2012 sei im Auftrag der Zürich ein Rekonstruktionsversuch des Ereignisses vom 16. November 2011 durch Suva-Experten erfolgt. Er sei weder vorgängig noch im Nachhinein über diese Schallmessung und den entsprechenden technischen Suva-Bericht vom 16. (recte 12.) Juni 2012 informiert worden. Erst am 20. Juni 2013 habe ihm die Zürich diesen Bericht zugestellt. Er habe hierzu nie Stellung nehmen können. Die Zürich habe sich im strittigen Einspracheentscheid einzig auf das Schallmessprotokoll vom 16. April 2012 gestützt. Die Vorinstanz habe sich aber mit dem Suva-Bericht nicht befasst, sondern bloss festgestellt, sein Gehörsanspruch sei nicht besonders schwerwiegend verletzt worden und die Verletzung sei auf Grund ihrer vollen Kognition geheilt.

5.2. Die Vorinstanz hat erwogen, der Versicherte habe - wenn auch verspätet - die Möglichkeit gehabt, zum Bericht vom 12. Juni 2012 Stellung zu nehmen. Dies habe er allerdings nicht zeitnah getan. Im kantonalen Beschwerdeverfahren habe er lediglich pauschal und ohne weitere Begründung vorgebracht, die Verantwortlichen des ehemaligen Arbeitgebers hätten fast unbegrenzte Möglichkeiten gehabt, die Messungen zu beeinflussen. Die nicht besonders schwerwiegende Gehörsverletzung sei aufgrund der vollen gerichtlichen Kognition geheilt.

Praxisgemäss kann eine nicht besonders schwerwiegende Verletzung des rechtlichen Gehörs ausnahmsweise als geheilt gelten, wenn die betroffene Person die Möglichkeit erhält, sich vor einer Beschwerdeinstanz zu äussern, die sowohl den Sachverhalt wie die Rechtslage frei überprüfen kann. Selbst bei einer schwerwiegenden Verletzung des rechtlichen Gehörs ist - im Sinne einer Heilung des Mangels - von einer Rückweisung der Sache an die Verwaltung abzusehen, wenn und soweit diese zu einem formalistischen Leerlauf und damit zu unnötigen Verzögerungen führen würde, die mit dem (der Anhörung gleichgestellten) Interesse der betroffenen Partei an einer beförderlichen Beurteilung der Sache nicht zu vereinbaren wären (BGE 137 I 195 E. 2.3.2 S. 197; Urteil 9C 393/2017 vom 20. September 2017 E. 4.2). Mit der Vorinstanz ist die Gehörsverletzung seitens der Zürich als geheilt anzusehen, zumal auch dem Bundesgericht die volle Kognition zusteht (E. 1 hievor) und die Rückweisung einem formalistischen Leerlauf gleichkäme, wie sich aus Folgendem ergibt (vgl. E. 10.4 hiernach).

6.

6.1. Soweit der Beschwerdeführer auf seine Ausführungen in der vorinstanzlichen Beschwerde verweist, ist dies unzulässig (BGE 134 II 244; Urteil 8C 801/2017 vom 24. April 2018 E. 5).

6.2. Der Versicherte wiederholt auf den Seiten 6-12 Ziff. 17-25, 27-31 und 33-36 der letztinstanzlichen Beschwerde praktisch wortwörtlich die in der kantonalen Beschwerde auf den Seiten 5-10 Ziff. 8-18 und 20-23 vorgebrachten Argumente. Hierauf ist von vornherein nicht weiter einzugehen (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 134 II 244 E. 2.1 und E. 2.3 S. 245 ff.; Urteil 8C 577/2017 vom 16. Januar 2018 E. 6).

7.

7.1. Unbestritten ist die vorinstanzliche Feststellung, dass keine organisch objektiv ausgewiesene Schädigung als Ursache für den Tinnitus und die Hyperakusis des Versicherten erstellt ist.

7.2. Nach der bundesgerichtlichen Rechtsprechung kann bei einem Tinnitus, der sich keiner organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolge zuordnen lässt, der adäquate Kausalzusammenhang zum Unfall, wie bei anderen organisch nicht ausgewiesenen Beschwerdebildern, nicht ohne besondere Prüfung bejaht werden (BGE 138 V 248). Mangelt es somit an einer organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolge und an einer Verletzung, welche die Anwendung der Schleudertrauma-Praxis rechtfertigen könnte, ist der adäquate Kausalzusammenhang nach den zu psychischen Fehlentwicklungen nach einem Unfall entwickelten Grundsätzen (sog. Psycho-Praxis) zu beurteilen (nicht publ. E. 6.2 des Urteils BGE 138 V 248). Gleiches muss für eine organisch objektiv nicht belegte Hyperakusis gelten.

7.3. Das kantonale Gericht hat gestützt auf diese Rechtsprechung eine Adäquanzprüfung nach der Psycho-Praxis vorgenommen, zumal beim Beschwerdeführer neben dem Tinnitus und der Hyperakusis einzig psychische Erkrankungen vorliegen (vgl. E. 3 hievor).

8.

8.1. Der Beschwerdeführer rügt in grundsätzlicher Hinsicht die Adäquanzprüfung beim Tinnitus und bei der Hyperakusis nach der Psycho-Praxis. Zur Begründung führt er im Wesentlichen aus, ein medizinisch attestierter, lärmverursachter Tinnitus mit Hyperakusis sei weit weniger mit rein psychisch verursachten Beschwerden als mit einer organisch ausgewiesenen Innenohrschädigung vergleichbar. Es könne nicht Ziel der Psycho-Praxis sein, Schädigungen, die nach dem heutigen Stand der Medizin zwar nicht vollständig erklärbar seien, aber durch die Ärzte einem Ereignis zugeordnet werden könnten und nach der allgemeinen Lebenserfahrung und dem gewöhnlichen Lauf der Dinge zuordbar seien, vom Versicherungsschutz auszuschliessen. Somit sei die allgemeine Adäquanzformel (BGE 129 V 177 E. 3.2 S. 181) anzuwenden. Laut dem Urteil U 71/02 vom 27. März 2003 würden psychische Leiden (sog. Dekompensation) bei einem sehr schweren Tinnitus adäquat kausal dem auslösenden Ereignis zugeordnet. Zudem legt der Beschwerdeführer ein Urteil des High Court of Justice, Queen'Bench Division, London, vom 28. März 2018 auf und plädiert auch gestützt hierauf für die Anwendung der allgemeinen Adäquanzformel.

Für den Fall, dass nicht die allgemeine Adäquanzformel (gewöhnlicher Lauf der Dinge, allgemeine Lebenserfahrung) herangezogen werde, macht der Versicherte Folgendes geltend: Ein medizinisch attestierter lärmverursachter Tinnitus mit Hyperakusis sei mehr mit einer organisch ausgewiesenen Schädigung des Innenohrs vergleichbar als mit rein psychischen Beschwerden. Die Anwendung der Psycho-Praxis führe zu einer Ungleichbehandlung gegenüber am Gehör geschädigten Versicherten. Denn eine noch so geringe Innenohrschwerhörigkeit mit einer messbaren Verletzung einzelner Haarzellen führe dazu, dass die besondere Prüfung des adäquaten Kausalzusammenhangs wegfalle. Es sei nicht nachvollziehbar, weshalb bei Versicherten mit lärmbedingtem Tinnitus ohne nachweisbare Verletzung von Haarzellen ein komplett anderer Massstab gelten solle. Bei den Adäquanzkriterien seien deshalb Elemente der Schleudertraumapraxis einzubeziehen.

8.2. Das Bundesgericht hat sich im Urteil BGE 138 V 248 mit der medizinischen Lehre zum Tinnitus und insbesondere auch mit dem Aufsatz des PROF. DR. MED. KELLERHALS, "Grundprobleme der Tinnitus-Hilfe aus medizinischer Sicht" (http://www.laermorama.ch/laermorama/modul
ohrenschuetzen/tinnitus w.html) einlässlich auseinandergesetzt. Weiter hat es ausdrücklich erwogen, der Tinnitus gehöre nicht zu den Beschwerden, welche üblicherweise Schleudertraumen der Halswirbelsäule (HWS) und adäquanzrechtlich gleich behandelten Leiden zugerechnet würden. Zwar sei in verschiedenen Urteilen über Schleudertrauma-Problematiken auch ein Tinnitus erwähnt, ohne dass dieser aber ein relevantes Kriterium für die Anwendbarkeit der Schleudertrauma-Praxis gebildet hätte. Der diagnostizierte Tinnitus vermöge daher nicht, die Anwendung der Schleudertrauma-Praxis zu rechtfertigen (nicht publ. E. 6.1.2). Gründe für eine Praxisänderung (hierzu vgl. BGE 140 V 538 E. 4.5 S. 541) sind im Lichte der Vorbringen des Versicherten nicht ersichtlich. Dies gilt auch bezüglich seines Begehrens um Anwendung der allgemeinen Adäquanzformel (vgl. schon SVR 2015 MV Nr. 2 S. 3, 8C 96/2015 E. 3.4.1 f. sowie Urteil 8C 1040/2012 vom 15. März 2013 E. 4.2.3.1 f.). Somit kann offen bleiben, ob die letztinstanzliche Einreichung des englischen Urteils vom 28. März 2018 nach Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG überhaupt zulässig ist.

9.
Die Prüfung der Adäquanz ist im Rahmen der hier anwendbaren Psycho-Praxis in jenem Zeitpunkt vorzunehmen, in dem von der Fortsetzung der auf die somatischen Leiden gerichteten ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann (BGE 134 V 109 E. 6.1 S. 116; Urteil 8C 303/2017 vom 5. September 2017 E. 6.1). Die Vorinstanz stellte - der Zürich folgend - zu Recht fest, dass dies beim Beschwerdeführer hinsichtlich des Schallereignisses vom 16. November 2011 am 11. November 2013 der Fall war. Dies bestreitet er denn auch nicht substanziiert.

10.
Strittig und zu prüfen ist die Schwere des Schallereignisses vom 16. November 2011.

10.1. Die Unfallschwere ist praxisgemäss aufgrund des augenfälligen Geschehensablaufs mit den sich dabei entwickelnden Kräften zu beurteilen. Irrelevant sind die Unfallfolgen oder Begleitumstände, die nicht direkt dem Unfallgeschehen zugeordnet werden können; solchen Faktoren ist gegebenenfalls bei den Adäquanzkriterien Rechnung zu tragen (BGE 140 V 356 E. 5.1 S. 359; nicht publ. E. 6.2.1 des Urteils BGE 138 V 248).

10.2. Die Vorinstanz qualifizierte das Schallereignis vom 16. November 2011 als banal oder maximal als mittelschwer im Grenzbereich zu den leichten Unfällen (vgl. E. 3 hiervor). Sie orientierte sich am Urteil 8C 1040/2012 vom 15. März 2013. Hierin ging es um einen Fall, bei dem eine versicherte Person im Nachschiesskurs ein akustisches Trauma erlitt, das zu einer Verschlimmerung einer vorbestehenden Hochtoninnenohrschwerhörigkeit rechts und zu einem Tinnitus rechts führte (Sachverhalt lit. A.a). Das Bundesgericht erwog, die Vorinstanz habe offen gelassen, ob dieses Knalltrauma als banales bzw. leichtes oder als mittelschweres Ereignis im Grenzbereich zu den leichten Unfällen einzustufen sei. Für den Ausgang des Prozesses spiele die Einordnung des Vorfalls in einen dieser Bereiche tatsächlich keine Rolle, da weder ein einzelnes Kriterium in besonders ausgeprägter Weise gegeben ist noch die massgebenden Kriterien in gehäufter oder besonders auffallender Weise erfüllt seien (E. 4.2.2).
Der Beschwerdeführer bringt vor, das Ereignis vom 16. November 2011sei als schwer oder mindestens mittelschwer im Grenzbereich zu einem schweren Vorfall zu taxieren.

10.3. Der Versicherte macht in grundsätzlicher Hinsicht geltend, im spezifischen Fall eines Tinnitus bzw. einer Hyperakusis, die direkt lärmverursacht seien, sei das Schallereignis tendenziell als schwer zu qualifizieren, da sich der Schall - ähnlich wie bei einem Autounfall die Kräfte auf die Wirbelsäule - direkt auf das Gehörsystem auswirke. Diesem Argument kann nicht gefolgt werden. Zum einen gibt es nämlich keine spezielle, von dem in E. 4.1 hiervor Gesagten abweichende Rechtsprechung zur Beurteilung der Unfallschwere bei solchen Autounfällen. Zum anderen werden z.B. einfache Auffahrunfälle, die zu einem Schleudertrauma der HWS führen, in der Regel sogar bloss als mittelschwer im Grenzbereich zu den leichten Unfällen qualifiziert (vgl. SVR 2017 UV Nr. 16 S. 53, 8C 425/2016 Sachverhalt lit. A. und E. 4.3.3).

10.4.

10.4.1. Am 16. April 2012 erfolgte im Auftrag der Zürich durch die Suva eine Schallmessung im Opernhaus B.________. Die Messungen verfolgten folgende Ziele: Messung der Schallpegel, die mit der Audio-Anlage im Opernhaus B.________ auf der Bühne und im Orchestergraben (Pult des Dirigenten) erreicht werden könnten; Vergleich der Messwerte mit den Grenzwerten für Lärm am Arbeitsplatz sowie mit dem Entwurf des Merkblatts "Begrenzung des Gehörschadenrisikos bei Opernaufführungen"; Rekonstruktion der Lärmbelastung am lautesten Ort im Chor (oberste Reihe der Tenöre) beim Gongschlag der Oper "E.________". Hierüber verfasste die Suva am 12. Juni 2012 einen technischen Bericht. Gestützt hierauf führte Dr. med. J.________ im Bericht vom 14. Februar 2013 aus, mit einem Spitzenschalldruckpegel von 123 dB (C), einem Vertrauensintervall von 118-128 dB (C) sowie einem Schallexpositionspegel LE für die drei Gongschläge im Bereich von 108-118 dB (A), mit einer grössten Wahrscheinlichkeit bei 113 dB (A), seien aus technischer Sicht bei rein isolierter Betrachtungsweise die Grenzwerte für eine Gehörschädlichkeit der Gongschläge knapp nicht erreicht worden. Im Zusammenhang mit der Kausalitätsbeurteilung müsse aber in Betracht gezogen werden, dass das
Gehör des Versicherten bereits mit hohen Schallexpositionspegeln belastet worden sei, zum Teil mit recht erheblichen Werten. Führe man eine entsprechende Dosisbetrachtung unter Berücksichtigung der eben angeführten Werte durch, werde gesamthaft gesehen doch eine Schallbelastung offensichtlich, welche die Grenzwerte für eine Gehörschädlichkeit knapp erreichen dürfte.

10.4.2. Dem Versicherten ist beizupflichten, dass die Schallmessungen vom 16. April 2012 mit Unsicherheiten behaftet sind. So wurde im entsprechenden Protokoll festgehalten, die Ergebnisse seien nicht beliebig auf andere Situationen und Signale übertragbar. Insbesondere könnten Änderungen an der Wiedergabeanlage oder Konfiguration und Einstellung des Mischpultes völlig veränderte Situationen schaffen. Auch seien Einflüsse durch Kulissen zu beachten.
Indessen ist zu beachten, dass der Beschwerdeführer laut der Schadenmeldung vom 28. November 2011 trotz des Schallereignisses vom 16. November 2011 die Probe fertig singen und auch bei der Abendvorstellung dabei sein konnte. Dies spricht eher für die Einstufung der Unfallschwere durch die Vorinstanz. Aber selbst wenn das Schallereignis mit dem Beschwerdeführer als mittelschwer im Grenzbereich zu den schweren Ereignissen qualifiziert würde - eine höhere Einstufung ist keinesfalls gerechtfertigt -, kann er daraus nichts zu seinen Gunsten ableiten. Denn es ist keines der Adäquanzkriterien erfüllt (vgl. E. 11 hiernach; BGE 115 V 133 E. 6c/bb S. 140).

11.
Die Vorinstanz verneinte alle Adäquanzkriterien (vgl. E. 3 hiervor). Der Versicherte stellt sich auf den Standpunkt, mit Ausnahme des Kriteriums der Fehlbehandlung seien alle Adäquanzkriterien erfüllt.

11.1. Ob besonders dramatische Begleitumstände oder eine besondere Eindrücklichkeit des Ereignisses vom 16. November 2011 vorliegen, beurteilt sich objektiv und nicht aufgrund des subjektiven Empfindens bzw. Angstgefühls der versicherten Person (BGE 140 V 356 E. 5.6.1 S. 366). Zu beachten ist, dass jedem mindestens mittelschweren Ereignis eine gewisse Eindrücklichkeit eigen ist, welche somit noch nicht für eine Bejahung des Kriteriums ausreichen kann (nicht publ. E. 3.5.1 des Urteils BGE 137 V 199). Es sind keine Umstände ersichtlich, die dieses Kriterium als erfüllt erscheinen lassen.

11.2. Bei den weiteren Adäquanzkriterien, die allesamt von medizinischen Aspekten abhängen (vgl. BGE 115 V 133 E. 6c/aa S. 140), sind - anders als bei einer Adäquanzprüfung nach Schleudertraumen der Halswirbelsäule und äquivalenten Verletzungen - einzig die physischen Komponenten des Gesundheitsschadens zu berücksichtigen (BGE 134 V 109 E. 6.1 S. 116). In diesem Lichte ist der Vorinstanz beizupflichten, dass keines dieser Kriterien zu bejahen ist. Es kann dazu auf die zutreffenden vorinstanzlichen Ausführungen verwiesen werden.

12.
Mangels eines adäquaten Kausalzusammenhangs zwischen dem Ereignis vom 16. November 2011 und dem Gesundheitsschaden des Beschwerdeführers besteht kein Leistungsanspruch gegenüber der Zürich. Dies gilt auch für die von ihm geltend gemachte Übergangsrente nach Art. 30 Abs. 1
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 30 Rente transitoire - 1 Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
1    Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
a  dès la naissance du droit à une indemnité journalière de l'AI;
b  avec la décision négative de l'AI concernant la réadaptation professionnelle;
c  avec la fixation de la rente définitive.
2    Pour les assurés qui sont réadaptés professionnellement à l'étranger, la rente transitoire sera allouée jusqu'à l'achèvement de la réadaptation. Les prestations en espèces des assurances sociales étrangères sont prises en compte conformément à l'art. 69 LPGA.66
UVV (vgl. Urteile 8C 272/2009 vom 1. Oktober 2009 E. 4.1 und 8C 306/2009 vom 28. Mai 2009 E. 5). Aus gleichem Grund ist die Zürich entgegen dem Versicherten auch nicht vorleistungspflichtig nach Art. 99 f
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 99 Allocation des prestations en cas de pluralité d'employeurs - 1 Lorsqu'un assuré occupé par plusieurs employeurs est victime d'un accident professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel il travaillait au moment de l'accident.
1    Lorsqu'un assuré occupé par plusieurs employeurs est victime d'un accident professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel il travaillait au moment de l'accident.
2    En cas d'accident non professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel l'assuré a travaillé en dernier lieu en étant couvert pour les accidents non professionnels. Si l'accident implique le versement d'une rente, d'une indemnité pour atteinte à l'intégrité ou d'une allocation pour impotent, les autres assureurs intéressés couvrant également les accidents non professionnels doivent, à la demande de l'assureur tenu d'allouer les prestations, lui rembourser une partie de celles-ci. La part est calculée d'après le rapport qui existe entre le gain assuré chez chaque assureur et le gain total assuré.
3    Si l'assureur ne peut pas être déterminé comme prévu aux al. 1 et 2, l'assureur compétent sera celui auprès de qui le gain assuré est le plus élevé.
. UVV. Nach dem Gesagten hat die Vorinstanz zu Recht offen gelassen, ob das Ereignis vom 16. November 2011 einen Unfall im Rechtssinne darstellt.

13.
Umstritten und zu prüfen ist schliesslich, ob eine Berufskrankheit nach Art. 9
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 9 Maladies professionnelles - 1 Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
1    Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
2    Sont aussi réputées maladies professionnelles les autres maladies dont il est prouvé qu'elles ont été causées exclusivement ou de manière nettement prépondérante par l'exercice de l'activité professionnelle.
3    Sauf disposition contraire, la maladie professionnelle est assimilée à un accident professionnel dès le jour où elle s'est déclarée. Une maladie professionnelle est réputée déclarée dès que la personne atteinte doit se soumettre pour la première fois à un traitement médical ou est incapable de travailler (art. 6 LPGA).28
UVG vorliegt.

13.1. Das kantonale Gericht hat gestützt auf das Gutachten des Prof. Dr. med. G.________ und des Dr. med. H.________ vom 17. Dezember 2014 und den Bericht des Dr. med. J.________ vom 14. Februar 2013 erkannt, dass beim Beschwerdeführer kein wesentlicher bzw. erheblicher Gehörschaden nach Anhang 1 Ziff. 2 lit. a UVV vorliege. Zudem - so die Vorinstanz weiter - seien der Tinnitus und die Hyperakusis nicht in diesem Anhang aufgeführt. Deshalb sei eine Berufskrankheit nach Art. 9 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 9 Maladies professionnelles - 1 Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
1    Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
2    Sont aussi réputées maladies professionnelles les autres maladies dont il est prouvé qu'elles ont été causées exclusivement ou de manière nettement prépondérante par l'exercice de l'activité professionnelle.
3    Sauf disposition contraire, la maladie professionnelle est assimilée à un accident professionnel dès le jour où elle s'est déclarée. Une maladie professionnelle est réputée déclarée dès que la personne atteinte doit se soumettre pour la première fois à un traitement médical ou est incapable de travailler (art. 6 LPGA).28
UVG zu verneinen.

Weiter hat die Vorinstanz erwogen, gestützt auf den Bericht des Prof. Dr. med. K.________ vom 24. Februar 2016 seien der Tinnitus und die Hyperakusis des Beschwerdeführers lediglich in überwiegendem Masse auf seine berufliche Tätigkeit zurückzuführen. Deshalb sei die nach Art. 9 Abs. 2
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 9 Maladies professionnelles - 1 Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
1    Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
2    Sont aussi réputées maladies professionnelles les autres maladies dont il est prouvé qu'elles ont été causées exclusivement ou de manière nettement prépondérante par l'exercice de l'activité professionnelle.
3    Sauf disposition contraire, la maladie professionnelle est assimilée à un accident professionnel dès le jour où elle s'est déclarée. Une maladie professionnelle est réputée déclarée dès que la personne atteinte doit se soumettre pour la première fois à un traitement médical ou est incapable de travailler (art. 6 LPGA).28
UVG vorausgesetzte ausschliessliche oder stark überwiegende berufliche Verursachung (vgl. hierzu BGE 126 V 183 E. 4b und c S. 189; SVR 2017 UV Nr. 46 S. 158, 8C 73/2017 E. 2.2) nicht erfüllt.

13.2. Gegen diese vorinstanzliche Beurteilung erhebt der Beschwerdeführer keine stichhaltigen Einwände. Insbesondere setzt er sich mit der vorinstanzlichen Würdigung der besagten Arztberichte nicht substanziiert auseinander und zeigt nicht auf, inwiefern die Feststellungen der Vorinstanz unrichtig sind. Ein Verstoss gegen das Gebot eines fairen Verfahrens nach Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
BV und Art. 6 Ziff. 1
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
EMRK sowie gegen das Rechtsgleichheitsgebot nach Art. 8 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
BV liegt entgegen dem Versicherten nicht vor. Aus dem Urteil U 71/05 vom 9. August 2006 kann er nichts zu seinen Gunsten ableiten, da es ebenfalls ein Anwendungsfall der hier massgebenden Rechtsprechung nach BGE 126 V 183 war.

14.
Nach dem Gesagten ist der angefochtene Entscheid nicht bundesrechtswidrig. Da von weiteren Abklärungen keine entscheidrelevanten Ergebnisse zu erwarten sind, durfte die Vorinstanz darauf verzichten (antizipierte Beweiswürdigung; BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236).

15.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 27. September 2018

Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Der Gerichtsschreiber: Jancar
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 8C_176/2018
Date : 27 septembre 2018
Publié : 15 octobre 2018
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-accidents
Objet : Unfallversicherung (Kausalzusammenhang; Berufskrankheit)


Répertoire des lois
CEDH: 6
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH)
CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
1    Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice.
2    Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie.
3    Tout accusé a droit notamment à:
a  être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui;
b  disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense;
c  se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent;
d  interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge;
e  se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience.
Cst: 8 
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 8 Égalité - 1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
1    Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2    Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d'une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3    L'homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l'égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L'homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4    La loi prévoit des mesures en vue d'éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
29
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999
Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
1    Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable.
2    Les parties ont le droit d'être entendues.
3    Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert.
LAA: 9 
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 9 Maladies professionnelles - 1 Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
1    Sont réputées maladies professionnelles les maladies (art. 3 LPGA26) dues exclusivement ou de manière prépondérante, dans l'exercice de l'activité professionnelle, à des substances nocives ou à certains travaux.27 Le Conseil fédéral établit la liste de ces substances ainsi que celle de ces travaux et des affections qu'ils provoquent.
2    Sont aussi réputées maladies professionnelles les autres maladies dont il est prouvé qu'elles ont été causées exclusivement ou de manière nettement prépondérante par l'exercice de l'activité professionnelle.
3    Sauf disposition contraire, la maladie professionnelle est assimilée à un accident professionnel dès le jour où elle s'est déclarée. Une maladie professionnelle est réputée déclarée dès que la personne atteinte doit se soumettre pour la première fois à un traitement médical ou est incapable de travailler (art. 6 LPGA).28
19
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
1    Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53.
2    Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54.
3    Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
OLAA: 30 
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 30 Rente transitoire - 1 Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
1    Lorsqu'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de santé de l'assuré, mais que la décision de l'AI concernant la réadaptation professionnelle n'interviendra que plus tard, une rente sera provisoirement allouée dès la fin du traitement médical; cette rente est calculée sur la base de l'incapacité de gain existant à ce moment-là. Le droit s'éteint:
a  dès la naissance du droit à une indemnité journalière de l'AI;
b  avec la décision négative de l'AI concernant la réadaptation professionnelle;
c  avec la fixation de la rente définitive.
2    Pour les assurés qui sont réadaptés professionnellement à l'étranger, la rente transitoire sera allouée jusqu'à l'achèvement de la réadaptation. Les prestations en espèces des assurances sociales étrangères sont prises en compte conformément à l'art. 69 LPGA.66
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SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA)
OLAA Art. 99 Allocation des prestations en cas de pluralité d'employeurs - 1 Lorsqu'un assuré occupé par plusieurs employeurs est victime d'un accident professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel il travaillait au moment de l'accident.
1    Lorsqu'un assuré occupé par plusieurs employeurs est victime d'un accident professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel il travaillait au moment de l'accident.
2    En cas d'accident non professionnel, les prestations sont allouées par l'assureur de l'employeur pour lequel l'assuré a travaillé en dernier lieu en étant couvert pour les accidents non professionnels. Si l'accident implique le versement d'une rente, d'une indemnité pour atteinte à l'intégrité ou d'une allocation pour impotent, les autres assureurs intéressés couvrant également les accidents non professionnels doivent, à la demande de l'assureur tenu d'allouer les prestations, lui rembourser une partie de celles-ci. La part est calculée d'après le rapport qui existe entre le gain assuré chez chaque assureur et le gain total assuré.
3    Si l'assureur ne peut pas être déterminé comme prévu aux al. 1 et 2, l'assureur compétent sera celui auprès de qui le gain assuré est le plus élevé.
Répertoire ATF
115-V-133 • 119-V-200 • 126-V-183 • 129-V-177 • 134-II-244 • 134-V-109 • 135-II-384 • 136-I-229 • 137-I-195 • 137-V-199 • 138-V-218 • 138-V-248 • 140-V-356 • 140-V-538
Weitere Urteile ab 2000
5A_1023/2017 • 8C_1040/2012 • 8C_176/2018 • 8C_272/2009 • 8C_303/2017 • 8C_306/2009 • 8C_425/2016 • 8C_577/2017 • 8C_73/2017 • 8C_785/2016 • 8C_801/2017 • 8C_96/2015 • 9C_393/2017 • U_71/02 • U_71/05
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • tinnitus • tribunal fédéral • maladie professionnelle • traumatisme cervical • état de fait • aa • atteinte à la santé • mesurage • exactitude • recours en matière de droit public • office fédéral de la santé publique • mesure • pré • valeur • frais judiciaires • médecine du travail • greffier • haut-parleur • décision
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