Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 595/2019
Urteil vom 5. November 2019
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterin Heine, Bundesrichter Wirthlin,
Gerichtsschreiber Wüest.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Sebastian Lorentz,
Beschwerdeführer,
gegen
IV-Stelle des Kantons Zürich,
Röntgenstrasse 17, 8005 Zürich,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Invalidenversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 28. Juni 2019 (IV.2017.01343).
Sachverhalt:
A.
A.a. Der 1970 geborene A.________ absolvierte eine Lehre als Werkzeugmaschinist. Von 1992 bis 1995 arbeitete er als Automobilverkäufer. Danach machte er sich selbstständig und betrieb einen Autohandel. Im April 2006 gründete er zusammen mit seiner Ehefrau die B.________ GmbH. Nach einem Motorradunfall am 31. März 1999 meldete er sich im April 2000 bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle des Kantons Zürich holte ein polydisziplinäres Gutachten des Zentrums für Medizinische Begutachtung, Basel (ZMB), vom 29. August 2006 ein. Gestützt darauf verneinte sie mit Verfügung vom 9. Januar 2007 einen Rentenanspruch des Versicherten.
A.b. Mit Schreiben vom 5. Juni 2012 ersuchte A.________ die IV-Stelle unter Verweis auf eine neu diagnostizierte mitochondriale Zytopathie um Durchführung einer prozessualen Revision, eventualiter um Prüfung einer Neuanmeldung. Die IV-Stelle tätigte in der Folge erwerbliche und medizinische Abklärungen und zog die Akten des Krankentaggeldversicherers bei. Nach Vorliegen des Abklärungsberichts für Selbstständigerwerbende vom 20. März 2013 kündigte sie ihm die Zusprechung einer halben Invalidenrente ab 1. Dezember 2012 an (Vorbescheid vom 8. Mai 2013). Nachdem A.________ dagegen Einwand erhoben hatte, tätigte die Verwaltung weitere medizinische Abklärungen. Insbesondere veranlasste sie eine polydisziplinäre Begutachtung in der Academy of Swiss Insurance Medicine (nachfolgend: asim). Das am 26. August 2016 erstattete Gutachten legte sie dem Regionalen Ärztlichen Dienst (RAD) zur Prüfung vor. Ausserdem ordnete sie eine Abklärung für Selbstständigerwerbende an (Abklärungsbericht vom 25. Januar 2017). Mit neuen Vorbescheiden vom 24. August 2017 stellte die Verwaltung dem Versicherten in Aussicht, auf sein prozessuales Revisionsgesuch nicht einzutreten und das Leistungsbegehren auch als Neuanmeldung abzuweisen, da im Wesentlichen ein
unveränderter Gesundheitszustand vorliege. Mit Verfügungen vom 8. November 2017 entschied sie wie angekündigt.
B.
Gegen den Entscheid betreffend die Neuanmeldung erhob A.________ Beschwerde. Mit Entscheid vom 28. Juni 2019 hiess das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich diese teilweise gut. Es hob die Verfügung vom 8. November 2017 auf und stellte fest, dass A.________ ab 1. Juli 2016 Anspruch auf eine halbe Invalidenrente habe.
C.
Mit Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten lässt A.________ beantragen, in Abänderung des angefochtenen Entscheids sei ihm ab 1. November 2012 eine ganze Invalidenrente zuzusprechen.
Während die IV-Stelle auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Sozialversicherungen (BSV) auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
Mit der Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann eine Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
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1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
2.1. Im angefochtenen Entscheid werden die Bestimmungen und Grundsätze über den Umfang des Invalidenrentenanspruchs (Art. 28 Abs. 2
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 5 Cas particuliers - 1 L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49 |
|
1 | L'invalidité des assurés âgés de 20 ans ou plus qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont on ne saurait exiger qu'ils exercent une telle activité est déterminée selon l'art. 8, al. 3, LPGA48.49 |
2 | L'invalidité des assurés âgés de moins de 20 ans qui n'exercent pas d'activité lucrative est déterminée selon l'art. 8, al. 2, LPGA. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 8 Invalidité - 1 Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
|
1 | Est réputée invalidité l'incapacité de gain totale ou partielle qui est présumée permanente ou de longue durée. |
2 | Les assurés mineurs sans activité lucrative sont réputés invalides s'ils présentent une atteinte à leur santé physique, mentale ou psychique qui provoquera probablement une incapacité de gain totale ou partielle.13 |
3 | Les assurés majeurs qui n'exerçaient pas d'activité lucrative avant d'être atteints dans leur santé physique, mentale ou psychique et dont il ne peut être exigé qu'ils en exercent une sont réputés invalides si l'atteinte les empêche d'accomplir leurs travaux habituels. L'art. 7, al. 2, est applicable par analogie.14 15 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 17 Révision de la rente d'invalidité et d'autres prestations durables - 1 La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
|
1 | La rente d'invalidité est, d'office ou sur demande, révisée pour l'avenir, à savoir augmentée, réduite ou supprimée, lorsque le taux d'invalidité de l'assuré: |
a | subit une modification d'au moins 5 points de pourcentage, ou |
b | atteint 100 %.19 |
2 | De même, toute prestation durable accordée en vertu d'une décision entrée en force est, d'office ou sur demande, augmentée ou réduite en conséquence, ou encore supprimée si les circonstances dont dépendait son octroi changent notablement. |
2.2. Bei den vorinstanzlichen Feststellungen zum Gesundheitszustand und zur Arbeitsfähigkeit der versicherten Person handelt es sich grundsätzlich um Entscheidungen über Tatfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2 S. 397 ff.), die das Bundesgericht seiner Urteilsfindung zugrunde zu legen hat (vgl. E. 1 hiervor). Die konkrete Beweiswürdigung stellt ebenfalls eine Tatfrage dar. Dagegen geht es bei der Beachtung des Untersuchungsgrundsatzes und der Beweiswürdigungsregeln um frei überprüfbare Rechtsfragen (BGE 132 V 393 E. 3.2 und 4 S. 397 ff.; SVR 2014 IV Nr. 1 S. 1, 9C 228/2013 E. 1.2; 2014 IV Nr. 20 S. 72, 9C 460/2013 E. 1.3). Gleiches gilt für die Frage, welche Invaliditätsbemessungsmethode zur Anwendung gelangt (SVR 2010 IV Nr. 11 S. 35 E. 3.4, 9C 236/2009) und für die Beachtung der Regeln über die Durchführung des Einkommensvergleichs (BGE 132 V 393 E. 3.3 S. 399; Urteil 8C 501/2011 vom 1. März 2012 E. 4.3).
2.3. Eine Sachverhaltsfeststellung ist nicht schon dann offensichtlich unrichtig, wenn sich Zweifel anmelden, sondern erst, wenn sie eindeutig und augenfällig unzutreffend ist. Eine offensichtlich unrichtige Sachverhaltsfeststellung weist damit die Tragweite von Willkür auf. Es liegt noch keine offensichtliche Unrichtigkeit vor, nur weil eine andere Lösung ebenfalls in Betracht fällt, selbst wenn diese als die plausiblere erscheint. Eine Sachverhaltsfeststellung ist etwa dann offensichtlich unrichtig, wenn das kantonale Gericht den Sinn und die Tragweite eines Beweismittels offensichtlich falsch eingeschätzt, ohne sachlichen Grund ein wichtiges und für den Ausgang des Verfahrens entscheidendes Beweismittel nicht beachtet oder aus den abgenommenen Beweisen unhaltbare Schlüsse gezogen hat. Solche Mängel sind in der Beschwerde aufgrund des strengen Rügeprinzips (vgl. Art. 106 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
3.
3.1. Streitig und zu prüfen ist, ob das kantonale Gericht Bundesrecht verletzte, indem es dem Beschwerdeführer ab 1. Juli 2016 eine halbe Invalidenrente zusprach. Im Zentrum des Streits stehen dabei einerseits die Frage, nach welcher Bemessungsmethode der Invaliditätsgrad zu berechnen ist und andererseits die Frage, auf welchen Zeitpunkt der Rentenbeginn festzulegen ist.
3.2. Unbestritten ist hingegen, dass sich im massgeblichen Vergleichszeitraum (vgl. BGE 133 V 108 E. 5.4 S. 114) eine anspruchserhebliche Änderung der tatsächlichen Verhältnisse zugetragen hat, die - analog den Grundsätzen zur Rentenrevision (vgl. BGE 130 V 71 E. 3.2.3 S. 77) - Anlass für eine in tatsächlicher und rechtlicher Hinsicht umfassende Prüfung des Rentenanspruchs gibt. Einigkeit besteht auch hinsichtlich der medizinisch attestierten Arbeitsfähigkeit von 50 % in einer angepassten Tätigkeit als Autohändler.
4.
4.1. Das kantonale Gerichte stellte fest, der Beschwerdeführer habe im April 2006 zusammen mit seiner Ehefrau die B.________ GmbH gegründet. Er sei einziger Geschäftsführer und Zeichnungsberechtigter und besitze 19/20 des Stammkapitals. Faktisch könne er damit sämtliche Entscheidungen alleine treffen, weshalb er invalidenversicherungsrechtlich einem Selbstständigerwerbenden gleichzustellen sei. Weiter führte es aus, der Versicherte habe anlässlich der Abklärung im Januar 2017 angegeben, er verfolge seit dem Jahr 2014 den Plan, sein Geschäft und das Gelände zu verkaufen. Sein stellvertretender Geschäftsführer habe vor 2,5 Jahren die Stelle aufgegeben. Die Geschäftszahlen seien massiv rückläufig. Zudem möge er aufgrund seiner gesundheitlichen Verfassung nicht mehr. Den Import von Fahrzeugen habe er aufgrund neuer Auflagen im Jahr 2014 aufgegeben. Die Unternehmung habe er nicht verkaufen können, der Verkauf des Geländes und der Liegenschaft "dürfte indes soweit sein". Er werde daher den Betrieb schliessen. Die Betriebsauflösung dürfte bis Mitte April 2017 abgeschlossen sein. Die Vorinstanz schloss aus diesen Angaben, dass die Voraussetzungen für einen nach den funktionellen Auswirkungen gewichteten Betätigungsvergleich dahingefallen
seien, zumal ein solcher nicht aussagekräftig wäre. Der Beschwerdeführer habe seinen bisherigen Betrieb aufgegeben. Die wesentlichen Pfeiler (Werkstatt; Spezialitäten-Import; früherer Standort; Personal) bestünden nicht mehr. Dabei dürften neben den gesundheitlichen Beschwerden - gemäss vorinstanzlichen Feststellungen - auch die geänderten Rahmenbedingungen und die eigene Lebensgestaltung eine Rolle gespielt haben. So schöpfe der Beschwerdeführer die gutachterlich attestierte Arbeitsfähigkeit von 50 % als Autohändler sei Jahren nicht mehr aus.
4.2. Die Vorinstanz erkannte weiter, anhand des Auszugs aus dem individuellen Konto (IK) könnten keine Aussagen zu den hypothetischen Vergleichseinkommen gemacht werden. Es gebe keine genügend langen Phasen mit einer gewissen Kontinuität, die Rückschlüsse auf das längerfristig erzielte Einkommen als gesunde oder auch invalide Person erlauben würden. Es seien laufend sowohl gesundheitlich wie auch wirtschaftlich bedingte Anpassungen erfolgt, die sich nicht trennen liessen und eine Abgrenzung der invaliditätsbedingten Erwerbseinbusse verunmöglichten. Auch das Betriebsergebnis erlaube mit Blick auf den stark schwankenden Gewinn, der die gemischten Auswirkungen von wirtschaftlichen und gesundheitlichen Faktoren widerspiegle, keine hinreichende Bestimmung der Vergleichseinkommen. Alsdann schätzte das kantonale Gericht, was der Beschwerdeführer in seinem eigenen Betrieb als Mechaniker und Händler zu je 50 % verdient hätte. Es führte dazu aus, der Versicherte habe einen Mechaniker und einen stellvertretenden Geschäftsführer in einem Vollzeitpensum beschäftigt. Diese beiden Angestellten hätten seine Aufgaben übernommen. Das Jahreseinkommen seines Mechanikers habe sich auf Fr. 70'800.-, dasjenige seines Stellvertreters auf insgesamt ca.
Fr. 100'000.- (inkl. Provisionen) belaufen. Bei hälftig aufgeteilter Arbeitszeit als Mechaniker und Autohändler hätte der Beschwerdeführer in seinem eigenen Betrieb im Jahr 2013 somit ein Einkommen von Fr. 85'400.- erzielt. Unter Berücksichtigung der Nominallohnentwicklung bis zum Jahr 2016 resultiere ein Jahreseinkommen von Fr. 86'600.80. Alsdann legte die Vorinstanz das Valideneinkommen mit einer Eventualbegründung anhand der vom Bundesamt für Statistik herausgegebenen Schweizerischen Lohnstrukturerhebung (LSE) fest. Gemäss LSE 2014, Tabelle TA1 skill level, Ziff. 45-47 (Handel; Instandhaltung und Reparatur von Motorfahrzeugen) betrage der monatliche Bruttolohn im Kompetenzniveau 3 für Männer Fr. 6'763.-. Angepasst an die durchschnittliche wöchentliche Arbeitszeit und unter Berücksichtigung der Nominallohnentwicklung ergäbe sich ein Jahreseinkommen von Fr. 85'862.80 im Jahr 2016. Das Invalideneinkommen veranschlagte die Vorinstanz entsprechend einer 50%igen Arbeitsfähigkeit mit der Hälfte davon, woraus ein Invaliditätsgrad von 50 % (oder etwas mehr bei Berücksichtigung des geschätzten Valideneinkommens) resultiere. Entsprechend bestehe Anspruch auf eine halbe Rente.
4.3. Der Beschwerdeführer macht geltend, die Vorinstanz habe Bundesrecht verletzt, indem sie den Invaliditätsgrad nicht durch einen erwerblich gewichteten Betätigungsvergleich (ausserordentliche Bemessungsmethode) berechnet habe. Es treffe zwar zu, dass er den Betrieb veräussern wolle. Allerdings habe er den Betrieb bis heute nicht verkauft. Demnach sei er weiterhin selbstständig erwerbstätig. Abgesehen davon habe die IV-Stelle im Jahr 2013 eine betriebswirtschaftliche Abklärung vorgenommen und dabei ein Valideneinkommen von Fr. 215'600.- ermittelt. Der Abklärungsbericht vom 20. März 2013 erfülle die Anforderungen an einen beweiskräftigen Bericht, weshalb darauf abzustellen sei. Die Bezifferung des Valideneinkommens durch die Vorinstanz unter Zuhilfenahme der Löhne des Stellvertreters und des angestellten Mechanikers sei demgegenüber geradezu absurd. So sei nicht überwiegend wahrscheinlich, dass ein Arbeitgeber seinen Angestellten einen höheren Lohn ausrichte als sich selbst. Ausgehend von einem Valideneinkommen von Fr. 215'600.- und einem Invalideneinkommen von Fr. 42'931.40 ergebe sich ein Invaliditätsgrad von 80 % und damit ein Anspruch auf eine ganze Invalidenrente.
5.
Für die Bestimmung des Invaliditätsgrades bei Erwerbstätigen wird das Erwerbseinkommen, das die versicherte Person nach Eintritt der Invalidität und nach Durchführung der medizinischen Behandlung und allfälliger Eingliederungsmassnahmen durch eine ihr zumutbare Tätigkeit bei ausgeglichener Arbeitsmarktlage erzielen könnte, in Beziehung gesetzt zum Erwerbseinkommen, das sie erzielen könnte, wäre sie nicht invalid geworden (Art 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
Beim Einkommensvergleich werden in der Regel die beiden hypothetischen Erwerbseinkommen ziffernmässig möglichst genau ermittelt und einander gegenübergestellt, worauf sich aus der Einkommensdifferenz der Invaliditätsgrad bestimmen lässt. Insoweit die fraglichen Erwerbseinkommen ziffernmässig nicht genau ermittelt werden können, sind sie nach Massgabe der im Einzelfall bekannten Umstände zu schätzen und die so gewonnenen Annäherungswerte miteinander zu vergleichen. Dabei kann auch eine Gegenüberstellung blosser Prozentzahlen genügen (BGE 114 V 310 E. 3a S. 313; 104 V 135 E. 2b S. 136 f.). Ist eine zuverlässige Ermittlung oder Schätzung der beiden hypothetischen Erwerbseinkommen nicht möglich - was etwa bei Selbstständigerwerbenden oder Arbeitnehmern, die gewisse Unkosten selbst zu tragen haben, zutreffen kann - ist in Anwendung der ausserordentlichen Bemessungsmethode ein Betätigungsvergleich vorzunehmen und der Invaliditätsgrad nach Massgabe der erwerblichen Auswirkung der verminderten Leistungsfähigkeit in der konkreten Situation zu ermitteln (BGE 128 V 29 E. 1 S. 30 f.; 104 V 135 E. 2c S. 137 f.).
6.
Der Beschwerdeführer dringt mit seinen Einwänden nicht durch, wie sich aus dem Folgenden ergibt:
6.1. Zunächst ist nicht ersichtlich und es wird vom Beschwerdeführer auch nicht ansatzweise dargetan, inwiefern ihm aus der Nichtanwendung der ausserordentlichen Bemessungsmethode Nachteile erwachsen. Er macht nicht geltend - und dies ist angesichts seines gefächerten Aufgabenbereichs (vgl. Abklärungsbericht für Selbstständigerwerbende vom 20. März 2013) und seines Zumutbarkeitsprofils (vgl. Gutachten der asim vom 26. August 2016) auch nicht anzunehmen -, dass sich seine Einschränkungen innerhalb seines Betriebs namentlich bei den erwerblich bedeutsameren Verrichtungen auswirken. Insoweit ist ausgeschlossen, dass ein erwerblich gewichteter Betätigungsvergleich zu einem höheren Invaliditätsgrad als 50 % führen würde. So gesehen kann hier offen bleiben, ob die Berechnung des Invaliditätsgrades bis zur Stilllegung des Betriebs (vgl. Urteil I 842/05 vom 1. Juni 2006 E. 5.2.2 mit Hinweisen auf Judikatur und Literatur; vgl. auch Urteil I 707/06 vom 9. Juli 2007 E. 3.2 mit weiteren Hinweisen) nach der ausserordentlichen Bemessungsmethode erfolgen müsste. Der Beschwerdeführer beantragt denn auch nicht die Rückweisung der Sache zur Durchführung eines erwerblich gewichteten Betätigungsvergleichs.
6.2. Stattdessen stützt der Beschwerdeführer sein Begehren um Zusprache einer ganzen Invalidenrente ausdrücklich auf einen Einkommensvergleich mit einem dabei zu berücksichtigenden Valideneinkommen von Fr. 215'600.-. Er beruft sich hierfür auf den Abklärungsbericht für Selbstständigerwerbende vom 20. März 2013. Das darin ermittelte Valideneinkommen beruht massgeblich auf dem Betriebsergebnis des Jahres 2012. Diesbezüglich hat die Vorinstanz überzeugend dargelegt, dass das Valideneinkommen weder anhand der im IK verbuchten Erwerbseinkommen noch der Betriebsergebnisse berechnet werden kann (vgl. E. 4.2 hiervor). Sie wies insbesondere auf den stark schwankenden Gewinn sowie die laufend erfolgten gesundheitlich und wirtschaftlich bedingten Anpassungen des Betriebs hin, die eine Abgrenzung der invaliditätsbedingten Erwerbseinbusse verunmöglichen würden. Der Beschwerdeführer vermag nicht darzutun, inwiefern die vorinstanzlichen Feststellungen offensichtlich unrichtig sein sollen. Abgesehen davon verhält er sich widersprüchlich, wenn er einerseits den Abklärungsbericht vom 20. März 2013 als beweiskräftig bezeichnet und das darin ermittelte Valideneinkommen, hingegen nicht das Invalideneinkommen von Fr. 100'119.- berücksichtigt haben
will.
Sodann hat die Vorinstanz das Valideneinkommen einerseits unter Zuhilfenahme der Löhne von zwei Angestellten im Betrieb des Beschwerdeführers und andererseits - im Sinne einer Eventualbegründung - unter Berücksichtigung von Tabellenwerten ermittelt. Dies ist unter den gegebenen Umständen nicht zu beanstanden. Lässt sich aufgrund der tatsächlichen Verhältnisse das ohne gesundheitliche Beeinträchtigung realisierbare Einkommen nicht hinreichend genau beziffern, darf rechtsprechungsgemäss auf statistische Werte wie die LSE zurückgegriffen werden, sofern dabei die für die Entlöhnung im Einzelfall relevanten persönlichen und beruflichen Faktoren mitberücksichtigt werden (Urteil 9C 351/2013 vom 19. September 2013 E. 4.3). Diese Grundsätze hat das kantonale Gericht gewahrt. Dass das auf diese Weise ermittelte Valideneinkommen tiefer liegt als der Lohn des stellvertretenden Geschäftsführers im Betrieb des Beschwerdeführers, begründet - entgegen der Auffassung des Versicherten - noch keine offensichtliche Unrichtigkeit oder Willkür (vgl. E. 2.3 hiervor).
Die Höhe des Invalideneinkommens wird vom Beschwerdeführer schliesslich nicht beanstandet. Nach dem Gesagten besteht kein Anlass, vom vorinstanzlich berechneten Invaliditätsgrad von 50 % oder leicht höher abzuweichen, womit es bei einem Anspruch auf eine halbe Rente sein Bewenden hat.
7.
7.1. Der Beschwerdeführer rügt ferner in Bezug auf den Rentenbeginn eine offensichtlich unrichtige und widersprüchliche Sachverhaltsfeststellung der Vorinstanz. Diese sei in ihren Erwägungen fälschlicherweise von einer Neuanmeldung im Januar 2016 ausgegangen und habe folglich den Rentenbeginn per 1. Juli 2016 festgelegt. Richtig sei indessen - wie die Vorinstanz im Abschnitt Sachverhalt auch zutreffend ausgeführt habe -, dass die Neuanmeldung mit Schreiben vom 5. Juni 2012 erfolgt sei.
7.2. Dieser Einwand ist begründet. Nach Aktenlage meldete sich der Beschwerdeführer klarerweise mit Schreiben vom 5. Juni 2012 neu bei der Invalidenversicherung zum Leistungsbezug an. Die IV-Stelle bestätigte denn auch mit Schreiben vom 26. Juni 2012 den Eingang des Gesuchs vom 5. Juni 2012 und nahm in ihrer Verfügung vom 8. November 2017 explizit darauf Bezug. Die vorinstanzliche Sachverhaltsfeststellung ist entsprechend zu korrigieren (vgl. E. 1 hiervor).
7.3. Ausgehend von einer Neuanmeldung am 5. Juni 2012 entsteht der Rentenanspruch somit frühestens per 1. Dezember 2012 und nicht wie vom Beschwerdeführer geltend gemacht per 1. November 2012 (Art. 29 Abs. 1
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 29 Naissance du droit et versement de la rente - 1 Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance au plus tôt à l'échéance d'une période de six mois à compter de la date à laquelle l'assuré a fait valoir son droit aux prestations conformément à l'art. 29, al. 1, LPGA215, mais pas avant le mois qui suit le 18e anniversaire de l'assuré. |
2 | Le droit ne prend pas naissance tant que l'assuré peut faire valoir son droit à une indemnité journalière au sens de l'art. 22. |
3 | La rente est versée dès le début du mois au cours duquel le droit prend naissance. |
4 | Les rentes correspondant à un taux d'invalidité inférieur à 50 % ne sont versées qu'aux assurés qui ont leur domicile et leur résidence habituelle (art. 13 LPGA) en Suisse. Cette condition doit également être remplie par les proches pour lesquels une prestation est réclamée. |
SR 831.20 Loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité (LAI) LAI Art. 28 Principe - 1 L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
|
1 | L'assuré a droit à une rente aux conditions suivantes: |
a | sa capacité de gain ou sa capacité d'accomplir ses travaux habituels ne peut pas être rétablie, maintenue ou améliorée par des mesures de réadaptation raisonnablement exigibles; |
b | il a présenté une incapacité de travail (art. 6 LPGA204) d'au moins 40 % en moyenne durant une année sans interruption notable; |
c | au terme de cette année, il est invalide (art. 8 LPGA) à 40 % au moins. |
1bis | Une rente au sens de l'al. 1 n'est pas octroyée tant que toutes les possibilités de réadaptation au sens de l'art. 8, al. 1bis et 1ter, n'ont pas été épuisées.205 |
2 | ...206 |
8.
Der Beschwerdeführer obsiegt mit seiner Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 28. Juni 2019 teilweise (Rentenbeginn). Aufgrund dieses Verfahrensausganges rechtfertigt es sich, ihm und der Beschwerdegegnerin je die Hälfte der Gerichtskosten aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird teilweise gutgeheissen. Der Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich vom 28. Juni 2019 und die Verfügung der IV-Stelle des Kantons Zürich vom 8. November 2017 werden insoweit abgeändert, als der Versicherte ab 1. Juni 2013 Anspruch auf eine halbe Invalidenrente hat. Im Übrigen wird die Beschwerde abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden zu Fr. 400.- dem Beschwerdeführer und zu Fr. 400.- der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Beschwerdegegnerin hat den Beschwerdeführer für das bundesgerichtliche Verfahren mit Fr. 1400.- zu entschädigen.
4.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Kosten und der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich zurückgewiesen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Sozialversicherungen schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 5. November 2019
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Der Gerichtsschreiber: Wüest