Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
6B 737/2012
Urteil vom 23. Juli 2013
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Mathys, Präsident,
Bundesrichter Denys, Oberholzer,
Gerichtsschreiber Faga.
Verfahrensbeteiligte
X.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Stephan Huber,
Beschwerdeführer,
gegen
Staatsanwaltschaft des Kantons Zug,
An der Aa 4, 6300 Zug,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Mehrfache qualifizierte ungetreue Geschäftsbesorgung, mehrfache qualifizierte Veruntreuung, Strafzumessung; Unschuldsvermutung,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zug, Strafabteilung, vom 5. Oktober 2012.
Sachverhalt:
A.
X.________ wird vorgeworfen, er habe zwischen 1998 und 2003 zusammen mit seiner Ehefrau A.________ über die gemeinsam gegründete und kontrollierte Gesellschaft B.________ AG eine Vielzahl von Anlegern geschädigt. Diese betrauten die B.________ AG mit der Vermögensverwaltung respektive mit Investitionen in Kapitalanlagen. X.________ soll zusammen mit seiner Ehefrau insbesondere Wertpapiergeschäfte zu überhöhten, nicht tagesaktuellen Marktpreisen abgewickelt und anvertraute Kundengelder abredewidrig verwendet haben. Die Anklage legt X.________ und seiner Ehefrau zur Last, sie hätten als berufsmässige Vermögensverwalter gehandelt.
B.
Das Strafgericht Zug erklärte X.________ am 30. März 2011 der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung und der mehrfachen qualifizierten Veruntreuung schuldig. In verschiedenen Punkten sprach es ihn von der Anklage der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung, der mehrfachen qualifizierten Veruntreuung und der Misswirtschaft frei. In weiteren Punkten gab es dem Verfahren aufgrund des Eintritts der Verjährung keine weitere Folge und sprach es X.________ wegen Verletzung des Anklageprinzips frei. Es verurteilte ihn zu einer bedingten Freiheitsstrafe von zwei Jahren bei einer Probezeit von zwei Jahren und unter Anrechnung der Untersuchungshaft von einem Tag. Zudem auferlegte es ihm eine Geldstrafe von 120 Tagessätzen zu Fr. 30.--.
In teilweiser Gutheissung der Berufung von X.________ und in Abweisung der Anschlussberufung der Staatsanwaltschaft bestätigte das Obergericht des Kantons Zug am 5. Oktober 2012 die Schuldsprüche der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung und der mehrfachen qualifizierten Veruntreuung sowie den Freispruch vom Vorwurf der Misswirtschaft. Es sprach X.________ in einem weiteren Punkt vom Vorwurf der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung frei. In weiteren Punkten stellte es den Eintritt der Rechtskraft des erstinstanzlichen Entscheids fest. Es verurteilte X.________ zu einer bedingten Freiheitsstrafe von zwei Jahren bei einer Probezeit von zwei Jahren und unter Anrechnung der Untersuchungshaft von einem Tag.
C.
X.________ führt Beschwerde in Strafsachen. Er beantragt, das Urteil des Obergerichts des Kantons Zug sei aufzuheben, und er sei von Schuld und Strafe freizusprechen.
Erwägungen:
1.
Der Beschwerdeführer wirft der Vorinstanz in mehrerer Hinsicht die Verletzung der Unschuldsvermutung vor (Art. 32 Abs. 1

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
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1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 10 Présomption d'innocence et appréciation des preuves - 1 Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
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1 | Toute personne est présumée innocente tant qu'elle n'est pas condamnée par un jugement entré en force. |
2 | Le tribunal apprécie librement les preuves recueillies selon l'intime conviction qu'il retire de l'ensemble de la procédure. |
3 | Lorsque subsistent des doutes insurmontables quant aux éléments factuels justifiant une condamnation, le tribunal se fonde sur l'état de fait le plus favorable au prévenu. |
1.1. Inwiefern das Sachgericht den Grundsatz "in dubio pro reo" als Beweiswürdigungsregel verletzt hat, prüft das Bundesgericht unter dem Gesichtspunkt der Willkür (vgl. zum Begriff der Willkür BGE 138 I 49 E. 7.1 S. 51; 136 III 552 E. 4.2 S. 560; je mit Hinweisen ). Ob dieser Grundsatz als Beweislastregel verletzt ist, prüft es hingegen mit freier Kognition. Diese aus der Unschuldsvermutung abgeleiteten Maximen wurden wiederholt dargelegt, worauf zu verweisen ist (BGE 127 I 38 E. 2a S. 40 f. mit Hinweisen).
Wird die Verletzung von Grundrechten (einschliesslich der willkürlichen Anwendung von kantonalem Recht und Willkür bei der Sachverhaltsfeststellung) gerügt, gelten qualifizierte Anforderungen an die Begründung. Eine solche Rüge prüft das Bundesgericht nicht von Amtes wegen, sondern nur, wenn sie in der Beschwerde vorgebracht und substanziiert begründet worden ist. Das bedeutet, dass klar und detailliert anhand der Erwägungen des angefochtenen Entscheids darzulegen ist, inwiefern verfassungsmässige Rechte verletzt worden sein sollen (Art. 106 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.2.
1.2.1. Der Beschwerdeführer wendet sich gegen die Würdigung seines Tatbeitrags als Mittäterschaft. In Fällen von Mittäterschaft sei für jeden Mittäter gesondert anzugeben und nachzuweisen, welchen konkreten Tatbeitrag er für welche Tat geleistet habe. Dies habe die Vorinstanz unterlassen. Indem sie auf das gemeinsame jahrelange Zusammenwirken zwischen ihm und seiner Ehefrau verweise, verletze sie den Grundsatz "in dubio pro reo" als Beweiswürdigungsregel. Die Vorinstanz habe nicht nachgewiesen, inwiefern er an der Haupttat seiner Ehefrau beteiligt gewesen sei (Beschwerde S. 4 ff.).
Zum Sachverhaltskomplex "Transfer von Wertschriften zu nicht tagesaktuellen Kursen" (Anklageschrift S. 32 ff. und 97 ff.) macht der Beschwerdeführer geltend, die Wertschriftenverkäufe habe allein seine Ehefrau veranlasst. Er habe wohl die Kursentwicklung der verschiedenen Wertpapiere gekannt. Dass er aber von den Verkäufen respektive Verbuchungen gewusst habe, lege die Vorinstanz nicht dar. Zudem stütze die Vorinstanz seine Mittäterschaft einzig auf sein angebliches Wissen betreffend die nicht zu marktüblichen Preisen übertragenen Wertschriften. Selbst wenn er von den Handlungen seiner Ehefrau gewusst hätte, begründe dies keine Mittäterschaft. Die Vorinstanz verletze die Unschuldsvermutung, weshalb ein Freispruch zu erfolgen habe. Gleiches gelte betreffend den Sachverhaltskomplex "Bezug von anvertrauten Kundengeldern zum Ausgleich nicht bestehender Honorarforderungen" (Anklageschrift S. 59 ff. und 136 ff.). Auch hier stelle die Vorinstanz einzig auf sein angebliches Wissen um die Geschäftstätigkeiten seiner Frau ab. Ebenso seien sämtliche Transaktionen im Sachverhaltskomplex "Abredewidrige Verwendung von anvertrauten Kundengeldern" (Anklageschrift S. 53 ff. und 124 ff.) einzig durch seine Ehefrau getätigt worden (Beschwerde S. 9
ff.).
1.2.2. Nach den vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen (Entscheid S. 2 f. und 16 ff. mit Hinweis auf das erstinstanzliche Urteil S. 28 ff.) haben der Beschwerdeführer und dessen Ehefrau die B.________ AG im Jahre 1993 gegründet und gemeinsam aufgebaut. Im Zeitpunkt der erstinstanzlichen Hauptverhandlung wohnten beide Parteien seit 24 Jahren zusammen. Sie waren von Anfang an vollzeitig beschäftigt und mit Ausnahme von zwei kurzzeitig in untergeordneter Funktion beschäftigten Mitarbeitern die Einzigen, die je für die B.________ AG tätig waren. Sie führten die Bezeichnung des Direktors respektive der Direktorin, waren an der Gesellschaft stets zu gleichen Teilen berechtigt und konnten mit Einzelunterschrift über die Konten der B.________ AG und die Kundenkonten verfügen. Die Vorinstanz gelangt hinsichtlich der Rollenverteilung zwischen dem Beschwerdeführer und seiner Ehefrau zum Schluss, dass der Beschwerdeführer für den Handel und die Anlageentscheide zuständig war und A.________ das Administrative betreute (inkl. allgemeine Korrespondenz, Verfassen und Versand der Vergütungsaufträge an die Banken, Verfassen und Versand der Abrechnungen über den Wertschriftenhandel an die Kunden, Geschäftsabschlüsse und Buchhaltung). Die vom
Beschwerdeführer als Händler angeordneten und durchgeführten Transaktionen wurden von A.________ buchhalterisch erfasst und den Kunden der B.________ AG gegenüber ausgewiesen. Beide Parteien waren genau über die Arbeit und die Arbeitsweise des anderen informiert, arbeiteten zumindest teilweise in denselben Geschäftsräumlichkeiten, hatten Einsicht in sämtliche Geschäftsunterlagen und wussten um die bei ihren Kunden eingetretenen Verluste. Im Sachverhaltskomplex "Transfer von Wertschriften zu nicht tagesaktuellen Kursen" kannte der Beschwerdeführer beispielsweise die Einzelheiten des durch A.________ getätigten Verkaufs zu überhöhten Preisen (um rund 75 %) von C.________ an verschiedene Kunden der B.________ AG, die er vorgängig für den Kunden D.________ gekauft hatte. Auch die relevanten Entschlüsse im Zusammenhang mit dem Sachverhaltskomplex "abredewidrige Verwendung von anvertrauten Kundengeldern" wurden gemeinsam entwickelt und gefällt. Gleiches gilt für den "Bezug von anvertrauten Kundengeldern zum Ausgleich nicht bestehender Honorarforderungen", als sich die B.________ AG an drei Tagen rund Fr. 465'000.-- zulasten zahlreicher Kunden auszahlen liess.
1.2.3. Die mittäterschaftliche Tatbeteiligung wird massgebend an der Rolle gemessen, die der Einzelne willentlich übernimmt, weshalb subjektive Vorbehalte irrelevant sind. Die Willensübereinstimmung kann irgendwie hergestellt werden. Eine besondere Verabredung ist nicht erforderlich (Urteil 6B 473/2012 vom 21. Februar 2013 E. 1.5 mit Hinweis auf Schönke/Schröder/Heine, Strafgesetzbuch, 28. Aufl. 2010, § 25 N. 70 und 71). Mittäter ist, wer bei der Entschliessung, Planung oder Ausführung eines Deliktes vorsätzlich und in massgebender Weise mit anderen Tätern zusammenwirkt, so dass er als Hauptbeteiligter dasteht. Dabei kommt es darauf an, ob der Tatbeitrag nach den Umständen des konkreten Falles und dem Tatplan für die Ausführung des Deliktes so wesentlich ist, dass sie mit ihm steht oder fällt. Das blosse Wollen der Tat genügt zur Begründung von Mittäterschaft jedoch nicht. Der Mittäter muss vielmehr bei der Entschliessung, Planung oder Ausführung der Tat auch tatsächlich mitwirken. Daraus folgt aber nicht, dass Mittäter nur ist, wer an der eigentlichen Tatausführung beteiligt ist oder sie zu beeinflussen vermag. Dass der Mittäter bei der Fassung des gemeinsamen Tatentschlusses mitwirkt, ist nicht erforderlich. Es genügt, dass er
sich später den Vorsatz seiner Mittäter zu eigen macht (BGE 135 IV 152 E. 2.3.1 S. 155; 130 IV 58 E. 9.2.1 S. 66; 125 IV 134 E. 3a S. 136).
1.2.4. Die Vorinstanz gelangt gestützt auf das Untersuchungsergebnis zum Schluss, dass der Beschwerdeführer und A.________ als Geschäftsführer die B.________ AG gemeinsam kontrollierten und leiteten, wichtige Entscheidungen miteinander entwickelten und fällten, die Geschäftsstrategie der B.________ AG arbeitsteilig umsetzten und über die Arbeit des Partners informiert waren. Strategische, den Handel betreffende Entscheide fällte der Beschwerdeführer. Die Transaktionen wurden durch A.________ in der Buchhaltung erfasst und den Kunden gegenüber ausgewiesen. Der Beschwerdeführer behauptet demgegenüber, er habe von den inkriminierten Handlungen seiner Ehefrau nicht gewusst (Beschwerde S. 10 ff.). Damit entfernt er sich in unzulässiger Weise vom verbindlichen Sachverhalt der Vorinstanz (Art. 105 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
genügt etwa die Behauptung, die an den Beschwerdeführer erfolgte Auszahlung eines saldierten Kontos habe nicht nachgewiesen werden können. Solche allgemein gehaltenen Einwände sind ungenügend, um Willkür darzutun, und erschöpfen sich in einer unzulässigen appellatorischen Kritik am angefochtenen Entscheid. Die Beschwerde vermag den Begründungsanforderungen von Art. 106 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.3.
1.3.1. Der Beschwerdeführer sieht die aus der Unschuldsvermutung abgeleitete Beweislastregel verletzt. Er rügt, die Vorinstanz gehe von der unzutreffenden Meinung aus, er habe seine Unschuld zu beweisen. Sie habe ihn im Sachverhaltskomplex "Transfer von Wertschriften zu nicht tagesaktuellen Kursen" verurteilt, weil er diesen Beweis wegen nicht zugänglicher Unterlagen nicht habe erbringen können. Es existierten noch mindestens 26 Kartonschachteln voll mit Unterlagen, welche das Konkursamt Zug beschlagnahmt habe und die sich in den Archiven der Staatsanwaltschaft befänden. Diese habe in eigener Regie entschieden, welchen Akten im Strafverfahren Relevanz zukäme. Er wisse nicht mehr, was die fraglichen Dokumente zum Inhalt hätten. Es bestünde zumindest die Möglichkeit, dass sie die zu beurteilenden Anklagesachverhalte in einem anderen Licht erscheinen liessen. Eine Verletzung der Beweislastregel rügt der Beschwerdeführer auch betreffend den Sachverhaltskomplex "Bezug von anvertrauten Kundengeldern zum Ausgleich nicht bestehender Honorarforderungen". Die Vorinstanz habe seine Behauptung, es habe sich um Verwaltungsratshonorare respektive um Vergütungen im Zusammenhang mit den Depottransfers gehandelt, als unsubstanziierte
Schutzbehauptung qualifiziert. Auch dadurch habe sie zum Ausdruck gebracht, er habe seine Unschuld zu beweisen (Beschwerde S. 9 und 12).
1.3.2. Die Vorinstanz erwägt, aus den Akten ergäben sich keine Anhaltspunkte für entlastende Beweismittel betreffend die fraglichen Wertschriftengeschäfte, welche zu überhöhten, nicht tagesaktuellen Marktpreisen abgewickelt wurden. Der Beschwerdeführer habe es versäumt, konkrete Hinweise auf entsprechende Beweismittel zu nennen. Die Untersuchungsakten umfassten 193 Bundesordner. Es sei nicht zu beanstanden, dass die Strafverfolgungsbehörden gerade bei grossen Wirtschaftsstraffällen nur jene Akten beizögen, die für das Strafverfahren relevant sein könnten. Weiter werde der Vorwurf, Kundengelder für nicht bestehende Honorarforderungen bezogen zu haben, durch stark belastende Beweiselemente untermauert. Was der Beschwerdeführer dazu vorbringe, sei unsubstanziiert und die Erklärung, es habe sich um Verwaltungsratshonorare oder Vergütungen für Depottransfers gehandelt, unglaubhaft (Entscheid S. 28 und 43).
1.3.3. Die aus dem Grundsatz "in dubio pro reo" abgeleitete Beweislastregel ist nicht verletzt. Die Vorinstanz gelangt unter Hinweis auf die erstinstanzlichen Erwägungen und gestützt auf verschiedene Beweismittel zur Überzeugung, dass der Beschwerdeführer und seine Partnerin in den Jahren 1998 und 1999 von Kundenkonten eigenmächtig über 50 Bezüge im Gesamtbetrag von rund Fr. 465'000.-- tätigten und damit die B.________ AG unrechtmässig bereicherten. Indem die Vorinstanz der Darstellung des Beschwerdeführers nicht folgt, hält sie im Ergebnis fest, dass der Beschwerdeführer zu den für ihn ungünstigen Beweisergebnissen keine plausiblen entlastenden Umstände vorzubringen vermag. Dies ist verfassungs- und konventionsrechtlich nicht zu beanstanden. Die Vorinstanz stützt den Schuldspruch nicht auf den Vorwurf, der Beschwerdeführer habe seine Unschuld nicht nachgewiesen. Auch geht sie nicht davon aus, der Beschwerdeführer habe seine Unschuld zu beweisen. Mithin überbindet sie ihm nicht die Beweislast. Entsprechendes gilt in Bezug auf die Verurteilung im Zusammenhang mit den Verkäufen von Wertschriften zu nicht tagesaktuellen Kursen, welche sich ebenso wenig auf den Vorhalt stützt, der Beschwerdeführer habe seine Unschuld nicht dargetan.
Die in diesem Zusammenhang erhobene Rüge, die Staatsanwaltschaft habe nur die aus ihrer Sicht relevanten Akten beigezogen, dringt nicht durch. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Vorinstanz verhalte sich "rechtswidrig" und ihr Entscheid sei "schlicht falsch und in rechtsstaatlicher Hinsicht untragbar". Es bleibt unklar, welche Norm nebst der aus der Unschuldsvermutung abgeleiteten Beweislastregel als verletzt beanstandet wird. D ie Beschwerde genügt den Begründungsanforderungen nicht (Art. 106 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
Beweise nichts an seiner Überzeugung zu ändern vermöchten (vgl. BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236 f.; 134 I 140 E. 5.3 S. 148; 131 I 153 E. 3 S. 157). Dass und inwiefern die Vorinstanz geeignete Beweisanträge abgewiesen und dadurch das rechtliche Gehör des Beschwerdeführers (Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |

SR 281.32 Ordonnance du 13 juillet 1911 sur l'administration des offices de faillite (OAOF) OAOF Art. 15 - L'office des faillites doit observer les règles suivantes au sujet de la conservation des livres de comptabilité et des papiers d'affaires du failli: |
|
1 | Si le commerce du failli a été remis en bloc à une tierce personne, celle-ci pourra en exiger la remise par l'office. |
2 | S'il n'y a pas eu remise en bloc et qu'ainsi les livres de comptabilité et papiers d'affaires n'ont pu être remis à un tiers, il y a lieu de procéder comme suit: |
2a | s'il s'agit de la faillite d'une raison individuelle, les livres de comptabilité et papiers d'affaires sont remis au failli après clôture de la faillite; le failli assume dès ce moment l'obligation de les conserver pendant dix ans, à teneur de l'article 962 du code des obligations24, |
2b | s'il s'agit de la faillite d'une société en nom collectif ou en commandite, ils sont remis à l'associé indéfiniment responsable choisi par ses co-associés pour en recevoir le dépôt. S'ils ne peuvent se mettre d'accord sur ce choix, les livres et papiers d'affaires restent déposés à l'office jusqu'à ce qu'une décision judiciaire les ait attribués à l'un d'eux, ou jusqu'à l'expiration du délai de dix ans à partir de la date de la dernière inscription, |
2c | s'il s'agit de la faillite d'une société anonyme ou d'une société coopérative, les livres de comptabilité et les papiers d'affaires restent déposés à l'office après la clôture de la faillite, tant que le préposé au registre du commerce compétent à teneur de l'article 747 du code des obligations n'a pas désigné un autre lieu sûr où ils devront être déposés jusqu'à l'expiration du délai de dix ans. |
3 | L'office des faillites a l'obligation d'assurer la garde des livres et papiers d'affaires dont le failli ne peut se charger. |
4 | Les autorités cantonales de surveillance ont l'obligation de veiller à ce que les offices de faillite, qui ne sont pas en mesure de conserver par devers eux les livres de comptabilité et papiers d'affaires confiés à leur garde en vertu des règles indiquées ci-dessus, puissent les remettre à un dépôt central. |
Konkurs, 2. Aufl. 2010, N. 5 und 15 f. zu Art. 8a

SR 281.1 Loi fédérale du 11 avril 1889 sur la poursuite pour dettes et la faillite (LP) LP Art. 8a - 1 Toute personne peut consulter les procès-verbaux et les registres des offices des poursuites et des offices des faillites et s'en faire délivrer des extraits à condition qu'elle rende son intérêt vraisemblable. |
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1 | Toute personne peut consulter les procès-verbaux et les registres des offices des poursuites et des offices des faillites et s'en faire délivrer des extraits à condition qu'elle rende son intérêt vraisemblable. |
2 | Cet intérêt est rendu vraisemblable en particulier lorsque la demande d'extrait est directement liée à la conclusion ou à la liquidation d'un contrat. |
3 | Les offices ne doivent pas porter à la connaissance de tiers: |
a | les poursuites nulles ainsi que celles qui ont été annulées sur plainte ou à la suite d'un jugement; |
b | les poursuites pour lesquelles le débiteur a obtenu gain de cause dans l'action en répétition de l'indu; |
c | les poursuites retirées par le créancier; |
d | les poursuites pour lesquelles une demande du débiteur dans ce sens est faite à l'expiration d'un délai de trois mois à compter de la notification du commandement de payer, à moins que le créancier ne prouve, dans un délai de 20 jours imparti par l'office des poursuites, qu'une procédure d'annulation de l'opposition (art. 79 à 84) a été engagée à temps; lorsque la preuve est apportée par la suite, ou lorsque la poursuite est continuée, celle-ci est à nouveau portée à la connaissance de tiers. |
4 | Le droit de consultation des tiers s'éteint cinq ans après la clôture de la procédure. Les autorités judiciaires et administratives peuvent encore, dans l'intérêt d'une procédure pendante devant elles, demander la délivrance d'un extrait. |
2.
2.1. Der Beschwerdeführer kritisiert die Strafzumessung. Er bringt vor, die Vorinstanz habe nicht berücksichtigt, dass er kein einziges der ihm vorgeworfenen Delikte selbst begangen habe. Weiter sei der Deliktsbetrag in der Anklageschrift noch auf Fr. 15 Mio. beziffert worden. Für diesen Deliktsbetrag habe die Anklägerin eine Freiheitsstrafe von fünf Jahren beantragt. Wenn die Vorinstanz von einer Deliktssumme von lediglich rund Fr. 1 Mio. ausgehe und auf eine Freiheitsstrafe von zwei Jahren erkenne, so erscheine die Strafzumessung als willkürlich. Zudem habe die erste Instanz eine Deliktssumme von Fr. 1.8 Mio. angenommen. Gleichwohl habe die Vorinstanz die erstinstanzlich ausgefällte Strafe bestätigt. Schliesslich sei seine schlechte gesundheitliche Verfassung zu wenig berücksichtigt worden (Beschwerde S. 12 ff.).
2.2. Das Bundesgericht hat die Grundsätze der Strafzumessung nach Art. 47 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 49 - 1 Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
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1 | Si, en raison d'un ou de plusieurs actes, l'auteur remplit les conditions de plusieurs peines de même genre, le juge le condamne à la peine de l'infraction la plus grave et l'augmente dans une juste proportion. Il ne peut toutefois excéder de plus de la moitié le maximum de la peine prévue pour cette infraction. Il est en outre lié par le maximum légal de chaque genre de peine. |
2 | Si le juge doit prononcer une condamnation pour une infraction que l'auteur a commise avant d'avoir été condamné pour une autre infraction, il fixe la peine complémentaire de sorte que l'auteur ne soit pas puni plus sévèrement que si les diverses infractions avaient fait l'objet d'un seul jugement. |
3 | Si l'auteur a commis une ou plusieurs infractions avant l'âge de 18 ans, le juge fixe la peine d'ensemble en application des al. 1 et 2 de sorte qu'il ne soit pas plus sévèrement puni que si les diverses infractions avaient fait l'objet de jugements distincts. |
2.3. Die Vorinstanz setzt sich mit den wesentlichen schuldrelevanten Komponenten auseinander und würdigt sämtliche Zumessungsgründe zutreffend. Es ist nicht ersichtlich, dass sie sich dabei von rechtlich nicht massgeblichen Gesichtspunkten hätte leiten lassen oder wesentliche Gesichtspunkte nicht berücksichtigt hätte (angefochtenes Urteil S. 45 ff.).
2.3.1. Soweit der Beschwerdeführer ein Mitwissen betreffend die inkriminierten Machenschaften in Abrede stellt und im Übrigen argumentiert, ein solches mache ihn nicht zum Mittäter und er habe deshalb nicht skrupellos gehandelt, kann auf das bereits Ausgeführte verwiesen werden. Unbehelflich ist der Einwand, wonach allein A.________ "die Handlungen effektiv ausführte". Die Vorinstanz verkennt beispielsweise nicht, dass im Fall des Kunden D.________ es A.________ war, die verschiedenen Kunden je 250 C.________ zu übersetzten Preisen verkaufte. Dem Beschwerdeführer fiel dies spätestens auf, als er die Optionsscheine aus den Depots der Käufer weiterverkaufte. Weiter stellt die Vorinstanz etwa fest, dass der Beschwerdeführer um die Einzelheiten des Wertschriftentransfers von 15'000 Optionsscheinen E.________ zu Lasten der Kunden F.________/G.________ im Voraus wusste und diesen billigte. Relevante Entschlüsse wurden gemeinsam entwickelt und gefällt. Beide Geschäftspartner waren über die Arbeit und die Arbeitsweise des anderen informiert und setzten die gemeinsam vereinbarte Geschäftsstrategie der B.________ AG arbeitsteilig um. Damit ist für das Ausmass des verschuldeten Erfolges massgebend, welche Deliktssumme in Mittäterschaft
erzielt wurde. Dass A.________ eine führende Position innegehabt hätte und der Beschwerdeführer, dem unter anderem der Handel und die Anlageentscheide oblagen, weniger intensiv zum Taterfolg beigetragen hätte respektive ihm eine unbedeutende Rolle im Hintergrund zugekommen wäre, ist nicht erkennbar und stellt die Vorinstanz nicht fest. Es ist deshalb nicht zu beanstanden, dass sein Tatbeitrag nicht relativiert wird.
2.3.2. Der Beschwerdeführer argumentiert, die Untersuchungsbehörde sei bei Anklageerhebung von einer Deliktssumme von rund Fr. 15 Mio. ausgegangen und habe eine Freiheitsstrafe von fünf Jahren beantragt. Daraus vermag der Beschwerdeführer nichts zu seinen Gunsten abzuleiten. Das Gericht ist in der Bemessung der Strafe frei und kann die beantragte Strafe über- oder unterschreiten. Ebenso wenig überzeugt der Hinweis, die Vorinstanz habe das erstinstanzliche Strafmass bestätigt, obgleich sie im Vergleich zur ersten Instanz von einem tieferen Deliktsbetrag ausgegangen sei. Dabei kann offenbleiben, wie die Vorinstanz die Deliktssumme von knapp Fr. 1 Mio. (Entscheid S. 46) herleitet. Sie bemisst den Deliktsbetrag im Sachverhaltskomplex "Transfer von Wertschriften zu nicht tagesaktuellen Kursen" auf über Fr. 720'000.--, betreffend den Tatvorwurf "abredewidrige Verwendung von anvertrauten Kundengeldern" auf über Fr. 500'000.-- und im Sachverhaltskomplex "Bezug von anvertrauten Kundengeldern zum Ausgleich nicht bestehender Honorarforderungen" auf Fr. 465'415.-- (Entscheid S. 18 ff.; vgl. auch den erstinstanzlichen Entscheid S. 36 ff.). Dies ergibt eine Deliktssumme von über Fr. 1'685'415.--, während das Strafgericht Zug einen Deliktsbetrag
von rund Fr. 1.8 Mio. feststellte. Wird ein wesentlicher Teil der Anklage im Berufungsverfahren fallengelassen, so kann das erstinstanzliche Strafmass nur bestätigt werden, wenn dies in der Entscheidbegründung näher dargelegt wird (vgl. Urteile 6B 250/2009 vom 8. Juni 2009 E. 1.1.2 und 6B 291/2008 vom 7. August 2008 E. 4.1, je mit Hinweisen). Der Beschwerdeführer wurde in insgesamt mehr als 40 Anklagepunkten der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung und der mehrfachen qualifizierten Veruntreuung schuldig gesprochen. Die Vorinstanz spricht den Beschwerdeführer lediglich betreffend den Tatvorwurf "unterlassene Verlustbeteiligung" im Zusammenhang mit zwei Kunden der B.________ AG vom Vorwurf der mehrfachen qualifizierten ungetreuen Geschäftsbesorgung frei (Deliktssumme Fr. 139'549.--; Entscheid S. 30 f.). Der zusätzliche Freispruch betrifft somit mit der Vorinstanz (Entscheid S. 48) einen vergleichsweise eher untergeordneten Anklagepunkt. Dass er eine Strafreduktion nahelegt und die fallengelassenen Vorwürfe die Höhe der erstinstanzlich erkannten Strafe massgeblich beeinflussten, legt der Beschwerdeführer nicht dar und ist auch nicht erkennbar. Die ausgefällte Freiheitsstrafe hält sich auch mit Blick auf den
erwähnten Freispruch im Rahmen des dem Sachgericht zustehenden Ermessens.
2.3.3. Keinen Bedenken begegnet auch, dass die Vorinstanz die Täterkomponenten insgesamt neutral bewertet. Sie verletzt kein Bundesrecht, wenn sie der nicht einschlägigen Vorstrafe Rechnung trägt (BGE 136 IV 1 E. 2.6.2 S. 2 mit Hinweisen). Demgegenüber billigt sie dem Beschwerdeführer aufgrund seiner Gesundheit eine erhöhte Strafempfindlichkeit zu (vgl. dazu Urteil 6B 448/2011 vom 27. Juli 2012 E. 7.4 mit Hinweis). Dass die Vorinstanz die Strafempfindlichkeit des Beschwerdeführers in einem grösseren Masse hätte strafmindernd berücksichtigen müssen und sie ihr Ermessen überschreitet oder missbraucht, zeigt der Beschwerdeführer nicht auf und ist nicht erkennbar.
2.3.4. Eine ermessensverletzende Gewichtung der Faktoren respektive eine Verletzung von Bundesrecht (Art. 47 ff

SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 47 - 1 Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
|
1 | Le juge fixe la peine d'après la culpabilité de l'auteur. Il prend en considération les antécédents et la situation personnelle de ce dernier ainsi que l'effet de la peine sur son avenir. |
2 | La culpabilité est déterminée par la gravité de la lésion ou de la mise en danger du bien juridique concerné, par le caractère répréhensible de l'acte, par les motivations et les buts de l'auteur et par la mesure dans laquelle celui-ci aurait pu éviter la mise en danger ou la lésion, compte tenu de sa situation personnelle et des circonstances extérieures. |
3.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf einzutreten ist. Der Beschwerdeführer wird ausgangsgemäss kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 4'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zug, Strafabteilung, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 23. Juli 2013
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Mathys
Der Gerichtsschreiber: Faga