Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 131/2011
Urteil vom 5. Juli 2011
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Leuzinger, Bundesrichter Frésard,
Gerichtsschreiber Jancar.
Verfahrensbeteiligte
K.________,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (versicherter Verdienst, Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozial-versicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 13. Dezember 2010.
Sachverhalt:
A.
Der 1960 geborene K.________ war seit Februar 1998 als Leiter der Debitorenbuchhaltung bei der Firma X.________ AG angestellt und bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) obligatorisch unfallversichert. Am 23. November 2003 zog er sich bei einem Sturz Frakturen am linken Handgelenk und Ellbogen zu, die mehrere chirurgische Eingriffe und andere therapeutische Massnahmen erforderten. Die SUVA erbrachte die gesetzlichen Leistungen (Heilbehandlung, Taggeld). Mit Verfügung vom 18. Januar 2005 und Einspracheentscheid vom 31. August 2005 setzte sie die Arbeitsfähigkeit auf 80 % eines Vollzeitpensums fest, wobei sie einen Kausalzusammenhang zwischen dem Unfall und den geltend gemachten Rückenbeschwerden verneinte (Verfügung vom 16. März 2005; Einspracheentscheid vom 17. Oktober 2005). Die gegen die Einspracheentscheide vom 31. August und 17. Oktober 2005 eingereichten Beschwerden wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich nach Vereinigung der beiden Verfahren ab (Entscheid vom 3. November 2006). Die dagegen eingereichte Verwaltungsgerichtsbeschwerde hiess das Bundesgericht in dem Sinne teilweise gut, dass es den kantonalen Entscheid und den Einspracheentscheid vom 31. August 2005 aufhob und die Sache an die
SUVA zurückwies, damit sie im Sinne der E. 4.2 verfahre (Urteil U 602/06 vom 30. Mai 2007). Die SUVA holte in der Folge ein Gutachten des Medizinischen Abklärungszentrums Y.________ vom 15. November 2007 ein. Mit Verfügung vom 8. September 2008 sprach sie dem Versicherten ab 1. September 2008 eine Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 30 % und einem versicherten Jahresverdienst von Fr. 99'803.- zu. Die dagegen erhobene Einsprache wies sie ab, soweit sie darauf eintrat (Entscheid vom 22. April 2009).
B.
Die hiegegen erhobene Beschwerde wies das kantonale Gericht ab, soweit es darauf eintrat (Entscheid vom 13. Dezember 2010).
C.
Mit Beschwerde beantragt der Versicherte, bei ihm sei rückwirkend eine Arbeitsunfähigkeit von mindestens 39 % festzulegen; das wegen der SUVA aufgelöste Arbeitsverhältnis sei entsprechend der Verminderung des wirtschaftlichen Fortkommens angemessen zu entschädigen; für die Rentenberechnung sei der Satz des maximalen Einkommens zugrunde zu legen. Zudem verlangt er die Rückzahlung eines Lohnguthabens von Fr. 40'000.-, das seine Arbeitgeberin an die SUVA statt an ihn ausbezahlt habe; die vorinstanzliche Nichtanhandnahme dieser Forderung sei eine Rechtsverweigerung.
Die SUVA schliesst auf Abweisung der Beschwerde, soweit darauf einzutreten sei; die Beschwerde sei wegen Ungebührlichkeit zur Verbesserung an den Versicherten zurückzuweisen. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Am 12. Mai 2011 reicht der Versicherte eine Stellungnahme zur Vernehmlassung der SUVA ein. Am 28. Mai 2011 macht er eine weitere Eingabe.
Erwägungen:
1.
Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung nach Art. 95 f
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
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a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
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1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Die Beschwerde an das Bundesgericht ist innert der Beschwerdefrist (Art. 100
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 100 Recours contre une décision - 1 Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
|
1 | Le recours contre une décision doit être déposé devant le Tribunal fédéral dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète. |
2 | Le délai de recours est de dix jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour dettes et de faillite; |
b | les décisions en matière d'entraide pénale internationale et d'assistance administrative internationale en matière fiscale; |
c | les décisions portant sur le retour d'un enfant fondées sur la Convention européenne du 20 mai 1980 sur la reconnaissance et l'exécution des décisions en matière de garde des enfants et le rétablissement de la garde des enfants92 ou sur la Convention du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants93. |
d | les décisions du Tribunal fédéral des brevets concernant l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets95. |
3 | Le délai de recours est de cinq jours contre: |
a | les décisions d'une autorité cantonale de surveillance en matière de poursuite pour effets de change; |
b | les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours concernant des votations fédérales. |
4 | Le délai de recours est de trois jours contre les décisions d'un gouvernement cantonal sur recours touchant aux élections au Conseil national. |
5 | En matière de recours pour conflit de compétence entre deux cantons, le délai de recours commence à courir au plus tard le jour où chaque canton a pris une décision pouvant faire l'objet d'un recours devant le Tribunal fédéral. |
6 | ...96 |
7 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 102 Échange d'écritures - 1 Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
|
1 | Si nécessaire, le Tribunal fédéral communique le recours à l'autorité précédente ainsi qu'aux éventuelles autres parties ou participants à la procédure ou aux autorités qui ont qualité pour recourir; ce faisant, il leur impartit un délai pour se déterminer. |
2 | L'autorité précédente transmet le dossier de la cause dans le même délai. |
3 | En règle générale, il n'y a pas d'échange ultérieur d'écritures. |
IR 0.101 Convention du 4 novembre 1950 de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales (CEDH) CEDH Art. 6 Droit à un procès équitable - 1. Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
|
1 | Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale dirigée contre elle. Le jugement doit être rendu publiquement, mais l'accès de la salle d'audience peut être interdit à la presse et au public pendant la totalité ou une partie du procès dans l'intérêt de la moralité, de l'ordre public ou de la sécurité nationale dans une société démocratique, lorsque les intérêts des mineurs ou la protection de la vie privée des parties au procès l'exigent, ou dans la mesure jugée strictement nécessaire par le tribunal, lorsque dans des circonstances spéciales la publicité serait de nature à porter atteinte aux intérêts de la justice. |
2 | Toute personne accusée d'une infraction est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie. |
3 | Tout accusé a droit notamment à: |
a | être informé, dans le plus court délai, dans une langue qu'il comprend et d'une manière détaillée, de la nature et de la cause de l'accusation portée contre lui; |
b | disposer du temps et des facilités nécessaires à la préparation de sa défense; |
c | se défendre lui-même ou avoir l'assistance d'un défenseur de son choix et, s'il n'a pas les moyens de rémunérer un défenseur, pouvoir être assisté gratuitement par un avocat d'office, lorsque les intérêts de la justice l'exigent; |
d | interroger ou faire interroger les témoins à charge et obtenir la convocation et l'interrogation des témoins à décharge dans les mêmes conditions que les témoins à charge; |
e | se faire assister gratuitement d'un interprète, s'il ne comprend pas ou ne parle pas la langue employée à l'audience. |
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
3.
Neue Tatsachen und Beweismittel dürfen nur soweit vorgebracht werden, als erst der Entscheid der Vorinstanz dazu Anlass gibt, was von der beschwerdeführenden Partei näher darzulegen ist (Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
Der Versicherte legt letztinstanzlich neue, in den bisherigen Akten nicht befindliche Dokumente auf; weiter verlangt er letztinstanzlich erstmals die Einvernahme eines Zeugen von der Firma X.________ AG. Er macht hierfür aber keine nach Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
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1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
4.
Nach dem Grundsatz von Treu und Glauben und dem Verbot des Rechtsmissbrauchs ist es nicht zulässig, formelle Rügen, die in einem früheren Prozessstadium hätten geltend gemacht werden können, bei ungünstigem Ausgang noch später vorzubringen. Wer einen Ablehnungsgrund nicht unverzüglich nach dessen Kenntnisnahme geltend macht, verwirkt den Anspruch auf seine spätere Anrufung (BGE 136 I 207 E. 3.4 S. 211, 135 III 334 E. 2.2 S. 336). Der Versicherte macht letztinstanzlich neu geltend, die Vorinstanz sei kein unabhängiges Gericht, da sie im selben Gebäude wie die SUVA untergebracht sei. Er begründet indessen nicht und es ist auch nicht ersichtlich, weshalb er diese Rüge nicht bereits im kantonalen Verfahren vorgebracht hat, so dass darauf nicht einzutreten ist. Hievon abgesehen hat das Eidgenössische Versicherungsgericht (seit 1. Januar 2007 Bundesgericht) mit Urteil vom 19. Mai 2000 erkannt, dass die Sitzwahl des zürcherischen Sozialversicherungsgerichts die Garantie auf Beurteilung durch ein unabhängiges und unparteiliches Gericht nicht verletzt (vgl. SVR 2000 UV Nr. 21 S. 71 E. 2 [U 161/98]). Im Übrigen ergeben sich in casu keine konkreten Anhaltspunkte für eine Voreingenommenheit der am Entscheid beteiligten Gerichtspersonen.
5.
Der Versicherte führt in der Beschwerde aus, die SUVA habe an seiner ehemaligen Arbeitsstelle einen Spion aufgefordert, Unterlagen zu sammeln und ihr weiterzureichen. Dieser habe im Aktenschrank Unterlagen über seine Arbeitseinsätze gesammelt und diese gestohlenen Daten an die SUVA weitergeleitet, welche damit seine Arbeitgeberin erpresst habe. Diese sei von der SUVA gedrängt worden, ihn zu entlassen, womit Letztere gehofft habe, sich unredlich von ihrer Leistungsverpflichtung drücken zu können. Für diese enorme und amtsmissbräuchliche Schädigung müsse die SUVA zur Rechenschaft gezogen werden. Er wolle von ihr nur eine angemessene Entschädigung für ihre abscheulichen Schandtaten; er werde von ihr vorsätzlich fertig gemacht.
Die SUVA macht geltend, diese Äusserungen seien haltlos und ungebührlich, weshalb die Beschwerde an den Versicherten nach Art. 42 Abs. 6
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
6.
Der Beschwerdeführer beantragt, das wegen der SUVA aufgelöste Arbeitsverhältnis sei entsprechend der Verminderung des wirtschaftlichen Fortkommens angemessen zu entschädigen. In diesem Punkt trat die Vorinstanz auf die Beschwerde nicht ein. Der Versicherte setzt sich mit diesem Nichteintretensentscheid nicht auseinander, weshalb insofern auf die Beschwerde mangels sachbezogener Begründung nicht einzutreten ist (BGE 123 V 335; Urteil 8C 608/2009 vom 12. August 2009 E. 2).
7.
7.1 Der Versicherte verlangt die Rückzahlung eines Lohnguthabens von Fr. 40'000.-, das seine Arbeitgeberin an die SUVA statt an ihn ausbezahlt habe. Diesen Betrag forderte er von der SUVA mit Schreiben vom 8. Februar 2010 ein. Diese überwies es am 11. Februar 2010 dem kantonalen Gericht. Der Versicherte machte diese Forderung von Fr. 40'000.- mit Eingabe vom 18. Februar 2010 direkt bei der Vorinstanz geltend. Diese eröffnete ihm am 23. Februar 2010, sie habe sein Schreiben vom 8. Februar 2010 wieder an die SUVA retourniert, weil die darin erhobene Forderung nicht Streitgegenstand des Gerichtsverfahrens sei.
7.2 Der Versicherte macht geltend, die vorinstanzliche Nichtanhandnahme des Falles betreffend Rückzahlung von Fr. 40'000.- stelle eine Rechtsverweigerung dar; die Vorinstanz habe hierüber zu entscheiden. Dem kann nicht beigepflichtet werden. Da die SUVA über diese Forderung - die damals noch nicht geltend gemacht wurde - im streitigen Einspracheentscheid nicht befunden hatte, hatte die Vorinstanz darüber mangels Anfechtungsgegenstandes nicht zu urteilen (BGE 131 V 164 f. E. 2.1).
7.3 Weiter bringt der Versicherte vor, da die SUVA diesbezüglich bis heute nicht tätig geworden sei, habe das Bundesgericht einen Entscheid zu treffen. Dem kann nicht gefolgt werden. Vielmehr ist die Sache hinsichtlich der Forderung von Fr. 40'000.- an die SUVA zu überweisen, damit sie diesbezüglich eine Verfügung erlasse.
8.
Die Vorinstanz hat die für die Beurteilung des Rentenanspruchs massgebenden Rechtsgrundlagen richtig dargelegt. Darauf wird verwiesen.
9.
Die Arbeits(un)fähigkeit des Beschwerdeführers ist einzig in Bezug auf die unfallbedingten Beeinträchtigungen am linken Ellbogen und der linken Hand festzulegen, wie das Bundesgericht in E. 3 des Urteils vom 30. Mai 2007 entschieden hat. Die Vorinstanz hat gestützt auf das Gutachten des Medizinischen Abklärungszentrums Y.________ vom 15. November 2007 mit einlässlicher Begründung, auf die verwiesen wird, zutreffend erkannt, dass der Versicherte in der angestammten Arbeit und in einer anderen leidensangepassten Tätigkeit zu 70 % arbeitsfähig ist. Er bringt keine Einwendungen vor, welche diese Feststellung in Zweifel zu ziehen vermögen.
10.
10.1
10.1.1 Das Arbeitsverhältnis des Versicherten bei der Firma X.________ AG, das er bereits vor dem Unfall vom 23. November 2003 innehatte, wurde von der Arbeitgeberin am 7. März 2007 per 30. Juni 2007 gekündigt, wobei sie den Lohn bis 31. August 2007 ausrichtete. Sie gab der SUVA am 16. Mai 2008 an, das Arbeitsverhältnis sei gekündigt worden, weil das Vertrauensverhältnis nicht mehr bestanden habe. Gemäss der Vergleichsvereinbarung zwischen der Arbeitgeberin und dem Beschwerdeführer vom 13./15. November 2007 kündigte diese das Arbeitsverhältnis am 7. März 2007 nach wiederholten Differenzen (insbesondere betreffend Präsenzzeiten und Arbeitgebermeldungen an die SUVA).
10.1.2 Die Vorinstanz erwog, das Arbeitsverhältnis sei aus unfallfremden Gründen, nämlich aufgrund des fehlenden Vertrauensverhältnisses, aufgelöst worden. Für die Berechnung des Invaliditätsgrades könne daher auch für das Invalideneinkommen auf das bei der Firma X.________ AG erzielte Einkommen abgestellt werden bzw., da Validen- und Invalideneinkommen auf gleicher Grundlage basierten, ein Prozentvergleich vorgenommen werden. Da die Arbeitsfähigkeit des Versicherten zu 30 % eingeschränkt sei, resultiere ein Invaliditätsgrad in gleicher Höhe. Die SUVA ging in der Verfügung vom 8. September 2008 und im streitigen Einspracheentscheid vom 22. April 2009 gleich vor.
Die Annahme, das Arbeitsverhältnis sei aus unfallfremden Gründen beendet worden, erscheint fragwürdig, zumal der Vertrauensverlust im Zusammenhang mit der Taggeldabwicklung stand. Dennoch ist die vorinstanzliche Ermittlung des Invaliditätsgrades im Ergebnis rechtens, wie sich aus E. 10.2 hienach ergibt.
10.2
10.2.1 Bei der Invaliditätsbemessung kommt der allgemeinen Methode des Einkommensvergleichs grundsätzlich Vorrang zu (Art. 16
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
10.2.2 Die Firma X.________ AG liess am 12. März 2008 die Frage nach dem hypothetischen Valideneinkommen des Versicherten für das Jahr 2008 unbeantwortet; sie legte lediglich seine Lohnblätter für die Jahre 2002, 2003 und 2007 (bis 31. August 2007) auf und führte aus, es sei sehr schwierig, eine Annahme für einen allfälligen Lohn im Jahre 2008 zu treffen; mutmasslich würden sie von einer Erhöhung von maximal 1 % ausgehen. Die SUVA nahm zu Handen der Akten in einer Zusammenfassung vom 5. September 2008 einen Einkommensvergleich vor, wobei sie für das Jahr 2008 bei einer 100%igen Erwerbstätigkeit (42 Stunden pro Woche) des Versicherten in obiger Firma ein Valideneinkommen von Fr. 98'010.- ermittelte. Dieser Betrag überzeugt nicht, da der Versicherte bereits während des Jahres vor dem Unfall vom 23. November 2003 Fr. 99'802.10 verdiente (vgl. E. 11.2.1 hienach). Weiter ist festzuhalten, dass er und die Arbeitgeberin im Jahre 2006 einen neuen Arbeitsvertrag abschlossen, wonach er ab 1. Januar 2007 als Verantwortlicher für das Inkasso bei einem 80%igen Beschäftigungsgrad jährlich Fr. 84'500.- (monatlich Fr. 6'500.- x 13) verdienen sollte; dies ergäbe bei einem 100%igen Einsatz jährlich Fr. 105'000.-. Zu beachten ist aber, dass dem
Versicherten gemäss den Buchhaltungsunterlagen für die Zeit vom 1. Januar bis 31. August 2007 ein Lohn von Fr. 67'189.20.- bezahlt wurde, was hochgerechnet auf zwölf Monate und auf einen 100%igen Beschäftigungsgrad Fr. 125'979.75 ergäbe. Der Lohn für das Jahr 2008 wäre gemäss Angaben der Arbeitgeberin um ein Prozent gestiegen, was zu einem Valideneinkommen von Fr. 127'239.50 führen würde. Von diesem Betrag kann indessen nicht ausgegangen werden, zumal allein für Januar 2007 ein Lohn von Fr. 15'985.25 ausbezahlt wurde und hierfür in den Akten eine nachvollziehbare Begründung fehlt.
10.2.3 Nach dem Gesagten ist die Aktenlage betreffend das hypothetische Valideneinkommen für das Jahr 2008 unklar und widersprüchlich. Es lässt sich ziffernmässig nicht genau ermitteln. Da von weiteren Abklärungen keine neuen Erkenntnisse zu erwarten sind, ist darauf zu verzichten (antizipierte Beweiswürdigung; BGE 134 I 140 E. 5.3 S. 148; Urteil 8C 944/2010 vom 21. März 2011 E. 7.2.6). Unter diesen Umständen ist die vorinstanzliche Anwendung des Prozentvergleichs rechtens. Da der Versicherte in der angestammten als Leiter der Debitorenbuchhaltung bzw. als Verantwortlicher für das Inkasso oder in einer vergleichbaren Arbeit zu 70 % arbeitsfähig ist (E. 9 hievor), ist auch der eruierte Invaliditätsgrad von 30 % im Ergebnis nicht zu beanstanden.
11.
Streitig und zu prüfen ist weiter der für die Rentenberechnung relevante versicherte Verdienst des Beschwerdeführers.
11.1 Gemäss Art. 15 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 15 - 1 Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
|
1 | Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
2 | Est réputé gain assuré pour le calcul des indemnités journalières le dernier salaire que l'assuré a reçu avant l'accident; est déterminant pour le calcul des rentes le salaire que l'assuré a gagné durant l'année qui a précédé l'accident. |
3 | Lorsque le Conseil fédéral fixe le montant maximal du gain assuré au sens de l'art. 18 LPGA33, il désigne les gains accessoires et les prestations de remplacement qui en font partie.34 Ce faisant, il veille à ce que, en règle générale, au moins 92 %, mais pas plus de 96 % des travailleurs assurés soient couverts pour le gain intégral. Il édicte des prescriptions sur le gain assuré pris en considération dans des cas spéciaux, notamment: |
a | lorsque l'assuré a droit pendant une longue période aux indemnités journalières; |
b | en cas de maladie professionnelle; |
c | lorsque l'assuré ne gagne pas, ou pas encore, le salaire usuel dans sa profession; |
d | lorsque l'assuré est occupé de manière irrégulière. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 15 - 1 Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
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1 | Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
2 | Est réputé gain assuré pour le calcul des indemnités journalières le dernier salaire que l'assuré a reçu avant l'accident; est déterminant pour le calcul des rentes le salaire que l'assuré a gagné durant l'année qui a précédé l'accident. |
3 | Lorsque le Conseil fédéral fixe le montant maximal du gain assuré au sens de l'art. 18 LPGA33, il désigne les gains accessoires et les prestations de remplacement qui en font partie.34 Ce faisant, il veille à ce que, en règle générale, au moins 92 %, mais pas plus de 96 % des travailleurs assurés soient couverts pour le gain intégral. Il édicte des prescriptions sur le gain assuré pris en considération dans des cas spéciaux, notamment: |
a | lorsque l'assuré a droit pendant une longue période aux indemnités journalières; |
b | en cas de maladie professionnelle; |
c | lorsque l'assuré ne gagne pas, ou pas encore, le salaire usuel dans sa profession; |
d | lorsque l'assuré est occupé de manière irrégulière. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 15 - 1 Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
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1 | Les indemnités journalières et les rentes sont calculées d'après le gain assuré. |
2 | Est réputé gain assuré pour le calcul des indemnités journalières le dernier salaire que l'assuré a reçu avant l'accident; est déterminant pour le calcul des rentes le salaire que l'assuré a gagné durant l'année qui a précédé l'accident. |
3 | Lorsque le Conseil fédéral fixe le montant maximal du gain assuré au sens de l'art. 18 LPGA33, il désigne les gains accessoires et les prestations de remplacement qui en font partie.34 Ce faisant, il veille à ce que, en règle générale, au moins 92 %, mais pas plus de 96 % des travailleurs assurés soient couverts pour le gain intégral. Il édicte des prescriptions sur le gain assuré pris en considération dans des cas spéciaux, notamment: |
a | lorsque l'assuré a droit pendant une longue période aux indemnités journalières; |
b | en cas de maladie professionnelle; |
c | lorsque l'assuré ne gagne pas, ou pas encore, le salaire usuel dans sa profession; |
d | lorsque l'assuré est occupé de manière irrégulière. |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 22 En général - 1 Le montant maximum du gain assuré s'élève à 148 200 francs par an et à 406 francs par jour.42 |
|
1 | Le montant maximum du gain assuré s'élève à 148 200 francs par an et à 406 francs par jour.42 |
2 | Est réputé gain assuré le salaire déterminant au sens de la législation sur l'AVS, compte tenu des dérogations suivantes: |
a | sont également assurés les salaires non soumis aux cotisations de l'AVS en raison de l'âge de l'assuré; |
b | font également partie du gain assuré les allocations familiales qui, au titre d'allocation pour enfants, d'allocation de formation ou d'allocation de ménage, sont versées conformément aux usages locaux ou professionnels; |
c | pour les membres de la famille de l'employeur travaillant dans l'entreprise, les associés, les actionnaires ou les membres de sociétés coopératives, il est au moins tenu compte du salaire correspondant aux usages professionnels et locaux; |
d | les indemnités versées en cas de résiliation des rapports de travail, lors de la fermeture ou de la fusion d'entreprises ou en des circonstances analogues, ne sont pas prises en compte; |
e | ... |
3 | L'indemnité journalière est calculée sur la base du salaire que l'assuré a reçu en dernier lieu avant l'accident, y compris les éléments de salaire non encore perçus et auxquels il a droit.45 |
3bis | Si un assuré avait droit avant l'accident à une indemnité journalière conformément à la loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité46, l'indemnité journalière correspond au moins au montant total de celle allouée par l'AI, mais au plus à 80 % du montant maximum du gain assuré selon l'al. 1. Le montant de l'indemnité journalière allouée aux personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, de la loi est fixé conformément à l'art. 132a, al. 1.47 |
4 | Les rentes sont calculées sur la base du salaire que l'assuré a reçu d'un ou de plusieurs employeurs durant l'année qui a précédé l'accident, y compris les éléments de salaire non encore perçus et auxquels il a droit. Si les rapports de travail ont duré moins d'une année, le salaire reçu au cours de cette période est converti en gain annuel. En cas d'activité prévue initialement pour une durée déterminée, la conversion se limite à la durée prévue, pour autant que le plan de carrière actuel ou prévu de l'assuré n'envisage pas pour la suite une autre durée normale de l'activité. La conversion est limitée à la durée autorisée selon le droit applicable aux étrangers.48 |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 22 En général - 1 Le montant maximum du gain assuré s'élève à 148 200 francs par an et à 406 francs par jour.42 |
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1 | Le montant maximum du gain assuré s'élève à 148 200 francs par an et à 406 francs par jour.42 |
2 | Est réputé gain assuré le salaire déterminant au sens de la législation sur l'AVS, compte tenu des dérogations suivantes: |
a | sont également assurés les salaires non soumis aux cotisations de l'AVS en raison de l'âge de l'assuré; |
b | font également partie du gain assuré les allocations familiales qui, au titre d'allocation pour enfants, d'allocation de formation ou d'allocation de ménage, sont versées conformément aux usages locaux ou professionnels; |
c | pour les membres de la famille de l'employeur travaillant dans l'entreprise, les associés, les actionnaires ou les membres de sociétés coopératives, il est au moins tenu compte du salaire correspondant aux usages professionnels et locaux; |
d | les indemnités versées en cas de résiliation des rapports de travail, lors de la fermeture ou de la fusion d'entreprises ou en des circonstances analogues, ne sont pas prises en compte; |
e | ... |
3 | L'indemnité journalière est calculée sur la base du salaire que l'assuré a reçu en dernier lieu avant l'accident, y compris les éléments de salaire non encore perçus et auxquels il a droit.45 |
3bis | Si un assuré avait droit avant l'accident à une indemnité journalière conformément à la loi fédérale du 19 juin 1959 sur l'assurance-invalidité46, l'indemnité journalière correspond au moins au montant total de celle allouée par l'AI, mais au plus à 80 % du montant maximum du gain assuré selon l'al. 1. Le montant de l'indemnité journalière allouée aux personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, de la loi est fixé conformément à l'art. 132a, al. 1.47 |
4 | Les rentes sont calculées sur la base du salaire que l'assuré a reçu d'un ou de plusieurs employeurs durant l'année qui a précédé l'accident, y compris les éléments de salaire non encore perçus et auxquels il a droit. Si les rapports de travail ont duré moins d'une année, le salaire reçu au cours de cette période est converti en gain annuel. En cas d'activité prévue initialement pour une durée déterminée, la conversion se limite à la durée prévue, pour autant que le plan de carrière actuel ou prévu de l'assuré n'envisage pas pour la suite une autre durée normale de l'activité. La conversion est limitée à la durée autorisée selon le droit applicable aux étrangers.48 |
11.2
11.2.1 Der Unfall des Beschwerdeführers ereignete sich am 23. November 2003. Sein versicherter Verdienst für die Berechnung der Invalidenrente ergibt sich demnach aus dem vom 23. November 2002 bis 22. November 2003 bei der Firma X.________ AG erzielten Einkommen, das auf Stundenlohnbasis ausgerichtet wurde. Die Arbeitgeberin bezifferte im von der SUVA am 6. März 2008 eingeholten Lohnbuchauszug das Einkommen des Versicherten für die Zeit vom 23. November 2002 bis 22. November 2003 mit Fr. 99'802.10. Gestützt hierauf veranschlagten SUVA und Vorinstanz zu Recht einen versicherten Verdienst von Fr. 99'803.-. Auf die diesbezüglichen einlässlichen Erwägungen der Vorinstanz wird verwiesen.
11.2.2 Die Einwendungen des Versicherten vermögen dieses Ergebnis nicht in Frage zu stellen. Festzuhalten ist insbesondere Folgendes:
11.2.2.1 Sowohl in der vorinstanzlichen als auch in der letztinstanzlichen Beschwerde räumte der Versicherte ein, der Jahresverdienst von Fr. 99'803.- sei der SUVA von der Arbeitgeberin angegeben worden. Wenn er in der letztinstanzlichen Eingabe vom 28. Mai 2011 neu vorbrachte, diese Lohnangabe stamme gar nicht von der Arbeitgeberin, sondern sei von der SUVA auf ihrem Papier für sich selber erstellt worden, ist dies unbeachtlich (vgl. E. 2 f. hievor).
Unzulässig ist die Berufung des Versicherten auf den Arbeitsrapport vom 2. Dezember 2002 betreffend November 2002 und auf die Lohnabrechnung für November 2002, da er sie neu erstmals vor Bundesgericht aufgelegt hat. Gleiches gilt für die letztinstanzlich neu verlangte Einvernahme eines Zeugen von der Firma X.________ AG (vgl. E. 3 hievor).
11.2.2.2 Soweit die SUVA dem Versicherten am 10. März 2005 bestätigte, sein versicherter Lohn betrage Fr 106'800.-, kann er daraus nichts zu seinen Gunsten ableiten. Denn diese Auskunft bezog sich auf die Taggeldberechnung, bei welcher Grundlage des versicherten Verdienstes "der letzte vor dem Unfall bezogene Lohn" ist (SVR 2008 UV Nr. 29 S. 109 E. 3.3 [8C 648/2007]). Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass die SUVA betreffend das Taggeld einen versicherten Verdienst von Fr. 111'384.- ermittelt und daher das damalige verordnungsmässige Maximum von Fr. 106'800.- herangezogen hatte. Nicht relevant ist auch, dass die SUVA mit Verfügung vom 30. November 2006 der Integritätsentschädigung den versicherten Verdienst von Fr. 106'800.- zu Grunde legte; denn diese ist aufgrund des in der UVV festgelegten Höchstbetrages des versicherten Jahresverdienstes und nicht aufgrund des konkreten Verdienstes der versicherten Person zu berechnen (Ziff. 1 Abs. 1 Anhang 3 UVV in Verbindung mit Art. 36 Abs. 3
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 36 - 1 Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
|
1 | Une atteinte à l'intégrité est réputée durable lorsqu'il est prévisible qu'elle subsistera avec au moins la même gravité pendant toute la vie. Elle est réputée importante lorsque l'intégrité physique, mentale ou psychique subit, indépendamment de la diminution de la capacité de gain, une altération évidente ou grave.87 |
2 | L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est calculée selon les directives figurant à l'annexe 3. |
3 | En cas de concours de plusieurs atteintes à l'intégrité physique, mentale ou psychique, dues à un ou plusieurs accidents, l'indemnité pour atteinte à l'intégrité est fixée d'après l'ensemble du dommage.88 L'indemnité totale ne peut dépasser le montant maximum du gain annuel assuré. Il est tenu compte, dans le taux d'indemnisation, des indemnités déjà reçues en vertu de la loi. |
4 | Il sera équitablement tenu compte des aggravations prévisibles de l'atteinte à l'intégrité. Une révision n'est possible qu'en cas exceptionnel, si l'aggravation est importante et n'était pas prévisible.89 |
5 | L'assuré qui, dans le cadre d'une maladie professionnelle, développe un mésothéliome ou d'autres tumeurs dont l'évolution est tout aussi défavorable en termes de survie a droit à une indemnité pour atteinte à l'intégrité physique dès l'apparition de la maladie.90 |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 25 Montant - 1 L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est allouée sous forme de prestation en capital. Elle ne doit pas excéder le montant maximum du gain annuel assuré à l'époque de l'accident et elle est échelonnée selon la gravité de l'atteinte à l'intégrité. |
|
1 | L'indemnité pour atteinte à l'intégrité est allouée sous forme de prestation en capital. Elle ne doit pas excéder le montant maximum du gain annuel assuré à l'époque de l'accident et elle est échelonnée selon la gravité de l'atteinte à l'intégrité. |
2 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur le calcul de l'indemnité. |
11.2.2.3 Entgegen dem Einwand des Versicherten ist es nicht zu beanstanden, wenn die Vorinstanz feststellte, ab Januar 2002 habe er brutto Fr. 50.- pro Stunde verdient. Denn dieser Lohn figuriert noch in der Lohnabrechnung für Dezember 2002. Erst aus den Lohnabrechnungen ab Januar 2003 ergibt sich der vom Versicherten behauptete Stundenlohn von Fr. 51.-.
11.2.2.4 Vorinstanzlich machte der Versicherte geltend, im veranschlagten versicherten Verdienst von Fr. 99'803.- sei ein persönlicher Bonus von Fr. 4'500.- und ein Betriebsbonus von Fr. 735.- nicht enthalten. Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass die Beträge von Fr. 4'500.- und Fr. 735.- nicht zu berücksichtigen sind, da aufgrund des massgebenden Lohnbuchauszugs (vgl. E. 11.2.1 hievor) die Bonusanteile berücksichtigt worden sind.
Soweit sich der Versicherte darüber hinaus letztinstanzlich neu auf Zahlungen von Boni und Prämien im Gesamtbetrag von Fr. 14'550.- beruft, ist dies eine unzulässige neue Tatsache (E. 3 hievor).
11.2.2.5 Unbehelflich ist der Einwand des Versicherten, die Lohnzahlung sei um einen Monat verschoben erfolgt, was beim Jahresverdienst eine Differenz von Fr. 4'000.- ausmache, weil dadurch ein einkommensschwacher Monat durch einen einkommensstarken ersetzt werde. Die Vorinstanz hat richtig erkannt, dass hierfür aufgrund der Lohnbuchauszüge für die Jahre 2002/2003 keine Anhaltspunkte bestehen.
11.2.2.6 Der Versicherte bringt vor, im Lohnbuchauszug für die Zeit vom 23. November 2002 bis 22. November 2003 (E. 11.2.1 hievor) seien Lohnnachzahlungen für November 2003 (effektiv Oktober 2003) und Dezember 2003 (effektiv November 2003) von Fr. 1'081.20 vergessen worden; diese Nachzahlung sei im Februar 2004 erfolgt.
In der Lohnabrechnung für Februar 2004 figurierte folgender Passus: "Nachzahlung Stunden vom Nov. 03: 2,74 Std., Dez. 03: 18,46 Std.". Soweit der Versicherte geltend macht, der Dezember 2003 beziehe sich effektiv auf den November 2003, kann dem nicht gefolgt werden (E. 11.2.2.5 hievor). Hievon abgesehen ist zu beachten, dass der obige Lohnbuchauszug auf Anfrage der SUVA vom 6. März 2008 hin erstellt wurde (E. 11.2.1 hievor) und keine Anhaltspunkte dafür bestehen, dass darin die vom Versicherten bis 22. November 2003 geleisteten Arbeitsstunden nicht berücksichtigt worden wären.
12.
Dem Prozessausgang entsprechend sind die Verfahrenskosten dem Versicherten aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Sache wird an die SUVA überwiesen, damit sie im Sinne der Erwägung 7.3 verfahre.
3.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
4.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 5. Juli 2011
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Ursprung
Der Gerichtsschreiber: Jancar