Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
1B 567/2022
Urteil vom 12. Juni 2023
I. öffentlich-rechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Müller, präsidierendes Mitglied,
Bundesrichter Haag, Kölz,
Gerichtsschreiber Forster.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
Beschwerdeführer,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Marco S. Marty,
gegen
Martin Ochsner, Staatsanwaltschaft des Kantons Schwyz, 3. Abteilung,
Bahnhofstrasse 4, Postfach 128, 8832 Wollerau,
Verfahrensbeteiligter.
Gegenstand
Strafverfahren; Ausstand,
Beschwerde gegen den Beschluss vom 3. Oktober 2022 des Kantonsgerichts Schwyz (BEK 2022 118).
Sachverhalt:
A.
Die Staatsanwaltschaft des Kantons Schwyz führt eine Strafuntersuchung gegen A.________ wegen betrügerischen Konkurses und Pfändungsbetrugs. Am 29. Juli 2022 stellte der Beschuldigte ein Ausstandsgesuch gegen den Verfahrensleiter, Staatsanwalt Martin Ochsner, welches das Kantonsgericht Schwyz mit Beschluss vom 3. Oktober 2022 abwies, soweit es darauf eintrat.
B.
Gegen den Entscheid des Kantonsgerichtes gelangte der Beschuldigte mit Beschwerde vom 7. November 2022 an das Bundesgericht. Er beantragt im Hauptstandpunkt die Aufhebung des angefochtenen Entscheides und die Gutheissung des Ausstandsgesuches.
Das Kantonsgericht verzichtete am 14. November 2022 auf eine Vernehmlassung. Der vom Ausstandsgesuch betroffene Staatsanwalt und die Leitende Staatsanwältin beantragen mit Stellungnahme vom 24. November 2022 die Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten wäre. Mit Verfügung vom 29. November 2022 wies das Bundesgericht das Begehren um aufschiebende Wirkung der Beschwerde und um Erlass vorsorglicher Massnahmen ab. Der Beschwerdeführer replizierte am 16. Dezember 2022.
Erwägungen:
1.
Die Sachurteilsvoraussetzungen von Art. 78 ff

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 78 Principe - 1 Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
|
1 | Le Tribunal fédéral connaît des recours contre les décisions rendues en matière pénale. |
2 | Sont également sujettes au recours en matière pénale: |
a | les décisions sur les prétentions civiles qui doivent être jugées en même temps que la cause pénale; |
b | les décisions sur l'exécution de peines et de mesures. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 92 Décisions préjudicielles et incidentes concernant la compétence et les demandes de récusation - 1 Les décisions préjudicielles et incidentes qui sont notifiées séparément et qui portent sur la compétence ou sur une demande de récusation peuvent faire l'objet d'un recours. |
|
1 | Les décisions préjudicielles et incidentes qui sont notifiées séparément et qui portent sur la compétence ou sur une demande de récusation peuvent faire l'objet d'un recours. |
2 | Ces décisions ne peuvent plus être attaquées ultérieurement. |
2.
Die Vorinstanz erwägt im Wesentlichen Folgendes: Der Beschwerdeführer habe sein Ausstandsgesuch vom 29. Juli 2022 insbesondere damit begründet, dass der verfahrensleitende Staatsanwalt ein Gesuch des Privatklägers um unentgeltliche Rechtspflege mit Verfügung vom 2. Juni 2022 gutgeheissen habe. Das Ausstandsgesuch sei aber erst knapp zwei Monate nach der beanstandeten Verfügung und damit verspätet gestellt worden. Daran ändere weder die Tatsache etwas, dass der Staatsanwalt in einem Schreiben vom 1. Juli 2022 nochmals bestätigt habe, er sehe auch im Falle eines Wiedererwägungsgesuches des Beschwerdeführers keinen Anlass, auf seine Verfügung zurückzukommen, noch, dass dieser sich für seinen rechtlichen Standpunkt betreffend unentgeltliche Rechtspflege an die Privatklägerschaft auf einen Entscheid vom 25. Juli 2022 des Einzelrichters am Bezirksgericht Höfe berufen habe. Insofern sei auf das Ausstandsgesuch nicht einzutreten.
Abgesehen davon sei die Befangenheit eines staatsanwaltlichen Untersuchungsleiters nicht leichthin anzunehmen. Der Beschwerdeführer habe auch keine besonders krassen oder ungewöhnlich häufigen Fehlleistungen der Verfahrensleitung dargetan, weshalb das Ausstandsgesuch jedenfalls abzuweisen sei. Er habe geltend gemacht, die staatsanwaltliche Verfügung vom 2. Juni 2022 widerspreche dem Entscheid vom 25. Juli 2022 des Einzelrichters am Bezirksgericht Höfe, in welchem der Privatklägerschaft für ein Arrestverfahren die unentgeltliche Rechtspflege verweigert worden sei. Die Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege an die Privatklägerschaft beruhe auf einer Beurteilung von Voraussetzungen, die nichts mit der Person des Beschwerdeführers zu tun hätten. Diesem stünden im diesbezüglichen Verfahren betreffend unentgeltliche Rechtspflege auch keine Mitwirkungsrechte zu, weshalb die streitige Verfügung keinen Ausstandsgrund nach sich ziehen könne. Auch die Kritik, wonach der Staatsanwalt die Strafsache "nicht prioritär behandelt" habe, begründe keinen Verfahrensfehler und keinen Anschein von Befangenheit. Analoges gelte für die Vorbringen des Beschwerdeführers, es sei ihm zu Unrecht die Akteneinsicht verweigert worden, und für seine Kritik an
Beschlagnahme- und Editionsverfügungen der Staatsanwaltschaft. Dass der Untersuchungsleiter die zuständige Behörde im hängigen Einbürgerungsverfahren des Beschwerdeführers, auf deren Anfrage hin, über den Stand der Strafuntersuchung informiert habe, sei ebenfalls nicht zu beanstanden.
3.
3.1. Die Ausstandsgründe für die in einer Strafbehörde tätigen Justizpersonen sind in Art. 56

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser: |
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a | lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire; |
b | lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin; |
c | lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
d | lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale; |
e | lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
f | lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 13 Tribunaux - Ont des attributions judiciaires dans le cadre de la procédure pénale: |
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a | le tribunal des mesures de contrainte; |
b | le tribunal de première instance; |
c | l'autorité de recours; |
d | la juridiction d'appel. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 12 Autorités de poursuite pénale - Sont des autorités de poursuite pénale: |
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a | la police; |
b | le ministère public; |
c | les autorités pénales compétentes en matière de contraventions. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser: |
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a | lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire; |
b | lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin; |
c | lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
d | lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale; |
e | lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
f | lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser: |
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a | lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire; |
b | lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin; |
c | lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
d | lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale; |
e | lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
f | lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention. |
Will eine Partei den Ausstand einer in einer Strafbehörde tätigen Person verlangen, so hat sie ohne Verzug ein entsprechendes Gesuch zu stellen, sobald sie vom Ausstandsgrund Kenntnis hat; die den Ausstand begründenden Tatsachen sind glaubhaft zu machen (Art. 58 Abs. 1

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 58 Récusation demandée par une partie - 1 Lorsqu'une partie entend demander la récusation d'une personne qui exerce une fonction au sein d'une autorité pénale, elle doit présenter sans délai à la direction de la procédure une demande en ce sens, dès qu'elle a connaissance du motif de récusation; les faits sur lesquels elle fonde sa demande doivent être rendus plausibles. |
|
1 | Lorsqu'une partie entend demander la récusation d'une personne qui exerce une fonction au sein d'une autorité pénale, elle doit présenter sans délai à la direction de la procédure une demande en ce sens, dès qu'elle a connaissance du motif de récusation; les faits sur lesquels elle fonde sa demande doivent être rendus plausibles. |
2 | La personne concernée prend position sur la demande. |
3.2. Wie die Vorinstanz zu Recht ausführt, ist Befangenheit einer staatsanwaltlichen Untersuchungsleiterin oder eines Untersuchungsleiters (Art. 56 lit. f

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser: |
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a | lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire; |
b | lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin; |
c | lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
d | lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale; |
e | lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
f | lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention. |
4.
Es kann offenbleiben, ob und inwieweit der Beschwerdeführer das Ausstandsgesuch verspätet gestellt hat und das Gesuch schon deshalb von der Vorinstanz abschlägig behandelt werden durfte. Deren Ansicht, überdies habe er auch keine Befangenheit des Staatsanwaltes dargetan, hält vor dem Bundesrecht stand:
4.1. Der Beschwerdeführer legt auch vor Bundesgericht nicht nachvollziehbar dar, weshalb es sich bei der Gewährung der unentgeltlichen Rechtspflege an die Privatklägerschaft um einen krassen Verfahrensfehler handeln sollte, der für ihn nachteilige rechtliche Folgen hätte. Ebenso wenig erklärt er, wie die Staatsanwaltschaft in ihrer Verfügung vom 2. Juni 2022 oder in ihrem Schreiben vom 1. Juli 2022 bereits einem (in Bezug auf die unentgeltliche Rechtspflege anderslautenden) arrestrechtlichen Entscheid vom 25. Juli 2022 hätte Rechnung tragen können und müssen. Dass die Verfahrensleitung des Strafverfahrens bei ihrer damaligen Prüfung der Voraussetzungen der unentgeltlichen Rechtspflege an den Privatkläger nicht zum selben Resultat gelangt sei wie der Einzelrichter des Bezirksgerichts Höfe knapp zwei Monate später in einem Arrestverfahren, begründet per se keine prozessuale Fehlleistung der Staatsanwaltschaft. Daran ändern auch die Vorbringen des Beschwerdeführers nichts, die Privatklägerschaft sei nicht mittellos und die Staatsanwaltschaft habe sich geweigert, "auf einen (gerichtlich bestätigten) falschen Entscheid zurückzukommen".
Analoges gilt für die appellatorische Kritik des Beschwerdeführers an einer Verweigerung der Akteneinsicht im Untersuchungsverfahren oder an den Beschlagnahme- und Herausgabeverfügungen der Staatsanwaltschaft. Zum einen stand ihm diesbezüglich der Beschwerdeweg nach Art. 393 Abs. 1 lit. a

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 393 Recevabilité et motifs de recours - 1 Le recours est recevable: |
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1 | Le recours est recevable: |
a | contre les décisions et les actes de procédure de la police, du ministère public et des autorités pénales compétentes en matière de contraventions; |
b | contre les ordonnances, les décisions et les actes de procédure des tribunaux de première instance, sauf contre ceux de la direction de la procédure; |
c | contre les décisions du tribunal des mesures de contrainte, pour autant que le présent code ne les qualifie pas de définitives. |
2 | Le recours peut être formé pour les motifs suivants: |
a | violation du droit, y compris l'excès et l'abus du pouvoir d'appréciation, le déni de justice et le retard injustifié; |
b | constatation incomplète ou erronée des faits; |
c | inopportunité. |

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 101 Consultation des dossiers dans le cadre d'une procédure pendante - 1 Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
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1 | Les parties peuvent consulter le dossier d'une procédure pénale pendante, au plus tard après la première audition du prévenu et l'administration des preuves principales par le ministère public; l'art. 108 est réservé. |
2 | D'autres autorités peuvent consulter le dossier lorsqu'elles en ont besoin pour traiter une procédure civile, pénale ou administrative pendante et si aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |
3 | Des tiers peuvent consulter le dossier s'ils font valoir à cet effet un intérêt scientifique ou un autre intérêt digne de protection et qu'aucun intérêt public ou privé prépondérant ne s'y oppose. |
Ebenso wenig legt der Beschwerdeführer schlüssig dar, dass die Strafuntersuchung ungebührlich verschleppt worden wäre oder dass der verfahrensleitende Staatsanwalt rechtswidrig gehandelt hätte, indem er die im hängigen Einbürgerungsverfahren des Beschwerdeführers zuständige Migrationsbehörde, auf deren Anfrage hin, über den Stand der Strafuntersuchung orientierte. Der Beschuldigte spricht zwar pauschal von einer drohenden "ungebührlichen Länge" des Strafverfahrens, sagt aber nicht, welche konkreten Verfahrenshandlungen über Gebühr verzögert worden wären. Dass das Strafverfahren sich im Rahmen der gesetzlichen Vorschriften auch auf den Fortgang und das Resultat seines hängigen Einbürgerungsverfahrens auswirken könnte, ist nicht den Behörden anzulasten. Seine Behauptung, der Staatsanwalt habe "das Migrationsamt aufgefordert", ihm, dem Beschwerdeführer, "nichts über ein Strafverfahren mitzuteilen, das Migrationsverfahren aber zu sistieren", belegt weder einen Ausstandsgrund noch den Vorwurf, die Vorinstanz habe willkürliche entscheiderhebliche Tatsachenfeststellungen getroffen.
Analoges gilt für die Behauptung des Beschwerdeführers, er habe die gegen ihn erhobenen Vorwürfe bereits entkräftet und entsprechende Dokumente eingereicht, die Staatsanwaltschaft interessiere sich jedoch nicht dafür. Der blosse Umstand, dass der verfahrensleitende Staatsanwalt derzeit von einem Tatverdacht für betrügerischen Konkurs und Pfändungsbetrug ausgeht und die Auffassung vertritt, die Einwendungen des Beschuldigten liessen die sich aus der Strafanzeige und den bisherigen Untersuchungshandlungen ergebenden Verdachtsgründe nicht ohne weiteres dahinfallen, begründet keinen Anschein von Befangenheit.
Besonders krasse oder ungewöhnlich häufige Verfahrensfehler des betroffenen Staatsanwaltes oder andere gesetzliche Ausstandsgründe werden vom Beschwerdeführer nicht dargetan. Damit erweisen sich seine Rügen der Verletzung von Art. 56

SR 312.0 Code de procédure pénale suisse du 5 octobre 2007 (Code de procédure pénale, CPP) - Code de procédure pénale CPP Art. 56 Motifs de récusation - Toute personne exerçant une fonction au sein d'une autorité pénale est tenue de se récuser: |
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a | lorsqu'elle a un intérêt personnel dans l'affaire; |
b | lorsqu'elle a agi à un autre titre dans la même cause, en particulier comme membre d'une autorité, conseil juridique d'une partie, expert ou témoin; |
c | lorsqu'elle est mariée, vit sous le régime du partenariat enregistré ou mène de fait une vie de couple avec une partie, avec son conseil juridique ou avec une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
d | lorsqu'elle est parente ou alliée avec une partie, en ligne directe ou jusqu'au troisième degré en ligne collatérale; |
e | lorsqu'elle est parente ou alliée en ligne directe ou jusqu'au deuxième degré en ligne collatérale avec le conseil juridique d'une partie ou d'une personne qui a agi dans la même cause en tant que membre de l'autorité inférieure; |
f | lorsque d'autres motifs, notamment un rapport d'amitié étroit ou d'inimitié avec une partie ou son conseil juridique, sont de nature à la rendre suspecte de prévention. |
4.2. Die in der Beschwerdeschrift auch noch beiläufig erhobene Rüge der Verletzung der richterlichen Begründungspflicht ist ebenfalls unbegründet, soweit sie überhaupt ausreichend substanziiert erscheint (vgl. Art. 42 Abs. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
1bis | Lorsqu'une procédure en matière civile a été menée en anglais devant l'autorité précédente, les mémoires peuvent être rédigés en anglais.15 |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.16 17 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique18. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.19 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
5.
Die Beschwerde ist abzuweisen.
Die Gerichtskosten sind dem Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 2'000.-- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Verfahrensbeteiligten und dem Kantonsgericht Schwyz schriftlich mitgeteilt.
Lausanne, 12. Juni 2023
Im Namen der I. öffentlich-rechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Das präsidierende Mitglied: Müller
Der Gerichtsschreiber: Forster