Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 103/2019
Urteil vom 16. April 2019
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiber Wüest.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Kurt Meier,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 11. Dezember 2018 (UV.2017.00132).
Sachverhalt:
A.
Der 1986 geborene A.________ war zuletzt arbeitslos und in dieser Eigenschaft bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) gegen die Folgen von Unfällen versichert, als er am 28. Februar 2016 bei sich zu Hause im Treppenhaus stürzte (Unfallmeldung vom 26. Mai 2016). Nach notfallmässiger Überweisung durch den erstbehandelnden Hausarzt diagnotizierten die Ärzte des Spitals B.________ eine subkapitale metakarpale III Fraktur, welche am 4. März 2016 operiert wurde. Am 20. April 2016 erfolgte die Entfernung des Osteosynthesematerials. Die Suva anerkannte ihre Leistungspflicht und erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung und Taggeld). Nach kreisärztlicher Untersuchung vom 11. November 2016 verneinte die Suva mit Verfügung vom 18. November 2016 eine weitergehende Leistungspflicht und schloss den Fall per 5. Dezember 2016 ab. Daran hielt sie mit Einspracheentscheid vom 25. April 2017 fest.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 11. Dezember 2018 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheids seien ihm auch nach dem 5. Dezember 2016 Heilungskosten und Taggelder im Umfang einer 100%igen Arbeitsunfähigkeit sowie nach Erreichen des Endstadiums eine Invalidenrente von mindestens 25 % und eine Integritätsentschädigung in der Höhe von mindestens 5 % zuzusprechen. Eventualiter sei die Sache unter Aufhebung des angefochtenen Entscheids an die Suva zurückzuweisen, damit diese eine externe Begutachtung (Handspezialist) mit Neubeurteilung sämtlicher Unfallbeschwerden veranlasse und hernach über den Leistungsanspruch ab 5. Dezember 2016 neu entscheide.
Das Bundesgericht hat die vorinstanzlichen Akten eingeholt. Es wird kein Schriftenwechsel durchgeführt.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Streitig ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es den von der Suva per 5. Dezember 2016 verfügten und mit Einspracheentscheid vom 25. April 2017 bestätigten folgenlosen Fallabschluss schützte.
2.2. Im angefochtenen Entscheid sind die massgebenden Bestimmungen und Grundsätze über das anwendbare Recht (BGE 141 V 657 E. 3.5.1 S. 661; Abs. 1 der Übergangsbestimmungen zur Änderung des UVG vom 25. September 2015, AS 2016 4375, 4387), über den für die Leistungspflicht des obligatorischen Unfallversicherers (Art. 6 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort. |
3.
3.1. Das kantonale Gericht erkannte zunächst, im Zeitpunkt der Leistungseinstellung sei der medizinische Endzustand erreicht gewesen. Nach Aktenlage würden keine Therapieoptionen vorgeschlagen, die eine namhafte Verbesserung der Beschwerdesituation erwarten lassen würden. Der Fallabschluss sei damit nicht verfrüht erfolgt.
3.2. Hinsichtlich der über den Fallabschluss hinaus geklagten Beschwerden (belastungsabhängige Schmerzen und Schwellung im Bereich des rechten Handgelenks) hielt die Vorinstanz fest, der Kreisarzt Dr. med. C.________, Facharzt für Physikalische Medizin und Rehabilitation, habe in seiner Beurteilung nachvollziehbar dargelegt, dass keine bleibende Schädigung im Bereich der aktuell vollständig verheilten Metakarpale III vorliege und dass keine Fehlbehandlung erfolgt sei. Im Weiteren habe er festgehalten, dass und weshalb die Handgelenksschmerzen nicht unfallkausal seien. Es lägen keine entgegenstehenden ärztlichen Stellungnahmen vor. Weiter habe der Kreisarzt Dr. med. D.________, Facharzt für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, nach persönlicher Untersuchung des Versicherten festgehalten, dass sich die sonographisch gestellte Verdachtsdiagnose einer Partialruptur der EDC-II-Sehne klinisch nicht bestätigen lasse und auch nicht mit den beschriebenen Beschwerden des Versicherten korreliere. Sodann könne der Beschwerdeführer auch aus dem Umstand nichts für sich ableiten, dass Dr. med. E.________, Facharzt FMH für Handchirurgie, das therapeutische Vorgehen der Ärzte des Spitals B.________ in Frage gestellt
habe. Insgesamt sei die Suva zu Recht davon ausgegangen, dass die geklagten Beschwerden und Einschränkungen nicht (mehr) durch einen hinreichend objektivierbaren organischen Befund erklärt werden könnten. Auch die spezifische Adäquanzprüfung der Suva mit dem Ergebnis, dass keines der massgebenden Kriterien erfüllt sei, sei nicht zu beanstanden. Demnach stünden die organisch nicht hinreichend nachweisbaren Beschwerden in keinem adäquat-kausalen Zusammenhang zum Unfall vom 28. Februar 2016.
4.
4.1. Der Fallabschluss ist vorzunehmen, wenn von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann und die Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung abgeschlossen sind (BGE 134 V 109 E. 4.1 S. 114). Für die Beurteilung der namhaften Besserung ist einzig auf die unfallbedingten, nicht aber die krankheitsbedingten Einschränkungen abzustellen (vgl. Urteil 8C 398/2009 vom 26. Oktober 2009 E. 4.4). Bei der sogenannten Psychopraxis (BGE 115 V 133) stellen noch behandlungsbedürftige psychische Leiden keinen Grund für einen Aufschub des Fallabschlusses dar, da die psychischen Beeinträchtigungen für die Beurteilung der Adäquanz bei der Psychopraxis unberücksichtigt bleiben (Urteil 8C 465/2011 vom 7. September 2011 E. 5.1 und Urteil 8C 1004/2009 vom 13. April 2010 E. 4.2). Rechtsprechungsgemäss kann sich sodann der in Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
vom 15. Dezember 2016 E. 4.3).
4.2. Der Beschwerdeführer macht zu Recht nicht geltend, es bestünden noch Therapieoptionen, die dem Fallabschluss entgegenstünden. Hingegen bringt er vor, er habe sich im Januar 2017 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug angemeldet. Diese habe ihm eine Umschulung zum Arbeitsagogen zugesprochen. Die Eingliederungsmassnahmen würden vom 1. August 2018 bis 31. Dezember 2020 dauern. Der Fallabschluss durch die Suva sei demnach zu früh erfolgt.
4.3. Damit dringt er allerdings nicht durch. Wie sich aus den folgenden Erwägungen ergibt, bestand im Zeitpunkt der Leistungseinstellung kein organisch objektiv ausgewiesener Gesundheitsschaden, der auf den Unfall vom 28. Februar 2016 zurückzuführen ist. Mithin stehen die über den 5. Dezember 2016 hinaus geklagten Beschwerden nicht in einem adäquaten Kausalzusammenhang zum Unfall. Damit liegt keine unfallbedingte Arbeitsunfähigkeit vor. Insoweit sind die beruflichen Massnahmen der Invalidenversicherung auch nicht geeignet, den der Invalidenrente der Unfallversicherung zugrunde zu legenden Invaliditätsgrad zu beeinflussen (vgl. E. 4.3 hiervor). Folglich bleibt es beim Fallabschluss per 5. Dezember 2016.
5.
5.1. Soweit der Beschwerdeführer behauptet, im Rahmen der operativen Versorgung sei beim Einbringen der Spickdrähte ein Knochenteil abgebrochen, was zur ausgewiesenen Sehnenruptur EDC-II geführt habe, kann ihm nicht gefolgt werden. Zwar ging Dr. med. E.________, bei dem der Beschwerdeführer eine Zweitmeinung einholte, aufgrund eigener Ultraschalluntersuchung von einer vorstehenden Knochenspitze aus, die eine bewegungs- und belastungsabhängige Irritation der Strecksehnen zum Zeigefinger verursache und die möglicherweise bereits zu einer partiellen Strecksehnenruptur geführt habe. In diesem Zusammenhang tätigten die Ärzte des Spitals B.________ aber weitere Abklärungen in Form einer CT-Untersuchung. Dr. med. F.________, Fachärztin FMH für Chirurgie, Handchirurgie sowie Plastische, Rekonstruktive und Ästhetische Chirurgie, hielt zum CT-Befund vom 16. Januar 2017 fest, die sonographisch gesehene Knochenschuppe im Bereich der MC-III-Basis entspreche beim Betrachten der Nachbarschnitte dem ehemaligen Kanal zur Einbringung der Kirschnerdrähte (vgl. Bericht vom 23. Januar 2017). Eine dislozierte Schuppe zeige sich somit nicht. Auffallend sei jedoch im Bereich der dorsoradialen Basis des MC-III eine anlagebedingte Ausziehung nach proximal,
die bei Handgelenksextension unter Belastung mit der distalen Karpalreihe in Kontakt kommen könnte. Dies könnte für die vom Patienten beklagten Beschwerden im Sinne einer Analogie zu einem Carpal Bossing ursächlich sein. Wie die Ärztin weiter ausführte, bestünden keine weiteren therapeutischen Möglichkeiten, ausser die belastungsabhängige Schwellung mit einem Ödemhandschuh zu reduzieren. Im Bericht vom 14. Februar 2017 äusserte sich Dr. med. E.________ zwar kritisch zur Operationsindikation, nicht aber zu den Untersuchungsergebnissen und Schlussfolgerungen der Dr. med. F.________ vom 23. Januar 2017, weshalb davon auszugehen ist, dass er dagegen nichts Entscheidendes einzuwenden hatte.
5.2. Bezüglich der geltend gemachten Partialruptur der Strecksehne hat Dr. med. D.________ bereits in seinem Bericht über die kreisärztliche Untersuchung vom 11. November 2016 festgehalten, dass sich die Verdachtsdiagnose klinisch nicht bestätigen lasse. Anders als der Beschwerdeführer glauben machen will, ging Dr. med. F.________ in der Folge in diagnostischer Hinsicht lediglich von einem sonographischen Verdacht auf Partialruptur der Sehne aus (vgl. Bericht vom 23. Januar 2017). Auch Dr. med. E.________ sprach im Übrigen von einer bloss möglichen partiellen Ruptur. Demnach ist eine Sehnenruptur entgegen der Behauptung des Beschwerdeführers nicht ausgewiesen.
5.3. Andere organische objektiv nachweisbare Unfallfolgen sind ebenfalls nicht ersichtlich. Insbesondere können solche nicht in den geklagten belastungsabhängigen Handgelenksschmerzen mit Schwellungsneigung gesehen werden. Zu den geltend gemachten Schwellungen hielt der Kreisarzt Dr. med. C.________ überzeugend fest, es seien keine strukturellen Veränderungen als Unfallfolge ersichtlich, die eine permanente Schwellungsneigung im Handrücken erklären würden. Er wies in diesem Zusammenhang auf eine mögliche artifizielle Störung hin. Der behandelnde Arzt und Operateur Dr. med. G.________ fand klinisch und sonographisch kein Korrelat für die Intensität der vom Versicherten subjektiv beklagten Beschwerden (vgl. etwa Bericht vom 22. August 2016). Im Rahmen seiner Untersuchungen nach der Operation stellte er jeweils auch keine Schwellung fest. Kreisarzt Dr. med. D.________ fand anlässlich seiner Untersuchung ebenfalls keinen objektiven Befund für die beklagten Beschwerden. Ebenso wenig beschrieb er eine Schwellung der rechten Hand. Dr. med. F.________ ging ihrerseits von einer möglichen anlagebedingten Ursache der Beschwerden aus (vgl. E. 5.1 hiervor). Organische objektiv nachweisbare Unfall- oder Heilbehandlungsfolgen sind demnach nicht
aktenkundig.
5.4. Sodann trifft nicht zu, dass die Vorinstanz die Einwände des Dr. med. E.________ ausser Acht gelassen hat. So wies sie darauf hin, dass gemäss nachvollziehbarer Beurteilung des Dr. med. C.________ keine Fehlbehandlung erfolgt sei. Der Kreisarzt führte aus, die CT vom 16. Januar 2017 schliesse eine Fehlbehandlung oder bleibende Schädigungen im Bereich des nun vollständig verheilten Metakarpale III aus (vgl. Stellungnahme vom 3. April 2017). Ausserdem ist mit der Vorinstanz festzuhalten, dass die von Dr. med. E.________ aufgegriffene Thematik der Operationsindikation für die hier streitigen Belange nicht entscheidend ist. Für die Anwendbarkeit von Art. 6 Abs. 3
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
2016 zugefügt worden wären. Insbesondere bestehen keine Anhaltspunkte dafür, dass im Rahmen der operativen Versorgung beim Einbringen der Spickdrähte ein Knochenteil abgebrochen sein soll, wie der Beschwerdeführer vorbringt (vgl. E. 5.1 hiervor). Dass er ohne Operation beschwerdefrei wäre, ist ebenfalls nicht belegt. Ein Leistungsanspruch gestützt auf Art. 6 Abs. 3
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
5.5. Dem kantonalen Gericht ist nach dem Gesagten beizupflichten, dass die Handverletzung rechts im Zeitpunkt der Leistungseinstellung am 5. Dezember 2016 ausgeheilt war resp. kein unfallkausaler, organisch objektiv ausgewiesener Gesundheitsschaden (hierzu vgl. BGE 138 V 248 E. 5.1 S. 251) mehr bestand. Die verbliebene leichte Einschränkung der Beweglichkeit im Handgelenk ist im Übrigen nicht funktionsentscheidend (vgl. Bericht Handtherapie über die ambulante Ergotherapie [undatiert]). Die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung beruht auf einer korrekten Prüfung und Würdigung der medizinischen Aktenlage. Mit Blick darauf konnte und kann in antizipierter Beweiswürdigung (BGE 136 I 229 E. 5.3 S. 236 f.) auf zusätzliche Abklärungen verzichtet werden. Eine Bundesrechtswidrigkeit, namentlich eine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes, ist darin ebenso wenig zu sehen wie eine in medizinischer Hinsicht unrichtige oder gar willkürliche Sachverhaltsfeststellung. In diesem Sinne besteht kein Anlass zur eventualiter beantragten Rückweisung zwecks Einholung eines versicherungsexternen Gutachtens.
6.
Gegen die vorinstanzlich bestätigte Adäquanzprüfung der Suva bringt der Beschwerdeführer zu Recht nichts vor. Demnach stehen die organisch nicht hinreichend nachweisbaren Beschwerden in keinem adäquat-kausalen Zusammenhang zum Unfall vom 28. Februar 2016. Dabei hat es sein Bewenden.
7.
Schliesslich ist auch nicht zu beanstanden, dass das kantonale Gericht gestützt auf die kreisärztlichen Einschätzungen der Dres. med. D.________ (vgl. Bericht über die kreisärztliche Untersuchung vom 11. November 2016) und C.________ (vgl. Bericht vom 11. April 2017) einen Anspruch des Beschwerdeführers auf Integritätsentschädigung mangels relevanter funktioneller Einschränkungen an der rechten Hand verneinte. Dagegen bringt der Beschwerdeführer nichts Substanzielles vor, weshalb es auch dabei sein Bewenden hat.
8.
Die Beschwerde ist somit unbegründet und abzuweisen.
9.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 16. April 2019
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Wüest