Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
2C 830/2013
Sentenza del 6 marzo 2014
II Corte di diritto pubblico
Composizione
Giudici federali Zünd, Presidente,
Aubry Girardin, Stadelmann,
Cancelliere Savoldelli.
Partecipanti al procedimento
A.________ SA,
patrocinata dall'avv. Stefano Arnold,
ricorrente,
contro
Divisione delle contribuzioni
del Cantone Ticino, viale S. Franscini 6, 6500 Bellinzona.
Oggetto
Imposta sugli utili immobiliari,
ricorso in materia di diritto pubblico contro la sentenza emanata il 31 luglio 2013 dalla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino.
Fatti:
A.
Fino al 20 febbraio 2008, l'azionariato della B.________ SA è stato cosi composto:
A.________ SA 35 %;
C.________ 33 %;
D.________ SA 32 %.
Dopo una prima alienazione del 49 % delle sue azioni da parte di A.________ SA, di C.________ e della D.________ SA (venditori) ad E.X.________ SA (acquirente), avvenuta il 20 febbraio 2008, la situazione è mutata come segue:
A.________ SA 15 %;
C.________ 19 %;
D.________ SA 17 %;
E.X.________ SA 49 %.
Con la sottoscrizione del contratto di compravendita di azioni del 28 maggio 2010, concluso tra A.________ SA, C.________ rispettivamente la D.________ SA (venditori) e la X.________ SA (acquirente), dal quale risulta anche il passaggio del pacchetto azionario detenuto dalla E.X.________ SA alla X.________ SA, quest'ultima è diventata infine azionista unica della B.________ SA.
B.
Con decisione del 27 giugno 2011, l'Ufficio tassazione persone giuridiche ha commisurato l'utile imponibile dell'alienazione del 20 febbraio 2008 in fr. 896'770.-- e l'imposta dovuta da A.________ SA in fr. 242'127.90. Per la successiva vendita del 28 maggio 2010, l'utile imponibile è stato invece commisurato in fr. 663'455.-- e l'imposta dovuta da A.________ SA in fr. 172'498.30.
Il reclamo interposto da A.________ SA contro le decisioni di tassazione è stato respinto il 26 luglio 2012. L'autorità fiscale ha tuttavia modificato l'ammontare dell'imposta dovuta per il primo trasferimento di azioni in fr. 233'160.20. La decisione su reclamo concernente l'alienazione del 20 febbraio 2008, ulteriormente impugnata, è stata a sua volta confermata dalla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino, che si è espressa in merito il 31 luglio 2013. Davanti a tutte le istanze cantonali, A.________ SA ha in sostanza sostenuto, ma senza successo, che le condizioni per percepire l'imposta sugli utili immobiliari in relazione alla cessione della prima quota di partecipazione della B.________ SA, il 20 febbraio 2008, non fossero date.
C.
Il 12 settembre 2013, A.________ SA ha impugnato il giudizio della Camera di diritto tributario del 31 luglio precedente con ricorso in materia di diritto pubblico al Tribunale federale. Facendo valere un'applicazione del diritto cantonale a vario titolo lesiva della Costituzione federale e un accertamento manifestamente inesatto dei fatti, richiede in effetti anche in questa sede che la prima alienazione di azioni, datata 20 febbraio 2008, non venga considerata soggetta all'imposta sugli utili immobiliari.
Nel corso della procedura, la Corte cantonale si è riconfermata nelle motivazioni e nelle conclusioni della propria sentenza. Ad essa ha fatto rinvio anche la Divisione delle contribuzioni del Cantone Ticino, la quale ha però chiesto in via principale che il ricorso venga dichiarato inammissibile a causa delle insufficienti motivazioni addotte. Preso atto del fatto che la fattispecie aveva per oggetto questioni dipendenti dall'applicazione del diritto cantonale, l'amministrazione federale delle contribuzioni ha da parte sua rinunciato ad esprimersi.
Diritto:
1.
Il ricorso concerne una causa di diritto pubblico che non ricade sotto nessuna delle eccezioni previste dall'art. 83

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 83 Exceptions - Le recours est irrecevable contre: |
|
a | les décisions concernant la sûreté intérieure ou extérieure du pays, la neutralité, la protection diplomatique et les autres affaires relevant des relations extérieures, à moins que le droit international ne confère un droit à ce que la cause soit59 jugée par un tribunal; |
b | les décisions relatives à la naturalisation ordinaire; |
c | les décisions en matière de droit des étrangers qui concernent: |
c1 | l'entrée en Suisse, |
c2 | une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit, |
c3 | l'admission provisoire, |
c4 | l'expulsion fondée sur l'art. 121, al. 2, de la Constitution ou le renvoi, |
c5 | les dérogations aux conditions d'admission, |
c6 | la prolongation d'une autorisation frontalière, le déplacement de la résidence dans un autre canton, le changement d'emploi du titulaire d'une autorisation frontalière et la délivrance de documents de voyage aux étrangers sans pièces de légitimation; |
d | les décisions en matière d'asile qui ont été rendues: |
d1 | par le Tribunal administratif fédéral, sauf celles qui concernent des personnes visées par une demande d'extradition déposée par l'État dont ces personnes cherchent à se protéger, |
d2 | par une autorité cantonale précédente et dont l'objet porte sur une autorisation à laquelle ni le droit fédéral ni le droit international ne donnent droit; |
e | les décisions relatives au refus d'autoriser la poursuite pénale de membres d'autorités ou du personnel de la Confédération; |
f | les décisions en matière de marchés publics: |
fbis | les décisions du Tribunal administratif fédéral concernant les décisions visées à l'art. 32i de la loi fédérale du 20 mars 2009 sur le transport de voyageurs66; |
f1 | si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe; sont réservés les recours concernant des marchés du Tribunal administratif fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal fédéral des brevets, du Ministère public de la Confédération et des autorités judiciaires supérieures des cantons, ou |
f2 | si la valeur estimée du marché à adjuger est inférieure à la valeur seuil déterminante visée à l'art. 52, al. 1, et fixée à l'annexe 4, ch. 2, de la loi fédérale du 21 juin 2019 sur les marchés publics64; |
g | les décisions en matière de rapports de travail de droit public qui concernent une contestation non pécuniaire, sauf si elles touchent à la question de l'égalité des sexes; |
h | les décisions en matière d'entraide administrative internationale, à l'exception de l'assistance administrative en matière fiscale; |
i | les décisions en matière de service militaire, de service civil ou de service de protection civile; |
j | les décisions en matière d'approvisionnement économique du pays qui sont prises en cas de pénurie grave; |
k | les décisions en matière de subventions auxquelles la législation ne donne pas droit; |
l | les décisions en matière de perception de droits de douane fondée sur le classement tarifaire ou le poids des marchandises; |
m | les décisions sur l'octroi d'un sursis de paiement ou sur la remise de contributions; en dérogation à ce principe, le recours contre les décisions sur la remise de l'impôt fédéral direct ou de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice est recevable, lorsqu'une question juridique de principe se pose ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
n | les décisions en matière d'énergie nucléaire qui concernent: |
n1 | l'exigence d'un permis d'exécution ou la modification d'une autorisation ou d'une décision, |
n2 | l'approbation d'un plan de provision pour les coûts d'évacuation encourus avant la désaffection d'une installation nucléaire, |
n3 | les permis d'exécution; |
o | les décisions en matière de circulation routière qui concernent la réception par type de véhicules; |
p | les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière de télécommunications, de radio et de télévision et en matière postale qui concernent:71 |
p1 | une concession ayant fait l'objet d'un appel d'offres public, |
p2 | un litige découlant de l'art. 11a de la loi du 30 avril 1997 sur les télécommunications72; |
p3 | un litige au sens de l'art. 8 de la loi du 17 décembre 2010 sur la poste74; |
q | les décisions en matière de médecine de transplantation qui concernent: |
q1 | l'inscription sur la liste d'attente, |
q2 | l'attribution d'organes; |
r | les décisions en matière d'assurance-maladie qui ont été rendues par le Tribunal administratif fédéral sur la base de l'art. 3475 de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF)76; |
s | les décisions en matière d'agriculture qui concernent: |
s1 | ... |
s2 | la délimitation de zones dans le cadre du cadastre de production; |
t | les décisions sur le résultat d'examens ou d'autres évaluations des capacités, notamment en matière de scolarité obligatoire, de formation ultérieure ou d'exercice d'une profession; |
u | les décisions relatives aux offres publiques d'acquisition (art. 125 à 141 de la loi du 19 juin 2015 sur l'infrastructure des marchés financiers80); |
v | les décisions du Tribunal administratif fédéral en cas de divergences d'opinion entre des autorités en matière d'entraide judiciaire ou d'assistance administrative au niveau national; |
w | les décisions en matière de droit de l'électricité qui concernent l'approbation des plans des installations électriques à courant fort et à courant faible et l'expropriation de droits nécessaires à la construction ou à l'exploitation de telles installations, si elles ne soulèvent pas de question juridique de principe. |
x | les décisions en matière d'octroi de contributions de solidarité au sens de la loi fédérale du 30 septembre 2016 sur les mesures de coercition à des fins d'assistance et les placements extrafamiliaux antérieurs à 198184, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe ou qu'il s'agit d'un cas particulièrement important pour d'autres motifs; |
y | les décisions prises par le Tribunal administratif fédéral dans des procédures amiables visant à éviter une imposition non conforme à une convention internationale applicable dans le domaine fiscal; |
z | les décisions citées à l'art. 71c, al. 1, let. b, de la loi du 30 septembre 2016 sur l'énergie87 concernant les autorisations de construire et les autorisations relevant de la compétence des cantons destinées aux installations éoliennes d'intérêt national qui y sont nécessairement liées, sauf si la contestation soulève une question juridique de principe. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 86 Autorités précédentes en général - 1 Le recours est recevable contre les décisions: |
|
1 | Le recours est recevable contre les décisions: |
a | du Tribunal administratif fédéral; |
b | du Tribunal pénal fédéral; |
c | de l'Autorité indépendante d'examen des plaintes en matière de radio-télévision; |
d | des autorités cantonales de dernière instance, pour autant que le recours devant le Tribunal administratif fédéral ne soit pas ouvert. |
2 | Les cantons instituent des tribunaux supérieurs qui statuent comme autorités précédant immédiatement le Tribunal fédéral, sauf dans les cas où une autre loi fédérale prévoit qu'une décision d'une autre autorité judiciaire peut faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
3 | Pour les décisions revêtant un caractère politique prépondérant, les cantons peuvent instituer une autorité autre qu'un tribunal. |
Esso è stato presentato in tempo utile dalla destinataria del giudizio contestato (art. 46 cpv. 1 lett. b

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 46 Suspension - 1 Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
|
1 | Les délais fixés en jours par la loi ou par le juge ne courent pas: |
a | du septième jour avant Pâques au septième jour après Pâques inclus; |
b | du 15 juillet au 15 août inclus; |
c | du 18 décembre au 2 janvier inclus. |
2 | L'al. 1 ne s'applique pas: |
a | aux procédures concernant l'octroi de l'effet suspensif ou d'autres mesures provisionnelles; |
b | à la poursuite pour effets de change; |
c | aux questions relatives aux droits politiques (art. 82, let. c); |
d | à l'entraide pénale internationale ni à l'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
e | aux marchés publics.20 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants93 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants94. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets96. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...97 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 89 Qualité pour recourir - 1 A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
|
1 | A qualité pour former un recours en matière de droit public quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité précédente ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est particulièrement atteint par la décision ou l'acte normatif attaqué, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | Ont aussi qualité pour recourir: |
a | la Chancellerie fédérale, les départements fédéraux ou, pour autant que le droit fédéral le prévoie, les unités qui leur sont subordonnées, si l'acte attaqué est susceptible de violer la législation fédérale dans leur domaine d'attributions; |
b | l'organe compétent de l'Assemblée fédérale en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération; |
c | les communes et les autres collectivités de droit public qui invoquent la violation de garanties qui leur sont reconnues par la constitution cantonale ou la Constitution fédérale; |
d | les personnes, organisations et autorités auxquelles une autre loi fédérale accorde un droit de recours. |
3 | En matière de droits politiques (art. 82, let. c), quiconque a le droit de vote dans l'affaire en cause a qualité pour recourir. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 82 Principe - Le Tribunal fédéral connaît des recours: |
|
a | contre les décisions rendues dans des causes de droit public; |
b | contre les actes normatifs cantonaux; |
c | qui concernent le droit de vote des citoyens ainsi que les élections et votations populaires. |

SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 73 Recours - 1 Les décisions cantonales de dernière instance portant sur une matière réglée dans les titres 2 à 5 et 6, chap. 1, ou sur la remise de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice peuvent faire l'objet d'un recours en matière de droit public devant le Tribunal fédéral conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral264.265 |
|
1 | Les décisions cantonales de dernière instance portant sur une matière réglée dans les titres 2 à 5 et 6, chap. 1, ou sur la remise de l'impôt cantonal ou communal sur le revenu et sur le bénéfice peuvent faire l'objet d'un recours en matière de droit public devant le Tribunal fédéral conformément à la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral264.265 |
2 | Le contribuable, l'administration fiscale cantonale et l'Administration fédérale des contributions ont le droit de recourir. |
3 | ...266 |
2.
2.1. Giusta l'art. 106 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
Secondo l'art. 106 cpv. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.2. Per quanto riguarda i fatti, il Tribunale federale fonda il suo ragionamento giuridico sull'accertamento svolto dall'autorità inferiore (art. 105 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
L'eliminazione del vizio deve inoltre poter influire in maniera determinante sull'esito della causa, aspetto che, insieme a quello dell'eventuale arbitrio, compete al ricorrente sostanziare (art. 97 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.90 |
2.3. L'impugnativa adempie ai requisiti di motivazione esposti solo in parte. Come ancora verrà precisato nel seguito, nella misura in cui non li rispetta, essa è pertanto inammissibile.
Visto che vengono criticati, ma mai messi in discussione con una motivazione che ne dimostri un accertamento arbitrario o altrimenti lesivo del diritto federale, e che per altro nemmeno viene dimostrato in che misura la correzione dei vizi denunciati possa essere determinante, i fatti che emergono dalla querelata sentenza vincolano inoltre il Tribunale federale anche nel caso concreto (DTF 134 II 244 consid. 2.2 pag. 246).
3.
3.1. La procedura concerne un'imposta sugli utili immobiliari percepita sulla base dell'art. 124 segg. della legge tributaria del Cantone Ticino del 21 giugno 1994 (LT; RL/TI 10.2.1.1). Per quanto qui di rilievo, la citata norma ha il seguente tenore:
Art. 124 Trasferimenti imponibili
1 E' imponibile il trasferimento di proprietà immobiliari e qualsiasi negozio giuridico i cui effetti, riguardo al potere di disporre del fondo, sono parificabili, economicamente, a quelli di un trasferimento di proprietà.
2 Sono in particolare imponibili:
a) ...
h) le alienazioni di azioni o di quote di società immobiliari o di altre società, se nel patrimonio hanno un valore preponderante i fondi e le partecipazioni a società immobiliari;
i) ...
Come ricordato nel giudizio impugnato, che vi rinvia, in una sentenza del 14 settembre 2001 - parzialmente pubblicata in RDAT I-2002 n. 8t e nella quale era chiamata ad esprimersi sulla cessione di una partecipazione del 49 % di una società anonima immobiliare -, la Camera di diritto tributario ha già anche proceduto all'interpretazione di questo stesso disposto.
Rammentato a giusta ragione che circa l'imposizione dell'alienazione di partecipazioni minoritarie l'art. 12 cpv. 2 lett. d

SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 12 - 1 L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
|
1 | L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
2 | Toute aliénation d'immeubles est imposable. Sont assimilés à une aliénation: |
a | les actes juridiques qui ont les mêmes effets économiques qu'une aliénation sur le pouvoir de disposer d'un immeuble; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée à la fortune commerciale du contribuable; |
c | la constitution de servitudes de droit privé sur un immeuble ou les restrictions de droit public à la propriété foncière, lorsque celles-ci limitent l'exploitation ou diminuent la valeur vénale de l'immeuble de manière durable et essentielle et qu'elles donnent lieu à une indemnité; |
d | le transfert de participations à des sociétés immobilières qui font partie de la fortune privée du contribuable, dans la mesure où le droit cantonal en prévoit l'imposition; |
e | les plus-values résultant de mesures d'aménagement au sens de la loi fédérale du 22 juin 1979 sur l'aménagement du territoire88, obtenues indépendamment d'une aliénation dans la mesure où le droit cantonal les soumet à l'impôt sur les gains immobiliers. |
3 | L'imposition est différée: |
a | les faits mentionnés aux art. 8, al. 3 et 4, et 24, al. 3 et 3quater, sont assimilés à des aliénations dont l'imposition est différée pour l'impôt sur les gains immobiliers; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée du contribuable dans sa fortune commerciale ne peut être assimilé à une aliénation. |
c | en cas de remembrement opéré soit en vue d'un remaniement parcellaire, de l'établissement d'un plan de quartier, de rectification de limites ou d'arrondissement d'une aire agricole, soit dans le cadre d'une procédure d'expropriation ou en raison d'une expropriation imminente; |
d | en cas d'aliénation totale ou partielle d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit utilisé dans un délai raisonnable pour l'acquisition d'un immeuble de remplacement exploité par le contribuable lui-même ou pour l'amélioration d'immeubles agricoles ou sylvicoles appartenant au contribuable et exploités par lui-même; |
e | en cas d'aliénation de l'habitation (maison ou appartement) ayant durablement et exclusivement servi au propre usage de l'aliénateur, dans la mesure où le produit ainsi obtenu est affecté, dans un délai approprié, à l'acquisition ou à la construction en Suisse d'une habitation servant au même usage. |
5 | Les cantons veillent à ce que les bénéfices réalisés à court terme soient imposés plus lourdement. |

SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 12 - 1 L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
|
1 | L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
2 | Toute aliénation d'immeubles est imposable. Sont assimilés à une aliénation: |
a | les actes juridiques qui ont les mêmes effets économiques qu'une aliénation sur le pouvoir de disposer d'un immeuble; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée à la fortune commerciale du contribuable; |
c | la constitution de servitudes de droit privé sur un immeuble ou les restrictions de droit public à la propriété foncière, lorsque celles-ci limitent l'exploitation ou diminuent la valeur vénale de l'immeuble de manière durable et essentielle et qu'elles donnent lieu à une indemnité; |
d | le transfert de participations à des sociétés immobilières qui font partie de la fortune privée du contribuable, dans la mesure où le droit cantonal en prévoit l'imposition; |
e | les plus-values résultant de mesures d'aménagement au sens de la loi fédérale du 22 juin 1979 sur l'aménagement du territoire88, obtenues indépendamment d'une aliénation dans la mesure où le droit cantonal les soumet à l'impôt sur les gains immobiliers. |
3 | L'imposition est différée: |
a | les faits mentionnés aux art. 8, al. 3 et 4, et 24, al. 3 et 3quater, sont assimilés à des aliénations dont l'imposition est différée pour l'impôt sur les gains immobiliers; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée du contribuable dans sa fortune commerciale ne peut être assimilé à une aliénation. |
c | en cas de remembrement opéré soit en vue d'un remaniement parcellaire, de l'établissement d'un plan de quartier, de rectification de limites ou d'arrondissement d'une aire agricole, soit dans le cadre d'une procédure d'expropriation ou en raison d'une expropriation imminente; |
d | en cas d'aliénation totale ou partielle d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit utilisé dans un délai raisonnable pour l'acquisition d'un immeuble de remplacement exploité par le contribuable lui-même ou pour l'amélioration d'immeubles agricoles ou sylvicoles appartenant au contribuable et exploités par lui-même; |
e | en cas d'aliénation de l'habitation (maison ou appartement) ayant durablement et exclusivement servi au propre usage de l'aliénateur, dans la mesure où le produit ainsi obtenu est affecté, dans un délai approprié, à l'acquisition ou à la construction en Suisse d'une habitation servant au même usage. |
5 | Les cantons veillent à ce que les bénéfices réalisés à court terme soient imposés plus lourdement. |
124 n

SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 12 - 1 L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
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1 | L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
2 | Toute aliénation d'immeubles est imposable. Sont assimilés à une aliénation: |
a | les actes juridiques qui ont les mêmes effets économiques qu'une aliénation sur le pouvoir de disposer d'un immeuble; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée à la fortune commerciale du contribuable; |
c | la constitution de servitudes de droit privé sur un immeuble ou les restrictions de droit public à la propriété foncière, lorsque celles-ci limitent l'exploitation ou diminuent la valeur vénale de l'immeuble de manière durable et essentielle et qu'elles donnent lieu à une indemnité; |
d | le transfert de participations à des sociétés immobilières qui font partie de la fortune privée du contribuable, dans la mesure où le droit cantonal en prévoit l'imposition; |
e | les plus-values résultant de mesures d'aménagement au sens de la loi fédérale du 22 juin 1979 sur l'aménagement du territoire88, obtenues indépendamment d'une aliénation dans la mesure où le droit cantonal les soumet à l'impôt sur les gains immobiliers. |
3 | L'imposition est différée: |
a | les faits mentionnés aux art. 8, al. 3 et 4, et 24, al. 3 et 3quater, sont assimilés à des aliénations dont l'imposition est différée pour l'impôt sur les gains immobiliers; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée du contribuable dans sa fortune commerciale ne peut être assimilé à une aliénation. |
c | en cas de remembrement opéré soit en vue d'un remaniement parcellaire, de l'établissement d'un plan de quartier, de rectification de limites ou d'arrondissement d'une aire agricole, soit dans le cadre d'une procédure d'expropriation ou en raison d'une expropriation imminente; |
d | en cas d'aliénation totale ou partielle d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit utilisé dans un délai raisonnable pour l'acquisition d'un immeuble de remplacement exploité par le contribuable lui-même ou pour l'amélioration d'immeubles agricoles ou sylvicoles appartenant au contribuable et exploités par lui-même; |
e | en cas d'aliénation de l'habitation (maison ou appartement) ayant durablement et exclusivement servi au propre usage de l'aliénateur, dans la mesure où le produit ainsi obtenu est affecté, dans un délai approprié, à l'acquisition ou à la construction en Suisse d'une habitation servant au même usage. |
5 | Les cantons veillent à ce que les bénéfices réalisés à court terme soient imposés plus lourdement. |
3.2. Dopo essersi confrontata con l'art. 12 cpv. 2 lett. d

SR 642.14 Loi fédérale du 14 décembre 1990 sur l'harmonisation des impôts directs des cantons et des communes (LHID) LHID Art. 12 - 1 L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
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1 | L'impôt sur les gains immobiliers a pour objet les gains réalisés lors de l'aliénation de tout ou partie d'un immeuble faisant partie de la fortune privée du contribuable ou d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit supérieur aux dépenses d'investissement (prix d'acquisition ou autre valeur s'y substituant, impenses). |
2 | Toute aliénation d'immeubles est imposable. Sont assimilés à une aliénation: |
a | les actes juridiques qui ont les mêmes effets économiques qu'une aliénation sur le pouvoir de disposer d'un immeuble; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée à la fortune commerciale du contribuable; |
c | la constitution de servitudes de droit privé sur un immeuble ou les restrictions de droit public à la propriété foncière, lorsque celles-ci limitent l'exploitation ou diminuent la valeur vénale de l'immeuble de manière durable et essentielle et qu'elles donnent lieu à une indemnité; |
d | le transfert de participations à des sociétés immobilières qui font partie de la fortune privée du contribuable, dans la mesure où le droit cantonal en prévoit l'imposition; |
e | les plus-values résultant de mesures d'aménagement au sens de la loi fédérale du 22 juin 1979 sur l'aménagement du territoire88, obtenues indépendamment d'une aliénation dans la mesure où le droit cantonal les soumet à l'impôt sur les gains immobiliers. |
3 | L'imposition est différée: |
a | les faits mentionnés aux art. 8, al. 3 et 4, et 24, al. 3 et 3quater, sont assimilés à des aliénations dont l'imposition est différée pour l'impôt sur les gains immobiliers; |
b | le transfert de tout ou partie d'un immeuble de la fortune privée du contribuable dans sa fortune commerciale ne peut être assimilé à une aliénation. |
c | en cas de remembrement opéré soit en vue d'un remaniement parcellaire, de l'établissement d'un plan de quartier, de rectification de limites ou d'arrondissement d'une aire agricole, soit dans le cadre d'une procédure d'expropriation ou en raison d'une expropriation imminente; |
d | en cas d'aliénation totale ou partielle d'un immeuble agricole ou sylvicole, à condition que le produit de l'aliénation soit utilisé dans un délai raisonnable pour l'acquisition d'un immeuble de remplacement exploité par le contribuable lui-même ou pour l'amélioration d'immeubles agricoles ou sylvicoles appartenant au contribuable et exploités par lui-même; |
e | en cas d'aliénation de l'habitation (maison ou appartement) ayant durablement et exclusivement servi au propre usage de l'aliénateur, dans la mesure où le produit ainsi obtenu est affecté, dans un délai approprié, à l'acquisition ou à la construction en Suisse d'une habitation servant au même usage. |
5 | Les cantons veillent à ce que les bénéfices réalisés à court terme soient imposés plus lourdement. |
3.2.1. Nel giudizio impugnato, i Giudici cantonali hanno in particolare considerato inevitabile che, per scongiurare il rischio dell'elusione fiscale, l'art. 124 cpv. 2 lett. h LT venga interpretato in modo tale da fare rientrare nel suo campo di applicazione ogni fattispecie in cui si verifica il trasferimento economico di un immobile tramite cessione di quote sociali, a prescindere dal fatto che l'alienazione della partecipazione maggioritaria intervenga con un solo negozio o con diversi negozi successivi tra le stesse parti.
3.2.2. Con riferimento al caso specifico, hanno quindi ancora sottolineato i seguenti aspetti rispettivamente osservato quanto segue:
che il tempo intercorso tra i trasferimenti delle azioni di B.________ SA, poco più di due anni, fosse tale da indurre a considerarli come un'unica operazione che ha comportato, il 28 maggio 2010, la cessione della totalità delle sue azioni dai precedenti azionisti (A.________ SA, C.________ e D.________ SA) alla X.________ SA.
che - siccome occorreva solo esaminare se si fosse verificata la cessione del potere di disporre dell'immobile, dal punto di vista economico - necessariamente rilevante non potesse essere nemmeno l'obiezione secondo cui - al momento della prima vendita - non vi sarebbe ancora stata l'intenzione di cedere la maggioranza delle azioni a X.________ SA;
che neanche l'appunto con il quale veniva sottolineata la distinzione di soggetto giuridico tra la E.X.________ SA (acquirente il 20 febbraio 2008) e X.________ SA (acquirente il 28 maggio 2010), "società sorelle", poteva infine portare ad altra conclusione.
4.
Confrontata con una fattispecie in relazione alla quale la LAID lascia libertà ai Cantoni (precedente consid. 3.1), il cui uso non viene concretamente messo in discussione, e quindi chiamata di fatto a dimostrare un'eventuale applicazione contraria alla Costituzione federale del diritto cantonale determinante (precedente consid. 2.1 secondo capoverso), la ricorrente sostiene a più riprese che la Camera di diritto tributario avrebbe dovuto subordinare la tassazione al sussistere di un atto elusivo volontario, e che il mancato esame di tale aspetto renderebbe il giudizio arbitrario, lesivo del principio della buona fede, dell'eguaglianza giuridica, della parità di trattamento, ecc.
4.1. Le critiche in questione si esauriscono in prevalenza in semplici affermazioni, sono di carattere appellatorio e sono quindi sostanzialmente inammissibili.
Come già rilevato, la denuncia della violazione di diritti fondamentali, come quella fatta valere nel caso che ci occupa, può essere infatti esaminata solo se la stessa è stata sollevata conformemente all'art. 106 cpv. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
4.2. Ad ogni buon conto, quand'anche ammissibile, questione che può essere lasciata in definitiva aperta, la denuncia per certi versi principale della violazione del divieto d'arbitrio dev'essere respinta. Occorre in effetti considerare che l'art. 124 LT non solo non pone quale criterio l'elusione ma fa nel contempo espresso riferimento alla prospettiva economica, adottata dalla Corte cantonale nella fattispecie.
Pure la constatazione che il giudizio impugnato definisca l'art. 124 LT quale "norma antielusiva", ma non si occupi poi di accertare l'elusione nel caso specifico, non rende inoltre lo stesso contraddittorio o addirittura insostenibile. Come spiegato dalla Camera di diritto tributario nella risposta al ricorso, il fatto che una norma non preveda l'elusione quale condizione specifica per la sua applicazione, non impedisce infatti che essa possa comunque perseguire dei fini antielusivi (sentenze 2C 662/2013 del 2 dicembre 2013 consid. 2.1; 2C 20/2012 del 24 aprile 2012 consid. 3.1 e 2C 695/2009 del 3 febbraio 2010 consid. 2.2).
4.3. Sempre nello specifico contesto descritto, pertinente non è infine nemmeno il rinvio alla sentenza resa dalla Camera di diritto tributario il 14 settembre 2001, di cui già si è detto a lungo in uno dei precedenti considerandi, o il richiamo alla giurisprudenza vigente in materia in altri cantoni.
4.3.1. È infatti vero che la Corte cantonale che si è espressa nel giudizio qui impugnato aveva in quel caso stabilito che la sola cessione di una partecipazione del 49 % del capitale di una società immobiliare non era soggetta all'imposta, poiché non vi era stata alienazione del potere di disporre del fondo. Altrettanto vero è però che quella sua stessa pronuncia sottolineava anch'essa l'importanza dell'adozione di un punto di vista economico e non si esprimeva inoltre affatto riguardo al caso di trasferimenti in successione tra le medesime parti - fattispecie che la Camera di diritto tributario ritiene in concreto data - giacché si concludeva proprio con le seguenti parole:
"Quali sarebbero le conseguenze, qualora il ricorrente dovesse cedere all'alienante una ulteriore quota di partecipazione alla stessa società, è una questione che non può essere risolta in questa sede, esulando dal contenuto della decisione impugnata".
4.3.2. Per quanto riguarda poi la giurisprudenza vigente in altri cantoni, evocata dalla Camera di diritto tributario a titolo esemplificativo, essa non trova certo applicazione diretta sull'art. 124 LT, ragione per la quale, quand'anche per ipotesi la Corte cantonale ne avesse riferito in maniera imprecisa o addirittura errata, ciò non potrebbe di per sé ancora portare a concludere che il diritto cantonale sia stato applicato in maniera manifestamente insostenibile. In ogni caso, occorre prendere atto del fatto che la ricorrente non svolge nessuna concreta argomentazione che dimostri il contrario.
5.
Oltre all'omissione dell'esame del sussistere di un atto elusivo volontario, di cui si è appena detto, la ricorrente giudica arbitraria, lesiva del principio della buona fede, dell'eguaglianza giuridica, della parità di trattamento, ecc. anche la mancata presa in considerazione - nella sentenza impugnata, che ha invece sottolineato il rapporto di contiguità tra le due ditte dal profilo economico, il breve lasso di tempo intercorso tra le due transazioni in cui la ricorrente aveva il ruolo di venditrice, ecc. - della transazione concernente il passaggio del 49 % delle azioni acquistate dalla E.X.________ SA il 20 febbraio 2008 dalle mani di quest'ultima a quelle della X.________ SA.
5.1. Anche in questo contesto, la ricorrente formula le sue critiche come se si trovasse davanti a una Corte che riesamina liberamente fatti e diritto, ovvero in maniera meramente appellatoria, lesiva dell'art. 106 cpv. 2

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
5.2. Si volesse poi come in precedenza lasciare aperta per lo meno la questione dell'ammissibilità della censura d'arbitrio - sollevata dalla ricorrente facendo valere per la prima volta in questa sede l'importanza a suo avviso determinante della transazione avvenuta tra la E.X.________ SA e la X.________ SA - lo stesso non potrebbe ad ogni modo affatto essere considerato dimostrato.
Se infatti è vero che la formulazione di una nuova argomentazione giuridica davanti al Tribunale federale è di principio ammissibile, tale modo di agire presuppone tuttavia che la Corte cantonale abbia già accertato la realizzazione dei presupposti fattuali della nuova ipotesi e che questi emergano dalla decisione impugnata. Così però appunto non è nel caso che ci occupa, dal momento che - per altro sempre in maniera irrita (precedente consid. 2.3) - la ricorrente presenta la sua critica pretendendo contemporaneamente da questa stessa Corte l'accertamento di quei fatti ai quali si richiama nella personale lettura della fattispecie da lei fornita e che considera "più corretta" (art. 105 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.100 |
5.3. Per ragioni analoghe, nemmeno la richiesta di assunzione di nuove prove (richiamo presso le autorità fiscali dell'incarto relativo all'eventuale imposizione del passaggio del 49 % del pacchetto azionario della B.________ SA dalla E.X.________ SA alla X.________ SA), perché proprio in tal modo vengono presentate, può inoltre essere accolta.
5.3.1. Giusta l'art. 99 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
5.3.2. Ciò è tuttavia proprio quello che a torto la ricorrente pretenderebbe di fare. Durante la procedura, la questione è infatti sempre e solo stata quella dell'imposizione della transazione avvenuta il 20 febbraio 2008 e la stessa non è nemmeno stata esaminata dalla Corte cantonale in un'ottica nuova e imprevedibile. Se l'insorgente avesse ritenuto fondamentale la prova in discussione, non aveva pertanto che da richiederne l'assunzione in sede cantonale per poi eventualmente lamentarsi davanti a questa Corte di un arbitrario apprezzamento (anticipato) delle prove, nel caso gli fosse stata rifiutata.
5.4. Siccome la ricorrente stessa si esprime in questi precisi termini, può essere in via abbondanziale rilevato che quand'anche la sua lettura della fattispecie avesse potuto effettivamente essere tenuta in considerazione ed avesse poi dovuto essere davvero ritenuta "più corretta", come da lei affermato, ciò non avrebbe ancora per forza portato all'ammissione di una critica d'arbitrio: dato non già quando un'altra soluzione sia possibile o addirittura preferibile, ma solo quando la scelta in discussione si riveli manifestamente insostenibile (DTF 133 I 149 consid. 3.1 pag. 153; 132 III 209 consid. 2.1 pag. 211; 131 I 217 consid. 2.1 pag. 219).
Nel contempo, limitandosi a sottolineare di avere venduto le azioni della B.________ SA a soggetti giuridici differenti (una volta ad E.X.________ SA e una volta a X.________ SA) la ricorrente nemmeno pone realmente in discussione gli argomenti di natura giuridica rispettivamente di fatto, e segnatamente quello della contiguità economica delle due ditte, che hanno portato la Corte cantonale a considerare dati gli estremi per un'imposizione di entrambe le transazioni da lei svolte. Un'imposizione della cui possibilità - come dimostrato dalle domande rivolte alle autorità dalla fiduciaria che la rappresentava e dalle risposte ricevute (agli atti, nella cartella che riunisce la corrispondenza) - essa era per altro da tempo più che conscia.
6.
Respinte, per quanto ammissibili, le critiche sollevate contestualmente all'applicazione dell'art. 124 LT - siccome la ricorrente non ha dimostrato che la soluzione di imporre insieme all'alienazione del 28 maggio 2010 anche quella del 20 febbraio 2008, sulla base dei fatti accertati dalla Corte cantonale, sia in qualche misura contraria alla Costituzione federale -, resta da affrontare quella concernente l'art. 231 cpv. 6 LT. Riferendosi a questo disposto, la ricorrente ritiene infatti che, stabilendo la tassa di giustizia in fr. 8'000.-- quando la norma di riferimento prevede tasse che vanno da un minimo di fr. 100.-- a un massimo di fr. 10'000.--, la Corte cantonale avrebbe violato i principi dell'equivalenza e della proporzionalità.
6.1. Incluse tra i tributi causali, anche le tasse di giustizia devono rispettare il principio dell'equivalenza, quale concretizzazione del principio della proporzionalità e del divieto d'arbitrio (sentenza 2C 603/2011 del 16 gennaio 2012 consid. 3.3); conseguentemente, il loro ammontare dev'essere in rapporto con il valore oggettivo della prestazione fornita e restare entro limiti ragionevoli (sentenza 2C 379/2010 del 19 novembre 2010 consid. 6.3 con ulteriori rinvii).
Nella fissazione delle tasse di giustizia sulla base del diritto cantonale i Giudici competenti dispongono ciò nondimeno di un ampio potere di apprezzamento. In questo contesto, il Tribunale federale non interviene in effetti già quando il tributo richiesto appare inopportuno, bensì solo se la sua fissazione ad un determinato importo sia il risultato di un vero e proprio abuso del potere di apprezzamento rispettivamente vada considerata lesiva del divieto d'arbitrio (sentenze 2C 513/2012 dell'11 dicembre 2012 consid. 3.1 e 1C 156/2012 del 12 ottobre 2012 consid. 8.2.2).
6.2. Nel caso in esame, i motivi addotti a sostegno della critica formulata non dimostrano tuttavia un simile abuso e neppure sono tali da dover fare apparire la decisione impugnata siccome arbitraria.
6.2.1. Da una parte, il fatto che la Camera di diritto tributario possa essere confrontata con cause dal valore litigioso assai maggiore di quello in concreto in gioco può forse sollevare dubbi sull'opportunità di richiedere una cifra vicina al massimo consentito di fr. 10'000.-- già davanti a un valore di causa - comunque non trascurabile - di fr. 233'160.20. Ciò nonostante, esso non è di per sé ancora indicatore di nessuno specifico abuso o di arbitrio, il cui riconoscimento richiede come già visto ben di più (precedente consid. 5.4).
6.2.2. Un abuso del potere di apprezzamento o l'arbitrio non è d'altra parte sostanziato nemmeno attraverso il riferimento ai contenuti del giudizio impugnato e attraverso l'affermazione - tutt'altro che provata - secondo cui lo stesso non avrebbe richiesto un particolare impegno.
Presentata in questi semplici termini, l'argomentazione addotta omette inoltre di considerare che - proprio nell'ottica del rispetto del principio dell'equivalenza - il Tribunale federale ha già più volte avuto modo di spiegare come l'attività giudiziaria non si limita affatto alla sola redazione della sentenza (sentenza 2C 379/2010 del 19 novembre 2010 consid. 6.3 sempre con ulteriori rinvii).
Il giudizio impugnato dev'essere pertanto confermato anche per quel che attiene alla tassa di giustizia.
7.
Per quanto precede, nella misura in cui è ammissibile, il ricorso in materia di diritto pubblico si rivela infondato e deve essere respinto. Le spese giudiziarie seguono la soccombenza (art. 66 cpv. 1

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |

SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Per questi motivi, il Tribunale federale pronuncia:
1.
Nella misura in cui è ammissibile, il ricorso è respinto.
2.
Le spese giudiziarie di fr. 8'000.-- sono poste a carico della ricorrente.
3.
Comunicazione al patrocinatore della ricorrente, alla Divisione delle contribuzioni e alla Camera di diritto tributario del Tribunale d'appello del Cantone Ticino, nonché all'Amministrazione federale delle contribuzioni, Divisione principale imposta federale diretta, imposta preventiva, tasse di bollo.
Losanna, 6 marzo 2014
In nome della II Corte di diritto pubblico
del Tribunale federale svizzero
Il Presidente: Zünd
Il Cancelliere: Savoldelli