Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
2C 364/2023
Urteil vom 12. Juli 2024
II. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Aubry Girardin, Präsidentin,
Bundesrichter Donzallaz,
Bundesrichterin Hänni,
Gerichtsschreiber Hongler.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Peter Wicki,
gegen
Sicherheitsdirektion des Kantons Bern (SID),
Kramgasse 20, 3011 Bern,
Einwohnergemeinde Thun, Abteilung Sicherheit,
Migrationsdienst, Hofstettenstrasse 14, 3602 Thun.
Gegenstand
Widerruf der Niederlassungsbewilligung und
Wegweisung,
Beschwerde gegen das Urteil des Verwaltungsgerichts
des Kantons Bern, Verwaltungsrechtliche Abteilung, vom
25. Mai 2023 (100.2021.281U).
Sachverhalt:
A.
A.________ (geb. 1970) ist nordmazedonischer Staatsangehöriger und kam erstmals 1988 als Saisonnier in die Schweiz. Im Jahr 1991 wurde ihm eine Aufenthaltsbewilligung erteilt; seit Dezember 1998 verfügt er über eine Niederlassungsbewilligung. Im Mai 1997 heiratete A.________ eine Schweizer Staatsangehörige. Aus dieser Beziehung gingen drei Kinder hervor (geb. 1994, 1997 sowie 1998). Die Ehe wurde im Februar 2007 geschieden.
Im Jahr 1998 schied A.________ aus dem Arbeitsprozess aus und war in der Folge nach eigenen Angaben als Hausmann beschäftigt.
Zwischen 2006 und 2014 bezog A.________ Sozialhilfe in der Höhe von insgesamt Fr. 226'936.65.
In den Jahren 2002, 2006 und 2014 wurden Anträge von A.________ auf Leistungen der Invalidenversicherung abgewiesen.
Am 19. November 2015 bestanden gegen A.________ eine Betreibung in der Höhe von Fr. 23'104.-- und Verlustscheine von insgesamt Fr. 94'784.50. Am 30. September 2019 war A.________ mit einer eingeleiteten Betreibung und Verlustscheinen im Gesamtbetrag von Fr. 177'147.20 im Betreibungsregister verzeichnet (Art. 105 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
Ab November 2015 thematisierte die Einwohnergemeinde Thun in regelmässigen Schreiben die berufliche und finanzielle Situation von A.________ (25. November 2015; 15. Februar 2016; 25. Juli 2017; 3. Juli 2018). Mit Schreiben vom 14. März 2019 ermahnte sie ihn aufgrund der Schuldensituation und forderte nebst dem Nachweis von Arbeitsbemühungen, die angehäuften Schulden abzubauen und zu verhindern, dass neue entstehen.
B.
Am 13. Januar 2020 gewährte der Migrationsdienst Thun A.________ das rechtliche Gehör bezüglich des Widerrufs seiner Niederlassungbewilligung und Wegweisung aus der Schweiz (Art. 105 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten vom 29. Juni 2023 gelangt A.________ an das Bundesgericht. Er beantragt, das Urteil der Vorinstanz sei aufzuheben und es sei ihm weiterhin ein Ausweis über den Bestand der Niederlassungsbewilligung auszustellen. Eventualiter sei die Niederlassungsbewilligung durch eine Aufenthaltsbewilligung zu ersetzen, subeventualiter verbunden mit weiteren Auflagen. Subsubeventualiter sei die Sache zur Neubeurteilung an die Vorinstanzen zurückzuweisen. Ferner sei dem Beschwerdeführer für das kantonale Verwaltungsgerichtsverfahren die vollumfängliche unentgeltliche Rechtspflege und -verbeiständung zu gewähren.
Der Migrationsdienst der Einwohnergemeinde Thun verzichtet auf eine Vernehmlassung. Die Sicherheitsdirektion des Kantons Bern beantragt die Abweisung der Beschwerde. Das Verwaltungsgericht des Kantons Bern hat sich vernehmen lassen und beantragt ebenfalls die Abweisung der Beschwerde. Das SEM hat sich nicht vernehmen lassen. Der Beschwerdeführer hat auf die Vernehmlassungen repliziert.
Mit Verfügung vom 3. Juli 2023 erkannte die Abteilungspräsidentin der Beschwerde die aufschiebende Wirkung zu.
Erwägungen:
1.
1.1. Auf dem Gebiet des Ausländerrechts ist die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten gegen Entscheide betreffend ausländerrechtliche Bewilligungen nur zulässig, wenn das Bundesrecht oder das Völkerrecht einen Anspruch auf die Bewilligung einräumt (Art. 83 lit. c Ziff. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit59 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs66; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics64; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:71 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications72; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste74; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3475 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)76; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers80); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198184, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie87 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |
Da auch die übrigen Sachurteilsvoraussetzungen erfüllt sind (Art. 42

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 90 Décisions finales - Le recours est recevable contre les décisions qui mettent fin à la procédure. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...97 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
1.2. In seiner Eingabe macht der Beschwerdeführer in formeller Hinsicht eine Verletzung von Art. 42 VRPG/BE und Art. 29

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |
2.
2.1. Mit der Beschwerde kann namentlich die Verletzung von Bundes- und Völkerrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.3. Der Beschwerdeführer reicht vor Bundesgericht zahlreiche neue Unterlagen betreffend seine finanzielle Situation ein:
2.3.1. Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen vor Bundesgericht nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt (Art. 99 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
2.3.2. Soweit die vom Beschwerdeführer eingereichten Unterlagen nach dem 25. Mai 2023 und folglich nach dem angefochtenen Entscheid entstanden sind, sind sie als echte Noven im bundesgerichtlichen Verfahren von vornherein nicht zulässig. Das betrifft insbesondere auch die vor Bundesgericht eingereichten Unterlagen betreffend die im Juli 2023 entdeckte Krebserkrankung des Beschwerdeführers.
Bei den weiteren eingereichten Belegen (Lohnabrechnungen; Zahlungsbelege an die Gemeinde U.________ bis und mit Mai 2023; Arbeitsvertrag mit dem jetzigen Arbeitgeber) handelt es sich um unechte Noven. Sie bleiben im bundesgerichtlichen Verfahren aber ebenfalls unberücksichtigt, nachdem die finanzielle Situation resp. Schuldenwirtschaft des Beschwerdeführers auch schon vor der Vorinstanz den Streitgegenstand bildeten und die entsprechenden Belege dort hätten eingereicht werden können (und müssen); es ist nicht ersichtlich, dass erst das angefochtene Urteil hierzu Anlass gegeben hätte.
3.
Soweit der Beschwerdeführer die Sachverhaltsfeststellungen der Vorinstanz beanstandet, besteht kein Anlass, von diesen abzuweichen:
So behauptet der Beschwerdeführer zwar, dass seit der Ermahnung im März 2019 keine (neuen) Schulden mehr aufgelaufen seien. Aus dem von ihm selber bei der Vorinstanz eingereichten Kontoauszug seiner Krankenkasse von Dezember 2021 ergibt sich demgegenüber - worauf auch die Vorinstanz in ihrer Vernehmlassung zu Recht hinweist - dass seine Krankenkassenbeiträge auch in den auf die Ermahnung folgenden Monaten und während des ganzen Jahres 2019 unbezahlt geblieben sind; so ist er seinen Verpflichtungen gegenüber der Krankenkasse erstmals im März 2020 - nachdem ihm bereits das rechtliche Gehör zum Bewilligungswiderruf gewährt worden war (Art. 105 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
Insofern der Beschwerdeführer rügt, die Vorinstanz habe nicht berücksichtigt, dass seit 2019 keine neuen Alimentenschulden entstanden seien, und dass es sich bei Betreibungen der Gemeinde U.________ um wieder in Betreibung gesetzte Forderungen aus früheren Jahren handle, übersieht er, dass die Vorinstanz selber im angefochtenen Urteil darauf hingewiesen hat, dass die Neubetreibung dieser Forderungen nichts an der ausserordentlich hohen Schuldenlast ändere. Sie hat damit zum Ausdruck gebracht, dass die Neubetreibungen nicht entscheidwesentlich ins Gewicht fallen. Das ist nicht zu beanstanden (vgl. nachfolgende E. 6). Nachdem das Bundesgericht auch von offensichtlich unrichtigen tatsächlichen Grundlagen des vorinstanzlichen Urteils nur dann abweicht, wenn dies für den Verfahrensausgang entscheidend sein kann (vgl. vorne E. 2.2), sind auch diesbezüglich die Voraussetzungen für eine Berichtigung oder Ergänzung des Sachverhalts im bundesgerichtlichen Verfahren nicht gegeben.
4.
Des Weiteren macht der Beschwerdeführer - teilweise ebenfalls bezogen auf die Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz - verschiedene Verletzungen seiner Gehörsrechte (Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
4.1. Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
Der Anspruch auf rechtliches Gehör umfasst auch das Recht des Betroffenen auf Abnahme der von ihm rechtzeitig und formgültig angebotenen rechtserheblichen Beweismittel. Das Gericht kann aber auf die Abnahme von Beweisen verzichten, wenn es aufgrund bereits abgenommener Beweise seine Überzeugung gebildet hat und ohne Willkür annehmen kann, diese werde durch weitere Beweiserhebungen nicht geändert ("antizipierte Beweiswürdigung"; BGE 140 I 285 E. 6.3.1; 134 I 140 E. 5.3).
4.2. Der Beschwerdeführer rügt die "generelle Ablehnung sämtlicher Beweisanträge" respektive "fehlende Abklärungen" der Vorinstanz zur nach April 2019 entstandenen Verschuldung, zu seiner Arbeitssituation, zu von ihm getätigten Schuldabzahlungen, sowie zu seinem Umfeld (und bestehenden Abhängigkeitsverhältnissen) in der Schweiz respektive seinem (fehlenden) Bezug zu seinem Herkunftsland.
4.2.1. Insofern seine diesbezüglichen Beschwerdevorbringen den Anforderungen der Rügepflicht genügen (vgl. vorne E. 2.1), ist dem Beschwerdeführer nicht zu folgen: Der Beschwerdeführer hatte im kantonalen Verfahren diverse Male Gelegenheit, entsprechende Unterlagen beizubringen, und hat dies mit umfassenden Eingaben getan. Aus dem angefochtenen Urteil ergibt sich, dass das Verwaltungsgericht seine Beurteilung betreffend die Höhe der Verschuldung des Beschwerdeführers, seine Arbeitssituation, die geltend gemachten Schuldabzahlungen, das Abhängigkeitsverhältnis sowie den Bezug zum Herkunftsland auf diverse aktenkundige Beweiselemente abstützte, und dabei auch die verschiedenen Unterlagen, die der Beschwerdeführer selber im Verfahrensverlauf eingereicht hatte, berücksichtigte. Angesichts der so erstellten umfassenden Aktenlage ist nicht ersichtlich, dass die Vorinstanz in Willkür verfallen wäre, indem sie davon ausging, dass die weiteren beantragten Beweiserhebungen - so die persönliche Befragung des Beschwerdeführers respektive von Familienangehörigen, die Edition von Akten verschiedener Behörden und Ämter, der massgebenden Gläubiger sowie der Schuldenberatung - ihre auf der Basis der abgenommenen Beweise gebildete Überzeugung nicht
zu ändern vermöchten.
4.2.2. Nicht überzeugend ist sodann die Behauptung des Beschwerdeführers, es sei ihm nicht möglich gewesen, mittels Betreibungsunterlagen zu belegen, dass keine neuen Forderungen entstanden seien. Er verweist diesbezüglich auf ein vor der Vorinstanz eingereichtes Schreiben, in welchem der Bruder des Beschwerdeführers angibt, das zuständige Betreibungsamt habe ihm einzig eine Schuldeninformation und einen Betreibungsauszug herausgegeben, aber keine (weiteren) Informationen über einzelne Betreibungen und Verlustscheine des Beschwerdeführers. Es bleibt dabei allerdings bei einer Behauptung; eine entsprechende offizielle Auskunft des Betreibungsamts liegt nicht vor. Es wäre im Rahmen seiner Mitwirkungspflicht (Art. 90

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 90 Obligation de collaborer - L'étranger et les tiers participant à une procédure prévue par la présente loi doivent collaborer à la constatation des faits déterminants pour son application. Ils doivent en particulier: |
Ebensowenig war die Vorinstanz verpflichtet, den rechtlich vertretenen Beschwerdeführer zum Beleg von (weiteren) Schuldabzahlungen aufzufordern. Der Beschwerdeführer selber reichte im vorinstanzlichen Verfahren zwei Abzahlungsbelege ein, wobei ihm offensichtlich bewusst war, dass diese für die Beurteilung der Mutwilligkeit von Bedeutung sein konnten. Bei den Abzahlungsbemühungen handelt es sich zudem naturgemäss um Tatsachen, über die der Beschwerdeführer besser Bescheid weiss als die Behörden. Dementsprechend wäre es auch an ihm gewesen, die entsprechenden Belege einzureichen (vgl. die Urteile 2C 280/2023 vom 29. September 2023 E. 4.2.2; 2C 891/2021 vom 6. Dezember 2022 E. 4.3.4; jeweils mit Hinweisen).
4.2.3. Auch keine Gehörsverletzung liegt vor, insofern der Beschwerdeführer geltend macht, die Vorinstanz habe Abklärungen zur Existenz des Arbeitgebers des Beschwerdeführers getätigt und darauf basierend Mutmassungen zum Fortbestand des Arbeitsverhältnisses angestellt, ohne aber weitere Abklärungen zu treffen oder ihn vor ihrem Entscheid zu diesen neuen Umständen anzuhören. Zwar stellt die Vorinstanz fest, es sei nicht bekannt, ob der Beschwerdeführer aktuell überhaupt noch erwerbstätig sei, zumal über seine Arbeitgeberin der Konkurs eröffnet worden und das Konkursverfahren mangels Aktiven bereits wieder eingestellt worden sei (vgl. das angefochtene Urteil E. 3.3.2); diese Feststellung geht aber nicht zu seinen Lasten. Im Übrigen wäre es am Beschwerdeführer gewesen, die Behörden über einen allfälligen Anstellungs- respektive Stellenwechsel zu informieren.
4.2.4. Entgegen den Beschwerdevorbringen ist schliesslich auch nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz keine Verletzung von Art. 29

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
4.2.5. Nach dem Gesagten erweist sich die Rüge der Verletzung von Art. 29 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
5.
Die Niederlassungsbewilligung kann gemäss Art. 63 Abs. 1 lit. b

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
5.1. Ein schwerwiegender Verstoss oder eine schwerwiegende Gefährdung der öffentlichen Sicherheit und Ordnung liegt nach Art. 77a Abs. 1

SR 142.201 Ordonnance du 24 octobre 2007 relative à l'admission, au séjour et à l'exercice d'une activité lucrative (OASA) OASA Art. 77a Non-respect de la sécurité et de l'ordre publics - (art. 58a, al. 1, let. a, 62, al. 1, let. c, et 63, al. 1, let. b, LEI) |
|
1 | Il y a notamment non-respect de la sécurité et de l'ordre publics lorsque la personne concernée: |
a | viole des prescriptions légales ou des décisions d'une autorité; |
b | s'abstient volontairement d'accomplir des obligations de droit public ou privé; |
c | fait l'apologie publique d'un crime contre la paix publique, d'un génocide, d'un crime contre l'humanité ou d'un crime de guerre, ou incite d'autres personnes à commettre de tels crimes. |
2 | La sécurité et l'ordre publics sont mis en danger lorsque des éléments concrets indiquent que le séjour de la personne concernée en Suisse conduira selon toute vraisemblance au non-respect de la sécurité et de l'ordre publics. |

SR 142.201 Ordonnance du 24 octobre 2007 relative à l'admission, au séjour et à l'exercice d'une activité lucrative (OASA) OASA Art. 77a Non-respect de la sécurité et de l'ordre publics - (art. 58a, al. 1, let. a, 62, al. 1, let. c, et 63, al. 1, let. b, LEI) |
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1 | Il y a notamment non-respect de la sécurité et de l'ordre publics lorsque la personne concernée: |
a | viole des prescriptions légales ou des décisions d'une autorité; |
b | s'abstient volontairement d'accomplir des obligations de droit public ou privé; |
c | fait l'apologie publique d'un crime contre la paix publique, d'un génocide, d'un crime contre l'humanité ou d'un crime de guerre, ou incite d'autres personnes à commettre de tels crimes. |
2 | La sécurité et l'ordre publics sont mis en danger lorsque des éléments concrets indiquent que le séjour de la personne concernée en Suisse conduira selon toute vraisemblance au non-respect de la sécurité et de l'ordre publics. |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
5.2. Eine betraglich erhebliche Schuldenwirtschaft allein genügt für den Widerruf der Niederlassungsbewilligung nicht. Vorausgesetzt ist zusätzlich eine Mutwilligkeit (BGE 137 II 297 E. 3.3). Die Verschuldung muss selbst verschuldet und qualifiziert vorwerfbar sein (Urteile 2C 970/2022 vom 3. Mai 2023 E. 4.2; 2C 726/2021 vom 8. Juni 2022 E. 2.2.2; 2C 185/2021 vom 29. Juni 2021 E. 3.2; 2C 273/2010 vom 6. Oktober 2010 E. 3.3). Hiervon ist nicht leichthin auszugehen (Urteile 2C 726/2021 vom 8. Juni 2022 E. 2.2.2; 2C 318/2021 vom 27. Oktober 2021 E. 3.2.3; 2C 164/2017 vom 12. September 2017 E. 3.1). Der Beweis der Mutwilligkeit obliegt der Migrationsbehörde (Urteile 2C 764/2020 vom 2. März 2021 E. 5.4.1; 2C 354/2020 vom 30. Oktober 2020 E. 2.3 und 3.4; 2C 93/2018 vom 21. Januar 2019 E. 3.4). Liegen ausreichend gewichtige Hinweise für die Tatsachenvermutung der Mutwilligkeit vor, ist es an der betroffenen Person, den Gegenbeweis zu erbringen (Art. 90

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 90 Obligation de collaborer - L'étranger et les tiers participant à une procédure prévue par la présente loi doivent collaborer à la constatation des faits déterminants pour son application. Ils doivent en particulier: |
6.
Umstritten ist, ob der Beschwerdeführer den Widerrufsgrund von Art. 63 Abs. 1 lit. b

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
6.1. Der Beschwerdeführer war im Mai 2021 mit Verlustscheinen in der Höhe von insgesamt Fr. 252'925.15.-- im Betreibungsregister verzeichnet. Mit Schulden in dieser Höhe erfüllt der Beschwerdeführer die objektive Komponente von Art. 63 Abs. 1 lit. b

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
6.2. Betreffend die Frage der Mutwilligkeit sind die Umstände der Verschuldung des Beschwerdeführers zu berücksichtigen.
6.2.1. Bereits ab November 2015 thematisierte die Einwohnergemeinde Thun die finanzielle Situation des Beschwerdeführers in jährlichen Schreiben. Zwar war erst das Schreiben von 2019 formell als "Ermahnung" deklariert; gleichzeitig wurde der Beschwerdeführer aber bereits in den früheren Schreiben ausdrücklich darauf hingewiesen, dass das Anhäufen von Schulden einen Widerrufsgrund darstelle. Zudem wurde er seit Anfang 2016 mehrfach aufgefordert, keine weiteren Schulden anzuhäufen, seinen Zahlungspflichten zukünftig fristgerecht nachzukommen, und sich - im Rahmen des gesundheitlich Möglichen - um eine Arbeitsstelle zu bemühen (Art. 105 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
Schreiben betreffend Verschuldung um die Deckung seiner Krankenkassenprämien bemüht und diesbezüglich Abklärungen trifft oder entsprechende Unterstützungsangebote in Anspruch nimmt. Das gilt insbesondere, als der Beschwerdeführer selber vorbringt, in der Schweiz über ein (Verwandten-) Netzwerk zu verfügen, welches ihn in administrativen Belangen unterstützt. Im Übrigen deuten die vom Beschwerdeführer im Verfahren bei der Vorinstanz eingereichten Unterlagen darauf hin, dass er bereits im Jahr 2018 Prämienverbilligungen erhalten hatte.
6.2.2. Der Beschwerdeführer schied bereits 1998 aus dem Arbeitsprozess aus. Er stellt sich auf den Standpunkt, aus gesundheitlichen Gründen - wegen Rückenbeschwerden und psychischer Probleme - nicht arbeitsfähig gewesen zu sein. Zwar bestätigte im Jahr 2015 ein Facharzt für Psychiatrie und Psychotherapie, dass der Beschwerdeführer seit Dezember 2011 wegen komplexer, komorbider psychischer Krankheit bei ihm in Behandlung sei, wobei das Krankheitsbild im Langzeitverlauf einen chronisch-rezidivierenden Charakter zeige. Eine tatsächliche Arbeitsunfähigkeit wurde aber weder in diesem Bericht noch im Rahmen anderer ärztlicher Konsultationen (2008, 2021) ausdrücklich festgestellt. Einzig ein ärztliches Zeugnis des Hausarztes von April 2022 attestiert ihm eine reduzierte Arbeitsfähigkeit von 60%, wobei derselbe Hausarzt im November 2022 bei psychosozial schwieriger Situation keine Arbeitsunfähigkeit und auch keine physischen Einschränkungen der Arbeitsmöglichkeiten des Beschwerdeführers feststellte. Verschiedene IV-Anträge (2002, 2006, 2014) wurden abgewiesen, unter anderem weil eine Umschulung aus gesundheitlichen Gründen vollumfänglich möglich gewesen wäre. Diese brach der Beschwerdeführer allerdings ab. Es ist insgesamt deshalb davon
auszugehen, dass es dem Beschwerdeführer grundsätzlich möglich gewesen wäre, ein Erwerbseinkommen zu erzielen.
6.2.3. Vor diesem Hintergrund fällt entscheidend ins Gewicht, dass der Beschwerdeführer trotz der Aufforderungen der Migrationsbehörden erst im Jahr 2020, nach über 20 Jahren Erwerbslosigkeit mit höchstens gelegentlichen Aushilfsarbeiten und unter dem Druck des ausländerrechtlichen Widerrufverfahrens eine relevante Teilzeiterwerbstätigkeit aufnahm, wobei das Arbeitspensum im Mai 2021 lediglich 30 Stellenprozente betrug und sich eine angeblich verbindlich in Aussicht gestellte Erhöhung auf 60% ohne nachvollziehbare Erklärung nie realisierte. Mit einer neuen Arbeitgeberin vereinbarte er per 14. September 2021 ein unbefristetes Arbeitsverhältnis im Vollzeitpensum als Eisenleger, wobei er in der Folge lediglich unregelmässig im Stundenlohn arbeitete, woraus ein Pensum von lediglich rund 30 bis 50 Stellenprozenten resultierte. Im Jahr 2019 hatte er gegenüber dem Migrationsdienst denn auch angegeben, "auf keinen Fall" Vollzeit arbeiten zu wollen. Insgesamt hat der Beschwerdeführer trotz der zahlreichen Warnungen erst unter dem Druck des ausländerrechtlichen Widerrufsverfahrens und auch dann nur in Teilzeitpensen eine Erwerbstätigkeit aufgenommen, obwohl er wusste, dass sein weiterer Aufenthalt von seinen Bemühungen zur Bereinigung
seiner finanziellen Situation abhängen würde. Bei einer Fachstelle betreffend Schuldensanierung meldete er sich erst im September 2021, nachdem das Verfahren bereits bei der Vorinstanz hängig war. Unter diesen Umständen durfte die Vorinstanz die Mutwilligkeit der Verschuldung bejahen.
6.2.4. Unbehelflich ist, dass der Beschwerdeführer in seiner Beschwerde - unter Berufung auf eine Verletzung von Treu und Glauben (Art. 5 Abs. 2

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 5 Principes de l'activité de l'État régi par le droit - 1 Le droit est la base et la limite de l'activité de l'État. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 9 Protection contre l'arbitraire et protection de la bonne foi - Toute personne a le droit d'être traitée par les organes de l'État sans arbitraire et conformément aux règles de la bonne foi. |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 96 Pouvoir d'appréciation - 1 Les autorités compétentes tiennent compte, en exerçant leur pouvoir d'appréciation, des intérêts publics, de la situation personnelle de l'étranger, ainsi que de son intégration.316 |

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
Umständen kann er sich nun in Bezug auf die Frage der Mutwilligkeit nicht auf Treu und Glauben respektive das Verhältnismässigkeitsprinzip berufen.
6.3. Somit ist insgesamt von einer mutwilligen Verschuldung im Sinne von Art. 63 Abs. 1 lit. b

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
7.
Zu prüfen bleibt, ob der Widerruf der Niederlassungsbewilligung dem Grundsatz der Verhältnismässigkeit standhält; der Beschwerdeführer macht in diesem Zusammenhang eine Verletzung von Art. 8 Abs. 2

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
|
1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
2 | Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. |
7.1. Eine aufenthaltsbeendende Massnahme muss verhältnismässig sein (Art. 96

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 96 Pouvoir d'appréciation - 1 Les autorités compétentes tiennent compte, en exerçant leur pouvoir d'appréciation, des intérêts publics, de la situation personnelle de l'étranger, ainsi que de son intégration.316 |

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
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1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
2 | Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. |
vom 8. Juni 2022 E. 4.1.2).
7.2. Das öffentliche Interesse am Widerruf der Bewilligung des Beschwerdeführers ist durch das Vorliegen eines gesetzlichen Widerrufsgrundes ausgewiesen (vgl. Urteile 2C 212/2023 vom 24. Juli 2023 E. 6.2; 2C 628/2021 vom 21. Oktober 2021 E. 5.3; 2C 764/2020 vom 2. März 2021 E. 4.2). Der Beschwerdeführer ist trotz diversen Verwarnungen seitens der Behörden seinen öffentlich-rechtlichen Verpflichtungen wiederholt nicht nachgekommen und hat insbesondere seit 2015 beträchtliche Schulden angehäuft. Zudem hat der Beschwerdeführer zwischen 2006 und 2014 Sozialhilfe in der Höhe von 226'936.65.-- bezogen (die schliesslich wegen Zweifeln an der Bedürftigkeit und Verletzung der Mitwirkungspflicht eingestellt wurde; vgl. das den Beschwerdeführer betreffende Urteil 8C 602/2015 vom 12. Januar 2016). Trotz entsprechender Aufforderungen hat er sich für die Zeitperiode zwischen 1998 und 2019 kaum um Arbeit respektive um Verbesserung seiner finanziellen Situation bemüht und auch unter dem Druck des ausländerrechtlichen Verfahrens seine Arbeitskapazität nicht ausgeschöpft. Die ausgewiesenen Abzahlungsbemühungen in der Höhe von Fr. 200.-- sowie die (teilweise) Wiedereingliederung in den Arbeitsmarkt unter dem Eindruck des laufenden
Widerrufsverfahrens vermögen das beträchtliche öffentliche Interesse unter diesen Umständen nicht entscheidend zu vermindern. Insgesamt erweist sich das öffentliche Interesse am Widerruf als sehr gewichtig.
7.3. Als private Interessen macht der Beschwerdeführer insbesondere die Dauer seines Aufenthalts in der Schweiz, sein Alter, sein Beziehungsnetz in der Schweiz, seinen Gesundheitszustand und die psychischen Einschränkungen, seine berufliche Integration sowie seinen fehlenden Bezug zu seinem Herkunftsland und die dort fehlenden Betreuungsmöglichkeiten geltend.
Der Beschwerdeführer ist 1988 im Alter von 17 Jahren in die Schweiz gekommen, wo er zunächst als Saisonnier arbeitete, bevor ihm ab 1991 eine Aufenthalts- und ab 1998 eine Niederlassungsbewilligung erteilt wurden. Im Zeitpunkt des angefochtenen Urteils hielt er sich somit seit rund 32 Jahren dauerhaft in der Schweiz auf. Seine getrennt lebende Ehefrau und die drei mittlerweile volljährigen Kinder leben in der Schweiz, wobei letztere hier geboren und aufgewachsen sind. Auch weitere Verwandte ausserhalb der Kernfamilie leben in der Schweiz, so zwei Geschwister des Beschwerdeführers sowie deren Verwandte, zu welchen der Beschwerdeführer auch Kontakte pflegt und die ihn in gewissen (insbesondere administrativen) Belangen unterstützen. Angesichts des Alters der Kinder - das jüngste war im Zeitpunkt des angefochtenen Urteils rund 25-jährig - und der Trennung der Eheleute ist das Familienleben i.S.v. Art. 8

IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 8 Droit au respect de la vie privée et familiale - 1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
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1 | Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance. |
2 | Il ne peut y avoir ingérence d'une autorité publique dans l'exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu'elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l'ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d'autrui. |
Rechtsprechung ersichtlich, wobei insbesondere die blosse Unterstützung in einigen administrativen Belangen hierfür nicht ausreicht (vgl. zu den diesbezüglichen Anforderungen bspw. das Urteil 2C 1011/2022 vom 14. Februar 2023 E. 3.2).
Zweifellos bestehen aufgrund der langen Anwesenheit aber erhebliche private Interessen am Verbleib in der Schweiz. Diese privaten Interessen werden allerdings durch die unterdurchschnittliche wirtschaftliche Integration relativiert, die sich vorliegend aus der ebenfalls jahrzehntelangen Erwerbslosigkeit, dem Sozialhilfebezug sowie der mutwilligen Schuldenwirtschaft ergibt (vgl. dazu auch vorne E. 6). Daran ändert nichts, dass der Beschwerdeführer unter dem Druck des ausländerrechtlichen Widerrufsverfahrens wieder eine (Teil-) Erwerbstätigkeit aufgenommen hat. Eine über die Beziehungen zur hier ansässigen Verwandtschaft bestehende soziale Integration ist nicht ersichtlich.
7.4. Ferner verbringt der Beschwerdeführer viel Zeit in seinem Herkunftsland; so hielt er sich 2020 nach eigenen Angaben knapp ein Drittel des Jahres in Nordmazedonien auf. Dass es sich dabei um Ferienaufenthalte und Besuche der Mutter gehandelt haben mag, ändert nichts daran, dass er trotz seines langjährigen Aufenthalts in der Schweiz offenkundig noch über einen engen Bezug zum Herkunftsland verfügt. Es ist unter diesen Umständen auch davon auszugehen, dass er in Nordmazedonien noch über Beziehungen verfügt, die ihn bei der Wiedereingliederung unterstützen können. Auch die im vorliegenden Verfahren zu berücksichtigenden gesundheitlichen Einschränkungen (vgl. vorne E. 6.2.2) lassen seine Wiedereingliederung im Herkunftsland nicht als völlig unzumutbar erscheinen. Insbesondere ist nicht ersichtlich, dass sie - wie er dies vorbringt - ein menschenwürdiges Dasein in Nordmazedonien verunmöglichen würden. Die Beschwerden erscheinen nicht derart gravierend, dass sie eine Rückkehr nach Nordmazedonien ausschliessen würden, zumal der Beschwerdeführer auch nicht substanziiert geltend macht, dass sie in Nordmazedonien nicht behandelt werden könnten. Auch das fortgeschrittene Alter seiner in Nordmazedonien lebenden Mutter respektive eine
allfällige Pflegebedürftigkeit ihrerseits ändert an der grundsätzlich zumutbar erscheinenden Wiedereingliederung nichts. Die Vorinstanz durfte insgesamt von intakten Rückkehr- und Integrationsmöglichkeiten ausgehen.
7.5. Angesichts der geschilderten Umstände und der Sachlage zum Zeitpunkt des angefochtenen Entscheids ist das Urteil der Vorinstanz nicht zu beanstanden. Insgesamt überwiegt das sehr gewichtige öffentliche Interesse am Widerruf der Niederlassungsbewilligung und der Wegweisung des Beschwerdeführers die privaten Interessen des Beschwerdeführers am Verbleib in der Schweiz. Auch die Willkürrüge betreffend die Interessenabwägung verfängt nach dem Gesagten nicht. Insgesamt erweist sich das Urteil der Vorinstanz als verhältnismässig; es verletzt weder Bundes- noch Konventionsrecht.
An dieser Stelle ist allerdings darauf hinzuweisen, dass die während dem bundesgerichtlichen Verfahren entdeckte Krebserkrankung in der vorliegenden Beurteilung aufgrund der Novenschranke vor Bundesgericht (vgl. vorne E. 2.3) noch keine Berücksichtigung hat finden können; deren Einfluss auf die Rückkehr- und Integrationsmöglichkeiten des Beschwerdeführers in Nordmazedonien wird im Rahmen der Prüfung des diesbezüglich bereits bei den kantonalen Behörden deponierten Gesuchs zu beurteilen sein.
7.6. Entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers ist eine Rückstufung nach Art. 63 Abs. 2

SR 142.20 Loi fédérale du 16 décembre 2005 sur les étrangers et l'intégration (LEI) LEI Art. 63 Révocation de l'autorisation d'établissement - 1 L'autorisation d'établissement ne peut être révoquée que dans les cas suivants: |
8.
Schliesslich rügt der Beschwerdeführer, die Vorinstanz habe ihm die unentgeltliche Rechtspflege zu Unrecht verweigert.
8.1. Der Beschwerdeführer behauptet nicht, das kantonale Recht gehe über die Minimalgarantien von Art. 29 Abs. 3

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
8.2. Als verfassungsrechtliche Minimalgarantie gewährt Art. 29 Abs. 3

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
8.3. Es ist nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz im angefochtenen Urteil zum Schluss kommt, dass die Beschwerde in der Sache als von vornherein aussichtslos bezeichnet werden musste. Insbesondere war der Widerrufsgrund angesichts der hohen und mutwilligen Verschuldung und der (jahre- respektive jahrzehntelang) fehlenden Bemühungen des Beschwerdeführers, einer Arbeitstätigkeit nachzugehen um seine finanzielle Lage zu verbessern, klar erfüllt. Angesichts seiner trotz der langen Aufenthaltsdauer unterdurchschnittlichen Integration und seiner regelmässigen (auch längeren) Aufenthalte im Herkunftsland und den damit verbundenen Aussichten im Hinblick auf die Wiedereingliederung mussten seine Gewinnaussichten bei der Sachverhaltsgrundlage, wie sie sich der Vorinstanz präsentierte, auch unter Verhältnismässigkeitsgesichtspunkten als beträchtlich geringer erscheinen als die Verlustgefahren. Insgesamt durfte die Vorinstanz die unentgeltliche Rechtspflege im kantonalen Verfahren in Folge der Aussichtslosigkeit der Vorbringen verneinen. Aus denselben Gründen ist auch nicht zu beanstanden, dass die Vorinstanz die Verweigerung der unentgeltlichen Rechtspflege durch die untere kantonale Beschwerdeinstanz schützte. Auch in Bezug auf die
verschiedenen vom Beschwerdeführer im kantonalen Verfahren gerügten Verfahrensfehler kann angesichts der überzeugenden Ausführungen des Verwaltungsgerichts (vgl. das angefochtene Urteil E. 2) nicht von ernsthaften Gewinnaussichten ausgegangen werden.
8.4. Schliesslich macht der Beschwerdeführer geltend, das Verwaltungsgericht hätte nach der Beschwerdeeinreichung einen Zwischenentscheid zur unentgeltlichen Rechtspflege fällen und das Verfahren in der Hauptsache sistieren müssen, zumal die Vorinstanz ihn gestützt auf die Vernehmlassung der unteren kantonalen Instanz zur Replik aufgefordert habe, und unter diesen Umständen klar gewesen sei, dass für seinen Rechtsvertreter weiterer Aufwand entstehen würde. Dies könne nicht bloss dadurch korrigiert werden, dass dem Beschwerdeführer nur die Gebühren für eine Abschreibung auferlegt würden; vielmehr liege eine Verletzung des Anspruchs auf unentgeltliche Rechtspflege vor.
8.4.1. Rechtsprechungsgemäss ist die Beurteilung eines Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege zusammen mit dem Endentscheid bzw. im Rahmen der Kostenregelung in denjenigen Fällen nicht zu beanstanden, in denen das Gesuch mit der Eingabe in der Hauptsache verbunden wird und keine weiteren Vorkehren des Rechtsvertreters erforderlich sind. Anders verhält es sich aber, wenn der Rechtsvertreter nach Einreichung des Gesuchs gehalten ist, weitere Verfahrensschritte zu unternehmen. In diesen Fällen ist es unabdingbar, dass die Behörden über das Gesuch um unentgeltliche Verbeiständung umgehend entscheiden, damit sich Klient und Rechtsvertreter über das finanzielle Verfahrensrisiko Klarheit verschaffen können. Der Anspruch auf unentgeltliche Verbeiständung würde seines Gehalts entleert, wenn die Behörden den Entscheid über das Gesuch hinausschieben, um es im Rahmen der Kostenregelung abzuweisen. Im Hinblick auf das aus Art. 29 Abs. 1

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
unternimmt (Urteile 1C 262/2019 vom 6. Mai 2020 E. 3.1; 4A 20/2011 vom 11. April 2011 E. 7.2.2; 1P.345/2004 vom 1. Oktober 2004 E. 4.3).
8.4.2. Die Vorinstanz hat es im kantonalen Verfahren trotz entsprechender Anträge abgelehnt, vorab über die unentgeltliche Rechtspflege zu entscheiden. Der zuständige Instruktionsrichter begründete dies in der entsprechenden Verfügung (Akt. 8 der Akten des Verwaltungsgerichts; Art. 105 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
8.4.3. Die Begründung der Vorinstanz ist nicht zu beanstanden. Auch im bundesgerichtlichen Verfahren gilt gestützt auf Art. 64

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
|
1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
vollen Entscheidgebühren auferlegte, mithin der fehlenden Möglichkeit eines Beschwerderückzugs im Kostenpunkt Rechnung trug, liegt keine Verletzung von Art. 29 Abs. 3

SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
9.
9.1. Die Beschwerde ist somit unbegründet und deshalb abzuweisen. Gleiches gilt für den Eventualantrag, die Niederlassungsbewilligung durch eine Aufenthaltsbewilligung zu ersetzen, da eine Rückstufung ausgeschlossen ist. Bei diesem Ergebnis erübrigt sich auch die sub-
eventualiter beantragte Rückweisung.
9.2. Angesichts der zutreffenden Erwägungen im angefochtenen Urteil erweist sich die Beschwerde gestützt auf den damals relevanten Sachverhalt von Anfang an als aussichtslos. Das gestellte Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege wird daher abgewiesen (Art. 64 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 64 Assistance judiciaire - 1 Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
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1 | Si une partie ne dispose pas de ressources suffisantes et si ses conclusions ne paraissent pas vouées à l'échec, le Tribunal fédéral la dispense, à sa demande, de payer les frais judiciaires et de fournir des sûretés en garantie des dépens. |
2 | Il attribue un avocat à cette partie si la sauvegarde de ses droits le requiert. L'avocat a droit à une indemnité appropriée versée par la caisse du tribunal pour autant que les dépens alloués ne couvrent pas ses honoraires. |
3 | La cour statue à trois juges sur la demande d'assistance judiciaire. Les cas traités selon la procédure simplifiée prévue à l'art. 108 sont réservés. Le juge instructeur peut accorder lui-même l'assistance judiciaire si les conditions en sont indubitablement remplies. |
4 | Si la partie peut rembourser ultérieurement la caisse, elle est tenue de le faire. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
2.
Das Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege und Rechtsverbeiständung wird abgewiesen.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 1'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten, dem Verwaltungsgericht des Kantons Bern, Verwaltungsrechtliche Abteilung, und dem Staatssekretariat für Migration mitgeteilt.
Lausanne, 12. Juli 2024
Im Namen der II. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: F. Aubry Girardin
Der Gerichtsschreiber: D. Hongler