Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 474/2016
Urteil vom 23. Januar 2017
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokat Nicolai Fullin,
Beschwerdeführerin,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Revision; Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 2. Mai 2016.
Sachverhalt:
A.
A.a. Die 1972 geborene A.________ war ab 2003 als administrative Assistentin bei der B.________ AG tätig und dadurch bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 5. März 2005 erlitt sie einen Autounfall, als dessen Folge in der Interdisziplinären Notfallstation des Spitals C.________ am 7. März 2005 eine HWS-Distorsion diagnostiziert wurde. A.________ war daraufhin in wechselndem Grad arbeitsunfähig. Die SUVA erbrachte die gesetzlichen Leistungen. Mit Verfügung vom 15. Juni 2006 stellte sie ihre Leistungen per 30. Juni 2006 ein, zog die Verfügung auf Einsprache hin indes am 10. Januar 2007 zurück, um weitere Abklärungen vorzunehmen. Nach Einholung eines Berichts des Dr. med. D.________, Spezialarzt für Neurologie FMH, vom 13. März 2007, eines neuropsychologischen Zwischenberichts der Dr. phil. E.________, Fachpsychologin für Neuropsychologie und Psychotherapie FSP, vom 7. August 2007 sowie einer kreisärztlichen Beurteilung des Dr. med. F.________, Facharzt FMH für Chirurgie, vom 13. September 2007 stellte die SUVA die Leistungen mit unangefochten in Rechtskraft erwachsener Verfügung vom 17. September 2007 per 30. September 2007 ein.
A.b. A.________ machte sich im März 2008 selbstständig, arbeitete ab Oktober bis Dezember 2009 als Angestellte bei der G.________ AG und ab Januar 2010 bis November 2011 wieder bei der B.________ AG. Nach Absolvierung einer Goldschmiedeschule begann sie am 1. September 2013 eine Lehre als Goldschmiedin in H.________. Am 20. August 2013 war A.________ zudem mit dem Velo gestürzt und hatte sich eine HWS-Distorsion sowie Kontusionen am linken Ellenbogen und am linken Knie zugezogen (Austrittsbericht der Interdisziplinären Notfallstation des Spitals I.________ vom 23. August 2013).
A.c. Mit Schreiben vom 24. März 2014 machte A.________ unter Verweis auf einen Bericht der REHAB Basel, Zentrum für Querschnittgelähmte und Hirnverletzte, Schweizerisches Paraplegikerzentrum, vom 13. Februar 2014 geltend, der Fall sei im September 2007 fälschlicherweise abgeschlossen worden. Die SUVA verneinte mit Verfügung vom 28. April 2014 gestützt auf die kreisärztliche Beurteilung des Dr. med. F.________ vom 23. April 2014 das Vorliegen neuer Tatsachen oder Beweismittel und somit der formellen Voraussetzungen für ein Revisionsgesuch. Die dagegen erhobene Einsprache wies sie mit Entscheid vom 14. Januar 2015 ab.
B.
A.________ liess hiegegen Beschwerde erheben und beantragen, es seien die Verfügung vom 28. April 2014, der Einspracheentscheid vom 14. Januar 2015 sowie die Verfügung vom 17. September 2007 aufzuheben und ihr auch nach dem 30. September 2007 die gesetzlichen Leistungen zuzusprechen; eventualiter sei die Sache zu weiteren Abklärungen zum medizinischen Sachverhalt an die SUVA zurückzuweisen; subeventualiter sei vom Gericht ein polydisziplinäres Gutachten einzuholen. Im Rahmen des Verfahrens reichten die Parteien verschiedene neue medizinische Berichte ein, so u.a. eine neurologische Beurteilung des Dr. med. J.________, Facharzt für Neurologie FMH, SUVA, Versicherungsmedizin Kompetenzzentrum, vom 14. April 2015, eine Stellungnahme der Dres. med. K.________ und L.________, REHAB Basel, vom 4. August 2015, ein von der Beschwerdeführerin in Auftrag gegebenes Gutachten des Prof. Dr. med. M.________, Neurokompetenz, vom 30. November 2015 sowie neurologische Beurteilungen des Dr. med. J.________ vom 23. Juli 2015 und 14. März 2016. Mit Entscheid vom 2. Mai 2016 wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Basel-Stadt die Beschwerde ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, es seien ihr in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids über den 30. September 2007 hinaus die gesetzlichen Leistungen für die Folgen des Unfalls vom 5. März 2005 zu erbringen, eventualiter sei die Angelegenheit zur Durchführung weiterer medizinischer Abklärungen zurückzuweisen. Zudem lässt die Beschwerdeführerin um Übernahme der Kosten für das Gutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015 durch die SUVA ersuchen.
Die SUVA schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Streitig und zu prüfen ist, ob ein prozessualer Revisionsgrund in dem Sinne zu bejahen ist, dass die Beschwerdeführerin über den 30. September 2007 hinaus Anspruch auf Leistungen der obligatorischen Unfallversicherung hat. Entscheidend ist dabei die Frage, ob der Unfall vom 5. März 2005 eine Hirnverletzung als strukturell objektivierbare Folge hatte.
2.1. Die Vorinstanz hat die Rechtsgrundlagen für die Beurteilung der Streitsache zutreffend dargelegt. Das betrifft insbesondere die Bestimmungen und Grundsätze über die prozessuale Revision rechtskräftiger Verfügungen und Einspracheentscheide (Art. 53 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
2.2. Das Vorliegen eines natürlichen Kausalzusammenhanges ist eine Tatfrage und muss daher mit dem im Sozialversicherungsrecht üblichen Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit nachgewiesen werden. Während bei der Frage, ob ein Kausalzusammenhang überhaupt jemals gegeben ist, die versicherte Person beweisbelastet ist, trägt die Unfallversicherung die Beweislast für einen behaupteten Wegfall der Kausalität aufgrund des Erreichens des Zustands, wie er vor dem Unfall bestand oder sich ohne diesen ergeben hätte (Status quo sine vel ante; RKUV 2000 Nr. U 363 S. 45, U 355/98 E. 2; 1994 Nr. U 206 S. 326, U 180/93; Urteil 8C 651/2016 vom 15. Dezember 2016 E. 2.2). Allerdings tragen die Parteien im Sozialversicherungsprozess in der Regel eine Beweislast nur insofern, als im Falle der Beweislosigkeit der Entscheid zu Ungunsten jener Partei ausfällt, die aus dem unbewiesen gebliebenen Sachverhalt Rechte ableiten wollte. Diese Beweisregel greift erst Platz, wenn es sich als unmöglich erweist, im Rahmen des im Verwaltungsverfahren wie auch im kantonalen Sozialversicherungsprozess geltenden Untersuchungsgrundsatzes aufgrund einer Beweiswürdigung einen Sachverhalt zu ermitteln, der zumindest die Wahrscheinlichkeit für sich hat, der
Wirklichkeit zu entsprechen (BGE 138 V 218 E. 6 S. 221; 117 V 261 E. 3b S. 264).
2.3. Zur Beurteilung sozialversicherungsrechtlicher Leistungsansprüche bedarf es verlässlicher medizinischer Entscheidungsgrundlagen. Hinsichtlich des Beweiswertes eines Arztberichtes ist demnach entscheidend, ob dieser für die streitigen Belange umfassend ist, auf allseitigen Untersuchungen beruht, auch die geklagten Beschwerden berücksichtigt, in Kenntnis der Vorakten (Anamnese) abgegeben worden ist, in der Beurteilung der medizinischen Zusammenhänge und der medizinischen Situation einleuchtet und ob die Schlussfolgerungen des Experten begründet sind (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232 mit Hinweis auf 125 V 351 E. 3b/bb S. 353).
2.4. Anspruch auf ein Gerichtsgutachten besteht rechtsprechungsgemäss, wenn die Abklärungsergebnisse aus dem Verwaltungsverfahren in rechtserheblichen Punkten nicht ausreichend beweiswertig sind (BGE 137 V 210 E. 4.4.1.5 S. 265). Berichten und Gutachten versicherungsinterner Ärztinnen und Ärzten kommt nach der Rechtsprechung Beweiswert zu, sofern sie als schlüssig erscheinen, nachvollziehbar begründet sowie in sich widerspruchsfrei sind und keine Indizien gegen ihre Zuverlässigkeit bestehen (BGE 125 V 351 E. 3b/ee S. 353 f. mit Hinweis). Trotz dieser grundsätzlichen Beweiseignung kommt den Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen praxisgemäss nicht dieselbe Beweiskraft zu wie einem gerichtlichen oder im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
vom 9. Dezember 2016 E. 2.4).
3.
3.1. Die Beschwerdeführerin stützte ihr Revisionsgesuch vom 24. März 2014 auf den Bericht der REHAB vom 13. Februar 2014, in welchem sich, nebst anderen Diagnosen, erstmals diejenige eines Schädelhirntraumas findet. Die Ärzte der REHAB bezogen sich dabei auf ein MRT des Neurocraniums vom 19. Dezember 2013, bei welchem eine Mikrohämorrhagie subkortikal im Marklager der inferiorsten Anteile des Gyrus praecentralis links, differentialdiagnostisch eine kleine Scherblutung festgestellt worden war. Die Versicherte macht geltend, das Schädelhirntrauma und die daraus resultierenden Beschwerden seien mit überwiegender Wahrscheinlichkeit auf das Unfallereignis vom 5. März 2005 zurückzuführen.
3.2. Wie die Vorinstanz dargelegt hat, sind weder der Befund des MRT vom 19. Dezember 2013 noch die in der REHAB am 13. Februar 2014 gestellte Diagnose eines Schädelhirntraumas an sich umstritten. Die SUVA bestreitet jedoch einen Kausalzusammenhang mit dem Unfallereignis vom 5. März 2005 und verneint daher das Vorliegen eines Revisionsgrundes.
4.
4.1. Nach Würdigung der medizinischen Aktenlage, welche im angefochtenen Entscheid weitgehend aufgezeigt wurde, gelangte die Vorinstanz zum Schluss, die neuropsychologisch bzw. psychiatrisch festgestellten Einschränkungen - wie namentlich eine verminderte Belastbarkeit, erhöhte Ablenkbarkeit und emotionale Reaktionen bei Überschreiten der Leistungsgrenzen - könnten nicht mit überwiegender Wahrscheinlichkeit direkt auf eine organische Ursache aufgrund des Unfalls vom 5. März 2005 zurückgeführt werden. Sie stützte sich dabei in Bestätigung der Verwaltung im Wesentlichen auf die versicherungsinternen Berichte der SUVA. So habe Kreisarzt Dr. med. F.________ in seiner Kurzbeurteilung vom 4. April 2014 die Frage, ob das Schädelhirntrauma mit überwiegender Wahrscheinlichkeit eine strukturell objektivierbare Unfallfolge darstelle, verneint. Daran habe er in der Beurteilung vom 23. April 2014 festgehalten und ausgeführt, es sei echtzeitlich kein Schädelhirntrauma diagnostiziert worden, sondern eine HWS-Distorsion. Dass die Versicherte beim Unfallereignis nicht bewusstlos gewesen sei, sich genau an den Unfallhergang habe erinnern sowie diesen lückenlos schildern können, beweise, dass sie kein Schädelhirntrauma erlitten habe. Zudem sei im
Bericht der REHAB vom 13. Februar 2014 auf eine erneute HWS-Distorsion nach einem Velosturz am 20. August 2013 hingewiesen worden; ein solches Trauma sei durchaus geeignet, eine Mikrohämorrhagie subkortikal zu verursachen. Im Weiteren verwies das kantonale Gericht insbesondere auf die Berichte des Dr. med. J.________ vom 23. Juli 2015 und 14. März 2016. Der Neurologe des Kompetenzzentrums SUVA Versicherungsmedizin habe dargelegt, dass der Kausalzusammenhang zwischen der im MRT vom 19. Dezember 2013 festgestellten Läsion und dem Unfallereignis vom 5. März 2005 unter Berücksichtigung sämtlicher Aspekte, insbesondere des Läsionsmusters und der echtzeitlich dokumentierten Befunde und Beschwerden nur als möglich beurteilt werden könne. Differentialdiagnostisch könne es sich um eine völlig unspezifische Mikroblutung handeln, welche auch im normalen Alterungsprozess des Gehirns auftreten könne. Die von der Beschwerdeführerin aufgelegten Berichten der REHAB vom 21. Januar 2015 und 4. August 2015 vermöchten die Beurteilungen der Kreisärzte nicht in Frage zu stellen. Während im ersten Bericht ein Kausalzusammenhang mit überwiegender Wahrscheinlichkeit bejaht worden sei, werde im zweiten dargelegt, ein Kausalzusammenhang sei nur möglich,
jedoch plausibel. Das von der Versicherten eingereichte Privatgutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015 sodann enthalte - abgesehen von einer anderen Schlussfolgerung - keine wesentlichen neuen Erkenntnisse, welche klar den Schluss auf einen natürlichen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfallereignis vom 5. März 2005 und der festgestellten Läsion zuliessen. Selbst bei Vorliegen eines natürlichen Kausalzusammenhangs wäre sodann - ausgehend von einem mittelschweren Unfall - die adäquate Kausalität zu verneinen. Insgesamt - so das kantonale Gericht - lägen somit keine neuen Beweismittel vor, welche die leistungseinstellende Verfügung vom 17. September 2007 als ursprünglich fehlerhaft darstellen würden.
4.2. Die Beschwerdeführerin rügt eine unvollständige und unrichtige Ermittlung des Sachverhalts. Sie sei im Nachgang an das Unfallereignis nicht spezialärztlich untersucht worden, weshalb nicht erstaune, dass das Schädelhirntrauma übersehen worden sei. Beim Kreisarzt Dr. med. F.________ handle es sich um einen Chirurgen und daher ebenfalls nicht um den "richtigen" Facharzt. Die Vorinstanz habe sodann wesentliche Beweismittel nicht berücksichtigt, so beispielsweise die Krankengeschichte des werkärztlichen Dienstes der N.________ AG, den neuropsychologischen Test der Dr. phil. E.________ vom 11. September 2006, den Bericht des Dr. med. O.________, FMH Psychiatrie und Psychotherapie, vom 14. September 2015 sowie den Bericht der Werkärztin der B.________ AG, Dr. med. P.________, vom 14. Oktober 2015. Zudem sei das Gutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015 mindestens geeignet, ernsthafte Zweifel an den versicherungsinternen Beurteilungen zu wecken. Der Gutachter ziehe nämlich in Berücksichtigung der Vorakten den eindeutigen Schluss, dass zwischen dem Unfall vom 5. März 2005 und dem durch eine strukturelle Läsion nachgewiesenen Schädelhirntrauma ein Kausalzusammenhang bestehe. Infolge einer objektivierten
Hirnverletzung wäre neben dem natürlichen auch der adäquate Kausalzusammenhang zu bejahen. Bei gegebener Aktenlage hätte die Vorinstanz weitere Abklärungen vornehmen müssen.
4.3. Wie die obigen Ausführungen zeigen, bestehen bezüglich der Frage des natürlichen Kausalzusammenhangs zwischen der im MRT festgestellten Läsion sowie den neuropsychologisch bzw. psychiatrisch festgestellten Einschränkungen und dem Unfallereignis vom 5. März 2005 widersprüchliche Einschätzungen. Soweit die Vorinstanz mit der Verwaltung hauptsächlich auf die versicherungsinternen Beurteilungen des Dr. med. J.________ vom 23. Juli 2015 und 14. März 2016 abstellt und darlegt, es sei von Bedeutung, dass klinisch zeitnah zum Unfall keine zuverlässigen Hinweise auf eine traumatische Hirnverletzung vorgelegen hätten bzw. ein Kausalzusammenhang könne unter Berücksichtigung sämtlicher Aspekte, insbesondere des Läsionsmusters und der echtzeitlich dokumentierten Befunde und Beschwerden nur als möglich beurteilt werden, wird von der Beschwerdeführerin zu Recht eine mangelhafte Beweiswürdigung gerügt. Namentlich aus der Krankengeschichte des werkärztlichen Dienstes der N.________ AG, dem neuropsychologischen Test der Dr. phil. E.________ vom 11. September 2006 sowie dem Bericht der Werkärztin der B.________ AG, Dr. med. P.________, vom 14. Oktober 2015 ergibt sich nämlich, dass sich die Versicherte am 7. März 2005, mithin zwei Tage nach dem
Unfallereignis, im Medical Center der Arbeitgeberin in Behandlung begeben und dass sie zeitnah zum Unfall neuropsychologische Defizite, insbesondere in den Bereichen Informationsverarbeitung und Aufmerksamkeitsleistung, aufgewiesen hat. Zutreffend ist die Feststellung der Vorinstanz, wonach sich aus den Berichten der REHAB vom 13. Februar 2014, 21. Januar 2015 und 4. August 2015 sowie aus dem von der Versicherten eingeholten Gutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015 nicht ein mit überwiegender Wahrscheinlichkeit nachgewiesener natürlicher Kausalzusammenhang zwischen dem Unfallereignis vom 5. März 2005 und dem von der REHAB diagnostizierten Schädelhirntrauma mit u.a. neuropsychologischer Funktionsstörung herleiten lässt. Diese Beurteilungen waren indes geeignet, zumindest geringe Zweifel an der Schlüssigkeit und Beweiskraft der versicherungsinternen medizinischen Beurteilungen zu begründen. Namentlich das Gutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015, welches auf eigenen Untersuchungen beruhte und auch die medizinischen Vorakten berücksichtigte, nahm auch auf die zeitnah zum Unfallereignis aufgetretenen Beschwerden Bezug und setzte sich mit den versicherungsinternen Berichten kritisch
auseinander. Der Privatgutachter kam mit ausführlicher Begründung zum Schluss, es könne kein Zweifel daran bestehen, dass die klinischen Symptome sowie die festgestellten neuropsychologischen Funktionsdefizite auf den Unfall vom 5. März 2005 zurückzuführen seien, dessen Unfallmechanismus mit hoher Wahrscheinlichkeit zu einer entsprechenden traumatischen Axonschädigung aufgrund der aufgetretenen Verformungskräfte geführt habe. Bei dieser Ausgangslage hält das Abstellen der Vorinstanz auf die versicherungsinternen Berichte vor Bundesrecht nicht stand, sind doch mindestens geringe Zweifel daran begründet worden. Vielmehr wäre das kantonale Gericht bei gegebener Sach- und Rechtslage gehalten gewesen, weitere medizinische Abklärungen zu treffen. Zu beachten ist diesbezüglich, dass die Adäquanz als rechtliche Eingrenzung der sich aus dem natürlichen Kausalzusammenhang ergebenden Haftung des Unfallversicherers im Bereich organisch objektiv ausgewiesener Unfallfolgen praktisch keine Rolle spielt, da sich hier die adäquate weitgehend mit der natürlichen Kausalität deckt (BGE 134 V 109 E. 2 S. 111 f.; 127 V 102 E. 5b/bb S. 103). Die Sache wird an die Vorinstanz zurückgewiesen, damit sie nach Einholung eines Gerichtsgutachtens zur Frage
einer Hirnverletzung als Folge des Unfallereignisses vom 5. März 2005 und allfälliger Auswirkungen über die Beschwerde der Versicherten erneut befinde.
5.
Die Kosten eines von der versicherten Person veranlassten Gutachtens sind vom Versicherungsträger dann zu übernehmen, wenn sich der medizinische Sachverhalt erst auf Grund des neu beigebrachten Untersuchungsergebnisses schlüssig feststellen lässt und dem Unfallversicherer insoweit eine Verletzung der ihm im Rahmen des Untersuchungsgrundsatzes obliegenden Pflicht zur rechtsgenüglichen Sachverhaltsabklärung vorzuwerfen ist (RKUV 2004 Nr. U 503 S. 186, U 282/00; Urteil 8C 62/2016 vom 7. Juli 2016 E. 6.1).
Das Gutachten des Prof. Dr. med. M.________ vom 30. November 2015 bildet die wesentliche Grundlage für die Rückweisung zur Einholung eines weiteren Gutachtens, indem es - zusammen mit den Beurteilungen der REHAB - ausreichend Zweifel an den versicherungsinternen Beurteilungen zu wecken vermochte. Dem Antrag der Versicherten, die Kosten für das von ihr in Auftrag gegebene Gutachten der SUVA aufzuerlegen, ist demnach grundsätzlich stattzugeben. Die Vorinstanz wird in ihrem neuen Entscheid darüber zu befinden haben.
6.
Die Rückweisung der Sache an den Versicherungsträger oder an das vorinstanzliche Gericht zu erneuter Abklärung (mit noch offenem Ausgang) gilt für die Frage der Auferlegung der Gerichtskosten wie auch der Parteientschädigung als vollständiges Obsiegen im Sinne von Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen und der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Basel-Stadt vom 2. Mai 2016 aufgehoben. Die Sache wird zu neuer Entscheidung an die Vorinstanz zurückgewiesen. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat die Beschwerdeführerin für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2'800.- zu entschädigen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Basel-Stadt und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 23. Januar 2017
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Kopp Käch