Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 728/2020
Urteil vom 23. Juni 2021
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Wirthlin, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Olivier Zigerli,
Beschwerdeführer,
gegen
Basler Versicherung AG,
Aeschengraben 21, 4051 Basel,
vertreten durch Advokatin Elisabeth Ruff Rudin,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Heilbehandlung, Invalidenrente),
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts des Kantons Bern vom 21. Oktober 2020 (200 20 232 UV).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1973 geborene A.________ war seit 1. März 2007 Verkaufsberater bei der B.________ GmbH und dadurch bei der Basler Versicherung AG (nachfolgend Basler) obligatorisch unfallversichert. Am 26. Juni 2007 erlitt er bei einem Motorradunfall Verletzungen der linken unteren Extremität und der linken Schulter, was mehrere Operationen zu Folge hatte. Die Basler kam für die Heilbehandlung und das Taggeld auf. Sie holte ein Gutachten des Dr. med. D.________, Facharzt für Orthopädie und Traumatologie, Klinik F.________, vom 24. Oktober 2012/17. Januar 2013 ein. Mit Verfügung vom 17. Juni 2013 sprach sie A.________ ab 1. November 2010 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 39 % und eine Integritätsentschädigung von 40 % zu. Zudem gewährte sie ihm weitere Heilbehandlung in Form von regelmässigen ärztlichen Kontrollen in ein- bis zweijährlichen Abständen und ambulanter Physiotherapie (dreimal wöchentliche Sitzungen).
A.b. Seit 1. Mai 2014 ist A.________ aufgrund eines Vertrags mit der C.________ GmbH zu 70 % Filialleiter und Verkaufsberater in der Filiale X.________. Mit Verfügung vom 27. März 2017 passte die Basler die Heilbehandlung an. Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 21. August 2017 fest. Dies bestätigte das Verwaltungsgericht des Kantons Bern mit Urteil vom 15. Dezember 2017. Auf Beschwerde des A.________ hin hob das Bundesgericht dieses Urteil sowie den Einspracheentscheid der Basler auf und wies die Sache zu neuer Verfügung an Letztere zurück. Im Übrigen wies es die Beschwerde ab (Urteil 8C 62/2018 vom 19. September 2018 [BGE 144 V 418]).
A.c. Die Basler holte u.a. ein Gutachten der Institution G.________ vom 19. September/24. Oktober 2019 ein. Mit Verfügung vom 8. Mai 2019 reduzierte sie die Invalidenrente ab 1. Januar 2016 auf einen Invaliditätsgrad von 31 % und forderte von Dezember 2015 bis April 2019 Rentenbeträge von Fr. 19'352.- zurück. Mit Schreiben vom 8. Mai 2019 regelte die Basler die vorsorgliche Übernahme der Heilbehandlung auf Basis der Verfügung vom 27. März 2017. Mit Verfügung vom 8. November 2019 stellte sie die Heilbehandlung - mit Ausnahme der Analgetika - per 1. Januar 2016 ein. Mit Entscheid vom 18. Februar 2020 hiess die Basler die Einsprache des A.________ betreffend Rentenrückerstattung gut und wies sie bezüglich Rentenreduktion ab. Mit Entscheid vom 27. Februar 2020 wies sie seine Einsprache bezüglich vorsorglicher Übernahme der Heilbehandlung ab.
B.
Gegen die beiden letzt genannten Einspracheentscheide erhob A.________ beim Verwaltungsgericht des Kantons Bern separate Beschwerden. Die Basler hob den Einspracheentscheid vom 27. Februar 2020 lite pendente wiedererwägungsweise auf. Das kantonale Gericht änderte den Einspracheentscheid vom 18. Februar 2020 dahingehend ab, als es dem Beschwerdeführer ab 8. Mai 2019 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 33 % zusprach und die Heilbehandlung - mit Ausnahme von Analgetika - ab 8. November 2019 einstellte. Im Übrigen wies es die Beschwerde ab (Urteil vom 21. Oktober 2020).
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt A.________, in Aufhebung des kantonalen Urteils seien ihm über den 8. Mai 2019 hinaus eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 39 % und über den 8. November 2019 hinaus die Kosten für dreimal wöchentliche Sitzungen Physiotherapie auszurichten.
Die Basler schliesst auf Beschwerdeabweisung, eventuell auf Rückweisung der Sache an die Vorinstanz zur Klärung des Arbeitsplatzprofils als Revisionsgrund bezüglich des Heilbehandlungsanspruchs. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Streitig ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie dem Beschwerdeführer ab 8. Mai 2019 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 33 % zusprach und den Anspruch auf Heilbehandlung ab 8. November 2019 verneinte.
1.2. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Vorliegend ist bezüglich der Invalidenrente eine Geldleistung und betreffend die Heilbehandlung eine Sachleistung strittig (Art. 14
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 14 - Constituent des prestations en nature notamment les traitements ou les soins, les moyens auxiliaires, les mesures individuelles de prévention et de réadaptation, les frais de transport et les prestations analogues qui sont fournis ou remboursés par les différentes assurances sociales. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
2.
Auf den 1. Januar 2017 sind die mit Bundesgesetz vom 25. September 2015 revidierten Bestimmungen des UVG in Kraft getreten. Versicherungsleistungen für Unfälle, die sich vor deren Inkrafttreten ereignet haben, und für Berufskrankheiten, die vor diesem Zeitpunkt ausgebrochen sind, werden nach bisherigem Recht gewährt (vgl. Übergangsbestimmung in Art. 118 Abs. 1
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 118 Dispositions transitoires - 1 Les prestations d'assurance allouées pour les accidents qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la présente loi et pour les maladies professionnelles qui se sont déclarées avant cette date sont régies par l'ancien droit. |
|
1 | Les prestations d'assurance allouées pour les accidents qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la présente loi et pour les maladies professionnelles qui se sont déclarées avant cette date sont régies par l'ancien droit. |
2 | Dans les cas mentionnés à l'al. 1, les assurés de la CNA sont toutefois soumis, dès leur entrée en vigueur, aux dispositions de la présente loi sur les points suivants: |
a | le traitement médical accordé après la fixation de la rente (art. 21), si le droit naît après l'entrée en vigueur de la présente loi; |
b | l'exclusion de la réduction des prestations pour soins et des indemnisations lorsque l'accident ou la maladie professionnelle a été provoqué par une faute grave (art. 37, al. 2); |
c | les rentes d'invalidité, les indemnités pour atteinte à l'intégrité, les allocations pour impotent, les rentes de survivants ainsi que les frais de transport du corps et les frais funéraires, si le droit naît après l'entrée en vigueur de la présente loi; |
d | l'allocation prolongée de rentes d'orphelins aux enfants qui suivent une formation (art. 30, al. 3); l'intéressé doit faire valoir son droit dans un délai d'une année lorsque le droit à la rente est déjà éteint au moment de l'entrée en vigueur de la présente loi; |
e | le rachat des rentes (art. 35); |
f | les allocations de renchérissement (art. 34); le renchérissement est réputé compensé pour tous les rentiers par les rentes allouées en vertu de l'ancien droit et par d'éventuelles allocations de renchérissement; les allocations pour les rentiers du service du travail, militaire et civil, continuent à être versées aux frais de la Confédération. |
3 | Lorsque l'assuré décédé était tenu, par décision judiciaire ou par convention, de verser des contributions d'entretien à un enfant illégitime au sens du code civil dans sa teneur du 10 décembre 1907282, cet enfant est assimilé à un enfant de l'assuré pour l'allocation d'une rente d'orphelin. |
4 | Les prestations d'assurance allouées pour les accidents non professionnels qui sont survenus avant l'entrée en vigueur de la modification du 9 octobre 1998283 sont régies par l'ancien droit. Les prestations en espèces seront toutefois servies selon le nouveau droit si la prétention naît après l'entrée en vigueur de la modification du 9 octobre 1998.284 |
5 | Si la prétention naît avant l'entrée en vigueur de la modification du 15 décembre 2000, la rente d'invalidité est allouée d'après l'ancien droit.285 |
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 21 Traitement médical après la fixation de la rente - 1 Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
|
1 | Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
a | lorsqu'il souffre d'une maladie professionnelle; |
b | lorsqu'il souffre d'une rechute ou de séquelles tardives et que des mesures médicales amélioreraient notablement sa capacité de gain ou empêcheraient une notable diminution de celle-ci; |
c | lorsqu'il a besoin de manière durable d'un traitement et de soins pour conserver sa capacité résiduelle de gain; |
d | lorsqu'il présente une incapacité de gain et que des mesures médicales amélioreraient notablement son état de santé ou empêcheraient que celui-ci ne subisse une notable détérioration. |
2 | L'assureur peut ordonner la reprise du traitement médical. ...61. |
3 | En cas de rechute et de séquelles tardives et, de même, si l'assureur ordonne la reprise du traitement médical, le bénéficiaire de la rente peut prétendre non seulement à la rente, mais aussi aux prestations pour soins et au remboursement de frais (art. 10 à 13).62 Si le gain de l'intéressé diminue pendant cette période, celui-ci a droit à une indemnité journalière dont le montant est calculé sur la base du dernier gain réalisé avant le nouveau traitement médical. |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
3.
3.1. Umstritten ist als Erstes die Frage der Rentenrevision.
3.1.1. Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, gemäss dem beweiswertigen Gutachten der Institution G.________ vom 19. September 2019 liege keine erhebliche Änderung des Gesundheitszustands des Beschwerdeführers seit der Rentenzusprache vom 17. Juni 2013 vor. Er könne die ursprüngliche Tätigkeit weiterhin zu 70 % leisten. In erwerblicher Hinsicht habe er in dem seit 1. Mai 2014 mit der C.________ GmbH begründeten Arbeitsverhältnis gemäss dem Auszug aus dem Individuellen Konto (IK) mit einem Beschäftigungsgrad von 70 % im Jahr 2016 brutto ein Invalideneinkommen von Fr. 63'350.- erzielt. Angesichts der arbeitsvertraglichen Regelung sei auch die darin enthaltene Leistungsprämie bzw. der Bonus zu berücksichtigen, der in der Folge regelmässig und konstant ausgerichtet worden sei. Im früheren Arbeitsverhältnis bei der B.________ GmbH habe der Beschwerdeführer ein wesentlich tieferes Invalideneinkommen erwirtschaftet. Im Finden der besser entlöhnten Arbeitsstelle sei grundsätzlich ein möglicher Revisionsgrund zu erblicken. Das für das Jahr 2010 vergleichsweise auf Fr. 90'000.- festgelegte Valideneinkommen habe an die Tätigkeit bei der B.________ GmbH angeknüpft. Es sei anzunehmen, dass der Beschwerdeführer im Gesundheitsfall weiter bei ihr
im Vollpensum beschäftigt wäre. Das Valideneinkommen sei somit anhand der Nominallohnentwicklung auf das Jahr 2016 zu indexieren, was Fr. 93'510.- ergebe. Die Gegenüberstellung von Invaliden- und Valideneinkommen führe zu einem Invaliditätsgrad von 32 %. Die massgebende Veränderung von 5 % sei somit erstmals 2016 überschritten worden, weshalb eine erhebliche Sachverhaltsänderung vorliege und der Rentenanspruch frei zu prüfen sei. Dass die Revisionsverfügung erst am 8. Mai 2019 erfolgt sei, sei irrelevant, da es genüge, dass zwischen dem Referenzzeitpunkt im Juni 2013 und dem strittigen Einspracheentscheid vom 18. Februar 2020 eine wesentliche und dauerhafte Änderung eingetreten sei. Hingegen sei per Verfügungszeitpunkt vom 8. Mai 2019 erneut ein Einkommensvergleich durchzuführen. Dem an den Nominallohnindex 2019 angepassten Valideneinkommen von Fr. 94'500 sei das effektive, unveränderte Invalideneinkommen von Fr. 63'350.- gegenüberzustellen, was einen Invaliditätsgrad von 33 % und ab 8. Mai 2019 einen entsprechenden Rentenanspruch ergebe.
3.1.2. Der Beschwerdeführer wendet im Wesentlichen ein, die Vorinstanz habe nicht begründet, inwiefern ein Revisionsgrund vorliege. Für dessen Bejahung genüge nicht ein Vergleich der Invaliditätsgrade. Vielmehr brauche es eine wesentliche Änderung in den tatsächlichen Verhältnissen. In einem ersten Schritt sei also zu prüfen, ob ein Revisionsgrund vorliege. Im zweiten Schritt müsse dieser erheblich sein, was erfüllt sei, wenn sich die Rente um mindesten 5 % verändere. Die Vorinstanz habe den ersten Schritt ausgeklammert und sei direkt zum zweiten übergegangen, was bundesrechtswidrig sei. Entgegen der Vorinstanz habe er bei der B.________ GmbH ab Mai 2014 nicht mehr verdient als bei der C.________ GmbH, sondern unverändert jährlich brutto Fr. 58'800.- (Fr. 4900.- x 12). Nebst den Ausbildungszulagen werde zusätzlich je nach Geschäftsgang und persönlicher Leistung ein freiwilliger Bonus ausgerichtet. Wie die Vorinstanz ausgeführt habe, sei auch im vorherigen Arbeitsverhältnis ein solcher Bonus ausgerichtet worden, jedoch aufgrund des Unfalls zunächst von der Haftpflichtversicherung entschädigt und später gestrichen worden. Er habe die Stelle bei der B.________ GmbH am 1. März 2007, mithin vier Monate vor dem Unfall angetreten,
weshalb zu seinem dortigen Lohn keine verlässlichen Angaben bestanden hätten. Jedenfalls könne im Stellenwechsel vom Mai 2014 kein Revisionsgrund erblickt werden, da das Arbeitspensum, die ausgeübten Tätigkeiten und die Entlöhnung seit der ursprünglichen Rentenzusprache identisch seien. Selbst wenn sein tatsächliches Einkommen im Jahr 2019 höher wäre als dasjenige bei der Rentenzusprache vom 17. Juni 2013, könnte es nicht als Revisionsgrund herangezogen werden. Denn 2013 sei das Invalideneinkommen aufgrund des LSE-Tabellenlohns bemessen worden, obwohl die Heranziehung des tatsächlichen Verdienstes möglich gewesen wäre. Er habe nämlich damals nach dem Unfall beim selben Arbeitgeber unter voller Ausschöpfung seiner zumutbaren Arbeitsfähigkeit von 70 % in einem stabilen Arbeitsverhältnis ohne Soziallohn gearbeitet. Sieben Jahre später könne nicht bei unverändertem Sachverhalt auf das tatsächliche Invalideneinkommen abgestellt werden. Dies sei eine unzulässige Änderung der Berechnungsmethode. Liesse man dies zu, wäre die Rente jedes Jahr zu revidieren, sobald feststünde, ob ein Bonus ausgerichtet werde.
3.2. Ein Revisionsgrund in Form einer Änderung des Invalideneinkommens liegt vor, wenn das Leistungsvermögen der versicherten Person unverändert bleibt, sich aber ihre erwerblichen Möglichkeiten oder ihre berufliche Situation geändert haben (BGE 130 V 343 E. 3.5; Urteil 8C 270/2013 von 29. August 2013 E. 4). Dies kann etwa zutreffen, wenn ein hypothetisches Invalideneinkommen durch ein tatsächlich erzieltes ersetzt werden muss (nicht publ. E. 3.1 des Urteils BGE 137 V 369, in: SVR 2012 IV Nr. 12 S. 61). Eine revisionsrechtlich bedeutsame Änderung des Sachverhalts stellt auch das Auffinden einer besser bezahlten Stelle dar, soweit es sich nicht um einen absolut einmaligen Glücksfall handelt (SVR 1996 IV Nr. 70 E. 3c, I 124/94; THOMAS FLÜCKIGER, Basler Kommentar, Allgemeiner Teil des Sozialversicherungsrechts, 2020, N. 27 zu Art. 17
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
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1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
3.3.
3.3.1. Die Vorinstanz erkannte richtig, dass das Invalideneinkommen des Beschwerdeführers bei der Rentenzusprache vom 17. Juni 2013 aufgrund des LSE-Tabellenlohns ermittelt wurde, woraus jährlich Fr. 55'180.35 resultierten. Sie stellte in einlässlicher Würdigung der Aktenlage fest, dies sei unter der Prämisse erfolgt, dass der Beschwerdeführer in einer leidensangepassten Tätigkeit nicht bloss zu 70 %, sondern vollschichtig hätte arbeiten können. Weiter sei er damals schwankend arbeitsfähig gewesen und habe unter Ausklammerung der Taggelder im Jahr 2010 sowie im weiteren Verlauf einen wesentlich tieferen tatsächlichen Verdienst erzielt. Gegen diese vorinstanzlichen Erwägungen bringt der Beschwerdeführer keine substanziiert begründeten Einwände vor. Vielmehr macht er selber geltend, er habe die Stelle bei der B.________ GmbH am 1. März 2007, mithin vier Monate vor dem Unfall, angetreten, weshalb zu seinem dortigen Lohn keine verlässlichen Angaben bestanden hätten.
Am 1. Mai 2014 nahm der Beschwerdeführer bei der C.________ GmbH die Arbeit als Filialleiter und Verkaufsberater in der Filiale X.________ auf. Der Vorinstanz ist beizupflichten, dass er hierbei mit einem seiner gesundheitlichen Beeinträchtigung entsprechenden Beschäftigungsgrad von 70 % im Jahr 2016 Fr. 63'350.- und damit ein höheres Invalideneinkommen als im Rahmen der ursprünglichen Rentenzusprache verdiente. Dieser Lohn ergibt sich aus dem IK-Auszug. Nicht stichhaltig ist deshalb der pauschale Einwand des Beschwerdeführers, er habe bei der C.________ GmbH ab Mai 2014 wie früher bei der B.________ GmbH unverändert jährlich einen Bruttolohn von Fr. 58'800.- erzielt.
3.3.2. Unter diesen Umständen ist die Ersetzung des bei der Rentenzusprache aufgrund des LSE-Tabellenlohns ermittelten Invalideneinkommens durch das bei der C.________ GmbH tatsächlich erzielte Invalideneinkommen nicht bundesrechtswidrig (vgl. E. 3.2 hiervor; nicht publ. E. 3.1 des Urteils BGE 137 V 369). Im Übrigen unbestritten und nicht zu beanstanden ist die vorinstanzliche Feststellung, dass die Gegenüberstellung der Vergleichseinkommen für das Jahr 2016 den Rentenanspruch um mehr als 5 % veränderte. Damit lag ein Revisionsgrund vor (BGE 145 V 141 E. 7.3.1). Weiter stellte die Vorinstanz richtig fest, dass der Invaliditätsgrad im Zeitpunkt der Revisionsverfügung vom 8. Mai 2019 33 % betrug, was rechnerisch ebenfalls unbestritten ist.
Entgegen dem Beschwerdeführer hat die Vorinstanz mithin hinreichend begründet, weshalb ein Revisionsgrund vorliege (E. 3.1.1 hiervor; zur Begründungspflicht vgl. BGE 142 II 49 E. 9.2).
3.3.3. Der Beschwerdeführer macht vor Bundesgericht erstmals geltend, wegen der Covid-19-Pandemie werde z.B. für das Geschäftsjahr 2020 kein Bonus ausgerichtet. Er werde somit höchstens Fr. 58'800.- verdienen, allenfalls wegen der Kurzarbeitsentschädigung noch weniger. Falls diese behaupteten Tatsachen bereits bei Einreichung der vorinstanzlichen Beschwerde vom 17. März 2020, Replik vom 12. August 2020 oder Eingabe vom 7. September 2020 bekannt waren, handelt es sich um unechte Noven. Der Beschwerdeführer legt nicht dar, dass ihm deren Vorbringen bei der Vorinstanz trotz hinreichender Sorgfalt prozessual unmöglich und objektiv unzumutbar war. Sie sind somit unbeachtlich. Falls sich diese Tatsachen erst nach dem angefochtenen Urteil vom 21. Oktober 2020 ergaben, sind sie als echte Noven ebenfalls unzulässig (Art. 99 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
4.
4.1. Strittig ist weiter die Einstellung der Heilbehandlung.
4.1.1. Nachdem die Vorinstanz eine wesentliche Veränderung des für die Heilbehandlung nach Art. 21 Abs. 1 lit. c
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 21 Traitement médical après la fixation de la rente - 1 Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
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1 | Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
a | lorsqu'il souffre d'une maladie professionnelle; |
b | lorsqu'il souffre d'une rechute ou de séquelles tardives et que des mesures médicales amélioreraient notablement sa capacité de gain ou empêcheraient une notable diminution de celle-ci; |
c | lorsqu'il a besoin de manière durable d'un traitement et de soins pour conserver sa capacité résiduelle de gain; |
d | lorsqu'il présente une incapacité de gain et que des mesures médicales amélioreraient notablement son état de santé ou empêcheraient que celui-ci ne subisse une notable détérioration. |
2 | L'assureur peut ordonner la reprise du traitement médical. ...61. |
3 | En cas de rechute et de séquelles tardives et, de même, si l'assureur ordonne la reprise du traitement médical, le bénéficiaire de la rente peut prétendre non seulement à la rente, mais aussi aux prestations pour soins et au remboursement de frais (art. 10 à 13).62 Si le gain de l'intéressé diminue pendant cette période, celui-ci a droit à une indemnité journalière dont le montant est calculé sur la base du dernier gain réalisé avant le nouveau traitement médical. |
Belastungsprofil sei geeignet, die Beschwerdesymptomatik bzw. die funktionellen Auswirkungen des unfallversehrten linken Beins zu beeinflussen, was mit Blick auf das Eingliederungsziel (Erhalt der Erwerbsfähigkeit) eine Anpassung der in der Verfügung von 17. Juni 2013 verordneten Heilbehandlung mit sich bringe. Mit diesem erwerblichen Faktor liege bezogen auf den Anspruch nach Art. 21 Abs. 1 lit. c
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 21 Traitement médical après la fixation de la rente - 1 Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
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1 | Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
a | lorsqu'il souffre d'une maladie professionnelle; |
b | lorsqu'il souffre d'une rechute ou de séquelles tardives et que des mesures médicales amélioreraient notablement sa capacité de gain ou empêcheraient une notable diminution de celle-ci; |
c | lorsqu'il a besoin de manière durable d'un traitement et de soins pour conserver sa capacité résiduelle de gain; |
d | lorsqu'il présente une incapacité de gain et que des mesures médicales amélioreraient notablement son état de santé ou empêcheraient que celui-ci ne subisse une notable détérioration. |
2 | L'assureur peut ordonner la reprise du traitement médical. ...61. |
3 | En cas de rechute et de séquelles tardives et, de même, si l'assureur ordonne la reprise du traitement médical, le bénéficiaire de la rente peut prétendre non seulement à la rente, mais aussi aux prestations pour soins et au remboursement de frais (art. 10 à 13).62 Si le gain de l'intéressé diminue pendant cette période, celui-ci a droit à une indemnité journalière dont le montant est calculé sur la base du dernier gain réalisé avant le nouveau traitement médical. |
erst per Verfügungszeitpunkt vom 8. November 2019 zu erfolgen.
4.1.2. Die Frage der Änderung des Belastungsprofils am Arbeitsplatz betrifft vorliegend einzig die Heilbehandlung. Somit ist das Bundesgericht nach Art. 105 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
4.2. Der Beschwerdeführer wendet ein, es erstaune, dass die Vorinstanz sich aus eigenem Ansporn auf die Suche nach einem möglichen Revisionsgrund gemacht und mit Blick auf dieses Ziel die Akten durchforstet habe. Dies habe sie getan, ohne bei den Parteien oder den Arbeitgeberinnen nachzufragen. Die Vorinstanz habe lediglich falsche Behauptungen aufgestellt, so dass keine genügende Beweiserhebung vorliege. Damit habe sie den Anspruch auf rechtliches Gehör und auf ein faires Verfahren nach Art. 6 Ziff. 1
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IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
Dem ist entgegenzuhalten, dass das kantonale Versicherungsgericht unter Mitwirkung der Parteien die für den Entscheid erheblichen Tatsachen feststellt; es erhebt die notwendigen Beweise und ist in der Beweiswürdigung frei (Art. 61 lit. c
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
4.3.
4.3.1. Zur Begründung einer erheblichen Änderung des Belastungsprofils verglich die Vorinstanz die Angaben der B.________ GmbH vom 14. November 2008 mit denjenigen der C.________ GmbH vom 26. November 2018 (E. 4.1.1 hiervor).
4.3.2. Der Beschwerdeführer wendet ein, die Angaben vom 14. November 2008 seien knapp eineinhalb Jahre nach dem Unfall vom 26. Juni 2007 gemacht worden. Sie taugten nicht zur Beurteilung eines gewandelten Belastungsprofils, da die massgebenden Vergleichspunkte zwischen Juni 2013 und November 2019 lägen. Sein Belastungsprofil sei 2008 ein anderes gewesen als 2013 oder im November 2019. Im hier interessierenden Zeitraum zwischen 2013 und 2019 gebe es hingegen keinen Unterschied.
Dem Beschwerdeführer ist zuzustimmen, dass der Vergleichszeitraum für die Beurteilung einer erheblichen Veränderung des Belastungsprofils am Arbeitsplatz zwischen der Verfügung vom 17. Juni 2013 mit Zusprache von Heilbehandlung und derjenigen vom 8. November 2019 mit deren Einstellung liegt. Weiter ist ihm beizupflichten, dass die Angaben der Arbeitgeberin vom 14. November 2008 in zeitlicher Hinsicht zu weit zurückliegen, um als Grundlage für die Beurteilung des Belastungsprofils bei der B.________ GmbH am 17. Juni 2013 zu dienen. In dieser Hinsicht ist der Sachverhalt zu ergänzen (E. 4.1.2 hiervor; BGE 143 V 19 E. 6.1.3 in fine).
4.4.
4.4.1. Als Ausgangspunkt für die Beurteilung des Belastungsprofils ist der Bericht des Zentrums E.________ betreffend Beschreibung der Arbeitsstelle des Beschwerdeführers als Berater im Verkauf vom 18. Juni 2012 heranzuziehen. Gestützt hierauf war er bei der B.________ GmbH in seinem 70%igen Arbeitspensum zu 95 % im Verkauf tätig. Zusätzlich erfasste er während ein bis zwei Stunden pro Woche Aufträge und Bestellungen am Computer und räumte zwischen den Kundenberatungen die Ausstellungsräume auf. Nur sehr selten holte er Waren aus dem Lager oder half mit, die Lieferungen zu versorgen. Die Beratungen erforderten ein häufiges Stehen und Gehen (fünf bis sechs Stunden pro Tag), wobei es vorkam, dass es während drei Stunden am Stück keine Möglichkeit zum Hinsetzen gab. Die sitzenden Tätigkeiten nahmen etwa zwei Stunden über den ganzen Tag verteilt in Anspruch. Selten kam es vor, dass eine Stunde am Stück gesessen wurde. Dabei bestand die Möglichkeit, zwischendurch kurz aufzustehen. Lasten unter 5 kg wurden gelegentlich hantiert, genauso wie mittelschwere Lasten (Matratzen von 20 kg), die im Schnitt pro Kunde sechsmal gehoben und getragen wurden. Die Arbeit war den gesundheitlichen Einschränkungen des Beschwerdeführers angepasst, da er
fast ausschliesslich in der Beratung und im Verkauf eingesetzt wurde. Da er nicht vollzeitlich angestellt war, fielen die Mithilfe bei Lieferungen, das Mitgestalten der Ausstellungen und die Kundenberatungen bei den Kunden zu Hause grundsätzlich nicht in seinen Aufgabenbereich.
4.4.2. In der seit 1. Mai 2014 zu 70 % verrichteten Arbeit in der Filiale X.________ übte er neben der Verkaufsberatertätigkeit neu zusätzlich die Funktion als Filialleiter aus. Aus dem Bericht des Zentrums E.________ vom 7. Februar 2017 ergibt sich, dass er als Filialleiter zusätzlich die Arbeitsplanung und die Organisation von Ausstellungen vorzunehmen hatte. Im Rahmen des Gutachtens der Institution G.________ vom 19. September 2019 gab der Beschwerdeführer zudem an, als Filialleiter erstelle er zusätzlich jeden Monat einen Rapport. Somit nahmen seine administrativen Aufgaben insgesamt zu. Zudem hatte er zwei- bis dreimal pro Monat kleinere Reparaturen oder das Ausmessen bei den Kunden zu Hause zu erledigen, was mit Autofahrten bis zu einer Stunde verbunden war.
4.4.3. Damit änderte sich im massgebenden Zeitraum das Belastungsprofil der Arbeit erheblich, was geeignet ist, die Beschwerdesymptomatik bzw. die funktionellen Auswirkungen des unfallversehrten linken Beins zu beeinflussen. Dies stellt hinsichtlich des Eingliederungsziels (Erhalt der Erwerbsfähigkeit) bezogen auf den Anspruch nach Art. 21 Abs. 1 lit. c
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SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 21 Traitement médical après la fixation de la rente - 1 Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
|
1 | Lorsque la rente a été fixée, les prestations pour soins et remboursement de frais (art. 10 à 13) sont accordées à son bénéficiaire dans les cas suivants: |
a | lorsqu'il souffre d'une maladie professionnelle; |
b | lorsqu'il souffre d'une rechute ou de séquelles tardives et que des mesures médicales amélioreraient notablement sa capacité de gain ou empêcheraient une notable diminution de celle-ci; |
c | lorsqu'il a besoin de manière durable d'un traitement et de soins pour conserver sa capacité résiduelle de gain; |
d | lorsqu'il présente une incapacité de gain et que des mesures médicales amélioreraient notablement son état de santé ou empêcheraient que celui-ci ne subisse une notable détérioration. |
2 | L'assureur peut ordonner la reprise du traitement médical. ...61. |
3 | En cas de rechute et de séquelles tardives et, de même, si l'assureur ordonne la reprise du traitement médical, le bénéficiaire de la rente peut prétendre non seulement à la rente, mais aussi aux prestations pour soins et au remboursement de frais (art. 10 à 13).62 Si le gain de l'intéressé diminue pendant cette période, celui-ci a droit à une indemnité journalière dont le montant est calculé sur la base du dernier gain réalisé avant le nouveau traitement médical. |
4.5.
4.5.1. Der Beschwerdeführer bringt weiter vor, die therapeutischen Empfehlungen im Gutachten der Institution G.________ vom 19. September/24. Oktober 2019 überzeugten nicht. Die Aufgabe der Gutachter habe darin bestanden, zu untersuchen, ob sich sein Gesundheitszustand im Vergleich zum Verfügungszeitpunkt vom 17. Juni 2013 wesentlich verändert habe, und bejahendenfalls, ob diese Veränderung geeignet sei, Bestand und Umfang der ursprünglich zugesprochenen Heilbehandlung nachhaltig zu beeinflussen. Dies hätten die Gutachter verneint. Die therapeutischen Empfehlungen hätten damit aber keinen Zusammenhang und es handle sich um eine bloss abweichende Beurteilung eines im Wesentlichen gleich gebliebenen Sachverhalts. Wenn die Gutachter ohne nachvollziehbare Begründung postulierten, die durchgeführte Behandlung sei "nicht evidenzbasiert", ohne sich mit der detaillierten Begründung des Physiotherapeuten vom 21. Dezember 2015 auseinanderzusetzen, handle es ich bloss um ihre subjektive Meinung.
4.5.2. Da ein Revisionsgrund vorliegt, hat eine umfassende Anspruchsprüfung ohne Bindung an frühere Beurteilungen zu erfolgen (vgl. E. 3.2 hiervor). Mit seinen Einwänden zeigt der Beschwerdeführer nicht auf und es ist auch nicht ersichtlich, inwiefern es offensichtlich unrichtig oder anderweitig bundesrechtswidrig sein soll, wenn die Vorinstanz gestützt auf das Gutachten der Institution G.________ vom 19. September/24. Oktober 2019 den Anspruch auf Heilbehandlung ab 8. November 2019 verneinte.
5.
Da von weiteren Abklärungen keine entscheidrelevanten Resultate zu erwarten sind, durfte die Vorinstanz davon absehen. Dies verstösst weder gegen den Untersuchungsgrundsatz noch gegen die Ansprüche auf freie Beweiswürdigung sowie Beweisabnahme (Art. 61 lit. c
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SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
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IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
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SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
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IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
6.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
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SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 23. Juni 2021
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Jancar