Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 608/2020
Urteil vom 15. Dezember 2020
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiberin Riedi Hunold.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Jaroslav Zuzak,
Beschwerdeführer,
gegen
SWICA Versicherungen AG,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Solothurn
vom 31. August 2020 (VSBES.2019.286).
Sachverhalt:
A.
A.________, geboren 1972, war ab 1. Januar 2017 bei B.________ als Lastwagenfahrer angestellt und in dieser Eigenschaft bei der SWICA Versicherungen AG gegen die Folgen von Unfällen versichert. Am 22. Januar 2018 kollidierte er mit einem anderen Lastwagen. Er nahm mit der Polizei den Unfall auf und ging beschwerdefrei nach Hause. Nachdem er am nächsten Tag bei der Arbeit beim Umladen von schweren Gütern Schmerzen zwischen den Schulterblättern und in den Armen verspürte, suchte er den Arzt auf. In der Folge wurde ihm bis 27. Januar 2018 eine volle Arbeitsunfähigkeit bescheinigt (vgl. die Berichte des erstbehandelnden Spital C.________ vom 23. Januar 2018 und des Dr. med. D.________, Facharzt für Allgemeine Medizin, vom 6. April 2018). Danach nahm er seine Arbeit wieder auf. Da A.________ weiterhin über Rückenschmerzen klagte, fanden zusätzliche medizinische Abklärungen statt. Gestützt auf die Beurteilung ihres Vertrauensarztes, PD Dr. med. E.________, Facharzt für orthopädische Chirurgie und Wirbelsäulenchirurgie, vom 27. August 2018 teilte die SWICA A.________ mit, sie stelle ihre Leistungen per 31. August 2018 ein. Nachdem A.________, inzwischen anwaltlich vertreten, am 27. März 2019 eine beschwerdefähige Verfügung verlangt
hatte, verfügte die SWICA am 9. April 2019 die Einstellung ihrer Leistungen per 31. August 2018. Dies bestätigte sie mit Einspracheentscheid vom 6. November 2019.
B.
Das Versicherungsgericht des Kantons Solothurn wies die dagegen erhobene Beschwerde mit Entscheid vom 31. August 2020 ab, soweit es darauf eintrat.
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, der vorinstanzliche Entscheid sei aufzuheben und die Sache sei zur vollständigen Sachverhaltsabklärung und erneutem Entscheid an die Vorinstanz zurückzuweisen. Evenutaliter sei die Sache vom Bundesgericht im Sinne der vom Beschwerdeführer vor Vorinstanz gestellten Anträge zu entscheiden. Zudem ersucht er um unentgeltliche Rechtspflege.
Das Bundesgericht führt keinen Schriftenwechsel durch.
D.
Mit Eingabe vom 4. Dezember 2020 liess A.________ unaufgefordert weitere Unterlagen einreichen.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Beim Bericht des Dr. med. F.________, Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, vom 29. September 2020 handelt es sich um ein unzulässiges Novum (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
2.
Streitig ist, ob die Vorinstanz zu Recht die Leistungseinstellung per 31. August 2018 bestätigt hat.
3.
Die Vorinstanz hat die Bestimmungen und Grundsätze über das anwendbare Recht, die Leistungsvoraussetzungen des natürlichen (BGE 142 V 435 E. 1 S. 438; 129 V 177 E. 3.1 S. 181) und des adäquaten Kausalzusammenhangs (BGE 129 V 177 E. 3.2 S. 181), namentlich bei psychischen und/oder organisch nicht hinreichend nachweisbaren Beschwerden ohne Vorliegen eines Schleudertraumas (BGE 138 V 248 E. 4 S. 250; 115 V 133), den Fallabschluss (BGE 134 V 109 E. 4.1 S. 114) sowie die Voraussetzungen der Leistungseinstellung wegen Wegfalls der natürlichen Kausalität (BGE 146 V 51 E. 5.1 S. 55 mit Hinweisen) zutreffend dargelegt. Dasselbe gilt für den Untersuchungsgrundsatz (Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
4.
Das kantonale Gericht erwog, die reine Aktenbeurteilung durch PD Dr. med. E.________ sei beweistauglich, da er über die notwendige Fachkompetenz verfüge und gestützt auf die medizinischen Unterlagen eindeutige Befunde vorgelegen hätten, der Vertrauensarzt habe würdigen können. Soweit der Beschwerdeführer geltend mache, er habe vor dem Unfall nie Rückenbeschwerden gehabt, ändere dies nichts an der Tatsache, dass auf den Bilddokumenten ein entsprechender Vorzustand erkennbar sei. Die Ausführungen des PD Dr. med. G.________, imamed, Radiologie H.________, vermöchten keine Zweifel an der orthopädischen Beurteilung zu erwecken. Zur Spondylolisthesis halte PD Dr. med. G.________ fest, dass diesbezüglich kein Interpretationsspielraum bestehe und der Befund klar gegeben sei. Somit sei die SWICA gestützt auf den Bericht des PD Dr. med. E.________ zu Recht davon ausgegangen, dass der status quo sine spätestens am 25. Juni 2018 erreicht gewesen sei. Die Vorinstanz kam zum Schluss, es fehle an nachweisbaren unfallbedingten Läsionen, weshalb mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt sei, dass im Zeitpunkt der Leistungseinstellung keine unfallkausalen somatischen Beschwerden mehr vorgelegen hätten. Da es an einem typischen bunten
Beschwerdebild in Zusammenhang mit einem Schleudertrauma fehle, komme für die geltend gemachten psychischen Beschwerden die Praxis nach BGE 115 V 133 zur Anwendung. Das Ereignis vom 22. Januar 2018 qualifizierte das kantonale Gericht als mittelschwer an der Grenze zu den leichten Unfällen und verneinte die Kriterien der dramatischen Begleitumstände oder besonderen Eindrücklichkeit, der schweren Verletzungen oder solcher besonderer Art, der ärztlichen Fehlbehandlung sowie des schwierigen Heilungsverlaufs und erheblicher Komplikationen. Dauerschmerzen seien zwar gegeben, doch seien diese primär psychisch begründet. Bei der langandauernden Arbeitsunfähigkeit seien nur Zeiten zu berücksichtigen, in welchen der Beschwerdeführer aus rein physischen Gründen arbeitsunfähig gewesen sei. Der Hausarzt habe ihn seit dem 9. Mai 2018 wieder zu 100 % arbeitsunfähig geschrieben. Zusammengefasst seien allenfalls zwei der sieben Kriterien erfüllt, so dass ein rechtserheblicher adäquater Kausalzusammenhang nicht gegeben sei. Die SWICA habe ihre Leistungen zu Recht per 31. August 2018 eingestellt.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Vorinstanz habe den Untersuchungsgrundsatz verletzt und den Sachverhalt unvollständig und unrichtig abgeklärt. Auf die Beurteilung von PD Dr. med. E.________ könne nicht abgestellt werden, da er sich kein zuverlässiges Bild über den medizinischen Sachverhalt habe verschaffen können. Zudem sei sie fehlerhaft, da er einen Morbus Scheuermann diagnostiziert habe, obwohl PD Dr. med. G.________ lediglich festgestellt habe, die Befunde würden an einen solchen erinnern.
5.2. Es ist nicht zu beanstanden, dass Vorinstanz und Verwaltung auf den Bericht des PD Dr. med. E.________ abgestellt haben. Die geltend gemachte fehlerhafte Diagnose eines Morbus Scheuermann vermag am Bericht des PD Dr. med. E.________ vom 27. August 2018 jedenfalls keine geringen Zweifel zu wecken. Entgegen den Ausführungen des Beschwerdeführers brachte nicht PD Dr. med. E.________ die Diagnose eines Morbus Scheuermanns ins Spiel. Vielmehr hatten Dr. med. I.________, Chefarzt, und Dr. med. J.________, Oberarzt, Wirbelsäulenchirurgie, Spital C.________, bereits am 9. Juli 2018 die entsprechende Diagnose (chronisches thoracolumbales Schmerzsyndrom, Morbus Scheuermann) gestellt. Ob sie zutreffend ist oder mit PD Dr. med. G.________, der sie anfänglich auch in Erwägung zog (Bericht vom 25. Juni 2018: "Insgesamt erinnern die Befunde an einen Morbus Scheuermann."), von einer umstrittenen Diagnose auszugehen ist, spielt vorliegend keine Rolle. Denn einerseits schliessen sowohl PD Dr. med. E.________ als auch PD Dr. med. G.________ auf einen relevanten Vorzustand, der die nach dem Unfall aufgetretenen Rückenbeschwerden einer degenerativen Ursache zuordnet. Andererseits hat die Unfallversicherung für das Dahinfallen ihrer
Leistungspflicht nicht den Nachweis einer unfallfremden Ursache zu erbringen, sondern es reicht, wenn sie mit überwiegender Wahrscheinlichkeit aufzuzeigen vermag, dass die geklagten Beschwerden nicht (mehr) auf den Unfall zurückzuführen sind (vgl. dazu etwa das vorinstanzlich zitierte Urteil 8C 416/2010 vom 29. November 2010 E. 2.2). An diesem Ergebnis ändert auch der Umstand nichts, dass es sich bei der Einschätzung des PD Dr. med. E.________ um eine reine Aktenbeurteilung handelt. Denn es geht hier um die ärztliche Beurteilung der natürlichen Kausalität bei einem an sich feststehenden medizinischen Sachverhalt und lückenlosen Befund (SVR 2010 UV Nr. 17 S. 63, 8C 239/2008 E. 7.2). So liegt auch keine Verletzung des Untersuchungsgrundsatzes nach Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
|
1 | L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit. |
1bis | L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35 |
2 | L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés. |
3 | Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable. |
5.3. Nach dem Gesagten ist mit der Vorinstanz davon auszugehen, dass im Zeitpunkt der Leistungseinstellung keine unfallbedingten somatischen Beschwerden mehr vorlagen.
6.
6.1. Hinsichtlich der Adäquanzprüfung der psychischen Beschwerden (chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren, ICD-10: F45.41) macht der Beschwerdeführer geltend, es liege ein schwerer Unfall vor und es seien sechs der Kriterien erfüllt. Zur Begründung der Adäquanz verweist er ausführlich auf die Einschätzung des Dr. med. F.________, namentlich in dessen Bericht vom 29. September 2020.
6.2. Am Tag nach dem Ereignis vom 22. Januar 2018 beschrieb der Beschwerdeführer den Unfallhergang wie folgt (Dokumentationsbogen für Erstkonsultation nach kranio-zervikalem Beschleunigungstrauma vom 23. Januar 2018) :
"Der Patient sei am Vortag gegen 5.00 Uhr als LKW-Fahrer unterwegs gewesen, als in einer 60 km/h-Zone ein anderer LKW aus einer Einfahrt auf die Strasse gefahren sei. Als der Pat. dies bemerkte, habe er sofort gebremst, aufgrund der schweren Zulast (ca. 32 t mit Anhänger) sei der LKW jedoch nicht mehr zum Stehen gekommen. Der Pat. habe sich so steif als möglich gemacht und auf den Zusammenprall vorbereitet. Ca. 2 sek. später sei es zum Zusammenprall gekommen. Pat. sei angeschnallt gewesen, kein Kopfanprall, keine Auslösung des Airbag. Keine Bewusstlosigkeit, Pat. sei direkt ausgestiegen, habe mit der Polizei zusammen den Unfall aufgenommen und sei anschliessend beschwerdefrei nach Hause gegangen. Heute normal auf der Arbeit gewesen, beim Umladen von schweren Gütern Schmerzen zwischen den Schulterblättern und in den Armen bekommen. Bisher noch keine Analgesie eingenommen."
Beim Entscheid, ob ein adäquater Kausalzusammenhang vorliegt, ist primär von der Schwere des erlittenen Unfalls auszugehen; diese ist auf Grund des augenfälligen Geschehensablaufs mit den sich dabei entwickelnden Kräften zu beurteilen (SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26, U 2/07 E. 5.3.2). Angesichts des geschilderten Hergangs ist nicht von besonders grossen Kräften auszugehen, die sich bei der Kollision ausgewirkt haben. Auch wenn es sich bei den beteiligten Fahrzeugen um Lastwagen gehandelt hat, waren die Geschwindigkeiten nicht hoch, da einerseits der aus der Einfahrt auf die Strasse einbiegende Lastwagen bloss am Anfahren war und der Beschwerdeführer sich nicht nur auf den Unfall vorbereiten, sondern auch noch abbremsen (wenn auch nicht bis zum Stillstand des Fahrzeugs) konnte. Insofern fehlt es an der notwendigen hohen Geschwindigkeit, welche schon nur für die Qualifizierung als mittelschwerer Unfall an der Grenze zu den schweren Fällen erforderlich wäre (vgl. Irene Hofer, in: Basler Kommentar, Unfallversicherungsgesetz, 2019, N. 88 zu Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
Airbag des Beschwerdeführers nicht ausgelöst hatte. Zudem war er nach eigenen Angaben in der Lage, selbst aus dem Fahrzeug auszusteigen, mit der Polizei den Unfall aufzunehmen und beschwerdefrei nach Hause zu gehen. Damit liegt höchstens ein mittelschwerer Unfall im engeren Sinn vor, sodass entweder drei der Kriterien oder eines in besonders ausgeprägter Weise vorliegen müssen.
6.3. Das Kriterium der dramatischen Begleitumstände oder der besonderen Eindrücklichkeit ist nicht erfüllt. Auch wenn jedem Unfall im mittelschweren Bereich in gewissem Mass eine Eindrücklichkeit eigen ist, so sind dennoch nicht Umstände gegeben, die über das übliche Mass eines (Verkehrs-) Unfalls hinausgegehn würden. Daran ändern auch die vom Beschwerdeführer geltend gemachten Alpträume etc. nichts, da für die Beurteilung des Kriteriums ein objektiver Massstab gilt (SVR 2019 UV Nr. 11 S. 41, 8C 525/2017 E. 8.5 mit Hinweisen).
Ein zervico-craniales Beschleunigungstrauma ist weder eine Verletzung der besonderen Schwere oder der besonderen Art noch speziell geeignet, psychische Fehlentwicklungen auszulösen.
Auch liegt keine ungewöhnlich lange Dauer der medizinischen Behandlung vor. Denn im massgebenden Zeitpunkt (6. November 2019) war die Behandlung der unfallbedingten somatischen Beschwerden längst abgeschlossen. Zudem stellen blosse medizinische Abklärungen, ärztliche Verlaufskontrollen sowie physiotherapeutische und medikamentöse Behandlungen keine ärztliche Behandlung im Sinne des Kriteriums dar (SVR 2017 UV Nr. 9 S. 31, 8C 616/2016 E. 8; Urteil 8C 647/2018 vom 16. Januar 2019 E. 5.3). Daran ändert nichts, dass der Beschwerdeführer dies anders empfunden haben mag, da eine objektive Betrachtungsweise massgebend ist (Urteil 8C 493/2018 vom 12. September 2018 E. 5.3.2 mit Hinweis).
Soweit der Beschwerdeführer das Kriterium der körperlichen Dauerschmerzen gestützt auf die diagnostizierte chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Folgen (ICD-10: F45.41) als erfüllt betrachtet, kann ihm nicht gefolgt werden. Denn psychische Beschwerden sind hier nicht miteinzubeziehen, auch wenn sie körperlich imponieren (SVR 2020 UV Nr. 1 S. 1, 8C 117/2019 E. 7.2 mit Hinweis). Das gilt (trotz somatischer Anteile) namentlich auch in Bezug auf das hier diagnostizierte Krankheitsbild, wo den psychischen Faktoren eine wichtige Rolle für Schweregrad, Exazerbation oder Aufrechterhaltung der Schmerzen beigemessen wird (vgl. BGE 143 V 418 E. 5.1 S. 424).
Eine ärztliche Fehlbehandlung macht der Beschwerdeführer nicht geltend und ist auch nicht ersichtlich.
Für die Bejahung des Kriteriums des schwierigen Heilungsverlaufs oder erheblicher Komplikationen bedarf es besonderer Umstände, die vorliegend nicht gegeben sind. Aus der blossen Dauer der ärztlichen Behandlung und der geklagten Beschwerden darf jedenfalls nicht schon auf einen schwierigen Heilungsverlauf geschlossen werden (SVR 2019 UV Nr. 11 S. 41, 8C 525/2017 E. 8.5). Besondere Umstände, wie etwa weitere, den Heilungsverlauf wesentlich beeinträchtigende Krankheiten (SVR 2018 UV Nr. 3 S. 9, 8C 147/2017 E. 5.3), sind vorliegend keine gegeben.
Schliesslich ist auch das Kriterium von Grad und Dauer der physisch bedingten Arbeitsunfähigkeit nicht erfüllt. Denn aus rein somatischen Gründen war es dem Beschwerdeführer bereits ab 31. August 2018 zumutbar, wieder einer vollen Arbeitstätigkeit nachzugehen (oben E. 5). Die attestierte andauernde Arbeitsunfähigkeit ist vielmehr psychischer Natur und daher hier nicht zu berücksichtigen.
Nach dem Gesagten liegen die Kriterien weder gehäuft noch eines davon in besonders ausgeprägter Weise vor. Der adäquate Kausalzusammenhang zwischen den psychischen Beschwerden und dem Unfallereignis vom 22. Januar 2018 ist von der Vorinstanz zu Recht verneint worden. Daran vermögen auch die Berichte des Dr. med. F.________ vom 5. Februar und 29. September 2020 nichts zu ändern. Denn einerseits handelt es sich bei der Adäquanz um eine Rechtsfrage, die nicht von den Medizinern, sondern von der Verwaltung resp. im Streitfall vom Gericht zu beantworten ist (vgl. statt vieler etwa SVR 2017 UV Nr. 41 S. 141, 8C 833/2016 E. 5.2 mit Hinweis). Andererseits stellt der Bericht vom 29. September 2020 ein unzulässiges Novum dar (E. 1.2).
7.
Die Gerichtskosten werden dem unterliegenden Beschwerdeführer auferlegt (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Dem Beschwerdeführer wird die unentgeltliche Rechtspflege gewährt und Rechtsanwalt Jaroslav Zuzak wird als unentgeltlicher Anwalt bestellt.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt, indes vorläufig auf die Bundesgerichtskasse genommen.
4.
Dem Rechtsvertreter des Beschwerdeführers wird aus der Bundesgerichtskasse eine Entschädigung von Fr. 2800.- ausgerichtet.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Solothurn und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 15. Dezember 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Riedi Hunold