Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 736/2017
Urteil vom 20. August 2018
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiberin Berger Götz.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Advokat Nicolai Fullin,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau vom 12. September 2017 (VBE.2017.507).
Sachverhalt:
A.
A.________ war seit April 2013 als arbeitslos gemeldet und in dieser Eigenschaft bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) obligatorisch gegen die Folgen von Unfällen und Berufskrankheiten versichert. Am 30. Juli 2014 zog er sich beim Fussballspiel eine distale Tibiafraktur rechts zu. Die Suva erbrachte Versicherungsleistungen. Am 17. Februar 2016 teilte sie A.________ mit, dass sie die Heilkosten- und Taggeldleistungen per 29. Februar 2016 einstellen und ihm eine einsprachefähige Verfügung zusenden werde. Mit Verfügung vom 19. Februar 2016 verneinte sie einen Anspruch auf Invalidenrente und Integritätsentschädigung. Dies bestätigte sie auf Einsprache hin (Einspracheentscheid vom 3. Juni 2016).
B.
B.a. Das Versicherungsgericht des Kantons Aargau wies die dagegen erhobene Beschwerde mit Entscheid vom 8. November 2016 ab, soweit es darauf eintrat. In teilweiser Gutheissung des hiergegen von A.________ ergriffenen Rechtsmittels hob das Bundesgericht den Entscheid auf und wies die Sache an das kantonale Gericht zurück; im Übrigen lehnte es die Beschwerde ab (Urteil 8C 43/2017 vom 1. Juni 2017, in: SVR 2017 UV Nr. 40 S. 138). In den Erwägungen führte es aus, das Entstehen des Anspruchs auf eine Rente der Unfallversicherung sei unter anderem auch vom Zeitpunkt des Eintritts des medizinisch-therapeutischen Endzustandes abhängig. Deshalb könne die Frage, ob der Fallabschluss korrekt erfolgt sei, nicht gesondert in Rechtskraft erwachsen, falls im Rechtsmittelverfahren der Rentenanspruch streitig sei. Es sei von einer kantonalgerichtlichen Verletzung der aus dem Gehörsanspruch fliessenden Begründungspflicht auszugehen. Die Sache werde zur Behebung dieses Mangels und zu neuem Entscheid an das kantonale Gericht zurückgewiesen (E. 2.3.2 ff.).
B.b. Mit Entscheid vom 12. September 2017 wies das Versicherungsgericht des Kantons Aargau die Beschwerde ab.
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen und beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids sei die IV-Stelle zu verpflichten, ihm eine Invalidenrente nach den gesetzlichen Bestimmungen, mindestens aber aufgrund eines Invaliditätsgrades von 10 %, zu leisten; eventualiter seien weitere Abklärungen zum Gesundheitszustand sowie insbesondere zur Frage nach dem Zeitpunkt des medizinischen Endzustands zu tätigen und es sei im Anschluss daran erneut über den Anspruch auf weitere Leistungen zu entscheiden.
Die Suva und das Bundesamt für Gesundheit verzichten auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1.
1.1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten (Art. 82 ff
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
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a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.1.2. Im vorliegenden Fall ist mit dem Anspruch auf Rente eine Geldleistung streitig. Soweit eventualiter der Fallabschluss in Zweifel gezogen wird, geht es bei den Taggeldern um eine Geldleistung und bei der Heilbehandlung um eine Sachleistung der Unfallversicherung. Rechtsprechungsgemäss prüft das Bundesgericht den Sachverhalt bei einer derartigen Konstellation frei, soweit er für beide Rechtsverhältnisse erheblich ist. Die eingeschränkte Kognition gilt in solchen Fällen nur, soweit Tatsachen ausschliesslich die Sachleistung betreffen (SVR 2014 UV Nr. 32 S. 106, 8C 834/2013 E. 2.2.2).
1.2. Des Weiteren wendet das Bundesgericht das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
2.
Der Unfallversicherer hat den Fall unter Einstellung von Heilbehandlung und Taggeld sowie Prüfung des Anspruchs auf Invalidenrente und Integritätsentschädigung abzuschliessen, wenn von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann und allfällige Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung abgeschlossen sind (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
3.
3.1. Der Beschwerdeführer hatte im Rechtsmittelverfahren vor dem kantonalen Gericht (vor der Rückweisung der Angelegenheit durch das Bundesgericht mit Urteil 8C 43/2017 vom 1. Juni 2017) einen Bericht des Prof. Dr. med. B.________, Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates FMH, vom 22. Juni 2016 einreichen und gestützt darauf geltend machen lassen, der medizinische Endzustand sei noch nicht erreicht und der Rentenentscheid sei verfrüht erfolgt. Hatte er vorher noch eine Invalidenrente auf der Basis einer mindestens 17%igen Erwerbseinbusse gefordert, so hielt er daran lediglich noch eventualiter fest und beantragte nun in der Hauptsache, die Suva sei zu verpflichten, weitere medizinische Abklärungen vorzunehmen, weiterhin Taggelder zu leisten und die Heilungskosten zu übernehmen.
Das Bundesgericht hielt im Urteil 8C 43/2017 fest, die Vorinstanz hätte diesen Bericht des Prof. Dr. med. B.________ berücksichtigen müssen, da der streitige Rentenanspruch insgesamt, namentlich auch hinsichtlich der Frage, ob ein solcher zufolge Erreichens des medizinisch-therapeutischen Endzustandes überhaupt schon entstehen konnte, der uneingeschränkten richterlichen Überprüfung durch das kantonale Gericht unterlegen sei. Denn es sei keineswegs von der Hand zu weisen, dass dieser Bericht Rückschlüsse auf die gesundheitliche Entwicklung im für die Beurteilung relevanten Zeitraum bis zum Einspracheentscheid vom 3. Juni 2016 zulasse und konkrete Empfehlungen zur Verbesserung des Gesundheitszustandes enthalte (E. 2.3.3). Das kantonale Gericht werde im Rahmen der Rückweisung Gelegenheit haben, sich mit dieser fachärztlichen Einschätzung auseinanderzusetzen. Dabei habe es dem Umstand Rechnung zu tragen, dass die Leistungseinstellung seitens der Suva allein auf den kreisärztlichen Einschätzungen beruhe. Bei dieser Ausgangslage sei zu betonen, dass bei Entscheiden gestützt auf versicherungsinterne ärztliche Beurteilungen, die im Wesentlichen oder ausschliesslich aus dem Verfahren vor dem Sozialversicherungsträger stammen, strenge
Anforderungen an die Beweiswürdigung zu stellen seien (E. 3.2).
3.2. Im angefochtenen Entscheid werden nunmehr alle vorliegenden medizinischen Unterlagen einer eingehenden Würdigung unterzogen und daraus gefolgert, die Beurteilungen von Kreisarzt Dr. med. C.________, Facharzt Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, vom 28. Juli und 18. Dezember 2015 und des Facharztes für Chirurgie, med. pract. D.________, Suva-Versicherungsmedizin, Kompetenzzentrum, vom 18. August 2016 seien voll beweiswertig. Demgegenüber vermöge die Einschätzung des Prof. Dr. med. B.________ vom 22. Juni 2016 keine auch nur geringen Zweifel an der Vollständigkeit und Nachvollziehbarkeit der kreisärztlichen Ausführungen zu wecken, die sich eingehend mit dem Versicherten persönlich, den medizinischen Akten und bildgebenden Abklärungen sowie den Ausführungen von Prof. Dr. med. B.________ auseinandersetzten. Wenn die Suva gestützt darauf davon ausgehe, spätestens seit 29. Februar 2016 liege ein Endzustand vor, und den Fall auf dieses Datum hin abschliesse, sei dies nicht zu beanstanden. Der Beschwerdeführer sei im Zeitpunkt des Unfalls (bzw. bereits seit April 2013) arbeitslos gewesen, weshalb das Valideneinkommen - unbestrittenermassen - anhand der Tabellen der Schweizerischen Lohnstrukturerhebung des
Bundesamtes für Statistik (LSE) zu ermitteln sei. Massgebend sei der totale Durchschnittslohn aller Wirtschaftssektoren, Männer, nach Tabelle TA1, LSE 2014, wobei offen bleiben könne, ob auf das Kompetenzniveau 1 oder 2 abzustellen sei. Gleiches gelte für das Invalideneinkommen, da der Beschwerdeführer seit dem Unfall keine Erwerbstätigkeit aufgenommen habe. Er sei im Rahmen des kreisärztlichen Belastungsprofils zu 100 %, mithin vollschichtig, arbeitsfähig. Der Umstand allein, dass nur noch leichte bis mittelschwere Arbeiten zumutbar seien, bilde keine Grundlage für einen zusätzlichen Abzug vom Tabellenlohn. Weil der Versicherte über eine Niederlassungsbewilligung C verfüge, weitere Merkmale für einen leidensbedingten Abzug jedoch nicht ersichtlich seien, sei ein 5%iger Abzug vom Tabellenlohn vorzunehmen. Bei auf derselben Berechnungsgrundlage basierendem Validen- und Invalideneinkommen resultiere ein rentenausschliessender Invaliditätsgrad von 5 %.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer verweist auf die bundesgerichtliche Erwägung, wonach eine Sachleistung in der Form von Heilbehandlung mit Blick auf den Bericht des Prof. Dr. med. B.________ vom 22. Juni 2016 durchaus in Betracht kommen könnte (Urteil 8C 43/2017 vom 1. Juni 2017 E. 3.1). Er bemängelt, dass die Vorinstanz wiederum nur auf die schon vorliegenden versicherungsinternen Stellungnahmen abgestellt hat und wirft ihr vor, sie habe Bundesrecht verletzt, indem sie den Sachverhalt nur ungenügend abgeklärt und den Rentenentscheid einseitig auf die verwaltungsinternen ärztlichen Beurteilungen abgestützt habe, obwohl Zweifel an der internen Beurteilung bestehen würden.
Es trifft zu, dass das Bundesgericht auf die strengen Anforderungen an die Beweiswürdigung bei Entscheiden gestützt auf versicherungsinterne ärztliche Beurteilungen aufmerksam gemacht hat (vgl. E. 3.1 in fine hiervor). Die Würdigung der medizinischen Akten überliess es allerdings dem kantonalen Gericht. Ebenso wenig äusserte es sich - entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers - abschliessend zur Notwendigkeit weiterer Abklärungen (Urteil 8C 43/2017 vom 1. Juni 2017 E. 3.2). Im angefochtenen Entscheid werden die medizinischen Akten, diesmal unter Einbezug des Berichts des Prof. Dr. med. B.________ vom 22. Juni 2016, nunmehr umfassend analysiert. Die Vorinstanz legt schlüssig dar, aus welchen Gründen die Angaben dieses Arztes keine auch nur geringen Zweifel an der Zuverlässigkeit der versicherungsinternen Stellungnahmen wecken können. Sie erklärt gestützt auf die Beurteilung des med. pract. D.________ vom 18. August 2016 insbesondere stringent, dass die nachträglich von Prof. Dr. med. B.________ postulierte Entzündung der Patellarsehne gestützt auf den MRI-Bericht vom 2. Juni 2016 nicht zu bestätigen ist. Aus dem Einwand des Versicherten, wonach auch med. pract. D.________ bei gezielter physiotherapeutischer Behandlung und
Trainingstherapie möglicherweise eine Besserung der Beschwerden erwarte, weshalb auch dieser Suva-Arzt keinen medizinischen Endzustand angenommen habe, kann ebenfalls nichts zu seinen Gunsten abgeleitet werden. Die Besserung gemäss Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
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1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
vorinstanzliche Schluss zulässig, dass weitere medizinische Behandlungen keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwarten lassen. Durch den Verzicht auf die Einholung eines Gerichtsgutachtens oder weiterer fachärztlicher Stellungnahmen hat das kantonale Gericht folglich kein Bundesrecht verletzt.
4.2. In zweiter Linie macht der Beschwerdeführer geltend, das kantonale Gericht hätte den 10%igen Leidensabzug beim Invalideneinkommen, wie er im Einspracheentscheid vorgenommen worden sei, nicht korrigieren dürfen.
4.2.1. Praxisgemäss können persönliche und berufliche Merkmale der versicherten Person wie Alter, Dauer der Betriebszugehörigkeit, Nationalität oder Aufenthaltskategorie sowie Beschäftigungsgrad einen auf höchstens 25 % begrenzten Leidensabzug von dem nach den LSE-Tabellenlöhnen zu ermittelnden Invalideneinkommen rechtfertigen, soweit anzunehmen ist, dass die trotz des Gesundheitsschadens verbleibende Leistungsfähigkeit infolge eines oder mehrerer dieser Merkmale auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt (vgl. Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
4.2.2. Der Beschwerdeführer räumt selber ein, dass sich noch kein Abzug rechtfertigt, soweit ihm nur noch körperlich leichte bis mittelschwere Tätigkeiten zumutbar seien. Denn die LSE-Tabellenlöhne, Kompetenzniveau 1 (einfache Tätigkeiten körperlicher und handwerklicher Art) und Kompetenzniveau 2 (praktische Tätigkeiten wie Verkauf/Pflege/Datenverarbeitung und Administration/Bedienen von Maschinen und elektronischen Geräten/Sicherheitsdienst/Fahrdienst), umfassen bereits eine Vielzahl von leichten und mittelschweren Tätigkeiten. In concreto ist ohne Weiteres davon auszugehen, dass dem Anforderungs- und Belastungsprofil entsprechende Verweisungstätigkeiten (vgl. E. 4.1 hiervor) auf dem ausgeglichenen Arbeitsmarkt angeboten werden. Das erwerbliche Leistungsvermögen ist durch die gesundheitlichen Beschwerden nicht in einem solchen Mass beschränkt, dass der Versicherte sich überwiegend wahrscheinlich mit einem geringeren Lohn begnügen müsste, als voll leistungsfähige und entsprechend überall einsetzbare Arbeitnehmer. Das kantonale Gericht hat zutreffend festgestellt, dass sich die geringe Einengung des Tätigkeitsspektrums nicht lohnsenkend auswirkt.
Soweit der Beschwerdeführer schliesslich - ohne weitere Spezifizierung - geltend macht, ein Abzug sei auch vorzunehmen, weil er seine berufliche Tätigkeit wechseln müsse, kann ihm ebenfalls nicht gefolgt werden. Dies bereits deshalb, weil eine angestammte Tätigkeit bei nicht abgeschlossener kaufmännischer Lehre und anschliessender Beschäftigung als temporärer Betriebsarbeiter und kaufmännischer Angestellter in verschiedenen Betrieben sowie als Chauffeur und zuletzt Sauerstoff-Techniker/Sachbearbeiter nicht eruiert werden kann. Zur Zeit des Unfallereignisses am 30. Juli 2014 bestand zudem seit April 2013 eine Arbeitslosigkeit.
4.3. Da der Versicherte über die Niederlassungsbewilligung C verfügt, berücksichtigt das kantonale Gericht beim Invalideneinkommen gleichwohl einen Abzug von immerhin 5 %. Dieses Vorgehen ist jedoch nicht zulässig, da das Valideneinkommen und das Invalideneinkommen hier auf derselben tabellarischen Berechnungsgrundlage fussen. Der Aufenthaltsstatus wirkt sich bei dieser Konstellation nämlich nicht nur beim Invalideneinkommen, sondern auch beim Valideneinkommen gleichermassen zusätzlich lohnsenkend aus. Ein entsprechender Abzug wegen der Niederlassungsbewilligung C müsste somit entweder sowohl beim Validen- als auch beim Invalideneinkommen oder aber bei keinem der beiden berücksichtigt werden. Weiterungen erübrigen sich allerdings, da der Wegfall des 5%igen Abzugs ohne Einfluss auf das Ergebnis bleibt. Ebenfalls nicht entscheidrelevant ist, dass der Lohnunterschied mit Blick auf die bisherige Erwerbsbiographie wohl nach der Tabelle TA12 (LSE 2014; Monatlicher Bruttolohn, Schweizer/innen und Ausländer/innen, nach beruflicher Stellung und Geschlecht, Privater Sektor) zu berechnen wäre (während das kantonale Gericht die LSE-Tabellenlöhne für den privaten und den öffentlichen Sektor zusammen beizog). Im Vergleich zum Gesamtdurchschnitt
fällt der Lohn von Männern mit Niederlassungsbewilligung C gestützt auf Tabelle TA12 lediglich um 3 % geringer aus (vgl. Urteile 9C 418/2017 vom 30. Oktober 2017 E. 4.5.2 und 9C 449/2015 vom 21. Oktober 2015 E. 4.2.4). Ob dem - bei anderer Ausgangslage - mit einem Abzug Rechnung zu tragen wäre, braucht an dieser Stelle nicht beantwortet zu werden.
5.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 20. August 2018
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Berger Götz