Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
9C 368/2022, 9C 422/2022
Urteil vom 9. Dezember 2022
II. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Parrino, Präsident,
Bundesrichter Stadelmann,
Bundesrichterin Moser-Szeless,
Gerichtsschreiber Traub.
Verfahrensbeteiligte
9C 368/2022
IV-Stelle des Kantons Zürich, Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdeführerin,
gegen
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Yolanda Schweri,
Beschwerdegegnerin,
und
9C 422/2022
A.________,
vertreten durch Rechtsanwältin Yolanda Schweri,
Beschwerdeführerin,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich, Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerden gegen das Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 21. Juni 2022 (IV.2021.00667).
Sachverhalt:
A.
Die IV-Stelle des Kantons Zürich sprach A.________ (geb. 1974) für die Folgen eines am 10. März 2003 erlittenen Verkehrsunfalls (Distorsion der Hals- und Lendenwirbelsäule) eine von März 2004 bis April 2007 befristete ganze Invalidenrente zu (Verfügung vom 14. März 2008, bestätigt mit Urteil des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 14. Juli 2009). Am 18. September 2013 verletzte sich A.________ bei einem weiteren Verkehrsunfall wiederum an der Halswirbelsäule. Im Juli 2016 meldete sie sich bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug neu an. Unter anderem gestützt auf ein polydisziplinäres Gutachten der Medizinischen Abklärungsstelle (MEDAS) medexperts AG, St. Gallen, vom 12. Februar 2018 und auf eine Haushaltabklärung verneinte die IV-Stelle den Rentenanspruch (Verfügung vom 5. Oktober 2021).
B.
Das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich hiess die von A.________ erhobene Beschwerde gut und sprach ihr mit Wirkung ab Januar 2018 eine Viertelsrente zu (Urteil vom 21. Juni 2022).
C.
Die IV-Stelle und A.________ führen je Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten. Die IV-Stelle beantragt im Verfahren 9C 368/2022, in Aufhebung des angefochtenen Urteils und Bestätigung der strittigen Verfügung vom 5. Oktober 2021 sei festzustellen, dass kein Rentenanspruch bestehe. Dem Rechtsmittel sei aufschiebende Wirkung zuzuerkennen. A.________ beantragt im Verfahren 9C 422/2022, es sei ihr mit Wirkung ab Februar 2017 eine Invalidenrente zuzusprechen.
Erwägungen:
1.
Die Verfahren 9C 368/2022 (Beschwerde der IV-Stelle) und 9C 422/2022 (Beschwerde von A.________) sind zu vereinigen und in einem einzigen Urteil zu erledigen (vgl. Art. 71
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 71 - Lorsque la présente loi ne contient pas de dispositions de procédure, les dispositions de la PCF31 sont applicables par analogie. |
SR 273 Loi fédérale du 4 décembre 1947 de procédure civile fédérale PCF Art. 24 - 1 Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires. |
|
1 | Le demandeur qui entend exercer plusieurs actions contre le même défendeur peut les joindre dans une seule demande si le Tribunal fédéral est compétent pour connaître de chacune d'elles. Cette condition n'est pas exigée pour des prétentions accessoires. |
2 | Plusieurs personnes peuvent agir comme demandeurs ou être actionnées comme défendeurs par la même demande: |
a | s'il existe entre elles, en raison de l'objet litigieux, une communauté de droit ou si leurs droits ou leurs obligations dérivent de la même cause matérielle et juridique. Le juge peut appeler en cause un tiers qui fait partie de la communauté de droit. L'appelé en cause devient partie au procès; |
b | si des prétentions de même nature et reposant sur une cause matérielle et juridique essentiellement de même nature forment l'objet du litige et que la compétence du Tribunal fédéral soit donnée à l'égard de chacune d'elles. |
3 | Le juge peut en tout état de cause ordonner la disjonction, s'il l'estime opportun. |
2.
Am 1. Januar 2022 trat das revidierte Bundesgesetz über die Invalidenversicherung (IVG; SR 831.20) in Kraft (Weiterentwicklung der IV [WEIV]; Änderung vom 19. Juni 2020, AS 2021 705, BBl 2017 2535). Die angefochtene Verfügung erging vor dem 1. Januar 2022. Nach den allgemeinen Grundsätzen des intertemporalen Rechts und zum zeitlich massgebenden Sachverhalt (statt vieler: BGE 144 V 210 E. 4.3.1 mit Hinweisen) sind die Bestimmungen des IVG und diejenigen der Verordnung über die Invalidenversicherung (IVV; SR 831.201) sowie des Bundesgesetzes über den Allgemeinen Teil des Sozialversicherungsrechts (ATSG; SR 830.1) in der bis 31. Dezember 2021 gültig gewesenen Fassung anwendbar (BGE 148 V 174 E. 4.1).
3.
Die Versicherte (Beschwerdeführerin im Verfahren 9C 422/2022) macht geltend, die Vorinstanz erkenne die gutachterliche Beurteilung der gesundheitlichen Verhältnisse und der funktionalen Leistungsfähigkeit zu Unrecht als beweiskräftig. Das Gutachten sei in verschiedenen Punkten nicht schlüssig.
3.1. Die Vorinstanz stellt auf das interdisziplinäre Gutachten der MEDAS vom 12. Februar 2018 ab. Die Sachverständigen diagnostizierten u.a. ein chronifizierendes Panvertebralsyndrom (Spondyloarthritis, Status nach mehreren Distorsionen der Halswirbelsäule, mehrsegmentale Degenerationen der Hals- und Brustwirbelsäule [schwere Foramenstenose C3/4, Diskusprotrusion Th5/6 und 6/7], muskuläre Dysbalancen, segmentale Dysfunktionen, vegetative Begleitsymptome [Müdigkeit, Schwindel, Konzentrationsstörungen, Sehstörungen]) sowie eine chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren. Gestützt auf das Gutachten schliesst die Vorinstanz, die Versicherte sei sowohl in der bisherigen Tätigkeit als Bankangestellte wie auch in jeder anderen leichten, wechselbelastenden Tätigkeit ohne Rückenbelastung zu 70 Prozent arbeitsfähig.
3.2. Das Bundesgericht legt seinem Urteil den Sachverhalt zugrunde, den die Vorinstanz festgestellt hat (Art. 105 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
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1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
(BGE 144 V 50 E. 4.2 mit Hinweisen).
3.3. Zunächst verweist die Versicherte auf ihr Vorbringen im kantonalen Prozess, die rheumatologische Beurteilung im MEDAS-Gutachten vom 12. Februar 2018 sei widersprüchlich. Einerseits werde dort festgehalten, nach dem (zweiten) Unfall im Jahr 2013 mit Distorsion der Halswirbelsäule könne binnen weniger Wochen mit dem Erreichen des Status quo ante (Zustand vor dem Unfall) gerechnet werden, weil keine strukturellen Läsionen oder Veränderungen nachgewiesen seien; anderseits werde bestätigt, dass im Frühjahr 2014 eine schwere Foramenstenose C3/C4 mit Kompression der C4-Wurzel dokumentiert worden sei. Die vorinstanzliche Feststellung, es lägen keine strukturellen Läsionen oder Veränderungen vor, sei mithin aktenwidrig. Es erschliesse sich nicht, weshalb eine erneute Traumatisierung der schwer geschädigten Halswirbelsäule schon nach wenigen Wochen abgeheilt gewesen sein soll; ebensowenig sei nachvollziehbar, dass die Gutachter angesichts der somatischen Befunde (auch) von einer Schmerzverarbeitungsstörung ausgingen.
Anspruchserheblich ist erst der Gesundheitszustand nach Ablauf des Wartejahres (Art. 28 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
Die Versicherte legt nicht dar, weshalb die Vorinstanz ihrer Meinung nach aus dem Befund eines "neuerlichen kraniozervikalen Beschleunigungstraumas 18.09.2013 mit anschliessender Schmerzverarbeitungsstörung" (Gutachten S. 65 unten) hätte ableiten müssen, die somatischen Befunde seien unzureichend berücksichtigt. Als Diagnose mit Einschränkung der Arbeitsfähigkeit gilt (neben dem chronifizierenden Panvertebralsyndrom) auch die - den Beschwerden psychischer Natur zugehörige - "chronische Schmerzstörung mit somatischen und psychischen Faktoren" (Gutachten S. 60 und 68). Aus somatischer Sicht ist eine Arbeitsunfähigkeit in der bisherigen wie auch in angepassten Tätigkeiten attestiert, die (mit 30 Prozent) höher ist als diejenige aus psychiatrischer Sicht (20 Prozent). Im Übrigen ist nicht erkennbar, inwiefern die im Gutachten gewählte Einordnung der Gesamtsymptomatik mit somatischen und psychischen Komponenten das Profil des funktionalen Leistungsvermögens verfälschen sollte.
3.4. Weiter vermisst die Versicherte im Gutachten ein qualitatives Zumutbarkeitsprofil. Folgeerscheinungen der HWS-Traumata (insbesondere Müdigkeit, Schwindel, Kopfschmerzen, Tinnitus, Sehstörungen, Gleichgewichtsstörungen und Konzentrationsstörungen) und die im Verlauf der neuropsychologischen und der psychiatrischen Teilbegutachtungen aufgetretene verstärkte Ermüdung und Schmerzsymptomatik würden zwar als vegetative Begleitsymptome mit Einschränkung der Arbeitsfähigkeit erwähnt; sie flössen aber nicht in die Beurteilung einer zumutbaren Tätigkeit ein.
Es trifft zwar zu, dass die Gutachter die erwerbsrelevanten funktionalen Einschränkungen nicht systematisch anhand der einzelnen Befunde herleiten. Jedoch wird aus den Ausführungen der Sachverständigen deutlich, dass sie die frühere Tätigkeit wie jede andere "körperlich leichte, wechselbelastende berufliche Tätigkeit ohne Rückenbelastungen" für grundsätzlich (im Rahmen der eingeschränkten Leistungsfähigkeit) zumutbar halten (Gutachten S. 68). Die Versicherte behauptet zu Recht nicht, ein andersartiges Anforderungsprofil würde den vegetativen Symptomen eher gerecht.
3.5. Die Versicherte vertritt die Auffassung, der neurologische Teilgutachter, der die permanenten Kopfschmerzen als Spannungskopfschmerzen ohne Einfluss auf die Arbeitsfähigkeit qualifiziere, verkenne die neuralgische Natur dieser posttraumatischen Beschwerden. Zu Unrecht stelle die Vorinstanz fest, die nach der Begutachtung stattgefundenen Abklärungen hätten keine neuen Erkenntnisse hervorgebracht.
Es ist weder dargetan noch ersichtlich, inwiefern die Genese resp. diagnostische Einordnung der betreffenden gesundheitlichen Beeinträchtigungen die Einschätzung der Arbeitsfähigkeit massgeblich beeinflussen sollte. Insoweit kann auf die Beschwerde nicht eingetreten werden (Art. 42 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
3.6. Nach Auffassung der Versicherten haben sich die neuropsychologischen Befunde nicht den tatsächlichen Verhältnissen entsprechend in den gutachtlichen Schlussfolgerungen niedergeschlagen.
Die Versicherte verweist auf eine Stellungnahme des Prof. Dr. B.________, Institut C.________, vom 14. Januar 2019. Sie bringt vor, die Vorinstanz gehe zu Unrecht davon aus, dass Prof. Dr. B.________ den Schlussfolgerungen im neuropsychologischen Teil des Gutachtens folge. Dies treffe nur hinsichtlich der kognitiven Befähigung zu einschlägigen Tätigkeiten zu, nicht aber für den (infolge Verlangsamung und erhöhtem Pausenbedarf) reduzierten Output. Prof. Dr. B.________ zeige auf, dass eine dreistündige neuropsychologische Abklärung das Ausmass der Beeinträchtigung über einen gesamten Arbeitstag hinweg nicht abbilden könne. Die Vorinstanz erwägt, die Behauptung, die psychiatrische Expertin der MEDAS habe den von Prof. Dr. B.________ attestierten erhöhten Pausenbedarf verkannt, sei unzutreffend. Die psychiatrische Sachverständige habe der im neuropsychologischen Konsilium attestierten leichten Einschränkung der Aufmerksamkeit und Konzentration in Form "eines erhöhten Pausenbedarfs bei reduziertem Output" Rechnung getragen.
Diese Würdigung der neuropsychologischen Unterlagen ist nicht willkürlich. Zum einen ist die dem neuropsychologischen Konsilium zugrundeliegende Untersuchung nicht mit dem Anspruch verbunden, einen Arbeitstag zu simulieren; es ist Aufgabe der Sachverständigen, die beobachteten Einschränkungen in den Kontext einer versicherten Tätigkeit zu übertragen. Zum andern ist es eine Frage des (gutachterlichen) Ermessens, wie sich die funktionellen Auswirkungen der neuropsychologischen Einschränkungen auf einen vermehrten Pausenbedarf und auf das zu erwartende Rendement ("Output") verteilen. Es ist nicht erkennbar, dass dies in unhaltbarer Weise erfolgt sein könnte.
3.7. Die Versicherte beanstandet, der Hinweis auf ausserberufliche Aktivitäten (Chorleitung, sportliche Betätigung) im angefochtenen Urteil zeige, dass die Vorinstanz die vorhandenen Ressourcen überschätze. Es handelt sich bei diesem Hinweis aber nicht um ein tragendes Element der vorinstanzlichen Begründung: Die Gutachter, auf deren Schlussfolgerungen die Vorinstanz abstellt, leiten die attestierte Arbeitsfähigkeit mittels einer Gegenüberstellung der funktionalen Einschränkungen einerseits und des Anforderungsprofils leidensangepasster Stellen anderseits ab; es ist nicht ersichtlich, dass die Freizeitaktivitäten der Versicherten für diese Einschätzung eine Rolle gespielt haben; so wurden sie nicht etwa als Zeichen einer Inkonsistenz der geklagten Beschwerden gewertet.
4.
Im Verfahren 9C 368/2022 rügt die IV-Stelle eine bundesrechtswidrige Bemessung der Invalidität nach der sog. gemischten Methode (Art. 28a Abs. 3
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
|
1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
4.1. Die Verwaltung macht geltend, die Vorinstanz habe Art. 27bis Abs. 3 lit. b
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
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1 | Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
a | le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative; |
b | le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels. |
2 | Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé: |
a | en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %; |
b | en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante; |
c | en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide. |
3 | Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé: |
a | en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité; |
b | en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps. |
4.2. Gemäss Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28a - 1 L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
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1 | L'évaluation du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative est régie par l'art. 16 LPGA209. Le Conseil fédéral fixe les revenus déterminants pour l'évaluation du taux d'invalidité ainsi que les facteurs de correction applicables.210 |
2 | Le taux d'invalidité de l'assuré qui n'exerce pas d'activité lucrative, qui accomplit ses travaux habituels et dont on ne peut raisonnablement exiger qu'il entreprenne une activité lucrative est évalué, en dérogation à l'art. 16 LPGA, en fonction de son incapacité à accomplir ses travaux habituels.211 |
3 | Lorsque l'assuré exerce une activité lucrative à temps partiel ou travaille sans être rémunéré dans l'entreprise de son conjoint, le taux d'invalidité pour cette activité est évalué selon l'art. 16 LPGA. S'il accomplit ses travaux habituels, le taux d'invalidité pour cette activité est fixé selon l'al. 2.212 Dans ce cas, les parts respectives de l'activité lucrative ou du travail dans l'entreprise du conjoint et de l'accomplissement des travaux habituels sont déterminées; le taux d'invalidité est calculé dans les deux domaines d'activité. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
Bis Ende 2017 waren die Vergleichseinkommen im zeitlichen Umfang der Teilerwerbstätigkeit zu bestimmen, wie sie ohne Gesundheitsschaden (voraussichtlich dauernd) ausgeübt würde (BGE 131 V 51 E. 5.1.1; BGE 125 V 146 E. 2b).
Der Anfang 2018 in Kraft getretene Art. 27bis
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
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1 | Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
a | le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative; |
b | le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels. |
2 | Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé: |
a | en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %; |
b | en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante; |
c | en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide. |
3 | Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé: |
a | en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité; |
b | en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 7 Obligations de l'assuré - 1 L'assuré doit entreprendre tout ce qui peut être raisonnablement exigé de lui pour réduire la durée et l'étendue de l'incapacité de travail (art. 6 LPGA62) et pour empêcher la survenance d'une invalidité (art. 8 LPGA). |
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1 | L'assuré doit entreprendre tout ce qui peut être raisonnablement exigé de lui pour réduire la durée et l'étendue de l'incapacité de travail (art. 6 LPGA62) et pour empêcher la survenance d'une invalidité (art. 8 LPGA). |
2 | L'assuré doit participer activement à la mise en oeuvre de toutes les mesures raisonnablement exigibles contribuant soit au maintien de son emploi actuel, soit à sa réadaptation à la vie professionnelle ou à l'exercice d'une activité comparable (travaux habituels). Il s'agit en particulier: |
a | de mesures d'intervention précoce (art. 7d); |
b | de mesures de réinsertion préparant à la réadaptation professionnelle (art. 14a); |
c | de mesures d'ordre professionnel (art. 15 à 18 et 18b); |
d | de traitements médicaux au sens de l'art. 25 LAMal63; |
e | de mesures en vue d'une nouvelle réadaptation destinées aux bénéficiaires de rente au sens de l'art. 8a, al. 2 (mesures de nouvelle réadaptation). |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 27bis Calcul du taux d'invalidité des assurés exerçant une activité lucrative à temps partiel - 1 Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
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1 | Le taux d'invalidité des personnes qui exercent une activité lucrative à temps partiel est déterminé par l'addition des taux suivants: |
a | le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative; |
b | le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels. |
2 | Le taux d'invalidité en lien avec l'activité lucrative est déterminé: |
a | en extrapolant le revenu sans invalidité pour une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 %; |
b | en calculant le revenu avec invalidité sur la base d'une activité lucrative correspondant à un taux d'occupation de 100 % et en l'adaptant selon la capacité fonctionnelle déterminante; |
c | en pondérant la perte de gain exprimée en pourcentage en fonction du taux d'occupation qu'aurait l'assuré s'il n'était pas invalide. |
3 | Le taux d'invalidité en lien avec les travaux habituels est calculé: |
a | en déterminant le pourcentage que représentent les limitations dans les travaux habituels par rapport à la situation dans laquelle l'assuré serait sans invalidité; |
b | en pondérant le pourcentage déterminé à la let. a en fonction de la différence entre le taux d'occupation visé à l'al. 2, let. c, et une activité lucrative exercée à plein temps. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
Der Verordnungsänderung liegt die Idee zugrunde, die gesundheitliche Einschränkung im erwerblichen Bereich und im Aufgabenbereich (Haushalt) jeweils bezogen auf eine Vollzeittätigkeit zu berücksichtigen. Neu wird für beide Teilbereiche so gerechnet, wie wenn keine Teilerwerbstätigkeit vorliegen würde. Dies bedeutet, dass sowohl das Validen- als auch das Invalideneinkommen auf der Grundlage einer hypothetischen Vollzeittätigkeit zu ermitteln sind (BGE 145 V 370 E. 4).
4.3. Der Einwand der IV-Stelle, das angefochtene Urteil enthalte jedenfalls hinsichtlich der ab 2018 gültigen Regeln eine unzutreffende Anwendung der gemischten Bemessungsmethode, ist begründet. Die Vorinstanz stellt dem Valideneinkommen für ein vollzeitliches Pensum - insoweit zutreffend - ein ebensolches Invalideneinkommen gegenüber, unterlässt es aber, den so ermittelten Invaliditätsgrad (dem Status der Versicherten als zu 70 Prozent Erwerbstätige entsprechend) zu gewichten, bevor sie diesen erwerblichen Teilinvaliditätsgrad mit dem Teilinvaliditätsgrad im Aufgabenbereich addiert (vgl. angefochtenes Urteil E. 7.6 und 7.8).
5.
Die Versicherte (Beschwerdeführerin im Verfahren 9C 422/2022) wendet sich in verschiedenen Punkten gegen die vorinstanzlich verwendeten Parameter der Invaliditätsbemessung im erwerblichen Bereich. Nicht strittig sind ihr Status als zu 70 Prozent erwerblich und zu 30 Prozent im Aufgabenbereich Tätige sowie die Einschränkung im Haushalt von 31,5 Prozent resp. gewichtet 9,45 Prozent (0,3 x 31,5 Prozent).
5.1. Hinsichtlich des Valideneinkommens (hypothetisches Einkommen im Gesundheitsfall) wendet sich die Versicherte gegen die vorinstanzlich herangezogene Bemessungsgrundlage für den Haupt- und den Nebenverdienst.
5.1.1. Gemäss ständiger Rechtsprechung ist bei der Ermittlung des Valideneinkommens in der Regel am zuletzt erzielten, der Teuerung und der realen Einkommensentwicklung angepassten Verdienst anzuknüpfen; Ausnahmen müssen mit überwiegender Wahrscheinlichkeit erstellt sein. Erst wenn sich das Valideneinkommen aufgrund der tatsächlichen Verhältnisse nicht hinreichend genau beziffern lässt, darf auf statistische Werte wie die Lohnstrukturerhebungen (LSE) des Bundesamtes für Statistik zurückgegriffen werden, sofern die für die Entlöhnung im Einzelfall relevanten persönlichen und beruflichen Faktoren mitberücksichtigt werden. Die Tabellenposition soll so gewählt werden, dass der überwiegend wahrscheinliche Verlauf der Einkommensentwicklung ohne Gesundheitsschaden möglichst gut abgebildet wird (BGE 139 V 28 E. 3.3.2; Urteil 8C 236/2022 vom 4. Oktober 2022 E. 9.4).
Die Vorinstanz hält fest, die Versicherte sei von 1999 bis Ende November 2016 als Bankangestellte bei der Bank D.________ tätig gewesen. Nach dem Unfall 2003 habe sie das Pensum zunächst auf 40 Prozent reduziert; nach der Geburt des ersten Kindes 2011 sei sie mit einem Pensum von 30 Prozent wieder in den Beruf eingestiegen. Das Arbeitsverhältnis sei auf Ende November 2016 aus wirtschaftlichen Gründen (Umstrukturierung) aufgelöst worden. Aus diesem Grund stellt die Vorinstanz auf einen statistischen Lohnansatz - und nicht auf den in der früheren Anstellung erzielten Lohn - ab. Die Versicherte rügt, die Vorinstanz verkenne, dass der damalige Arbeitgeber im Jahr 2003 einen beruflichen Aufstieg zugesichert habe; im Hinblick darauf habe sie denn auch eine Vielzahl von Kursen und Weiterbildungen absolviert. Ferner treffe nicht zu, dass ihr im November 2016 einzig wegen einer Umstrukturierung gekündigt worden sei; vielmehr sei sie wegen zunehmenden gesundheitlichen Beschwerden ab Februar 2016 vollständig arbeitsunfähig gewesen.
5.1.2. Nach Auskunft des früheren Arbeitgebers entwickeln sich Mitarbeiter mit der Fachspezialisten-Funktion Project Manager Marketing - als solche fungierte die Versicherte - in der Regel innerhalb des Fachbereichs zum Senior oder Expert oder "in Richtung Teamführung". Angesichts ihrer durchgängig guten bis sehr guten Leistungen wäre im Fall der Versicherten eine solche Entwicklung "durchaus möglich" gewesen. Das aktuelle Salärband der Funktion Project Manager Marketing bewege sich im Durchschnitt bei 100'000 Franken; als Senior oder Expert resp. bei Teamführung falle ein durchschnittlicher Lohn von rund Fr. 120'000.- (Bandbreite 100'000 bis 140'000 Franken) an (Schreiben der Bank D.________ vom 22. November 2018).
Die Vorinstanz rechnet der Versicherten für den Haupterwerb ein (Vollzeit-) Valideneinkommen von Fr. 110'355.- an (angefochtenes Urteil S. 25). Dies wird den Vorgaben der Rechtsprechung (vgl. oben E. 5.1.1) nicht gerecht. Denn es gibt keine Anzeichen, dass die Versicherte als Gesunde das vom früheren Arbeitgeber bezeichnete Lohnniveau nicht erreichen könnte, zumal dieser in seinem Schreiben vom 22. November 2018 nicht einen spezifischen, individuellen Karriereschritt beschreibt, sondern eine verallgemeinerungsfähige berufliche Entwicklung ausgehend von der damaligen konkreten Position der Versicherten. Soll das Valideneinkommen auf statistischer Grundlage bemessen werden, ist es geboten, sich am konkret infrage kommenden Stellensegment zu orientieren. Hier ist der monatliche Bruttolohn (Zentralwert) nach Wirtschaftszweigen, beruflicher Stellung und Geschlecht im privaten Sektor (LSE 2016, Tabelle TA1 b) passend. Im Bereich der Finanz- und Versicherungsdienstleistungen beträgt der Medianlohn für Frauen auf der Stufe unteres Kader (Stufe 3) Fr. 120'840.- (Fr. 10'070.- x 12). Angepasst an die durchschnittliche wöchentliche Arbeitszeit (41,6 Stunden) und die Nominallohnentwicklung bis in das Jahr 2017 (Nominallohnindex 2011-2021,
Wirtschaftszweig Finanz- und Versicherungsdienstleistungen, Indexstand 2016: 106,5; 2017: 107,0) resultiert ein im Gesundheitsfall erzielbares Vollzeiteinkommen von Fr. 126'264.-.
Dieser statistisch fundierte Lohn fällt in das Lohnband gemäss Angaben des früheren Arbeitgebers (vgl. oben E. 5.1.2), auf das auch die Versicherte zurückgreifen will. Demnach kann offen bleiben, aus welchen Gründen ihr im Jahr 2016 gekündigt worden ist, d.h. ob die Vorinstanz zu Recht nicht auf die tatsächlichen erwerblichen Verhältnisse vor Eintritt des Gesundheitsschadens abgestellt hat.
5.1.3. Hinsichtlich der Nebentätigkeit einer Chorleiterin erwägt die Vorinstanz, die IV-Stelle habe dafür Fr. 18'400.- angerechnet, entsprechend dem durchschnittlichen Einkommen der letzten drei Jahre vor Eintritt der Arbeitsunfähigkeit im Jahr 2016. Nach Auskunft der Versicherten sei die Chorarbeit früher rein ehrenamtlich gewesen, 2007/08 sei sie über eine Anstellung bei der Kirchgemeinde vorübergehend minimal entschädigt worden. 2011 sei eine Leistungsvereinbarung (wohl mit dem Trägerverein des Chors) geschlossen worden. Neben einem konstanten jährlichen Betrag von Fr. 5500.- sehe die Leistungsvereinbarung eine von Jahr zu Jahr variierende Erfolgsbeteiligung vor. Die Vorinstanz stellt auf diese Ausführungen der Versicherten und auf den Auszug aus dem Individuellen Konto (IK) bei der AHV ab. Dort seien folgende Einkünfte eingetragen: für 2010 Fr. 12'812.-, für 2011 Fr. 11'625.-, für 2012 Fr. 3900.-, für 2013 Fr. 21'075.-, für 2014 Fr. 22'075.- und für 2015 Fr. 12'050.-. Da somit von erheblich schwankenden Einkünften auszugehen sei, sei nicht nur auf die Einkommen der letzten drei Jahre, sondern schon auf diejenigen ab 2010 abzustellen. Das zu berücksichtigende durchschnittliche Nebeneinkommen betrage also Fr. 13'923.-.
Die Versicherte weist darauf hin, dass ihr nach der Leistungsvereinbarung von 2011 im Jahr 2012 nur ein geringer Betrag von Fr. 3900.- zugegangen sei. Wahrscheinlich seien die Zahlungen der Kirchgemeinde an den Trägerverein des Chors erst ab 2012 geflossen, so dass ihr der Verein erst ab 2013 eine höhere Entschädigung habe auszahlen können.
Bei von Jahr zu Jahr erheblich differierenden Nebeneinkünften ist ein Durchschnittswert auf möglichst breiter Basis festzulegen. Hier ist jedoch zu beachten, dass sich die Rahmenbedingungen für den Nebenverdienst mit der Leistungsvereinbarung im Jahr 2011 massgeblich geändert haben. Die IV-Stelle hat denn auch nur auf die seitherigen Einkünfte abgestellt und das offenbar als Übergangsjahr erkannte 2012 ausgeklammert. Die Vorinstanz begründet nicht, weshalb sie auch die früheren Jahre 2010 und 2011 einbeziehen will. Dieser Eingriff in das pflichtgemäss ausgeübte Ermessen der IV-Stelle verletzt Bundesrecht. Somit bleibt es bei der Anrechnung eines Nebeneinkommens von Fr. 18'400.-.
5.1.4. Das Valideneinkommen beträgt insgesamt Fr. 144'664.- (Fr. 126'264.- plus 18'400.-).
5.2. Hinsichtlich des Invalideneinkommens rügt die Versicherte, die Vorinstanz bemesse dieses zu Unrecht gleich wie das Valideneinkommen, also anhand des einschlägigen LSE-Tabellenlohns auf Kompetenzniveau 4 ("Tätigkeiten mit komplexer Problemlösung und Entscheidungsfindung, welche ein grosses Fakten- und theoretisches Wissen in einem Spezialgebiet voraussetzen"). Sie sei jedoch nicht mehr in der Lage, Tätigkeiten auszuüben, die hohe Anforderungen an Konzentration, Ausdauer und Stressresistenz stellten. Die noch möglichen administrativen Tätigkeiten, z.B. im Personalwesen, seien nicht spezifisch für den Finanzsektor. Deswegen sei auf das Total des Sektors Dienstleistungen zurückzugreifen.
5.2.1. Für die Festsetzung des Invalideneinkommens ist primär von der konkreten beruflichen Situation auszugehen. Übt die versicherte Person nach Eintritt der Invalidität eine Erwerbstätigkeit aus, gilt grundsätzlich der tatsächlich erzielte Verdienst als Invalidenlohn. Erzielt sie hingegen tatsächlich kein Erwerbseinkommen, sind praxisgemäss die LSE-Tabellenlöhne heranzuziehen (vgl. BGE 143 V 295 E. 2.2; Urteil 9C 206/2021 vom 10. Juni 2021 E. 4.4.2). Die Rechtsprechung stellt dabei in der Regel auf die Monatslöhne des gesamten privaten Sektors ab. Ausnahmsweise stellt das Bundesgericht bei Personen, die vor der Gesundheitsschädigung lange Zeit im gleichen Bereich tätig gewesen sind und bei denen eine Arbeit in anderen Bereichen kaum in Frage kommt, auf die Löhne einzelner Branchen ab, wenn dies als sachgerecht erscheint, um der im Einzelfall zumutbaren erwerblichen Verwertung der verbleibenden Arbeitsfähigkeit Rechnung zu tragen (in BGE 133 V 545 nicht publizierte E. 5.1 des Urteils 9C 237/2007 vom 24. August 2007; Urteil 8C 260/2020 vom 2. Juli 2020 E. 4.2.1).
5.2.2. Vorliegend drängt sich auf, (insoweit wie beim Valideneinkommen) auf den einschlägigen Branchenlohn abzustellen, um das trotz der gesundheitlichen Beeinträchtigungen erzielbare Einkommen zu bestimmen. Abzustellen ist wiederum auf LSE (2016) Tabelle TA1 b, privater Sektor. Angesichts ihrer funktionalen Einschränkungen (vgl. oben E. 3.1, 3.4 und 3.6) liegt auf der Hand, dass die Versicherte nur mehr vergleichsweise weniger anspruchsvolle Aufgaben versehen kann. Ihre berufliche Stellung ist jedenfalls nicht mehr wie für den Gesundheitsfall auf Stufe 3 (unteres Kader) anzusiedeln, sondern auf Stufe 4 (unterstes Kader). Hier beläuft sich der Medianlohn für Frauen auf Fr. 102'360.- (Fr. 8530.- x 12). Angepasst an die durchschnittliche wöchentliche Arbeitszeit (41,6 Stunden) und die Nominallohnentwicklung (vgl. oben E. 5.1.2) bis in das Jahr 2017 resultiert ein Vollzeiteinkommen von Fr. 106'954.-; bei einer Arbeitsfähigkeit von 70 Prozent beträgt das Invalideneinkommen Fr. 74'868.-.
5.3. Für den Anspruchszeitraum bis zum 31. Dezember 2017ist nach damaliger Methodik (oben E. 4.2; Urteil 9C 19/2020 vom 21. September 2020 E. 5.3.2) ein dem (hauptberuflichen) Pensum von 70 Prozent entsprechendes Valideneinkommen von Fr. 106'785.- einzusetzen ([Fr. 126'264.- x 0,7] + Fr. 18'400.-). Als Invalideneinkommen gilt der volle Betrag von Fr. 74'868.-; bei einem Pensum von 70 Prozent wird die Arbeitsunfähigkeit von 30 Prozent absorbiert, so dass der Erwerbsgrad keine Rolle spielt (vgl. BGE 145 V 370 E. 4). Die Teilinvalidität im erwerblichen Bereich beträgt mithin 29,9 Prozent.
Was den Anspruchszeitraum ab dem 1. Januar 2018betrifft, wird das ganze Valideneinkommen von Fr. 144'664.- dem ganzen Invalideneinkommen von Fr. 74'868.- gegenübergestellt. Insoweit besteht im erwerblichen Bereich ein Invaliditätsgrad von 48,25 Prozent. Gewichtet mit Faktor 0,7 beträgt die Teilinvalidität rund 33,8 Prozent.
6.
6.1. Für den Anspruchszeitraum von Februar bis Dezember 2017 besteht kein rentenbegründender Invaliditätsgrad (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
Soweit hingegen das ab Anfang des Jahres 2018 in Kraft stehende Recht anwendbar ist (vgl. BGE 146 V 364 E. 7.1), entspricht die Summe der Teilinvalidität im Haushalt (9,45 Prozent) und derjenigen im Erwerb (33,8 Prozent) einem Gesamtinvaliditätsgrad von rund 43 Prozent. Die Versicherte hat daher mit Wirkung ab Januar 2018 Anspruch auf eine Viertelsrente.
6.2. Die Vorinstanz hat der Versicherten mit Wirkung ab Januar 2018 eine Viertelsrente zugesprochen. Deren Beschwerde ist, obwohl in der Sache teilweise begründet (vgl. E. 5), im Ergebnis abzuweisen, soweit auf sie eingetreten werden kann. Auch die Beschwerde der IV-Stelle, die in der Sache begründet ist (E. 4), ist im Ergebnis abzuweisen.
7.
Das Gesuch der IV-Stelle um aufschiebende Wirkung der Beschwerde wird mit diesem Entscheid gegenstandslos.
8.
Dem Ausgang der Verfahren entsprechend sind die Gerichtskosten den Beschwerdeführerinnen zu gleichen Teilen aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Verfahren 9C 368/2022 und 9C 422/2022 werden vereinigt.
2.
Die Beschwerde von A.________ wird abgewiesen, soweit darauf einzutreten ist.
3.
Die Beschwerde der IV-Stelle wird abgewiesen.
4.
Die Gerichtskosten von je Fr. 800.- gehen zulasten beider Beschwerdeführerinnen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 9. Dezember 2022
Im Namen der II. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Parrino
Der Gerichtsschreiber: Traub