Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 626/2014
Urteil vom 6. Januar 2015
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichterin Leuzinger, Präsidentin,
Bundesrichter Frésard, Maillard,
Gerichtsschreiberin Polla.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Kurt Meier,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich, Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 30. Mai 2014.
Sachverhalt:
A.
Der 1958 geborene A.________ bezog seit 1. Februar 1997 eine halbe Rente der Invalidenversicherung wegen den Folgen eines bei einer Heckauffahrkollision erlittenen Schleudertraumas der Halswirbelsäule (HWS; Verfügung vom 20. November 1998). Anlässlich eines Revisionsgesuchs vom 18. Juni 2001 sprach ihm die IV-Stelle des Kantons Zürich mit Verfügung vom 5. Dezember 2001 rückwirkend per 1. Juni 2001 eine ganze Rente zu. Im Rahmen einer Rentenrevision von Amtes wegen im Jahre 2008 klärte sie, aufgrund eines Hinweises der SUVA, die medizinische und berufliche Situation vertieft ab und ordnete im März 2009 eine Observation des Versicherten an. Dies führte zur Sistierung der Rente am 19. November 2009 und zur Einreichung einer Strafanzeige gegen A.________ am 5. Januar 2010. Gestützt auf das überdies veranlasste Gutachten der Medizinischen Begutachtungsstelle des Zentrums B.________ vom 9. Mai 2011 sprach ihm die IV-Stelle in Aufhebung der bisherigen Rentenleistungen unter dem Titel der prozessualen Revision vom 1. Februar bis 31. Dezember 1997, vom 1. September 1999 bis 31. Mai 2000 und vom 27. Februar bis 7. April 2001 eine halbe Rente zu. Ferner hob sie die bisher vom 1. Januar 1998 bis 1. September 1999, vom 1. Juni 2000 bis 27.
Februar 2001 und ab 7. April 2001 zugesprochenen Renten auf (Verfügung vom 9. September 2011). Mit Verfügung vom 28. Juli 2011 hatte der Unfallversicherer bereits die bisher ausgerichtete Rente rückwirkend auf den 1. Juni 2006 aufgehoben und Fr. 108'702.30 zurückgefordert. Am 16. November 2011 forderte die IV-Stelle ihrerseits zu Unrecht bezogene Rentenleistungen in der Höhe von Fr. 596'283.- verfügungsweise zurück.
B.
Die von A.________ gegen die beiden Verfügungen erhobenen Beschwerden hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich nach Vereinigung der Verfahren teilweise gut, indem es in Abänderung der Verfügung vom 9. September 2011 die Rentenleistungen rückwirkend per 1. Juni 2001 aufhob und in Abänderung der Verfügung vom 16. November 2011 den Anspruch auf Rückerstattung auf Fr. 524'713.- festsetzte. Im Übrigen wies es die Beschwerden ab (Entscheid vom 30. Mai 2014).
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Rechtsbegehren, es sei ihm in Aufhebung des vorinstanzlichen Entscheides rückwirkend ab 1997 und über den 1. Juni 2001 hinaus mindestens eine halbe Invalidenrente zuzusprechen.
Während die IV-Stelle Abweisung der Beschwerde beantragt, hat das Bundesamt für Sozialversicherungen auf eine Stellungnahme verzichtet.
Erwägungen:
1.
1.1. Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann u.a. die Verletzung von Bundesrecht gerügt werden (Art. 95 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
1.2. Das Bundesgericht wendet das Recht von Amtes wegen an (Art. 106 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
2.
2.1. Streitig und zu prüfen ist die Aufhebung der Rentenleistungen per 1. Juni 2001 und deren Rückforderung.
2.2. Das kantonale Gericht hat die zur Beurteilung der Streitsache massgebenden rechtlichen Grundlagen zutreffend dargelegt. Dies betrifft namentlich Art. 53 Abs. 1
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
|
1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
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1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88bis Effet - 1 L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
|
1 | L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
a | si la révision est demandée par l'assuré, dès le mois où cette demande est présentée; |
b | si la révision a lieu d'office, dès le mois pour lequel on l'avait prévue; |
c | s'il est constaté que la décision de l'office AI désavantageant l'assuré était manifestement erronée, dès le mois où ce vice a été découvert.392 |
2 | La diminution ou la suppression de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet:393 |
a | au plus tôt le premier jour du deuxième mois qui suit la notification de la décision; |
b | rétroactivement à la date où elle a cessé de correspondre aux droits de l'assuré, s'il se l'est fait attribuer irrégulièrement ou s'il a manqué, à un moment donné, à l'obligation de renseigner qui lui incombe raisonnablement en vertu de l'art. 77, que la poursuite du versement de la prestation ait eu lieu ou non en raison de l'obtention irrégulière ou de la violation de l'obligation de renseigner. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
|
1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
3.
3.1. Die Vorinstanz hat die Aufhebungsverfügung der IV-Stelle vorab unter dem Titel der prozessualen Revision geprüft. Zu Recht nicht gerügt wird, dass die Verfügung vom 9. September 2011 nach Ablauf der 90-tägigen Revisionsfrist erging, zumal die Frist erst nach Eingang des Gutachtens des Zentrums B.________ am 12. Mai 2011, allenfalls nach medizinischer Überprüfung durch den RAD am 3. Juni 2011, zu laufen begann (SVR 2012 IV Nr. 36 S. 140, 9C 896/2011 vom 31. Januar 2012 E. 4.2 mit Hinweisen; SVR 2012 UV Nr. 17 S. 63, 8C 434/2011 vom 8. Dezember 2011 E. 4.2; Urteil 8C 694/2012 vom 25. Januar 2013 E. 3.1.2; siehe auch zur absoluten zehnjährigen Verwirkungsfrist Urteil 8C 424/2013 vom 21. November 2014 E. 3.3, zur Publikation vorgesehen).
3.2. Nach Auffassung der Vorinstanz bilden weder das Observationsmaterial noch das Gutachten des Zentrums B.________ vom 9. Mai 2011 eine ausreichende Grundlage für die prozessuale Revision der bisherigen Rentenentscheide. Die Voraussetzungen einer prozessualen Revision bejahte sie jedoch aufgrund der Aussagen des Beschwerdeführers nach Konfrontation mit den Ergebnissen der Observation. Er habe anlässlich der Befragung durch die IV-Stelle gemäss Besprechungsprotokoll vom 5. November 2009 zugegeben, nach dem Unfall als Chef, unabhängig seines stets gleich schlechten Zustands, für die Kunden physisch nie ganz weg gewesen zu sein. Nebst einigen administrativen Arbeiten und der Kundenpflege habe er auch gewisse, den Nacken und die Hände nicht belastende Tätigkeiten in der Werkstatt ausgeführt. Er habe auch nach dem Unfall weiterhin als Geschäftsführer fungiert, sogar während des Klinikaufenthaltes mit Kunden telefoniert und zwischen dem Unfall und der Operation im Jahr 1999 wie auch nach der im Jahr 2001 aufgenommenen Hypnosebehandlung mechanische Verrichtungen vorgenommen. Daraus sei zu schliessen, dass er in erheblichem Umfang in der von ihm und C.________ ab Ende 1997 als GmbH geführten Garage D.________, welche neben diesen beiden
Gesellschaftern und Geschäftsführern einzig noch die für die Buchhaltung zuständige Ehefrau des Versicherten beschäftigt, nicht nur als Geschäftsführer, sondern auch in der Werkstatt tätig war. Der Werkstattbetrieb habe ohne zusätzliches Personal weiter betrieben werden können, wobei C.________ im Rahmen der Strafuntersuchung am 13. und 14. Juli 2010 angegeben habe, für ihn sei die Tätigkeit seit zehn Jahren härter geworden, weil der Beschwerdeführer weniger oder gar keine grösseren mechanischen Arbeiten verrichte, welchen Ausfall er ausgleiche. Die Garage habe keine finanziellen Einbussen erlitten. Diese Auskunft stünde, so die Vorinstanz weiter, in auffallendem Widerspruch zu den im Rahmen des Revisionsgesuchs vom 18. Juni 2001 getätigten Angaben, wonach der Beschwerdeführer seit Mai 2000 andauernd vollständig arbeitsunfähig sei. Auch gegenüber der SUVA habe er am 24. November 2000 erklärt, nicht arbeitsfähig zu sein. Die der Rentenerhöhung vom 5. Dezember 2001 zugrunde liegende Annahme einer im Mai 2000 eingetretenen gesundheitlichen Verschlechterung mit einer geltend gemachten vollständigen Arbeitsunfähigkeit sei damit entkräftet. Folglich sei die Rentenerhöhung auf den Zeitpunkt des Rentenrevisionsgesuchs hin in (prozessuale)
Revision zu ziehen und aufzuheben. Die mit Rentenentscheid vom 20. November 1998 und 18. Januar 2000 erfolgte Zusprechung einer halben Rente prüfte die Vorinstanz schliesslich in Verneinung eines prozessualen Revisionsgrundes unter dem Titel der Wiedererwägung gemäss Art. 53 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 53 Révision et reconsidération - 1 Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
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1 | Les décisions et les décisions sur opposition formellement passées en force sont soumises à révision si l'assuré ou l'assureur découvre subséquemment des faits nouveaux importants ou trouve des nouveaux moyens de preuve qui ne pouvaient être produits auparavant. |
2 | L'assureur peut revenir sur les décisions ou les décisions sur opposition formellement passées en force lorsqu'elles sont manifestement erronées et que leur rectification revêt une importance notable. |
3 | Jusqu'à l'envoi de son préavis à l'autorité de recours, l'assureur peut reconsidérer une décision ou une décision sur opposition contre laquelle un recours a été formé. |
nicht erwerblich ausgewirkt, weshalb die Zusprechung und revisionsrechtliche Bestätigung der halben Rente zweifellos unrichtig gewesen sei. Eine Melde- bzw. Anzeigepflichtverletzung sei erst mit dem Revisionsgesuch vom 18. Juni 2001 erwiesen, weshalb gemäss Art. 88bis Abs. 2 lit. b
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 88bis Effet - 1 L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
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1 | L'augmentation de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet, au plus tôt:391 |
a | si la révision est demandée par l'assuré, dès le mois où cette demande est présentée; |
b | si la révision a lieu d'office, dès le mois pour lequel on l'avait prévue; |
c | s'il est constaté que la décision de l'office AI désavantageant l'assuré était manifestement erronée, dès le mois où ce vice a été découvert.392 |
2 | La diminution ou la suppression de la rente, de l'allocation pour impotent ou de la contribution d'assistance prend effet:393 |
a | au plus tôt le premier jour du deuxième mois qui suit la notification de la décision; |
b | rétroactivement à la date où elle a cessé de correspondre aux droits de l'assuré, s'il se l'est fait attribuer irrégulièrement ou s'il a manqué, à un moment donné, à l'obligation de renseigner qui lui incombe raisonnablement en vertu de l'art. 77, que la poursuite du versement de la prestation ait eu lieu ou non en raison de l'obtention irrégulière ou de la violation de l'obligation de renseigner. |
3.3. Hinsichtlich einer Meldepflichtverletzung (Art. 77
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 77 Avis obligatoire - L'ayant droit ou son représentant légal, ainsi que toute personne ou autorité à qui la prestation est payée, doit communiquer immédiatement à l'office AI tout changement important qui peut avoir des répercussions sur le droit aux prestations, en particulier les changements qui concernent l'état de santé, la capacité de gain ou de travail, l'impotence, ou encore le besoin de soins ou le besoin d'aide découlant de l'invalidité, le lieu de séjour déterminant pour fixer le montant de l'allocation pour impotent et de la contribution d'assistance, ainsi que la situation personnelle et éventuellement économique de l'assuré. |
3.4. Mit Blick auf den Rückkommenstitel gilt Folgendes: Mit Verfügung vom 5. Dezember 2001 wurde die halbe Rente revisionsweise rückwirkend per 1. Juni 2001 auf eine ganze Rente erhöht. Damit trat die Revisionsverfügung an die Stelle der revidierten Verfügung vom 18. Januar 2000, welche auch bei einem Rückkommenstitel (Wiedererwägung oder Revision) hinsichtlich der Revisionsverfügung nicht wieder auflebt (Urteil 8C 424/2013 vom 21. November 2014 E. 5.2, zur Publikation vorgesehen). Es kann auch bei einer prozessualen Revision - wie bei einem wiedererwägungsweisen Zurückkommen auf eine zweifellos unrichtige Revisionsverfügung - allseitig neu beurteilt werden, wobei eine rückwirkende Korrektur (ex tunc) revisionsweise möglich ist. Damit kann, ohne dass geprüft werden muss, ob hinsichtlich der bis 31. Mai 2001 zugesprochenen halben IV-Rente ein eigenständiger Rückkommensgrund (im Sinne der Wiedererwägung) vorliegt, der gesamte Rentenanspruch neu beurteilt und allenfalls eine rückwirkende Aufhebung vorgenommen werden.
4.
4.1. Insoweit sich der Beschwerdeführer in materieller Hinsicht gegen die vorinstanzlich bestätigte Verneinung eines Rentenanspruchs seit Beginn der Leistungsausrichtung am 1. Februar 1997 wendet, kann ihm nicht gefolgt werden. Das kantonale Gericht hat weder die diesbezügliche Invaliditätsbemessung rechtsfehlerhaft vorgenommen, noch in willkürlicher Weise seinen Status festgelegt:
4.2. Wenn immer möglich ist der Invaliditätsgrad nach der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs zu ermitteln (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.201 Règlement du 17 janvier 1961 sur l'assurance-invalidité (RAI) RAI Art. 27 - 1 Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches. |
|
1 | Par travaux habituels, visés à l'art. 7, al. 2, de la loi, des assurés travaillant dans le ménage, il faut entendre l'activité usuelle dans le ménage, ainsi que les soins et l'assistance apportés aux proches. |
2 | ...170 |
ausgesondert werden können (vgl. SVR 1999 IV Nr. 24 S. 73 E. 4b, I 499/97; AHI 1998 S. 251 E. 4a, I 432/97; BGE 104 V 135 E. 2 S. 137). Eine gesetzliche Regelung, welche Bemessungsmethode anzuwenden ist, gibt es nicht. Die Wahl der Methode hängt nach dem Gesagten insbesondere davon ab, ob sich die hypothetischen Erwerbseinkommen zuverlässig schätzen lassen (allgemeine Methode) oder nicht (ausserordentliche Methode).
4.3. Die Vorinstanz gelangte zu Recht zur Ansicht, dass die IV-Stelle mit Blick auf die Funktion des Beschwerdeführers als Gesellschafter und Geschäftsführer der Garage D.________ mit Einzelunterschrift, die ärztlich bescheinigte Arbeitsunfähigkeit als Garagist von 50 % nicht unbesehen der Geschäftsergebnisse als Invaliditätsgrad hätte übernehmen dürfen, zumal er für die Einkommensfestsetzung selbst zuständig war. Sie hat nachvollziehbar dargelegt, dass sich, in Anbetracht des von ihm zusammen mit C.________ seit 1997 als GmbH geführten Betriebs, anlässlich der erstmaligen Beurteilung des Rentenanspruchs eine Abklärung der wirtschaftlichen Verhältnisse aufgedrängt hätte und ein Einkommensvergleich nicht ohne Berücksichtigung der Geschäftsabschlüsse der weiterhin von ihm und C.________ betriebenen Garage hätte vorgenommen dürfen. Die Abklärung der erwerblichen Seite war klar ungenügend, weshalb die Leistungszusprechung auf einer offensichtlich unvollständigen Aktenlage basierte.
Entgegen dem Einwand des Beschwerdeführers vermag daran auch seine AHV-rechtliche Qualifizierung als unselbstständig Erwerbender, womit er bezüglich Valideneinkommen einzig auf die Einträge im individuellen Konto (IK) abstellen will, woraus sich ein Valideneinkommen von Fr. 81'600.- und ein Invalideneinkommen von Fr. 40'800.- ergäbe, nichts zu ändern. In Würdigung aller vorliegenden Aspekte zeigt sich, dass diese Einträge in das IK keine zuverlässige Grundlage für die Invaliditätsbemessung darstellen. Die darin erfassten Einkünfte entsprechen offensichtlich nicht den tatsächlichen Werten, weshalb hierauf nicht abzustellen ist. Die Vorinstanz zeigte auf, dass er als Gesellschafter und Geschäftsführer mit Einzelunterschrift über einen wesentlichen Einfluss auf den Kleinstbetrieb verfügte. C.________ hat, gemäss vorinstanzlicher Feststellung, denn auch erklärt, dass das Arbeitsvolumen nicht abgenommen habe, es sei auch nicht häufig zu schmerzbedingten Arbeitsabbrüchen gekommen. Es entstand weder ein Umsatzrückgang noch ein finanzieller Mehraufwand durch die Behinderungen und Einschränkungen des Versicherten, welcher weiterhin uneingeschränkt als Geschäftsführer, einer ökonomisch für den Betrieb wertvollen Funktion, tätig sein konnte
(vgl. AHI 1998 S. 123 E. 3, I 83/97). Auch wenn offenblieb, ob und in welchem Umfang C.________ für seinen vermehrten Einsatz im mechanischen Bereich entschädigt worden war, ist nicht zu beanstanden, wenn das kantonale Gericht hieraus den Schluss zog, dass sich der geltend gemachte Gesundheitsschaden nicht erwerblich ausgewirkt hatte, indem sich kein entsprechender Niederschlag der 50%igen Arbeitsunfähigkeit als Automechaniker im Jahresumsatz und auf den Gewinn der GmbH finden liess.
In Würdigung dieser Aspekte verletzte die Vorinstanz kein Bundesrecht, wenn sie die von der IV-Stelle unbesehen ihrer erwerblichen Auswirkungen als Invaliditätsgrad übernommene 50%ige medizinisch-theoretische Einschränkung als (zweifellos) unrichtig ansah und den Beschwerdeführer als faktisch selbstständig Erwerbenden qualifizierte. Eine willkürliche Festlegung der Statusfrage liegt nicht vor. Es gelang dem Versicherten offensichtlich, durch eine entsprechende Umstellung im Betrieb, seine Restarbeitsfähigkeit optimal zu verwerten, sodass weder im Zeitpunkt der Rentenzusprechung per 1. Februar 1997 noch ab der auf den 1. Juni 2001 zugesprochenen ganzen Invalidenrente ein invalidisierender Gesundheitsschaden mit Rentenanspruch vorlag.
5.
Nachdem die Höhe und die Modalitäten der Rückforderung nicht angefochten sind, ist darauf nicht weiter einzugehen, womit es bei der vorinstanzlich (auf den Zeitpunkt der Meldepflichtverletzung) festgesetzten Rentenaufhebung per 1. Juni 2001 und der damit verbundenen Rückforderung in der Höhe von Fr. 524'713.- bleibt (vgl. zur Frage der Verwirkung der Rückforderung gemäss Art. 25 Abs. 2
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 25 Restitution - 1 Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
|
1 | Les prestations indûment touchées doivent être restituées. La restitution ne peut être exigée lorsque l'intéressé était de bonne foi et qu'elle le mettrait dans une situation difficile. |
2 | Le droit de demander la restitution s'éteint trois ans après le moment où l'institution d'assurance a eu connaissance du fait, mais au plus tard cinq ans après le versement de la prestation.23 Si la créance naît d'un acte punissable pour lequel le droit pénal prévoit un délai de prescription plus long, celui-ci est déterminant. |
3 | Le remboursement de cotisations payées en trop peut être demandé. Le droit s'éteint une année après que le cotisant a eu connaissance de ses paiements trop élevés, mais au plus tard cinq ans après la fin de l'année civile au cours de laquelle les cotisations ont été payées. |
6.
Die Gerichtskosten sind dem Verfahrensausgang entsprechend dem unterliegenden Beschwerdeführer aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 6. Januar 2015
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Die Präsidentin: Leuzinger
Die Gerichtsschreiberin: Polla