Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

{T 0/2}

1B 405/2016

Urteil vom 27. Februar 2017

I. öffentlich-rechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Merkli, Präsident,
Bundesrichter Karlen, Kneubühler,
Gerichtsschreiber Forster.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Stephan Fröhlich,

gegen

Staatsanwaltschaft des Kantons Aargau,
Bleichemattstrasse 7, 5001 Aarau.

Gegenstand
Vermögensbeschlagnahmen,

Beschwerde gegen den Entscheid vom 20. September 2016 des Obergerichts des Kantons Aargau, Beschwerdekammer in Strafsachen.

Sachverhalt:

A.
Die Staatsanwaltschaft des Kantons Aargau führt eine Strafuntersuchung gegen A.________ wegen Betrugsverdachts. Mit Verfügungen vom 5. bzw. 7. April 2016 beschlagnahmte die Staatsanwaltschaft diverse Konten und Depots des Beschuldigten bei drei Banken. Eine vom Beschuldigten am 27. Mai 2016 dagegen erhobene Beschwerde wies das Obergericht des Kantons Aargau, Beschwerdekammer in Strafsachen, am 20. September 2016 ab.

B.
Gegen den Entscheid des Obergerichtes gelangte der Beschuldigte mit Beschwerde vom 28. Oktober 2016 an das Bundesgericht. Er beantragt die Aufhebung des angefochtenen Entscheides.
Die Staatsanwaltschaft beantragt mit Stellungnahme vom 11. November 2016 die Abweisung der Beschwerde. Das Obergericht verzichtete am 16. November 2016 auf eine Vernehmlassung. Innert der auf 9. Dezember 2016 (fakultativ) angesetzten Frist ist keine Replik des Beschwerdeführers eingegangen.

Erwägungen:

1.
Als Inhaber der beschlagnahmten Vermögenswerte ist der Beschwerdeführer von den streitigen Zwangsmassnahmen direkt betroffen und zur Beschwerde legitimiert (vgl. Art. 81 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
BGG); ebenso ist ein drohender nicht wieder gutzumachender Rechtsnachteil (im Sinne von Art. 93 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours:
1    Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours:
a  si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou
b  si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse.
2    En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies.
3    Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci.
BGG) zu bejahen (BGE 128 I 129 E. 1 S. 131 sowie ständige Praxis; vgl. auch Botschaft vom 28. Februar 2001 zur Totalrevision der Bundesrechtspflege, BBl 2001 S. 4334).

2.
Der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz gehe zu Unrecht von einem hinreichenden Betrugsverdacht aus. Der angefochtene Entscheid beruhe auf einer offensichtlich unrichtigen Sachverhaltsfeststellung und verletze Art. 197 Abs. 1 lit. b
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
1    Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
a  elles sont prévues par la loi;
b  des soupçons suffisants laissent présumer une infraction;
c  les buts poursuivis ne peuvent pas être atteints par des mesures moins sévères;
d  elles apparaissent justifiées au regard de la gravité de l'infraction.
2    Les mesures de contrainte qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes qui n'ont pas le statut de prévenu sont appliquées avec une retenue particulière.
StPO.

2.1. Im Gegensatz zum erkennenden Sachrichter haben die Strafbehörden bei der Überprüfung des hinreichenden Tatverdachtes im Vorverfahren (Art. 197 Abs. 1 lit. b
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
1    Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
a  elles sont prévues par la loi;
b  des soupçons suffisants laissent présumer une infraction;
c  les buts poursuivis ne peuvent pas être atteints par des mesures moins sévères;
d  elles apparaissent justifiées au regard de la gravité de l'infraction.
2    Les mesures de contrainte qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes qui n'ont pas le statut de prévenu sont appliquées avec une retenue particulière.
StPO) noch keine erschöpfende Abwägung sämtlicher belastender und entlastender Beweisergebnisse vorzunehmen. Bestreitet die beschuldigte Person den Tatverdacht, ist vielmehr zu prüfen, ob aufgrund der bisherigen Untersuchungsergebnisse genügend konkrete Anhaltspunkte für eine Straftat und eine Beteiligung der beschuldigten Person an dieser Tat vorliegen, die Strafbehörden somit das Bestehen eines hinreichenden Tatverdachts mit vertretbaren Gründen bejahen durften. Hinweise auf eine strafbare Handlung müssen erheblich und konkreter Natur sein, um einen hinreichenden Tatverdacht begründen zu können (BGE 141 IV 87 E. 1.3.1 S. 90; 137 IV 122 E. 3.2 S. 126). Auch über die gerichtliche Verwertbarkeit von Beweismitteln ist in der Regel noch nicht im Untersuchungsverfahren abschliessend zu entscheiden (BGE 141 IV 289 E. 1 S. 291 f. mit Hinweisen). Zur Frage des Tatverdachtes bzw. zur Schuldfrage hat das Bundesgericht weder ein eigentliches Beweisverfahren durchzuführen, noch dem erkennenden Strafrichter vorzugreifen (BGE 137 IV 122 E. 3.2 S. 126 f.).

2.2. Die Vorinstanz begründet den hinreichenden Tatverdacht des Betruges (Art. 146 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
1    Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
2    Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans.
3    L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte.
StGB) zusammengefasst wie folgt:
Im August 2014 habe der Beschwerdeführer sämtliche Aktien seiner Gesellschaft zum Preis von Fr. 6,9 Mio. an eine Beteiligungsfirma des Käufers übertragen. Vom vereinbarten Kaufpreis habe der Käufer am 29. August 2014 (vom Bankkonto seiner Beteiligungsfirma) Fr. 4,7 Mio. auf ein Konto des Beschwerdeführers überwiesen. Für den Restkaufpreis von Fr. 2,2 Mio. habe der Beschwerdeführer der Holdingfirma des Käufers ein Darlehen mit Rangrücktritt gewährt. Der Bestimmung des Kaufpreises sei die Bewertung vom 17. Oktober 2013 einer Treuhandfirma zugrunde gelegt worden. Darin sei für die Jahre 2014 bis 2018 mit Nettoumsätzen der zu verkaufenden Gesellschaft von Fr. 3,671 Mio. gerechnet worden. Eine weitere Steuerberatungsgesellschaft sei in ihrer Unternehmensbewertung vom 19. März 2014 für 2014 von einem Umsatz von Fr. 3,5 Mio. und ab 2015 von Umsatzsteigerungen von jährlich 2% ausgegangen. In der Rubrik "Kunden" dieser Bewertung sei ausgeführt worden, dass 50% des Umsatzes mit einer Grosskundin der zu verkaufenden Gesellschaft erzielt würden, wobei das tragende Geschäft mit dieser Kundin 2012 und 2013 zunächst um 14% und dann nochmals um 30% eingebrochen sei.
Während der Umsatz der Gesellschaft in der Erfolgsrechnung 2012 noch ca. Fr. 3,9 Mio. und 2013 ca. 4,4 Mio. betragen habe, sei er 2014 auf ca. 2 Mio. gesunken. Im Anhang einer E-Mail vom 26. März 2015 der genannten Grosskundin sei "dem Beschwerdeführer" eine Power-Point-Präsentation vom 6. Dezember 2011 übermittelt worden, aus der hervorgehe, dass die Aufträge der Kundin an seine Gesellschaft ab dem 4. Quartal 2012 sukzessive abnehmen und 2014 nur noch ca. einen Achtel des Volumens von 2012 betragen würden. Die ungefähre Halbierung des Umsatzes der Gesellschaft (von 2012/2013 bis 2014) entspreche ziemlich genau dem auf die Grosskundin entfallenden Umsatzrückgang.
In einer weiteren Bewertung vom 26. Mai 2015 der genannten Treuhandfirma habe diese ausgeführt, dass in der ursprünglichen Bewertung vom 17. Oktober 2013 "wider besseres Wissen" des Beschwerdeführers ein unveränderter Umsatz mit der Grosskundin angenommen worden sei. Dass ihm die zu erwartenden Umsatzrückgänge bereits damals bekannt gewesen seien, habe er der Treuhandfirma "so nicht kommuniziert". In ihrer neuen Bewertung habe sie prognostiziert, dass die Umsätze mit der bisherigen Grosskundin bis spätestens Ende 2015 vollständig wegfallen würden, was für die folgenden Jahre Umsatzausfälle von ca. Fr. 2,62 Mio. zur Folge habe. Aufgrund dieser neuen Bewertung bzw. des Wegfalls der Grosskundin reduziere sich der Unternehmenswert brutto der verkauften Gesellschaft um ca. 6,281 Mio. Damit könne pauschal gesagt werden, dass der 2013/2014 festgelegte Kaufpreis um rund Fr. 6,2 Mio. zu hoch gewesen sei.
In einer Stellungnahme vom 21. Januar 2016 habe die Treuhandfirma dargelegt, dass sie die Bewertung vom 17. Oktober 2013 nach den Angaben des Beschwerdeführers erstellt habe. Dabei sei für die Zukunft ein etwa gleich hoher Umsatz mit der Grosskundin angenommen worden. Sie, die Treuhandfirma, habe geltend gemacht, dass sie damals keine Möglichkeit gehabt habe, die künftige Umsatzentwicklung selbstständig zu beurteilen. Das Vorlegen relevanter Informationen habe klar in der Verantwortung der operativen Leitung der zu verkaufenden Gesellschaft gelegen. Diese Ausführungen stützten laut Vorinstanz auch die Aussagen des Geschädigten, wonach dieser beim Kauf der Gesellschaft nicht gewusst habe, dass die Grosskundin in Zukunft wegfallen werde.
Es bestünden nach Ansicht des Obergerichtes genügend konkrete Anhaltspunkte dafür, dass der Beschwerdeführer vor dem Verkauf seiner Gesellschaft den absehbaren baldigen Wegfall der Grosskundin verschwiegen haben könnte, wodurch der Wert der Gesellschaft und damit der vereinbarte Kaufpreis um ca. Fr. 6,2 Mio. zu hoch angesetzt worden seien. Gemäss einem "Letter of Intent" vom 20. März 2014 sei der Beschwerdeführer verpflichtet gewesen, dem Käufer alle ihm bzw. seiner Gesellschaft zur Verfügung stehenden relevanten Daten zu verschaffen und ihm damit Einblick in die aktuelle Geschäftslage zu geben. Die Verwendung inhaltlich unrichtiger Dokumente durch den Beschwerdeführer (darunter die Unternehmensbewertung vom 17. Oktober 2013) könne als täuschende Machenschaft und damit als arglistiges Vorgehen qualifiziert werden. Aufgrund der im "Letter of Intent" vereinbarten Geheimhaltungsklausel sei es dem Geschädigten zudem untersagt gewesen, bei der Grosskundin selber Auskünfte über die künftige Entwicklung der Auftragslage einzuholen. Deshalb habe dieser die vom Beschwerdeführer erhaltenen Angaben mutmasslich nicht oder nur mit besonderer Mühe auf ihre Richtigkeit hin überprüfen können. Der Beschwerdeführer habe seinerseits davon ausgehen
können, dass der Geschädigte von einer entsprechenden Überprüfung bei der Grosskundin absehen würde. Damit habe der Beschuldigte, selbst wenn von einer blossen "einfachen Lüge" ausgegangen würde, mutmasslich arglistig gehandelt. Im Umfang des zu viel bezahlten Kaufpreises sei dem Käufer ein Vermögensschaden (durch Verminderung der Aktiven bzw. Vermehrung der Passiven) entstanden.
Die Darstellung des Beschuldigten, auf Seiten des Geschädigten hätten Berater fungiert, welche das wirtschaftliche Umfeld der zu verkaufenden Gesellschaft genauestens gekannt hätten, finde weder in den Unternehmensbewertungen und schriftlichen Darlegungen der genannten Treuhandfirma eine Stütze, noch in der Unternehmensbewertung der genannten Steuerberatungsfirma. Ebenso wenig sei aus den Akten ersichtlich, dass der Geschädigte Mitarbeiter der Grosskundin gewesen wäre und deshalb über das notwendige Wissen verfügt hätte, um Potential und Risiken für die gekaufte Gesellschaft einschätzen zu können. Zwar habe die "Due Diligence"-Abklärung ergeben, dass es sich bei der Geschäftsbeziehung mit der Grosskundin um ein sogenanntes "Klumpenrisiko" gehandelt habe, was der Geschädigte auch anerkannt habe. Die Bewertung der Steuerberatungsfirma habe jedoch ebenfalls auf dem Weiterbestehen der Geschäftsverbindung mit der Grosskundin im bisherigen Umfang basiert. Die Eckpunkte dieser Bewertung seien am 15. März 2014 in einem persönlichen Gespräch zwischen dem Beschwerdeführer, dem Käufer der Gesellschaft und zwei Beratern besprochen und vereinbart worden. Dem Beschwerdeführer werde nicht vorgeworfen, er habe die Existenz des genannten
"Klumpenrisikos" verheimlicht. Der Vorwurf ziele vielmehr darauf, dass er den bereits absehbaren Wegfall der Grosskundin arglistig verschwiegen habe. Sein Vorbringen, nach dem Verkauf habe sich das wirtschaftliche Umfeld unerwartet verändert, lasse den Betrugsverdacht nicht dahinfallen.
Die Frage, ob zwischen der Grosskundin und der Gesellschaft ein eigentlicher Zusammenarbeitsvertrag (im Sinne eines Rahmenvertrages) bestanden hätte oder (ohne einen solchen Vertrag) jeweils einzelfallweise Geschäfte abgeschlossen worden wären, sei diesbezüglich wohl ohne Belang. Entscheidend sei vielmehr, dass bis zum Verkauf der Gesellschaft für die Bestimmung des Kaufpreises stets davon ausgegangen worden sei, dass diese voraussichtlich auch in den nachfolgenden Jahren mit Aufträgen der Kundin ungefähr die Hälfte des (gegenüber den Vorjahren leicht zunehmenden) Umsatzes erwirtschaften würde (angefochtener Entscheid, S. 12-16, E. 5.2.3).

2.3. Der Beschwerdeführer rügt zunächst eine offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz. Wie sich aus den Akten ergebe, sei die im angefochtenen Entscheid genannte E-Mail der fraglichen Grosskundin vom 26. März 2015 (samt Power-Point-Anhang) nicht an ihn, den Beschwerdeführer, versendet worden, sondern an den angeblich geschädigten Käufer der Gesellschaft. Diese aktenwidrige Tatsachenfeststellung sei für den Ausgang des Verfahrens entscheidend.

2.4. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann im Beschwerdeverfahren vor Bundesgericht nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist (oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG beruht) und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG).

2.5. Die Staatsanwaltschaft bestreitet in ihrer Stellungnahme nicht, dass die fragliche E-Mail vom 26. März 2015 an den mutmasslich Geschädigten versendet wurde. Dieser selbst habe am 24. März 2015 den zuständigen Verantwortlichen der Grosskundin um entsprechende Auskünfte gebeten. Zwar beanstandet der Beschwerdeführer insofern mit Recht eine gewisse Ungenauigkeit in der Begründung des angefochtenen Entscheides. Er legt jedoch nicht nachvollziehbar dar, inwiefern sich dieser redaktionelle Fehler auf das Ergebnis des angefochtenen Entscheides ausgewirkt haben sollte:
Unbestrittenermassen hat der mutmasslich Geschädigte erst am 26. März 2015 (und damit ca. sieben Monate nach dem erfolgten Kauf der Gesellschaft) die fraglichen Informationen seitens der Grosskundin erhalten, insbesondere die der E-Mail beigefügte Power-Point-Präsentation vom 6. Dezember 2011. Die kantonalen Instanzen werfen dem Beschwerdeführer unter anderem vor, die Grosskundin habe ihn schon einige Jahre vor dem Verkauf seiner Gesellschaft über den geplanten massiven Rückgang des Auftragsvolumens (per Ende 2014 bis auf einen Achtel der ursprünglichen Umsätze) informiert. Wie sich namentlich aus der E-Mail der Grosskundin vom 26. März 2015 (samt Anhang) an den Geschädigtenergebe, hätten deren Organe diese Geschäftspläne bereits Ende 2011 mit dem Beschwerdeführer (als Eigentümer und Organ der betroffenen Gesellschaft) besprochen. Dieser habe die betreffenden Informationen dem Geschädigten (bis zum Verkauf der Gesellschaft im August 2014) arglistig verschwiegen und verheimlicht. Aufgrund der erst im März 2015 nachträglich erhaltenen Informationen habe die wirtschaftliche Bewertung der verkauften Gesellschaft (gemäss dem Bericht vom 26. Mai 2015 der beigezogenen Treuhandfirma) massiv reduziert werden müssen.

2.6. Auch aus dem (vom Beschwerdeführer und dem mutmasslichen Geschädigten unterzeichneten) Vertragsdokument "Letter of Intent" vom 20. März 2014 zieht die Vorinstanz keine willkürlichen tatsächlichen Schlüsse:
Das Obergericht verweist auf die in § 3 dieses Dokuments enthaltene Geheimhaltungsklausel, wonach es dem Käufer der Gesellschaft untersagt war, selber bei den Kundinnen und Kunden der Gesellschaft Auskünfte über die künftige Entwicklung der Auftragslage einzuholen. Zwar hält der Beschwerdeführer dieser Geheimhaltungsklausel eine andere Vertragsbestimmung entgegen (nämlich § 1 lit. B Ziff. 1). Danach habe der Käufer das Recht gehabt, ein Gespräch mit den drei umsatzstärksten Kunden der Gesellschaft zu führen. Wie die Staatsanwaltschaft jedoch darlegt, war der Verkaufspreis von Fr. 6,9 Mio. (in § 1 lit. A Ziff. 1) bereits vertraglich festgelegt worden; zudem räumt der Beschwerdeführer ein, dass das Recht des Käufers, ein Gespräch mit den drei umsatzstärksten Kunden zu führen (§ 1 lit. B Ziff. 1), gemäss ausdrücklicher Vorschrift erst nach "Vorlage einer verbindlichen Finanzierungszusage" Platz griff. Die Staatsanwaltschaft weist darauf hin, dass auch ein (von einem Revisor geprüfter) Jahresabschluss der Gesellschaft sowie eine steuerliche Betriebsprüfung von der verbindlichen Finanzierungszusage des Geschädigten abhängig gemacht worden seien.
Nach Ansicht der kantonalen Instanzen ergeben sich aus dem "Letter of Intent" Anhaltspunkte, wonach es für den Beschuldigten absehbar gewesen sei, dass der Geschädigte irreführende Angaben über den Wert der gekauften Gesellschaft nicht mehr rechtzeitig würde überprüfen können. Diese Ansicht ist sachlich vertretbar. Welche zivilrechtliche Tragweite die fraglichen Vertragsklauseln im einzelnen hatten und welche strafrechtlichen Konsequenzen sich daraus für die Frage der Arglist ergeben, wird nötigenfalls (im Falle einer Anklage) vom erkennenden Strafgericht aufgrund der gesamten Beweisergebnisse zu beurteilen sein. Im Übrigen stützt die Vorinstanz ihre Annahme eines hinreichenden Tatverdachtes nicht allein auf Indizien für schwer überprüfbare einfache Lügen.

2.7. Auch die restlichen Vorbringen des Beschwerdeführers lassen die Erwägungen der Vorinstanz zum Tatverdacht im Ergebnis nicht als bundesrechtswidrig erscheinen. Dies gilt insbesondere für die Einwendungen, aus den Akten gehe nicht hervor, dass ihm die Power-Point-Präsentation vom 6. Dezember 2011 vor dem Verkauf der Gesellschaft bekannt gewesen wäre, der Vorwurf, dass er dem Käufer wesentliche Informationen arglistig vorenthalten habe, sei absurd, der Käufer habe das "Klumpenrisiko" gekannt, auch aus den Bewertungen und Stellungnahmen der eingeschalteten Treuhandfirma lasse sich kein Tatverdacht ableiten, und die Untersuchung dauere nun schon seit bald 12 Monaten an.
Wie die kantonalen Instanzen nachvollziehbar darlegen, habe der mutmasslich geschädigte Käufer der Gesellschaft vor seiner verbindlichen Finanzierungszusage keine Informationen zu den Geschäftsabsichten der langjährigen Grosskundin einholen dürfen. Wohl habe der Geschädigte vom Bestehen eines wirtschaftlichen "Klumpenrisikos" bezüglich der Grosskundin Kenntnis gehabt. Dem Beschwerdeführer werde jedoch nicht das Verschweigen dieses Geschäftsrisikos vorgeworfen, sondern das Faktum, dass er dem Geschädigten die bereits eingeleitete baldige Beendigung des Geschäftsverhältnisses mit der Kundin verschwiegen habe. In diesem Zusammenhang bestünden auch konkrete Hinweise auf ein mögliches arglistiges Vorgehen des Beschuldigten (Verwenden von Geschäftsunterlagen bzw. vertrauenerweckenden Bewertungsunterlagen einer Treuhandfirma mit inhaltlich unzutreffendem bzw. irreführendem Inhalt, Verheimlichen von wichtigen Informationen, Absehbarkeit, dass der Geschädigte die falschen Angaben nicht würde rechtzeitig überprüfen können usw.).
Die Annahme eines hinreichenden Betrugsverdachtes durch die kantonalen Instanzen hält bei gesamthafter Betrachtung vor Art. 197 Abs. 1 lit. b
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
1    Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
a  elles sont prévues par la loi;
b  des soupçons suffisants laissent présumer une infraction;
c  les buts poursuivis ne peuvent pas être atteints par des mesures moins sévères;
d  elles apparaissent justifiées au regard de la gravité de l'infraction.
2    Les mesures de contrainte qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes qui n'ont pas le statut de prévenu sont appliquées avec une retenue particulière.
StPO stand.

3.
Die Beschwerde ist abzuweisen.

Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG). Eine Parteientschädigung ist nicht zuzusprechen (Art. 68
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Obergericht des Kantons Aargau, Beschwerdekammer in Strafsachen, schriftlich mitgeteilt.

Lausanne, 27. Februar 2017

Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Merkli

Der Gerichtsschreiber: Forster
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 1B_405/2016
Date : 27 février 2017
Publié : 17 mars 2017
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Procédure pénale
Objet : Vermögensbeschlagnahmen


Répertoire des lois
CP: 146
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937
CP Art. 146 - 1 Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
1    Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, induit astucieusement en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou la conforte astucieusement dans son erreur et détermine de la sorte la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire.
2    Si l'auteur fait métier de l'escroquerie, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans.
3    L'escroquerie commise au préjudice des proches ou des familiers n'est poursuivie que sur plainte.
CPP: 197
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale
CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
1    Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes:
a  elles sont prévues par la loi;
b  des soupçons suffisants laissent présumer une infraction;
c  les buts poursuivis ne peuvent pas être atteints par des mesures moins sévères;
d  elles apparaissent justifiées au regard de la gravité de l'infraction.
2    Les mesures de contrainte qui portent atteinte aux droits fondamentaux des personnes qui n'ont pas le statut de prévenu sont appliquées avec une retenue particulière.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
68 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
1    Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe.
2    En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige.
3    En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles.
4    L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie.
5    Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer.
81 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
1    A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque:
a  a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et
b  a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier:
b1  l'accusé,
b2  le représentant légal de l'accusé,
b3  le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée,
b4  ...
b5  la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles,
b6  le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte,
b7  le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56.
2    Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57
3    La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions.
93 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours:
1    Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours:
a  si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou
b  si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse.
2    En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies.
3    Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
Répertoire ATF
128-I-129 • 137-IV-122 • 141-IV-289 • 141-IV-87
Weitere Urteile ab 2000
1B_405/2016
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
aarau • accusation • affaire pénale • application ratione materiae • argovie • autorité inférieure • avocat • bilan • cas par cas • chiffre d'affaires • compte bancaire • compte de profits et pertes • conduite • connaissance • conscience • constatation des faits • contrat-cadre • cour des plaintes • dossier • durée • débat • décision • délai • e-mail • enquête pénale • escroquerie • exactitude • fausse indication • fin • frais judiciaires • greffier • infraction • intéressé • juge du fond • lausanne • machination • mois • motivation de la décision • objection • participation ou collaboration • prix d'achat • procédure préparatoire • pré • présentation • prévenu • prêt de consommation • question • recommandation de vote de l'autorité • réplique • révision totale • soupçon • sûretés • tribunal fédéral • tribunal pénal • valeur • violation du droit • état de fait • étendue
FF
2001/4334