Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 737/2019
Urteil vom 19. Juli 2020
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Wirthlin, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiberin Berger Götz.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Viktor Estermann,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle Nidwalden, Stansstaderstrasse 88, 6371 Stans,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts Nidwalden vom 29. April 2019 (SV 18 18).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1957 geborene A.________ hatte sich am 30. August 2012 unter Hinweis auf Rücken- und Knieschmerzen erstmals zum Bezug von Leistungen bei der Invalidenversicherung angemeldet. Im Wesentlichen gestützt auf die Gutachten der Medizinische Abklärungsstelle Bern ZVMB GmbH (nachfolgend: MEDAS) vom 21. Februar 2014 und 29. Juni 2016 hatte die IV-Stelle Nidwalden einen Rentenanspruch mit - unangefochten in Rechtskraft erwachsener - Verfügung vom 25. August 2016 verneint.
A.b. Am 29. März 2017 meldete sich A.________ erneut bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle holte unter anderem ein Verlaufsgutachten bei der MEDAS vom 22. Januar 2018 ein. Nach Durchführung des Vorbescheidverfahrens lehnte sie einen Anspruch auf Leistungen wiederum ab (Verfügung vom 28. Mai 2018).
B.
Das Verwaltungsgericht des Kantons Nidwalden wies die dagegen erhobene Beschwerde ab (Entscheid vom 29. April 2019).
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Rechtsbegehren, in Aufhebung des kantonalgerichtlichen Entscheids sei die Sache zur erneuten Beurteilung an das Verwaltungsgericht zurückzuweisen; eventuell sei ihm mindestens eine Viertelsrente zuzusprechen.
Die IV-Stelle schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das kantonale Gericht und das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichten auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.2. Die gerichtlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit bzw. deren Veränderung in einem bestimmten Zeitraum beziehen sich grundsätzlich auf Tatfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2 S. 397 ff.). Gleiches gilt für die konkrete Beweiswürdigung. Eine Sachverhaltsfeststellung ist nicht schon dann offensichtlich unrichtig, wenn sich Zweifel anmelden, sondern erst, wenn sie eindeutig und augenfällig unzutreffend ist. Eine offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung weist damit die Tragweite von Willkür auf. Es liegt noch keine offensichtliche Unrichtigkeit vor, nur weil eine andere Lösung ebenfalls in Betracht fällt, selbst wenn diese als die plausiblere erscheint. Eine Sachverhaltsfeststellung ist etwa dann offensichtlich unrichtig, wenn das kantonale Gericht den Sinn und die Tragweite eines Beweismittels offensichtlich falsch eingeschätzt, ohne sachlichen Grund ein wichtiges und für den Ausgang des Verfahrens entscheidendes Beweismittel nicht beachtet oder aus den abgenommenen Beweisen unhaltbare Schlüsse gezogen hat. Solche Mängel sind in der Beschwerde aufgrund des strengen Rügeprinzips (vgl. Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
vom 12. April 2019 E. 1.2).
2.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es die leistungsablehnende Verfügung der IV-Stelle vom 28. Mai 2018 schützte.
3.
3.1. Im angefochtenen Entscheid werden die Bestimmungen und Grundsätze zur Erwerbsunfähigkeit (Art. 7
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
|
1 | Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11 |
2 | Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
|
1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
3.2.
3.2.1. Ergänzend ist im Zusammenhang mit der Prüfung einer Neuanmeldung auf Art. 87 Abs. 3
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 87 Motifs de révision - 1 La révision a lieu d'office: |
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1 | La révision a lieu d'office: |
a | lorsqu'en prévision de la possibilité d'une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence, ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité, un terme a été fixé au moment de l'octroi de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance, ou |
b | lorsque des organes de l'assurance ont connaissance de faits ou ordonnent des mesures qui peuvent entraîner une modification importante du taux d'invalidité, du degré d'impotence ou encore du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité. |
2 | Lorsqu'une demande de révision est déposée, celle-ci doit établir de façon plausible que l'invalidité, l'impotence ou l'étendue du besoin de soins ou du besoin d'aide découlant de l'invalidité de l'assuré s'est modifiée de manière à influencer ses droits. |
3 | Lorsque la rente, l'allocation pour impotent ou la contribution d'assistance a été refusée parce que le degré d'invalidité était insuffisant, parce qu'il n'y avait pas d'impotence ou parce que le besoin d'aide ne donnait pas droit à une contribution d'assistance, la nouvelle demande ne peut être examinée que si les conditions prévues à l'al. 2 sont remplies. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
3.2.2. Vergleichszeitpunkte für die Überprüfung, ob eine anspruchsrelevante Veränderung eingetreten ist, bilden im vorliegenden Fall fraglos die Zeitpunkte des Erlasses der beiden rentenablehnenden Verfügungen vom 25. August 2016 und vom 28. Mai 2018.
4.
Im vorinstanzlichen Entscheid wurde nach einlässlicher und sorgfältiger Würdigung der medizinischen Unterlagen festgestellt, auf das Verlaufsgutachten vom 22. Januar 2018 könne abgestellt werden, weshalb davon auszugehen sei, dass in einer körperlich leichteren Verweistätigkeit eine 100%ige Arbeitsfähigkeit bestehe. Gestützt darauf sei, was die entsprechenden erwerblichen Auswirkungen anbelange, ein erzielbares Einkommen ohne invalidisierenden Gesundheitsschaden (Valideneinkommen) von Fr. 82'520.- mit einem Invalideneinkommen von Fr. 61'183.- zu vergleichen, woraus kein rentenbegründender Invaliditätsgrad resultiere.
5.
Die in der Beschwerde dagegen erhobenen Rügen führen zu keinem anderen Ergebnis, wie sich nachfolgend zeigt.
5.1.
5.1.1. Wie schon vor der Vorinstanz macht der Versicherte auch vor Bundesgericht geltend, auf das Gutachten vom 22. Januar 2018 könne schon deshalb nicht abgestellt werden, weil es - nachdem die Begutachtung bereits im Juni 2017 stattgefunden habe - erst im Januar 2018 erstellt worden sei. Damit habe die Gutachterstelle gegen die Vereinbarung zwischen dem BSV und den anerkannten MEDAS-Begutachtungsstellen verstossen, die eine Ablieferungsfrist von 110 Kalendertagen vorsehe. Ausserdem habe der Gesundheitszustand im Januar 2018 längst nicht mehr mit den Befunden im Juli 2017 übereingestimmt.
Nicht eingehaltene Fristbestimmungen aus einer Vereinbarung zwischen dem BSV und den Begutachtungsstellen führen nicht schon für sich allein dazu, dass eine Expertise nicht mehr als beweiswertig zu betrachten wäre (vgl. Urteil 8C 549/2013 vom 4. Dezember 2013 E. 3.1.1). Solange sich der Gesundheitszustand zwischen Begutachtung und Ablieferung des Gutachtens nicht verändert hat, besteht allein wegen der Verzögerung kein Grund, den Beweiswert in Frage zu stellen. Der Beschwerdeführer vermag denn auch keine Gründe zu benennen, die eine gesundheitliche Verschlechterung in diesem Zeitraum untermauern könnten. Die pauschale Behauptung, der Gesundheitszustand würde sich seit mehreren Jahren stetig verschlechtern, konnte zudem von den medizinischen Fachpersonen insgesamt gerade nicht bestätigt werden. Die in der Beschwerde genannten Berichte der behandelnden Ärzte vermögen nichts anderes zu belegen, wie schon die Vorinstanz ausgeführt hat. Der rheumatologische Bericht vom 18. Juni 2018, auf den sich der Versicherte in diesem Zusammenhang beruft und im vorinstanzlichen Verfahren eingereicht haben will, befindet sich im Übrigen gar nicht bei den Akten und wird weder in seinem Beweismittelverzeichnis zur Beschwerde ans kantonale Gericht noch
in jenem zur Replik genannt. Dass zwischen der Erteilung und der Erledigung eines Begutachtungsauftrags einige Zeit vergeht, ist sodann gerade bei polydisziplinären Expertisen, welche Teilgutachten verschiedener medizinischer Fachrichtungen und eine gesamthafte Würdigung erfassen, nicht unüblich. Daran ändert nichts, dass es sich im vorliegenden Fall um ein Verlaufsgutachten handelt. Der Beschwerdeführer scheint zu verkennen, dass sich die Fachpersonen auch bei einer zweiten oder dritten Begutachtung derselben Person jeweils wieder aufs Neue in die Krankengeschichte einarbeiten und die seitherige Entwicklung bis zum aktuellen Zustand gleichermassen gründlich abklären müssen. Jedenfalls kann aus der hier verstrichenen Zeit - mit der Vorinstanz - nicht gefolgert werden, auf die Expertise vom 22. Januar 2018 könne nicht abgestellt werden.
5.1.2. Des Weiteren rügt der Versicherte, das kantonale Gericht habe nicht berücksichtigt, dass die Gutachter im Vergleich zur Expertise aus dem Jahr 2016 unter der Rubrik "mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit" zusätzliche Diagnosen aufgeführt hätten. Da diese hinzugetretenen Diagnosen also einen wesentlichen Einfluss auf die noch zumutbaren Tätigkeiten hätten, bestehe ein offensichtlicher Widerspruch, soweit im orthopädischen (Teil-) Gutachten aus dem Jahr 2018 von einer leichten Verbesserung des Gesundheitszustandes ausgegangen werde. Da die Vorinstanz auf dieses Argument nicht eingegangen sei, habe sie das rechtliche Gehör bzw. die gesetzliche Begründungspflicht verletzt. Ausserdem habe sich der orthopädische Experte mit den Befunden gemäss Abklärungsbericht der Dr. med. B.________, Rheumatologie FMH, vom 28. Februar 2017 - namentlich mit der Einschätzung, dass sich der gesundheitliche Zustand seit der Begutachtung 2016 verschlechtert habe - nicht begründet befasst. Deshalb komme dem Gutachten auch materiell kein Beweiswert zu. Das kantonale Gericht sei zudem nicht auf den (vorinstanzlich eingereichten) Austrittsbericht der Klinik für Orthopädie/Traumatologie, Spital C.________, vom 20. September 2018 und die Stellungnahme
der Dr. med. B.________ vom 2. November 2018 eingegangen. Aus diesen ergäben sich zusätzliche Befunde, die im Gutachten weder erhoben noch beurteilt worden seien, sodass auf die darin enthaltene Einschätzung der Arbeitsfähigkeit nicht abgestützt werden könne.
Wie bereits im angefochtenen Entscheid ausgeführt wird, bildet nicht die Anzahl der Diagnosen, die unter der Rubrik "mit Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit" aufgelistet sind, den Ausschlag für das Ausmass der Einschränkung der Arbeitsfähigkeit, sondern der Schweregrad der Befunde sowie die konkreten Auswirkungen auf die Leistungsfähigkeit. Ausserdem erscheint das Abstellen auf das MEDAS-Gutachten vom 22. Januar 2018 auch im Vergleich mit dem Bericht der Dr. med. B.________ vom 28. Februar 2017 nicht als willkürlich. Die Rheumatologin hat zwar von einer Verschlechterung des Zustandes seit 2015 mit Zunahme des lumbo- und zervikoradikulären Syndroms, der degenerativen Veränderungen beider Knie und der Adipositas berichtet. Dem orthopädischen Experten war diese Einschätzung bekannt, wie sich aus dem Gutachten ergibt. Im Gegensatz zur behandelnden Rheumatologin nahm er differenziert Stellung zur Befundkonsistenz und bezog namentlich auch die Beobachtungen bei der Messung des passiven Bewegungsumfangs (Halswirbelsäule, Schultergelenk, Lendenwirbelsäule, Arme und Beine) und bei der manuellen Untersuchung sowie die objektiv festgestellte fehlende Muskelminderung in seine Beurteilung mit ein. Wenn er deshalb in einer den gesundheitlichen
Einschränkungen angepassten Erwerbstätigkeit - im Ergebnis unverändert im Vergleich zur Sachlage bei der ersten Rentenablehnung im Jahr 2016 - eine 100%ige Arbeitsfähigkeit attestierte, so kann dies nicht als offensichtlich unrichtig gelten. Auf die im vorinstanzlichen Verfahren eingereichten Berichte, die die Entwicklung nach Erlass der Verfügung vom 28. Mai 2018 betreffen, musste das kantonale Gericht sodann schon deshalb nicht eingehen, weil vorliegend lediglich der Leistungsanspruch basierend auf dem Gesundheitszustand, wie er sich bis zum 28. Mai 2018 darstellte, zur Debatte stehen kann.
5.1.3. Soweit der Beschwerdeführer vorbringt, auch auf das psychiatrische Teilgutachten 2018 hätte das kantonale Gericht nicht abstellen dürfen, kann ihm ebenfalls nicht gefolgt werden. Entgegen seiner Behauptung setzte sich der psychiatrische Experte mit den anderslautenden Diagnosen der behandelnden Fachpersonen auseinander und ging sogar insoweit mit ihnen einig, dass er eine anfängliche Anpassungsstörung und eine leichte depressive Störung als möglich erachtete. Im Untersuchungszeitpunkt war die mögliche psychische Alteration nach seiner Einschätzung allerdings weitgehend remittiert, so dass er keine psychiatrische Diagnose mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit stellen konnte.
5.1.4. Wenn die Vorinstanz unter anderem mit Blick auf die Angaben der orthopädischen und psychiatrischen Experten zum Schluss gelangte, das MEDAS-Gutachten vom 22. Januar 2018 sei in Kenntnis der Vorakten ergangen und die Experten hätten sich mit den Einschätzungen der behandelnden Ärzte genügend auseinandergesetzt, und gestützt darauf eine 100%ige Arbeitsfähigkeit in einer leidensangepassten Tätigkeit feststellte, so ist dies nicht zu beanstanden. Denn eine vertiefte Auseinandersetzung mit jedem einzelnen Bericht ist nicht erforderlich, wenn sich - wie hier - insgesamt ein vollständig und schlüssig ermitteltes Bild des Gesundheitszustandes und der Entwicklung seit der Begutachtung im Jahr 2016 ergibt (vgl. Urteil 8C 642/2011 vom 14. Februar 2012 E. 5.2).
Den von Versicherungsträgern im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
5.2. Beim Invalideneinkommen, das dem Einkommensvergleich zugrunde gelegt wird, möchte der Versicherte anstelle des von der IV-Stelle berücksichtigten 10%igen Leidensabzugs einen solchen von 25 % vornehmen. Dies begründet er mit dem Alter, seiner mittlerweile langjährigen behinderungsbedingten Arbeitsabsenz, sprachlichen Problemen und der beschränkten beruflichen Erfahrung. Weiterungen zur Frage der Höhe des leidensbedingten Abzugs erübrigen sich hier allerdings schon deshalb, weil - wie von der Vorinstanz zutreffend festgehalten - auch der Maximalabzug von 25 % (BGE 126 V 75 E. 5b/cc S. 80) zu einem rentenausschliessenden Invaliditätsgrad (von 38 %) führen würde. Von einer wirtschaftlich nicht verwertbaren Resterwerbsfähigkeit kann schliesslich ebenfalls nicht ausgegangen werden.
6.
Zusammenfassend ist die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung unter Einschluss der Beweiswürdigung weder offensichtlich unrichtig (unhaltbar, willkürlich: BGE 141 IV 369 E. 6.3 S. 375; 135 II 145 E. 8.1 S. 153), noch beruht sie auf einer (anderweitigen) Rechtsverletzung; sie bleibt daher für das Bundesgericht verbindlich (E. 1.1 hiervor). Damit durfte das kantonale Gericht von ergänzenden medizinischen Abklärungen absehen, ohne Bundesrecht zu verletzen (antizipierende Beweiswürdigung; BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236; 134 I 140 E. 5.3 S. 148; 124 V 90 E. 4b S. 94). Die Beschwerde ist unbegründet.
7.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat der Beschwerdeführer die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht Nidwalden, Sozialversicherungsrechtliche Abteilung, und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 19. Juli 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Berger Götz