Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 285/2021
Urteil vom 25. August 2021
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiber Hochuli.
Verfahrensbeteiligte
A.________, vertreten durch
syndicom Gewerkschaft Medien und Kommunikation,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle Bern, Scheibenstrasse 70, 3014 Bern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 1. März 2021 (200 20 536 IV).
Sachverhalt:
A.
A.a. A.________, geboren 1956, arbeitete als Post- bzw. Paketbote seit 1972 in der schweizerischen Post (Arbeitgeberin). Am 9. März 2005 meldete er sich erstmals bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an, indem er auf unfallbedingte, seit Januar 2004 anhaltende Kopf-, Halswirbelsäulen- und Rückenbeschwerden verwies. Nach dem Beizug der Akten der für die Folgen verschiedener Unfallereignisse zuständigen Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) verneinte die IV-Stelle Bern (nachfolgend: IV-Stelle oder Beschwerdegegnerin) einen Anspruch auf eine Invalidenrente (unangefochten in Rechtskraft erwachsene Verfügung vom 4. November 2005).
A.b. Am 24. Januar 2013 reichte A.________ ein neues Leistungsgesuch ein wegen anhaltender Beschwerden seit einem Skiunfall (Sturz auf die rechte Schulter) vom 10. März 2012. Die Arbeitgeberin löste das Arbeitsverhältnis wegen lang andauernder Arbeitsunfähigkeit im November 2014 per 31. März 2015 auf. Aufgrund des verbleibenden Gesundheitsschadens an der rechten Schulter bezieht A.________ von der Suva seit 1. Oktober 2014 eine Invalidenrente basierend auf einer unfallbedingten Erwerbseinbusse von 24% (Verfügung der Suva vom 9. September 2014, bestätigt mit Einspracheentscheid vom 14. November 2014). Gemäss Empfehlung des Regionalen Ärztlichen Dienstes (RAD) der Invalidenversicherung veranlasste die IV-Stelle eine umfassende Begutachtung. Die Medas Ostschweiz erstattete das polydisziplinäre Gutachten am 21. November 2014 (nachfolgend: Medas-Gutachten). Gestützt darauf sprach die IV-Stelle A.________ mit Verfügung vom 10. März 2016 rückwirkend eine abgestufte Invalidenrente wie folgt zu: ab 1. Juli 2013 eine ganze Rente (Invaliditätsgrad 70%), ab 1. Oktober 2014 eine Viertelsrente (Invaliditätsgrad 48%), ab 1. Mai 2015 eine ganze Rente (Invaliditätsgrad 100%) und ab 1. Dezember 2015 eine Viertelsrente (Invaliditätsgrad 48%).
A.c. Hiegegen beantragte A.________ beschwerdeweise zur Hauptsache, ihm sei ab 1. Juli 2013 eine ganze Invalidenrente zuzusprechen. Daraufhin hob die IV-Stelle die Verfügung vom 10. März 2016 noch vor Einreichung ihrer Beschwerdeantwort (lite pendente) wiedererwägungsweise auf mit der Begründung, es bedürfe weiterer Abklärungen. In der Folge schrieb das Verwaltungsgericht des Kantons Bern das Beschwerdeverfahren wegen Gegenstandslosigkeit ab (Urteil vom 20. Juni 2016).
Der Neuropsychologe lic. phil. B.________ erstellte sein Gutachten am 3. Januar 2017 (nachfolgend: neuropsychologisches Gutachten) und diagnostizierte einzig Aggravation bzw. Simulation. Nach einer weiteren umfassenden polydisziplinären Expertise erstattete das Universitätsspital C.________ das Gutachten am 9. November 2018 (nachfolgend: Asim-Gutachten). Anschliessend stellte die Invalidenversicherung die bis dahin ausgerichtete Viertelsrente per 31. Mai 2019 ein. Nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens verfügte die IV-Stelle über den Rentenanspruch am 4. Juni 2020 wie folgt: ab 1. Juli 2013 eine ganze Rente (Invaliditätsgrad 70%), ab 1. Februar 2015 eine Viertelsrente (Invaliditätsgrad 48%) und vom 1. Mai 2015 bis zum 30. November 2015 eine ganze Rente (Invaliditätsgrad 100%). Ab 1. Dezember 2015 verneinte die IV-Stelle einen Rentenanspruch bei einer Arbeitsfähigkeit von 100% in einer leidensangepassten Tätigkeit und einem Invaliditätsgrad von 25%. Gleichzeitig machte die IV-Stelle eine Rückforderung von zu Unrecht ausgerichteten Rentenleistungen im Gesamtumfang von Fr. 16'969.- geltend.
B.
Die gegen die Verfügung vom 4. Juni 2020 erhobene Beschwerde des A.________ wies das Verwaltungsgericht des Kantons Bern ab (Urteil vom 1. März 2021).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, ihm sei unter Aufhebung des angefochtenen Urteils ab 1. Februar 2015 eine ganze Invalidenrente zuzusprechen.
Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss den Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Die gerichtlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit bzw. zu deren Veränderung in einem bestimmten Zeitraum sowie der konkreten Beweiswürdigung betreffen für das Bundesgericht grundsätzlich verbindliche Tatfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2; Urteil 8C 542/2019 vom 4. Dezember 2019 E. 1.2 mit Hinweis).
1.3. Eine Sachverhaltsfeststellung ist nicht schon dann offensichtlich unrichtig, wenn sich Zweifel anmelden, sondern erst, wenn sie eindeutig und augenfällig unzutreffend ist. Es liegt noch keine offensichtliche Unrichtigkeit vor, nur weil eine andere Lösung ebenfalls in Betracht fällt, selbst wenn diese als die plausiblere erscheint. Diese Grundsätze gelten auch in Bezug auf die konkrete Beweiswürdigung; in diese greift das Bundesgericht auf Beschwerde hin nur bei Willkür ein, insbesondere wenn die Vorinstanz offensichtlich unhaltbare Schlüsse zieht, erhebliche Beweise übersieht oder solche grundlos ausser Acht lässt. Solche Mängel sind in der Beschwerde aufgrund des strengen Rügeprinzips (Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.
Streitig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie die von der IV-Stelle am 4. Juni 2020 verfügte abgestufte und befristete Invalidenrente sowie die gestützt darauf geltend gemachte Rückforderung von zu Unrecht ausgerichteten Rentenleistungen im Umfang von Fr. 16'969.- bestätigte.
3.
Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze über die Begriffe der Erwerbsunfähigkeit (Art. 7 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
|
1 | Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
2 | Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
|
1 | Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
2 | Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie. |
4.
Fest steht, dass der Beschwerdeführer seit dem Sturz beim Skifahren auf die rechte Schulter vom 10. März 2012 durchgehend in unterschiedlichem Ausmass von mindestens 20%, in der Regel jedoch 50-100%, arbeitsunfähig war. Soweit die Beschwerdegegnerin mit Blick auf das Leistungsgesuch vom 24. Januar 2013 den Beginn des Rentenanspruchs auf den 1. Juli 2013 festsetzte, blieben die vorinstanzlich bestätigen Tatsachenfeststellungen der Beschwerdegegnerin unbestritten. Ebenso sind sich die Parteien einig darüber, dass der Beschwerdeführer vom 1. Juli 2013 bis zum 31. Januar 2015 Anspruch auf eine ganze Invalidenrente hat.
5.
5.1. Die Vorinstanz gelangte nach umfassender Würdigung der medizinischen Beweislage zur Überzeugung, der Beschwerdeführer sei trotz seiner somatischen Gesundheitsschäden gestützt auf das Medas-Gutachten ab Sommer 2013 in einer leidensangepassten Tätigkeit zu 40% und spätestens ab dem Zeitpunkt der Medas-Exploration im Oktober 2014 wieder zu 70% arbeitsfähig gewesen. Nach dem operativen Eingriff an der Wirbelsäule vom 11. Februar 2015 sei die anschliessende Arbeitsunfähigkeit von 100% für die Dauer der Rehabilitation gemäss Einschätzung des RAD-Orthopäden Dr. med. D.________ zu Recht auf sechs Monate befristet worden. Seit August 2015 sei der Beschwerdeführer in einer optimal angepassten Tätigkeit aus somatischer Sicht gemäss Asim-Gutachten dauerhaft zu 100% arbeitsfähig. Eine fachärztlich-psychiatrisch lege artis diagnostizierte gesundheitliche Beeinträchtigung mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit hätten die Asim-Gutachter nicht feststellen können. Bereits die Medas-Gutachter hätten nach damaliger Praxis die Zumutbarkeit einer Willensanstrengung zur Verwertung einer Arbeitsfähigkeit von 70% bejaht. Werde die Leistungsfähigkeit einzig durch die somatischen Gesundheitsschäden eingeschränkt, habe es damit sein Bewenden. Gestützt
auf das Medas- und das Asim-Gutachten stellte das kantonale Gericht fest, der Beschwerdeführer sei in leidensangepasster Tätigkeit seit August 2015 nicht wesentlich beeinträchtigt. Basierend auf dem Verlauf der medizinisch begründeten Einschränkungen der Leistungsfähigkeit ermittelte die Vorinstanz unter Berücksichtigung der Dreimonatsfrist von Art. 88a
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88a Modification du droit - 1 Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
|
1 | Si la capacité de gain ou la capacité d'accomplir les travaux habituels de l'assuré s'améliore ou que son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'atténue, ce changement n'est déterminant pour la suppression de tout ou partie du droit aux prestations qu'à partir du moment où on peut s'attendre à ce que l'amélioration constatée se maintienne durant une assez longue période. Il en va de même lorsqu'un tel changement déterminant a duré trois mois déjà, sans interruption notable et sans qu'une complication prochaine soit à craindre. |
2 | Si la capacité de gain de l'assuré ou sa capacité d'accomplir les travaux habituels se dégrade, ou si son impotence ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de son invalidité s'aggrave, ce changement est déterminant pour l'accroissement du droit aux prestations dès qu'il a duré trois mois sans interruption notable. L'art. 29bis est toutefois applicable par analogie. |
5.2. Der Beschwerdeführer wendet sich in verschiedener Hinsicht gegen dieses Urteil.
5.2.1. Zunächst legt er im Rahmen seiner Kritik nicht dar und ist nicht ersichtlich, welche konkreten tatsächlichen Feststellungen der Vorinstanz das Willkürverbot (vgl. E. 1.3 hievor) verletzen sollen. Spätestens ab dem Zeitpunkt der Medas-Exploration im Oktober 2014 gingen die Gutachter in Bezug auf eine leidensangepasste Tätigkeit von einer Arbeitsfähigkeit von 70% aus. Entgegen dem Beschwerdeführer trugen die Medas-Gutachter auch den somatischen Beschwerden Rechnung, indem sie das Anforderungsprofil einer leidensangepassten Tätigkeit dementsprechend reduzierten. Unbestritten hatte der operative Eingriff an der Wirbelsäule vom 11. Februar 2015 mit Nachsorge erneut eine Phase bei voller Arbeitsunfähigkeit zur Folge, weshalb ab 1. Mai 2015 der Rentenanspruch wiederum auf eine ganze Invalidenrente erhöht wurde. Was der Beschwerdeführer gegen die mit Blick auf den Zeitraum von Juli 2013 bis August 2015 getroffenen vorinstanzlichen Feststellungen zum rechtserheblichen Sachverhalt hinsichtlich des Verlaufs der Arbeitsfähigkeit und des Gesundheitszustandes vorbringt, beschränkt sich im Wesentlichen auf appellatorische Kritik am angefochtenen Urteil. Weder die Beweiswürdigung noch die Sachverhaltsfeststellung des kantonalen Gerichts
verletzen Bundesrecht.
5.2.2. Soweit sich der Beschwerdeführer auf die Beweiskraft des Asim-Gutachtens beruft, hat die Vorinstanz gestützt darauf für das Bundesgericht grundsätzlich verbindlich festgestellt, dass aus fachärztlich-psychiatrischer Sicht lege artis keine Diagnose mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit erhoben werden konnte. In Bezug auf eine optimal leidensangepasste Tätigkeit, deren Anforderungsprofil ungefähr demjenigen entsprach, welches bereits die Medas-Gutachter festgesetzt hatten, schätzten die Asim-Gutachter die Arbeitsfähigkeit unter Berücksichtigung der somatischen Einschränkungen auf 100%. Aus psychiatrisch-neurologischer Sicht fanden sie keine formalen, klinisch-testpsychologischen Befunde oder eine gravierende, nach ICD-10 zu codierende psychiatrische Diagnose, welche eine Einschränkung der Leistungsfähigkeit hätte begründen können. Insoweit ist die Ausgangslage gemäss Asim-Gutachten unbestritten.
5.2.3.
5.2.3.1. Der Beschwerdeführer beruft sich jedoch darauf, dass ihm laut Asim-Gutachten infolge fehlender Ressourcenlage die Fähigkeit zur beruflichen Umstellung fehle. Deshalb seien nicht nur niederschwellige Eingliederungsversuche seiner langjährigen Arbeitgeberin, sondern auch die berufliche Abklärung in der Stiftung E.________ für berufliche Integration ab 8. September 2015 gescheitert. Trotz intakter Motivation könne er seine Arbeitsfähigkeit auf dem ersten Arbeitsmarkt nicht mehr verwerten. Zwar stellten die Asim-Gutachter anlässlich der interdisziplinären Gesamtbeurteilung ausdrücklich fest, aufgrund des klinischen Eindrucks in der Exploration und der Darstellungsweise des Beschwerdeführers sei sehr gut vorstellbar, "dass er Briefe ohne Zeitdruck mit manuellen bzw. papiernen Registrier- und Bestätigungsprozeduren in einem gut bekannten (quasi in seinem eigenen) Wohnumfeld verteilen könnte." Trotzdem fügten sie an, die Weiterentwicklung seiner angestammten Tätigkeit zu einer leidensangepassten Beschäftigung "scheine für ihn aber nicht mehr zu bewältigen zu sein."
5.2.3.2. Steht mit dem kantonalen Gericht fest, dass gemäss beweiswertigem Asim-Gutachten kein invalidisierender psychischer Gesundheitsschaden fachärztlich lege artis diagnostiziert werden konnte, erübrigt sich die Durchführung eines strukturierten Beweisverfahrens. Denn eine Einschränkung der Leistungsfähigkeit kann nur dann anspruchserheblich sein, wenn sie Folge einer Gesundheitsbeeinträchtigung ist (BGE 141 V 281 E. 2.1; 130 V 396). Für die Annahme einer rentenbegründenden Invalidität aus psychiatrischen Gründen fehlt es hier gemäss Asim-Gutachten jedenfalls an einer psychiatrischen, lege artis gestellten Diagnose (vgl. Urteil 8C 407/2020 vom 3. März 2021 E. 4.1 mit Hinweisen; vgl. BGE 141 V 281).
5.3. Demnach sind die vom Beschwerdeführer gegen die vorinstanzlich bestätigte Sachverhaltsfeststellung hinsichtlich der Entwicklung des Gesundheitszustandes und der Arbeitsfähigkeit erhobenen Einwände unbegründet.
5.4. Der Beschwerdeführer wendet sich sodann gegen die Verwertbarkeit der ihm seit August 2015 verbleibenden vollen Arbeitsfähigkeit in leidensangepasster Tätigkeit.
5.4.1. Bei Personen, deren Rente revisionsweise herabgesetzt oder aufgehoben werden soll, sind nach mindestens fünfzehn Jahren Bezugsdauer oder wenn sie das 55. Altersjahr zurückgelegt haben, praxisgemäss in der Regel vorgängig Massnahmen zur Eingliederung durchzuführen, bis sie in der Lage sind, das medizinisch-theoretisch (wieder) ausgewiesene Leistungspotenzial mittels Eigenanstrengung auszuschöpfen und erwerblich zu verwerten. Diesfalls ist grundsätzlich ("vermutungsweise") von der Unzumutbarkeit einer Selbsteingliederung auszugehen. Für Ausnahmen von dieser Regel trägt die IV-Stelle die Beweislast (vgl. BGE 145 V 209 E. 5.1 mit Hinweisen). Diese Rechtsprechung findet auch dann Anwendung, wenn zeitgleich mit der Rentenzusprache über deren Befristung und/oder Abstufung befunden wird (BGE 145 V 209 E. 5.4; SVR 2020 IV Nr. 66 S. 230, 8C 80/2020 E. 2.3.3). Der Anspruch auf Eingliederungsmassnahmen vor Rentenaufhebung setzt jedoch den Eingliederungswillen bzw. die subjektive Eingliederungsfähigkeit voraus; fehlt es daran, entfällt der Anspruch auf Eingliederungsmassnahmen, ohne dass zunächst ein Mahn- und Bedenkzeitverfahren durchgeführt werden müsste (SVR 2019 IV Nr. 3 S. 6, 8C 145/2018 E. 7 mit Hinweisen).
5.4.2. Das kantonale Gericht prüfte und bejahte in zutreffender Anwendung der einschlägigen Praxis die Verwertbarkeit der medizinsch-theoretischen Arbeitsfähigkeit in einer optimal leidensangepassten Tätigkeit. In tatsächlicher Hinsicht stand laut angefochtenem Urteil seit der Medas-Exploration im Oktober 2014 fest, dass dem Beschwerdeführer die angestammte Tätigkeit als Paketbote nicht mehr zumutbar war. In einer leidensangepassten Tätigkeit bei nicht erheblich restriktiv formuliertem Belastungsprofil war er jedoch zu 70% arbeitsfähig. Die erforderliche Willensanstrengung zur Umsetzung dieser Restarbeitsfähigkeit war ihm aus psychiatrischer Sicht ausdrücklich zumutbar. Gestützt auf das Medas-Gutachten schloss das kantonale Gericht, dem damals 58-jährigen Beschwerdeführer habe spätestens im Oktober 2014 (vgl. BGE 146 V 16 E. 7.1 mit Hinweisen) klar sein müssen, dass er sich beruflich neu zu orientieren habe. Damals sei ihm noch eine gut sechsjährige Aktivitätsdauer verblieben. Die kurzzeitige Erhöhung der Arbeitsunfähigkeit infolge des operativen Eingriffs an der Wirbelsäule vom 11. Februar 2015 ändere nichts daran. Aus den neuropsychologischen Befunden sei keine Einschränkung der Arbeitsfähigkeit ableitbar. Die Annahme einer über
die medizinisch-theoretisch attestierte Beeinträchtigung hinausgehenden, invalidenversicherungsrechtlich relevanten Einschränkung entfalle auch für die Zeit ab Dezember 2015 bzw. bereits sechs Monate postoperativ nach der Wirbelsäulenoperation vom 11. Februar 2015. Angesichts der ab diesem Zeitpunkt sogar noch verbesserten medizinisch-theoretischen Arbeitsfähigkeit von 100% in Bezug auf eine leidensangepasste Tätigkeit sei von der Verwertbarkeit dieser vergleichsweise hohen Leistungsfähigkeit auszugehen. Sodann stellte das kantonale Gericht nach einlässlicher und umfassender Beweiswürdigung fest, die ab September 2015 in der Stiftung E.________ durchgeführte berufliche Abklärung sei aus invaliditätsfremden Gründen im November 2015 gescheitert. Zwar habe die Stiftung E.________ im Bericht vom 25. November 2015 über die per 11. November 2015 vorzeitig abgebrochene Eingliederungsmassnahme den Standpunkt vertreten, die Vermittelbarkeit in den ersten Arbeitsmarkt sei "klar nicht gegeben". Doch sei sie dabei von eingeschränkten kognitiven Fähigkeiten ausgegangen. Die Eingliederungsfachleute der Stiftung E.________ hätten daher eine neurologisch-neuropsychologische Abklärung empfohlen. Laut neuropsychologischem Gutachten vermochte jedoch
auch lic. phil. B.________ weder für die angestammte noch für eine leidensangepasste Tätigkeit aus neuropsychologischer bzw. kognitiver Sicht eine Einschränkung der Arbeitsfähigkeit zu objektivieren. Zur gleichen Einschätzung waren zuvor bereits die behandelnden Ärzte der Klinik F.________ gelangt (Bericht vom 9. Oktober 2013 S. 2) und später auch die Asim-Gutachter. Nach ausführlicher Erörterung der medizinischen Aktenlage gelangte die Vorinstanz zum Schluss, dass sich der Beschwerdeführer spätestens 2014 wieder um eine Eingliederung in eine angepasste Tätigkeit hätte kümmern müssen und können, dies jedoch aus invaliditätsfremden Gründen unterliess.
5.4.3. Auch die hiegegen erhobenen Einwände des Beschwerdeführers beschränken sich im Wesentlichen auf appallatorische Kritik am angefochtenen Entscheid. Indem er auf seine 43-jährige Berufserfahrung als Postzustellbote und die nur noch kurze verbleibende Aktivitätsdauer bis zum Erreichen des ordentlichen Altersrenten-Alters verweist, macht er geltend, infolge zunehmender Überforderung sei es ihm innert nützlicher Frist unmöglich gewesen, sich den Veränderungen anzupassen. Auf eine objektivierbare Störung der Einsichts- oder Willensfähigkeit bzw. auf anderweitige, medizinisch begründete Einschränkungen der Leistungsfähigkeit vermag er sich nicht zu berufen. Was er gegen die vorinstanzlichen Feststellung der verbleibenden Aktivitätsdauer vorbringt, überzeugt nicht. Insbesondere legt er nicht dar, inwiefern die Rechtsprechung gemäss BGE 146 V 16 E. 7.1 zu ändern wäre.
5.4.4. Nach dem Gesagten ist auch nicht als bundesrechtswidrig zu beanstanden, dass die Vorinstanz die subjektive Eingliederungsbereitschaft des Beschwerdeführers verneinte und die verfügte Befristung der abgestuften Invalidenrente im Ergebnis übereinstimmend mit der Beschwerdegegnerin bestätigte.
5.5. Bleibt es folglich bei der am 4. Juni 2020 zugesprochenen abgestuften und befristeten Invalidenrente, hat es beim angefochtenen Urteil sein Bewenden. Der Beschwerdeführer erhebt zu Recht keine Einwände gegen die vorinstanzliche Bemessung der Invaliditätsgrade sowie gegen das basierend auf der abgestuften und befristeten Rentenzusprache ermittelte Rückforderungsbetreffnis von Fr. 16'969.- für die zu Unrecht ausgerichteten Rentenleistungen.
6.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern, dem Bundesamt für Sozialversicherungen und der Pensionskasse Post, Bern, schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 25. August 2021
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Hochuli