Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 553/2018
Urteil vom 12. Dezember 2018
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Viscione,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Stefan Galligani,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Aargau,
Bahnhofplatz 3C, 5000 Aarau,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung
(Arbeitsunfähigkeit, Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Versicherungsgerichts des Kantons Aargau
vom 7. Juni 2018 (VBE.2017.851).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1980 geborene A.________ war bei der B.________ AG angestellt. Am 3. September 2006 fuhr ein Motorradfahrer frontal in das von ihm korrekt gelenkte Auto und verstarb. Die Klinik C.________ diagnostizierte beim Versicherten am 25. Januar 2007 eine Distorsion der Halswirbelsäule, einen dringenden Verdacht auf posttraumatische Belastungsstörung (PTBS) mit wahrscheinlich schwerem dissoziativen Zustandsbild und ein zerviko-okzipitales Schmerzsyndrom. Am 16. Februar 2007 meldete er sich bei der IV-Stelle Aarau zum Leistungsbezug an. Diese holte u. a. ein Gutachten der Medizinischen Abklärungsstelle (Medas) Oberaargau vom 11. Oktober 2011 ein. Der Versicherte reichte ein Gutachten des Psychiaters Dr. med. D.________ vom 11. Juni 2012 ein. Mit Verfügung vom 13. Februar 2014 verneinte die IV-Stelle seinen Leistungsanspruch. In teilweiser Gutheissung seiner Beschwerde hob das Versicherungsgericht des Kantons Aargau diese Verfügung auf und wies die Sache zur Vornahme weiterer Abklärungen und anschliessender Neuverfügung an die IV-Stelle zurück (Entscheid vom 16. Oktober 2015).
A.b. Aufgrund des Verdachts auf ungerechtfertigten Leistungsbezug tätigte die IV-Stelle durch einen ihrer Fachspezialisten Vorermittlungen gegen den Versicherten, wobei er an zwei Tagen observiert wurde (Bericht vom 14. April 2016). Zwischen dem 13. Mai und 22. Juli 2016 liess ihn die IV-Stelle an insgesamt acht Tagen durch die E.________ GmbH observieren (Bericht vom 12. August 2016). Zudem veranlasste sie ein polydisziplinäres Gutachten des BEGAZ, Begutachtungszentrum Baselland, Binningen, vom 29. März 2017 und eine Stellungnahme des Dr. med. F.________, Facharzt für orthopädische Chirurgie und Traumatologie FMH, Regionaler Ärztlicher Dienst (RAD) der IV-Stelle, vom 7. April 2017. Weiter zog sie Stellungnahmen des BEGAZ vom 15. Mai und 13. Juni 2017 bei. Danach holte die IV-Stelle eine Stellungnahme des Dr. med. F.________ vom 22. Juni 2017 ein. Mit Verfügung vom 10. Oktober 2017 verneinte sie einen Rentenanspruch des Versicherten.
B.
Hiergegen erhob der Versicherte beim Versicherungsgericht des Kantons Aargau Beschwerde. Er legte eine Stellungnahme des Dr. med. D.________ vom 7. November 2017 auf. Die Vorinstanz wies die Beschwerde mit Entscheid vom 7. Juni 2018 ab.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten beantragt der Versicherte, in Aufhebung des kantonalen Entscheides sei er zu berenten; eventuell sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanz zurückzuweisen.
Ein Schriftenwechsel wurde nicht durchgeführt.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
585). Frei überprüfbare Rechtsfrage ist hingegen, ob und in welchem Umfang die ärztlichen Feststellungen anhand der Indikatoren nach BGE 141 V 281 auf Arbeitsunfähigkeit schliessen lassen (BGE 141 V 281 E. 7 S. 308; Urteil 8C 175/2018 vom 27. September 2018 E. 1).
2.
Das kantonale Gericht hat die rechtlichen Grundlagen über den Begriff der Invalidität (Art. 8 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 4 Invalidité - 1 L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
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1 | L'invalidité (art. 8 LPGA44) peut résulter d'une infirmité congénitale, d'une maladie ou d'un accident.45 |
2 | L'invalidité est réputée survenue dès qu'elle est, par sa nature et sa gravité, propre à ouvrir droit aux prestations entrant en considération.46 |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
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1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
3.
Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es die Ablehnung des Rentenanspruchs durch die IV-Stelle bestätigte.
Die Vorinstanz erwog im Wesentlichen, das Ergebnis der Observationen des Beschwerdeführers durch die IV-Stelle am 23. Februar und 2. April 2016 sowie durch die E.________ GmbH zwischen dem 13. Mai und 22. Juli 2016sei verwertbar. Das polydisziplinäre (allgemeinmedizinisch-internistische, neurologische, psychiatrische, orthopädische und neuropsychologische) BEGAZ-Gutachten vom 29. März 2017 sowie die nach Konfrontation mit dem Observationsmaterial ergangenen Stellungnahmen der BEGAZ-Gutachter vom 15. Mai und 13. Juni 2017 erfüllten die praxisgemässen Anforderungen an eine medizinische Beurteilungsgrundlage. Es bestehe eine deutliche Diskrepanz zwischen dem Bild, das der Beschwerdeführer bei den Untersuchungen durch die BEGAZ-Gutachter präsentiert habe und demjenigen, das sich in den aufgrund der Observationen entstandenen Videosequenzen zeige. Der psychiatrische BEGAZ-Gutachter Dr. med. G.________ habe denn auch in der Stellungnahme vom 13. Juni 2017 ausgeführt, mit grosser Wahrscheinlichkeit liege eine bewusste Aggravation des Zustandes vor. Insgesamt hätten die BEGAZ-Gutachter in dieser Stellungnahme nach Konfrontation mit dem Observationsmaterial einhellig und nachvollziehbar eine Arbeitsunfähigkeit des Versicherten verneint.
Das Gutachten des Psychiaters Dr. med. D.________ vom 11. Juni 2012 und seine Stellungnahme vom 7. November 2017 vermöchten das Gutachten und die Stellungnahmen der BEGAZ nicht in Zweifel zu ziehen. Gestützt hierauf bestehe beim Versicherten kein invalidenversicherungsrechtlich relevanter Gesundheitsschaden. Vielmehr sei er gemäss der beweiskräftigen BEGAZ-Stellungnahme vom 13. Juni 2017 sowohl in der angestammten als auch in jeder anderen geeigneten Tätigkeit voll arbeitsfähig. Auf die Durchführung eines strukturieren Beweisverfahrens könne somit verzichtet werden (BGE 143 V 409 E. 4.5.3 S. 417).
4.
Die Vorinstanz hat gestützt auf die bundesgerichtliche Rechtsprechung eingehend dargelegt, im vorliegenden Fall sei das im Rahmen der Observationen gewonnene Material in Abwägung der öffentlichen und privaten Interessen beweismässig verwertbar (vgl. BGE 143 I 377 E. 5 S. 384). Hiergegen erhebt der Versicherte keine Einwände, weshalb sich Weiterungen dazu erübrigen.
5.
5.1. Der Beschwerdeführer bringt vor, verwunderlich sei, dass das Observationsmaterial im BEGAZ-Gutachten vom 29. März 2017 auf S. 15 aufgeführt worden sei, den Gutachtern jedoch nicht zur Verfügung gestanden habe. In der Stellungnahme vom 15. Mai 2017 hätten die Gutachter die neuropsychologischen Inkonsistenzen mit dem Vorliegen einer dissoziativen Problematik erklärt. Erst nach Vorlage des Videomaterials und des suggestiven Fragenkatalogs hätten sie sein Verhalten als Aggravation bezeichnet. Dies zeige das einseitige Vorgehen der IV-Stelle und verletze seine Ansprüche auf Waffengleichheit und ein faires Verfahren (Art. 29 Abs. 1
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
5.2. Im BEGAZ-Gutachten vom 29. März 2017 wurde zwar im Rahmen der Wiedergabe der Aktenlage auf die Berichte der IV-Stelle vom 14. April 2016 betreffend die Beweissicherung vor Ort und der E.________ GmbH vom 12. August 2016 betreffend die Observation hingewiesen. Indessen nahmen die Gutachter im Rahmen ihrer Beurteilung nicht zum Ergebnis der Observationen Stellung. Somit ist es weder EMRK- noch bundesrechtswidrig, dass die IV-Stelle die BEGAZ-Gutachter nachträglich mit den Observationsunterlagen konfrontierte und zur Stellungnahme aufforderte (BGE 140 V 543 E. 3.2.1 S. 547; Urteil 9C 492/2012 vom 25. September 2012 E. 5.3). Entgegen dem Beschwerdeführer erging nicht nur ihre Stellungnahme vom 13. Juni 2017, sondern bereits diejenige vom 15. Mai 2017 in Berücksichtigung des Observationsmaterials.
6.
6.1. Der Beschwerdeführer rügt, folgende Ergänzungsfragen des RAD-Arztes Dr. med. F.________ an die BEGAZ-Gutachter vom 7. April 2017 seien suggestiv gewesen: Ziffn. 3 f. an den neurologischen Gutachter und Ziff. 4 an den psychiatrischen Gutachter. Zudem sei Dr. med. H._________ als Orthopäde nicht kompetent gewesen, dem psychiatrischen BEGAZ-Gutachter Fragen zu stellen. Auch in dieser Hinsicht seien seine Ansprüche auf Waffengleichheit und auf ein faires Verfahren verletzt worden.
6.2. Das kantonale Gericht hat mit eingehender Begründung schlüssig dargelegt, weshalb die Beweiskraft der BEGAZ-Stellungnahmen vom 15. Mai und 13. Juni 2017 durch die besagten Fragen des Dr. med. F.________ nicht geschmälert worden sei, so dass die IV-Stelle zu Recht darauf abgestellt habe. Der Beschwerdeführer beschränkt sich weitgehend darauf, bereits vor dem kantonalen Gericht Vorgetragenes, von diesem in den Erwägungen Aufgegriffenes, zu wiederholen und seine eigene Sichtweise wiederzugeben, was nicht genügt. Er zeigt nicht auf und es ist auch nicht ersichtlich, inwiefern seitens des Dr. med. F.________ offensichtlich suggestive Fragestellungen vorgelegen haben sollen (vgl. Urteil 8C 668/2007 vom 3. Oktober 2008 E. 3.3.2). Der vorinstanzliche Entscheid ist diesbezüglich nicht bundesrechtswidrig.
7.
7.1. Der Beschwerdeführer macht weiter geltend, die BEGAZ-Stellungnahme vom 15. Mai 2017 weise einen erheblichen Mangel auf, da darin festgehalten worden sei, er sei nie stationär abgeklärt worden. Dies sei krass aktenwidrig, seien doch die Aufenthalte in der Klinik I.________ vom 25. September 2006 bis 1. Januar 2007 (Austrittsbericht vom 25. Januar 2007) und in der Klinik K.________ vom 12. Juni bis 23. Juli 2007 (Austrittsbericht vom 8. August 2007) dokumentiert. Somit sei die BEGAZ-Stellungnahme nicht in Kenntnis der Vorakten abgegeben worden. Die BEGAZ-Gutachter hätten die Abweichung von ihrem ursprünglichen Gutachten vom 29. März 2017, worin sie noch von 100%iger Arbeitsunfähigkeit ausgegangen seien, damit erklärt, dass zuverlässige Angaben aus der Vergangenheit fehlten. Sie hätten aber die Videosequenzen mit den Arztberichten betreffend die stationären Behandlungen vergleichen und Abweichungen diskutieren müssen. Somit wäre ihre Stellungnahme vom 15. Mai 2017 anders ausgefallen.
7.2. Die Vorinstanz hat richtig dargelegt, dass der Austrittsbericht der Klinik C.________ vom 25. Januar 2007 im BEGAZ-Gutachten vom 29. März 2017 berücksichtigt wurde. Gleiches gilt - auch wenn sie es nicht festhielt - für den Austrittsbericht der Klinik K.________ vom 8. August 2007. Bei der Angabe des Psychiaters Dr. med. G.________ in der BEGAZ-Stellungnahme vom 15. Mai 2017, der Beschwerdeführer sei nie im stationären Rahmen untersucht oder abgeklärt worden, handelt es sich somit offenbar um ein Versehen. Es ist indessen - wie sich auch aus den folgenden Erwägungen ergibt - nicht ersichtlich inwiefern dies für den Verfahrensausgang entscheidend sein könnte (vgl. Art. 97 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
8.
8.1. Der Versicherte bemängelt, dass er im Rahmen der BEGAZ-Stellungnahmen vom 15. Mai und 13. Juni 2017 nicht erneut untersucht worden sei. Ausgeblendet worden seien zudem die in den Akten mehrmals dokumentierten Diagnosen der PTBS, der mittelschweren Depression und der Persönlichkeitsveränderung. Trotzdem hätten sich die BEGAZ-Gutachter nur auf die dissoziative Störung fokussiert.
8.2. Hierzu ist festzuhalten, dass der Beschwerdeführer im Rahmen des BEGAZ-Gutachtens vom 29. März 2017 von allen Teilgutachtern untersucht wurde. Sie nahmen auch zu den von ihm angeführten Diagnosen Stellung. Weiter hat die Vorinstanz richtig festgestellt, dass die BEGAZ-Gutachter nach Konsultation des Observationsmaterials in den Stellungnahmen vom vom 15. Mai und 13. Juni 2017 von den im Gutachten noch gestellten Diagnosen mit nachvollziehbarer Begründung Abstand genommen und eine Arbeitsunfähigkeit des Versicherten verneint hätten. Hiervon abgesehen ging auch der vom Beschwerdeführer ins Feld geführte Dr. med. D.________ in der Stellungnahme vom 7. November 2017 lediglich von einer dissoziativen Störung aus (vgl. E. 9.2 hiernach). Auch in dieser Hinsicht ist somit das Abstellen der Vorinstanz auf die BEGAZ-Stellungnahmen vom 15. Mai und 13. Juni 2017 nicht zu beanstanden.
9.
9.1. Der Beschwerdeführer bringt weiter vor, der Psychiater Dr. med. D.________ habe in der Stellungnahme vom 7. November 2017 das Videomaterial als unvollständig kritisiert. Zudem seien gewisse Schwankungen im Befinden des Beschwerdeführers durch die dissoziative Störung zu erklären. Bei dieser könnten auch "normale" Phasen vorkommen. Laut Dr. med. D.________ habe der Versicherte einen steifen und unnatürlichen Gang und rede im dritten Video selten. Weiter wendet der Beschwerdeführer ein, das Observationsmaterial sei ohne Ton in den Akten und beschränke sich auf einen kleinen Teil seines Lebens. Er sei auf den Videos nie alleine zu sehen und stets mit Verwandten unterwegs. Laut der Vorinstanz sei sein unnatürlicher, steifer Gang von der BEGAZ-Gutachtern nicht beobachtet worden. Sie habe die Videos somit scheinbar nicht gesichtet, sprächen sie doch eine ganz andere Sprache. So sei sein unnatürliches Gangbild auf der CD vom 22. Juli 2016 um 14:04 Uhr klar zu sehen. Um 18.11 Uhr gleichen Tags habe er sich sogar bei seiner Ehefrau festhalten müssen. Es erstaune, dass sich die Vorinstanz auf Videosequenzen berufe, die sie scheinbar nie eingehend gesichtet habe. Somit sei der Sachverhalt willkürlich und in Verletzung des
Untersuchungsgrundsatzes festgestellt worden.
9.2.
9.2.1. Dem Einwand des Beschwerdeführers, die Vorinstanz habe das Videomaterial nicht gesichtet, kann nicht gefolgt werden. Denn sie hielt in E. 5.4.3 des angefochtenen Entscheides zu den Feststellungen des neurologischen BEGAZ-Gutachters Dr. med. L.________ fest: "Dies entspricht den Videosequenzen sowie dem Ermittlungsbericht" (mit Hinweis auf die entsprechenden Sequenzen). Weiter führte sie aus, inwiefern die Videoaufnahmen vom sich - auch aus Sicht der BEGAZ-Gutachter - adäquat verhaltenden Beschwerdeführer eher für die Krankheit als für seine Gesundheit sprächen, scheine vor diesem Hintergrund nicht schlüssig (vgl. auch E. 9.2.2 hiernach). Entgegen dem Beschwerdeführer bestehen somit keine Anhaltspunkte dafür, dass die Vorinstanz das Videomaterial nicht angeschaut hätte.
9.2.2. Dr. med. D.________ ging am 7. November 2017 zwar von einer schweren anhaltenden dissoziativen Störung des Beschwerdeführers aus. Gleichzeitig führte er aber aus, es liege eine aggravatorische Komponente vor. Damit bestätigte er zumindest teilweise die Einschätzung des psychiatrischen BEGAZ-Gutachters Dr. med. G.________ vom 15. Mai und 13. Juni 2017, wonach nach Sichtung des Videomaterials davon auszugehen sei, dass wesentliche bewusste Faktoren einen Einfluss auf das Verhalten des Beschwerdeführers bei der Untersuchung gehabt hätten bzw. dass eine bewusste Aggravation des Zustands vorliege. Zudem ist die Angabe des Dr. med. D.________, das Videomaterial bekräftige "eher" die Krankheit und nicht die Gesundheit, zu vage, um das Abstellen der Vorinstanz auf die Einschätzung des Dr. med. G.________ als offensichtlich unrichtig erscheinen zu lassen und mit überwiegender Wahrscheinlichkeit (hierzu vgl. BGE 138 V 218 E. 6 S. 221) auf einen invalidisierenden Gesundheitsschaden schliessen zu können.
9.3. Das Ergebnis der Observationen bildet zusammen mit den Beurteilungen der BEGAZ-Gutachter vom 15. Mai und 13. Juni 2017 eine genügende Basis für die vorinstanzlichen Sachverhaltsfeststellungen betreffend den Gesundheitszustand und die Arbeitsfähigkeit des Beschwerdeführers (vgl. BGE 140 V 70 E. 6.2.2 S. 76, 137 I 327 E. 7.1 S. 337). Nicht stichhaltig ist das Argument des Beschwerdeführers, die BEGAZ-Gutachter hätten am 15. Mai und 13. Juni 2017 nicht dargelegt, wie stark er simuliere und in seiner Arbeitsfähigkeit eingeschränkt sei. Denn sie legten darin klar dar, dass sich in den Videosequenzen ein völlig anderer Explorand darstelle als in der Untersuchungssituation und dass bei ihm keine Arbeitsunfähigkeit vorliege.
9.4. Da die BEGAZ-Gutachter eine Arbeitsunfähigkeit des Beschwerdeführers in nachvollziehbar begründeter Weise verneint haben, durften - entgegen seiner Auffassung - IV-Stelle und Vorinstanz von der Durchführung des strukturierten Beweisverfahrens nach BGE 141 V 281 absehen (BGE 143 V 409 E. 4.5.3 S. 417; 143 V 418 E. 7.1 S. 428 f.).
10.
Die vorinstanzliche Beurteilung erweist sich im Ergebnis - worauf es einzig ankommt - weder in tatsächlicher Hinsicht als offensichtlich unrichtig oder unvollständig noch anderweitig als bundesrechtswidrig (vgl. nicht publ. E. 6.3 des Urteils BGE 141 V 25, veröffentlicht in: SVR 2015 KV Nr. 8 S. 29, 9C 535/2014; Urteil 8C 909/2017 vom 26. Juni 2018 E. 11). Eine willkürliche Beweiswürdigung der Vorinstanz liegt ebenfalls nicht vor. Da von weiteren Abklärungen keine entscheidrelevanten Ergebnisse zu erwarten sind, durfte sie darauf verzichten. Dies verstösst weder gegen den Untersuchungsgrundsatz (Art. 61 lit. c
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
|
a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 61 Procédure - Sous réserve de l'art. 1, al. 3, de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative48, la procédure devant le tribunal cantonal des assurances est réglée par le droit cantonal. Elle doit satisfaire aux exigences suivantes: |
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a | elle doit être simple, rapide et en règle générale publique; |
b | l'acte de recours doit contenir un exposé succinct des faits et des motifs invoqués, ainsi que les conclusions; si l'acte n'est pas conforme à ces règles, le tribunal impartit un délai convenable au recourant pour combler les lacunes, en l'avertissant qu'en cas d'inobservation le recours sera écarté; |
c | le tribunal établit avec la collaboration des parties les faits déterminants pour la solution du litige; il administre les preuves nécessaires et les apprécie librement; |
d | le tribunal n'est pas lié par les conclusions des parties; il peut réformer, au détriment du recourant, la décision attaquée ou accorder plus que le recourant n'avait demandé; il doit cependant donner aux parties l'occasion de se prononcer ou de retirer le recours; |
e | si les circonstances le justifient, les parties peuvent être convoquées aux débats; |
f | le droit de se faire assister par un conseil doit être garanti; lorsque les circonstances le justifient, l'assistance judiciaire gratuite est accordée au recourant; |
fbis | pour les litiges en matière de prestations, la procédure est soumise à des frais judiciaires si la loi spéciale le prévoit; si la loi spéciale ne prévoit pas de frais judiciaires pour de tels litiges, le tribunal peut en mettre à la charge de la partie qui agit de manière téméraire ou fait preuve de légèreté; |
g | le recourant qui obtient gain de cause a droit au remboursement de ses frais et dépens dans la mesure fixée par le tribunal; leur montant est déterminé sans égard à la valeur litigieuse d'après l'importance et la complexité du litige; |
h | les jugements contiennent les motifs retenus, l'indication des voies de recours ainsi que les noms des membres du tribunal et sont notifiés par écrit; |
i | les jugements sont soumis à révision si des faits ou des moyens de preuve nouveaux sont découverts ou si un crime ou un délit a influencé le jugement. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
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1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
11.
Der unterliegende Beschwerdeführer trägt die Gerichtskosten (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Versicherungsgericht des Kantons Aargau und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 12. Dezember 2018
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Jancar