Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 442/2014
Urteil vom 11. November 2014
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Maillard, Bundesrichterin Heine,
Gerichtsschreiber Grunder.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Christian Haag,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Kausalzusammenhang),
Beschwerde gegen den Entscheid des Kantonsgerichts Luzern vom
8. Mai 2014.
Sachverhalt:
A.
Der 1984 geborene A.________ erlitt am 10. Oktober 2006 ein Quetschtrauma im Bereich des linken Ellbogens/Oberarmes, nachdem er zwischen zwei Fahrzeugen eingeklemmt worden war; dabei zog er sich eine distale Humerustrümmerfraktur zu. Die für diesen Unfall zuständige Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) erbrachte die gesetzlichen Leistungen und sprach dem Versicherten mit Verfügung vom 16. Februar 2010 eine Invalidenrente aufgrund einer Erwerbsunfähigkeit von 10 % zu.
Am 14. März 2012 erhielt A.________, der ab 16. Mai 2011 erneut vollzeitlich im angestammten Beruf als Bodenleger arbeitete, von einem ungesicherten Kabel einen Stromschlag im Bereich des linken Ellbogens und erlitt Verbrennungen 1. Grades (vgl. Schadenmeldung UVG der B.________ AG vom 19. April 2012 sowie Bericht des Spitals C.________ vom 20. März 2012). Die SUVA erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung; Taggeld), die sie nach der kreisärztlichen Untersuchung vom 23. August 2012 auf den 15. November 2012 einstellte (Verfügung vom 5. November 2012). Daran hielt sie auf Einsprache hin fest (Einspracheentscheid vom 21. Dezember 2012).
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde, mit der das psychiatrische Konsilium des Dr. med. D.________, Psychiatrie und Psychotherapie FMH, Neurologie FMH, vom 20. Juni 2013 aufgelegt wurde, wies das Kantonsgericht Luzern ab, soweit darauf einzutreten war (Entscheid vom 8. Mai 2014).
C.
A.________ lässt Beschwerde führen und beantragen, in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheids seien ihm die gesetzlichen Leistungen über den 15. November 2012 hinaus auszurichten, eventualiter sei der Fall an die Vorinstanz zur Prüfung der natürlichen Kausalität zurückzuweisen.
Das Bundesgericht führt keinen Schriftenwechsel durch.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
|
1 | Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
a | sur les recours manifestement irrecevables; |
b | sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2); |
c | sur les recours procéduriers ou abusifs. |
2 | Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge. |
3 | L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1.
2.1.1. Die Vorinstanz hat unter Verweis auf den Einspracheentscheid vom 21. Dezember 2012 die Bestimmungen und Grundsätze über die Leistungsvoraussetzungen des natürlichen (BGE 129 V 177 E. 3.1 S. 181 mit Hinweisen) und des adäquaten Kausalzusammenhangs (BGE 129 V 177 E. 3.2 S. 181 mit Hinweis), insbesondere bei psychischen Fehlentwicklungen nach Unfällen (BGE 115 V 133), sowie den Beweiswert eines ärztlichen Berichts (BGE 134 V 231 E. 5.1 S. 232; 125 V 351 E. 3a S. 352) zutreffend dargelegt. Darauf wird verwiesen.
2.1.2. Zu prüfen ist, ob zwischen dem am 14. März 2012 erlittenen Stromschlag und den psychischen Folgen ein adäquater Kausalzusammenhang besteht. Dabei ist unbestritten, dass dieser Unfall als mittelschwer im engeren Sinn zu qualifizieren ist. Die Vorinstanz hat zwei der Adäquanzkriterien - besondere Eindrücklichkeit des Unfalles und besondere Art der erlittenen Verletzung - bejaht, jedoch nicht in ausgeprägter Weise, weshalb der adäquate Kausalzusammenhang zu verneinen sei. Der Beschwerdeführer macht geltend, dass die besondere Art der erlittenen Verletzung in ausgeprägter Weise vorliege, da eine erhebliche und dauerhafte Vorschädigung des linken dominanten Armes, der erneut traumatisiert worden sei, bestanden habe.
2.2.
2.2.1. Die SUVA stellte gestützt auf den Bericht "Unfallabschluss per 28.2.2010" am 3. Februar 2010 betreffend die Folgen des Unfalles vom 10. Oktober 2006 unter anderem fest, dass leichte bis mittelschwere Tätigkeiten nunmehr ganztags zumutbar seien, sofern nicht all zu oft Gewichte von über 10 bis 15 Kilogramm zu heben oder zu tragen seien; Arbeiten, die das Abstützen des linken dominanten Armes erforderten, waren nicht mehr möglich, da der Versicherte nach zwei bis drei Stunden kraftlos war. Aus den Akten ergibt sich, dass der Versicherte trotz der nach dem Unfall vom 10. Oktober 2006 bestandenen, langjährigen ganzen und teilweisen Arbeitsunfähigkeit vom ehemaligen Arbeitgeber wieder eingestellt wurde und die Tätigkeit als Bodenleger wieder vollzeitlich und gemäss eigenen Auskünften ohne wesentliche Einschränkungen aufzunehmen vermochte (vgl. Bericht "Analysis - Situationsanalyse" des SUVA-Mitarbeiters vom 25. Mai 2012). Die SUVA führte daraufhin einen Einkommensvergleich durch, wobei sie gestützt auf fünf Beschriebe der Dokumentation für Arbeitsplätze (DAP) zum Schluss gelangte, der Versicherte vermöchte auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt einen verglichen mit dem bei der B.________ AG erzielten Lohn höheren Verdienst zu
erzielen. Gestützt auf diese Sachlage sprach sie dem Versicherten eine Invalidenrente auf Basis eines Invaliditätsgrades von 10 % zu (Einspracheentscheid vom 21. Dezember 2012).
2.2.2. Der linke dominante Arm wurde im Bereich des Ellbogens durch den Stromschlag mit Verbrennungen 1. Grades am 24. März 2012 erneut traumatisiert, weswegen gemäss psychiatrischem Konsilium des Dr. med. D.________ vom 20. Juni 2013, in Übereinstimmung mit anderen fachärztlichen Auskünften, von einer posttraumatischen Belastungsstörung (ICD-10: F43.1) und einer dissoziativen Armplegie links (ICD-10: F44.7) auszugehen war. Diese Diagnosen, welchen kein hinreichend erklärbares somatisches Korrelat entsprach, standen unstreitig mit dem Unfall vom 14. März 2012 in einem natürlichen Kausalzusammenhang.
2.2.3.
2.2.3.1. Nach der vom Beschwerdeführer angesprochenen Rechtsprechung ist die Adäquanz prinzipiell für jeden Unfall gesondert zu beurteilen, wenn die versicherte Person mehr als einen Unfall mit Schleudertrauma der HWS oder gleichgestellter Verletzung erlitten hat. In diesem Rahmen ist es nach der Rechtsprechung jedoch nicht generell ausgeschlossen, die wiederholte Betroffenheit desselben Körperteils bei der Adäquanzprüfung zu berücksichtigen. Letzteres ist insbesondere dann denkbar, wenn die Auswirkungen der verschiedenen Ereignisse auf gewisse Beschwerden und/oder auf Grad und Dauer der Arbeitsunfähigkeit nicht voneinander abgegrenzt werden können. Der hinreichend nachgewiesenen, durch einen früheren Unfall verursachten dauerhaften Vorschädigung der HWS kann diesfalls bei der Beurteilung der einzelnen Kriterien - beispielsweise der besonderen Art, der erheblichen Arbeitsunfähigkeit trotz ausgewiesener Anstrengungen oder der fortgesetzt spezifischen, belastenden ärztlichen Behandlung - Rechnung getragen werden (SVR 2007 UV Nr. 1 S. 1, U 39/04 E. 3.3.2 mit Hinweisen; SVS 2006 S. 23, U 39/04 vom 26. April 2006 E. 3.3.2 und 3.4; Urteil 8C 477/2008 vom 19. Dezember 2008 E. 6.1).
2.2.3.2. Das Kriterium der besonderen Schwere oder Art der Verletzung wurde ursprünglich mit Bezug auf die psychischen Unfallfolgen entwickelt und betrifft insbesondere die erfahrungsgemässe Eignung einer Verletzung, psychische Fehlentwicklungen auszulösen (BGE 115 V 140 E. 6c/aa). Übertragen auf die Schleudertraumapraxis hat es dementsprechend als erfüllt zu gelten, wenn die Unfallverletzung in besonderer Weise geeignet ist, eine intensive, dem so genannten typischen Beschwerdebild (BGE 134 V 109 E. 6.2.1 S. 116, 119 V 335 E. 1 S. 338, 117 V 359 E. 4b S. 360, 369 E. 4b S. 382 E. 4b) entsprechende Symptomatik zu bewirken (vgl. BGE 117 V 359 E. 7b S. 368 f.). Es entspricht der allgemeinen Erfahrung, dass pathologische Zustände nach HWS-Verletzungen bei erneuter Traumatisierung ausserordentlich stark exazerbieren können. Eine HWS-Distorsion, welche eine bereits durch einen früheren versicherten Unfall erheblich vorgeschädigte HWS trifft, ist demnach speziell geeignet, die "typischen" Symptome hervorzurufen, und deshalb als Verletzung besonderer Art zu qualifizieren (SVR 2007 UV Nr. 1 S. 1, U 39/04 E. 3.4.2).
2.2.3.3. Das Bundesgericht hat sich im Urteil 8C 593/2012 vom 19.Dezember 2012 mit der Frage auseinandergesetzt, ob die wiederholte Betroffenheit der HWS das Adäquanzkriterium der Schwere oder besonderen Art der erlittenen Verletzung in besonders ausgeprägter Weise erfüllte. Die versicherte Person hatte sich 1994 unter anderem multiple Berstungsfrakturen im Bereich der HWS wie auch der Brust- und Lendenwirbelsäule zugezogen; im Jahre 2006 erlitt sie bei einer Auffahrkollision ein Schleudertrauma der HWS ohne organisch nachweisbare Funktionsausfälle. Das Bundesgericht ist zum Schluss gelangt (E. 2.4.3), dass das zur Diskussion stehende Adäquanzkriterium nach HWS-Distorsion selbst in der einfachen Form nur dann erfüllt sein kann, wenn die Vorschädigung nicht nur erheblich, sondern auch dauerhaft gewesen war. Es kann vorliegend offen bleiben, ob und inwieweit die vom Beschwerdeführer angesprochene und vorhin zitierte, zu HWS-Schleudertraumen ergangene Rechtsprechung anwendbar ist. Entscheidend ist, dass der Beschwerdeführer nach dem ersten Unfall im angestammten Beruf wieder vollzeitlich erwerbstätig sein konnte. Daher kann nicht von einer dauerhaften und erheblichen Vorschädigung ausgegangen werden. Etwas anderes ergibt sich aus den
umfangreichen Akten der SUVA nicht. Vielmehr kamen die ärztlichen Sachverständigen unbestritten zum Schluss, dass der Stromschlag vom 14. März 2012 keine objektiv feststellbaren Befunde hinterliess.
2.2.4. Bleibt es nach dem Gesagten dabei, dass lediglich zwei Kriterien in nicht ausgeprägter Weise erfüllt sind, hat die Vorinstanz die Adäquanz zu Recht verneint, was zur Abweisung der Beschwerde führt.
3.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Kantonsgericht Luzern, 3. Abteilung, und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 11. November 2014
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Leuzinger
Der Gerichtsschreiber: Grunder