Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 157/2020
Urteil vom 18. Juni 2020
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Parrino, Präsident,
Bundesrichterinnen Glanzmann, Moser-Szeless,
Gerichtsschreiberin Stanger.
Verfahrensbeteiligte
IV-Stelle des Kantons St. Gallen,
Brauerstrasse 54, 9016 St. Gallen,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen
vom 10. Februar 2020 (IV 2018/368).
Sachverhalt:
A.
Nachdem ein erstes Leistungs begehren abgewiesen worden war (Verfügung vom 23. November 2010), meldete sich die 1955 geborene A.________ im März 2012 erneut bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Nach Abklärungen - unter anderem einer am 14. November 2013 durchgeführten Haushaltsabklärung (Bericht vom 14. Januar 2014) - verneinte die IV-Stelle des Kantons St. Gallen mit Verfügung vom 18. Juni 2014 den Anspruch auf eine Invalidenrente. Die dagegen erhobene Beschwerde hiess das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen mit Entscheid vom 9. März 2017 teilweise gut. Es wies die Sache zu ergänzenden medizinischen Abklärungen und zum Erlass einer neuen Verfügung an die IV-Stelle zurück. Daraufhin tätigte die Verwaltung weitere Abklärungen; unter anderem liess sie die Versicherte am 5. Dezember 2017 durch die medexperts ag begutachten. Mit Verfügung vom 4. Oktober 2018 lehnte die IV-Stelle das Rentenbegehren erneut ab.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde hiess das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen gut. Es hob die Verfügung vom 4. Oktober 2018 auf und stellte fest, dass die Versicherte mit Wirkung ab dem 1. November 2012 Anspruch auf eine halbe Rente der Invalidenversicherung habe. Zur Festsetzung der Rentenbeträge wies es die Sache an die Verwaltung zurück (Entscheid vom 10. Februar 2020).
C.
Die IV-Stelle führt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten mit dem Rechtsbegehren, der Entscheid vom 10. Februar 2020 sei aufzuheben und die Verfügung vom 4. Oktober 2018 zu bestätigen. Ferner sei der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu erteilen.
A.________ schliesst auf Abweisung der Beschwerde und des Gesuchs um aufschiebende Wirkung. Während sich das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen in ablehnendem Sinne äussert, verzichtet das Bundesamt für Sozialversicherungen auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1. Das Bundesgericht prüft seine Zuständigkeit und die (weiteren) Eintretensvoraussetzungen von Amtes wegen und mit freier Kognition (BGE 141 V 206 E. 1.1 S. 208mit Hinweisen).
1.2. Beschwerden an das Bundesgericht gegen selbstständig eröffnete Vor- und Zwischenentscheide sind nur zulässig, wenn sie die Zuständigkeit oder den Ausstand betreffen (Art. 92
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 92 Décisions préjudicielles et incidentes concernant la compétence et les demandes de récusation - 1 Les décisions préjudicielles et incidentes qui sont notifiées séparément et qui portent sur la compétence ou sur une demande de récusation peuvent faire l'objet d'un recours. |
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1 | Les décisions préjudicielles et incidentes qui sont notifiées séparément et qui portent sur la compétence ou sur une demande de récusation peuvent faire l'objet d'un recours. |
2 | Ces décisions ne peuvent plus être attaquées ultérieurement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 93 Autres décisions préjudicielles et incidentes - 1 Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
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1 | Les autres décisions préjudicielles et incidentes notifiées séparément peuvent faire l'objet d'un recours: |
a | si elles peuvent causer un préjudice irréparable, ou |
b | si l'admission du recours peut conduire immédiatement à une décision finale qui permet d'éviter une procédure probatoire longue et coûteuse. |
2 | En matière d'entraide pénale internationale et en matière d'asile, les décisions préjudicielles et incidentes ne peuvent pas faire l'objet d'un recours.88 Le recours contre les décisions relatives à la détention extraditionnelle ou à la saisie d'objets et de valeurs est réservé si les conditions de l'al. 1 sont remplies. |
3 | Si le recours n'est pas recevable en vertu des al. 1 et 2 ou qu'il n'a pas été utilisé, les décisions préjudicielles et incidentes peuvent être attaquées par un recours contre la décision finale dans la mesure où elles influent sur le contenu de celle-ci. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
2.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
3.
3.1. Streitgegenstand bildet der Anspruch der Versicherten auf eine (halbe) Rente der Invalidenversicherung.
3.2. Das kantonale Gericht ging von einer hypothetischen Erwerbstätigkeit von 100 % aus und ermittelte den Invaliditätsgrad folglich in Anwendung der Einkommensvergleichsmethode (Art. 28a Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
|
1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
3.3. Demgegenüber qualifizierte die IV-Stelle die Versicherte in ihrer Verfügung vom 4. Oktober 2018 als Teilerwerbstätige (je 50 % Erwerb und Aufgabenbereich), was zur Anwendung der gemischten Methode der Invaliditätsbemessung führte (Art. 28a Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
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1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
|
1 | Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
a | le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative; |
b | le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels. |
2 | Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé: |
a | en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %; |
b | en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante; |
c | en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide. |
3 | Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé: |
a | en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité; |
b | en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps. |
4.
Die Beschwerde der IV-Stelle richtet sich in erster Liie gegen die Anwendung der Einkommensvergleichsmethode.
4.1.
4.1.1. Ob eine versicherte Person als ganztägig oder zeitweilig erwerbstätig oder als nichterwerbstätig einzustufen ist (Statusfrage), was je zur Anwendung einer anderen Methode der Invaliditätsbemessung (Einkommensvergleich, gemischte Methode, Betätigungsvergleich) führt, ergibt sich aus der Prüfung, was die Person bei im Übrigen unveränderten Umständen täte, wenn keine gesundheitliche Beeinträchtigung bestünde. Entscheidend ist somit nicht, welches Ausmass der Erwerbstätigkeit der versicherten Person im Gesundheitsfall zugemutet werden könnte, sondern in welchem Pensum sie hypothetisch erwerbstätig wäre. Bei im Haushalt tätigen Versicherten im Besonderen sind die persönlichen, familiären, sozialen und erwerblichen Verhältnisse ebenso wie allfällige Erziehungs- und Betreuungsaufgaben gegenüber Kindern, das Alter, die beruflichen Fähigkeiten und die Ausbildung sowie die persönlichen Neigungen und Begabungen zu berücksichtigen (BGE 141 V 15 E. 3.1 S. 20; 137 V 334 E. 3.2 S. 338; 125 V 146 E. 2c S. 150).
4.1.2. Soweit die Beurteilung hypothetischer Geschehensabläufe auf Beweiswürdigung beruht, handelt es sich um eine Tatfrage, selbst wenn darin auch Schlussfolgerungen aus der allgemeinen Lebenserfahrung mitberücksichtigt werden. Die auf einer Würdigung konkreter Umstände basierende Festsetzung des hypothetischen Umfanges der Erwerbstätigkeit ist für das Bundesgericht daher verbindlich, ausser wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung beruht (BGE 133 V 504 E. 3.2 S. 507; Urteil 9C 926/2015 vom 17. Oktober 2016 E. 1.2, in: SVR 2017 IV Nr. 2 S. 2).
4.2.
4.2.1. Das kantonale Gericht erwog, gemäss dem Bericht über die Haushaltsabklärung vom 14. November 2013 habe die Versicherte angegeben, sie wäre ohne Behinderung zu 50 % erwerbstätig. Indes vermöge dieser Bericht die hypothetische Erwerbsquote von 50 % nicht mit dem notwendigen Beweisgrad der überwiegenden Wahrscheinlichkeit zu belegen. Die entsprechende Frage, wie sie vorgedruckt im Abklärungsbericht wiedergegeben werde, sei zwar sehr einfach formuliert gewesen, eine überzeugende Antwort hätte aber sehr hohe Anforderungen an die Abstraktionsfähigkeit und -leistung der Versicherten gestellt. Der Abklärungsbericht enthalte keinen Beleg dafür, dass die Versicherte auf die Notwendigkeit hingewiesen worden wäre, sich in die fiktive Situation bei einer vollständig erhaltenen Gesundheit hineinzuversetzen, unter gleichzeitiger Berücksichtigung des sinkenden Betreuungsaufwandes der Kinder und der (insbesondere nach der Pensionierung des Ehemannes) sehr angespannten finanziellen Situation. Hinzu komme, dass bei der Haushaltsabklärung kein professioneller, unabhängiger Dolmetscher eingesetzt worden sei. Damit sei nicht erstellt, dass die Übersetzung sowohl der Frage als auch der Antwort vollständig, korrekt und unbeeinflusst durch die
persönliche Meinung der emotional beteiligten, übersetzenden Tochter erfolgt sei. Die Abstraktionshöhe und die Komplexität des Gefragten, das Fehlen einer korrekten Protokollierung von Frage und Antwort und der Einsatz einer möglicherweise voreingenommenen Übersetzerin liessen es offensichtlich nicht zu, dem entsprechenden Teil des Abklärungsberichts, nämlich der notierten Erwerbsquote im hypothetischen Gesundheitsfall von 50 %, einen ausreichenden Beweiswert zuzumessen.
4.2.2. In der Folge ermittelte die Vorinstanz den massgeblichen hypothetischen Sachverhalt "anhand der realen, bereits objektiv nachgewiesenen Sachverhaltselemente". Massgebend sei das fiktive Arbeitspensum der Versicherten im Zeitraum vom 1. November 2012 (frühestmöglicher Rentenbeginn) bis 4. Oktober 2018. Der pensionierte Ehemann der Versicherten erhalte monatlich eine bescheidene AHV-Rente von rund Fr. 1300.-. Dies sei das einzige Einkommen des Ehepaars, so dass der Existenzbedarf nicht aus eigener Kraft gedeckt werden könne. Die Versicherte habe keinen Beruf erlernt, weshalb sie auch als Gesunde nur eine Hilfsarbeit ausüben könnte. Damit würde sie nur ein bescheidenes Einkommen erzielen, das zusammen mit der AHV-Rente des Ehemannes nur dann den Existenzbedarf decken würde, wenn die Versicherte zu 100 % arbeiten würde. Da die Kinder nur noch einen geringen (vom Ehemann zu erbringenden) und dann gar keiner elterlichen Betreuung mehr bedurft hätten, wäre die fiktiv gesunde Versicherte nicht gehindert gewesen, vollzeitlich erwerbstätig zu sein, zumal der Ehemann den ganzen Tag Zeit gehabt hätte, den Haushalt zu besorgen. Unter diesen Umständen müsse davon ausgegangen werden, dass die Versicherte ohne die gesundheitliche
Beeinträchtigung zu 100 % erwerbstätig wäre.
4.3.
4.3.1. Zur strittigen Statusfrage ergibt sich aus dem Abklärungsbericht vom 14. Januar 2014 (S. 4 Ziff. 3.1.1 und 3.1.2) das Nachfolgende: Die Versicherte wurde von der Abklärungsperson gefragt, ob sie heute ohne Behinderung eine Erwerbstätigkeit ausüben würde und falls ja, in welchem Umfang. Darauf antwortete diese, sie hätte im selben Betrieb zum selben Pensum von 50 % bis zu ihrer Pensionierung weitergearbeitet. Als "Begründung für die Ausübung einer Erwerbstätigkeit" gab sie an, für sie sei die Einteilung optimal gewesen: Morgens hätte sie ihrem Erwerb nachgehen und nachmittags die Haushaltstätigkeiten erledigen können.
4.3.2. Es gibt keine Anhaltspunkte dafür, dass die Übersetzung der Fragen und Antworten durch die Tochter nicht korrekt oder unvollständig erfolgt wäre. Dazu äusserte sich das kantonale Gericht denn auch nicht näher. Ebenso wenig bestehen Anhaltspunkte dafür, dass die Beschwerdegegnerin nicht verstanden haben soll, dass einzig nach der Erwerbstätigkeit im hypothetischen Gesundheitsfall gefragt wurde. Im Gegenteil, wenn die Versicherte gegenüber der Abklärungsperson angibt, sie hätte bis zur Pensionierung jeweils morgens im bisherigen Betrieb weitergearbeitet und wäre nachmittags im Haushalt tätig gewesen, erfolgte diese Aussage gerade ausgehend von der Annahme einer hypothetischen Arbeitsfähigkeit von 100 %. Dass die Vorinstanz dennoch von diesen Angaben im Abklärungsbericht abgewichen ist, erstaunt umso mehr, als die Versicherte weder im Verwaltungsverfahren noch im kantonalen Beschwerdeverfahren je eine höhere Erwerbstätigkeit geltend gemacht hatte. Ebenso wenig hatte sie bezüglich der Statusfrage - wie auch in Bezug auf die übrige Haushaltsabklärung - geltend gemacht, sie habe die Fragen nicht richtig erfasst resp. ihre Aussagen seien im Bericht nicht korrekt protokolliert worden. Daher kann aus dem Umstand, dass die
Beschwerdegegnerin nunmehr die diesbezüglichen vorinstanzlichen Erwägungen teilweise bestätigt und pauschale Kritik an der Haushaltsabklärung übt, nichts Entscheidendes abgeleitet werden. Damit kann offen bleiben, ob und inwieweit ihre Vorbringen novenrechtlich überhaupt zulässig sind (vgl. Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
4.4. Entgegen den Darlegungen des kantonalen Gerichts ergibt sich sodann auch mit Blick auf die familiäre und finanzielle Situation der Versicherten nichts, was deren Aussage einer 50%igen Erwerbstätigkeit im hypothetischen Gesundheitsfall widerlegen würde:
Den Akten ist zu entnehmen, dass die Versicherte von November 1991 bis Januar 2009in einem Stickereibetrieb beschäftigt war (wobei sie ab Mai 2007 arbeitsunfähig war). Dabei betrug ihr Arbeitspensum stets 50 %, obschon im Laufe der Zeit das Alter der vier Kinder (Jahrgänge 1975, 1976, 1985, 1989) einer Pensumserhöhung nicht entgegen gestanden hätte. Hinzu kommt, dass die Versicherte nach der Pensionierung des Ehemannes die ihr verbliebene (letztinstanzlich nicht bestrittene) Restarbeitsfähigkeit von 50 % (vgl. E. 3.2) nicht ausgeschöpft hatte, obwohl - gemäss verbindlicher Feststellung des kantonalen Gerichts (vgl. E. 4.2.2) - die AHV-Rente des Ehemannes von Fr. 1300.- das einzige Einkommen der Familie darstellte und dieser den ganzen Tag Zeit gehabt hatte, den Haushalt zu besorgen. Diese Umstände sind gewichtige Indizien dafür, dass die Versicherte ihr Pensum im Gesundheitsfall nicht - auch nicht aus finanziellen Gründen - von 50 % auf 100 % erhöht hätte.
4.5.
4.5.1. Nach dem Gesagten stützen die Akten, namentlich die Aussage der Versicherten anlässlich der Haushaltsabklärung, die Annahme der Verwaltung einer hypothetischen Erwerbstätigkeit im Gesundheitsfall von 50 %. Demgegenüber basiert die vorinstanzliche Annahme einer vollen Erwerbstätigkeit im Wesentlichen auf der Überlegung, welches Pensum der Versicherten im Gesundheitsfall zumutbar wäre. Damit hat die Vorinstanz im Ergebnis einmal mehr ihre - von der ständigen bundesgerichtlichen Rechtsprechung abweichende (vgl. E. 4.1.1) - eigene Praxis angewendet (ausführlich, mit einer eingehenden Auseinandersetzung mit der St. Galler Praxis: Urteil 9C 49/2008 vom 28. Juli 2008 E. 3.3; vgl. auch die dieselbe Vorinstanz betreffenden BGE 133 V 477 E. 6.3 S. 486 f. und 504 E. 3.3 S. 507 f. sowie Urteile 9C 295/2018 E. 3.1.1 vom 26. Juli 2018, 9C 552/2016 vom 9. März 2017 E. 4.2 und 9C 491/2008 vom 21. April 2009 E. 4; vgl. auch Meyer/Reichmuth, Bundesgesetz über die Invalidenversicherung [IVG], 3. Aufl. 2014, Rz. 5 f. zu Art. 28a
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
|
1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
Die vorinstanzliche Feststellung der Erwerbstätigkeit im Gesundheitsfall beruht demzufolge auf einer Rechtsverletzung, weshalb sie für das Bundesgericht nicht verbindlich ist (vgl. E. 4.1.2 in Verbindung mit E. 2). Damit ist mit der IV-Stelle von einer Teilerwerbstätigkeit von 50 % mit Aufgabenbereich auszugehen, was die Anwendung der gemischten Bemessungsmethode zur Folge hat.
4.5.2. Daran nichts zu ändern vermag der Einwand der Beschwerdegegnerin, ihr Fall sei aufgrund des Urteils des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (EGMR) vom 2. Februar 2016 in Sachen Di Trizio gegen Schweiz ( 7186/09) nicht nach der gemischten Methode zu beurteilen. Dieses Urteil hat für den vorliegenden Fall nichts geändert, geht es hier doch nicht um eine Rentenrevision, sondern um eine erstmalige Rentenzusprache (vgl. Urteile 9C 671/2017 vom 12. Juli 2018 E. 3.2.1 und 9C 552/2016 vom 9. März 2017 E. 4.3).
5.
5.1. Im Sinne einer - ebenfalls angefochtenen - Eventualbegründung hat sich das kantonale Gericht auf den Standpunkt gestellt, dass selbst wenn mit der Verwaltung die gemischte Bemessungsmethode zur Anwendung gelangen würde (vgl. E. 3.3), die Verfügung vom 4. Oktober 2018 nicht zu schützen wäre: Aufgrund der langen Zeitspanne zwischen der Haushaltsabklärung im November 2013 und dem Verfügungszeitpunkt wäre eine Verlaufsabklärung notwendig gewesen. Weiter sei entgegen der bundesgerichtlichen Rechtsprechung keine Schadenminderungspflicht durch den Beizug von Angehörigen zu berücksichtigen, da nämlich die Invalidität einzig in der behinderungsbedingten Einbusse an persönlicher Leistungsfähigkeit der versicherten Person selbst bestehe.
5.2.
5.2.1. Den Ausführungen des kantonalen Gerichts zur Notwendigkeit einer Verlaufsabklärung mangels Aktualität der 2013 durchgeführten Haushaltsabklärung kann nicht gefolgt werden. Besagte Abklärung erfolgte nur ein Jahr nach dem von der Vorinstanz festgesetzten frühestmöglichen Rentenbeginn (November 2012). Das kantonale Gericht legt weder dar, dass sich der Gesundheitszustand der Versicherten seit der Haushaltsabklärung verändert habe, noch wird solches von der Beschwerdegegnerin geltend gemacht. Alleine der Umstand, dass seit der Abklärung bis zum Verfügungszeitpunkt rund fünf Jahre verstrichen sind, rechtfertigt das Einholen einer Verlaufsabklärung nicht. Weitere Umstände, welche den Beweiswert des Abklärungsberichts schmälern würden, sind nicht ersichtlich (vgl. E. 4.3.2; vgl. zu den beweisrechtlichen Anforderungen an einen Abklärungsbericht an Ort und Stelle auch BGE 140 V 543 E. 3.2.1 S. 546 f. mit Hinweisen).
5.2.2. Was die Kritik des kantonalen Gerichts an der höchstrichterlichen Rechtsprechung zur Schadenminderungspflicht von im Haushalt tätigen Versicherten anbelangt, so hat sich das Bundesgericht damit bereits in BGE 133 V 504 E. 4.2 S. 509 ff. einlässlich auseinandergesetzt. Wenn die IV-Stelle in ihrer Verfügung vom 4. Oktober 2018 die Mithilfe von Familienangehörigen berücksichtigte, entspricht dieses Vorgehen der gefestigten bundesgerichtlichen Rechtsprechung, von welcher abzugehen kein Anlass besteht (vgl. dazu die dieselbe Vorinstanz betreffenden Urteile 9C 295/2018 vom 26. Juli 2018 E. 4.2, 9C 911/2014 vom 30. Januar 2015 E. 2.3 und 9C 228/2009 vom 5. November 2009 E. 6.2). Der von der Verwaltung veranschlagte Zeitaufwand der Mithilfe von 1.5 Stunden pro Tag gemäss Abklärungsbericht (S. 9 f. Ziff. 9) ist ebenfalls nicht zu beanstanden, ist es dem Ehemann - gemäss verbindlicher vorinstanzlicher Feststellung (vgl. E. 4.2.2 und 4.4) - doch möglich, sich den ganzen Tag um den Haushalt zu kümmern. Bei einer zumutbaren Mithilfe im Umfang von 1.5 Stunden pro Tag besteht gemäss Abklärungsbericht (S. 11 Ziff. 15) keine Einschränkung im Haushalt.
6.
6.1. Mit Blick auf die vorstehenden Erwägungen ergibt sich, dass von einer Aufteilung von Erwerb und Aufgabenbereich von je 50 % auszugehen ist, wobei im Aufgabenbereich keine Einschränkung besteht. Damit kann offen bleiben, in welchem Ausmass eine Einbusse im Erwerb vorliegt. Denn selbst wenn mit der Vorinstanz von einer Einbusse von 58 % auszugehen wäre (vgl. E. 3.2), ergäbe sich bei einer Gewichtung von 50 % ein rentenausschliessender Gesamtinvaliditätsgrad von 29 %.
6.2. Nach dem Gesagten verletzte die Vorinstanz Bundesrecht, als sie der Versicherten ab 1. November 2012 eine halbe Rente der Invalidenversicherung zusprach. Folglich ist der angefochtene Entscheid aufzuheben und die von der IV-Stelle verfügte Leistungsablehnung zu bestätigen.
7.
Mit dem Entscheid in der Sache wird das Gesuch um aufschiebende Wirkung gegenstandslos.
8.
Das Verfahren ist kostenpflichtig. Die Gerichtskosten und eine allfällige Parteientschädigung hätte grundsätzlich die unterliegende Partei zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird gutgeheissen. Der Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons St. Gallen vom 10. Februar 2020 wird aufgehoben und die Verfügung der IV-Stelle des Kantons St. Gallen vom 4. Oktober 2018 bestätigt.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Kanton St. Gallen auferlegt.
3.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Gerichtskosten des vorangegangenen Verfahrens an das Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen zurückgewiesen.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons St. Gallen und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 18. Juni 2020
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Parrino
Die Gerichtsschreiberin: Stanger