Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
7B 689/2023
Urteil vom 26. August 2024
II. strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Abrecht, Präsident,
Bundesrichter Hurni, Kölz,
Gerichtsschreiberin Lustenberger.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Artan Sadiku,
Beschwerdeführer,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Güterstrasse 33, Postfach, 8010 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Qualifizierte Widerhandlung gegen das Betäubungsmittelgesetz; verdeckte Fahndung, Strafzumessung, Widerruf,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 20. Februar 2023 (SB220256-O/U/cwo).
Sachverhalt:
A.
A.________ begab sich irgendwann im Juni 2020 nach Bern, holte dort aus einem Versteck in einem Estrich unter einem Ziegel mindestens 560 Gramm Metamphetamin (Crystal Meth) und brachte dieses zum gemeinsamen Wohnort von ihm und B.________ in Zürich. Am 30. Juni 2020 wurde er von einem verdeckten Fahnder der Kantonspolizei Zürich per WhatsApp angeschrieben. Am Folgetag kam es zu einem Treffen zwischen den beiden, bei dem A.________ dem verdeckten Fahnder fünf Gramm Methamphetamin für Fr. 600.-- übergab. Anlässlich der kurz darauf in der Wohnung von A.________ und B.________ durchgeführten Hausdurchsuchung wurden insgesamt 552 Gramm Methamphetamin mit einem Reinheitsgrad von 99 % (547 Gramm reines Methamphetamin), ein Gramm Kokain sowie Fr. 13'800.-- in bar sichergestellt.
B.
B.a. Mit Urteil vom 20. September 2021 erklärte das Bezirksgericht Zürich A.________ der qualifizierten Widerhandlung und der Übertretung gegen das Betäubungsmittelgesetz (Art. 19 Abs. 1 lit. c

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19a - 1. Quiconque, sans droit, consomme intentionnellement des stupéfiants ou commet une infraction à l'art. 19 pour assurer sa propre consommation est passible d'une amende. |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |
B.b. A.________ erhob gegen dieses Urteil Berufung, die Staatsanwaltschaft Zürich-Limmat reichte Anschlussberufung ein. Am 20. Februar 2023 bestätigte das Obergericht des Kantons Zürich die erstinstanzlichen Schuldsprüche sowie den Widerruf der bedingten Entlassung. Es verurteilte A.________ unter Einbezug des Strafrests zu einer Freiheitsstrafe von sechs Jahren, wovon 849 Tage durch Haft erstanden waren, sowie zu einer Busse von Fr. 300.--. Ebenso bestätigte es die Beschlagnahme und Verwendung der sichergestellten Barschaft. Betreffend ambulante Behandlung war das erstinstanzliche Urteil bereits in Rechtskraft erwachsen.
C.
Mit Beschwerde in Strafsachen beantragt A.________ dem Bundesgericht die Aufhebung des Berufungsurteils. Er sei von Schuld und Strafe freizusprechen, von einem Widerruf der bedingten Entlassung sei abzusehen, ihm sei die Barschaft von Fr. 13'800.-- auszuhändigen und für die zu Unrecht erstandene Haft sei ihm eine Entschädigung von Fr. 185'900.-- zuzusprechen. Eventualiter sei die Sache im Sinne der Erwägungen an die Vorinstanz zurückzuweisen. Für das bundesgerichtliche Verfahren sei ihm zudem die integrale unentgeltliche Rechtspflege zu gewähren.
Die Akten des kantonalen Verfahrens wurden praxisgemäss beigezogen.
Erwägungen:
1.
Angefochten ist ein Endentscheid in Strafsachen einer letzten kantonalen Instanz, die als oberes Gericht auf Berufung und Anschlussberufung hin geurteilt hat (Art. 80

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif57. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.58 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...97 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.
In prozessualer Hinsicht verlangt der Beschwerdeführer, es sei vor Bundesgericht eine mündliche Verhandlung durchzuführen. Er begründet diesen Antrag jedoch nicht und zeigt somit nicht auf, welche besonderen Umstände die Durchführung einer Verhandlung (Art. 57

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 57 Débats - Le président de la cour peut ordonner des débats. |
3.
3.1. Der Beschwerdeführer rügt, in Verletzung von Art. 29

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 29 Principe de l'unité de la procédure - 1 Les infractions sont poursuivies et jugées conjointement dans les cas suivants: |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |
3.2. Im Berufungsverfahren thematisiert wurde dagegen eine Verletzung der Teilnahmerechte des Beschwerdeführers an den Einvernahmen von B.________. Die Vorinstanz bejaht eine Verletzung, hält eine Entfernung der betreffenden Einvernahmen aus den Akten jedoch nicht für notwendig, da B.________ den Beschwerdeführer darin nicht belastet habe bzw. ihre Aussagen für die Erstellung des Sachverhalts nicht notwendig seien. Der Beschwerdeführer bestreitet dies pauschal und meint, aufgrund der Mittäterschaft seien ihm auch Handlungen von B.________ zugerechnet worden. Er spezifiziert seine Darstellung jedoch nicht näher und zeigt nicht auf, inwiefern die Aussagen von B.________ zu seiner Verurteilung beigetragen haben oder für deren Nebenfolgen relevant gewesen sein sollen. Soweit er somit die Unverwertbarkeit der Einvernahmen von B.________ vom 24. August und 29. September 2020 geltend macht, erübrigen sich weitere Ausführungen.
4.
4.1. Unter formellen Gesichtspunkten bringt der Beschwerdeführer weiter vor, die verdeckte Fahndung sei unrechtmässig gewesen und sämtliche Beweise seien als Folgebeweise unverwertbar. Der verdeckte Fahnder habe seine Kompetenzen massiv überschritten und durch sein Verhalten den Tatentschluss herbeigeführt. Die Kontaktaufnahme sei von ihm ausgegangen und er habe aktiv nach Betäubungsmitteln gefragt. Besonders problematisch sei dies, weil kein Anfangsverdacht auf eine bereits begangene Straftat bestanden habe. Hinweise auf die von der Vorinstanz diesbezüglich erwähnten "polizeilichen Erkenntnisse" fänden sich nicht in den Akten. Zur präventiven Gefahrenabwehr sei die verdeckte Fahndung nach StPO nicht zulässig. Davon abgesehen hätte es eine Reihe anderer geeigneter und milderer Zwangsmassnahmen, z.B. die Observation, gegeben. Es fehle am Nachweis, dass die Polizei andere erfolglose Ermittlungshandlungen unternommen habe, bevor sie die verdeckte Fahndung angeordnet habe. Diese halte deshalb auch dem Verhältnismässigkeitsgebot nicht stand.
4.2. Eine verdeckte Fahndung liegt nach Art. 298a Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 298a Définition - 1 Les recherches secrètes consistent, pour les membres d'un corps de police, à tenter d'élucider des crimes ou des délits dans le cadre d'interventions de courte durée où leur identité et leur fonction ne sont pas reconnaissables, notamment en concluant des transactions fictives ou en donnant l'illusion de vouloir conclure de telles transactions. |
4.2.1. Gemäss Art. 298b Abs. 1 lit. a

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 298b Conditions - 1 Le ministère public et, pendant l'investigation policière, la police peuvent ordonner des recherches secrètes aux conditions suivantes: |
4.2.2. Zusätzliche Voraussetzung für die Anordnung einer verdeckten Fahndung ist, dass die bisherigen Ermittlungs- oder Untersuchungshandlungen erfolglos geblieben sind oder die Ermittlungen sonst aussichtslos wären oder unverhältnismässig erschwert würden (Art. 298b Abs. 1 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 298b Conditions - 1 Le ministère public et, pendant l'investigation policière, la police peuvent ordonner des recherches secrètes aux conditions suivantes: |
4.2.3. Für die Stellung, Aufgaben und Pflichten verdeckter Fahnderinnen und Fahnder gelten Art. 292 ff

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 292 Obligations de l'agent infiltré - 1 L'agent infiltré accomplit sa mission en se conformant aux instructions. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 298c Qualités requises de l'agent affecté aux recherches secrètes et modalités d'exécution - 1 L'art. 287 s'applique par analogie aux qualités requises de l'agent affecté aux recherches secrètes. Il est exclu d'affecter des personnes au sens de l'art. 287, al. 1, let. b, à des recherches secrètes. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 293 Étendue de l'intervention - 1 Il est interdit à un agent infiltré d'encourager un tiers à commettre des infractions de manière générale ou de l'inciter à commettre des infractions plus graves. Son intervention doit se limiter à la concrétisation d'une décision existante de passer à l'acte. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 293 Étendue de l'intervention - 1 Il est interdit à un agent infiltré d'encourager un tiers à commettre des infractions de manière générale ou de l'inciter à commettre des infractions plus graves. Son intervention doit se limiter à la concrétisation d'une décision existante de passer à l'acte. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 293 Étendue de l'intervention - 1 Il est interdit à un agent infiltré d'encourager un tiers à commettre des infractions de manière générale ou de l'inciter à commettre des infractions plus graves. Son intervention doit se limiter à la concrétisation d'une décision existante de passer à l'acte. |
Von einer unzulässigen Anstiftung oder Provokation ist auszugehen, wenn sich die beteiligten Beamtinnen und Beamten nicht darauf beschränken, kriminelle Handlungen in einer im Wesentlichen passiven Weise zu untersuchen, sondern einen solchen Einfluss auf die beschuldigte Person ausüben, dass diese zur Begehung einer Straftat verleitet wird, die sie andernfalls nicht begangen hätte (Urteil 7B 247/2022 vom 12. September 2023 E. 3.6.2; Urteil des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte [EGMR] Akbay und andere gegen Deutschland vom 15. Oktober 2020, Nr. 40495/15, § 112; je mit Hinweisen). Für die Frage, ob die Ermittlungen im Wesentlichen passiv waren, ist entscheidend, ob ein objektiver Verdacht bestand, wonach die betroffene Person in kriminelle Aktivitäten verwickelt war oder die Neigung hatte, eine Straftat zu begehen. Je nach Umständen des Einzelfalls kann im Bereich des Betäubungsmittelhandels die nachweisliche Vertrautheit mit den aktuellen Drogenpreisen und die Fähigkeit, kurzfristig Drogen zu beschaffen, als Indiz für eine bereits bestehende kriminelle Tätigkeit oder Absicht angesehen werden (Urteil des EGMR Akbay und andere gegen Deutschland, a.a.O., § 114 f. mit Hinweisen). Die Ermittlungsbehörden sind unter anderem
dann nicht mehr passiv, wenn sie von sich aus Kontakt zur beschuldigten Person aufnehmen, ihr Angebot trotz einer anfänglichen Ablehnung seitens der beschuldigten Person erneuern oder darauf beharren, wenn sie die beschuldigte Person mit Preisen, die den Marktwert übersteigen, ködern oder wenn sie durch Vorspiegelung von Entzugserscheinungen deren Mitleid erregen (Urteil 7B 247/2022 vom 12. September 2023 E. 3.6.2; Urteil des EGMR Akbay und andere gegen Deutschland, a.a.O., § 116; je mit Hinweisen).
4.3.
4.3.1. Was den Anfangsverdacht betrifft, so stützte sich die Polizei vorliegend auf eine vertrauliche Quelle, wonach über die Mobiltelefonnummer, welche später dem Beschwerdeführer zugeordnet wurde, Methamphetamin verkauft werde. Solche in einem Polizeibericht enthaltenen Informationen, deren Herkunft etwa zum Schutz der Identität von Informanten nicht preisgegeben wird, können zur Begründung des Tatverdachts verwendet werden, wenn sie angesichts der die Untersuchung begleitenden Umstände objektiv plausibel erscheinen. Dies trifft zumindest zu Beginn der Untersuchung zu, wenn noch wenig genaue Verdachtsmomente genügen können (BGE 142 IV 289 E. 2.2.1 und 2.2.3; Urteil 1B 49/2022 vom 29. August 2022 E. 3.1 und 3.4).
Weshalb es den polizeilichen Erkenntnissen an der nötigen Plausibilität mangeln sollte, tut der Beschwerdeführer nicht dar und ist auch nicht ersichtlich. Seine Behauptung, es fehlten aktenkundige Belege wie Polizeiberichte oder dergleichen, widerlegt er anschliessend gleich selber, indem er aus der Verfügung der Polizei vom 30. Juni 2020 zitiert (vgl. act. D1/6/1-4) Die Ausgangslage wird zudem auch im Polizeirapport vom 2. Juli 2020 (act. D1/1) dokumentiert. Die verfügbaren Informationen bezogen sich auf laufende und vergangene mutmassliche Straftaten. Dass sich abgesehen vom Verkauf an den verdeckten Fahnder keine weiteren Veräusserungshandlungen erstellen liessen, ist für den Anfangsverdacht irrelevant. Mithin reichten in diesem frühen Verfahrensstadium die relativ vagen Informationen der Polizei zur Begründung eines hinreichenden Tatverdachts (Art. 197 Abs. 1 lit. b

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 197 Principes - 1 Les mesures de contrainte ne peuvent être prises qu'aux conditions suivantes: |
4.3.2. Betreffend Subsidiarität der verdeckten Fahndung kann sodann der Vorinstanz gefolgt werden, wenn sie ausführt, ohne die Fahndung wären die Ermittlungen aussichtslos gewesen oder zumindest unverhältnismässig erschwert worden. Insbesondere war der Polizei anfänglich weder der tatsächliche Nutzer der fraglichen Telefonnummer noch die Örtlichkeiten des mutmasslichen Drogenhandels bekannt. Weniger schwere und hinreichend effektive Zwangsmassnahmen standen in diesem Verfahrensstadium, entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers, nicht zur Verfügung:
Observation (Art. 282 f

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 282 Conditions - 1 Le ministère public et, pendant l'investigation policière, la police peuvent observer secrètement des personnes et des choses dans des lieux librement accessibles et effectuer des enregistrements audio et vidéo aux conditions suivantes: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 269 Conditions - 1 Le ministère public peut ordonner la surveillance de la correspondance par poste et télécommunication aux conditions suivantes: |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 272 Régime de l'autorisation et autorisation-cadre - 1 La surveillance de la correspondance par poste et télécommunication est soumise à l'autorisation du tribunal des mesures de contrainte. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 273 Identification des usagers, localisation et caractéristiques techniques de la correspondance - 1 Lorsque de graves soupçons laissent présumer qu'un crime ou un délit a été commis et que les conditions visées à l'art. 269, al. 1, let. b et c, sont remplies, le ministère public peut exiger que lui soient fournies:193 |
Voraussetzungen eine gewisse Zeit lang verdeckt operieren zu können, weshalb auch der Hinweis des Beschwerdeführers auf die im Anschluss an seine Identifikation bestehende Möglichkeit einer Befragung oder einer Hausdurchsuchung unbehelflich ist. Schliesslich bedarf es entgegen der Auffassung des Beschwerdeführers keines Nachweises erfolgloser Ermittlungshandlungen. Es ist zulässig, die Erfolglosigkeit bereits im Voraus zu antizipieren.
4.3.3. Die Voraussetzungen für die Anordnung einer verdeckten Fahndung nach Art. 298b Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 298b Conditions - 1 Le ministère public et, pendant l'investigation policière, la police peuvent ordonner des recherches secrètes aux conditions suivantes: |
4.4. Zu prüfen ist weiter, ob sich der verdeckte Fahnder rollenadäquat verhalten und das Mass der zulässigen Einwirkung gewahrt hat.
4.4.1. Die Vorinstanz gibt den Austausch des verdeckten Fahnders mit dem Beschwerdeführer anhand der aktenkundigen WhatsApp-Chatprotokolle wie folgt wieder: Am 30. Juni 2020 um 23.27 Uhr nahm der verdeckte Fahnder mit dem Beschwerdeführer Kontakt auf und fragte nach einem Treffen. Bereits zwei Minuten nach der Kontaktaufnahme schlug der Beschwerdeführer ein Treffen "jetzt schnell" vor. Der Fahnder erklärte, er habe jetzt gerade keine Zeit, und fragte, ob der Beschwerdeführer am Folgetag auch in Zürich sei. Darauf gab dieser dem Fahnder eine andere Telefonnummer an. Der Fahnder kontaktierte den Beschwerdeführer unverzüglich über diese Nummer und meinte, er suche "roti". Der Beschwerdeführer erwiderte "erst innere Monat; jetzt hani c". Auf die Frage nach dem Preis erklärte er "100g 90.-; schüst 120.-". Der Fahnder fragte "5/600 auso?", worauf der Beschwerdeführer erneut ein Treffen jetzt gleich vorschlug. Nachdem der Fahnder abgelehnt hatte, erklärte der Beschwerdeführer, er rufe ihn am Folgetag an. All dies geschah innert insgesamt 20 Minuten. Am 1. Juli 2020 sandte der Beschwerdeführer dem verdeckten Fahnder dann (wieder über die erste verwendete Telefonnummer) seinen Standort.
4.4.2. Wie sich zeigt, ging die initiale Kontaktaufnahme vom verdeckten Fahnder aus. Konkret lautete die entsprechende Nachricht "hey da ish C.________. ha dini nr. vo D.________ becho. kömer mal trefe?". Der Beschwerdeführer antwortete sogleich und fragte, wer "D.________" sei und ob "C.________" in Zürich sei. Sie könnten sich "jetzt schnell" bzw. "jetzt grad" treffen (Untersuchungsakten act. 27). Zwar geht der EGMR davon aus, dass die Ermittlungsbehörden nicht mehr passiv agieren, wenn sie von sich aus Kontakt zur beschuldigten Person aufnehmen (siehe E. 4.2.3 oben). Einzig deshalb ist jedoch nicht von einer unzulässigen Einwirkung auszugehen (vgl. Urteil des EGMR Ramanauskas gegen Littauen vom 5. Februar 2008, Nr. 74420/01, § 67, wo mehrere Umstände in Kombination für die Annahme einer unzulässigen Tatprovokation ausschlaggebend waren). In irgendeiner Form muss der Fahnder mit der Zielperson in Kontakt treten können, ansonsten die verdeckte Fahndung in den meisten Fällen zwecklos und letztlich zu einer zahnlosen Massnahme verkommen würde. Der erste Kontakt beschränkte sich vorliegend auf die Frage nach einem Treffen. Der verdeckte Fahnder erkundigte sich erst nach "Roten" und damit nach Drogen, nachdem der Beschwerdeführer
sich sehr rasch, nämlich innert zwei Minuten nach Eingang der ersten Nachricht, zu einer Verabredung mit dem ihm unbekannten "C.________" bereit erklärt hatte. Unter diesen Umständen kann nicht gesagt werden, der Fahnder habe in unzulässiger Weise Tatbereitschaft beim Beschwerdeführer geweckt. Dieser hatte eine solche bereits signalisiert. Indem sich der Fahnder etwas präziser nach "Roten" erkundigte, tat er weiter einzig, was in dieser Situation dem rollenadäquaten Verhalten eines Interessenten am Kauf von Betäubungsmitteln entspricht. Der Beschwerdeführer hatte keine "Roten", meinte aber von sich aus, er habe "c". Auch hier zeigt sich, dass er ohne unzulässige Beeinflussung seitens der Ermittler zum Verkauf bestimmter Betäubungsmittel bereit war. Er hatte diese zudem verkaufsfertig bei sich zu Hause und konnte sie sofort liefern, was ebenfalls für die bereits vorhandene Tatbereitschaft spricht.
Davon abgesehen trifft es entgegen der Darstellung des Beschwerdeführers auch nicht zu, dass der verdeckte Fahnder unerlaubterweise nach Mehrmengen verlangt hätte. Vielmehr gab der Beschwerdeführer auf Frage nach dem Preis "90.-" an, was sich auf eine Menge von 100 Gramm bezog. Der Fahnder frage "chöntsh 6/500 mache?" - gemeint also, ob er sechs Gramm für Fr. 500.-- bekommen könne -, was der Beschwerdeführer ablehnte. Schlussendlich kam der Kauf über fünf Gramm für Fr. 600.-- zustande (Untersuchungsakten act. 27). Inwiefern der verdeckte Fahnder den Beschwerdeführer über dessen Tatbereitschaft hinaus zum Verkauf grösserer Mengen angestiftet haben soll, ist nicht ersichtlich.
Alles in allem bewegten sich die Einwirkungshandlungen des verdeckten Fahnders im von Art. 293 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 293 Étendue de l'intervention - 1 Il est interdit à un agent infiltré d'encourager un tiers à commettre des infractions de manière générale ou de l'inciter à commettre des infractions plus graves. Son intervention doit se limiter à la concrétisation d'une décision existante de passer à l'acte. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 293 Étendue de l'intervention - 1 Il est interdit à un agent infiltré d'encourager un tiers à commettre des infractions de manière générale ou de l'inciter à commettre des infractions plus graves. Son intervention doit se limiter à la concrétisation d'une décision existante de passer à l'acte. |
5.
5.1. Im Weiteren rügt der Beschwerdeführer eine Verletzung des Grundsatzes "ne bis in idem". Er sei vom Obergericht des Kantons Bern am 4. Dezember 2018 wegen des Erwerbs von mindestens 1'579 Gramm und des Verkaufs von 787.35 Gramm Metamphetamin verurteilt worden. Gleichzeitig sei er wegen Erwerbs und Besitzes einer weiteren unbestimmten Menge Metamphetamin verurteilt worden. Davon seien lediglich 500 Gramm beschlagnahmt worden. Ein unbestimmter Teil des Metamphetamins sei nicht gefunden worden, weil er es nach wie vor in seinem Estrich unter einem Ziegelstein versteckt gehabt habe. Bei den anlässlich der Hausdurchsuchung im vorliegenden Verfahren gefundenen Drogen handle es sich um ebendieses Metamphetamin. Für dessen ununterbrochenen Besitz sei er demnach bereits rechtskräftig verurteilt worden.
5.2. Der Grundsatz "ne bis in idem" ist in Art. 11 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 11 Interdiction de la double poursuite - 1 Aucune personne condamnée ou acquittée en Suisse par un jugement entré en force ne peut être poursuivie une nouvelle fois pour la même infraction. |
5.3. In der Wohnung des Beschwerdeführers in Zürich wurden in einem Tresor 552 Gramm Methamphetamin mit einem Reinheitsgrad von 99 %, abgepackt in 55 Minigrip-Säcklein und diese verteilt in sechs Knittersäcken, sichergestellt. Gemäss den tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz hatte der Beschwerdeführer die Drogen zuvor von Bern nach Zürich gebracht, um sie - was bestritten ist - gewinnbringend zu verkaufen.
Wie die Vorinstanz zutreffend erwägt, handelt es sich beim Besitz von Betäubungsmitteln um ein Dauerdelikt (Urteil 6S.804/1997 vom 6. November 1998 E. 3; SCHLEGEL/JUCKER, BetmG Kommentar, 4. Aufl. 2022, N. 75 zu Art. 19

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |
Nach dieser Rechtsprechung verletzt die Vorinstanz den Grundsatz "ne bis in idem" nicht, indem sie den Besitz von Metamphetamin für die Zeit ab dem 4. Dezember 2018 erneut sanktioniert, konnte dieser doch noch gar nicht Gegenstand des damaligen Urteils des Obergerichts des Kantons Bern gewesen sein. Dieses entfaltete insoweit keine Sperrwirkung. Die Vorinstanz weist ferner zu Recht darauf hin, dass bei gegenteiliger Beurteilung der forgesetzte Drogenbesitz nach Verbüssung der Strafe für den früheren Besitz bis auf Weiteres straffrei wäre, was nicht angehen könne.
Bei diesem Ergebnis kann mit der Vorinstanz offengelassen werden, ob es sich beim im vorliegenden Verfahren sichergestellten Metamphetamin um exakt dasjenige handelt, welches bereits Gegenstand der früheren Verurteilung war.
6.
6.1. In seinem Eventualstandpunkt bestreitet der Beschwerdeführer, Anstalten zum Verkauf des sichergestellten Metamphetamins getroffen zu haben. Die Tathandlung des "Abpackens" allein reiche für eine entsprechende Annahme nicht aus, fehle es ihr doch an der nötigen Planmässigkeit. Es hätten auch keine potenziellen Abnehmer festgestellt werden können. Entsprechend hätten seine Handlungen auch nicht die Gesundheit vieler Menschen in Gefahr bringen können.
6.2. Im Zuge dieser Ausführungen verlangt der Beschwerdeführer, vom Vorwurf des Anstaltentreffens zum Verkauf freigesprochen zu werden. Wegen Vorbereitungshandlungen im Sinne von Art. 19 Abs. 1 lit. g

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif57. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.58 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
6.3. Soweit der Beschwerdeführer mit seinen Ausführungen das Vorliegen einer qualifizierten Tatbegehung (Art. 19 Abs. 2 lit. a

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |
6.3.1. Ein schwerer Fall nach Art. 19 Abs. 2 lit. a

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |
6.3.2. Die Vorinstanz führt weiter aus, Methamphetamin werde notorisch tief dosiert. Dass er die Drogenmengen zum Eigenkonsum besessen habe, mache der Beschwerdeführer zudem nicht geltend. Er und B.________ hätten die Betäubungsmittel handelsüblich portioniert. Auf eine kürzeste WhatsApp-Kommunikation hin habe der Beschwerdeführer dem ihm fremden, unbekannten Fahnder sechs (recte: fünf) Gramm davon verkauft. Er und B.________ wären auch bereit gewesen, dem Fahnder mehr zu verkaufen, wenn er mit dem Taxi an den Wohnort der beiden mitgefahren wäre. All dies zeige, dass die grosse Gefahr bestanden habe, dass die Drogen an einen unbestimmt grossen Abnehmerkreis gelangen und damit die Gesundheit vieler Menschen gefährden würden.
6.3.3. Die vorinstanzlichen Ausführungen stehen im Einklang mit der bundesgerichtlichen Rechtsprechung. Dieser zufolge gelangt Art. 19 Abs. 2 lit. a

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
7.
7.1. Wegen Besitzes von einem Gramm Kokain erklärt die Vorinstanz den Beschwerdeführer der Übertretung nach Art. 19a Ziff. 1

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19a - 1. Quiconque, sans droit, consomme intentionnellement des stupéfiants ou commet une infraction à l'art. 19 pour assurer sa propre consommation est passible d'une amende. |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19a - 1. Quiconque, sans droit, consomme intentionnellement des stupéfiants ou commet une infraction à l'art. 19 pour assurer sa propre consommation est passible d'une amende. |
7.2. Wer unbefugt Betäubungsmittel vorsätzlich konsumiert oder wer zum eigenen Konsum eine Widerhandlung im Sinne von Art. 19

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19 - 1 Est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire: |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19a - 1. Quiconque, sans droit, consomme intentionnellement des stupéfiants ou commet une infraction à l'art. 19 pour assurer sa propre consommation est passible d'une amende. |

SR 812.121 Loi fédérale du 3 octobre 1951 sur les stupéfiants et les substances psychotropes (Loi sur les stupéfiants, LStup) - Loi sur les stupéfiants LStup Art. 19a - 1. Quiconque, sans droit, consomme intentionnellement des stupéfiants ou commet une infraction à l'art. 19 pour assurer sa propre consommation est passible d'une amende. |
7.3. Aufgrund der Angaben des Beschwerdeführers gegenüber der Staatsanwaltschaft geht die Vorinstanz davon aus, dass er mehrfach Kokain konsumiert hat. Dies stellt er vor Bundesgericht nicht in Abrede. Ausserdem berücksichtigt die Vorinstanz die einschlägigen Vorstrafen. Wenn sie angesichts dieser wiederholten Konsumhandlungen einen leichten Fall verneint, bewegt sie sich im Rahmen ihres Ermessensspielraums.
8.
Der Beschwerdeführer kritisiert die Strafzumessung.
8.1. Dabei bringt er zunächst vor, die Vorinstanz verweise in unzulässiger Weise auf die Erstinstanz, ohne eine eigene Strafzumessung vorzunehmen, und verletze dadurch ihre Begründungspflicht.
8.1.1. Nach Art. 50

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 50 - Si le jugement doit être motivé, le juge indique dans les motifs les circonstances pertinentes pour la fixation de la peine et leur importance. |
8.1.2. Diesen Vorgaben kommt die Vorinstanz nach. Dass sie wiederholt die Überlegungen der Erstinstanz aufgreift, schadet nicht, denn sie beschränkt sich nicht auf blosse Verweise (Art. 82 Abs. 4

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 82 Restrictions à l'obligation de motiver - 1 Le tribunal de première instance renonce à une motivation écrite du jugement aux conditions suivantes: |
8.2. Im Anschluss nennt der Beschwerdeführer eine Reihe von Strafzumessungsfaktoren, welche die Vorinstanz seiner Meinung nach falsch gewürdigt hat.
8.2.1. Dem Sachgericht steht bei der Gewichtung der verschiedenen Strafzumessungsfaktoren (siehe Art. 47

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
8.2.2. Die dargestellten Grundsätze verkennt der Beschwerdeführer, wenn er die Gewichtung einzelner Strafzumessungsfaktoren beanstandet. Dies gilt etwa dort, wo er geltend macht, bei der Menge von 547 Gramm reinem Methamphetamin handle es sich um einen "mengenmässig kleinen Fall", Besitz sei weniger schwer zu gewichten als Handel und Produktion und er habe nicht in einer kriminellen Organisation gewirkt. Dabei übergeht er insbesondere die vorinstanzlichen Ausführungen, wonach die Schwelle zu einem mengenmässig qualifizierten Fall um ein "Zigfaches" überschritten worden sei, die Drogen verkaufsfertig portioniert gewesen seien und der Beschwerdeführer zusammen mit B.________ quasi ein Kleinunternehmen betrieben habe, ohne eigentliche Vertriebsorganisation, aber mit Autonomie und eigenem Geschäftsinteresse. Soweit der Beschwerdeführer an dieser Stelle erneut bestreitet, vorgehabt zu haben, die Betäubungsmittel zu verkaufen, wird auf E. 6.3.3 oben verwiesen. Weshalb die vorinstanzliche Bewertung des objektiven Verschuldens als "nicht mehr leicht" und die daraus resultierende Einsatzstrafe von 36 Monaten in einem Rechtsfehler gründen sollten, ist mit seinen Vorbringen insgesamt nicht dargetan.
8.2.3. Fast wie ein roter Faden zieht sich sodann das Argument durch die Vorbringen des Beschwerdeführers, dass der verdeckte Fahnder das Mass der zulässigen Einwirkung deutlich überschritten habe, was einen obligatorischen Strafmilderungsgrund darstelle. Wie bereits dargelegt (siehe E. 4.4 oben), bewegte sich der verdeckte Fahnder im Rahmen des Zulässigen, womit diesem Argument die Grundlage entzogen ist und die sog. "Strafzumessungslösung" nach Art. 293 Abs. 4

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 293 - 1 Quiconque livre à la publicité tout ou partie des actes, d'une instruction ou des débats d'une autorité qui sont secrets en vertu de la loi ou d'une décision prise par l'autorité conformément à la loi est puni d'une amende.436 |
|
1 | Quiconque livre à la publicité tout ou partie des actes, d'une instruction ou des débats d'une autorité qui sont secrets en vertu de la loi ou d'une décision prise par l'autorité conformément à la loi est puni d'une amende.436 |
2 | La complicité est punissable. |
3 | L'acte n'est pas punissable si aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'opposait à la publication.437 |
8.2.4. Die Vorinstanz zeigt weiter schlüssig auf, warum das Teilgeständnis des Beschwerdeführers nicht strafmindernd zu berücksichtigen ist. Wenn der Beschwerdeführer ohne Auseinandersetzung mit diesen Erwägungen das Gegenteil behauptet respektive seine Verkaufsabsichten gar vor Bundesgericht ohne substanziierte Willkürrüge unverändert bestreitet, ist darauf nicht weiter einzugehen (Art. 42 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
8.2.5. Ebenso wenig stellt die familiäre Situation des Beschwerdeführers, konkret der Umstand, dass er Vater von mehreren Kindern ist, mangels aussergewöhnlicher Umstände einen zwingenden Strafminderungsgrund dar (vgl. Urteil 6B 687/2016 vom 12. Juli 2017 E. 1.5.3 mit Hinweisen).
8.2.6. Grundsätzlich nicht zu beanstanden ist weiter, dass die Vorinstanz aufgrund der vier, teils einschlägigen Vorstrafen eine Straferhöhung vornimmt (BGE 136 IV 1 E. 2.6.2; 121 IV 3 E. 1c/dd; je mit Hinweisen). Zu beachten ist allerdings, dass das Gericht die Vorstrafen nicht wie eigenständige Delikte würdigen darf, weil das auf eine Doppelbestrafung hinausliefe (Urteile 7B 255/2022 vom 28. September 2023 E. 4.3.3; 6B 1168/2020 vom 11. Oktober 2022 E. 2.3.2; je mit Hinweisen). Es muss im Einzelfall prüfen, inwieweit und unter welchen Voraussetzungen Vorstrafen Anlass zu einer Straferhöhung geben (Urteil 6B 325/2013 vom 13. Juni 2013 E. 3.2.3).
Laut den vorinstanzlichen Ausführungen resultierten zwei von vier Vorstrafen aus einschlägigen Betäubungsmitteldelikten. Im Jahr 2011 wurde der Beschwerdeführer unter anderem wegen einer qualifizierten Widerhandlung gegen das BetmG zu einer unbedingten Freiheitsstrafe von 33 Monaten und im Jahr 2018 aus demselben Grund zu einer unbedingten Freiheitsstrafe von 73 Monaten verurteilt. Die Vorinstanz führt dazu aus, die beiden einschlägigen und schwerwiegenden Vorstrafen müssten stark straferhöhend gewichtet werden. Zu Ungunsten des Beschwerdeführers falle dabei ins Gewicht, dass er im Juni 2020 und damit kurz nach seiner bedingten Entlassung aus einer langen Freiheitsstrafe im Januar 2020 während laufender Probezeit erneut einschlägig delinquiert habe. Demgegenüber sei zu berücksichtigen, dass er zu Beginn eines pandemiebedingten Lockdowns entlassen worden sei, was die ohnehin schwierige Phase des Wiedereinstiegs in das Arbeitsleben zusätzlich erschwert habe. Auch die bevorstehende erneute Vaterschaft habe den Beschwerdeführer in nachvollziehbarer Weise herausgefordert. Trotz dieser Schwierigkeiten habe er eine Arbeitsstelle gefunden, was insgesamt zu einer Abschwächung der Straferhöhung von 50 auf 40 %, ausmachend 14.5 Monate,
führe.
Damit begründet die Vorinstanz den vorstrafenbedingten Zuschlag schlüssig. Indem sie (nur schon) aufgrund der einschlägigen Vorstrafen von insgesamt 106 Monaten Freiheitsstrafe auf einen Zuschlag von 14.5 Monaten erkennt, nimmt sie auch keine unzulässige Doppelbestrafung vor. Der Vorstrafenzuschlag erweist sich als rechtskonform.
8.2.7. Schliesslich ist auch nicht ersichtlich, weshalb der Umstand, dass die sichergestellten Betäubungsmittel womöglich bereits Gegenstand eines früheren Strafurteils gegen den Beschwerdeführer bildeten, zu einer Strafminderung führen müsste. Zur Begründung wird auf E. 5 oben verwiesen.
8.2.8. Die Rügen zur Strafzumessung sind allesamt unbegründet, soweit darauf überhaupt eingetreten werden kann.
9.
9.1. Der Beschwerdeführer wehrt sich zusätzlich gegen die Rückversetzung in den Strafvollzug. Er argumentiert, spezialpräventive Gründe würden dagegen sprechen. Die begonnene Eingliederung in den Arbeitsmarkt würde damit zunichte gemacht. Ausserdem sei er gewillt, seinen Kindern ein guter Vater zu sein, was ihn von weiteren Straftaten abhalten werde. Drogen konsumiere er seit Jahren keine mehr. Sowohl in beruflicher als auch familiärer Hinsicht sei sein Umfeld stabil.
9.2. Begeht der bedingt Entlassene während der Probezeit ein Verbrechen oder Vergehen, so ordnet das für die Beurteilung der neuen Tat zuständige Gericht die Rückversetzung an (Art. 89 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 89 - 1 Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
|
1 | Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
2 | Si, malgré le crime ou le délit commis pendant le délai d'épreuve, il n'y a pas lieu de craindre que le condamné ne commette de nouvelles infractions, le juge renonce à la réintégration. Il peut adresser un avertissement au condamné et prolonger le délai d'épreuve de la moitié au plus de la durée fixée à l'origine par l'autorité compétente. Si la prolongation intervient après l'expiration du délai d'épreuve, elle court dès le jour où elle est ordonnée. Les dispositions sur l'assistance de probation et sur les règles de conduite (art. 93 à 95) sont applicables. |
3 | L'art. 95, al. 3 à 5, est applicable si la personne libérée conditionnellement se soustrait à l'assistance de probation ou si elle viole les règles de conduite. |
4 | La réintégration ne peut plus être ordonnée lorsque trois ans se sont écoulés depuis l'expiration du délai d'épreuve. |
5 | La détention avant jugement que l'auteur a subie pendant la procédure de réintégration doit être imputée sur le solde de la peine. |
7 | Si le solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration entre en concours avec une des mesures prévues aux art. 59 à 61, l'art. 57, al. 2 et 3, est applicable. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 93 - 1 L'assistance de probation doit préserver les personnes prises en charge de la commission de nouvelles infractions, et favoriser leur intégration sociale. L'autorité chargée de l'assistance de probation apporte l'aide nécessaire directement ou en collaboration avec d'autres spécialistes. |
|
1 | L'assistance de probation doit préserver les personnes prises en charge de la commission de nouvelles infractions, et favoriser leur intégration sociale. L'autorité chargée de l'assistance de probation apporte l'aide nécessaire directement ou en collaboration avec d'autres spécialistes. |
2 | Les collaborateurs des services d'assistance de probation doivent garder le secret sur leurs constatations. Ils ne peuvent communiquer à des tiers des renseignements sur la situation personnelle de la personne prise en charge qu'avec le consentement écrit de celle-ci ou de l'autorité chargée de l'assistance de probation. |
3 | Les autorités de l'administration pénale peuvent demander à l'autorité chargée de l'assistance de probation un rapport sur la personne prise en charge. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 95 - 1 Avant de statuer sur l'assistance de probation ou les règles de conduite, le juge et l'autorité d'exécution peuvent demander un rapport à l'autorité chargée de l'assistance de probation, du contrôle des règles de conduite ou de l'exécution de l'interdiction d'exercer une activité, de l'interdiction de contact ou de l'interdiction géographique.138 La personne concernée peut prendre position sur ce rapport. Les avis divergents doivent y être mentionnés. |
|
1 | Avant de statuer sur l'assistance de probation ou les règles de conduite, le juge et l'autorité d'exécution peuvent demander un rapport à l'autorité chargée de l'assistance de probation, du contrôle des règles de conduite ou de l'exécution de l'interdiction d'exercer une activité, de l'interdiction de contact ou de l'interdiction géographique.138 La personne concernée peut prendre position sur ce rapport. Les avis divergents doivent y être mentionnés. |
2 | Le jugement ou la décision doit fixer et motiver les dispositions sur l'assistance de probation et les règles de conduite. |
3 | Si le condamné se soustrait à l'assistance de probation, s'il viole les règles de conduite ou si l'assistance de probation ou les règles de conduite ne peuvent pas être exécutées ou ne sont plus nécessaires, l'autorité compétente présente un rapport au juge ou à l'autorité d'exécution.139 |
4 | Dans les cas prévus à l'al. 3, le juge ou l'autorité d'exécution peut: |
a | prolonger le délai d'épreuve jusqu'à concurrence de la moitié de sa durée; |
b | lever l'assistance de probation ou en ordonner une nouvelle; |
c | modifier les règles de conduite, les révoquer ou en imposer de nouvelles. |
5 | Dans les cas prévus à l'al. 3, le juge peut aussi révoquer le sursis ou ordonner la réintégration dans l'exécution de la peine ou de la mesure s'il est sérieusement à craindre que le condamné ne commette de nouvelles infractions. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 89 - 1 Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
|
1 | Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
2 | Si, malgré le crime ou le délit commis pendant le délai d'épreuve, il n'y a pas lieu de craindre que le condamné ne commette de nouvelles infractions, le juge renonce à la réintégration. Il peut adresser un avertissement au condamné et prolonger le délai d'épreuve de la moitié au plus de la durée fixée à l'origine par l'autorité compétente. Si la prolongation intervient après l'expiration du délai d'épreuve, elle court dès le jour où elle est ordonnée. Les dispositions sur l'assistance de probation et sur les règles de conduite (art. 93 à 95) sont applicables. |
3 | L'art. 95, al. 3 à 5, est applicable si la personne libérée conditionnellement se soustrait à l'assistance de probation ou si elle viole les règles de conduite. |
4 | La réintégration ne peut plus être ordonnée lorsque trois ans se sont écoulés depuis l'expiration du délai d'épreuve. |
5 | La détention avant jugement que l'auteur a subie pendant la procédure de réintégration doit être imputée sur le solde de la peine. |
7 | Si le solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration entre en concours avec une des mesures prévues aux art. 59 à 61, l'art. 57, al. 2 et 3, est applicable. |
Ein während der Probezeit begangenes Verbrechen oder Vergehen führt demnach nicht zwingend zum Widerruf der bedingten Entlassung. Im Rahmen von Art. 89 Abs. 2

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 89 - 1 Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
|
1 | Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
2 | Si, malgré le crime ou le délit commis pendant le délai d'épreuve, il n'y a pas lieu de craindre que le condamné ne commette de nouvelles infractions, le juge renonce à la réintégration. Il peut adresser un avertissement au condamné et prolonger le délai d'épreuve de la moitié au plus de la durée fixée à l'origine par l'autorité compétente. Si la prolongation intervient après l'expiration du délai d'épreuve, elle court dès le jour où elle est ordonnée. Les dispositions sur l'assistance de probation et sur les règles de conduite (art. 93 à 95) sont applicables. |
3 | L'art. 95, al. 3 à 5, est applicable si la personne libérée conditionnellement se soustrait à l'assistance de probation ou si elle viole les règles de conduite. |
4 | La réintégration ne peut plus être ordonnée lorsque trois ans se sont écoulés depuis l'expiration du délai d'épreuve. |
5 | La détention avant jugement que l'auteur a subie pendant la procédure de réintégration doit être imputée sur le solde de la peine. |
7 | Si le solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration entre en concours avec une des mesures prévues aux art. 59 à 61, l'art. 57, al. 2 et 3, est applicable. |
Für die prognostische Bewertung der weiteren Straftaten (Art. 89 Abs. 2

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 89 - 1 Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
|
1 | Si, durant le délai d'épreuve, le détenu libéré conditionnellement commet un crime ou un délit, le juge qui connaît de la nouvelle infraction ordonne sa réintégration dans l'établissement. |
2 | Si, malgré le crime ou le délit commis pendant le délai d'épreuve, il n'y a pas lieu de craindre que le condamné ne commette de nouvelles infractions, le juge renonce à la réintégration. Il peut adresser un avertissement au condamné et prolonger le délai d'épreuve de la moitié au plus de la durée fixée à l'origine par l'autorité compétente. Si la prolongation intervient après l'expiration du délai d'épreuve, elle court dès le jour où elle est ordonnée. Les dispositions sur l'assistance de probation et sur les règles de conduite (art. 93 à 95) sont applicables. |
3 | L'art. 95, al. 3 à 5, est applicable si la personne libérée conditionnellement se soustrait à l'assistance de probation ou si elle viole les règles de conduite. |
4 | La réintégration ne peut plus être ordonnée lorsque trois ans se sont écoulés depuis l'expiration du délai d'épreuve. |
5 | La détention avant jugement que l'auteur a subie pendant la procédure de réintégration doit être imputée sur le solde de la peine. |
7 | Si le solde de la peine devenu exécutoire en raison d'une décision de réintégration entre en concours avec une des mesures prévues aux art. 59 à 61, l'art. 57, al. 2 et 3, est applicable. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 42 - 1 Le juge suspend en règle générale l'exécution d'une peine pécuniaire ou d'une peine privative de liberté de deux ans au plus lorsqu'une peine ferme ne paraît pas nécessaire pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits.32 |
|
1 | Le juge suspend en règle générale l'exécution d'une peine pécuniaire ou d'une peine privative de liberté de deux ans au plus lorsqu'une peine ferme ne paraît pas nécessaire pour détourner l'auteur d'autres crimes ou délits.32 |
2 | Si, durant les cinq ans qui précèdent l'infraction, l'auteur a été condamné à une peine privative de liberté ferme ou avec sursis de plus de six mois, il ne peut y avoir de sursis à l'exécution de la peine qu'en cas de circonstances particulièrement favorables.33 |
3 | L'octroi du sursis peut également être refusé lorsque l'auteur a omis de réparer le dommage comme on pouvait raisonnablement l'attendre de lui. |
4 | Le juge peut prononcer, en plus d'une peine avec sursis, une amende conformément à l'art. 106.34 |
9.3. Die Vorinstanz hält fest, trotz vier, teils einschlägiger Vorstrafen in Form von mehrjährigen Freiheitsstrafen habe sich der Beschwerdeführer nicht davon abhalten lassen, kurz nach der bedingten Entlassung und während der Probezeit wieder einschlägig zu delinquieren. Es könne ihm deshalb keine günstige Prognose gestellt werden, weshalb die bedingte Entlassung zu widerrufen sei.
9.4. Indem die Vorinstanz das Fehlen einer günstigen Prognose genügen lässt, wendet sie einen zu strengen Massstab an. Auch unterlässt sie es an dieser Stelle, eine Gesamtwürdigung der persönlichen Situation des Beschwerdeführers und seiner Persönlichkeit vorzunehmen. Dies führt jedoch nicht zur Gutheissung der Beschwerde in diesem Punkt.
Zunächst ist anzumerken, dass die Kritik des Beschwerdeführers weitgehend in Form eines freien Plädoyers zur Sache verfasst ist, wie es vor Bundesgericht nicht zulässig ist. Insbesondere beruft er sich teils auf Sachverhaltselemente, welche von der Vorinstanz nicht festgestellt werden, so etwa seine langjährige Drogenabstinenz. Derartige Vorbringen sind vor Bundesgericht unbeachtlich.
Soweit die Argumente des Beschwerdeführers im vorinstanzlich festgestellten Sachverhalt eine Stütze finden, erlauben sie das Stellen einer positiven Prognose nicht. Es ist im Gegenteil von einer eigentlichen Schlechtprognose auszugehen. Hauptgrund dafür ist die von der Vorinstanz erwähnte hartnäckige und schwerwiegende Delinquenz im Betäubungsmittelbereich. Daran, dass der Beschwerdeführer dieser nun definitiv abgeschworen haben will, bestehen gewichtige Zweifel. Wie dem angefochtenen Urteil entnommen werden kann, war er bereits zum Zeitpunkt seiner früheren deliktischen Tätigkeit verheiratet und hatte mit seiner damaligen Ehefrau zwei Kinder. Auch hatte er verschiedene, wenn auch temporäre Arbeitsstellen. Weder die familiäre noch die berufliche Situation vermochten ihn in der Vergangenheit somit vom illegalen Umgang mit Betäubungsmitteln abzuhalten. Warum dies heute anders sein sollte, ist nicht überzeugend dargetan. Vielmehr gab der Beschwerdeführer im vorliegenden Verfahren an, das Metamphetamin aufgrund finanzieller Sorgen aus seinem Versteck in Bern geholt zu haben. Seit Dezember 2022 ist er mit einem 50 %-Pensum als Logistiker angestellt, wobei er monatlich rund Fr. 1'500.-- verdient. Zudem wird er vom RAV und vom Sozialamt
unterstützt. Die finanzielle Situation des Beschwerdeführers ist somit nach wie vor angespannt. Es ist deshalb ernsthaft zu befürchten, dass er in Zukunft erneut versucht sein könnte, diesen Schwierigeiten mit dem Verkauf von Betäubungsmittel entgegenzuwirken. Im Ergebnis hat die Vorinstanz die Voraussetzungen für einen Widerruf der bedingten Entlassung somit zu Recht bejaht.
10.
Den Antrag auf Herausgabe des sichergestellten Bargeldes begründet der Beschwerdeführer nur mit den beantragten Freisprüchen. Nachdem die vorinstanzlichen Schuldsprüche im bundesgerichtlichen Verfahren Bestand haben, erübrigen sich weitere Ausführungen dazu.
11.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Dagegen ist das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung gutzuheissen, da die finanzielle Bedürftigkeit des Beschwerdeführers ausgewiesen und die Beschwerde nicht als aussichtslos zu bezeichnen ist. Es sind deshalb keine Gerichtskosten zu erheben und Rechtsanwalt Sadiku ist für das bundesgerichtliche Verfahren als unentgeltlicher Rechtsbeistand einzusetzen (Art. 64 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird gutgeheissen.
2.1. Rechtsanwalt Artan Sadiku wird als unentgeltlicher Rechtsvertreter ernannt und für das bundesgerichtliche Verfahren aus der Bundesgerichtskasse mit Fr. 3'000.-- entschädigt.
2.2. Es werden keine Gerichtskosten erhoben.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 26. August 2024
Im Namen der II. strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Abrecht
Die Gerichtsschreiberin: Lustenberger