Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
6B 211/2020
Urteil vom 19. Mai 2020
Strafrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Denys, Präsident,
Bundesrichterin van de Graaf,
nebenamtliche Bundesrichterin Lötscher,
Gerichtsschreiberin Schär.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Barbara Fink Winzap,
Beschwerdeführer,
gegen
1. Oberstaatsanwaltschaft des Kantons Zürich,
2. B.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Olga Gamma Ammann,
Beschwerdegegner.
Gegenstand
Sexuelle Handlungen mit einem Abhängigen; Anklagegrundsatz, Unschuldsvermutung etc.,
Beschwerde gegen das Urteil des Obergerichts des Kantons Zürich, I. Strafkammer, vom 4. November 2019 (SB190311-O/U/cwo).
Sachverhalt:
A.
A.________ wird vorgeworfen, anlässlich eines Betriebsfestes am 29. Oktober 2017 den ihm damals unterstellten Lernenden B.________ von hinten umarmt und ihn über und unter dem T-Shirt am Bauch gestreichelt zu haben. Anschliessend habe er B.________ über den Kleidern an das Gesäss und in den Schritt gefasst sowie dessen Geschlechtsteil massiert. B.________ sei erkennbar angewidert gewesen, habe es aber geschehen lassen, weil er sich nicht zu wehren getraut habe.
Das Bezirksgericht Winterthur erklärte A.________ mit Urteil vom 5. März 2019 der sexuellen Handlungen mit einem Abhängigen schuldig und verurteilte ihn zu einer Geldstrafe von 120 Tagessätzen zu Fr. 180.--, bedingt vollziehbar bei einer Probezeit von 2 Jahren. Es stellte fest, dass A.________ gegenüber B.________ dem Grundsatze nach schadenersatzpflichtig ist und verpflichtete ihn zu einer Genugtuungszahlung von Fr. 1'000.-- zzgl. Zins zu 5 % seit dem 29. Oktober 2017 an B.________. Das Obergericht des Kantons Zürich wies die Berufung von A.________ mit Urteil vom 4. November 2019 ab.
B.
A.________ führt Beschwerde in Strafsachen. Er beantragt, das Urteil des Obergerichts vom 4. November 2019 sei aufzuheben und er sei vom Vorwurf der sexuellen Handlungen mit einem Abhängigen freizusprechen. Des Weiteren seien die Kosten des kantonalen Verfahrens neu zu verlegen und ihm sei eine Prozessentschädigung zuzusprechen. Eventualiter sei das Verfahren zur Regelung der Kosten- und Entschädigungsfolgen an das Obergericht zurückzuweisen.
Erwägungen:
1.
1.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Verletzung des Anklagegrundsatzes. Er macht geltend, in der Anklage werde das Tatbestandsmerkmal des Ausnützens der Abhängigkeit nicht genügend umschrieben. Die Anklage habe nicht nur darzulegen, dass ein Abhängigkeitsverhältnis vorliege, sondern auch, inwiefern der Täter diese Abhängigkeit ausgenützt haben soll. Die Vorinstanz zitiere aus dem Ingress der Anklageschrift, welche die Umschreibung des gesetzlichen Tatbestandes wiedergebe. Die einzelnen Tatbestandsmerkmale würden aber im Anklagesachverhalt nicht umschrieben. Mit der Umschreibung, der Beschwerdegegner 2 sei erkennbar angewidert gewesen, habe es aber geschehen lassen, weil er sich nicht zu wehren getraut habe, werde das Ausnützen der Abhängigkeit nicht hinreichend umschrieben. Weiter fehle es an Angaben zur Kausalität zwischen der behaupteten Tathandlung und der Abhängigkeit. Die entsprechend vorgenommene Ergänzung des anklagerelevanten Sachverhalts durch die Vorinstanz verletze Art. 350 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 350 Latitude dans l'appréciation de l'accusation; fondements du jugement - 1 Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
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1 | Le tribunal est lié par l'état de fait décrit dans l'acte d'accusation mais non par l'appréciation juridique qu'en fait le ministère public. |
2 | Il prend en compte les preuves administrées durant la procédure préliminaire et lors des débats. |
1.2. Die Vorinstanz gelangt zum Schluss, der Anklagesachverhalt sei in der Anklageschrift klar umgrenzt. Der Vorwurf, der Beschwerdeführer habe in Ausnützung der Abhängigkeit aufgrund des Arbeitsverhältnisses bzw. aufgrund seiner Vorgesetztenrolle als Filialleiter sexuelle Handlungen zum Nachteil des Beschwerdegegners 2 vorgenommen, habe sich aus der Anklageschrift hinreichend deutlich ergeben. Der Beschwerdeführer habe seine Verteidigungsrechte angemessen ausüben können.
1.3. Nach dem Anklagegrundsatz bestimmt die Anklageschrift den Gegenstand des Gerichtsverfahrens (Umgrenzungsfunktion; Art. 9
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 9 Maxime d'accusation - 1 Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
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1 | Une infraction ne peut faire l'objet d'un jugement que si le ministère public a déposé auprès du tribunal compétent un acte d'accusation dirigé contre une personne déterminée sur la base de faits précisément décrits. |
2 | Sont réservées la procédure de l'ordonnance pénale et la procédure pénale en matière de contraventions. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 325 Contenu de l'acte d'accusation - 1 L'acte d'accusation désigne: |
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1 | L'acte d'accusation désigne: |
a | le lieu et la date de son établissement; |
b | le ministère public qui en est l'auteur; |
c | le tribunal auquel il s'adresse; |
d | les noms du prévenu et de son défenseur; |
e | le nom du lésé; |
f | le plus brièvement possible, mais avec précision, les actes reprochés au prévenu, le lieu, la date et l'heure de leur commission ainsi que leurs conséquences et le mode de procéder de l'auteur; |
g | les infractions réalisées et les dispositions légales applicables de l'avis du ministère public. |
2 | Le ministère public peut présenter un acte d'accusation alternatif ou, pour le cas où ses conclusions principales seraient rejetées, un acte d'accusation subsidiaire. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 32 Procédure pénale - 1 Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
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1 | Toute personne est présumée innocente jusqu'à ce qu'elle fasse l'objet d'une condamnation entrée en force. |
2 | Toute personne accusée a le droit d'être informée, dans les plus brefs délais et de manière détaillée, des accusations portées contre elle. Elle doit être mise en état de faire valoir les droits de la défense. |
3 | Toute personne condamnée a le droit de faire examiner le jugement par une juridiction supérieure. Les cas où le Tribunal fédéral statue en instance unique sont réservés. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
1.4. Die Anklage wirft dem Beschwerdeführer einleitend vor, er habe mit einer unmündigen Person von mehr als 16 Jahren, die von ihm durch ein Erziehungs-, Betreuungs- oder Arbeitsverhältnis oder auf andere Weise abhängig sei, eine sexuelle Handlung vorgenommen, indem er diese Abhängigkeit ausgenützt habe. Sie beschreibt das Bestehen des Lehrverhältnisses, die Situation des Betriebsfestes und die vorgeworfenen sexuellen Handlungen. In der Anklage wird weiter ausgeführt, dass der Beschwerdegegner 2 dabei erkennbar angewidert gewesen sei, er es aber habe geschehen lassen, weil er sich nicht zu wehren getraut habe. Der Beschwerdeführer habe dies gewollt oder zumindest in Kauf genommen. Aus der Anklage geht damit hinreichend deutlich hervor, welcher Vorwurf dem Beschwerdeführer gemacht wird. Dass nicht ausdrücklich ausgeführt wird, das Lehrverhältnis sei der Grund gewesen, weshalb sich der Beschwerdegegner 2 nicht zu wehren getraute, ist angesichts der restlichen Ausführungen in der Anklageschrift nicht zu beanstanden. Der Beschwerdeführer wusste genau, was ihm vorgeworfen wird und es war ihm möglich, seine Verteidigungsrechte wahrzunehmen. Es liegt keine Verletzung des Anklageprinzips und der Unschuldsvermutung vor.
2.
2.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, der Zeuge C.________ sei zum Termin seiner staatsanwaltlichen Einvernahme nicht erschienen. Es sei in der Folge darauf verzichtet worden, ihn einzuvernehmen. Dadurch seien entlastende Aussagen nicht in den Prozess eingeflossen. Auch die Vorinstanz habe nicht auf eine Einvernahme von C.________ bestanden und eine antizipierte Beweiswürdigung vorgenommen. Damit verletze sie das rechtliche Gehör des Beschwerdeführers. Die Vorinstanz lasse dabei auch ausser Acht, dass einer Zeugenaussage bei der Beweiswürdigung ein höherer Stellenwert zukomme als einer kurzen polizeilichen Einvernahme. Schliesslich liege aufgrund der Ausserachtlassung der Säumnisfolgen eine Verletzung von Art. 205
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 205 Obligation de comparaître, empêchement et défaut - 1 Quiconque est cité à comparaître par une autorité pénale est tenu de donner suite au mandat de comparution. |
|
1 | Quiconque est cité à comparaître par une autorité pénale est tenu de donner suite au mandat de comparution. |
2 | Celui qui est empêché de donner suite à un mandat de comparution doit en informer sans délai l'autorité qui l'a décerné; il doit lui indiquer les motifs de son empêchement et lui présenter les pièces justificatives éventuelles. |
3 | Le mandat de comparution peut être révoqué pour de justes motifs. La révocation ne prend effet qu'à partir du moment où elle a été notifiée à la personne citée. |
4 | Celui qui, sans être excusé, ne donne pas suite ou donne suite trop tard à un mandat de comparution décerné par le ministère public, une autorité pénale compétente en matière de contraventions ou un tribunal peut être puni d'une amende d'ordre; en outre, il peut être amené par la police devant l'autorité compétente. |
5 | Les dispositions régissant la procédure par défaut sont réservées. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 2 Administration de la justice pénale - 1 La justice pénale est administrée uniquement par les autorités désignées par la loi. |
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1 | La justice pénale est administrée uniquement par les autorités désignées par la loi. |
2 | Les procédures pénales ne peuvent être exécutées et closes que dans les formes prévues par la loi. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
2.2. Die Vorinstanz erwägt, C.________ habe gegenüber der Polizei angegeben, dass er keine unangebrachte Interaktion zwischen dem Beschwerdeführer und dem Beschwerdegegner 2 wahrgenommen habe. Er habe gleichzeitig festgehalten, dass er nicht den ganzen Abend neben dem Beschwerdegegner 2 gestanden habe. Die Vorinstanz geht zugunsten des Beschwerdeführers davon aus, dass C.________ keine unangebrachte Annäherung des Beschwerdeführers zum Nachteil des Beschwerdegegners 2 beobachten konnte. Sie führt aus, dass eine Zeugeneinvernahme damit keine neuen Erkenntnisse bringen würde, weshalb ein entsprechender Beweisantrag ohnehin abzuweisen gewesen wäre.
2.3. Der Anspruch, Entlastungszeugen zu laden und zu befragen, ist relativer Natur. Das Gericht hat nur solche Beweisbegehren, Zeugenladungen und Fragen zu berücksichtigen und zuzulassen, die nach seiner Würdigung rechts- und entscheiderheblich sind (BGE 129 I 151 E. 3.1 S. 154). Der Untersuchungsgrundsatz verpflichtet die Strafbehörden, den Sachverhalt von Amtes wegen zu ermitteln und die belastenden und entlastenden Umstände mit gleicher Sorgfalt zu untersuchen (Art. 6 Abs. 1
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 6 Maxime de l'instruction - 1 Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
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1 | Les autorités pénales recherchent d'office tous les faits pertinents pour la qualification de l'acte et le jugement du prévenu. |
2 | Elles instruisent avec un soin égal les circonstances qui peuvent être à la charge et à la décharge du prévenu. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 139 Principes - 1 Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
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1 | Les autorités pénales mettent en oeuvre tous les moyens de preuves licites qui, selon l'état des connaissances scientifiques et l'expérience, sont propres à établir la vérité. |
2 | Il n'y a pas lieu d'administrer des preuves sur des faits non pertinents, notoires, connus de l'autorité pénale ou déjà suffisamment prouvés. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
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1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 3 Respect de la dignité et procès équitable - 1 Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
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1 | Les autorités pénales respectent la dignité des personnes impliquées dans la procédure, à tous les stades de celle-ci. |
2 | Elles se conforment notamment: |
a | au principe de la bonne foi; |
b | à l'interdiction de l'abus de droit; |
c | à la maxime voulant qu'un traitement équitable et le droit d'être entendu soient garantis à toutes les personnes touchées par la procédure; |
d | à l'interdiction d'appliquer des méthodes d'enquête qui sont attentatoires à la dignité humaine. |
Sachverhalt sei genügend abgeklärt, und es überdies in willkürfreier antizipierter Würdigung der zusätzlich beantragten Beweise annehmen kann, seine Überzeugung werde dadurch nicht mehr geändert (BGE 141 I 60 E. 3.3 S. 64; 136 I 229 E. 5.3 S. 236 f. mit Hinweisen). Diese Rechtsprechung gilt ebenso hinsichtlich Beweisanträgen auf Ladung von Entlastungszeugen unter dem Gesichtspunkt von Art. 6 Ziff. 3 lit. d
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
2.4. Der Verzicht der Vorinstanz auf eine Einvernahme von C.________ ist nicht zu beanstanden. Die Vorinstanz geht zugunsten des Beschwerdeführers davon aus, dass C.________ keine unangebrachte Annäherung des Beschwerdeführers an den Beschwerdegegner 2 beobachten konnte. Zum Tathergang selbst wären von C.________ keine Aussagen zu erwarten gewesen, da er die Situation gemäss eigenen Aussagen gegenüber der Polizei nicht wahrgenommen hat. Die Vorinstanz durfte willkürfrei davon ausgehen, dass eine Einvernahme von C.________ keine neuen Erkenntnisse bringen würde. Da die Abweisung eines Beweisantrags in antizipierter Beweiswürdigung nicht zu beanstanden ist, kann offen bleiben, wie es sich damit verhält, dass der Beschwerdeführer keinen Beweisantrag auf Einvernahme des Entlastungszeugen gestellt hat. Die Rügen des Beschwerdeführers sind unbegründet.
3.
3.1. Der Beschwerdeführer rügt eine willkürliche Beweiswürdigung und eine Verletzung des Grundsatzes "in dubio pro reo". Die vorinstanzliche Beweiswürdigung sei einseitig. Entlastende Momente seien nicht berücksichtigt worden. Auf seine widerspruchsfreien Aussagen werde zu Unrecht nicht abgestellt. Eine sexuelle Konnotation der Berührungen sei nicht erstellt. Er umarme und berühre andere Menschen gerne freundschaftlich ohne dabei sexuelle Absichten zu haben. Dem Beschwerdegegner 2 wäre es möglich gewesen, sich gegen die behaupteten Übergriffe zu wehren und es bleibe offen, weshalb er sich nicht zur Wehr gesetzt habe, wenn ihn die Berührungen störten. Weiter macht der Beschwerdeführer geltend, den Aussagen der Zeugin D.________ würde zu Unrecht grosses Gewicht beigemessen. Schliesslich beanstandet er, dass der Schuldspruch im Wesentlichen auf die widersprüchlichen Aussagen des Beschwerdegegners 2 gestützt werde. Dieser zeige einen Hang zu Übertreibungen und unrechtmässigem Anschwärzen des Beschwerdeführers. Es hätte geprüft werden müssen, ob der Beschwerdegegner 2 ein Motiv gehabt habe, den Beschwerdeführer fälschlicherweise zu belasten. Der Beschwerdegegner 2 habe nach den vorgefallenen Berührungen sogar versucht, den
Beschwerdeführer anzurufen, um zu erfahren, wo er sei, weil man noch in eine andere Bar gehen wolle. Dieser Anruf hätte derart grosse Zweifel am Tathergang wecken müssen, dass der Beschwerdeführer hätte freigesprochen werden müssen. Die Beweiswürdigung der Vorinstanz sei lebensfremd und willkürlich.
3.2. Die Vorinstanz erachtet den in der Anklage umschriebenen Sachverhalt als rechtsgenüglich erstellt. Ein wesentlicher Teil des Tathergangs, namentlich das Streicheln unter dem T-Shirt sowie das Berühren, Streicheln und Reiben des Geschlechtsteils des Beschwerdegegners 2 sei von keiner aussenstehenden Person wahrgenommen worden. Die Anklage beruhe in überwiegendem Masse auf den Aussagen des Beschwerdegegners 2. Seine Aussagen seien glaubhaft. Es sei keine Tendenz zu bemerken, den Beschwerdeführer übermässig zu belasten oder in ein schlechtes Licht zu rücken. Dass der Beschwerdegegner 2 noch in der Tatnacht versucht habe, den Beschwerdeführer telefonisch zu erreichen, führe nicht dazu, die Glaubhaftigkeit seiner Aussage zu verneinen. Dieses Verhalten erstaune zwar. Der Beschwerdegegner 2 habe diesen Kontaktversuch aber von sich aus erwähnt, was insgesamt für die Glaubhaftigkeit seiner Aussagen spreche. Die Aussagen des Beschwerdegegners 2 würden sodann durch die Aussagen der Zeugen D.________ und E.________ gestützt. Es gebe keinen Anlass, an der Glaubhaftigkeit der Aussagen der Zeugin D.________ zu zweifeln. Die Ausführungen des Beschwerdeführers hingegen seien als blosse Schutzbehauptungen zu werten.
3.3. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
BGG). Auf eine rein appellatorische Kritik am angefochtenen Entscheid tritt das Bundesgericht nicht ein (BGE 145 I 26 E. 1.3 S. 30; 142 III 364 E. 2.4 S. 368).
Dem Grundsatz "in dubio pro reo" kommt in seiner Funktion als Beweiswürdigungsregel im Verfahren vor dem Bundesgericht keine über das Willkürverbot von Art. 9
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
3.4. In Bezug auf die umstrittenen Berührungen begründet die Vorinstanz in tatsächlicher Hinsicht nachvollziehbar, weshalb sie auf die Aussagen des Beschwerdegegners 2 abstellt und inwiefern dessen Aussagen durch die Zeugen D.________ und E.________ gestützt werden. Sie führt schlüssig aus, dass die Zeugin D.________ den beobachteten Berührungen (Streicheln über den Rücken, Umfassen mit beiden Armen von hinten und Legen der Hand auf den Bauch) eine sexuelle oder zumindest zärtliche Konnotation beimass. Die vorinstanzliche Erwägung, dass die aussenstehende Zeugin D.________ nur aus diesem Grund auf den Beschwerdegegner 2 zugegangen sei und diesen auf die Berührungen angesprochen habe, ist plausibel. Die Vorbringen des Beschwerdeführers zur fehlenden Glaubwürdigkeit der Zeugin D.________ beruhen auf reinen Mutmassungen und sind nicht geeignet, Willkür zu begründen. Die Vorinstanz durfte davon ausgehen, dass die Darstellung des Beschwerdeführers von kollegschaftlichen, unverfänglichen Berührungen und das Abstreiten einer sexuellen Konnotation unglaubwürdig ist. Sie verfällt nicht in Willkür, wenn sie die diesbezüglichen Aussagen des Beschwerdeführers als Schutzbehauptungen qualifiziert. Es ist nicht entscheidrelevant, dass der zum
Teil taktile Umgang des Beschwerdeführers von seinen anderen Mitarbeitern nicht als belästigend empfunden wurde. Entscheidend ist einzig die angeklagte Situation zwischen dem Beschwerdeführer und dem Beschwerdegegner 2. Die Vorinstanz durfte als erstellt erachten, dass der Beschwerdeführer den Beschwerdegegner 2 in der angeklagten Art und Weise berührt hat.
3.5. In tatsächlicher Hinsicht ist sodann umstritten, weshalb sich der Beschwerdegegner 2 nicht gegen die Berührungen wehrte. Die Vorinstanz verfällt nicht in Willkür, wenn sie den Aussagen des Beschwerdegegners 2 Glauben schenkt, der ausführt, er habe die Berührungen nicht gewollt und hätte jeden anderen Gast, der ihn in dieser Weise angefasst hätte, weggedrückt. Er habe dies beim Beschwerdeführer aus Respekt nicht getan, weil dieser sein Vorgesetzter gewesen sei. Diese Ausführungen werden gemäss der Vorinstanz unterstützt durch die Aussagen der Zeugin D.________, wonach auch für Aussenstehende ersichtlich gewesen sei, dass sich der Beschwerdegegner 2 bei den Berührungen des Beschwerdeführers unwohl fühlte. Wenn der Beschwerdeführer ausführt, dieser Eindruck des Unwohlseins sei auf den Alkoholkonsum des Beschwerdegegners 2 an diesem Abend oder auf Schamgefühle zurückzuführen, präsentiert er seine eigene Sicht der Dinge, ohne Willkür in der vorinstanzlichen Beweiswürdigung aufzuzeigen. Daran, dass die Vorinstanz zulässigerweise auf die Aussagen des Beschwerdegegners 2 und der Zeugin D.________ abstellt, ändert auch der versuchte Anruf des Beschwerdegegners 2 an den Beschwerdeführer in der Tatnacht nichts. Zwar könnte ein solcher
Anruf auf eine gewisse Widersprüchlichkeit im Empfinden des Beschwerdegegners 2 hindeuten. Unter Willkürgesichtspunkten genügt es aber nicht, dass eine andere Würdigung ebenfalls möglich, vertretbar oder gar zutreffender erscheint. Der Anruf allein ist nicht geeignet, derartige Zweifel an der Glaubhaftigkeit der Aussagen des Beschwerdegegners 2 zu wecken, dass offenkundig ein Freispruch hätte erfolgen müssen. Die Vorinstanz durfte als erstellt erachten, dass der Beschwerdegegner 2 die Berührungen nicht wollte, sich aber nicht dagegen wehrte, weil der Beschwerdeführer sein Vorgesetzter war.
4.
4.1. Der Beschwerdeführer rügt eine Verletzung von Art. 188
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 188 - Quiconque, profitant de rapports d'éducation, de confiance ou de travail, ou de liens de dépendance d'une autre nature, commet un acte d'ordre sexuel sur un mineur âgé de 16 ans au moins, |
4.2.
4.2.1. Nach Art. 188 Ziff. 1 Abs. 1
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 188 - Quiconque, profitant de rapports d'éducation, de confiance ou de travail, ou de liens de dépendance d'une autre nature, commet un acte d'ordre sexuel sur un mineur âgé de 16 ans au moins, |
Das Opfer ist abhängig im Sinne des Tatbestandes, wenn es aufgrund eines der im Gesetz genannten Strukturmerkmale oder aus anderen Gründen nicht ungebunden bzw. frei und damit auf den Täter angewiesen ist. Dem Abhängigkeitsverhältnis liegt in der Regel eine besondere Vertrauensbeziehung zugrunde. Die Entscheidungsfreiheit ist durch das Abhängigkeitsverhältnis derart eingeschränkt, dass die jugendliche Person nicht mehr fähig ist, sich gegen sexuelle Ansuchen des Überlegenen zur Wehr zu setzen. Es genügt, dass sie aufgrund der konkreten Umstände keine andere Möglichkeit gesehen hat, als sich für die Zulassung oder Vornahme der sexuellen Handlung zu entscheiden. Ein zusätzliches Unter-Druck-Setzen durch den Täter ist nicht erforderlich (BGE 125 IV 129 E. 2a S. 131 mit Hinweisen).
Ein Abhängigkeitsverhältnis allein genügt für die Erfüllung des Tatbestandes indessen nicht. Erforderlich ist, dass der Täter die Abhängigkeit ausnützt. Kein Ausnützen liegt vor, wenn die Beteiligten freiwillig sexuelle Kontakte miteinander unterhalten oder eine Liebesbeziehung eingegangen sind, ohne dass der ältere Partner seine Überlegenheit missbraucht hat. Das Ausnützen erfordert in objektiver Hinsicht, dass der Abhängige die sexuelle Handlung "eigentlich nicht will", dass er sich, entgegen seinen inneren Widerständen, nur unter dem Eindruck der Autorität des anderen fügt. Bei der Ausnützung von Abhängigkeitsverhältnissen macht sich der Täter eine erheblich eingeschränkte Entscheidungsfreiheit oder Abwehrfähigkeit der abhängigen Person und ihre dadurch gegebene Gefügigkeit bewusst im Hinblick auf ein sexuelles Entgegenkommen zunutze (BGE 133 IV 49 E. 4 S. 52 mit Hinweis; vgl. auch Urteil 6B 858/2010 vom 10. Februar 2011 E. 6.1.1).
4.2.2. Der subjektive Tatbestand von Art. 188
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 188 - Quiconque, profitant de rapports d'éducation, de confiance ou de travail, ou de liens de dépendance d'une autre nature, commet un acte d'ordre sexuel sur un mineur âgé de 16 ans au moins, |
4.3. Es ist mit der Vorinstanz davon auszugehen, dass die - entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers - erstellten Berührungen nach der Rechtsprechung als sexuelle Handlungen einzustufen sind. Auch wenn die Berührungen des Beschwerdeführers sonst nicht sexuell konnotiert sein mögen, war an diesem Abend gemäss dem verbindlich festgestellten Sachverhalt der Vorinstanz klar ein sexueller Bezug vorhanden. Dass insbesondere die in der Anklageschrift umschriebenen Berührungen des Geschlechtsteils sexuell konnotiert sind, bedarf keiner weiteren Ausführung.
4.4. Der Beschwerdeführer bestreitet, das Abhängigkeitsverhältnis ausgenützt zu haben. Im Gegensatz zu den sexuellen Nötigungsdelikten ist zur Erfüllung des Tatbestands der sexuellen Handlungen mit Abhängigen eine tatsituative Zwangssituation nicht erforderlich. Es reicht somit, dass sich die abhängige Person den sexuellen Handlungen aufgrund des vorbestehenden Abhängigkeitsverhältnisses fügt, obwohl sie die sexuellen Handlungen selbst nicht möchte. Entgegen der Darstellung des Beschwerdeführers ist es nicht erforderlich, dass das Opfer einen konkreten Nachteil befürchtet oder dass der Täter zusätzlich Druck ausübt. Der objektive Tatbestand von Art. 188
SR 311.0 Code pénal suisse du 21 décembre 1937 CP Art. 188 - Quiconque, profitant de rapports d'éducation, de confiance ou de travail, ou de liens de dépendance d'une autre nature, commet un acte d'ordre sexuel sur un mineur âgé de 16 ans au moins, |
Umgang. Die Vorinstanz schliesst aus den deutlichen Aussagen des Beschwerdegegners 2 folgerichtig, dass dieser die Berührungen nicht wollte und sich nur unter dem Druck des Abhängigkeitsverhältnisses nicht dagegen wehrte. Auch der versuchte Anruf des Beschwerdegegners 2 vermag an dieser Würdigung nichts zu ändern, zumal er unter Willkürgesichtspunkten nicht geeignet ist, einen freien Willen des Beschwerdegegners 2 im Hinblick auf die sexuellen Handlungen zu erstellen (oben E. 3.5). Nach dem Gesagten ist in objektiver Hinsicht ein Ausnützen des Abhängigkeitsverhältnisses gegeben.
4.5.
4.5.1. In Bezug auf den subjektiven Tatbestand macht der Beschwerdeführer im Ergebnis geltend, er sei davon ausgegangen und habe auch davon ausgehen dürfen, dass der Beschwerdegegner 2 seinen Berührungen nicht abneigend gegenüberstand. Der Beschwerdeführer vermag damit nicht aufzuzeigen, inwiefern die Vorinstanz in Willkür verfallen sein soll, wenn sie ihm sowohl das Wissen als auch zumindest das Inkaufnehmen der Tatsache, dass der Beschwerdegegner 2 die Berührungen nicht wollte, unterstellt. Die Vorinstanz führt überzeugend aus, dass der Beschwerdeführer mit den ihm vorgeworfenen Handlungen deutlich eine Grenze überschritten hat, womit diese nicht mehr nur in einen Graubereich fallen oder mit einem etwas ungeschickten Annäherungsversuch zu vergleichen sind, auch wenn davon auszugehen ist, dass der Beschwerdeführer im Allgemeinen einen lockeren Umgang mit Nähe und Distanz pflegt und öfter Leute berührt und umarmt als dies andere Menschen gewöhnlich tun. Sie erwägt nachvollziehbar, dass es auch für Aussenstehende augenscheinlich war, dass sich der Beschwerdegegner 2 durch das Verhalten des Beschwerdeführers unwohl beziehungsweise angewidert fühlte. Die Vorinstanz geht sodann zu Recht davon aus, dass das Machtgefälle im Betrieb
zwischen dem Beschwerdeführer und dem Beschwerdegegner 2 offensichtlich und dem Beschwerdeführer sicher bekannt war. Es ist im Abhängigkeitsverhältnis zwischen Lehrmeister und Lernendem die Verantwortung des Lehrmeisters, die Grenzen der Sozialadäquanz von Berührungen nicht zu überschreiten. An diesem Abend überschritt der Beschwerdeführer diese Grenzen. Der Alkoholeinfluss beider Beteiligter und der lockere Umgang vermögen daran nichts zu ändern. Es ist die übergeordnete Person in einem Abhängigkeitsverhältnis, die sich darüber versichern muss, dass allfällige sexuelle Handlungen ausschliesslich im gegenseitigen Einverständnis vorgenommen werden und nicht auf einer durch das Subordinationsverhältnis vorbestehenden Drucksituation gründen. Bei einem rein passiven Verhalten des Gegenübers darf nicht auf dessen Zustimmung geschlossen werden. Im Übrigen ist darauf hinzuweisen, dass der Beschwerdeführer selbst im Verfahren nie ausgesagt hat, er sei von einem freien Willen des Beschwerdegegners 2 ausgegangen. Er hat sich in seinen Aussagen darauf beschränkt, jede sexuelle Konnotation seiner Berührungen abzustreiten. Seine jetzt implizit vorgebrachte Variante des Tathergangs vermag dies nicht mehr zu ändern. Es kann nicht zu seinen
Gunsten von inneren Tatsachen ausgegangen werden, die selbst in seinen eigenen Aussagen keine Stütze finden.
4.5.2. Nach dem Gesagten kann sich der Beschwerdeführer auf Basis des erstellten Sachverhalts nicht darauf berufen, nicht gewusst zu haben, dass der Beschwerdegegner 2 die sexuellen Handlungen nicht wollte. Es ist mit der Vorinstanz davon auszugehen, dass der Beschwerdeführer zumindest in Kauf genommen hat, dass der Beschwerdegegner 2 seine Annäherung nicht wollte, sich aber wegen des bestehenden Lehrverhältnisses nicht dagegen zu wehren getraute. Der vorinstanzliche Schuldspruch verletzt kein Bundesrecht.
5.
Die Beschwerde ist abzuweisen, soweit darauf eingetreten werden kann. Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien und dem Obergericht des Kantons Zürich, I. Strafkammer, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 19. Mai 2020
Im Namen der Strafrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Denys
Die Gerichtsschreiberin: Schär