Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
5A 397/2018
Urteil vom 16. August 2018
II. zivilrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter von Werdt, Präsident,
Bundesrichter Marazzi, Herrmann, Schöbi, Bovey,
Gerichtsschreiber Möckli.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Fürsprecherin Jasmin Brechbühler,
Beschwerdeführer,
gegen
B.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Dr. Melania Lupi Thomann,
Beschwerdegegnerin,
Kindes- und Erwachsenenschutzbehörde Oberland Ost.
Gegenstand
Zustimmung zum Wechsel des Aufenthaltsorts,
Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Bern, Kindes- und Erwachsenenschutzgericht, vom 4. April 2018 (KES 18 65).
Sachverhalt:
A.
A.________ (geb. 1983) und B.________ (geb. 1979) sind die unverheirateten Eltern von C.________ (geb. xx.xx.2010).
Mit Vereinbarung vom 7. März 2011, genehmigt durch die Vormundschaftsbehörde U.________ (bei Interlaken) am 8. März 2011, vereinbarten die damals in gemeinsamem Haushalt lebenden Eltern, dass ihnen die elterliche Sorge gemeinsam zustehen soll und sie die Erziehungsverantwortung gemeinsam wahrnehmen; für den Fall der Auflösung der Hausgemeinschaft soll die Obhut der Mutter zustehen und die Aufteilung der Betreuung unter Berücksichtigung der tatsächlichen Lebensverhältnisse im Auflösungszeitpunkt erfolgen. Ferner regelten sie den Kindesunterhalt.
Im Sommer 2013 trennten sich die Eltern, nahmen aber in der Folge die Beziehung unter Beibehaltung getrennter Haushalte wieder auf. Ende 2014 trennten sich A.________ und B.________ erneut.
Mit Blick auf den von der Mutter geplanten Wegzug mit dem Kind nach Solothurn beantragte der Vater bei der KESB Oberland Ost sinngemäss, der Mutter sei zu verbieten, den Aufenthaltsort des Kindes von U.________ (bei Interlaken) nach Solothurn zu verlegen, und es sei die Betreuung des Kindes zu regeln, beispielsweise auch im Sinn einer geteilten Obhut.
Mit Entscheid vom 17. Februar 2015 wies die KESB die Anträge ab und erteilte B.________ gestützt auf Art. 301a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
In der Folge zog die Mutter, noch während hängiger Rechtsmittelfrist, mit C.________ nach Solothurn, wo sie seither leben.
In Gutheissung des Eventualantrages der vom Vater erhobenen Beschwerde wies das Bundesgericht die Sache mit Urteil 5A 581/2015 vom 11. August 2016 (publiziert als BGE 142 III 502) zur neuen Beurteilung zurück mit der Begründung, es dürfe nicht isoliert nur über die Frage des Wegzuges entschieden und die Regelung der Nebenfolgen offen gelassen werden, sondern es sei über sämtliche Fragen im gleichen Entscheid zu befinden.
B.
Mit neuem Entscheid vom 19. Dezember 2017 stimmte die KESB Oberland Ost dem Wechsel des Aufenthaltsortes von C.________ nach Solothurn zu und wies den väterlichen Antrag auf Neuregelung der Obhut ab; sodann regelte es das Besuchs- und Ferienrecht des Vaters.
Mit Entscheid vom 4. April 2018 wies das Obergericht des Kantons Bern die Beschwerde des Vaters ab, soweit es darauf eintrat.
C.
Gegen diesen Entscheid hat der Vater am 7. Mai 2018 beim Bundesgericht eine Beschwerde eingereicht, zusammengefasst mit den Begehren um Verweigerung der Genehmigung des Wechsels des Aufenthaltsortes, um Unterstellung des Kindes unter seine Obhut und Regelung des mütterlichen Besuchsrechts bzw. um Anordnung der alternierenden Obhut für den Fall der Rückkehr der Mutter; eventualiter wird die Prüfung eines Zweitwohnsitzes des Vaters in Solothurn und eine diesbezügliche Betreuungsregelung für das Kind sowie subeventualiter die Rückweisung an die Vorinstanz verlangt.
Erwägungen:
1.
Angefochten ist der kantonal letztinstanzliche Entscheid in einer nicht vermögensrechtlichen Zivilsache; die Beschwerde in Zivilsachen steht offen (Art. 72 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 72 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière civile. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière civile: |
a | les décisions en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions prises en application de normes de droit public dans des matières connexes au droit civil, notamment les décisions: |
b1 | sur la reconnaissance et l'exécution de décisions ainsi que sur l'entraide en matière civile, |
b2 | sur la tenue des registres foncier, d'état civil et du commerce, ainsi que des registres en matière de protection des marques, des dessins et modèles, des brevets d'invention, des obtentions végétales et des topographies, |
b3 | sur le changement de nom, |
b4 | en matière de surveillance des fondations, à l'exclusion des institutions de prévoyance et de libre passage, |
b5 | en matière de surveillance des exécuteurs testamentaires et autres représentants successoraux, |
b6 | les décisions prises dans le domaine de la protection de l'enfant et de l'adulte, |
b7 | ... |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 75 Autorités précédentes - 1 Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions prises par les autorités cantonales de dernière instance, par le Tribunal administratif fédéral ou par le Tribunal fédéral des brevets.37 |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs comme autorités cantonales de dernière instance. Ces tribunaux statuent sur recours, sauf si: |
a | une loi fédérale prévoit une instance cantonale unique; |
b | un tribunal spécialisé dans les litiges de droit commercial statue en instance cantonale unique; |
c | une action ayant une valeur litigieuse d'au moins 100 000 francs est déposée directement devant le tribunal supérieur avec l'accord de toutes les parties. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |
1.1. Zulässig sind rechtliche Vorbringen im Sinn von Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Die obergerichtliche Sachverhaltsfeststellung ist für das Bundesgericht grundsätzlich verbindlich (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.3. In der Beschwerde werden die einzelnen Vorbringen weder in einer eigentlichen Systematik noch streng getrennt nach Sachverhalts- und Rechtsrügen vorgebracht. Überdies erfolgen die Sachverhaltsrügen über weite Strecken in appellatorischer Weise und gehen die rechtlichen Ausführungen zum Teil an den Erwägungen des angefochtenen Entscheides vorbei. Im Übrigen erfolgt auch keine Auseinandersetzung mit der inzwischen reichhaltigen bundesgerichtlichen Rechtsprechung zu Art. 301a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
1.4. Der Beschwerdeführer verlangt mit Begehren Ziff. 6 die Prüfung einer Regelung für den Fall, dass er in Solothurn einen Zweitwohnsitz begründen würde. Wie bereits das Obergericht dem Beschwerdeführer erklärt hat, war dies nicht Gegenstand des erstinstanzlichen Verfahrens. Zudem geht die Hypothese eines möglichen Zweitwohnsitzes auch über das durch das bundesgerichtliche Rückweisungsurteil vorgegebene Prozessthema hinaus. Entsprechend hatte sich das Obergericht hierzu nicht näher zu äussern und ist im bundesgerichtlichen Verfahren auf dieses Anliegen ebenfalls nicht einzutreten.
Der Vollständigkeit halber sei festgehalten, dass das Anliegen materiell am Regelungsinhalt von Art. 301a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
1.5. Gleiches gilt für das Rechtsbegehren Ziff. 9, wonach der Weg für die Ausübung des Besuchsrechts mindestens hälftig durch die Beschwerdegegnerin zu übernehmen und dabei auf die besondere Arbeitssituation des Beschwerdeführers Rücksicht zu nehmen sei: Auch dies war nicht Thema der bundesgerichtlichen Rückweisung. Im Übrigen wird die Kritik, das Obergericht habe trotz eines im kantonalen Beschwerdeverfahren entsprechend gestellten Antrags auf eine Regelung der Übergabemodalitäten verzichtet und sich in der Entscheidbegründung mit keinem Wort dazu geäussert, ausschliesslich in appellatorischer Form und nicht wie erforderlich im Rahmen einer Gehörsrüge vorgebracht.
Obwohl in Wegzugssituationen bei der Ausgestaltung des Besuchsrechts den Besonderheiten des Einzelfalles Rechnung zu tragen ist (BGE 144 III 10 E. 7.2 S. 18), wozu auch Übergabemodalitäten gehören, und das Anliegen des Beschwerdeführers angesichts seiner speziellen Arbeitszeiten nachvollziehbar ist bzw. von der Sache her berechtigt sein dürfte, kann darauf aus den genannten formellen Gründen nicht eingetreten werden.
2.
In E. 2.7 des Rückweisungsurteils hat das Bundesgericht unter Hinweisen auf die Rechtsprechung festgehalten, dass das Obergericht bei seiner neuen Entscheidung vor dem Hintergrund des Kindeswohls von der aktuellen und nicht von der Situation im Zeitpunkt des Wegzuges auszugehen habe.
Zur aktuellen Situation hat das Obergericht im angefochtenen Entscheid mit verschiedenen Verweisen auf den eingeholten rechtspsychologischen Fachbericht und den Entscheid der KESB sowie durch Bezugnahme auf Rügen des Beschwerdeführers indirekt die folgenden Sachverhaltsfeststellungen getroffen: In Solothurn wohnten Mutter und Tochter zunächst in einer Übergangswohnung. Dann zogen sie in eine andere nahegelegene Wohnung, so dass C.________ den Kindergarten nicht wechseln musste. Inzwischen besucht C.________ in Solothurn die Schule. Sie hat sich, namentlich auch im schulischen Umfeld, gut eingelebt und scheint aktuell mit der familiären Situation gut zurechtzukommen. Durch den Umzug hat der Kontakt zum Vater abgenommen. Aktuell übt er jedes zweite Wochenende das Besuchsrecht aus; zudem verbringt C.________ die Hälfte der jeweiligen Schulferien mit ihm. Das Beziehungsband zwischen Vater und Tochter blieb erhalten. Gemäss rechtspsychologischem Fachbericht besteht zu beiden Elternteilen eine gute und tragfähige Beziehung. Von Anfang an habe jedoch eine enge Bindung zur Mutter bestanden, die bereits während des Zusammenlebens nur in ganz untergeordnetem Umfang beruflich tätig gewesen sei und sich hauptsächlich um C.________ gekümmert
habe. Von der (im Sommer 2013 erfolgten) Trennung der Eltern bis zum Wegzug nach Solothurn (zu Sommerbeginn 2015) habe C.________ in U.________ (bei Interlaken) überwiegend im Haushalt der Mutter gelebt, die ihre Hauptbezugsperson gewesen sei; der Vater habe das Kind aber relativ ausgedehnt von Sonntagmittag bis Montagabend sowie am Mittwochnachmittag betreut und auch ausserhalb dieser Tage gesehen.
Gemäss den obergerichtlichen Feststellungen empfiehlt der rechtspsychologische Fachbericht ausgehend von der aktuellen Situation, dass C.________, welche unter dem elterlichen Konflikt erheblichen Unsicherheiten ausgesetzt gewesen sei, bei der Mutter belassen wird. Diese sei immer schon die Hauptbezugsperson gewesen und mit der Aufrechterhaltung der aktuellen Betreuungssituation und der Kontinuität der Schulsituation sei dem Kindeswohl am besten gedient. Das Obergericht schloss sich dieser Meinung durch die Beschwerdeabweisung implizit an.
3.
Der Beschwerdeführer erhebt in verschiedener Hinsicht Kritik an der Sachverhaltsfeststellung und Beweiswürdigung, welche teils appellatorisch und teils mit mehr oder weniger substanziierten Willkürrügen vorgebracht wird. Eine Ausscheidung nach formell korrekten und ungenügenden Rügen erübrigt sich jedoch insofern, als nicht substanziiert aufgezeigt wird (zu den Begründungsanforderungen vgl. E. 1.2) und auch nicht zu sehen ist, inwiefern die Behebung der monierten Mängel für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein könnte.
3.1. Die Sachverhaltsvorbringen betreffen in erster Linie Begebenheiten rund um die Trennung und den Wegzug der Mutter nach Solothurn.
In diesem Zusammenhang werden zahlreiche Lücken in der Protokollierung und Aktenführung durch die KESB sowie eine unvollständige Aktenbasis für den Gutachter geltend gemacht. Das Obergericht hat eine Unvollständigkeit sinngemäss anerkannt, aber befunden, dass das Verfahrensrecht kein Selbstzweck sei; der Beschwerdeführer habe nicht dargetan, inwiefern sich die Verfahrensmängel auf das Entscheidergebnis ausgewirkt hätten.
Auch im bundesgerichtlichen Verfahren beschränkt der Beschwerdeführer seine Beanstandungen weitestgehend auf die Zeit von 2015 bis Frühling 2016. Insbesondere hält er der Beschwerdegegnerin vor, einseitig gehandelt zu haben. Indes tat die Beschwerdeführerin nichts Unrechtes, wenn sie während der Rechtsmittelfrist für die Beschwerde in Zivilsachen, welche keine aufschiebende Wirkung hat (Art. 103 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 103 Effet suspensif - 1 En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif. |
|
1 | En règle générale, le recours n'a pas d'effet suspensif. |
2 | Le recours a effet suspensif dans la mesure des conclusions formulées: |
a | en matière civile, s'il est dirigé contre un jugement constitutif; |
b | en matière pénale, s'il est dirigé contre une décision qui prononce une peine privative de liberté ferme ou une mesure entraînant une privation de liberté; l'effet suspensif ne s'étend pas à la décision sur les prétentions civiles; |
c | en matière d'entraide pénale internationale, s'il a pour objet une décision de clôture ou toute autre décision qui autorise la transmission de renseignements concernant le domaine secret ou le transfert d'objets ou de valeurs; |
d | en matière d'assistance administrative fiscale internationale. |
3 | Le juge instructeur peut, d'office ou sur requête d'une partie, statuer différemment sur l'effet suspensif. |
Mithin ist nicht zu sehen, inwiefern die vorgebrachten Sachverhaltsrügen rund um diesen Themenkreis einen konkreten Einfluss auf das Entscheidergebnis haben könnten (vgl. in rechtlicher Hinsicht E. 4.3.2). Weiterungen erübrigen sich demnach.
3.2. Gleiches gilt für die Kritik, das Obergericht habe übersehen, dass die Mutter nach dem Wegzug anfänglich den Vater-Tochter-Kontakt erschwert habe:
Nach den (vom Beschwerdeführer nicht bestrittenen) Sachverhaltsfeststellungen klappt das Besuchsrecht seit längerem gut. Der Beschwerdeführer sieht seine Tochter regelmässig an jedem zweiten Wochenende und während des (zu Recht) grosszügigen Ferienrechts von jeweils der Hälfte der Schulferien.
Vor diesem Hintergrund kann der Beschwerdeführer nicht einfach frühere Probleme monieren, sondern er hätte konkret aufzuzeigen, inwiefern diese die heutige Situation gewissermassen überlagern und im Ergebnis zu einem anderen als dem von den kantonalen Instanzen getroffenen Entscheid führen müssten (vgl. in rechtlicher Hinsicht E. 4.3.2).
3.3. Sodann kritisiert der Beschwerdeführer, dass das Obergericht nicht auf seine spezielle berufliche Situation eingegangen sei.
Indes hat das Obergericht erwähnt, dass die Arbeitseinsätze des Beschwerdeführers hauptsächlich am Wochenende erfolgen (angefochtener Entscheid, S. 7). Im Übrigen ist bereits dem bundesgerichtlichen Rückweisungsurteil zu entnehmen, dass der Vater in der Nähe von Interlaken eine Firma betreibt und er 70 % seines Umsatzes an den Wochenendtagen erwirtschaftet (bewusst ist keine detaillierte Darstellung der Tätigkeit und der damit verbundenen Besonderheiten erfolgt, damit vor dem Hintergrund der Internetpublikation der bundesgerichtlichen Entscheide keine konkreten Rückschlüsse auf die betroffenen Personen gezogen werden können).
Was die (nach dem Gesagten hinreichend erstellte) spezielle berufliche Situation des Vaters für die Wegzugsfrage und die zu regelnden Nebenfolgen bedeutet, ist Rechtsfrage und an der entsprechenden Stelle zu erörtern (dazu E. 4.3.1).
3.4. Im Zusammenhang mit dem Antrag auf alleinige Obhutszuteilung bringt der Beschwerdeführer gegen Schluss der Beschwerde vor, er lebe heute mit einer neuen Lebenspartnerin und deren 8-jährigem Sohn zusammen, welcher voraussichtlich die gleiche Klasse besuchen würde wie C.________, die im Übrigen in U.________ (bei Interlaken) auch immer noch Kontakt zu ihren Kindergartengspänli habe.
Der Beschwerdeführer äussert dies in rein appellatorischer Form und zeigt auch nicht auf, an welcher Stelle er seine Ausführungen prozesskonform in das kantonale Verfahren eingeführt hätte. Sie können deshalb formell nicht Grundlage des bundesgerichtlichen Entscheides bilden. Dennoch wird der Vollständigkeit halber in E. 4.3.3 kurz dargestellt werden, dass die betreffenden Sachverhaltselemente am rechtlichen Ergebnis nichts zu ändern vermöchten.
4.
In rechtlicher Hinsicht geht es um die Frage, ob die (bereits erfolgte) Verlegung des Aufenthaltsortes von C.________ nach Solothurn zu genehmigen ist oder nicht.
4.1. Zwischen der Genehmigung des Wegzuges und der Anpassung der Betreuungs-, Besuchs- und Unterhaltsregelung besteht eine enge Interdependenz, so dass die einzelnen Fragen nicht losgelöst voneinander beurteilt werden dürfen (BGE 142 III 481 E. 2.8 S. 495; 142 III 502 E. 2.5 und 2.6 S. 511 ff.). Das bisherige Betreuungsmodell bildet, unter Vorbehalt veränderter Verhältnisse, den Ausgangspunkt der Überlegungen. Ist das Kind von beiden Elternteilen in ähnlichem Umfang betreut worden und sind auch weiterhin beide Teile dazu bereit, ist die Ausgangslage gewissermassen neutral und ist anhand weiterer Kriterien zu eruieren, welche Lösung im besten Interesse des Kindes liegt. War hingegen der umzugswillige Elternteil nach dem bisher tatsächlich gelebten Betreuungskonzept ganz oder überwiegend die Bezugsperson, wird es tendenziell zum besseren Wohl des Kindes sein, wenn dieses mit dem betreffenden Elternteil umzieht (BGE 142 III 481 E. 2.7 S. 493; 142 III 502 E. 2.5 S. 511 unten).
Vorliegend besteht die Besonderheit, dass seit dem tatsächlich erfolgten Wegzug drei Jahre vergangen sind und deshalb nicht mehr oder jedenfalls nicht entscheidend auf die Lage im Zeitpunkt des Wegzuges abgestellt werden kann, weil - soeben angesprochen - veränderte Verhältnisse vorliegen. Diesfalls erfordert das Kindeswohl, dass die aktuelle Situation den Ausgangspunkt der weiteren Überlegungen bildet (BGE 142 III 502 E. 2.7 S. 515).
Der soeben genannte Aspekt wirkt sich, wie noch zu zeigen sein wird, in nicht unwesentlichem Umfang aus (vgl. E. 4.3.3), indes nicht in einer Weise, dass vor drei Jahren zwingend gegenteilig zu entscheiden gewesen wäre: Zwar sah der Vater sein Kind damals häufiger und er nahm auch Betreuungsanteile wahr. Es ist aber fraglich, ob bei einer regelmässigen Betreuung, die gemäss den obergerichtlichen Sachverhaltsfeststellungen von Sonntagmittag bis Montagabend und am Mittwochnachmittag erfolgte (vgl. E. 2), d.h. bei einer Übernachtung pro Woche, bereits von einer geteilten Obhut zu sprechen war, zumal die Obhut gemäss Elternvereinbarung im Trennungsfall der Mutter zustehen sollte (vgl. Lit. A). So oder anders lebte C.________ jedenfalls bereits damals primär im Haushalt der Mutter und war diese die überwiegende Bezugsperson.
4.2. Der Beschwerdeführer strebt in erster Linie eine Rückkehr von Mutter und Kind nach U.________ (bei Interlaken) und für diesen Fall eine alternierende Obhut über das Kind an.
Damit würde nicht nur die Entwicklung der letzten drei Jahre ausgeblendet, sondern insbesondere auch das Konzept von Art. 301a
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
Die vom Gesetzgeber verabschiedete Fassung von Art. 301a Abs. 2
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
Das vom Beschwerdeführer angestrebte Konzept der alternierenden Obhut kann bei getrennten Haushalten durchaus zur Debatte stehen. Dies setzt aber eine gewisse örtliche Nähe der Haushalte voraus, und zwar verstärkt, sobald ein Kind eingeschult ist. Diesfalls ist eine alternierende Obhut mit wechselnden Betreuungstagen bei einer Distanz zwischen U.________ (bei Interlaken) und Solothurn von rund 100 km objektiv nicht in kindsgerechter Weise möglich (vgl. BGE 142 III 502 E. 2.3 S. 506 unten und E. 2.4.1 S. 508 unten; MÖCKLI, Die Relocation von Kindern, ZSR 2017 II S. 285 f.). Für eine Betreuung, welche auf das Alter und die Bedürfnisse von C.________ Rücksicht nimmt, kann es einzig um die Frage gehen, in welchem Haushalt sie heute leben soll; eine alternierende Obhut lässt sich weder aufrechterhalten noch wiederherstellen, und zwar unabhängig davon, ob die Beschulung in Solothurn oder in U.________ (bei Interlaken) erfolgen würde.
4.3. In diesem Sinn fordert der Beschwerdeführer in zweiter Linie denn auch die Zuteilung der Obhut.
4.3.1. Indem der Beschwerdeführer die anbegehrte Obhutszuteilung schwergewichtig damit begründet, dass die Besuchsrechtsausübung aufgrund seiner speziellen, primär am Wochenende erfolgenden Berufsausübung schwierig sei, solange C.________ ihren Wohnsitz in Solothurn habe, kehrt er auch hier gewissermassen das gesetzliche Konzept um: Zwar besteht nach dem Gesagten eine Interdependenz zwischen der Wegzugsfrage und den Nebenfolgen, weshalb darüber in einem einzigen Entscheid zu befinden ist. Dennoch ist die Besuchsrechtsregelung in erster Linie eine Folge der Entscheidung über den Wegzug (vgl. Art. 301a Abs. 5
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 301a - 1 L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
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1 | L'autorité parentale inclut le droit de déterminer le lieu de résidence de l'enfant. |
2 | Un parent exerçant conjointement l'autorité parentale ne peut modifier le lieu de résidence de l'enfant qu'avec l'accord de l'autre parent ou sur décision du juge ou de l'autorité de protection de l'enfant dans les cas suivants: |
a | le nouveau lieu de résidence se trouve à l'étranger; |
b | le déménagement a des conséquences importantes pour l'exercice de l'autorité parentale par l'autre parent et pour les relations personnelles. |
3 | Un parent exerçant seul l'autorité parentale qui souhaite modifier le lieu de résidence de l'enfant doit informer en temps utile l'autre parent. |
4 | Un parent qui souhaite modifier son propre lieu de résidence a le même devoir d'information. |
5 | Si besoin est, les parents s'entendent, dans le respect du bien de l'enfant, pour adapter le régime de l'autorité parentale, la garde, les relations personnelles et la contribution d'entretien. S'ils ne peuvent pas s'entendre, la décision appartient au juge ou à l'autorité de protection de l'enfant. |
4.3.2. Soweit der Beschwerdeführer den von ihm geltend gemachten Obhutsanspruch mit Vorbringen begründet, welche die Vergangenheit betreffen (angeblich verwerfliche Umzugsmotive; angeblich eigenmächtiger Umzug; angeblich anfängliche mütterliche Obstruktion im Zusammenhang mit dem Besuchsrecht), ist Folgendes zu sagen:
Wie in E. 4.2 festgehalten, sind die Motive des umziehenden Elternteils vor dem Hintergrund der Niederlassungsfreiheit, welche es zu respektieren gilt, grundsätzlich belanglos. Einzig wenn ein Elternteil offensichtlich nur deshalb umziehen würde, um das Kind dem anderen Teil zu entfremden, können Motive indirekt relevant werden, indem nämlich diesfalls die Bindungstoleranz des betreffenden Elternteils und damit seine Erziehungsfähigkeit in Frage gestellt wäre mit der Folge, dass aus diesem Grund eine Umteilung der Obhut zu prüfen wäre (BGE 142 III 481 E. 2.7 S. 495; 142 III 502 E. 2.5 S. 511; 144 III 10 E. 5 S. 13). Davon kann aber vorliegend keine Rede sein. Nach den Sachverhaltsfeststellungen im angefochtenen Entscheid zog es die Beschwerdegegnerin nach Solothurn, weil sie dort aufgewachsen ist, dort ihre Eltern hat und sie sich dort auch bessere Ausbildungs- und Arbeitsmöglichkeiten versprach. Sodann hat sie ihr Vorhaben erst nach durchlaufenem Verfahren in die Tat umgesetzt. Insofern lässt sich nicht von einem missbräuchlichen Wegzug sprechen.
Was sodann allfällige frühere Besuchsrechtsobstruktionen anbelangt, könnten diese entgegen dem sinngemässen Vorbringen des Beschwerdeführers jedenfalls nicht höher gewichtet werden als die aktuelle Situation, wonach der Beschwerdeführer seine Tochter regelmässig sieht und eine gute Vater-Tochter-Beziehung vorhanden ist (vgl. E. 3.2). In diesem Kontext besteht mithin kein Anlass, die vor nunmehr drei Jahren erfolgte Veränderung des Aufenthaltsortes des Kindes nicht zu genehmigen und dieses in den väterlichen Haushalt umzuplatzieren.
4.3.3. Ausgangspunkt für die weiteren Überlegungen bildet nach dem bereits Gesagten die heutige Situation. Im Wesentlichen sind für die Frage der Genehmigung der Verlegung des Aufenthaltsortes des Kindes die gleichen Kriterien massgeblich, wie sie auch für die Obhutszuteilung gelten, d.h. in erster Linie die Erziehungsfähigkeit, die tatsächliche Betreuungsmöglichkeit, die Stabilität der Verhältnisse, die Sprache und Beschulung des Kindes und je nach Alter auch dessen Äusserungen und Wünsche (vgl. BGE 142 III 481 2.7 S. 492 f.; 142 III 498 E. 4.4 S. 499 f.; 142 III 502 E. 2.5 S. 511 f.; Urteil 5A 59/2017 vom 24. März 2017 E. 4.3). Während bei älteren Kindern zunehmend die Wohn- und Schulumgebung sowie der sich ausbildende Freundeskreis wichtig werden, sind kleinere Kinder noch stärker personenorientiert (BGE 142 III 481 E. 2.7 S. 493). Entsprechend können im Zusammenhang mit dem wichtigen Kriterium der Stabilität und Kontinuität die Beurteilungsfelder ja nach Lebensalter des Kindes variieren.
Vorliegend war die Beschwerdegegnerin für C.________ von Anfang an wichtige Bezugsperson und jedenfalls seit dem Wegzug vor drei Jahren ist sie klarerweise die Hauptbezugsperson. Inzwischen geht C.________ in Solothurn zur Schule. Nach den obergerichtlichen Feststellungen fühlt sie sich dort wohl und hat sich gut eingelebt; ferner scheint sie auch mit der aktuellen familiären Situation gut zurechtzukommen, obwohl sie anfänglich unter der elterlichen Auseinandersetzung gelitten hatte (vgl. E. 2).
Bei dieser Ausgangslage tritt - zumal beidseits die Erziehungsfähigkeit als erstellt gilt und auch beide Seiten das Kind betreuen möchten und könnten - das Kontinuitätsprinzip in den Vordergrund (vgl. BGE 142 III 498 E. 4.5 S. 500; sodann allgemein im Obhutskontext z.B. Urteile 5A 22/2010 vom 7. Juni 2010 E. 7; 5A 106/2016 vom 7. Juni 2016 E. 3.4; 5A 575/2017 vom 17. August 2017 E. 2.5), welchem bei der Genehmigung eines bereits erfolgten Umzuges zwangsläufig stärkeres Gewicht zukommt als bei der prospektiven Beurteilung einer geplanten Veränderung des Aufenthaltsortes eines Kindes (vgl. MÖCKLI, a.a.O., S. 236, ferner S. 280). Vor diesem Hintergrund ist nicht ersichtlich, weshalb von den Empfehlungen des rechtspsychologischen Fachberichtes abzuweichen und C.________ aus dem seit mehreren Jahren gelebten, sich als stabil erweisenden Verhältnis und ihrem vertrauten schulischen Umfeld herausgelöst werden sollte, um sie neu im väterlichen Haushalt unterzubringen.
Daran vermögen die Hinweise des Beschwerdeführers, er lebe heute mit einer neuen Lebenspartnerin und deren 8-jährigem Sohn zusammen (dazu E. 3.4), nichts zu ändern. Es besteht kein Zweifel, dass C.________ auch beim Beschwerdeführer ein gutes Zuhause hätte. Es ist aber nicht bundesrechtswidrig (vgl. Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
5.
Zusammenfassend ergibt sich, dass die Beschwerde abzuweisen ist, soweit auf sie eingetreten werden kann. Ausgangsgemäss sind die Gerichtskosten dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 3'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, der KESB Oberland Ost und dem Obergericht des Kantons Bern, Kindes- und Erwachsenenschutzgericht, schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 16. August 2018
Im Namen der II. zivilrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: von Werdt
Der Gerichtsschreiber: Möckli