Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
6B 1143/2013
Urteil vom 22. Mai 2014
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Mathys, Präsident,
Bundesrichter Denys, Oberholzer,
Gerichtsschreiberin Siegenthaler.
Verfahrensbeteiligte
1. X.________,
2. Y.________ SA,
beide vertreten durch Rechtsanwalt Peter-René Wyder,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Staatsanwaltschaft des Kantons Wallis, Amt der Region Oberwallis,
2. A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Peter Pfammatter,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Einstellung des Verfahrens (Erpressung, Nötigung),
Beschwerde gegen die Verfügung des Kantons-
gerichts des Kantons Wallis, Strafkammer,
vom 25. Oktober 2013.
Sachverhalt:
A.
X.________ ist einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsrat der Y.________ SA. Diese verkaufte der F.________ AG am 15. Juni 2009 zwei Stockwerkeigentümeranteile. Im Kaufvertrag verpflichtete sich die F.________ AG, ihre Zustimmung zur Löschung der auf den Stockwerkeigentümeranteilen eingetragenen Dienstbarkeiten zulasten der im Eigentum von X.________ stehenden Grundstückparzelle Nr. xxx (unter bestimmten Voraussetzungen) zu erteilen. Auf diese Löschung war X.________ angewiesen, um ein bereits bewilligtes Bauprojekt auf der betreffenden Parzelle realisieren zu können.
Gleichentags veräusserte die F.________ AG die beiden Stockwerkeigentümeranteile an die B.________ AG weiter. Die erwähnte Verpflichtung der F.________ AG gegenüber der Y.________ SA wurde in diesem Kaufvertrag nicht thematisiert. A.________ ist einzelzeichnungsberechtigter Verwaltungsratspräsident der B.________ AG.
B.
Am 16. Februar 2012 erstatteten X.________ und die Y.________ SA Strafanzeige gegen A.________ wegen Erpressung, eventuell Nötigung. Sie beschuldigten ihn, sich entgegen der vertraglichen Vereinbarung zu weigern, die Dienstbarkeiten zulasten der Parzelle Nr. xxx löschen zu lassen, und so die Ausübung einer rechtskräftigen Baubewilligung zu verhindern. Dadurch zwinge er ohne Rechtsgrund einerseits die Y.________ SA zur Abtretung von 29 Parkplätzen zugunsten der B.________ AG und andererseits X.________ zur Zahlung von Fr. 310'000.--.
C.
Am 21. März 2013 stellte die Staatsanwaltschaft Region Oberwallis das Verfahren gegen A.________ ein mit der Begründung, dessen Verhalten erfülle weder den Tatbestand der Erpressung noch jenen der Nötigung.
Die Beschwerde von X.________ und der Y.________ SA wies das Kantonsgericht des Kantons Wallis am 25. Oktober 2013 ab.
D.
X.________ und die Y.________ SA führen Beschwerde in Strafsachen. Sie beantragen, die Einstellungsverfügung der Staatsanwaltschaft Region Oberwallis vom 21. März 2013 bzw. die Verfügung der Strafkammer des Kantonsgerichts Wallis vom 25. Oktober 2013 seien aufzuheben. Die Sache sei zur Ergänzung der Untersuchung an die Staatsanwaltschaft oder zur Beurteilung an die zuständige richterliche Behörde zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
Die Privatklägerschaft ist nach Art. 81 Abs. 1 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 81 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière pénale quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire, et |
b | a un intérêt juridique à l'annulation ou à la modification de la décision attaquée, soit en particulier: |
b1 | l'accusé, |
b2 | le représentant légal de l'accusé, |
b3 | le ministère public, sauf pour les décisions relatives à la mise en détention provisoire ou pour des motifs de sûreté, à la prolongation de la détention ou à sa levée, |
b4 | ... |
b5 | la partie plaignante, si la décision attaquée peut avoir des effets sur le jugement de ses prétentions civiles, |
b6 | le plaignant, pour autant que la contestation porte sur le droit de porter plainte, |
b7 | le Ministère public de la Confédération et les autorités administratives participant à la poursuite et au jugement des affaires pénales administratives selon la loi fédérale du 22 mars 1974 sur le droit pénal administratif56. |
2 | Une autorité fédérale a qualité pour recourir si le droit fédéral prévoit que la décision doit lui être communiquée.57 |
3 | La qualité pour recourir contre les décisions visées à l'art. 78, al. 2, let. b, appartient également à la Chancellerie fédérale, aux départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, aux unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 119 Forme et contenu de la déclaration - 1 Le lésé peut faire une déclaration écrite ou orale, les déclarations orales étant consignées au procès-verbal. |
|
1 | Le lésé peut faire une déclaration écrite ou orale, les déclarations orales étant consignées au procès-verbal. |
2 | Dans la déclaration, le lésé peut, cumulativement ou alternativement: |
a | demander la poursuite et la condamnation de la personne pénalement responsable de l'infraction (action pénale); |
b | faire valoir des conclusions civiles déduites de l'infraction (action civile) par adhésion à la procédure pénale. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 320 Ordonnance de classement - 1 La forme et le contenu général de l'ordonnance de classement sont régis par les art. 80 et 81. |
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1 | La forme et le contenu général de l'ordonnance de classement sont régis par les art. 80 et 81. |
2 | Le ministère public lève dans l'ordonnance de classement les mesures de contrainte en vigueur. Il peut ordonner la confiscation d'objets et de valeurs patrimoniales. |
3 | Les conclusions civiles ne sont pas traitées dans l'ordonnance de classement. La voie civile est ouverte à la partie plaignante dès l'entrée en force de l'ordonnance. |
4 | Une ordonnance de classement entrée en force équivaut à un acquittement. |
Die Beschwerdeführer konstituierten sich im kantonalen Verfahren als Privatkläger und forderten Schadenersatz vom Beschwerdegegner. Sie begründen ihre Zivilklage unter anderem damit, dass dieser die von ihnen bezahlte Geldleistung widerrechtlich erlangt habe und dass ihnen aus der Bauverhinderung infolge Nichtlöschung der Parkplatzdienstbarkeit ein Schaden entstanden sei. Ihre Beschwerde genügt den dargelegten Begründungsanforderungen, weshalb darauf eingetreten werden kann.
2.
2.1. Die Beschwerdeführer rügen sinngemäss die Verletzung des Grundsatzes "in dubio pro duriore" sowie des Untersuchungsgrundsatzes. Einerseits habe die Staatsanwaltschaft entscheidende Beweiserhebungen nicht durchgeführt, andererseits sei die rechtliche Qualifikation dem urteilenden Gericht vorbehalten und nicht durch die Untersuchungsbehörde vorzunehmen. Die Staatsanwaltschaft hätte das Verfahren nicht einstellen dürfen.
2.2. Die Staatsanwaltschaft verfügt die Einstellung des Verfahrens unter anderem, wenn kein Straftatbestand erfüllt ist (Art. 319 Abs. 1 lit. b
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 319 Motifs de classement - 1 Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure: |
|
1 | Le ministère public ordonne le classement de tout ou partie de la procédure: |
a | lorsqu'aucun soupçon justifiant une mise en accusation n'est établi; |
b | lorsque les éléments constitutifs d'une infraction ne sont pas réunis; |
c | lorsque des faits justificatifs empêchent de retenir une infraction contre le prévenu; |
d | lorsqu'il est établi que certaines conditions à l'ouverture de l'action pénale ne peuvent pas être remplies ou que des empêchements de procéder sont apparus; |
e | lorsqu'on peut renoncer à toute poursuite ou à toute sanction en vertu de dispositions légales. |
2 | À titre exceptionnel, le ministère public peut également classer la procédure aux conditions suivantes: |
a | l'intérêt d'une victime qui était âgée de moins de 18 ans à la date de commission de l'infraction l'exige impérieusement et le classement l'emporte manifestement sur l'intérêt de l'État à la poursuite pénale; |
b | la victime ou, si elle n'est pas capable de discernement, son représentant légal a consenti au classement. |
3.
3.1. Die Beschwerdeführer beschuldigen den Beschwerdegegner 2, er habe sie zur Überweisung von Fr. 310'000.-- und Erbringung des Nachweises von 29 Parkplätzen erpresst bzw. genötigt, indem er angedroht habe, andernfalls der Löschung der Dienstbarkeiten zulasten des Grundstücks Nr. xxx nicht zuzustimmen und so das bereits rechtkräftig bewilligte Bauprojekt auf der betreffenden Parzelle zu verhindern.
3.2.
3.2.1. Gemäss Art. 156
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 156 - 1. Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, détermine une personne à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, en usant de violence ou en la menaçant d'un dommage sérieux, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
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1 | Quiconque, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, détermine une personne à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d'un tiers, en usant de violence ou en la menaçant d'un dommage sérieux, est puni d'une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
2 | Si l'auteur fait métier de l'extorsion ou s'il a poursuivi à réitérées reprises ses agissements contre la victime, il est puni d'une peine privative de liberté de six mois à dix ans. |
3 | Si l'auteur exerce des violences sur une personne ou s'il la menace d'un danger imminent pour la vie ou l'intégrité corporelle, la peine est celle prévue à l'art. 140. |
4 | Si l'auteur menace de mettre en danger la vie ou l'intégrité corporelle d'un grand nombre de personnes ou de causer de graves dommages à des choses d'un intérêt public important, il est puni d'une peine privative de liberté d'un an au moins. |
3.2.2. Bereits die Absicht unrechtmässiger Bereicherung lag beim Beschwerdegegner 2 nicht vor. Als Eigentümer der dienstbarkeitsbegünstigten Grundstücksparzellen war er berechtigt, sein Einverständnis zur Löschung der Dienstbarkeiten von einer Gegenleistung abhängig zu machen. Nicht er, sondern die F.________ AG hatte sich vertraglich verpflichtet, die Zustimmung zur Löschung zu erteilen. Der Beschwerdegegner 2 hat diese Verpflichtung in seinem Kaufvertrag nicht übernommen (vgl. Urteil, S. 5).
3.2.3. Die Beschwerdeführer machen geltend, der Beschwerdegegner 2 habe im Zeitpunkt des Erwerbs der beiden Stockwerkeigentümeranteile von der Löschungsklausel im Kaufvertrag zwischen der Beschwerdeführerin 2 und der F.________ AG gewusst. Er habe sich deshalb rechtsmissbräuchlich auf den Grundbucheintrag berufen und für sein Einverständnis zur Ablösung der Dienstbarkeiten in strafbarer Weise eine Nichtschuld durchsetzen wollen.
Dieser Argumentation kann nicht gefolgt werden. Die Vereinbarung im Kaufvertrag zwischen der Beschwerdeführerin 2 und der F.________ AG ist rein obligatorischer Natur. Der Grundbucheintrag eines dinglichen Rechts wird nicht allein deshalb ungerechtfertigt, weil er dem obligatorischen Anspruch eines Dritten auf Eintragung bzw. Löschung eines dinglichen Rechts widerspricht. Wer in das Hauptbuch Einsicht nimmt, darf davon ausgehen, dass die Einträge vollständig und richtig sind. Auch die Kenntnis von bestehenden obligatorischen Ansprüchen Dritter auf Eintragung oder Löschung eines dinglichen Rechts vermag den guten Glauben nicht zu zerstören (vgl. JÜRG SCHMID, in: Basler Kommentar, Zivilgesetzbuch, 4. Aufl. 2011, N. 7 zu Art. 974
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 974 - 1 Lorsqu'un droit réel a été inscrit indûment, l'inscription ne peut être invoquée par les tiers qui en ont connu ou dû connaître les vices. |
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1 | Lorsqu'un droit réel a été inscrit indûment, l'inscription ne peut être invoquée par les tiers qui en ont connu ou dû connaître les vices. |
2 | L'inscription est faite indûment, lorsqu'elle a été opérée sans droit ou en vertu d'un acte juridique non obligatoire. |
3 | Celui dont les droits réels ont été lésés peut invoquer directement contre les tiers de mauvaise foi l'irrégularité de l'inscription. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 973 - 1 Celui qui acquiert la propriété ou d'autres droits réels en se fondant de bonne foi sur une inscription du registre foncier, est maintenu dans son acquisition. |
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1 | Celui qui acquiert la propriété ou d'autres droits réels en se fondant de bonne foi sur une inscription du registre foncier, est maintenu dans son acquisition. |
2 | Cette disposition ne s'applique pas aux limites des immeubles compris dans les territoires en mouvement permanent désignés comme tels par les cantons.682 |
Demnach ist irrelevant, ob der Beschwerdegegner 2 beim Grundstückkauf von der vertraglichen Vereinbarung zwischen der Beschwerdeführerin 2 und der F.________ AG wusste. Er durfte sich auf den Grundbucheintrag verlassen und seine Zustimmung zur Löschung der zugunsten seiner Grundstückparzellen eingetragenen Dienstbarkeiten von einer Gegenleistung abhängig machen. Der Vorwurf, er habe eine Nichtschuld durchsetzen und sich unrechtmässig bereichern wollen, ist unbegründet. Damit entfällt der Tatbestand der Erpressung.
3.2.4. Der Nötigung im Sinne von Art. 181
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
Da der Beschwerdegegner 2 sich nie verpflichtet hatte, der Löschung der Dienstbarkeiten zulasten des Grundstücks Nr. xxx zuzustimmen, verfügten die Beschwerdeführer ihm gegenüber über keinen Rechtsanspruch. Ihre Lage verschlechterte sich deshalb nicht dadurch, dass er sein Einverständnis zur Löschung von einer Gegenleistung abhängig machte. Seine Absicht, die Zustimmung ohne solche Gegenleistung zu verweigern, ist folglich nicht als ernstlicher Nachteil im Sinne von Art. 181
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 181 - Quiconque, en usant de violence envers une personne ou en la menaçant d'un dommage sérieux, ou en l'entravant de quelque autre manière dans sa liberté d'action, l'oblige à faire, à ne pas faire ou à laisser faire un acte est puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d'une peine pécuniaire. |
3.2.5. Selbst wenn sie es wäre, läge keine tatbestandsmässige Nötigung vor. Eine Nötigungshandlung ist nur unrechtmässig, wenn das Mittel oder der Zweck unerlaubt ist, wenn das Mittel zum angestrebten Zweck nicht im richtigen Verhältnis steht oder wenn die Verknüpfung zwischen einem an sich zulässigen Mittel und einem erlaubten Zweck rechtsmissbräuchlich oder sittenwidrig ist (BGE 134 IV 216 E. 4.1; 129 IV 6 E. 3.4; 119 IV 301 E. 2b; 108 IV 165 E. 3; je mit Hinweisen).
Der Beschwerdegegner 2 war als Eigentümer der dienstbarkeitsbegünstigten Stockwerkeigentümeranteile berechtigt, entweder die Dienstbarkeiten auszuüben oder für seine Zustimmung zu deren Löschung eine Gegenleistung zu verlangen (vgl. vorne E. 3.2). Indem er mit den Beschwerdeführern einen Vertrag abschloss, den zu unterzeichnen diesen freigestellt war, verwendete er ein zulässiges Mittel zu einem erlaubten Zweck.
Dass die Beschwerdeführer an der Löschung der Dienstbarkeiten ein grosses Interesse hatten, weil die Realisierung eines bereits bewilligten Bauprojekts davon abhing, kann entgegen ihrer Darstellung nicht als Notsituation bezeichnet werden, die der Beschwerdegegner 2 ausgenutzt hätte. Selbst wenn er die konkreten Umstände gekannt haben sollte und sich diese preisbestimmend ausgewirkt hätten, entspräche dies den Regeln der freien Marktwirtschaft und wäre weder als rechtsmissbräuchlich oder sittenwidrig noch als Indiz dafür zu werten, dass Mittel und angestrebter Zweck nicht in einem richtigen Verhältnis gestanden hätten.
3.3. Zusammenfassend kann festgehalten werden, dass der Beschwerdegegner 2 die Straftatbestände der Erpressung und Nötigung auch dann nicht erfüllt hätte, wenn die Sachverhaltsdarstellung der Beschwerdeführer erwiesen wäre. Es handelt sich um eine rein zivilrechtliche Angelegenheit.
Unter diesen Umständen durfte die Staatsanwaltschaft entgegen der Ansicht der Beschwerdeführer (Beschwerde, S. 9 f.) darauf verzichten, die von ihnen beantragten Zeugen zu befragen und Beweise zu erheben. Denn selbst wenn die Zeugenaussagen und Beweisergebnisse in ihrem Sinne ausgefallen wären, hätte sich an der Rechtslage nichts geändert.
Da hinsichtlich der einschlägigen Straftatbestände somit keine zweifelhafte Rechtslage gegeben ist, kommt der Grundsatz "in dubio pro duriore" nicht zur Anwendung. Die Staatsanwaltschaft durfte das Verfahren einstellen. Die angefochtene Verfügung verletzt kein Bundesrecht.
4.
Die Beschwerde ist abzuweisen. Bei diesem Verfahrensausgang sind die bundesgerichtlichen Kosten den Beschwerdeführern aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 4'000.-- werden den Beschwerdeführern auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Kantonsgericht des Kantons Wallis, Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 22. Mai 2014
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Mathys
Die Gerichtsschreiberin: Siegenthaler