Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 446/2021
Urteil vom 25. Januar 2022
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Christian Jaeggi,
Beschwerdeführerin,
gegen
AXA Versicherungen AG,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 23. März 2021 (UV.2019.00255).
Sachverhalt:
A.
Die 1987 geborene A.________ ist seit dem 20. Mai 2013 als Sachbearbeiterin Administration bei der B.________ tätig und in dieser Funktion bei der AXA Versicherungen AG (im Folgenden: AXA) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 24. Februar 2018 wurde sie auf der Schlittelbahn in Flims von einem Schlitten angefahren. Im Spital C.________, wo A.________ zur Erstversorgung bis 25. Februar 2018 hospitalisiert war, wurden eine Schambeinkontusion und differentialdiagnostisch eine Muskelzerrung der Adduktoren diagnostiziert. Die AXA erbrachte die gesetzlichen Leistungen. Da A.________ über anhaltende Schmerzen klagte, folgten diverse Untersuchungen v.a. der Hüfte und des Beckens. In deren Anschluss hielt Dr. med. D.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparats, am 1. November 2018 im Bericht der Klinik E.________ die Diagnosen Labrumriss Hüfte links sowie Labrumdegeneration rechts fest.
Die AXA holte eine Stellungnahme ihres beratenden Arztes Dr. med. F.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, vom 21. November 2018 ein, in der festgehalten wurde, dass spätestens zum Zeitpunkt des MRI der Lendenwirbelsäule (LWS) vom 28. Mai 2018 keine unfallbedingten Befunde mehr nachgewiesen werden konnten. Gestützt darauf teilte die AXA A.________ mit Schreiben vom 14. Dezember 2018 mit, sie stelle die Versicherungsleistungen rückwirkend per 28. Mai 2018 ein und verzichte auf die Rückforderung der darüber hinaus ausgerichteten Leistungen. A.________ erklärte sich damit am 23. Dezember 2018 nicht einverstanden Sie liess die AXA am 12. Februar 2019 um nochmalige Überprüfung ihres Entscheids, andernfalls um Zustellung einer einsprachefähigen Verfügung ersuchen und legte den Bericht des Dr. med. D.________ vom 24. Januar 2019 bei, in dem ein Labrumriss Hüfte beidseits diagnostiziert worden war. Die AXA holte eine weitere Stellungnahme des Dr. med. F.________ vom 13. März 2019 ein. Gestützt darauf bestätigte sie mit Verfügung vom 1. April 2019 mangels eines natürlichen Kausalzusammenhangs zwischen den geklagten Beschwerden und dem Unfallereignis die Leistungseinstellung per 28. Mai
2018 sowie den Verzicht auf Rückforderung der darüber hinaus ausgerichteten Leistungen. Daran hielt die AXA - nach Einholung einer medizinischen Beurteilung ihres beratenden Arztes Dr. med. G.________, Facharzt Orthopädische Chirurgie & Traumatologie FMH, vom 16. September 2019 - mit Einspracheentscheid vom 23. September 2019 fest.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Urteil vom 23. März 2021 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, die AXA sei in Aufhebung des angefochtenen Urteils und des Einspracheentscheids zu verpflichten, ihr weiterhin die gesetzlichen Leistungen gemäss UVG zu erbringen. Eventualiter sei die Sache zur Einholung eines unabhängigen medizinischen Gutachtens an die Vorinstanz oder an die AXA zurückzuweisen.
Die vorinstanzlichen Akten wurden eingeholt. Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie in Bestätigung des Einspracheentscheids vom 23. September 2019 einen Leistungsanspruch der Beschwerdeführerin über den 28. Mai 2018 hinaus verneinte. Im Zentrum steht dabei die Frage, ob der Unfall vom 24. Februar 2018 für die weiterhin geklagten Hüftbeschwerden kausal ist.
2.2. Das kantonale Gericht legte die Bestimmungen und Grundsätze zum für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort. |
2.3. Zu betonen ist, dass beratende Ärzte eines Versicherungsträgers, was den Beweiswert ihrer ärztlichen Beurteilung angeht, versicherungsinternen Ärzten gleichzusetzen sind (SVR 2021 UV Nr. 34 S. 154, Urteil 8C 672/2020, E. 2.3). Deren Berichten und Gutachten kommt nach der Rechtsprechung Beweiswert zu, sofern sie als schlüssig erscheinen, nachvollziehbar begründet sowie in sich widerspruchsfrei sind und keine Indizien gegen ihre Zuverlässigkeit bestehen (BGE 125 V 351 E. 3b/ee mit Hinweis). Trotz dieser grundsätzlichen Beweiseignung kommt den Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen praxisgemäss nicht dieselbe Beweiskraft zu wie einem gerichtlichen oder im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
3.
In umfassender Würdigung der medizinischen Aktenlage verneinte die Vorinstanz den natürlichen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfallereignis vom 24. Februar 2018 und den über den 28. Mai 2018 hinaus geklagten Hüftbeschwerden. Sie stützte sich dabei auf die Aktenbeurteilungen der beratenden Ärzte der AXA Dr. med. F.________ vom 21. November 2018 und 13. März 2019 sowie Dr. med. G.________ vom 16. September 2019, die sie als beweiskräftig erach tete. Den beratenden Ärzten hätten die Berichte der behandelnden Ärzte und die Bilder der Untersuchungen zur Verfügung gestanden. Weder bei der radiologischen Untersuchung vom 24. Februar 2018 noch bei den folgenden bildgebenden Untersuchungen vom 2. und 23. März 2018 sowie vom 28. Mai 2018 hätten - so das kantonale Gericht - strukturelle Schädigungen erhoben werden können. Die MR-Arthografie vom 30. Oktober 2018 habe sodann lediglich den Verdacht auf einen kleinen anterioren Labrumeinriss Hüfte links ergeben. Gemäss den übereinstimmenden Beurteilungen der Dres. med. F.________ und G.________ könne indes nicht von einer traumatisch bedingten Labrumläsion ausgegangen werden und der Status quo sine sei spätestens am 28. Mai 2018 erreicht gewesen. Weder die Berichte der Ärzte der Klinik
E.________ noch diejenigen der übrigen behandelnden Ärzte vermöchten auch nur geringe Zweifel an den Beurteilungen der beratenden Ärzte der AXA zu begründen.
4.
Was die Beschwerdeführerin in weitgehender Wiederholung der bereits vor dem kantonalen Gericht erhobenen Einwendungen dagegen vorbringen lässt, vermag nicht aufzuzeigen, inwiefern das angefochtene Urteil bundesrechtswidrig sein soll.
4.1. Die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung, wonach der Status quo sine spätestens am 28. Mai 2018 erreicht gewesen sei und die noch geklagten Beschwerden nicht in einem natürlichen Kausalzusammenhang mit dem Unfallereignis vom 24. Februar 2018 stehen würden, beruht auf einer nicht zu beanstandenden Prüfung und Würdigung der medizinischen Aktenlage.
4.1.1. Soweit die Beschwerdeführerin erneut eine ungenügende Aktenlage rügt, legte das kantonale Gericht zutreffend dar, dass die AXA die Berichte der behandelnden Ärzte eingeholt und ihren beratenden Ärzten zusammen mit den Bildern der Untersuchungen zur Verfügung gestellt hatte. Indem die Vorinstanz die reinen Aktenbeurteilungen der Dres. med. F.________ und G.________ als beweiskräftig erachtete, verletzte sie kein Bundesrecht. Wie sie zutreffend darlegte, kann praxisgemäss auf Aktenberichte abgestellt werden, wenn ein lücken loser Befund vorliegt und es im Wesentlichen nur um die ärztliche Beurteilung eines an sich feststehenden medizinischen Sachverhalts geht (vgl. SVR 2010 UV Nr. 17 S. 63, 8C 239/2008 E. 7.2; Urteil 8C 183/2020 vom 22. April 2020 E. 4.1 mit Hinweisen). Inwiefern diese Voraussetzungen bei den Berichten der beratenden Ärzte der AXA nicht erfüllt sein sollen, legt die Beschwerdeführerin nicht substanziiert dar und ist im Übrigen auch nicht ersichtlich. Wohl erwähnte Dr. med. G.________ in seiner Beurteilung vom 16. September 2019, dass sich nicht sämtliche der ihm vorliegenden medizinischen Berichte zu relevanten Kriterien wie Anamnese, Patientenmerkmale, Exposition, Vorschädigungen, Schadensmechanismus,
morphologisches und funktionelles Schadensbild geäussert hätten, doch war ihm eine Stellungnahme zur unterbreiteten Fragestellung, namentlich zur Unfallkausalität der Beschwerden, gestützt darauf vorbehaltlos möglich.
4.1.2. Die Beschwerdeführerin stellt sodann erneut die Fachrichtung bzw. Spezialisierung der von der AXA beigezogenen beratenden Ärzte in Frage und rügt, es seien keine Stellungnahmen der behandelnden Orthopädischen Chirurgen und ausgewiesenen Hüftspezialisten eingeholt worden. Diesbezüglich ist zunächst festzuhalten, dass Berichte des Dr. med. D.________, Klinik E.________, und des Dr. med. H.________, Klinik I.________, bei den Akten liegen. Bei beiden Ärz ten handelt es sich - wie auch bei den beigezogenen beratenden Ärzten - um Fachärzte für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates. Inwiefern die Qualifikation der Dres. med. F.________ und G.________ für die Beurteilung des vorliegend streitigen natürlichen Kausalzusammenhangs zwischen den geklagten Beschwerden und dem Unfallereignis nicht ausreichend sein soll, ist daher nicht nachvollziehbar.
4.1.3. Der rechtsgenügliche Nachweis eines Kausalzusammenhangs lässt sich im Weiteren auch nicht mit dem Bericht des Hausarztes Dr. med. J.________, Innere Medizin FMH, vom 20. Oktober 2019 begründen, wonach die Beschwerdeführerin vor dem Unfallereignis vom 24. Februar 2018 nie unter Hüftbeschwerden gelitten habe. Diese Argumentation läuft - wie auch von der Vorinstanz festgestellt - auf die im gegebenen Kontext beweisrechtlich unzulässige Beweismaxime "post hoc ergo propter hoc" hinaus (BGE 142 V 325 E. 2.3.2.2; 119 V 335 E. 2b/bb).
4.1.4. Soweit die Beschwerdeführerin schliesslich die Festlegung des status quo sine auf den 28. Mai 2018 kritisiert und insbesondere erneut geltend macht, es lägen mehr als geringe Zweifel an der Schlüssigkeit der Einschätzung der beratenden Ärzte der AXA vor, beschränkt sie sich - in abgeänderter Reihenfolge - auf eine nahezu wörtliche Wiederholung des bereits vorinstanzlich Vorgetragenen. In diesem Punkt ist daher auf die nicht zu beanstandenden Erwägungen im angefochtenen Urteil zu verweisen. Entscheidend ist insbesondere nicht, ob behandelnde Ärzte eine bestimmte Diagnose wie z.B. diejenige einer Labrumläsion stellten, sondern vielmehr, ob eine solche in einem natürlichen Kausalzusammenhang mit dem Unfallereignis vom 24. Februar 2018 steht bzw. stehen würde. Die Dres. med. F.________ und G.________ legten überzeugend und widerspruchs frei dar, dass die Unfallkausalität der nach dem 28. Mai 2018 bestehenden Hüftbeschwerden zu verneinen ist. Wie das kantonale Gericht zutreffend aufzeigte, vermögen die Berichte der behandelnden Ärzte keine auch nur geringen Zweifel an der Zuverlässigkeit der Folgerungen der beratenden Ärzte der AXA zu begründen.
4.2. Bei dieser Ausgangslage konnte und kann in antizipierter Beweiswürdigung (BGE 144 V 361 E. 6.5) auf zusätzliche Abklärungen verzichtet werden. Eine Bundesrechtswidrigkeit, namentlich eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes, ist darin ebenso wenig zu sehen wie eine in medizinischer Hinsicht unrichtige Sachverhaltsfeststellung. Beim angefochtenen Urteil hat es mithin sein Bewenden.
5.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 25. Januar 2022
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Wirthlin
Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch