Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-3162/2009
Arrêt du 11 janvier 2011
Vito Valenti (président du collège),
Composition Elena Avenati-Carpani et Johannes Frölicher, juges,
Yannick Antoniazza-Hafner, greffier.
A._______,
Parties représenté par Maître Eric Kaltenrieder, Rue des Remparts 9, 1400 Yverdon-les-Bains ,
recourant,
contre
Caisse suisse de compensation CSC, avenue Edmond-Vaucher 18, case postale 3100, 1211 Genève 2,
autorité inférieure .
Objet Assurance-vieillesse et survivants (décision du 20 avril 2009).
Faits :
A.
A.a Le ressortissant suisse A._______, né le [...], a résidé depuis le 15 octobre 1992 en République dominicaine où il a travaillé à son compte en tant que moniteur de plongée. En date du 28 octobre 1992, il a déposé une demande d'adhésion à l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité facultative pour les ressortissants suisses résidant à l'étranger (pces 1-2). Dans ce cadre, son revenu annuel déterminant a été fixé à Fr. 7'200.- pour la période de cotisations (ci-après: période) 1994/1995 (pces 5-6) et à Fr. 9'300.- pour la période 1996/1997 (pces 16-17).
A.b Par lettre du 2 avril 1998 concernant la période 1998/1999 (pce 18), le Consulat général de Suisse à Saint Domingue constate que l'assuré n'a pas encore renvoyé la déclaration du revenu et de la fortune, ainsi que les justificatifs nécessaires au calcul des cotisations dues à l'assurance facultative. Pour cette raison, il invite ce dernier à produire les pièces requises dans un délai de 30 jours dès notification dudit acte, faute de quoi il procédera à une taxation d'office. Dans un courrier du 5 juin 1998 (pces 19-21), l'intéressé répond qu'il a obtenu dans les années 1996 et 1997 un revenu annuel de Fr. 13'440.- et précise qu'il ne transmet pas de copie de sa comptabilité "vu le nombre de pages" (pce 20). Par ailleurs, il appose sur la déclaration du revenu la mention suivante: "Je serai en R.D. jusqu'au 30.9.1998, car j'arrête de travailler au Centre de plongée dès cette date" (pce 20 au verso).
A.c Par décision du 5 juin 1998 (pce 23), le Consulat général de Suisse à Saint Domingue relève que le revenu déterminant pour la période 1998/1999 se monte à Fr. 13'440.- et fixe les cotisations AVS/AI à Fr. 165.95 par trimestre. Dans un courrier daté du même jour (pce 24), il demande notamment à l'assuré de lui communiquer sa nouvelle adresse ou une adresse de contact (en Suisse ou à l'étranger) afin de transmettre le dossier ou le renvoyer à la Caisse suisse de compensation à Genève.
A.d Après avoir sommé l'assuré de lui faire parvenir les pièces requises dans un délai de 30 jours dès notification dudit acte, faute de quoi il sera procédé à une taxation d'office (mise en demeure du 7 avril 2000 envoyée à l'ancienne adresse du recourant en République dominicaine [pce 27]), le Consulat général suisse à Saint Domingue procède à une taxation d'office pour la période 2000/2001 et fixe le revenu annuel à Fr. 16'100.-, précisant qu'il a opéré une majoration de 20% par rapport à la période précédente; les cotisations trimestrielles y relatives se montent à Fr. 204.15 (décision du 9 octobre 2000 envoyée à l'ancienne adresse du recourant en République dominicaine [pce 28-29]).
A.e Dans un courrier parvenu à l'autorité inférieure le 12 décembre 2000 (pce 65), Monsieur B._______, père du recourant, signale à la CSC que son fils n'est plus domicilié en République dominicaine. Il la prie de bien vouloir informer le Consulat Suisse à Saint Domingue de ce changement d'adresse et produit en annexe la décision de taxation précitée du 9 octobre 2000. Par la suite, Monsieur B._______ reprend contact avec la CSC par téléphone du 20 décembre 2000 (pce 60 [note interne]). Celle-ci lui conseille de joindre son fils et de le prier d'informer le consulat de Saint Domingue de son nouveau domicile à l'étranger. Monsieur B._______ répond que, selon ses informations, son fils ne devrait rester que 2 mois à Madagascar et qu'il ne sait pas encore où il va s'installer plus tard. Le même jour, l'autorité inférieure envoie une lettre au Consulat général suisse à Saint Domingue en lui transmettant la lettre précitée du 12 décembre 2000 et en lui demandant de l'informer des nouvelles coordonnées de l'intéressé (pce 66).
A.f Par décision du 25 janvier 2002 (pces 30-32 envoyées à l'ancienne adresse du recourant en République dominicaine), le Consulat général de Suisse à Rio de Janeiro fixe nouvellement les cotisations dues par l'assuré pour la période 2001 à Fr. 406.30 par trimestres suite à une modification de l'ordonnance concernant l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité facultative du 26 mai 1961 et des tables de cotisations y relatives (RS 831.111; ci-après: OAF).
A.g Par décisions des 25 mars 2003 (pces 39-42) et 18 août 2004 (pces 49-50), le Consulat général suisse à Rio de Janeiro, procédant à une taxation d'office suite à des mises en demeure restées infructueuses (pces 35, 47), fixe les revenus annuels déterminants pour les périodes 2002/2003 et 2004/2005 à Fr. 20'900.- resp. Fr. 27'000.- (revenus majorés à chaque fois de 30% par rapport à la période précédente). Par ailleurs, par décision du 10 janvier 2005 (pce 56), la CSC exclut l'assuré de l'assurance facultative au motif qu'il ne s'est pas acquitté entièrement de ses cotisations AVS/AI et qu'il n'a pas remédié à cette omission malgré deux mises en demeure. Tous les documents précités avaient été adressés à l'ancienne adresse de l'assuré en République dominicaine.
A.h Par courriers des 14 février 2007, 14 mai 2007 et 2 octobre 2007 (pces 68, 69 et 73 envoyées à l'ancienne adresse de l'assuré en République dominicaine), la CSC indique à l'assuré que les cotisations AVS/AI ne sont plus dues après exclusion de l'assurance facultative. Elle prie l'intéressé de bien vouloir compléter le formulaire en annexe et de le lui retourner afin qu'elle puisse lui rembourser le solde en sa faveur. Après avoir découvert que les bulletins de versement des cotisations AVS/AI indiquaient une adresse de l'assuré en Suisse (pces 76-77), l'administration réitère sa demande à cette nouvelle adresse (courrier daté du 26 juin 2008 [pce 78]).
A.i Par la suite, Monsieur C._______, agissant en tant que représentant de l'assuré, signale que ce dernier habite à Madagascar depuis 1999, raison pour laquelle les courriers adressés à son nom en République dominicaine sont restés sans réponse. Reconnaissant que l'assuré a oublié d'informer personnellement l'administration de son changement de domicile, il demande à la CSC de reconsidérer la décision d'exclusion en mettant notamment en avant le fait que les cotisations avaient toujours été payées par le père de l'intéressé, Monsieur B._______, que l'administration aurait dû adresser sa correspondance auprès de cette dernière personne, domiciliée en Suisse, avant de prononcer l'exclusion et que l'assuré était inscrit auprès de l'ambassade de Suisse à Madagascar depuis le 12 juillet 1999, de sorte que l'adresse de celui-ci était accessible à la Confédération (acte du 26 septembre 2008 [pce 85; cf. également pces 80; 83]).
B.
B.a Par actes des 21 et 25 novembre 2008 (pces 86 et 91), la CSC se déclare disposée à revenir sur sa décision d'exclusion si l'assuré, jusqu'au 31 décembre 2008, s'acquitte de sa dette de cotisations pour les années 2002-2005 s'élevant en dernier lieu à Fr. 5'198.90. Dans le cas contraire, elle ne pourra en revanche que confirmer sa décision d'exclusion du 10 janvier 2005.
B.b Agissant dès lors sans représentation, l'assuré téléphone à l'administration le 26 novembre 2008 pour contester le montant des cotisations qu'il estime trop élevé (pce 94).
La CSC, par courrier du même jour, lui envoie une copie de la décision de cotisations pour la période 2001 ainsi que les décisions de taxation d'office pour les périodes 2002/2003 et 2004/2005 (pce 95).
B.c Par acte du 5 décembre 2008 (pce 101), le recourant s'étonne que ses revenus pour les périodes 2002/2003 et 2004/2005 aient été estimés sans son accord soulignant que les raisons pour lesquelles il n'avait pas réagi aux actes de l'administration avaient été expliquées précédemment. Selon lui, depuis qu'il réside à Madagascar en 1999, il gagne en moyenne EUR 1'000.- par mois. Il demande à l'autorité inférieure de prendre en compte sa situation financière effective et de refaire le calcul des cotisations dues à l'assurance facultative sur cette nouvelle base. Il joint en annexe à son courrier deux certificats de salaire indiquant que l'assuré a travaillé en Suisse du 3 février au 11 avril 2003 et du 28 juin au 29 septembre 2004 pour le compte de l'entreprise D._______ (pces 99 et 100).
B.d Par décision du 21 janvier 2009 (pce 103; cf. également pce 102 [proposition du service juridique de la CSC du 7 janvier 2009]), l'autorité inférieure constate que le recourant n'a pas reçu les décisions de cotisations ni les rappels y relatifs, annule pour cette raison la décision d'exclusion du 10 janvier 2005 et réintègre l'assuré dans l'assurance facultative.
B.e Dans une lettre également datée du 21 janvier 2009 (pce 104), l'autorité inférieure informe l'assuré qu'elle est également disposée à rectifier les décisions de cotisations relatives aux périodes 2002/2003 et 2004/2005 à condition que l'intéressé lui retourne dans les 30 jours les formulaires de déclaration du revenu et de la fortune joints en annexe dûment remplis et accompagnés des pièces justificatives adéquates.
B.f Le recourant, par courrier du 13 février 2009 (pce 121), verse au dossier les formulaires "déclaration du revenu et de la fortune en vue du calcul des cotisations" qu'il remplit lui-même. Ces écrits se rapportent aux revenus gagnés pendant les années 2002 à 2008.
B.g La CSC, par acte du 3 mars 2009 (pce 125), constate que l'assuré n'a pas établi par pièces l'exactitude de ses indications conformément à l'art. 5

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 5 Obbligo di fornire informazioni - Gli assicurati sono tenuti a fornire alla rappresentanza svizzera, alla Cassa di compensazione e all'Ufficio AI per gli assicurati residenti all'estero tutte le informazioni necessarie all'applicazione dell'assicurazione facoltativa e, a richiesta, a comprovarne l'esattezza mediante documenti giustificativi. |
B.h Lors d'un entretien téléphonique du 4 mars 2009 (pce 126), l'assuré signale à l'administration que la comptabilité antérieure à 2004 a été détruite dans un ouragan (cf. également pces 127-129 [note internes relatives à des conversations téléphoniques et à un entretien avec l'intéressé]).
B.i Par acte du 4 avril 2009 (pce 134), l'assuré demande à l'autorité inférieure de revenir sur ses décisions de taxation d'office et de fixer les cotisations dues en se basant sur les revenus effectifs. Il signale qu'il ne peut plus récupérer les pièces justificatives requises, car les personnes à qui il a vendu sa société de plongée sous-marine ne se trouvent plus sur place vu la situation politique et économique sévissant à Madagascar en ce moment.
C.
Par décision du 20 avril 2009 (pce 136; cf. également pces 139 et 141), l'autorité inférieure rejette l'opposition de l'assuré et invite ce dernier à verser le solde de cotisations des années 2002-2005 d'un montant de Fr. 5'198.90 dans un délai de 30 jours dès notification dudit acte, précisant que, dans une procédure ultérieure, les cotisations des années 2006/2007 et 2008 devront également être fixées d'office si l'intéressé ne fournit aucun justificatif.
D.
Par acte du 16 mai 2009 (pce TAF 1), l'assuré interjette recours contre la décision sur opposition du 20 avril 2009 en reprenant les arguments mis en avant précédemment et soulignant que la situation économique et politique à Madagascar est exceptionnelle avec affrontements entre gouvernement et opposition.
E.
E.a Invitée à se prononcer sur le recours, l'autorité inférieure confirme les tenants et aboutissants de la décision attaquée (préavis du 9 juillet 2007 [pce TAF 3]).
E.b Par réplique du 9 septembre 2009 (pce TAF 5 à laquelle a été jointe en annexe une lettre du 10 août 2009 adressée à l'autorité inférieure), l'assuré, nouvellement représenté par Maître Eric Kaltenrieder, invite le Tribunal de céans à admettre le recours et à constater que le recourant n'est débiteur d'aucun solde de cotisations pour les années 2002-2005.
E.c Par duplique du 9 octobre 2009 (pce TAF 7), la CSC ne décèle aucun élément lui permettant de revenir sur ses conclusions précédentes. Par ordonnance du 20 novembre 2009 (pce TAF 8), cet acte est transmis au recourant pour connaissance.
F.
Indépendamment de la présente procédure, l'administration, par décisions datées du 8 juillet 2009 (pces 148-149; 150), procède à une taxation d'office pour les périodes 2006/2007 et 2008. Le recourant fait opposition contre lesdites décisions et l'autorité inférieure décide de suspendre ces affaires jusqu'à ce qu'un arrêt soit rendu dans la présente procédure (pce TAF 9).
Droit :
1.
1.1. Sous réserve des exceptions - non réalisées en l'espèce - prévues à l'art. 32

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |
|
1 | Il ricorso è inammissibile contro: |
a | le decisioni in materia di sicurezza interna o esterna del Paese, neutralità, protezione diplomatica e altri affari esteri, in quanto il diritto internazionale pubblico non conferisca un diritto al giudizio da parte di un tribunale; |
b | le decisioni in materia di diritto di voto dei cittadini nonché di elezioni e votazioni popolari; |
c | le decisioni in materia di salario al merito del personale federale, in quanto non concernano la parità dei sessi; |
d | ... |
e | le decisioni nel settore dell'energia nucleare concernenti: |
e1 | le autorizzazioni di massima per impianti nucleari, |
e2 | l'approvazione del programma di smaltimento, |
e3 | la chiusura di depositi geologici in profondità, |
e4 | la prova dello smaltimento; |
f | le decisioni in materia di rilascio o estensione di concessioni di infrastrutture ferroviarie; |
g | le decisioni dell'autorità indipendente di ricorso in materia radiotelevisiva; |
h | le decisioni in materia di rilascio di concessioni per case da gioco; |
i | le decisioni in materia di rilascio, modifica o rinnovo della concessione della Società svizzera di radiotelevisione (SSR); |
j | le decisioni in materia di diritto ai sussidi di una scuola universitaria o di un altro istituto accademico. |
2 | Il ricorso è inoltre inammissibile contro: |
a | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante opposizione o ricorso dinanzi a un'autorità ai sensi dell'articolo 33 lettere c-f; |
b | le decisioni che, in virtù di un'altra legge federale, possono essere impugnate mediante ricorso dinanzi a un'autorità cantonale. |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196819 sulla procedura amministrativa (PA). |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |
|
a | del Consiglio federale e degli organi dell'Assemblea federale in materia di rapporti di lavoro del personale federale, compreso il rifiuto dell'autorizzazione a procedere penalmente; |
b | del Consiglio federale concernenti: |
b1 | la destituzione di un membro del Consiglio della banca o della direzione generale o di un loro supplente secondo la legge del 3 ottobre 200325 sulla Banca nazionale, |
b10 | la revoca di un membro del consiglio d'amministrazione del Servizio svizzero di assegnazione delle tracce o l'approvazione della risoluzione del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio d'amministrazione secondo la legge federale del 20 dicembre 195743 sulle ferrovie; |
b2 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di vigilanza sui mercati finanziari o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 22 giugno 200726 sulla vigilanza dei mercati finanziari, |
b3 | il blocco di valori patrimoniali secondo la legge del 18 dicembre 201528 sui valori patrimoniali di provenienza illecita, |
b4 | il divieto di determinate attività secondo la LAIn30, |
b4bis | il divieto di organizzazioni secondo la LAIn, |
b5 | la revoca di un membro del Consiglio d'istituto dell'Istituto federale di metrologia secondo la legge federale del 17 giugno 201133 sull'Istituto federale di metrologia, |
b6 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'Autorità federale di sorveglianza dei revisori o l'approvazione dello scioglimento del rapporto di lavoro del direttore da parte del consiglio di amministrazione secondo la legge del 16 dicembre 200535 sui revisori, |
b7 | la revoca di un membro del Consiglio dell'Istituto svizzero per gli agenti terapeutici secondo la legge del 15 dicembre 200037 sugli agenti terapeutici, |
b8 | la revoca di un membro del consiglio di amministrazione dell'istituto secondo la legge del 16 giugno 201739 sui fondi di compensazione, |
b9 | la revoca di un membro del consiglio d'Istituto dell'Istituto svizzero di diritto comparato secondo la legge federale del 28 settembre 201841 sull'Istituto svizzero di diritto comparato, |
c | del Tribunale penale federale in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cbis | del Tribunale federale dei brevetti in materia di rapporti di lavoro dei suoi giudici e del suo personale; |
cquater | del procuratore generale della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei procuratori pubblici federali da lui nominati e del personale del Ministero pubblico della Confederazione; |
cquinquies | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro del personale della sua segreteria; |
cter | dell'autorità di vigilanza sul Ministero pubblico della Confederazione in materia di rapporti di lavoro dei membri del Ministero pubblico della Confederazione eletti dall'Assemblea federale plenaria; |
d | della Cancelleria federale, dei dipartimenti e dei servizi dell'Amministrazione federale loro subordinati o aggregati amministrativamente; |
e | degli stabilimenti e delle aziende della Confederazione; |
f | delle commissioni federali; |
g | dei tribunali arbitrali costituiti in virtù di contratti di diritto pubblico sottoscritti dalla Confederazione, dai suoi stabilimenti o dalle sue aziende; |
h | delle autorità o organizzazioni indipendenti dall'Amministrazione federale che decidono nell'adempimento di compiti di diritto pubblico loro affidati dalla Confederazione; |
i | delle autorità cantonali, in quanto una legge federale preveda che le loro decisioni sono impugnabili mediante ricorso dinanzi al Tribunale amministrativo federale. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 85bis Autorità federale di ricorso - 1 In deroga all'articolo 58 capoverso 2 LPGA391, i ricorsi di persone all'estero sono giudicati dal Tribunale amministrativo federale. Il Consiglio federale può prevedere che tale competenza sia attribuita al tribunale delle assicurazioni del Cantone in cui ha domicilio o sede il datore di lavoro dell'assicurato.392 |
1.2. Selon l'art 37

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA56, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 3 - Non sono regolate dalla presente legge: |
|
a | la procedura di autorità nel senso dell'articolo 1 capoverso 2 lettera e in quanto contro le loro decisioni non sia ammissibile un ricorso direttamente ad un'autorità federale; |
b | la procedura di prima istanza in materia di personale federale concernente l'istituzione iniziale del rapporto di servizio, la promozione, gli ordini di servizio e l'autorizzazione al procedimento penale contro l'agente; |
c | la procedura di prima istanza nelle cause amministrative penali e la procedura d'accertamento della polizia giudiziaria; |
d | la procedura della giustizia militare, compresa la giustizia militare disciplinare, la procedura in affari in materia di comando giusta l'articolo 37 come pure la procedura speciale giusta gli articoli 38 e 39 della legge militare del 3 febbraio 199517,18 ...19; |
dbis | la procedura in materia di assicurazioni sociali, sempre che la legge federale del 6 ottobre 200021 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali sia applicabile; |
e | la procedura d'imposizione doganale; |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 1 - 1 Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti disciplinata in questa prima parte, sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga alla LPGA. |
1.3. Selon l'art. 59

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 59 Legittimazione - Ha diritto di ricorrere chiunque è toccato dalla decisione o dalla decisione su opposizione e ha un interesse degno di protezione al suo annullamento o alla sua modificazione. |
1.4. Déposé en temps utile et dans les formes requises par la loi (art. 60

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 60 Termine di ricorso - 1 Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
|
1 | Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
2 | Gli articoli 38-41 sono applicabili per analogia. |
2.
Le recourant est citoyen suisse et a exercé une activité indépendante en République de Madagascar pendant la période déterminante. Comme la Suisse n'a pas conclu de convention internationale concernant les prestations d'invalidité, de vieillesse et de survivants avec ce pays, les droits et obligations du recourant en la matière se déterminent uniquement à la lumière du droit suisse dans la présente affaire.
3.
Le droit applicable est déterminé par les règles en vigueur au moment où les faits juridiquement déterminants se sont produits, le juge n'ayant pas à prendre en considération les modifications du droit ou de l'état de fait postérieures à la date déterminante de la décision litigieuse (ATF 129 V 4 consid. 1.2). Attendu que la décision entreprise porte sur des périodes de taxation allant jusqu'à l'année 2005, la modification de l'Ordonnance concernant l'assurance-vieillesse, survivants et invalidité facultative du 26 mai 1961 (RS 831.111; ci-après OAF) entrée en vigueur le 1er janvier 2008 ne trouve pas application et les dispositions citées ci-après sont celle en vigueur jusqu'au 31 décembre 2007.
4.
L'assurance facultative permet aux ressortissants suisses qui, après une période d'assurance ininterrompue d'au moins 5 ans, cessent d'être soumis à l'assurance obligatoire ou sont assujettis à l'AVS obligatoire pour une partie de leur revenu seulement de faire porter sur leur compte individuel les gains réalisés à l'étranger moyennant le paiement de cotisations (art. 2 al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 2 Assicurazione facoltativa - 1 I cittadini svizzeri e i cittadini degli Stati membri della Comunità europea o dell'Associazione europea di libero scambio (AELS) che vivono al di fuori della Comunità europea o degli Stati dell'AELS e sono stati assicurati obbligatoriamente per un periodo ininterrotto di almeno cinque anni possono aderire all'assicurazione facoltativa.24 |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 7 Condizioni - 1 Possono partecipare all'assicurazione facoltativa le persone che adempiono le condizioni di cui all'articolo 2 capoverso 1 LAVS, comprese le persone che sono assoggettate all'assicurazione obbligatoria per una parte del loro reddito. |
|
1 | Possono partecipare all'assicurazione facoltativa le persone che adempiono le condizioni di cui all'articolo 2 capoverso 1 LAVS, comprese le persone che sono assoggettate all'assicurazione obbligatoria per una parte del loro reddito. |
2 | ...13 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 2 Assicurazione facoltativa - 1 I cittadini svizzeri e i cittadini degli Stati membri della Comunità europea o dell'Associazione europea di libero scambio (AELS) che vivono al di fuori della Comunità europea o degli Stati dell'AELS e sono stati assicurati obbligatoriamente per un periodo ininterrotto di almeno cinque anni possono aderire all'assicurazione facoltativa.24 |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 14 Base di calcolo dei contributi, anno contributivo - 1 I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
|
1 | I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
2 | Per il calcolo dei contributi degli assicurati che esercitano un'attività lucrativa è determinante il reddito effettivamente conseguito durante l'anno contributivo, per gli assicurati senza attività lucrativa il reddito conseguito effettivamente in forma di rendita e la sostanza al 31 dicembre. Per calcolare il reddito da attività indipendente è determinante il capitale proprio investito nell'azienda alla fine dell'anno contributivo. L'interesse deducibile è stabilito conformemente all'articolo 18 capoverso 2 dell'ordinanza del 31 ottobre 194730 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti. È arrotondato al mezzo punto percentuale superiore o inferiore. |
3 | Per la conversione del reddito e della sostanza in franchi svizzeri si applica il corso annuo medio dell'anno contributivo definito al capoverso 1. Il corso è stabilito dalla Cassa di compensazione. |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 15 |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 14 Base di calcolo dei contributi, anno contributivo - 1 I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
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1 | I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
2 | Per il calcolo dei contributi degli assicurati che esercitano un'attività lucrativa è determinante il reddito effettivamente conseguito durante l'anno contributivo, per gli assicurati senza attività lucrativa il reddito conseguito effettivamente in forma di rendita e la sostanza al 31 dicembre. Per calcolare il reddito da attività indipendente è determinante il capitale proprio investito nell'azienda alla fine dell'anno contributivo. L'interesse deducibile è stabilito conformemente all'articolo 18 capoverso 2 dell'ordinanza del 31 ottobre 194730 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti. È arrotondato al mezzo punto percentuale superiore o inferiore. |
3 | Per la conversione del reddito e della sostanza in franchi svizzeri si applica il corso annuo medio dell'anno contributivo definito al capoverso 1. Il corso è stabilito dalla Cassa di compensazione. |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 14 Base di calcolo dei contributi, anno contributivo - 1 I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
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1 | I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
2 | Per il calcolo dei contributi degli assicurati che esercitano un'attività lucrativa è determinante il reddito effettivamente conseguito durante l'anno contributivo, per gli assicurati senza attività lucrativa il reddito conseguito effettivamente in forma di rendita e la sostanza al 31 dicembre. Per calcolare il reddito da attività indipendente è determinante il capitale proprio investito nell'azienda alla fine dell'anno contributivo. L'interesse deducibile è stabilito conformemente all'articolo 18 capoverso 2 dell'ordinanza del 31 ottobre 194730 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti. È arrotondato al mezzo punto percentuale superiore o inferiore. |
3 | Per la conversione del reddito e della sostanza in franchi svizzeri si applica il corso annuo medio dell'anno contributivo definito al capoverso 1. Il corso è stabilito dalla Cassa di compensazione. |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 5 Obbligo di fornire informazioni - Gli assicurati sono tenuti a fornire alla rappresentanza svizzera, alla Cassa di compensazione e all'Ufficio AI per gli assicurati residenti all'estero tutte le informazioni necessarie all'applicazione dell'assicurazione facoltativa e, a richiesta, a comprovarne l'esattezza mediante documenti giustificativi. |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 17 Intimazione - 1 L'assicurato, che non fornisce entro il termine prescrittogli, le indicazioni necessarie per determinare i buoi contributi, dev'essere diffidato per iscritto, entro due mesi, ad adempiere i suoi obblighi all'uopo gli sarà assegnato un termine supplementare di trenta giorni. In caso d'inosservanza del termine supplementare, i contributi sono determinati mediante una tassazione d'ufficio, eccetto che l'assicurato non abbia ancora versato contributi all'assicurazione facoltativa.42 |
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1 | L'assicurato, che non fornisce entro il termine prescrittogli, le indicazioni necessarie per determinare i buoi contributi, dev'essere diffidato per iscritto, entro due mesi, ad adempiere i suoi obblighi all'uopo gli sarà assegnato un termine supplementare di trenta giorni. In caso d'inosservanza del termine supplementare, i contributi sono determinati mediante una tassazione d'ufficio, eccetto che l'assicurato non abbia ancora versato contributi all'assicurazione facoltativa.42 |
2 | L'assicurato che non paga contributi diventati esigibili deve essere diffidato, per iscritto, entro due mesi, ad adempire i suoi obblighi all'uopo gli sarà assegnato un termine supplementare di trenta giorni. In caso d'inosservanza del termine supplementare, la Cassa di compensazione assegna all'assicurato un ultimo termine di pagamento e richiama la sua attenzione sulle conseguenze dell'inosservanza di tale termine. |
optique une majoration de 20 à 30% par rapport au revenu pris en considération lors de la période précédente restait conforme au droit fédéral (ATF 113 V 81 consid. 5b; cf. aussi arrêt de la Commission fédérale de recours en matière d'assurance-vieillesse, invalidité et survivants pour les personnes résidant à l'étranger AVS 60618 du 21 mars 2005 consid. 4).
5.
Conformément aux indications contenues dans la décision attaquée et aux conclusions du recourant, le litige porte sur le point de savoir si l'administration a agi conformément au droit en fixant les cotisations dues à l'assurance facultative pour les périodes 2002/2003 et 2004/2005 sur la base d'une taxation d'office et en exigeant du recourant le versement d'un solde global de cotisations pour les périodes susmentionnées d'un montant total de Fr. 5'198.90.
6.
A titre liminaire, on constate que le recourant ne peut tirer aucun avantage du fait qu'il a travaillé en Suisse deux mois en 2003 et 3 mois en 2004, comme le relève à juste titre l'autorité inférieure. En effet, un nouveau calcul des cotisations suppose que l'assuré apporte la preuve d'une modification profonde et durable des bases de son revenu ou des conditions de sa fortune (art. 14 al. 3

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 14 Base di calcolo dei contributi, anno contributivo - 1 I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
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1 | I contributi sono determinati in franchi svizzeri per ogni anno contributivo. L'anno contributivo corrisponde all'anno civile. |
2 | Per il calcolo dei contributi degli assicurati che esercitano un'attività lucrativa è determinante il reddito effettivamente conseguito durante l'anno contributivo, per gli assicurati senza attività lucrativa il reddito conseguito effettivamente in forma di rendita e la sostanza al 31 dicembre. Per calcolare il reddito da attività indipendente è determinante il capitale proprio investito nell'azienda alla fine dell'anno contributivo. L'interesse deducibile è stabilito conformemente all'articolo 18 capoverso 2 dell'ordinanza del 31 ottobre 194730 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti. È arrotondato al mezzo punto percentuale superiore o inferiore. |
3 | Per la conversione del reddito e della sostanza in franchi svizzeri si applica il corso annuo medio dell'anno contributivo definito al capoverso 1. Il corso è stabilito dalla Cassa di compensazione. |
7.
Il convient ensuite de déterminer dans quelle mesure les règles concernant la péremption des créances font obstacle à la réclamation des cotisations en cause dans la présente affaire.
7.1. Selon l'art. 16 al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 16 Prescrizione - 1 I contributi il cui importo non è stato fissato mediante decisione formale entro un termine di cinque anni dalla fine dell'anno civile per il quale sono dovuti non possono più essere né pretesi né pagati. In deroga all'articolo 24 capoverso 1 LPGA84, per i contributi secondo gli articoli 6 capoverso 1, 8 capoverso 1 e 10 capoverso 1 il termine di prescrizione scade soltanto un anno dopo la fine dell'anno civile in cui la tassazione fiscale determinante è passata in giudicato.85 Se il diritto di esigere il pagamento di contributi arretrati nasce da un atto punibile per il quale la legge penale prevede un termine di prescrizione più lungo, quest'ultimo è determinante. |

SR 831.111 Ordinanza del 26 maggio 1961 concernente l'assicurazione facoltativa per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità (OAF) OAF Art. 15 |
7.2. En l'occurrence, comme le reconnaît à juste titre l'autorité inférieure, les actes envoyés à l'assuré après décembre 2000 n'ont pas été notifiés valablement. En effet, dès ce moment-là, l'administration ne pouvait continuer à envoyer la correspondance à l'ancienne adresse du recourant en République Dominicaine, dès lors qu'elle savait que l'assuré avait changé de pays de résidence et qu'elle considérait elle-même Monsieur B._______ comme représentant de l'assuré (cf. pce 60). Selon la jurisprudence, un acte qui n'est pas notifié aux parties ne déploie aucun effet juridique. Il peut toutefois être remédié au vice en notifiant valablement à une date ultérieure l'acte concerné (ATF 122 I 97 consid. 3b; Ulrich Häfelin/Georg Müller/Felix Uhlmann; Allgemeines Verwaltungsrecht, 6ème éd., Zurich St. Gallen 2010 p. 218 n° 977). En l'occurrence, l'administration a signalé au recourant, par écrits des 21 et 25 novembre 2008 (pces 86; 91), qu'elle entendait ne pas s'écarter des décisions de taxation des 25 mars 2003 (concernant la période 2002/2003) et 18 août 2004 (concernant la période 2004/2005). Par acte du 26 novembre 2008 (pce 95 reçu par l'assuré au plus tard le 5 décembre 2008 [cf. pce 101]), elle a ensuite fait parvenir à l'intéressé les documents précités. Il y a donc lieu de considérer que cette notification a mis fin au délai de péremption de 5 ans des créances y afférentes. Quoiqu'en dise l'autorité inférieure (cf. pce 102 [prise de position juridique du 7 janvier 2009]), il s'ensuit par conséquent que les créances ne sont plus exigibles si leur délai de péremption a commencé à courir avant le 5 décembre 2003. Tel est ainsi le cas des créances de cotisations dues en 2002 (délai de péremption courant du 31 décembre 2002 au 31 décembre 2007 en application des art. 16 al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 16 Prescrizione - 1 I contributi il cui importo non è stato fissato mediante decisione formale entro un termine di cinque anni dalla fine dell'anno civile per il quale sono dovuti non possono più essere né pretesi né pagati. In deroga all'articolo 24 capoverso 1 LPGA84, per i contributi secondo gli articoli 6 capoverso 1, 8 capoverso 1 e 10 capoverso 1 il termine di prescrizione scade soltanto un anno dopo la fine dell'anno civile in cui la tassazione fiscale determinante è passata in giudicato.85 Se il diritto di esigere il pagamento di contributi arretrati nasce da un atto punibile per il quale la legge penale prevede un termine di prescrizione più lungo, quest'ultimo è determinante. |
8.
Il sied ensuite d'examiner si l'autorité inférieure était habilitée à effectuer une taxation d'office pour la période 2003 et la période 2004/2005.
8.1. Le recourant est d'avis que les cotisations doivent être fixées en se référant aux revenus effectivement gagnés à Madagascar qui variaient, selon ses seules déclarations, entre EUR 9'000.- et EUR 12'000.- par an et étaient ainsi bien inférieurs à ce qu'a retenu l'autorité inférieure. Selon lui, on ne saurait faire abstraction du fait que l'autorité inférieure a commis une faute en ne procédant pas dans un délai raisonnable à des recherches portant sur sa véritable adresse et en le mettant ainsi plus tôt en demeure d'accomplir les actes requis. De la sorte, il n'a pas pu prendre à temps les mesures qui s'imposaient pour fournir les renseignements nécessaires et notamment mettre en lieu sûr des exemplaires de sa comptabilité dont il ne peut plus verser de relevés au dossier pour des raisons indépendantes de sa volonté. Dans ces circonstances, l'administration violerait le principe de la bonne foi en faisant dépendre la mise en oeuvre d'une taxation basée sur le salaire effectif de la production de pièces justificatives.
La CSC rejette l'argumentation du recourant en faisant valoir le principe de la légalité et la pratique constante en matière de taxation d'office.
8.2. Le droit à la protection de la bonne foi est expressément consacré à l'art. 9

SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 9 Protezione dall'arbitrio e tutela della buona fede - Ognuno ha diritto d'essere trattato senza arbitrio e secondo il principio della buona fede da parte degli organi dello Stato. |
Ainsi, l'autorité qui fait une promesse, donne une information ou une assurance, doit satisfaire les expectatives créées, même si la promesse ou l'expectative sont illégales, si les conditions cumulatives suivantes sont réunies: il faut 1) que l'autorité soit intervenue dans une situation concrète à l'égard de personnes déterminées, 2) qu'elle ait agi ou soit censée avoir agi dans les limites de sa compétence, 3) que l'administré n'ait pu se rendre compte immédiatement de l'inexactitude du renseignement obtenu, 4) qu'il se soit fondé sur celui-ci pour prendre des dispositions qu'il ne saurait modifier sans subir un préjudice, et 5) que la loi n'ait pas changé depuis le moment où le renseignement a été donné (ATF 131 II 627 consid. 6.1 et réf. cit.; ATF 121 V 66 consid. 2a). Par ailleurs, selon la doctrine et la jurisprudence, une mise en application insuffisante ou inexistante du devoir de renseigner au sens de l'art. 27 al. 2

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
|
1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |
8.3. Dans la présente affaire, force est de constater que l'administration a respecté son devoir de renseigner en ce qui concerne l'obligation de présenter des justificatifs comptables. En effet, par lettre du 3 avril 1996 (pce 15), le Consulat général suisse à Saint Domingue compétent en son temps avait déjà mis en demeure le recourant de lui fournir les pièces comptables requises faute de quoi il serait procédé à une taxation d'office. L'assuré n'ayant pas donné suite à cette injonction, son revenu déterminant pour la période 1996/1997 avait été fixé à Fr. 9'300.- (décision de taxation du 5 juin 2006 [pces 16-17]). A cet égard, l'autorité indiquait qu'une majoration de 30% avait été opérée par rapport à la dernière décision. Par acte du 2 avril 1998 (pce 18), le Consulat général suisse à Saint Domingue avait à nouveau mis le recourant en demeure de fournir les pièces requises en l'avertissant que, en cas d'omission, une taxation d'office serait effectuée. Le recourant avait cette fois fourni les renseignements requis en indiquant explicitement qu'il était en possession des pièces comptables y relatives (pce 20). Suite à une mise en demeure restée infructueuse (pce 27), l'autorité avait derechef procédé à une taxation d'office pour la période 2000/2001 en indiquant clairement qu'une majoration de 20% avait été retenue par rapport à la dernière décision (pce 29 valablement notifiée au recourant [cf. supra consid. 7.2]). Dans ces conditions, on ne saurait en aucun cas suivre le point de vue du recourant dans la mesure où il prétend qu'il n'aurait pas été suffisamment informé par l'autorité.
8.4. Il reste encore à examiner si le comportement de l'autorité inférieure était de nature à créer une apparence de droit susceptible de rendre nécessaire une dérogation au principe de la légalité dans la présente affaire. Comme le relève à juste titre le recourant, il est difficilement compréhensible que l'administration ait continué à envoyer la correspondance à son ancienne adresse au vu des informations dont elle disposait dès la fin de l'année 2000 (cf. supra consid. 7.2). L'assuré en infère qu'il pouvait de bonne foi estimer que le paiement des cotisations à l'assurance facultative pour les périodes 2001 et suivantes était effectué de façon conforme au droit. Tel n'est toutefois manifestement pas le cas au vu des nombreuses négligences qu'il y a lieu de reprocher à l'assuré dans la présente affaire. D'une part, comme il le reconnaît lui-même, le recourant a omis de faire part au Consulat suisse de Saint Domingue de l'adresse de son nouveau domicile quand bien même ce dernier l'avait explicitement sommé par lettre du 5 juin 1998 (pce 24) de lui communiquer cette information et malgré le fait que la CSC avait réitéré cette injonction lors d'un entretien téléphonique avec son représentant, Monsieur B._______ en date du 20 décembre 2000 (pce 60; cf. aussi pce TAF 5 p. 4). D'autre part, le recourant savait (ou aurait en tous les cas dû savoir) qu'il était tenu de présenter des documents comptables tous les deux ans faute de quoi l'administration procédait à une taxation d'office comprenant une majoration par rapport à la période précédente. Dans ce contexte, on souligne que les cotisations dues pour les périodes 1992/1993, 1994/1995, 1996/1997, 1998/1999, 2000/2001 n'étaient jamais restées identiques. Au vu de l'ensemble de ces circonstances, le recourant, qui de surcroît avait changé de pays de résidence en élisant domicile à Madagascar et créé une nouvelle entreprise de plongée sous-marine dans ce pays, ne pouvait déduire du silence de l'autorité inférieure que la situation juridique était en règle et que les cotisations trimestrielles dues resteraient figées pendant plusieurs années à Fr. 204.15. Bien plus, il se devait de prendre contact avec la CSC fin 2001 pour demander pour quelles raisons aucune décision de taxation ne lui avait pas été notifiée à l'instar des années précédentes. Il a ainsi contribué de façon essentielle par son comportement à savoir en n'attachant pas l'attention requise et que l'on pouvait raisonnablement exiger de sa part à ses affaires concernant l'assurance facultative à ce que l'erreur de l'administration conduise à une péjoration non négligeable de sa situation juridique. Il ne peut dans ces conditions se prévaloir du principe de la bonne foi (cf.Häfelin/Müller/
Uhlmann, op. cit., p. 149 n° 658).
9.
Il ressort de ce qui précède que l'autorité inférieure était habilitée à procéder à une taxation d'office pour les périodes 2003 et 2004/2005. Dans de telles constellations, il est de pratique constante que l'administration procède à une majoration de 20% à 30% par rapport à la base du revenu pris en considération lors de la période précédente (pratique autrefois codifiée au chiffre 66 des instructions aux représentations suisses à l'étranger éditée par la CSC en 1985; cf. aussi pce 135, 1er paragraphe, pces TAF 3 et TAF 9; voire également supra consid. 4 in fine et arrêt du Tribunal fédéral H 385/01 du 9 mai 2003 duquel il ressort que la nouvelle teneur de l'OAF, en vigueur depuis le 1er janvier 2001, n'a pas entraîné de modification de la jurisprudence rendue jusqu'alors concernant le devoir d'informer des assurés et les taxations d'office). Compte tenu du comportement particulièrement négligent du recourant dans la présente affaire qui fait passer clairement à l'arrière-plan les notifications incorrectes entreprises par la CSC (cf. supra consid. 8.4) et du manquement au devoir d'informer qu'il convient de reprocher à l'assuré (sur les exigences très étendues en la matière vu la difficulté pour l'administration d'accéder aux renseignements nécessaires à l'étranger cf. arrêt du Tribunal fédéral H 385/01 du 9 mai 2003 consid. 5.2), le Tribunal de céans ne voit pas de raisons suffisantes pour remettre en question le choix de l'administration consistant à retenir une majoration maximale de 30% du revenu pour les périodes en cause, d'autant plus que l'assuré est resté très vague et imprécis quant aux revenus effectivement obtenus à Madagascar (cf. notamment pces 110 p. 2 et 113 p. 2 indiquant une fois un revenu de EUR 12'000.- pour la période 2004/2005 et une autre fois un revenu de EUR 9'000.-) et qu'il n'a pas produit de document probant (par exemple une lettre de confirmation émanant des autorités de Madagascar) permettant de rendre un tant soit peu crédibles ses allégations selon lesquelles des doubles de sa comptabilité ne seraient plus disponibles. On ne peut ainsi conclure que l'autorité a violé son pouvoir d'appréciation.
10.
Eu égard à ce qui a été dit, il appert que le recours doit être partiellement admis en ce sens que les cotisations pour la période 2002 ne sont plus exigibles pour cause de péremption et ne peuvent donc plus être réclamées par l'autorité inférieure. En revanche, l'assuré est encore tenu de s'acquitter des cotisations dues pour les périodes 2003 à 2005 (cf. pces 42 et 49). Les actes de la cause ne contenant pas de données détaillées quant aux cotisations déjà payées par l'assuré (cf. le décompte du 25 novembre 2008 très sommaire versé au dossier par l'autorité inférieure [pce 91]), il convient de renvoyer la cause à la CSC afin qu'elle calcule le solde des cotisations encore dû pour les périodes déterminantes. Ensuite, l'autorité impartira au recourant un bref délai pour s'acquitter des montants encore dus sous peine d'exclusion de l'assurance facultative.
11.
Il n'est pas perçu de frais de procédure (art. 85bis al. 2

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 85bis Autorità federale di ricorso - 1 In deroga all'articolo 58 capoverso 2 LPGA391, i ricorsi di persone all'estero sono giudicati dal Tribunale amministrativo federale. Il Consiglio federale può prevedere che tale competenza sia attribuita al tribunale delle assicurazioni del Cantone in cui ha domicilio o sede il datore di lavoro dell'assicurato.392 |
12.
Le recourant ayant agi en étant représenté au stade de la réplique par un mandataire professionnel (avec production d'un mémoire de 5 pages) et ayant obtenu que partiellement gain de cause, il lui est alloué une indemnité globale de dépens de Fr. 300.-, laquelle est fixée en fonction de l'importance et de la difficulté de la cause ainsi que du travail effectif de l'avocat (art. 64 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
|
1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
|
1 | La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
2 | Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione. |
3 | Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili. |
4 | Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili. |
5 | L'articolo 6a è applicabile per analogia.7 |
(dispositif à la page suivante
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est partiellement admis et la décision attaquée réformée dans le sens du considérant 10.
2.
La cause est renvoyée à l'administration afin qu'elle calcule le solde des cotisations dues par le recourant dans les périodes déterminantes et rende une nouvelle décision.
3.
Un montant de Fr. 300.- est alloué au recourant à titre d'indemnité de dépens, à charge de l'autorité inférieure.
4.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (Acte judiciaire)
- à l'instance inférieure (n° de réf.)
- à l'Office fédéral des assurances sociales.
Le président du collège : Le greffier :
Vito Valenti Yannick Antoniazza-Hafner
Indication des voies de droit :
Le présent arrêt peut être attaqué devant le Tribunal fédéral, Schweizerhofquai 6, 6004 Lucerne, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 44 ss

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 44 Decorrenza - 1 I termini la cui decorrenza dipende da una notificazione o dal verificarsi di un evento decorrono a partire dal giorno successivo. |
|
1 | I termini la cui decorrenza dipende da una notificazione o dal verificarsi di un evento decorrono a partire dal giorno successivo. |
2 | Una notificazione recapitabile soltanto dietro firma del destinatario o di un terzo autorizzato a riceverla è reputata avvenuta al più tardi il settimo giorno dopo il primo tentativo di consegna infruttuoso. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
|
a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
|
1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
1bis | Se un procedimento in materia civile si è svolto in inglese dinanzi all'autorità inferiore, gli atti scritti possono essere redatti in tale lingua.14 |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.15 16 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201617 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.18 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
Expédition :