Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

8C 236/2017

Urteil vom 24. Juli 2017

I. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Wirthlin,
Gerichtsschreiber Jancar.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Christine Zemp Gsponer,
Beschwerdeführer,

gegen

Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),

Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 15. Februar 2017.

Sachverhalt:

A.

A.a. Der 1980 geborene A.________ war seit 1. Dezember 2004 Verkaufsberater bei der B.________ AG und damit bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch unfallversichert. Am 30. August 2007 erlitt er eine Auffahrkollision. Das Spital C.________ diagnostizierte am 31. August 2007 eine leichte Distorsion der Halswirbelsäule (HWS), einen Status nach Schleudertrauma vor 2 Jahren, ein chronisches lumbovertebrales Schmerzsyndrom und Diarrhoe. Die Suva kam für die Heilbehandlung und das Taggeld auf. Mit Verfügung vom 11. Juli 2008 stellte sie die Leistungen per 14. Juli 2008 ein, da die Beschwerden des Versicherten nicht mehr unfallbedingt seien. Seine Einsprache wies sie mit Einspracheentscheid vom 30. Dezember 2008 ab, was das Versicherungsgericht des Kantons Aargau mit Entscheid vom 24. November 2009 bestätigte. Das Bundesgericht hiess seine Beschwerde teilweise gut und hob den kantonalen Entscheid sowie den Einspracheentscheid der Suva auf. Es wies die Sache an diese zurück, damit sie, nach erfolgter Abklärung im Sinne des Erwogenen, über den Leistungsanspruch ab 14. Juli 2008 neu verfüge. Im Übrigen wies es die Beschwerde ab (Urteil 8C 51/2010 vom 21. Mai 2010).

A.b. Die Suva holte bei Dr. med. D.________, Leitender Arzt, Orthopädische Klinik E.________, ein Gutachten vom 3. Oktober 2011 ein. Da sie dieses nicht als beweiskräftig erachtete, entschloss sie sich zur Einholung eines weiteren Gutachtens, was sie - auf Widerstand des Versicherten hin - mit Zwischenverfügung vom 3. März 2014 bekräftigte. Nachdem der zuerst angesprochene Sachverständige (Prof. Dr. F.________) zufolge Krankheit ausgefallen war, veranlasste sie schliesslich ein Gutachten des Prof. Dr. med. G.________, Leiter Wirbelsäulenchirurgie, vom 20. April 2015. Mit Verfügung vom 6. Juli 2015 stellte sie die Leistungen für den Unfall des Versicherten vom 30. August 2007 per 14. Juli 2008 ein. Am 2. August 2015 ergänzte Prof. Dr. med. G.________ sein Gutachten aufgrund eines MRI der Lendenwirbelsäule (LWS) vom 20. Mai 2015. Die Einsprache des Versicherten wies die Suva mit Entscheid vom 20. September 2016 ab.

B.
Die hiergegen erhobene Beschwerde wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau mit Entscheid vom 15. Februar 2017 ab.

C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt der Versicherte, in Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei die Suva zu verpflichten, die nach wie vor geklagten LWS-, Becken- und linksseitigen Beinbeschwerden als unfallbedingt anzuerkennen und allfällige damit zusammenhängende UVG-Leistungen zu erbringen.
Ein Schriftenwechsel wurde nicht angeordnet.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
. BGG gerügt werden. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
BGG). Dennoch prüft es - offensichtliche Fehler vorbehalten - nur die in seinem Verfahren gerügten Rechtsmängel (Art. 42 Abs. 1 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
. BGG; BGE 135 II 384 E. 2.2.1 S. 389).
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
und Art. 105 Abs. 3
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen betreffend den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
UVG) erforderlichen natürlichen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und dem Gesundheitsschaden (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f., 129 V 177 E. 3.1 f. S. 181), den Untersuchungsgrundsatz (Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
ATSG), den massgebenden Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit (BGE 138 V 218 E. 6 S. 221) sowie den Beweiswert von ärztlichen Berichten und Gutachten (BGE 135 V 465 E. 4.4 S. 470, 134 V 231 E. 5.1 S. 232, 125 V 351 E. 3a und b S. 352 f.) richtig dargelegt. Gleiches gilt bezüglich der Voraussetzungen für den Nachweis des Wegfalls der unfallbedingten Ursachen eines Gesundheitsschadens bei Erreichen des Zustands, wie er unmittelbar vor dem Unfall bestand resp. nach dem schicksalsmässigen Verlauf eines krankhaften Vorzustandes auch ohne den Unfall bestehen würde (Status quo ante vel sine; SVR 2016 UV Nr. 18 S. 55, 8C 331/2015 E. 2.1.1). Darauf wird verwiesen.

3.
Das kantonale Gericht erwog im Wesentlichen, strittig und zu prüfen sei, ob die Beschwerden des Versicherten im Bereich der LWS, des Beckens und des linken Beins nach dem 14. Juli 2008 noch natürlich kausal auf seinen Unfall vom 30. August 2007 zurückzuführen seien. Dr. med. D.________ habe diese Frage im Gutachten vom 3. Oktober 2011 nicht nachvollziehbar beantwortet. Deshalb handle es sich bei dem von der Suva eingeholten Gutachten des Prof. Dr. med. G.________ vom 20. April 2015 nicht um eine unzulässige "second opinion". Im Übrigen hätte der Beschwerdeführer die Zwischenverfügung der Suva vom 3. März 2014 ans Versicherungsgericht weiterziehen können. Zum Beweiswert des zweiten Gutachtens erkannte die Vorinstanz, Prof. Dr. med. G.________ habe schlüssig und nachvollziehbar aufgezeigt, dass die Beschwerden des Versicherten im Bereich der LWS, des Beckens und des linken Beins im Untersuchungszeitpunkt am 27. Januar 2015 nur in einem möglichen Zusammenhang mit dem Unfall vom 30. August 2007 gestanden hätten. Im Lichte des massgebenden Beweisgrads der überwiegenden Wahrscheinlichkeit habe somit keine Unfallkausalität dieser Beschwerden mehr bestanden. In der Gutachtensergänzung vom 2. August 2015 habe Prof. Dr. med. G.________
festgestellt, das MRI der LWS vom 20. Mai 2015 belege klar, dass hier eine primär krankhafte, degenerative Veränderung dominiere. Hinsichtlich der Frage, ob der Status quo ante oder sine am 14. Juli 2008 erreicht gewesen sei, habe Prof. Dr. med. G.________ am 20. April 2015 die Analogie zur HWS gezogen. Bei dieser seien die Beschwerden nach drei Monaten deutlich regredient gewesen. Laut Prof. Dr. med. G.________ stelle die HWS in der Konstellation des Auffahrunfalls das vulnerablere Organ dar als die LWS, weshalb man schliessen könne, dass nach drei, spätestens sechs Monaten der Status quo sine wieder erreicht worden sei. Demnach - so die Vorinstanz weiter - habe die Suva ihre Leistungspflicht aus dem Unfall vom 30. August 2007 ab 14. Juli 2008 zu Recht mangels Unfallkausalität der noch geklagten Beschwerden abgelehnt.

4.
Der Beschwerdeführer legt einen Bericht seines Hausarztes H.________, Facharzt für Innere Medizin, vom 24. März 2017 auf. Hierbei handelt es sich, da erst nach dem angefochtenen Gerichtsentscheid entstanden, um ein unzulässiges echtes Novum (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
BGG; BGE 140 V 543 E. 3.2.2.2 S. 548; Urteil 8C 148/2017 vom 19. Juni 2017 E. 5).

5.

5.1. Der Beschwerdeführer rügt, er habe bereits vor dem Unfall vom 30. August 2007 verschiedene Unfälle erlitten, die ebenfalls die LWS, das Becken und das linke Bein betroffen hätten. Die Einschränkung der Beurteilung auf das jüngste Ereignis sei unzulässig. Die Suva sei auch für die Folgen der früheren Unfälle abklärungs- und leistungspflichtig. Die Vorinstanz habe somit nur eine Teilbeurteilung vorgenommen, was unzulässig sei.

5.2. Die rechtliche Beurteilung, mit der ein bundesgerichtliches Rückweisungsurteil begründet wurde, ist für das weitere Verfahren massgebend, d.h. für die Vorinstanz, die Parteien und auch das allenfalls erneut mit der Sache befasste Bundesgericht verbindlich. Abgesehen von zulässigen Noven ist der neuen Entscheidung der bisherige Sachverhalt zugrunde zu legen; rechtliche Gesichtspunkte, die ausdrücklich abgelehnt oder überhaupt nicht in Erwägung gezogen wurden, haben ausser Betracht zu bleiben; definitiv entschiedene Punkte sind nicht in Frage zu stellen. Die Tragweite des Rückweisungsentscheids ergibt sich mithin aus seiner Begründung, die in Verbindung mit den Rechtsschriften, die ihm zugrunde lagen, den Rahmen für die Neubeurteilung der Streitsache in tatsächlicher und rechtlicher Hinsicht vorgibt (BGE 135 III 334 E. 2 S. 335; Urteil 9C 82/2017 vom 31. Mai 2017 E. 3.1).
Das Bundesgericht erwog im Urteil 8C 51/2010, streitig und zu prüfen sei, ob der Beschwerdeführer ab 14. Juli 2008 weiterhin Anspruch auf Versicherungsleistungen für die Folgen des Unfalls vom 30. August 2007 habe (E. 5 Ingress). Aufgrund der medizinischen Aktenlage lasse sich der natürliche Kausalzusammenhang zwischen diesem Unfall sowie den LWS-, Becken- und linksseitigen Beinbeschwerden nicht rechtsgenüglich beurteilen (E. 9.2). Das Bundesgericht wies deshalb die Sache an die Suva zurück, damit sie, nach erfolgter Abklärung im Sinne des Erwogenen, über den Leistungsanspruch ab 14. Juli 2008 neu verfüge (Dispositiv-Ziff. 1). Aufgrund der Bindungswirkung dieses Urteils ist die Leistungspflicht der Suva für andere Unfälle des Beschwerdeführers vorliegend nicht zu prüfen. Zulässige Noven, die einen anderen Schluss nahelegten, macht er nicht geltend. In dieser Hinsicht ist auf die Beschwerde somit nicht einzutreten.

6.
Mit Zwischenverfügung vom 3. März 2014 ordnete die Suva eine Zweitbegutachtung bei Prof. Dr. med. F.________, Orthopädie, Spital I.________, an. Am 14. Oktober 2014 eröffnete sie dem Beschwerdeführer, Prof. Dr. med. F.________ sei erkrankt und habe seinen Auftrag zurückweisen müssen. Es sei nun vorgesehen, Prof. Dr. med. G.________ mit der Begutachtung zu beauftragen. Am 24. Oktober 2014 teilte der Beschwerdeführer der Suva mit, obwohl eine weitere Begutachtung nicht notwendig sei, nehme er zur Kenntnis, dass ein neuer Gutachter beauftragt werde. Gegen die Person des Prof. Dr. med. G.________ würden keine Einwände erhoben. Unbehelflich ist in diesem Lichte sein vorinstanzlich erhobener und letztinstanzlich wiederholter pauschaler Einwand, entgegen der Zwischenverfügung vom 3. März 2014 sei die Zweitbegutachtung nicht bei Prof. Dr. med. F.________, sondern bei Prof. Dr. med. G.________ eingeholt worden.

7.
Aus dem Argument der Vorinstanz, der Beschwerdeführer hätte die Zwischenverfügung der Suva vom 3. März 2014 ans Versicherungsgericht weiterziehen können, wenn er eine Zweitbegutachtung als unzulässig erachtet hätte, kann nichts zu seinen Ungunsten abgeleitet werden. Denn das Bundesgericht prüft zusammen mit dem hier angefochtenen kantonalen Endentscheid, ob die Einholung des Gutachtens des Prof. Dr. med. G.________ vom 20. April/2. August 2015 bundesrechtskonform war (BGE 138 V 271; Urteil 9C 285/2014 vom 30. Mai 2014 E. 1 f.).

8.

8.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, Dr. med. D.________ habe seine Beurteilung im Gutachten vom 3. Oktober 2011 in Kenntnis der Vorakten, nach eigener Untersuchung und in Berücksichtigung seiner Angaben abgegeben. Seine Beurteilung sei gut nachvollziehbar. Auch Prof. Dr. med. G.________ habe auf dieses Gutachten verwiesen. Sein Gutachten vom 20. April/2. August 2015 sei somit eine unzulässige "second opinion".

8.2. Das kantonale Gericht erwog, Dr. med. D.________ habe am 3. Oktober 2011 einerseits festgehalten, die Beschwerden des Versicherten im Bereich der linken LWS mit Abstrahlung in das linke Bein stünden nicht im Kausalzusammenhang unter anderem zum Unfall vom 30. August 2007. Bereits vor diesem Unfall sei bei ihm die Diagnose eines chronischen Lumbovertrebralsyndroms gestellt worden. Andererseits habe Dr. med. D.________ den Status quo ante als noch nicht erreicht bezeichnet und festgehalten, es könne nicht von einer bloss vorübergehenden Verschlimmerung einer vorbestehenden Beeinträchtigung ausgegangen werden. Dies spreche aber wiederum dafür, dass eine natürliche Unfallkausalität der LWS-, Becken- und linksseitigen Beinbeschwerden bestehe. Somit lasse sich diese Frage gestützt auf das Gutachten des Dr. med. D.________ nicht abschliessend beantworten, weshalb die Suva zu Recht ein weiteres orthopädisches Gutachten eingeholt habe.
Gegen diese vom kantonalen Gericht festgestellten Diskrepanzen im Gutachten des Dr. med. D.________ bringt der Beschwerdeführer keine substanziierten stichhaltigen Rügen vor. Soweit er aus diesem Gutachten Passagen zitiert, die für die natürliche Unfallkausalität seiner Beschwerden sprechen, ändert dies nichts an den bestehenden Widersprüchen innerhalb des Gutachtens. Unbehelflich ist auch sein pauschaler Einwand, Prof. Dr. med. G.________ habe auf das Gutachten des Dr. med. D.________ verwiesen; denn dies war Teil seiner Auseinandersetzung mit diesem Gutachten.
Nach dem Gesagten durfte die Suva im Rahmen ihres Ermessensspielraums eine weitere Begutachtung anordnen (BGE 137 V 210 E. 3.3.1 S. 245, 136 V 156 E. 3.3 S. 158; Urteil 8C 725/2016 vom 9. Februar 2017 E. 5.2.2).

9.
Der Beschwerdeführer macht geltend, Prof. Dr. med. G.________ habe im Gutachten vom 20. April 2015 die Frage, ob der Unfall vom 30. August 2007 mindestens mit Wahrscheinlichkeit zu einer Verschlimmerung einer vorbestehenden Beeinträchtigung im Bereich der LWS, des Beckens und des linke Beins geführt habe, bejaht. Weiter habe er erklärt, der Status quo ante werde wahrscheinlich nicht mehr erreicht werden. Demnach sei es falsch, wenn die Vorinstanz aus diesem Gutachten den Schluss ziehe, die geklagten Beschwerden stünden nur in einem möglichen Zusammenhang mit dem Unfall vom 30. August 2007. Dies genüge nicht den bundesrechtlichen Beweisanforderungen und der bei anspruchsaufhebenden Tatsachen dem Versicherer obliegenden Beweislast.
Diese Vorbringen sind nicht stichhaltig. Denn aus dem Gutachten des Prof. Dr. med. G.________ vom 20. April/2. August 2015 geht hervor, dass er nicht von einer richtunggebenden, sondern von einer bloss vorübergehenden Verschlimmerung der Beschwerden des Versicherten durch den Unfall vom 30. August 2007 ausging. Weiter stellte er fest, der Status quo sine sei spätestens sechs Monate nach diesem Unfall erreicht worden. Da Prof. Dr. med. G.________ seiner Schlussfolgerung im Übrigen eine langsam progressive, degenerative Entwicklung des Beschwerdebildes zugrunde legte, stellt es keinen Widerspruch dar, wenn er ausführte, der Status quo ante werde wahrscheinlich nicht mehr erreicht werden.

10.
Insgesamt ist es weder bundesrechtswidrig noch beruht es auf einer unrichtigen Sachverhaltsfeststellung, wenn das kantonale Gericht die Leistungseinstellung der Suva per 14. Juli 2008 bestätigte.

11.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 24. Juli 2017
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Der Präsident: Maillard

Der Gerichtsschreiber: Jancar
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 8C_236/2017
Date : 24 juillet 2017
Publié : 11 août 2017
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-accidents
Objet : Unfallversicherung (Kausalzusammenhang)


Répertoire des lois
LAA: 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA)
LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
1    Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle.
2    L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie:
a  les fractures;
b  les déboîtements d'articulations;
c  les déchirures du ménisque;
d  les déchirures de muscles;
e  les élongations de muscles;
f  les déchirures de tendons;
g  les lésions de ligaments;
h  les lésions du tympan.21
3    L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10).
LPGA: 61
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
LTF: 42 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
1    Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés.
2    Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16
3    Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision.
4    En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement:
a  le format du mémoire et des pièces jointes;
b  les modalités de la transmission;
c  les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18
5    Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
6    Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération.
7    Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable.
66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
99 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
1    Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente.
2    Toute conclusion nouvelle est irrecevable.
105 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
106
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
1    Le Tribunal fédéral applique le droit d'office.
2    Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant.
Répertoire ATF
125-V-351 • 129-V-177 • 134-V-109 • 134-V-231 • 135-II-384 • 135-III-334 • 135-V-465 • 136-V-156 • 137-V-210 • 138-V-218 • 138-V-271 • 140-V-543
Weitere Urteile ab 2000
8C_148/2017 • 8C_236/2017 • 8C_331/2015 • 8C_51/2010 • 8C_725/2016 • 9C_285/2014 • 9C_82/2017
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
tribunal fédéral • autorité inférieure • pré • tribunal des assurances • question • argovie • mois • état de fait • décision • aa • recours en matière de droit public • connaissance • atteinte à la santé • frais judiciaires • greffier • emploi • décision sur opposition • lien de causalité • médecin • établissement hospitalier • échange d'écritures • motivation de la décision • attestation • force obligatoire • fardeau de la preuve • médecine interne • incombance • office fédéral de la santé publique • prestation en argent • à l'intérieur • d'office • distorsion • assureur • directeur • analogie • intéressé • exactitude • décision finale • violation du droit • traumatisme cervical • diagnostic
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