Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
7B 458/2023
Urteil vom 25. Juni 2024
II. strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Abrecht, Präsident,
Bundesrichterin Koch, Bundesrichter Hurni,
Gerichtsschreiber Hahn.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Payám Ghaemmaghami,
Beschwerdeführer,
gegen
Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich, Güterstrasse 33, Postfach, 8010 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Fahrlässige Körperverletzung; Strafzumessung,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, II. Strafkammer, vom 10. Mai 2022 (SB210535-O/U/cs).
Sachverhalt:
A.
Am 3. Juni 2020 um ca. 19.10 Uhr ereignete sich an der Strasse U.________ 68 in Wetzikon ein Verkehrsunfall zwischen A.________ als Personenwagenlenker und B.________ als Fahrradfahrer. A.________ wollte über einen Radweg in die Strasse U.________ einbiegen. Dabei nahm er B.________ nicht wahr, der vom Zentrum Wetzikon herkommend unterwegs war. Es kam zu einer Kollision, bei welcher B.________ stürzte. Er erlitt infolge des Unfalls eine Rücken- und Kniekontusion rechts und war infolge der Verletzungen bis zum 21. Juni 2020 zu 100% arbeitsunfähig.
B.
Das Bezirksgericht Hinwil verurteilte A.________ am 2. Juni 2021 wegen fahrlässiger Körperverletzung zu einer bedingten Geldstrafe von 30 Tagessätzen zu Fr. 30.-- bei einer Probezeit von 2 Jahren. Es verwies die Forderung des Privatklägers B.________ auf den Zivilweg und befand über die Kosten- und Entschädigungsfolgen.
Das Obergericht des Kantons Zürich bestätigte am 10. Mai 2022 das erstinstanzliche Urteil und entschied über die Kosten- und Entschädigungsfolgen.
C.
A.________ beantragt, er sei unter Aufhebung der betreffenden Dispositivziffern des Urteils des Obergerichts des Kantons Zürich vom 10. Mai 2022 von Schuld und Strafe freizusprechen. Es sei ihm eine Genugtuung von Fr. 4'000.-- zu bezahlen. Eventualiter sei das Verfahren zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen. A.________ ersucht um unentgeltliche Rechtspflege. Es sei ihm eine angemessene Parteientschädigung zuzusprechen. Eventualiter sei sein Rechtsvertreter als unentgeltlicher Rechtsvertreter zu bestellen.
Die kantonalen Akten wurden eingeholt, nicht jedoch Vernehmlassungen.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer wurde im angefochtenen Entscheid von der letzten kantonalen Instanz strafrechtlich verurteilt und führt dagegen frist- und formgerecht Beschwerde in Strafsachen an das Bundesgericht (Art. 42 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 80 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance ou par la Cour des plaintes et la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral.50 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours. Sont exceptés les cas dans lesquels le code de procédure pénale (CPP)51 prévoit un tribunal supérieur ou un tribunal des mesures de contrainte comme instance unique.52 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif57. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.58 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...97 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
1.2. Nicht einzutreten ist auf die Ausführungen des Beschwerdeführers unter der Rubrik Sachverhalt, soweit er vom für das Bundesgericht von der Vorinstanz verbindlich festgestellten Sachverhalt (Art. 105 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
2.
2.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Verletzung des Anklagegrundsatzes. Darin sei kein pflichtwidriges Verhalten umschrieben. Ausserdem verletze die Vorinstanz das Immutabilitätsprinzips. Sie weiche mit ihren Feststellungen hinsichtlich der Frage, ob er den Privatkläger vor der Kollision wahrgenommen habe und der Fahrtgeschwindigkeiten der am Unfall beteiligten Fahrzeugen in unzulässiger Weise von den Angaben in der Anklage ab. Dies verstosse gegen Art. 350 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
|
1 | Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
2 | Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats. |
2.2.
2.2.1. Nach dem aus Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 9 Maxime d'accusation - 1 Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
|
1 | Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
2 | Sont réservées la procédure de l'ordonnance pénale et la procédure pénale en matière de contraventions. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 325 Contenu de l'acte d'accusation - 1 L'acte d'accusation désigne: |
|
1 | L'acte d'accusation désigne: |
a | le lieu et la date de son établissement; |
b | le ministère public qui en est l'auteur; |
c | le tribunal auquel il s'adresse; |
d | les noms du prévenu et de son défenseur; |
e | le nom du lésé; |
f | le plus brièvement possible, mais avec précision, les actes reprochés au prévenu, le lieu, la date et l'heure de leur commission ainsi que leurs conséquences et le mode de procéder de l'auteur; |
g | les infractions réalisées et les dispositions légales applicables de l'avis du ministère public. |
2 | Le ministère public peut présenter un acte d'accusation alternatif ou, pour le cas où ses conclusions principales seraient rejetées, un acte d'accusation subsidiaire. |
2.2.2. Das Gericht ist an den in der Anklage umschriebenen Sachverhalt, nicht aber an die darin vorgenommene rechtliche Würdigung gebunden (Art. 350 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
|
1 | Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
2 | Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats. |
2.3. Die Anklage umschreibt den dem Beschwerdeführer zur Last gelegten Sachverhalt hinreichend. Sie geht zusammengefasst davon aus, dass er am Unfalltag mit langsamer Geschwindigkeit auf den Radweg fuhr, um in die Strasse U.________ in Wetzikon einzubiegen. Dabei habe er den auf einem Fahrrad mit ca. 20 km/h fahrenden vortrittsberechtigten Privatkläger übersehen. Deshalb sei es zu einer Kollision gekommen, bei welcher sich der Privatkläger verletzt habe. Der Beschwerdeführer hätte bei genügender Aufmerksamkeit den Privatkläger erkennen können und müssen.
2.4. Der Beschwerdeführer gibt die vorinstanzlichen Erwägungen wieder, ohne auf deren Gesamtzusammenhang einzugehen. Die Vorinstanz führt in der von ihm kritisierten Erwägung aus, warum sie dem Beschwerdeführer nicht glaubt, dass er längere Zeit (gemäss seinen Angaben zwischen 30-50 Sekunden) an der ersten Kopfsteinpflasterschwelle des Radweges, d.h. rückwärts versetzt zur Strasse, angehalten hat, obwohl er zum Einbiegen in die Strasse U.________ weiter nach vorne bis zur zweiten Kopfsteinpflasterschwelle hätte fahren müssen. Hingegen stellt die Vorinstanz die Behauptung des Beschwerdeführers, er habe den Privatkläger nicht gesehen, nicht in Frage.
Ebenso wenig verletzt die vorinstanzliche Feststellung, die Geschwindigkeiten des Beschwerdeführers und des Privatklägers liessen sich ex post nicht mehr genau feststellen, das Immutabilitätsprinzip. Der Beschwerdeführer unterschlägt bei seiner Rüge die gleichzeitige vorinstanzliche Feststellung, dass er langsam vom Parkplatz wegfuhr, wie ihm in der Anklage vorgehalten wird. Auch die Ausführungen, wonach die genaue Geschwindigkeit des Privatklägers nicht mehr festgestellt werden könne, steht in Einklang mit dem Immutabilitätsprinzip. Denn die Vorinstanz erwägt gleichzeitig, der Fahrradfahrer habe sich schon nahe beim Fahrzeug befunden, als dieses weggefahren sei, da die Kollision unmittelbar danach stattgefunden habe. In Würdigung dieser gesamten Umstände folgt die Vorinstanz somit der Anklage, wonach sich der Fahrradfahrer auf dem Radweg mit der hierfür üblichen Geschwindigkeit bewegt habe.
3.
3.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Verletzung des Unmittelbarkeitsprinzips durch die Vorinstanz im Zusammenhang mit der Einvernahme des einzigen Augenzeugen des Unfallgeschehens (Art. 389 Abs. 2 lit. a

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
3.2. Gemäss Art. 389 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
|
1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 343 Administration des preuves - 1 Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
|
1 | Le tribunal procède à l'administration de nouvelles preuves ou complète les preuves administrées de manière insuffisante. |
2 | Le tribunal réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, n'ont pas été administrées en bonne et due forme. |
3 | Il réitère l'administration des preuves qui, lors de la procédure préliminaire, ont été administrées en bonne et due forme lorsque la connaissance directe du moyen de preuve apparaît nécessaire au prononcé du jugement. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 405 Procédure orale - 1 Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
|
1 | Les dispositions sur les débats de première instance s'appliquent par analogie aux débats d'appel. |
2 | La direction de la procédure cite à comparaître aux débats d'appel le prévenu ou la partie plaignante qui a déclaré l'appel ou l'appel joint. Dans les cas simples, elle peut, à leur demande, les dispenser de participer aux débats et les autoriser à déposer par écrit leurs conclusions motivées. |
3 | Elle cite le ministère public à comparaître aux débats: |
a | dans les cas visés à l'art. 337, al. 3 et 4; |
b | s'il a déclaré l'appel ou l'appel joint. |
4 | Si le ministère public n'est pas cité à comparaître, il peut déposer par écrit ses conclusions ainsi que la motivation à l'appui de celles-ci ou comparaître en personne. |
3.2.1. Der Zeuge C.________ wurde durch die Polizei und die Staatsanwaltschaft in Anwesenheit des Beschwerdeführers und dessen Verteidiger befragt. Der Anspruch auf Konfrontation und auf rechtliches Gehör wurde damit gewahrt, was der Beschwerdeführer auch nicht bestreitet. Der Beschwerdeführer behauptet sodann nicht, eine weitere Befragung des Zeugen C.________ vor erster oder vor Vorinstanz beantragt zu haben. Solches ergibt sich ebenso wenig aus dem angefochtenen Urteil. Gestützt auf die Natur der Rechtssache, ein Verkehrsunfall, erscheint der persönliche Eindruck des Zeugen auch nicht als wesentlich, weshalb die Vorinstanz auf eine erneute Befragung des Zeugen verzichten durfte, ohne dabei Art. 389 Abs. 2

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 389 Compléments de preuves - 1 La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
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1 | La procédure de recours se fonde sur les preuves administrées pendant la procédure préliminaire et la procédure de première instance. |
2 | L'administration des preuves du tribunal de première instance n'est répétée que si: |
a | les dispositions en matière de preuves ont été enfreintes; |
b | l'administration des preuves était incomplète; |
c | les pièces relatives à l'administration des preuves ne semblent pas fiables. |
3 | L'autorité de recours administre, d'office ou à la demande d'une partie, les preuves complémentaires nécessaires au traitement du recours. |
4.
4.1. Der Beschwerdeführer rügt eine willkürliche Beweiswürdigung. Er macht im Wesentlichen geltend, sein Fahrzeug sei im Zeitpunkt der Kollision bereits während ca. 40 Sekunden auf dem Fuss- und Fahrradweg still gestanden und der Fahrradfahrer sei blindlings in ihn hineingefahren. Er habe den Privatkläger noch nicht sehen können, als er vom Kreisel herkommend auf den Fahrradstreifen gefahren sei. Er selbst habe keine Pflichten verletzt und sei nicht Unfallverursacher. Die Vorinstanz würdige in diesem Zusammenhang verschiedene Beweise willkürlich bzw. gehe nicht auf relevante Beweismittel ein. Sie verletze Art. 9

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
|
1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 139 Principes - 1 Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
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1 | Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
2 | Il n'y a pas lieu d'administrer des preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
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1 | Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
a | consulter le dossier; |
b | participer à des actes de procédure; |
c | se faire assister par un conseil juridique; |
d | se prononcer au sujet de la cause et de la procédure; |
e | déposer des propositions relatives aux moyens de preuves. |
2 | Les autorités pénales attirent l'attention des parties sur leurs droits lorsqu'elles ne sont pas versées dans la matière juridique. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
|
1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
4.2. Im Rahmen seiner Rügen zweifelt der Beschwerdeführer die Glaubhaftigkeit der Aussagen des Privatklägers und des Zeugen C.________ an und macht geltend, die beiden würden sich näher kennen. De r Privatkläger habe zur Frage der Bekanntschaft nicht die ganze Wahrheit gesagt und die Vorinstanz lasse den Kontakt der beiden über WhatsApp bzw. den Umstand, dass dieser den Namen des Privatklägers im Unfallzeitpunkt kannte und ihn mit Namen gerufen habe, unberücksichtigt. Insoweit seien die Aussagen des Zeugen zu relativieren. Weiter habe der Zeuge den Unfallhergang nicht genau erkennen können bzw. seien dessen Angaben nicht konstant. Gemäss Beschwerdeführer verneint die Vorinstanz sodann in willkürlicher Weise die Glaubhaftigkeit seiner eigenen Aussagen zum längeren Stillstand vor der Kollision. So habe sich die Kollision nicht unmittelbar nach seinem Losfahren ereignet. Weiter folge aus dem Umstand, dass seine eigenen Aussagen übersetzt worden seien, dass der Wortlaut nicht exakt analysiert werden könne.
4.3. Weiter rügt der Beschwerdeführer, die Vorinstanz habe zu Unrecht eine antizipierte Beweiswürdigung vorgenommen. Die Vorinstanz habe ein verkehrstechnisches Gutachten und einen Augenschein an der Unfallstelle zu Unrecht abgewiesen. Dabei habe sie weder die Geschwindigkeiten der beiden Verkehrsteilnehmer, noch die Stärke des Abbremsens durch den Privatkläger oder den Ort festgestellt, wo sich dieser im Zeitpunkt der Wegfahrt des Beschwerdeführers befunden habe. Der Anspruch auf rechtliches Gehör nach Art. 29 Abs. 1

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
4.4.
4.4.1. Der Anspruch auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 3 Respect de la dignité et procès équitable - 1 Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
|
1 | Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
2 | Elles se conforment notamment: |
a | au principe de la bonne foi; |
b | à l'interdiction de l'abus de droit; |
c | à la maxime voulant qu'un traitement équitable et le droit d'être entendu soient garantis à toutes les personnes touchées par la procédure; |
d | à l'interdiction d'appliquer des méthodes d'enquête qui sont attentatoires à la dignité humaine. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 107 Droit d'être entendu - 1 Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
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1 | Une partie a le droit d'être entendue; à ce titre, elle peut notamment: |
a | consulter le dossier; |
b | participer à des actes de procédure; |
c | se faire assister par un conseil juridique; |
d | se prononcer au sujet de la cause et de la procédure; |
e | déposer des propositions relatives aux moyens de preuves. |
2 | Les autorités pénales attirent l'attention des parties sur leurs droits lorsqu'elles ne sont pas versées dans la matière juridique. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 139 Principes - 1 Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
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1 | Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
2 | Il n'y a pas lieu d'administrer des preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés. |
4.4.2. Willkür bei der Sachverhaltsfeststellung liegt nach ständiger Rechtsprechung vor, wenn die vorinstanzliche Beweiswürdigung schlechterdings unhaltbar ist, d.h. wenn die Behörde in ihrem Entscheid von Tatsachen ausgeht, die mit der tatsächlichen Situation in klarem Widerspruch stehen oder auf einem offenkundigen Fehler beruhen. Dass eine andere Lösung ebenfalls möglich erscheint, genügt nicht (BGE 148 IV 39 E. 2.3.5; 147 IV 73 E. 4.1.2; je mit Hinweisen). Erforderlich ist zudem, dass der Entscheid nicht nur in der Begründung, sondern auch im Ergebnis willkürlich ist (BGE 146 IV 88 E. 1.3.1; 141 IV 305 E. 1.2; je mit Hinweisen). Die Willkürrüge muss in der Beschwerde anhand des angefochtenen Entscheids explizit vorgebracht und substanziiert begründet werden (Art. 106 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
4.5. Die Vorinstanz würdigt die Aussagen des Beschwerdeführers, des Privatklägers und des Zeugen C.________, die Fotodokumentation der Kantonspolizei nach dem Unfall mit den Fahrzeugen in unveränderter Lage, die vom Beschwerdeführer eingereichten Fotos zur Veranschaulichung der geographischen Verhältnisse und die medizinischen Akten zu den Verletzungen des Privatklägers. Die sorgfältige vorinstanzliche Beweiswürdigung gibt weder unter Willkürgesichtspunkten noch in Bezug auf die aus Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
4.5.1. Konkret stellt die Vorinstanz entgegen den Ausführungen in der Beschwerde willkürfrei auf die Aussagen des Zeugen C.________ ab, welche dieser nicht erst sieben Monate später in der staatsanwaltschaftlichen Einvernahme, sondern bereits auf der Unfallstelle in den Grundzügen gegenüber der Polizei geschildert hat, was sich aus dem aktenkundigen Polizeirapport vom 18. Juni 2020 ergibt. Die Vorinstanz geht dabei in vertretbarer Weise davon aus, der Zeuge habe den Verkehrsunfall gut beobachten können, zumal er auf der Strasse U.________ relativ nahe am Geschehen vorbeigefahren sei, als sich der Unfall ereignete. Demnach sei der Beschwerdeführer langsam vom Parkplatz auf den Fahrradweg gefahren, wobei dessen Geschwindigkeit nicht objektiv gesichert werden könne. Der Fahrrad fahrende Privatkläger sei mit dem Fahrzeug des Beschwerdeführers zusammengestossen und gestürzt. Seine Geschwindigkeit stehe nicht fest, ebenso wenig, ob und wie stark er vor der Kollision gebremst habe bzw. wo er sich genau befunden habe, als der Beschwerdeführer vom Vorplatz der Strasse U.________ 68 weggefahren sei. Jedenfalls sei die Kollision unmittelbar nach dem Wegfahren des Beschwerdeführers vom Parkplatz erfolgt und der Privatkläger habe sich nahe dem
Fahrzeug des Beschwerdeführers befunden. Der Beschwerdeführer hätte den Privatkläger aufgrund der guten und uneingeschränkten Sicht auf den gerade verlaufenden Fahrradstreifen sehen müssen und umgekehrt der Privatkläger den Beschwerdeführer.
4.5.2. Die Vorinstanz schenkt den Aussagen des Beschwerdeführers und des Privatklägers keinen Glauben, weil beide aufgrund des Verkehrsunfalls in ein Strafverfahren involviert seien und nach ihrer Auffassung versucht hätten, mit ihren Aussagen den Vorfall zu beschönigen. So geben nach der Auffassung der Vorinstanz beide in den Unfall Involvierten an, sie hätten den jeweils anderen Verkehrsteilnehmer nicht bzw. erst unmittelbar vor der Kollision gesehen, was gemäss der zutreffenden Würdigung der Vorinstanz Fragen hinsichtlich der dem Strassenverkehr gewidmeten Aufmerksamkeit aufwirft, zumal sie sich aufgrund der örtlichen Verhältnisse (gerade, übersichtliche Strecke) beide rechtzeitig hätten sehen müssen. In diesem Zusammenhang erachtet die Vorinstanz die Schätzungen des Beschwerdeführers zur angeblich hohen Geschwindigkeit des Privatklägers (40-50 km/h) in zutreffender Weise nicht als plausibel, weil der Beschwerdeführer zur Geschwindigkeit des Privatklägers keine eigenen Wahrnehmungen gemacht habe und er diesen bis zur Kollision nicht wahrgenommen haben will. Zudem sei der Privatkläger kein Elektrofahrrad, sondern ein konventionelles Fahrrad gefahren und habe der Zeuge C.________ ausgesagt, der Privatkläger sei mit normaler
Geschwindigkeit gefahren. Aus demselben Grund (d.h. mangels eigener Wahrnehmung) durfte die Vorinstanz dem Beschwerdeführer auch ein Wissen zu den mutmasslichen Absichten des Privatklägers (u.a. zur Frage, ob er das Auto noch umfahren wollte) und zu einem möglichen Bremsmanöver absprechen, ohne dabei in Willkür zu verfallen..
4.5.3. Mit nachvollziehbarer Begründung schenkt die Vorinstanz sodann den Angaben des Beschwerdeführers keinen Glauben, er habe aufgrund des dichten Verkehrs längere Zeit (30 Sekunden oder mehr) auf dem Fahrradweg gewartet, um in die Strasse U.________ einzubiegen. Sie verwirft diese Version wegen des Standortes des Fahrzeugs im Zeitpunkt der Kollision. Dieses ist zu diesem Zeitpunkt gemäss den willkürfreien Feststellungen der Vorinstanz nicht ganz vorne an der Einmündung zur Strasse U.________, wo es für den dortigen Verkehr aufgrund der die Sicht teilweise hemmenden Bäume zwischen Strasse und Fahrradweg besser sichtbar gewesen wäre, sondern mitten auf dem Fahrradweg, d.h. hinter der ersten Linie aus Kopfsteinpflaster gestanden. Wie die Vorinstanz namentlich in Würdigung der verschiedenen aktenkundigen Fotografien einleuchtend festhält, eignet sich dieser Standort aufgrund der schlechten Sichtverhältnisse nicht zum direkten Einbiegen in die Strasse U.________. Zudem verweist die Vorinstanz auf die Aussagen des Zeugen C.________, wonach sich die Kollision ereignete, nachdem der Beschwerdeführer mit seinem Auto losgefahren war und im Schritttempo auf den Radweg fuhr. An diesen vertretbaren und damit willkürfreien Schlussfolgerungen
ändern die Angaben des Beschwerdeführers nichts, wonach er aufgrund eines kürzlichen tragischen Unfalls seiner Tochter so lange gewartet haben will.
4.5.4. Weiter kann von keinem Eingeständnis des Privatkläger die Rede sein, dass der Beschwerdeführer vor der Kollision still gestanden sei, wie dieser behauptet. Vielmehr geht die Vorinstanz diesbezüglich in vertretbarer Weise von widersprüchlichen Aussagen aus, auf die nicht abgestellt werden könne. Der Privatkläger habe in diesem Punkt zunächst angegeben, er habe das Fahrzeug erst unmittelbar vor der Kollision wahrgenommen, während er später angab, "vielleicht" habe er es schon gesehen und gedacht, ob dieses dort parkiere. Daraus, was sich der Privatkläger dachte, lässt sich, entgegen den Vorbringen des Beschwerdeführers, nicht zwangsläufig ableiten, seine Version treffe zu. Ebenso wenig herleiten lässt sich dies aus den angeblichen Aussagen des Privatklägers gegenüber den Ärzten, er sei in ein Auto gefahren. Daraus lassen sich keine Rückschlüsse zum genauen Ablauf des Unfallgeschehens ziehen. Nicht stichhaltig ist der Einwand des Beschwerdeführers seine eigenen Aussagen müssten zufolge Konstanz zwangsläufig glaubhaft sein bzw. den effektiven Tatereignissen entsprechen. Dies ist nicht der Fall. Dass in den Augen des Beschwerdeführers eine andere Version des Geschehens wahrscheinlicher erscheinen mag, macht die anderslautende
vorinstanzliche Beweiswürdigung noch nicht willkürlich.
4.5.5. Nichts zu seinen Gunsten abzuleiten vermag der Beschwerdeführer sodann aus seinem Hinweis auf eine angebliche Bekanntschaft des Privatklägers mit dem Zeugen C.________. Die Vorinstanz beleuchtet diese Frage und gelangt unter Verweis auf die Aussagen des Privatklägers zum vertretbaren Schluss, diese hätten sich vor dem Verkehrsunfall nicht gekannt bzw. habe der nachträgliche kurze Kontakt via WhatsApp der kurzen Nachfrage nach dem Gesundheitszustand nach dem Unfall sowie dem Versand der von der Unfallstelle erstellen Fotos gedient. Dies habe das Aussageverhalten des Zeugen nicht beeinflusst. Was an dieser Schlussfolgerung willkürlich sein sollte, ist nicht ersichtlich. Daran ändert auch die rein appellatorische Behauptung des Beschwerdeführers nichts, der Zeuge habe den Privatkläger von Anfang an beim Namen genannt. Denn der Beschwerdeführer bestreitet nicht, dass es sich um einen zufälligen Zeugen eines ungeplanten Ereignisses handelt, der unmittelbar danach seine Aussagen bei der Polizei deponiert hat und dass dieser namentlich auch Angaben zu den Geschwindigkeiten der Fahrzeuge gemacht hat, die den Beschwerdeführer nicht übermässig belasten (Schritttempo des Beschwerdeführers, normale Geschwindigkeit des Fahrrades bzw.
schneller als Schritttempo). Dass der Zeuge unter diesen Umständen zugunsten des Privatklägers voreingenommen gewesen wäre, wie der Beschwerdeführer suggeriert, ist nicht ersichtlich.
4.5.6. Entgegen den Vorbringen des Beschwerdeführers liegt auch keine Willkür darin, wenn die Vorinstanz erwägt, der Privatkläger hätte den Beschwerdeführer vor der Kollision sehen müssen, jedoch gleichzeitig ausführt, der Privatkläger sei nicht "blind" gefahren. Aus dem angefochtenen Urteil ergibt sich insoweit, dass der Privatkläger das Fahrzeug des Beschwerdeführers unmittelbar vor der Kollision erblickt habe und somit in der Terminologie der Vorinstanz nicht "gänzlich blind" gefahren ist. Beizufügen bleibt, dass diese Spitzfindigkeiten im Ergebnis auch nicht entscheidend sind.
4.5.7. Kein Widerspruch liegt weiter im Umstand, dass die Vorinstanz erwägt, der Zeuge C.________ habe das Unfallgeschehen und den Beschwerdeführer gut erkennen können, während sie ausführt, die anderen Verkehrsteilnehmer hätten den Beschwerdeführer an der ersten Linie mit Kopfsteinpflaster nicht schon von Weitem erkennen können. Anders als weit entfernte Verkehrsteilnehmer beobachtete der Zeuge C.________ das Unfallgeschehen aus der Nähe, d.h. aus einem anderen Blickwinkel als weit entfernte Verkehrsteilnehmer.
4.5.8. Schliesslich trifft es nicht zu, dass die Vorinstanz angesichts der Beweislage genaue Geschwindigkeiten oder Distanzen hätte feststellen und hierzu ein verkehrstechnisches Gutachten hätte einholen müssen. Abgesehen davon, dass nach ihren zutreffenden Erwägungen zuverlässige objektive Anhaltspunkte hierzu fehlen, konnte und durfte sie sich gestützt auf die Zeugenaussagen und die vom Unfallort erstellten Fotografien ein hinreichend verlässliches Bild zum Unfallgeschehen machen. Es verletzt daher auch kein Bundesrecht, wenn die Vorinstanz in antizipierter Beweiswürdigung auf die Erstellung eines verkehrstechnischen Gutachtens sowie einen Augenschein verzichtet hat.
4.6. Insgesamt erweist sich die vorinstanzliche Beweiswürdigung aus den genannten Gründen als gut begründet und vertretbar. Die diesbezüglichen Einwendungen des Beschwerdeführers sind aus den genannten Gründen nicht stichhaltig und belegen jedenfalls keine Willkür, soweit sie überhaupt den gesetzlichen Begründungsanforderungen genügen.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer wendet sich in einem weiteren Rügekomplex gegen die rechtliche Würdigung seines Verhaltens als fahrlässige einfache Körperverletzung im Sinne von Art. 125 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 125 - 1 Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
|
1 | Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si la lésion est grave, l'auteur est poursuivi d'office. |
5.2.
5.2.1. Wer fahrlässig einen Menschen am Körper oder an der Gesundheit schädigt, wird auf Antrag mit Freiheitsstrafe bis zu drei Jahren oder Geldstrafe bestraft (Art. 125 Abs. 1

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 125 - 1 Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si la lésion est grave, l'auteur est poursuivi d'office. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 125 - 1 Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, par négligence, fait subir à une personne une atteinte à l'intégrité corporelle ou à la santé est, sur plainte, puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si la lésion est grave, l'auteur est poursuivi d'office. |
5.2.2. Fahrlässig handelt, wer die Folge seines Verhaltens aus pflichtwidriger Unvorsichtigkeit nicht bedenkt oder darauf nicht Rücksicht nimmt (Art. 12 Abs. 3

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
|
1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 12 - 1 Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
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1 | Sauf disposition expresse et contraire de la loi, est seul punissable l'auteur d'un crime ou d'un délit qui agit intentionnellement. |
2 | Agit intentionnellement quiconque commet un crime ou un délit avec conscience et volonté. L'auteur agit déjà intentionnellement lorsqu'il tient pour possible la réalisation de l'infraction et l'accepte au cas où celle-ci se produirait. |
3 | Agit par négligence quiconque, par une imprévoyance coupable, commet un crime ou un délit sans se rendre compte des conséquences de son acte ou sans en tenir compte. L'imprévoyance est coupable quand l'auteur n'a pas usé des précautions commandées par les circonstances et par sa situation personnelle. |
5.2.3. Grundvoraussetzung für eine Sorgfaltspflichtverletzung und mithin für die Fahrlässigkeitshaftung bildet die Vorhersehbarkeit des Erfolgs. Die zum Erfolg führenden Geschehensabläufe müssen für den konkreten Täter mindestens in ihren wesentlichen Zügen voraussehbar sein. Für die Beantwortung dieser Frage gilt der Massstab der Adäquanz (BGE 142 IV 237 E. 1.5.2 mit Hinweisen). Die Adäquanz ist zu verneinen, wenn ganz aussergewöhnliche Umstände, wie das Mitverschulden des Opfers bzw. eines Dritten oder Material- oder Konstruktionsfehler, als Mitursache hinzutreten, mit denen schlechthin nicht gerechnet werden musste und die derart schwer wiegen, dass sie als wahrscheinlichste und unmittelbarste Ursache des Erfolgs erscheinen und so alle anderen mitverursachenden Faktoren in den Hintergrund drängen (BGE 135 IV 56 E. 2.1). Das Verhalten eines Dritten vermag den Kausalzusammenhang nur zu unterbrechen, wenn dieses derart ausserhalb des normalen Geschehens liegt, derart unsinnig ist, dass damit nicht zu rechnen war (BGE 142 IV 237 E. 1.5.2; zum Ganzen: Urteil 6B 817/2023 vom 15. November 2023 E. 2.3.3). Weitere Voraussetzung der Fahrlässigkeitshaftung ist, dass der Erfolg vermeidbar war. Dabei wird ein hypothetischer Kausalverlauf
untersucht und geprüft, ob der Erfolg bei pflichtgemässem Verhalten des Täters ausgeblieben wäre (BGE 140 II 7 E. 3.4).
5.2.4. Der Führer, der sein Fahrzeug in den Verkehr einfügen, wenden oder rückwärts fahren will, darf nach Art. 36 Abs. 4

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 36 - 1 Le conducteur qui veut obliquer à droite serrera le bord droit de la chaussée, celui qui veut obliquer à gauche se tiendra près de l'axe de la chaussée. |
|
1 | Le conducteur qui veut obliquer à droite serrera le bord droit de la chaussée, celui qui veut obliquer à gauche se tiendra près de l'axe de la chaussée. |
2 | Aux intersections, le véhicule qui vient de droite a la priorité. Les véhicules circulant sur une route signalée comme principale ont la priorité, même s'ils viennent de gauche. Est réservée toute réglementation différente de la circulation imposée par des signaux ou par la police. |
3 | Avant d'obliquer à gauche, le conducteur accordera la priorité aux véhicules qui viennent en sens inverse. |
4 | Le conducteur qui veut engager son véhicule dans la circulation, faire demi-tour ou marche arrière ne doit pas entraver les autres usagers de la route; ces derniers bénéficient de la priorité. |
5.3. Die Vorinstanz geht in Einklang mit Bundesrecht davon aus, der Beschwerdeführer habe seine Sorgfaltspflichten im Strassenverkehr verletzt. Er hatte beim Einfügen in den Verkehr keinen Vortritt gegenüber dem Fahrrad fahrenden Privatkläger auf dem Fahrradstreifen (Art. 36 Abs. 4

SR 741.01 Loi fédérale du 19 décembre 1958 sur la circulation routière (LCR) LCR Art. 36 - 1 Le conducteur qui veut obliquer à droite serrera le bord droit de la chaussée, celui qui veut obliquer à gauche se tiendra près de l'axe de la chaussée. |
|
1 | Le conducteur qui veut obliquer à droite serrera le bord droit de la chaussée, celui qui veut obliquer à gauche se tiendra près de l'axe de la chaussée. |
2 | Aux intersections, le véhicule qui vient de droite a la priorité. Les véhicules circulant sur une route signalée comme principale ont la priorité, même s'ils viennent de gauche. Est réservée toute réglementation différente de la circulation imposée par des signaux ou par la police. |
3 | Avant d'obliquer à gauche, le conducteur accordera la priorité aux véhicules qui viennent en sens inverse. |
4 | Le conducteur qui veut engager son véhicule dans la circulation, faire demi-tour ou marche arrière ne doit pas entraver les autres usagers de la route; ces derniers bénéficient de la priorité. |
an dieser Stelle nicht zu beurteilen ist), vermag den Beschwerdeführer nicht zu entlasten. Denn im Strafrecht gibt es keine Verschuldenskompensation (BGE 122 IV 17 E. 2c.bb; Urteil 6B 1161/2021 vom 21. April 2023 E. 15.8.2).
Der Verkehrsunfall und die Verletzungen des Privatklägers wären vermeidbar gewesen. Diese sind dem Beschwerdeführer zuzurechnen. Hierfür genügt es, wenn das Verhalten des Täters mindestens mit einem hohen Grad an Wahrscheinlichkeit die Ursache des Erfolgs bildete (vgl. BGE 140 II 7 E. 3.4 mit Hinweisen). Dies ist vorliegend der Fall.
6.
Der Beschwerdeführer kritisiert die Strafzumessung lediglich für den Fall des Freispruchs. Darauf ist angesichts des Verfahrensausgangs nicht weiter einzugehen.
7.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung ist ebenfalls abzuweisen, da die Rechtsbegehren von vornherein aussichtslos waren (Art. 64 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés25. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf eingetreten wird.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Verbeiständung wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'200.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Obergericht des Kantons Zürich, II. Strafkammer, und dem Strassenverkehrsamt des Kantons Zürich schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 25. Juni 2024
Im Namen der II. strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Abrecht
Der Gerichtsschreiber: Hahn