Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 23/2022, 8C 51/2022
Urteil vom 21. September 2022
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Wirthlin, Präsident,
Bundesrichter Maillard, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiber Walther.
Verfahrensbeteiligte
8C 23/2022
IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA, Avenue Edmond-Vaucher 18, 1203 Genf,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Jan Herrmann,
Beschwerdegegner,
und
8C 51/2022
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Jan Herrmann,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA, Avenue Edmond-Vaucher 18, 1203 Genf,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerden gegen das Urteil des Bundesverwaltungsgerichts vom
18. November 2021 (C-7354/2017).
Sachverhalt:
A.
Der 1964 geborene A.________, deutscher Staatsangehöriger und wohnhaft in Deutschland (nachfolgend auch: der Versicherte), war seit 1. September 1992 als Speditionskaufmann bei der B.________ AG tätig. Am 12. September 2016 meldete er sich unter Hinweis auf zahlreiche Beschwerden psychischer und somatischer Natur bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Gestützt auf ein vom Krankentaggeldversicherer, der Helvetia Schweizerische Versicherungsgesellschaft AG, St. Gallen, in Auftrag gegebenes Gutachten der Dres. med. C.________, Fachärztin für Physikalische Medizin und Rehabilitation, und D.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, vom 12. Mai 2017 verneinte die IV-Stelle für Versicherte im Ausland (nachfolgend: IV-Stelle) mit Verfügung vom 15. November 2017 einen Rentenanspruch bei einem Invaliditätsgrad von 20 %.
B.
In Gutheissung der dagegen erhobenen Beschwerde des A.________ sprach ihm das Bundesverwaltungsgericht mit Urteil vom 18. November 2021 bei einem Invaliditätsgrad von 40 % rückwirkend ab dem 1. März 2017 eine Viertelsrente zu.
C.
C.a. Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt die IV-Stelle, unter Aufhebung des angefochtenen Urteils sei festzustellen, dass kein Rentenanspruch bestehe (Verfahren 8C 23/2022). Zudem sei der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu erteilen. A.________ lässt auf Abweisung der Beschwerde und des Gesuchs um Erteilung der aufschiebenden Wirkung schliessen. Eventualiter sei die Streitsache unter Aufhebung des angefochtenen Urteils zur weiteren Abklärung und neuer Entscheidung über seinen Leistungsanspruch an die Vorinstanz, subventualiter an die IV-Stelle zurückzuweisen. Zudem beantragt er die Vereinigung mit dem Verfahren 8C 51/2022. Das Bundesverwaltungsgericht und das Bundesamt für Gesundheit (BAG) verzichten auf eine Stellungnahme.
C.b. Auch A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten erheben (Verfahren 8C 51/2022). Er beantragt, unter Aufhebung des angefochtenen Urteils sei die IV-Stelle zu verpflichten, ihm mindestens eine halbe Rente auf Basis eines Invaliditätsgrades von 50 % oder mehr zuzusprechen. Eventualiter sei die Streitsache zur weiteren Abklärung und neuen Entscheidung über seinen Leistungsanspruch an die Vorinstanz, subeventualiter an die IV-Stelle zurückzuweisen. Zudem beantragt er die Vereinigung mit dem Verfahren 8C 23/2022. Während die IV-Stelle auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichten das Bundesverwaltungsgericht und das BAG auf eine Stellungnahme.
C.c. Mit Verfügung vom 9. Mai 2022 hiess das Bundesgericht das Gesuch der IV-Stelle um Erteilung der aufschiebenden Wirkung gut.
Erwägungen:
1.
1.1. Da den beiden Beschwerden derselbe Sachverhalt zu Grunde liegt, sich die gleichen Rechtsfragen stellen und die Rechtsmittel den nämlichen vorinstanzlichen Entscheid betreffen, rechtfertigt es sich, die beiden Verfahren zu vereinigen und in einem einzigen Urteil zu erledigen (BGE 131 V 59 E. 1; 128 V 124 E. 1).
1.2. Eine Anschlussbeschwerde gibt es im Verfahren vor Bundesgericht nicht (BGE 138 V 106 E. 2.1). Soweit der Versicherte in seiner Beschwerdeantwort im Verfahren 8C 23/2022 materielle Anträge stellt, die über die Abweisung der Beschwerde hinausgehen (vgl. Sachverhalt C.a hiervor), ist auf diese nicht einzutreten.
2.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.
Streitig und zu prüfen ist, ob die Vorinstanz Bundesrecht verletzte, indem sie dem Versicherten ab 1. März 2017 eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 40 % zusprach.
4.
4.1. Das Bundesverwaltungsgericht hat die Bestimmungen zu den Begriffen der Invalidität (Art. 4 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
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1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
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1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
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1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
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a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
zur Kürzung des auf der Grundlage von statistischen Lohndaten ermittelten Invalideneinkommens [Tabellenlohnabzug] vgl. BGE 148 V 174 E. 6.3).
4.2. Hervorzuheben bzw. zu ergänzen ist folgendes:
4.2.1. Am 1. Januar 2022 trat das revidierte Bundesgesetz über die Invalidenversicherung (IVG; SR 831.20) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19.6.2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535). Die dem hier angefochtenen Urteil zugrunde liegende Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und des zeitlich massgebenden Sachverhalts (statt vieler: BGE 144 V 210 E. 4.3.1; 129 V 354 E. 1 mit Hinweisen) sind daher die Bestimmungen des IVG und diejenigen der Verordnung über die Invalidenversicherung (IVV; SR 831.201) in der bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassung anwendbar (vgl. BGE 148 V 174 E. 4.1).
4.2.2. Praxisgemäss kann auch auf versicherungsinterne ärztliche Feststellungen abgestellt werden. Bestehen jedoch auch nur geringe Zweifel an ihrer Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit, sind ergänzende Abklärungen vorzunehmen (BGE 145 V 97 E. 8.5; 139 V 225 E. 5.2). Liegt - wie hier - ein vom Krankentaggeldversicherer nicht im gesetzlich vorgesehenen Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
4.2.3. Ob einem medizinischen Gutachten und Arztberichten im Lichte der praxisgemässen Anforderungen Beweiswert zukommt, beschlägt eine frei überprüfbare Rechtsfrage. Ebenfalls rechtlicher Natur und darum frei überprüfbar sind die Fragen der Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln (Urteil 8C 177/2022 vom 13. Juli 2022 E. 2).
5.
5.1. Hinsichtlich des Gesundheitszustands des Versicherten stellte die Vorinstanz auf das vom Krankentaggeldversicherer eingeholte Gutachten der Dres. med. C.________ und D.________ vom 12. Mai 2017 ab. Als Diagnose mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit erhoben diese eine kombinierte Persönlichkeitsstörung mit narzisstischen, zwanghaften und emotional-instabilen Anteilen (ICD-10: F61.0) mit/bei anamnestischen Hinweisen auf ADHS (Aufmerksamkeitsdefizit/Hyperaktivitätsstörung; ICD-10: F90) während Kindheit und Jugend. Die (zahlreichen) übrigen Diagnosen, darunter (akten-) anamnestisch eine depressive Episode, gegenwärtig nahezu vollständig remittiert (ICD-10: F32.4; differentialdiagnostisch eine Dysthymie [ICD-10: F34.1]), hätten demgegenüber keinen Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit. Auf muskuloskelettalem Fachgebiet bestehe spätestens ab dem Begutachtungszeitpunkt am 24. Januar 2017 kein Gesundheitsschaden, der die Arbeitsfähigkeit des Versicherten in der zuletzt ausgeübten Tätigkeit als Speditionskaufmann oder in Verweistätigkeiten limitiere. Aufgrund der kombinierten Persönlichkeitsstörung bestünden Einschränkungen in Tätigkeiten mit erhöhtem zwischenmenschlichem Kontakt (z.B. im [sozial-]pädagogischen Bereich oder Verkauf) mit
permanentem Zeit- und Termindruck, hohem Publikumsverkehr sowie Tätigkeiten mit hohen Anforderungen an die Anpassungs- und Umstellungsfähigkeit. Unter Berücksichtigung aller Gegebenheiten und Befunde bestehe in der Tätigkeit als Speditionskaufmann eine Einschränkung von 20 % bei einem vollen Pensum. Für Tätigkeiten mit wenig intensivem zwischenmenschlichem Kontakt (strukturierte Büroarbeiten, die weitgehend selbstständig ausgeführt werden könnten, handwerkliche Verrichtungen etc.) sei aus versicherungspsychiatrischer Sicht eine Arbeitsunfähigkeit von 10 % bei einem vollem Pensum anzunehmen.
Die Vorinstanz erachtete das Gutachten der Dres. med. C.________ und D.________ als beweiswertig. Entgegen der Einschätzung der Dr. med. C.________, wonach muskuloskelettal kein Gesundheitsschaden mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit bestehe, hielt sie jedoch dafür, dass dem Versicherten aufgrund seiner Einschränkungen des Haltungs- und Bewegungsapparates die Tätigkeit als Speditionskaufmann aus rechtlicher Sicht nicht mehr zumutbar sei. Entsprechend sei von einer 90%igen Arbeitsfähigkeit in leidensangepassten Tätigkeiten auszugehen.
5.2. In erwerblicher Hinsicht ermittelte die Vorinstanz anhand der Tabellenlöhne der Lohnstrukturerhebung (LSE) des Bundesamts für Statistik des Jahres 2014 sodann ein Valideneinkommen von Fr. 101'297.74 und ein Invalideneinkommen von Fr. 61'329.93. Der Vergleich dieser Einkommen ergab einen Invaliditätsgrad von 39.45577 %, welchen die Vorinstanz auf 40 % aufrundete.
6.
6.1. Der Versicherte bestreitet den Beweiswert des bidisziplinären Gutachtens der Dres. med. C.________ und D.________. Er macht geltend, es bestünden zumindest geringe Zweifel an deren Einschätzungen, weshalb eine polydisziplinäre Begutachtung nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
6.1.1. Ins Leere zielt zunächst seine Rüge, es sei nicht erkennbar, welche medizinischen Akten den Gutachtern zur Verfügung gestanden hätten. Im insgesamt 18 Seiten umfassenden Aktenauszug des Gutachtens sind die Arztberichte, welche den Dres. med. C.________ und D.________ vorlagen, einlässlich dargestellt. Soweit der Versicherte in pauschaler Weise dafür hält, mit grosser Wahrscheinlichkeit hätten die Gutachter nicht alle Unterlagen der IV-Stelle zur Verfügung gehabt, legt er nicht dar, welche Berichte im Aktenauszug fehlen sollen. Dass die Vorinstanz auf dieses Vorbringen nicht explizit einging, ist nicht zu beanstanden, verlangt die aus dem verfassungsmässigen Anspruch auf rechtliches Gehör (Art. 29 Abs. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
6.1.2. Weiter hielt Dr. med. C.________ neben einer Beurteilung der auf ihrem Fachgebiet bestehenden muskuloskelettalen Beschwerden (vgl. das Weiterbildungsprogramm des Berufsverbands der Schweizer Ärztinnen und Ärzte [FMH], abrufbar über https://www.siwf.ch/weiterbildung/facharzttitel-und-schwerpunkte.cfm [besucht am 25. August 2022]) zwar fest, dass auch auf den Gebieten der Urologie, der Hals-Nasen-Ohren-Heilkunde, der Inneren Medizin, der Kardiologie sowie der Ophthalmologie keine Einschränkungen mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit bestünden. Entgegen der Auffassung des Versicherten stellt dies jedoch keine fachfremde Beurteilung dar, übernahm Dr. med. C.________ diesbezüglich doch die jeweiligen Einschätzungen der behandelnden Fachärzte. Dass und inwiefern eine polydisziplinäre Begutachtung in den genannten Fachgebieten somit zu einem anderen Ergebnis hätte führen können bzw. müssen, ist nicht ersichtlich und wird vom Versicherten auch nicht dargetan.
6.1.3. Im vom Versicherten letztinstanzlich angerufenen Bericht seiner Hausärztin Dr. med. E.________, Fachärztin für Allgemeinmedizin, vom 5. Oktober 2017 beschränkte sich diese auf eine Wiederholung ihrer früheren "Bescheinigung" vom 4. August 2016. Mit den darin attestierten Beschwerden, namentlich den Muskel-, Gelenk- und Sehnenschmerzen, setzte sich Dr. med. C.________ einlässlich auseinander und hielt fest, die Hausärztin nenne hierfür keine objektivierbaren pathomorphologischen Korrelate, sondern stütze sich einzig auf die subjektiven Angaben des Versicherten (zur Erfahrungstatsache, wonach behandelnde Ärzte im Hinblick auf ihre auftragsrechtliche Vertrauensstellung in Zweifelsfällen mitunter eher zugunsten ihrer Patienten aussagen vgl. BGE 135 V 465 E. 4.5; Urteil 8C 736/2021 vom 22. März 2022 E. 5.2).
6.1.4.
6.1.4.1. Gegen die psychiatrischen Einschätzungen des Dr. med. D.________ bringt der Versicherte vor, dem Gutachter sei die zwischenzeitlich bestätigte Autismus-Diagnose entgangen. Prof. Dr. med. F.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, habe mit ausführlichem Privatgutachten vom 26. Februar 2018 eine Autismus-Spektrum-Störung im Sinne eines hochfunktionalen Asperger-Syndroms (ICD-10: F84.5), ein aktuell mittelgradiges depressives Syndrom bei Verdacht auf rezidivierende depressive Störung (ICD-10: F33.1) und eine Somatisierungsstörung (ICD-10: F45.0) diagnostiziert, dies unter Bescheinigung einer vollen Arbeitsunfähigkeit. Schliesslich habe die behandelnde Psychiaterin Dr. med. G.________ die Diagnose eines Asperger-Autismus mit Berichten vom 3. und 12. Juli 2018 bestätigt. Die Vorinstanz habe dem Privatgutachten und den Berichten der Dr. med. G.________ jedoch den Beweiswert abgesprochen, weil sie in der Befunderhebung zu Zweifeln Anlass geben würden bzw. die Voraussetzungen an beweiswertige Berichte nicht erfüllten. Vielmehr hätte sie jedoch zum Schluss kommen müssen, dass sich zwei Gutachten gegenüberstünden, die auch der Regionale Ärztliche Dienst (RAD) der IV-Stelle im Ergebnis für vertretbar gehalten habe.
6.1.4.2. Wie vom Versicherten geltend gemacht, diagnostizierte Prof. Dr. med. F.________ in seinem - gemäss Vorinstanz zu berücksichtigenden (vgl. Urteil 8C 295/2021 vom 9. August 2021 E. 3.4) - Privatgutachten unter anderem eine Autismus-Spektrum-Störung im Sinne eines hochfunktionalen Asperger-Syndroms (ICD-10: F.84.5). Insofern wich seine Diagnosestellung von jener des Dr. med. D.________ ab, welcher einen Autismus noch ausgeschlossen und stattdessen eine kombinierte Persönlichkeitsstörung mit narzisstischen, zwanghaften und emotional-instabilen Anteilen (ICD-10: F61.0) mit/bei anamnestischen Hinweisen auf ADHS (Aufmerksamkeitsdefizit/Hyperaktivitätsstörung; ICD-10: F90) während Kindheit und Jugend diagnostiziert hatte. Mit Stellungnahme vom 4. Juni 2016 hielt der RAD fest, die Herleitung beider Diagnosen sei jeweils plausibel. Weiter stellte sich der Privatgutachter zwar auf den Standpunkt, aus der Autismus-Spektrum-Störung könne nicht auf eine Berufsunfähigkeit geschlossen werden, habe der Versicherte doch, wenn auch mit Schwierigkeiten, jahrelang erfolgreich als Logistikorganisator gearbeitet. Gleichwohl könne aber die Autismus-Diagnose die Vulnerabilität im Hinblick auf spezifische berufliche Stressoren erklären. So komme
es regelhaft bei Menschen mit Autismus-Spektrum-Störung immer dann zu einer meist depressiven oder auch psychotischen Dekompensation, wenn sich das berufliche Aufgabenfeld ändere oder aber die berufliche Nische z.B. durch Chefwechsel wegfalle. So schildere auch der Versicherte, dass die zunehmende Umstrukturierung seines Aufgabenfelds hin zu einem mehr an sozial-kommunikativen Anforderungen, insbesondere im Kontext des Publikumsverkehrs, weg von den eigentlichen Sacharbeiten der Organisation von Logistikprozessen, mehr und mehr dazu geführt hätte, dass er depressiv dekompensiert habe und schliesslich langfristig krankgeschrieben worden sei. In diesem Sinne legte der Privatgutachter das berufliche Leistungsprofil insoweit fest, als reizreiche Umgebungen (wie etwa Grossraumbüros) und Aufgabengebiete mit Kundenverkehr und einem hohen Anforderungsprofil im Bereich sozial-kommunikativer Leistungen zu vermeiden seien.
6.1.4.3. Anders als Dr. med. D.________, welcher die Arbeitsfähigkeit in der Tätigkeit als Speditionskaufmann aufgrund der Persönlichkeitsstörung als um 20 % reduziert sah, verneinte Prof. Dr. med. F.________ zwar autismusbedingte Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit in der angestammten Tätigkeit. Ausweislich seines Privatgutachtens legte er dieser Einschätzung jedoch ein anderes Tätigkeitsprofil zugrunde: Während Dr. med. D.________ offenkundig annahm, dass die Tätigkeit als Speditionskaufmann mit zwischenmenschlichem Kontakt, mit permanentem Zeit- und Termindruck sowie Tätigkeiten mit hohen Anforderungen an die Anpassungs- und Umstellungsfähigkeit einhergehe, beruhte die Schlussfolgerung des Privatgutachters demgegenüber auf der Annahme, dass es sich bei der angestammten Tätigkeit um eine eigentliche Sachbearbeitung gehandelt habe, welche somit während Jahren dem autismusbedingten Leistungsbild des Versicherten entsprach. Erst bei der Verschiebung des Anforderungsprofils zu einem Mehr an sozial-kommunikativen Aufgaben, so Prof. Dr. med. F.________ im Weiteren, sei es zur Dekompensation gekommen.
Vor diesem Hintergrund bestehen einerseits Unklarheiten betreffend das Anforderungsprofil in der zuletzt ausgeübten Tätigkeit als Speditionskaufmann. Weiter widersprechen sich die Einschätzungen des Dr. med. D.________ und jene des Prof. Dr. med. F.________ insofern, als Ersterer trotz der von ihm erkannten, soeben dargelegten Einschränkungen namentlich im sozial-kommunikativen Bereich dennoch auf eine 80%ige Arbeitsfähigkeit bei einem vollen Pensum schloss, während nach der Einschätzung des Prof. Dr. med. F.________ derartige Aufgabengebiete (mit Kundenverkehr und einem hohen Anforderungsprofil im Bereich sozial-kommunikativer Leistungen) gerade zu vermeiden sind. Welches Anforderungsprofil der Tätigkeit als Speditionskaufmann letztlich zugrunde liegt und wie es sich - darauf basierend - mit der entsprechenden Arbeitsfähigkeit verhält, kann vorliegend nicht festgestellt werden.
6.1.4.4. Weiter diagnostizierte Prof. Dr. med. F.________ ein aktuell mittelgradiges depressives Syndrom bei Verdacht auf rezidivierende depressive Störung (ICD-10: F33.1). Bezüglich dieser Diagnose, welche von Dr. med. D.________ nur aktenanamnestisch erhoben und als weitgehend remittiert eingeschätzt wurde, führte der Privatgutachter weiter aus, dass sie sich (im Gegensatz zur Autismus-Spektrum-Störung) global und breit auf die berufliche Leistungsfähigkeit auswirke. Wie die Vorinstanz festhielt, scheint die entsprechende Schilderung der Einschränkungen bzw. der Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit zwar eher allgemein gehalten. Aus dem Privatgutachten des Prof. Dr. med. F.________ geht jedoch hinreichend hervor, dass er die Arbeitsfähigkeit des Versicherten aufgrund des depressiven Beschwerdebilds als erheblich beeinträchtigt erachtet. Nachdem vorliegend auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der Einschätzungen des Dr. med. D.________ genügen (E. 4.2.2 hiervor), wäre die Vorinstanz auch diesbezüglich zu ergänzenden Abklärungen gehalten gewesen.
6.2. Indem das Bundesverwaltungsgericht ungeachtet der Unklarheiten hinsichtlich der Diagnosen, des Anforderungsprofils in der angestammten Tätigkeit und der Auswirkungen der psychischen Beschwerden auf die Arbeitsfähigkeit auch nur geringe Zweifel an den Einschätzungen des Dr. med. D.________ verneinte und auf diese abstellte, verletzte es Bundesrecht. Das angefochtene Urteil ist daher aufzuheben und die Sache ist an die IV-Stelle zurückzuweisen, damit sie die entsprechenden Abklärungen durchführe.
7.
Auf die weiteren Einwendungen des Versicherten und der IV-Stelle gegen das angefochtene Urteil braucht bei diesem Verfahrensausgang grundsätzlich nicht weiter eingegangen zu werden. Vor dem Hintergrund der notwendigen Abklärungen kann insbesondere auch offengelassen werden, ob den derzeit vorliegenden medizinischen Einschätzungen aus juristischer Sicht gefolgt werden kann oder nicht (vgl. E. 5.1 hiervor). Im Weiteren wird die Vorinstanz jedoch darauf hingewiesen, dass der Invaliditätsgrad bei einem Ergebnis von bis zu x.49... Prozent rechtsprechungsgemäss auf x Prozent abzurunden ist (BGE 130 V 121 E. 3.2). Der von ihr ermittelte Invaliditätsgrad von 39.45577 % wäre somit auf 39 % abzurunden gewesen.
8.
Die Parteien haben die Gerichtskosten grundsätzlich nach Massgabe ihres Unterliegens zu tragen. Angesichts der hier zu beurteilenden Streitlage, bei welcher sowohl der Versicherte als auch die IV-Stelle infolge der Rückweisung zu weiterer Abklärung und neuer Verfügung mit ihren Beschwerdeanträgen nur teilweise durchdringen, rechtfertigt sich eine hälftige Aufteilung der gesamthaften Gerichtskosten von Fr. 1600.- (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Verfahren 8C 23/2022 und 8C 51/2022 werden vereinigt.
2.
Die Beschwerden werden teilweise gutgeheissen. Das Urteil des Bundesverwaltungsgerichts vom 18. November 2021 und die Verfügung der IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA vom 15. November 2017 werden aufgehoben. Die Sache wird zu neuer Verfügung an die IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA zurückgewiesen. Im Übrigen werden die Beschwerden abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1600.- werden den Parteien je zur Hälfte auferlegt.
4.
Die IV-Stelle für Versicherte im Ausland IVSTA hat A.________ für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 2800.- zu entschädigen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Bundesverwaltungsgericht und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 21. September 2022
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Wirthlin
Der Gerichtsschreiber: Walther