Bundesgericht
Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal

9C 191/2017

Urteil vom 15. Februar 2018

II. sozialrechtliche Abteilung

Besetzung
Bundesrichterin Pfiffner, Präsidentin,
Bundesrichterin Glanzmann, Bundesrichter Parrino,
Gerichtsschreiber Grünenfelder.

Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Christos Antoniadis,
Beschwerdeführerin,

gegen

IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.

Gegenstand
Invalidenversicherung,

Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 6. Januar 2017 (IV.2015.00901).

Sachverhalt:

A.

A.a. Die 1955 geborene A.________ arbeitete zuletzt bis Februar 2010 (letzter Arbeitstag: 19. Mai 2009) bei der B.________ AG, als Customer Care Advisor. Ende 2009 meldete sie sich bei der Invalidenversicherung zum zweiten Mal zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich veranlasste eine rheumatologische Abklärung, woraus keine Einschränkung der Arbeitsfähigkeit resultierte (Gutachten vom 29. März 2011). Indessen wurde der Versic herten aus psychischen Gründen vom 1. Mai bis 31. August 2010 eine ganze (Invaliditätsgrad: 75 %) und ab 1. September 2010 eine halbe Invalidenrente (Invaliditätsgrad: 50 %) gewährt. Eine dagegen erhobene Beschwerde wies das kantonale Gericht am 12. November 2012 ab und überwies die Sache an die Verwaltung, damit diese eine gesundheitliche Verschlechterung im Rahmen eines Revisionsverfahrens prüfe.

A.b. Die IV-Stelle veranlasste in der Folge bei der Aerztlichen Begutachtungsinstitut GmbH, (nachfolgend: ABI), ein polydisziplinäres Gutachten, das vom 18. August 2014 datiert. Gestützt darauf verfügte sie am 7. Juli 2015 nach durchgeführtem Vorbescheidverfahren die Einstellung der Rentenleistungen auf das Ende des auf die Verfügungszustellung folgenden Monats, weil der Versicherten die angestammte sowie jede andere angepasste Tätigkeit zu 70 % zumutbar sei (Invaliditätsgrad: 30 %). Berufliche Massnahmen erachtete die Verwaltung als entbehrlich, bot A.________ jedoch Unterstützung bei der Stellensuche an.

B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 6. Januar 2017 ab.

C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Rechtsbegehren, in Aufhebung des angefochtenen Entscheides seien ihr nach wie vor die gesetzlichen Leistungen zu gewähren. Eventualiter sei die Beschwerdegegnerin zu verpflichten, die bisherige Invalidenrente auch bei einer allfälligen Rückweisung weiterhin auszurichten.
Die IV-Stelle schliesst auf Abweisung der Beschwerde. Das Bundesamt für Sozialversicherungen verzichtet auf eine Vernehmlassung.

Erwägungen:

1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann unter anderem die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
BGG). Die Feststellung des Sachverhalts kann nur gerügt werden, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht und wenn die Behebung des Mangels für den Ausgang des Verfahrens entscheidend sein kann (Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
BGG). Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG). Es kann die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz von Amtes wegen berichtigen oder ergänzen, wenn sie offensichtlich unrichtig ist oder auf einer Rechtsverletzung im Sinne von Artikel 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
beruht (Art. 105 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
BGG).

2.
Das kantonale Gericht hat die gesetzlichen Bestimmungen und Grundsätze zur Invalidität und Erwerbsunfähigkeit (Art. 7 f
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
. ATSG), zum Rentenanspruch bzw. dessen Umfang (Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
und 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG) und zur Bemessung der Invalidität anhand der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
ATSG und Art. 28a Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
IVG) zutreffend dargelegt. Ebenso korrekt sind die Ausführungen über die Rentenrevision (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG), den relevanten Vergleichszeitpunkt (BGE 133 V 108 E. 5 S. 110 f.) und die Beweiskraft medizinischer Berichte und Gutachten (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352). Darauf wird verwiesen.

3.

3.1. Aufgrund der medizinischen Akten ist erstellt, dass unter Berücksichtigung allein der somatischen Beeinträchtigungen von einer 90%igen Arbeitsfähigkeit für die bisherige wie auch jede andere angepasste Tätigkeit auszugehen ist (ABI-Gutachten, S. 20 Ziff. 4.2.5). Weiterungen dazu erübrigen sich.

3.2. Streitig und zu prüfen ist, ob aus psychischer Sicht ein Revisionsgrund (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG) vorliegt. Alsdann fragt sich, ob - im Falle einer zulässigen Revision - vor der Rentenaufhebung Eingliederungsmassnahmen hätten geprüft bzw. durchgefüh rt werden müssen.

4.

4.1. Das kantonale Gericht hat dem polydisziplinären ABI-Gutachten vom 18. August 2014 Beweiskraft zuerkannt und aufgrund einer Verbesserung des psychischen Gesundheitszustandes einen Revisionsgrund (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG) bejaht. Mit Blick auf die Einschätzung des psychiatrischen ABI-Gutachters Dr. med. C.________ ist die Vorinstanz von einer Arbeitsfähigkeit von 70 % ab April 2014 für die angestammte Bürotätigkeit sowie jede andere angepasste Tätigkeit ausgegangen. Gestützt darauf hat sie den von der IV-Stelle ermittelten Invaliditätsgrad von 30 % bestätigt. Ferner hat das kantonale Gericht erwogen, die Verwaltung sei nicht verpflichtet gewesen, aktiv Eingliederungsmassnahmen zu treffen.

4.2. Bei den gerichtlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit bzw. deren Veränderung in einem bestimmten Zeitraum handelt es sich grundsätzlich um eine Tatfrage (BGE 132 V 393 E. 3.2 S. 397 ff.). Ebenso stellt die konkrete Beweiswürdigung eine Tatfrage dar. Dagegen sind die unvollständige Feststellung rechtserheblicher Tatsachen sowie die Missachtung des Untersuchungsgrundsatzes (Art. 43 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
und Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
ATSG) und der Anforderungen an den Beweiswert ärztlicher Berichte und Gutachten Rechtsfragen (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232).

5.

5.1. Die Vorinstanz hat festgestellt, während vor Erlass der Verfügung vom 27. Juni 2011 noch eine Arbeitsunfähigkeit von 50 % aus psychischen Gründen bestanden habe, habe sich der Gesundheitszustand der Beschwerdeführerin seither so verbessert, dass seit April 2014 in psychischer Hinsicht (und somit gesamthaft) nurmehr von einer 30%igen Arbeitsunfähigkeit auszugehen sei.

5.2.

5.2.1. Entgegen der Ansicht der Beschwerdeführerin kann nicht gesagt werden, das psychiatrische ABI-Gutachten sei nicht beweiskräftig, da es auf einer unzureichenden oder veralteten Aktenlage beruhe: Der psychiatrische ABI-Experte Dr. med. C.________ berücksichtigte die früheren fachärztlichen Beurteilungen und begründete nachvollziehbar, weshalb die Einschätzung des ehemals behandelnden Dr. med. D.________ (vgl. Bericht vom 29. April 2010) - wonach die Beschwerdeführerin aus psychiatrischer Sicht zu 50 % arbeitsunfähig sei - nicht aufrecht erhalten werden könne. Insbesondere hielt der psychiatrische Gutachter fest, es möge zutreffen, dass damals eine Agoraphobie (ICD-10 F40.0) bestanden habe, was aber im Begutachtungszeitpunkt nicht (mehr) der Fall sei. So könne die Versicherte nun durchaus kleinere Sachen selber einkaufen. Dies sei mit einer Agoraphobie nicht zu vereinbaren, weil diese sich auch in Einkaufsläden durch Ängste und ein entsprechendes Vermeidungsverhalten zeigen würde (ABI-Gutachten, S. 15 Ziff. 4.1.8).

5.2.2. Den nach dem Begutachtungszeitpunkt datierenden Bericht des behandelnden Psychiaters Dr. med. E.________ vom 28. Oktober 2014, auf den sich die Beschwerdeführerin weiter beruft, hat die Vorinstanz in ihre Beweiswürdigung einbezogen. Sie hat willkürfrei (E. 1) festgestellt, dieser vermöge an der gutachterlichen Einschätzung nichts zu ändern (vorinstanzliche Erwägung 5.5). Darauf kann verwiesen werden. Überdies ist der Erfahrungstatsache Rechnung zu tragen, dass behandelnde Ärztinnen und Ärzte mitunter im Hinblick auf ihre Vertrauensstellung in Zweifelsfällen eher zu Gunsten ihrer Patientinnen und Patienten aussagen (vgl. BGE 135 V 465 E. 4.5 S. 470).

5.2.3. Wenn die Beschwerdeführerin rügt, es sei "erstaunlich", dass der psychiatrische Experte nicht mit Dr. med. E.________ Kontakt aufgenommen habe, vermag dieser Umstand ebenfalls keine konkreten Zweifel am ABI-Gutachten zu begründen. Denn der Entscheid, ob eine Rücksprache mit den behandelnden Ärzten angezeigt ist, steht grundsätzlich im Ermessen des medizinischen Experten und ist nicht zwingend. Ein entsprechender Rechtsanspruch besteht folglich nicht (Urteil 8C 646/2012 vom 14. März 2013 E. 3.2.1.1 mit Hinweisen), zumal die ärztliche Beurteilung von der Natur der Sache her unausweichlich Ermessenszüge trägt, die es zu respektieren gilt (BGE 137 V 210 E. 3.4.2.3 S. 253; Urteil 9C 397/2015 vom 6. August 2015 E. 5.3).

5.2.4. Die Versicherte beschränkt sich im Übrigen in weiten Teilen darauf, die medizinischen Unterlagen abweichend von der Vorinstanz zu würdigen und daraus andere Schlüsse zu ziehen, was nicht genügt (Urteile 9C 494/2016 vom 19. Dezember 2016 E. 3.5 mit Hinweisen). Angesichts der erhobenen Einwände deutet insbesondere nichts darauf hin, dass aus psychischer Sicht lediglich eine andere Beurteilung eines im Wesentlichen unverändert gebliebenen Sachverhalts vorliegt, was unter revisionsrechtlichen Gesichtspunkten unerheblich wäre (vgl. BGE 135 V 201 E. 4.3 S. 204). Betreffend die hier entscheidende revisionsrechtliche Fragestellung ist dem ABI-Gutachten denn auch klar zu entnehmen, seit der Rentenzusprache sei es zu einer Besserung des Gesundheitszustandes gekommen (ABI-Gutachten, S. 23 Ziff. 6.3).

6.

6.1. In Bezug auf die Auswirkungen des psychischen Gesundheitsschadens auf die Arbeitsfähigkeit der Beschwerdeführerin hat die Vorinstanz erwogen, zwar habe eine leichtgradige depressive Episode aus rechtlicher Sicht grundsätzlich keine invalidisierende Wirkung. Ausserdem könne nicht ausgeschlossen werden, dass psychosoziale Gründe im Vordergrund des Beschwerdebildes stünden. Aus der psychiatrischen ABI-Expertise gehe jedoch hervor, dass (auch) die Panikstörung Einfluss habe und zusammen mit der Depression eine erhöhte Ermüdbarkeit bewirke. Dem werde mit der Einschätzung einer 30%igen Arbeitsunfähigkeit in vertretbarer Weise Rechnung getragen.

6.2.

6.2.1. Mit dem Urteil 8C 841/2016 vom 30. November 2017 (zur Publikation vorgesehen) entschied das Bundesgericht jüngst, die Folgen von lege artis diagnostizierten leichten bis mittelschweren depressiven Störungen an den Grundsätzen von BGE 141 V 281 zu messen. Somit ist eine invalidenversicherungsrechtlich relevante psychische Gesundheitsschädigung nicht bereits mit dem Argument der fehlenden Therapieresistenz bzw. dem Hinweis auf die frühere Rechtsprechung auszuschliessen (Urteil 8C 841/2016 vom 30. November 2017 E. 5.1).
Für die Beurteilung der Arbeitsfähigkeit bei psychischen Störungen (vgl. dazu das ebenfalls zur Publikation vorgesehene Urteil 8C 130/2017 vom 30. November 2017) definiert das für somatoforme Leiden entwickelte strukturierte Beweisverfahren systematisierte Indikatoren, die es - unter Berücksichtigung leistungshindernder äusserer Belastungsfaktoren einerseits und von Kompensationspotentialen (Ressourcen) anderseits - erlauben, das tatsächlich erreichbare Leistungsvermögen einzuschätzen (BGE 141 V 281 E. 2 S. 285 ff., E. 3.4 bis 3.6 und 4.1 S. 291 ff.).

6.2.2. Gemäss altem Verfahrensstandard (BGE 130 V 352) eingeholte Gutachten verlieren nicht per se ihren Beweiswert. Vielmehr ist im Rahmen einer gesamthaften Prüfung des Einzelfalles mit seinen spezifischen Gegebenheiten und den erhobenen Rügen entscheidend, ob ein abschliessendes Abstellen auf die vorhandenen Beweisgrundlagen vor Bundesrecht standhält (BGE 141 V 281 E. 8 S. 309 mit Hinweis auf BGE 137 V 210 E. 6 S. 266).

6.3.

6.3.1. Die Folgen sämtlicher psychischer bzw. psychosomatischer Leiden, welche bei der Beschwerdeführerin diagnostiziert wurden ( rezidivierende depressive Störung, gegenwärtig leichte Episode [ICD-10 F33.0]; Panikstörung [ICD-10 F41.0]; chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren [ICD-10 F45.41]), sind demnach gesamthaft zu würdigen (vgl. Urteil 8C 130/2017 vom 30. November 2017 E. 8.1) :

6.3.2. Was den Verlauf und Ausgang von Therapien als wichtige Schweregradindikatoren (Urteil 8C 841/2016 vom 30. November 2017 E. 4.5.2; BGE 141 V 281 E. 4.3.1 S. 298 ff.) sowie die Inanspruchnahme therapeutischer Optionen betrifft, so ergibt sich aus der psychiatrischen ABI-Expertise, dass bei der Beschwerdeführerin eine psychiatrisch-psychotherapeutische Behandlung mit antidepressiver Medikation besteht (ABI-Gutachten, S. 13 Ziff. 4.1.5). Die Versicherte führte gegenüber dem psychiatrischen Gutachter Dr. med. C.________ aus, sie sei seit August 2013 bei Dr. med. E.________ in ambulanter Behandlung, wo sie "einmal pro Woche oder alle zwei Wochen bei der Psychologin sei" (ABI-Gutachten, S. 10 Ziff. 4.1.1.2). Die regelmässige, relativ engmaschige Therapie spricht für einen gewissen Leidensdruck, was im Hinblick auf den beweisrechtlich entscheidenden Aspekt der Konsistenz bedeutsam ist (BGE 141 V 281 E. 4.4 S. 303 f.).

6.3.3. Mit Blick auf die verfügbaren Ressourcen ist dem psychiatrischen ABI-Gutachten zu entnehmen, bei der Beschwerdeführerin lägen akzentuierte, ängstlich-vermeidende Persönlichkeitszüge vor. Diese seien aber nicht so ausgeprägt, dass die Diagnose einer Persönlichkeitsstörung mit Auswirkung auf die Arbeitsfähigkeit gestellt werden müsse (ABI-Gutachten, S. 13 Ziff. 4.1.5). Wie der psychiatrische ABI-Experte weiter ausführte, sei die Versicherte trotz ihrer Beschwerden und einem deutlichen sozialen Rückzug in der Lage, Ferienreisen mit der Familie nach Italien zu unternehmen oder kleinere Einkäufe zu erledigen. Kontakte bestünden innerhalb der Familie vor allem zur Schwägerin. Im Haushalt erhalte die Versicherte Unterstützung von ihrem Ehemann und dem Sohn (ABI-Gutachten, S. 11 und 13 Ziff. 4.1.1.2 und 4.1.7). Zu berücksichtigen ist ferner, dass die Beschwerdeführerin gemäss eigenen Angaben zumindest gelegentlich sportliche Aktivitäten ausübt ("Sie bemühe sich und gehe jeweils auch schwimmen im Hallenbad."; ABI-Gutachten, S. 11 Ziff. 4.1.1.2). Insoweit kann ohne weiteres davon ausgegangen werden, dass sie über persönliche und soziale Ressourcen verfügt (BGE 141 V 281 E. 4.3.2 und 4.3.3 S. 302 f. [Komplexe "Persönlichkeit" und
"Sozialer Kontext"]).

6.3.4. Als ressourcenhemmende Faktoren bezeichnete Dr. med. C.________ schliesslich die depressive Störung und die Panikstörung (vgl. Urteil 8C 130/2017 vom 30. November 2017 E. 8.1 mit Hinweis auf BGE 141 V 281 E. 4.3.1.3 S. 300 f.). Dies begründete er damit, dass die Beschwerdeführerin unter anfallsartigen Ängsten mit vegetativen Symptomen leide, die unabhängig von der Situation bis mehrmals wöchentlich auftreten würden (ABI-Gutachten, S. 14 Ziff. 4.1.8). Im Zusammenhang mit der leichten depressiven Störung seien eine verminderte Freudeempfindungsfähigkeit, eine erhöhte Ermüdbarkeit, leichte Konzentrationsstörungen, Schlafstörungen und Morgentiefs festzustellen (ABI-Gutachten, S. 12 Ziff. 4.1.4). Eine schwere psychische Erkrankung, die (theoretisch) therapeutisch nicht günstig beeinflussbar wäre, könne jedoch nicht diagnostiziert werden (ABI-Gutachten, S. 13 Ziff. 4.1.5). Es bestünden ausgeweitete Schmerzen am Bewegungsapparat, deren Ausmass sich durch die somatischen Befunde nicht hinreichend objektivieren lasse. Sodann wies Dr. med. C.________ explizit darauf hin, dass bei der Beschwerdeführerin psychosoziale und emotionale Belastungsfaktoren eine Rolle spielten (Todesfälle, Einbrüche zuhause, Kündigung der früheren
Arbeitsstelle, Krankheit des Ehemannes, finanzielle Abhängigkeit von Renten- und Pensionskassenleistungen; ABI-Gutachten, S. 12 Ziff. 4.1.4). Diese klammerte er bei der Beurteilung der Arbeitsfähigkeit zu Recht aus (vgl. BGE 141 V 281 E. 4.3.3 S. 303 mit Hinweis auf BGE 127 V 294 E. 5a S. 299).

6.4. Anhand der massgeblichen Indikatoren erscheint nachvollziehbar, dass die Beschwerdeführerin ihre Ressourcen aufgrund der Panikstörung und der depressiven Störung nicht voll ausschöpfen kann. Indessen ist eine über 30 % liegende Einschränkung der Arbeitsfähigkeit, wie sie in der Beschwerde geltend gemacht wird, in Anbetracht der nicht stark ausgeprägten Gesundheitsschädigung und des vorhandenen persönlichen und sozialen Potenzials in Übereinstimmung mit der Einschätzung des medizinischen Gutachtens zu verneinen. Dies gilt umso mehr, als ein gewisses Ungleichgewicht zwischen der Einschränkung des Aktivitätsniveaus im Bereich Beruf/Arbeit und in den sonstigen Lebensbereichen auffällt (Konsistenz; BGE 141 V 281 E. 4.4.1 S. 303). So ist die Beschwerdeführerin - zumindest teilweise - in der Lage, ihre Freizeit aktiv zu gestalten (E. 6.3.3), während sie den Gutachtern gegenüber angab, sie "wisse nicht, welche Arbeit sie verrichten könne mit ihrer Krankheit." (ABI-Gutachten S. 11 Ziff. 4.1.1.2). Rückschlüsse in Bezug auf den Leidensdruck und die Konsistenz der Beschwerden bietet ferner der Umstand, dass der Medikamentenspiegel des Opioids, welches die Versicherte gegen die Schmerzen am Bewegungsapparat erhält, im
Begutachtungszeitpunkt unter dem therapeutischen Bereich lag. Demgegenüber zeigte sich die psychiatrische Medikation (Cymbalta, Trittico) im therapeutischen Bereich bzw. über den oberen Referenzwert erhöht (ABI-Gutachten S. 13 Ziff. 4.1.7). Vor diesem Hintergrund erscheint die gutachterliche Aussage plausibel, wonach sich wohl die Panikstörung und die depressive Störung, nicht aber die Schmerzstörung einschränkend auf die Arbeitsfähigkeit auswirkten (ABI-Gutachten, S. 13 Ziff. 4.1.5). Nach dem Gesagten halten die Schlussfolgerungen des psychiatrischen Experten Dr. med. C.________ einer Gesamtbetrachtung gemäss BGE 141 V 281 stand.

7.
Zusammengefassterfüllt d ie psychiatrische ABI-Expertise die Anforderungen an eine beweiskräftige medizinische Beweisgrundlage (BGE 137 V 210 E. 6 S. 266 ff.; 135 V 465 E. 4.4 S. 469 f.; 125 V 351 E. 3a S. 352). Die Sachverhaltsfeststellung (E. 5.1) und Beweiswürdigung des kantonalen Gerichts beruhen nicht auf einer Rechtsverletzung. Sie bleiben für das Bundesgericht verbindlich (E. 1). Die Vorinstanz durfte gestützt darauf einen Revisionsgrund (Art. 17 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
ATSG) bejahen, ohne Bundesrecht zu verletzen. Damit bleibt es bei der vom kantonalen Gericht bestätigten Rentenaufhebung (vgl. Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
IVG).

8.

8.1. Betreffend die berufliche Wiedereingliederung hat das kantonale Gericht verbindlich (E. 1) festgestellt, die IV-Stelle habe der Beschwerdeführerin bereits im Vorbescheid vom 9. September 2014 angeboten, sie könne sich melden, wenn sie Unterstützung bei der Stellensuche benötige. Diese habe darauf nicht reagiert und sehe sich selber nicht als arbeitsfähig an. Daraus hat die Vorinstanz geschlossen, dass es am Eingliederungswillen bzw. der subjektiven Eingliederungsfähigkeit fehle. Daher entfalle der Anspruch auf Eingliederungsmassnahmen, ohne dass ein Mahn- und Bedenkzeitverfahren (Art. 21 Abs. 4
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 21 - 1 Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
1    Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
2    Les prestations en espèces dues aux proches ou aux survivants de l'assuré ne sont réduites ou refusées que si ceux-ci ont provoqué la réalisation du risque intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit.
3    Dans la mesure où des assurances sociales ayant le caractère d'assurance de perte de gain ne prévoient aucune prestation en espèces pour les proches, les prestations en espèces ne peuvent être réduites en vertu de l'al. 1 que de moitié. Pour l'autre moitié, la réduction prévue à l'al. 2 est réservée.
4    Les prestations peuvent être réduites ou refusées temporairement ou définitivement si l'assuré se soustrait ou s'oppose, ou encore ne participe pas spontanément, dans les limites de ce qui peut être exigé de lui, à un traitement ou à une mesure de réinsertion professionnelle raisonnablement exigible et susceptible d'améliorer notablement sa capacité de travail ou d'offrir une nouvelle possibilité de gain. Une mise en demeure écrite l'avertissant des conséquences juridiques et lui impartissant un délai de réflexion convenable doit lui avoir été adressée. Les traitements et les mesures de réadaptation qui présentent un danger pour la vie ou pour la santé ne peuvent être exigés.
5    Si l'assuré exécute une peine ou une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain peut être partiellement ou totalement suspendu durant la durée de la peine. S'il se soustrait à l'exécution d'une peine ou d'une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain est suspendu à partir du moment où la peine ou la mesure aurait dû être exécutée. Les prestations destinées à l'entretien des proches visées à l'al. 3 sont exceptées.21
ATSG) durchgeführt werden müsse. Hinzu komme, dass die Beschwerdeführerin ihre bisherige Arbeitsfähigkeit von 50 % bereits vor der strittigen Rentenaufhebung nie verwertet habe, obschon ihr dies zumutbar gewesen wäre. Damit bilde die lange Absenz vom Arbeitsmarkt keinen Umstand, den die Verwaltung zu vertreten habe.

8.2.

8.2.1. Im Regelfall ist eine medizinisch attestierte Verbesserung der Arbeitsfähigkeit grundsätzlich auf dem Weg der Selbsteingliederung zu verwerten. Bei Versicherten, die bei der revisions- oder wiedererwägungsweisen Herabsetzung oder Aufhebung der Invalidenrente das 55. Altersjahr vollendet haben oder eine Rentenbezugsdauer von mindestens 15 Jahren aufweisen, ist - von Ausnahmen abgesehen - eine Selbsteingliederung indessen nicht mehr zumutbar (Urteil 9C 231/2015 vom 7. September 2015 E. 2 mit Hinweis auf SVR 2011 IV Nr. 73 S. 220, 9C 228/2010 E. 3).

8.2.2. Die am 20. Juni 1955 geborene Beschwerdeführerin war im relevanten Zeitpunkt (Vorliegen des ABI-Gutachtens vom 18. August 2014; vgl. BGE 138 V 457 E. 3.3 S. 461 f.) 59 Jahre alt. Sie fällt damit unbestritten unter die erwähnte Rechtsprechung (E. 8.2.1). Dass die Restarbeitsfähigkeit aufgrund des fortgeschrittenen Alters nicht mehr verwertbar wäre, steht nicht zur Diskussion (vgl. dazu statt vieler: Urteil 9C 847/2015 vom 30. Dezember 2015 E. 4.1 und 4.3 mit Hinweisen).

8.2.3. Die Versicherte bezog lediglich während vier Monaten eine ganze Invalidenrente, nämlich vom 1. Mai bis 31. August 2010 (Invaliditätsgrad: 75 %). Ab 1. Juni 2010 war sie gemäss verbindlicher (E. 1) Sachverhaltsfeststellung des kantonalen Gerichts zu 50 % arbeitsfähig (Invaliditätsgrad: 50 %), was ab 1. September 2010 zu berücksichtigen ist (vorinstanzliche Erwägung 3.11 in fine). Die 50%ige Arbeitsfähigkeit hielt in der Folge - abgesehen von hier nicht interessierenden Unterbrüchen (Operationen 2009 und 2012, vgl. ABI-Gutachten, S. 18 f. Ziff. 4.2.3) - durchgehend bis April 2014 an (E. 5.1). Trotzdem hat die Beschwerdeführerin weder Anstrengungen unternommen, eine Teilzeitstelle zu finden, noch hat sie bei der IV-Stelle um Eingliederungsmassnahmen ersucht. Dass die Versicherte das Zumutbarkeitsprofil nicht gekannt hätte, bringt sie nicht vor (vgl. dazu Urteil 9C 128/2013 vom 4. November 2013 E. 4.2.2). Muss folglich mit der Vorinstanz (E. 8.1 in fine) davon ausgegangen werden, dass die langjährige Absenz vom Arbeitsmarkt nicht invaliditätsbedingt war, so besteht kein Anspruch auf Durchführung beruflicher Massnahmen vor der Rentenaufhebung (statt vieler: Urteil 8C 393/2016 vom 25. August 2016 E. 3.7). Zudem verfügt die
Beschwerdeführerin über eine weitgehend (ab April 2014 zu 70 %) erhaltene Arbeitsfähigkeit. Diese kann sie nach wie vor in der angestammten Bürotätigkeit verwerten. All diese Gründe sprechen für eine zumutbare Selbsteingliederung. Bei dieser Ausgangslage kann dahingestellt bleiben, ob die Beschwerdeführerin subjektiv eingliederungsfähig ist. Das Vorgehen des kantonalen Gerichts ist bundesrechtskonform (E. 1). Die Beschwerde ist unbegründet.

9.
Dem Ausgang des Verfahrens entsprechend hat die Beschwerdeführerin die Gerichtskosten zu tragen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
BGG).

Demnach erkennt das Bundesgericht:

1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.

2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.

3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.

Luzern, 15. Februar 2018

Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts

Die Präsidentin: Pfiffner

Der Gerichtsschreiber: Grünenfelder
Information de décision   •   DEFRITEN
Document : 9C_191/2017
Date : 15 février 2018
Publié : 05 mars 2018
Source : Tribunal fédéral
Statut : Non publié
Domaine : Assurance-invalidité
Objet : Invalidenversicherung


Répertoire des lois
LAI: 28 
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
1    L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes:
a  sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles;
b  il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable;
c  au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins.
1bis    Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205
2    ...206
28a
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI)
LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
1    L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210
2    Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211
3    Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité.
LPGA: 7 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 7 Incapacité de gain - 1 Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
1    Est réputée incapacité de gain toute diminution de l'ensemble ou d'une partie des possibilités de gain de l'assuré sur le marché du travail équilibré qui entre en considération, si cette diminution résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique et qu'elle persiste après les traitements et les mesures de réadaptation exigibles.11
2    Seules les conséquences de l'atteinte à la santé sont prises en compte pour juger de la présence d'une incapacité de gain. De plus, il n'y a incapacité de gain que si celle-ci n'est pas objectivement surmontable.12
16 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré.
17 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
1    La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré:
a  subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou
b  atteint 100 %.19
2    De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement.
21 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 21 - 1 Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
1    Si l'assuré a aggravé le risque assuré ou en a provoqué la réalisation intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit, les prestations en espèces20 peuvent être temporairement ou définitivement réduites ou, dans les cas particulièrement graves, refusées.
2    Les prestations en espèces dues aux proches ou aux survivants de l'assuré ne sont réduites ou refusées que si ceux-ci ont provoqué la réalisation du risque intentionnellement ou en commettant intentionnellement un crime ou un délit.
3    Dans la mesure où des assurances sociales ayant le caractère d'assurance de perte de gain ne prévoient aucune prestation en espèces pour les proches, les prestations en espèces ne peuvent être réduites en vertu de l'al. 1 que de moitié. Pour l'autre moitié, la réduction prévue à l'al. 2 est réservée.
4    Les prestations peuvent être réduites ou refusées temporairement ou définitivement si l'assuré se soustrait ou s'oppose, ou encore ne participe pas spontanément, dans les limites de ce qui peut être exigé de lui, à un traitement ou à une mesure de réinsertion professionnelle raisonnablement exigible et susceptible d'améliorer notablement sa capacité de travail ou d'offrir une nouvelle possibilité de gain. Une mise en demeure écrite l'avertissant des conséquences juridiques et lui impartissant un délai de réflexion convenable doit lui avoir été adressée. Les traitements et les mesures de réadaptation qui présentent un danger pour la vie ou pour la santé ne peuvent être exigés.
5    Si l'assuré exécute une peine ou une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain peut être partiellement ou totalement suspendu durant la durée de la peine. S'il se soustrait à l'exécution d'une peine ou d'une mesure, le paiement des prestations pour perte de gain est suspendu à partir du moment où la peine ou la mesure aurait dû être exécutée. Les prestations destinées à l'entretien des proches visées à l'al. 3 sont exceptées.21
43 
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 43 Instruction de la demande - 1 L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1    L'assureur examine les demandes, prend d'office les mesures d'instruction nécessaires et recueille les renseignements dont il a besoin. Les renseignements donnés oralement doivent être consignés par écrit.
1bis    L'assureur détermine la nature et l'étendue de l'instruction nécessaire.35
2    L'assuré doit se soumettre à des examens médicaux ou techniques si ceux-ci sont nécessaires à l'appréciation du cas et qu'ils peuvent être raisonnablement exigés.
3    Si l'assuré ou d'autres requérants refusent de manière inexcusable de se conformer à leur obligation de renseigner ou de collaborer à l'instruction, l'assureur peut se prononcer en l'état du dossier ou clore l'instruction et36 décider de ne pas entrer en matière. Il doit leur avoir adressé une mise en demeure écrite les avertissant des conséquences juridiques et leur impartissant un délai de réflexion convenable.
61
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA)
LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes:
a  elle doit être simple, rapide et en règle générale publique;
b  l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté;
c  le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement;
d  le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours;
e  si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats;
f  le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant;
fbis  pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté;
g  le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige;
h  les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit;
i  les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement.
LTF: 66 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
1    En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties.
2    Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis.
3    Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés.
4    En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours.
5    Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement.
95 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation:
a  du droit fédéral;
b  du droit international;
c  de droits constitutionnels cantonaux;
d  de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires;
e  du droit intercantonal.
97 
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
1    Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause.
2    Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89
105
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire
LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
1    Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente.
2    Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95.
3    Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99
Répertoire ATF
125-V-351 • 127-V-294 • 130-V-352 • 132-V-393 • 133-V-108 • 134-V-231 • 135-V-201 • 135-V-465 • 137-V-210 • 138-V-457 • 141-V-281
Weitere Urteile ab 2000
8C_130/2017 • 8C_393/2016 • 8C_646/2012 • 8C_841/2016 • 9C_128/2013 • 9C_191/2017 • 9C_228/2010 • 9C_231/2015 • 9C_397/2015 • 9C_494/2016 • 9C_847/2015
Répertoire de mots-clés
Trié par fréquence ou alphabet
autorité inférieure • office ai • tribunal fédéral • état de santé • constatation des faits • violation du droit • état de fait • motif de révision • pré • réadaptation par soi-même • force probante • recours en matière de droit public • mois • greffier • frais judiciaires • hameau • famille • office fédéral des assurances sociales • question de fait • douleur
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