Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
8C 620/2019
Urteil vom 5. Februar 2020
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Maillard, Präsident,
Bundesrichterinnen Heine, Viscione,
Gerichtsschreiberin Durizzo.
Verfahrensbeteiligte
A.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dr. Pierre Heusser,
Beschwerdeführer,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (Suva), Fluhmattstrasse 1, 6004 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung,
Beschwerde gegen den Entscheid des Sozialversicherungsgerichts des Kantons Zürich
vom 27. Juni 2019 (UV.2018.00031).
Sachverhalt:
A.
A.________, geboren 1987, war seit 1. Februar 2010 bei der B.________ AG angestellt und dort als Telematiker beschäftigt. Er war dadurch bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (Suva) für die Folgen von Berufs- und Nichtberufsunfällen sowie Berufskrankheiten versichert. Am 1. Januar 2013, anlässlich eines Silvester-Feuerwerks explodierte ein Feuerwerkskörper unmittelbar neben seinem rechten Ohr (Unfallmeldung vom 20. März 2013 und Fragebogen vom 16. Juli 2014). A.________ begab sich am 3. Januar 2013 erstmals in die Behandlung der Ärzte der Praxisgemeinschaft C.________, wo er (im Januar, im März und im Juni 2013) drei weitere Termine wahrnahm (Berichte vom 19. November 2013 und vom 16. Januar 2015). Zudem erfolgten spezialärztliche Konsultationen am 22. März 2013 bei Dr. med. D.________, Facharzt FMH für Hals-, Nasen- und Ohrenkrankheiten, (Berichte vom 20. November 2013, vom 6. Juni 2014 und vom 22. Januar 2015), sowie am 5. Juli 2013 bei Dr. med. E.________, Facharzt FMH für Hals-, Nasen- und Ohrenkrankheiten, (Berichte vom 30. November 2013 und vom 30. März 2015). Des Weiteren liess sich A.________ in der Klinik F.________ am 21. Oktober, 5. November und 13. Dezember 2013 neurologisch durch Frau Dr. med. G.________
untersuchen (Berichte vom 26. November 2013 und vom 20. März 2015). Schliesslich erfolgten Abklärungen in der Klinik für Ohren-, Nasen-, Hals- und Gesichtschirurgie des Spitals H.________ bei PD Dr. med. I.________ am 1. November 2013 und am 18. Juli 2014 (Berichte vom 1. November 2013, 21. Juli 2014 und 3. Februar 2015).
Die Suva lehnte eine Leistungspflicht zunächst ab, hob ihre diesbezügliche Verfügung vom 18. November 2014 jedoch am 15. Juli 2015 wieder auf. Sie holte ein Gutachten der Frau Dr. med. K.________, Spital L.________, vom 26. Juni 2016 ein. Gestützt darauf sowie auf die Einschätzung ihrer Abteilung Arbeitsmedizin, Frau Dr. med. M.________, Fachärztin für Oto-Rhino-Laryngologie und Arbeitsmedizin, vom 29. November 2016 sprach sie A.________ mit Verfügung vom 7. Dezember 2016 eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 10 % zufolge eines Tinnitus zu. Einen Anspruch auf eine Invalidenrente lehnte sie jedoch mangels unfallbedingt rentenbegründender Erwerbseinbusse ab. Mit Verfügung vom 2. März 2017 schloss sie den Fall auch hinsichtlich der geklagten Ohrenschmerzen (beziehungsweise Kiefer-/ psychischen Beschwerden) ab. Der Versicherte sei dadurch in der Arbeitsfähigkeit nicht eingeschränkt und eine Verbesserung der gesundheitlichen Situation durch weitere Therapien sei nicht zu erwarten. Die dagegen erhobenen Einsprachen wies die Suva mit Entscheid vom 18. Dezember 2017 ab. Hinsichtlich des Tinnitus sei keine namhafte Verbesserung des Gesundheitszustandes mehr zu erwarten. Der Versicherte sei dadurch in der
Arbeitsfähigkeit nicht eingeschränkt. Die myofasziale Schmerzsymptomatik lasse sich nicht adäquat-kausal auf den erlittenen Unfall zurückführen.
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich mit Entscheid vom 27. Juni 2019 ab.
C.
A.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei die Sache zu weiteren medizinischen (gegebenenfalls psychiatrischen) Abklärungen zurückzuweisen. Eventualiter seien ihm Taggelder zuzusprechen.
Die Suva schliesst auf Abweisung der Beschwerde, wozu sich A.________ in einer weiteren Eingabe vernehmen lässt. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Stellungnahme.
Erwägungen:
1.
1.1. Die Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten kann wegen Rechtsverletzungen gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
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a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
1.2. Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Streitig ist, ob die vorinstanzlich bestätigte Ablehnung des Anspruchs auf Taggelder beziehungsweise auf weitere gesetzliche Leistungen vor Bundesrecht standhält. Umstritten ist insbesondere der Fallabschluss per 2. März 2017. Zu prüfen ist des Weitern die Leistungspflicht der Suva für die nach dem 2. März 2017 noch anhaltenden Beschwerden.
3.
3.1. Nach Art. 16 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 16 Droit - 1 L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
|
1 | L'assuré totalement ou partiellement incapable de travailler (art. 6 LPGA35) à la suite d'un accident a droit à une indemnité journalière.36 |
2 | Le droit à l'indemnité journalière naît le troisième jour qui suit celui de l'accident. Il s'éteint dès que l'assuré a recouvré sa pleine capacité de travail, dès qu'une rente est versée ou dès que l'assuré décède. |
3 | L'indemnité journalière de l'assurance-accidents n'est pas allouée s'il existe un droit à une indemnité journalière de l'assurance-invalidité ou à une allocation de maternité, d'allocation à l'autre parent, de prise en charge ou d'adoption selon la loi du 25 septembre 1952 sur les allocations pour perte de gain37.38 |
4 | L'indemnité journalière est versée aux personnes au chômage nonobstant les délais d'attente (art. 18, al. 1, LACI39) ou les jours de suspension (art. 30 LACI).40 |
5 | Les personnes visées à l'art. 1a, al. 1, let. c, qui reçoivent une rente conformément à l'art. 22bis, al. 5, LAI41 en relation avec l'art. 28 LAI n'ont pas droit à une indemnité journalière.42 |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 6 Incapacité de travail - Est réputée incapacité de travail toute perte, totale ou partielle, de l'aptitude de l'assuré à accomplir dans sa profession ou son domaine d'activité le travail qui peut raisonnablement être exigé de lui, si cette perte résulte d'une atteinte à sa santé physique, mentale ou psychique.9 En cas d'incapacité de travail de longue durée, l'activité qui peut être exigée de lui peut aussi relever d'une autre profession ou d'un autre domaine d'activité. |
3.2. Der Unfallversicherer hat den Fall unter Einstellung von Heilbehandlung und Taggeld sowie Prüfung des Anspruchs auf Invalidenrente und Integritätsentschädigung abzuschliessen, wenn von der Fortsetzung der ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann und allfällige Eingliederungsmassnahmen der Invalidenversicherung abgeschlossen sind (Art. 19 Abs. 1
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 19 Naissance et extinction du droit - 1 Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
|
1 | Le droit à la rente prend naissance dès qu'il n'y a plus lieu d'attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré et que les éventuelles mesures de réadaptation de l'assurance-invalidité ont été menées à terme. Le droit au traitement médical et aux indemnités journalières cesse dès la naissance du droit à la rente. ...53. |
2 | Le droit à la rente s'éteint lorsque celle-ci est remplacée en totalité par une indemnité en capital, lorsqu'elle est rachetée ou lorsque l'assuré décède. ...54. |
3 | Le Conseil fédéral édicte des prescriptions détaillées sur la naissance du droit aux rentes lorsque l'on ne peut plus attendre de la continuation du traitement médical une sensible amélioration de l'état de l'assuré, mais que la décision de l'assurance-invalidité quant à la réadaptation professionnelle intervient plus tard. |
Bei psychischen Unfallfolgen (BGE 115 V 133) erfolgt der Fallabschluss, sobald von der Fortsetzung der auf die somatischen Leiden gerichteten ärztlichen Behandlung keine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes mehr erwartet werden kann (BGE 134 V 109E. 6.1 S. 116; Urteile 8C 674/2019 vom 3. Dezember 2019 E. 4.1; 8C 184/2017 vom 13. Juli 2017 E. 2.2).
3.3. Der Unfallversicherer haftet für einen Gesundheitsschaden nur insoweit, als dieser nicht nur in einem natürlichen, sondern auch in einem adäquaten Kausalzusammenhang zum versicherten Ereignis steht (BGE 142 V 435 E. 1 S. 438; 129 V 177 E. 3 S. 181). Dabei spielt die Adäquanz als rechtliche Eingrenzung der sich aus dem natürlichen Kausalzusammenhang ergebenden Haftung des Unfallversicherers im Bereich organisch objektiv ausgewiesener Unfallfolgen praktisch keine Rolle, da sich hier die adäquate weitgehend mit der natürlichen Kausalität deckt (BGE 134 V 109 E. 2 S. 111 f.; 127 V 102 E. 5b/bb S. 103). Sind die geklagten Beschwerden natürlich unfallkausal, nicht aber objektiv ausgewiesen im Sinne der Rechtsprechung (vgl. dazu BGE 138 V 248 E. 5.1 S. 251; Urteil 8C 388/2019 vom 20. Dezember 2019 E. 3.1), so ist bei der Beurteilung der Adäquanz vom augenfälligen Geschehensablauf auszugehen, und es sind gegebenenfalls weitere unfallbezogene Kriterien einzubeziehen (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f.). Hat die versicherte Person einen Unfall erlitten, welcher die Anwendung der Schleudertrauma-Rechtsprechung rechtfertigt, so sind hiebei die durch BGE 134 V 109 E. 10 S. 126 ff. präzisierten Kriterien massgebend. Ist diese Rechtsprechung
nicht anwendbar, so sind grundsätzlich die Adäquanzkriterien, welche für psychische Fehlentwicklungen nach einem Unfall entwickelt wurden (BGE 115 V 133 E. 6c/aa S. 140), anzuwenden (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 111 f. und E. 6.1 S. 116; vgl. auch SVR 2017 UV Nr. 8 S. 27, 8C 193/2016 E. 3.3; Urteil 8C 388/2019 vom 20. Dezember 2019 E. 3.1).
4.
Gemäss Vorinstanz lagen zum Zeitpunkt des Fallabschlusses durch die Suva gestützt auf das voll beweiskräftige versicherungsexterne Gutachten ausschliesslich organisch objektiv nicht ausgewiesene Unfallfolgen vor in Form eines Tinnitus sowie einer Hörstörung (qualitativer Abfall der Hörschwelle im Hochtonbereich), einer (nur teilweise unfallkausalen) Hyperakusis (gesteigertes Hörempfinden) sowie Verspannungen der Kau- und Nackenmuskulatur, die Ohrenschmerzen auslösen. Das kantonale Gericht stellte fest, dass die Suva den Fall zu Recht per 2. März 2017 abgeschlossen habe. Ein adäquat-kausaler Zusammenhang der Beschwerden mit dem Unfall habe zu diesem Zeitpunkt nicht bestanden. Die Vorinstanz ging dabei von einem leichten Ereignis aus, was eine weitergehende Leistungspflicht der Suva ausschliesse. Selbst wenn der Unfall jedoch als mittelschwer im Grenzbereich zu den leichten Fällen qualifiziert würde, könnte die Beurteilung nicht anders ausfallen. Die dafür massgeblichen Kriterien seien nicht in hinreichender Zahl gegeben. Bei diesem Ergebnis liess die Vorinstanz die Frage offen, ob die organisch objektiv nicht ausgewiesenen Beschwerden in einem natürlich-kausalen Zusammenhang mit dem Unfall stünden.
5.
Der Beschwerdeführer macht geltend, dass er sich beim Unfall einen Riss des Trommelfells zugezogen habe. Die Suva habe damit für organisch objektiv ausgewiesene Unfallfolgen zu haften. Dies gelte insbesondere auch hinsichtlich der Ohrenschmerzen. Soweit die Ärzte diesbezüglich von einer "Anpassungsstörung" ausgingen, handle es sich gemäss Einschätzung der Gutachterin um ein somatisches Leiden. Die Suva sei hingegen von einer psychischen Ursache ausgegangen. Unzulässigerweise habe sie diesbezüglich auf die vom Gutachten abweichenden versicherungsinternen Stellungnahmen abgestellt. Es seien diesbezüglich zusätzliche medizinische Abklärungen erforderlich. Die Gutachterin habe zudem weitere Therapien vorgeschlagen. Zum Zeitpunkt des hier angefochtenen Fallabschlusses durch die Suva, aber auch für die Jahre 2014 und 2015, hätte daher Anspruch auf ein Taggeld bestanden. Schliesslich wird auch die Verneinung der Adäquanz gerügt.
6.
Inwiefern die Vorinstanz unrichtige Sachverhaltsfeststellungen getroffen oder Bundesrecht verletzt hätte, ist nicht erkennbar.
6.1. Dies gilt zunächst insoweit, als sie den Fallabschluss durch die Suva mit den Verfügungen vom 7. Dezember 2016 (Tinnitus) und vom 2. März 2017 (Ohrenschmerzen, Kieferbeschwerden, psychische Beschwerden) bestätigte.
6.1.1. Praxisgemäss würde ein weitergehender Anspruch auf Heilbehandlung und Taggeld erfordern, dass von einer weiteren auf die somatischen Leiden gerichteten ärztlichen Behandlung eine namhafte Besserung des Gesundheitszustandes zu erwarten sei (oben E. 3.2). Zwar schlug die Gutachterin weitere Massnahmen vor, so insbesondere eine ganzheitliche Tinnitustherapie mit verhaltenstherapeutischem Ansatz sowie die Behandlung der myofaszialen Problematik der Kau- und Halsmuskulatur durch Physiotherapie, Craniosakraltherapie und eine nächtliche Aufbissschiene. Dass diese Therapien die Beschwerden nach ihrer Einschätzung möglicherweise günstig zu beeinflussen vermöchten, genügt den Anforderungen der Rechtsprechung für eine weitergehende Pflicht des Unfallversicherers zur Übernahme vorübergehender Leistungen indessen nicht.
6.1.2. Die Vorinstanz bestätigte den Fallabschluss durch die Suva per 2. März 2017. Auf den Einwand des Beschwerdeführers, dass dieser schon auf einen früheren Zeitpunkt - am 8. August 2014 - erfolgt beziehungsweise die Leistungspflicht (abgesehen von der Zusprache einer Integritätsentschädigung) generell verweigert worden sei, ist daher nicht weiter einzugehen. Die damalige formlose Leistungsablehnung beziehungsweise die am 18. November 2014 erlassene Verfügung wurde am 15. Juli 2015 wieder aufgehoben.
6.1.3. Der Beschwerdeführer macht geltend, bereits in den Jahren 2014 und 2015 unfallbedingt nur eingeschränkt arbeitsfähig gewesen zu sein. Es liegen diesbezüglich jedoch keinerlei echtzeitlichen ärztlichen Bescheinigungen vor. Die Gutachterin äussert sich hinsichtlich des erwähnten Zeitraums nicht. Trotz des im Spital G.________ festgestellten Hörabfalls im Hochfrequenzbereich besteht gemäss Frau Dr. med. M.________ im normalen Frequenzspektrum ein altersentsprechendes Normalgehör beidseits (Stellungnahme vom 13. Juli 2014). Daraus lässt sich daher nicht auf eine Arbeitsunfähigkeit schliessen. Es bedurfte deshalb keiner weiteren Abklärungen hinsichtlich der Arbeitsfähigkeit. Die Voraussetzungen für eine Gewährung von Taggeldern bis zum 2. März 2017 sind daher nicht erfüllt.
6.2. Die Vorinstanz prüfte die Adäquanz der nach dem 2. März 2017 noch anhaltenden Beschwerden gesondert unter der Annahme, dass zu diesem Zeitpunkt keine organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen vorgelegen hätten. Inwiefern letztere Feststellung unrichtig wäre, ist nicht erkennbar.
Das kantonale Gericht stützte sich diesbezüglich auf das von der Suva eingeholte versicherungsexterne Gutachten der Frau Dr. med. K.________ vom 26. Juni 2016, das es als voll beweiskräftig erachtete. Die von der Gutachterin umschriebenen muskulären Verspannungen im Bereich der Kau- und Nackenmuskulatur, die zu den geklagten Ohrenschmerzen führen (myofasziale Problematik), sind nicht als organisch objektiv ausgewiesene Unfallfolgen zu qualifizieren (vgl. SVR 2012 UV Nr. 5 S. 17, 8C 310/2011 E. 4.1; Urteile 8C 154/2015 vom 29. Mai 2015 E. 3.2; 8C 749/2010 vom 6. Januar 2011 E. 4.1). Daran ändert nichts, dass die Gutachterin diese Ohrenschmerzen, ebenso wie auch die Lärmüberempfindlichkeit, auch als Anpassungsstörung bezeichnet. Bei der Untersuchung durch Frau Dr. med. K.________ war das Trommelfell unauffällig, insbesondere bestanden auch keine Narben. Es ist gestützt darauf mit dem kantonalen Gericht davon auszugehen, dass zum Zeitpunkt des Fallabschlusses auch insoweit keine organisch objektiv ausgewiesenen Unfallfolgen bestanden. Das Schreiben der Frau Dr. med. N.________, Fachärztin für Hals-, Nasen-, Ohrenkrankheiten FMH und Phoniatrie FMH, vom 11. November 2019, in dem lediglich anamnestisch eine Trommelfellperforation rechts
erwähnt wird, bleibt letztinstanzlich unbeachtlich (unzulässiges Novum, Art. 99 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 99 - 1 Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
|
1 | Aucun fait nouveau ni preuve nouvelle ne peut être présenté à moins de résulter de la décision de l'autorité précédente. |
2 | Toute conclusion nouvelle est irrecevable. |
6.3.
6.3.1. Mangels organisch objektiv ausgewiesener Unfallfolgen ist der Anspruch auf eine Invalidenrente nach den Grundsätzen zu den psychischen Fehlentwicklungen gemäss BGE 115 V 133 (vgl. im Einzelnen oben E. 3.3) zu beurteilen. Rechtsprechungsgemäss ist grundsätzlich nichts dagegen einzuwenden, dass das kantonale Gericht den natürlichen Kausalzusammenhang der nicht objektivierbaren Beschwerden bei Verneinung der Adäquanz offen gelassen hat (BGE 135 V 465 E. 5.1 S. 472). Weitere diesbezügliche medizinische Abklärungen waren daher nicht erforderlich.
6.3.2. Die vorinstanzliche Adäquanzbeurteilung lässt sich auch nicht beanstanden. Hinsichtlich der Unfallschwere ist vom augenfälligen Geschehensablauf des Unfallereignisses auszugehen (BGE 134 V 109 E. 2.1 S. 112; 115 V 133 E. 6 S. 138 f.; SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26, U 2/07 E. 5.3.1). Die Folgen des Unfalls, auf die sich der Beschwerdeführer diesbezüglich beruft, sind hingegen nicht dem Unfallgeschehen zuzuordnen und finden bei der Unfallschwere daher keine Berücksichtigung (SVR 2011 UV Nr. 10 S. 35, 8C 584/2010 E. 4.2.2; SVR 2009 UV Nr. 57 S. 203, 8C 77/2009 E. 4.1.1; SVR 2008 UV Nr. 8 S. 26, U 2/07 E. 5.3.1; Urteil 8C 41/2016 vom 23. Juni 2016 E. 4.1). Es kann daher mit der Vorinstanz höchstens von einem mittelschweren Unfall im Grenzbereich zu den leichten Fällen ausgegangen werden. Inwiefern ein Feuerwerkskörper - der gemäss den Angaben in der Unfallmeldung und im Fragebogen Unfallursache war - objektiv gesehen zu einer unmittelbar lebensgefährlichen Verletzung hätte führen können, lässt sich nicht ersehen (vgl. SVR 2013 UV Nr. 3 S. 7, 8C 398/2012 E. 6.1; Urteil 8C 611/2016 vom 16. Dezember 2016 E. 3.4 mit Hinweisen). Das Kriterium der ungewöhnlich langen Dauer der ärztlichen Behandlung ist mit der Vorinstanz zu verneinen, da
sich diese im Wesentlichen auf ärztliche Abklärungen und Kontrollen beschränkte (Urteile 8C 473/2019 vom 11. November 2019 E. 5.6; 8C 137/2014 vom 5. Juni 2014 E. 7.3). Eine ärztliche Fehlbehandlung hat unbestrittenerweise nicht stattgefunden. Für die Bejahung des Kriteriums des schwierigen Heilungsverlaufs bedürfte es praxisgemäss besonderer Gründe, welche die Genesung bis zum Fallabschluss beeinträchtigt oder verzögert haben. Der Umstand, dass trotz verschiedener Therapien keine Beschwerdefreiheit erreicht werden konnte, genügt allein nicht (SVR 2007 UV Nr. 25 S. 81, U 479/05 E. 8.5; Urteil 8C 473/2019 vom 11. November 2019 E. 5.6 mit Hinweisen). Auch dieses Kriterium ist mit der Vorinstanz zu verneinen. Gemäss Beschwerdeführer seien (auch) die übrigen drei Kriterien der schweren oder besonderen Art der Verletzung (insbesondere ihre erfahrungsgemässe Eignung, psychische Fehlentwicklungen auszulösen), der körperlichen Dauerschmerzen (in Form von chronischen Ohrenschmerzen) sowie des Grades und der Dauer der physisch bedingten Arbeitsunfähigkeit erfüllt, ohne dass jedoch jeweils eine besondere Ausprägung geltend gemacht wird. Selbst wenn ihm diesbezüglich zu folgen wäre, vermöchten diese drei Kriterien bei der gegebenen
Unfallschwere für die Bejahung der Adäquanz nicht zu genügen (SVR 2010 UV Nr. 25 S. 100, 8C 897/2009 E. 4.5). Wie es sich damit im Einzelnen verhält, kann daher offen bleiben.
6.3.3. Zusammengefasst beruht die vorinstanzliche Beurteilung der Adäquanz beziehungsweise einer allfälligen Leistungspflicht der Suva nach dem Fallabschluss per 2. März 2017 weder auf sachverhaltlich unrichtigen Feststellungen noch lässt sich eine Bundesrechtsverletzung erkennen.
Bei diesem Ergebnis stünde dem Beschwerdeführer auch keine Integritätsentschädigung zu. Sowohl mit Einspracheentscheid vom 28. Februar 2017 als auch mit dem angefochtenen Entscheid (vgl. Dispositiv-Ziffer 1) wurde die diesbezügliche Verfügung vom 7. Dezember 2016 unter jeweiliger Abweisung der Einsprache beziehungsweise Beschwerde bestätigt, beziehungsweise nicht aufgehoben. Wegen des Verbots einer reformatio in peius (Art. 107 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 107 Arrêt - 1 Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
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1 | Le Tribunal fédéral ne peut aller au-delà des conclusions des parties. |
2 | Si le Tribunal fédéral admet le recours, il statue lui-même sur le fond ou renvoie l'affaire à l'autorité précédente pour qu'elle prenne une nouvelle décision. Il peut également renvoyer l'affaire à l'autorité qui a statué en première instance. |
3 | Si le Tribunal fédéral considère qu'un recours en matière d'entraide pénale internationale ou d'assistance administrative internationale en matière fiscale est irrecevable, il rend une décision de non-entrée en matière dans les quinze jours qui suivent la fin d'un éventuel échange d'écritures. Dans le domaine de l'entraide pénale internationale, le Tribunal fédéral n'est pas lié par ce délai lorsque la procédure d'extradition concerne une personne dont la demande d'asile n'a pas encore fait l'objet d'une décision finale entrée en force.100 |
4 | Le Tribunal fédéral statue sur tout recours contre une décision du Tribunal fédéral des brevets portant sur l'octroi d'une licence visée à l'art. 40d de la loi du 25 juin 1954 sur les brevets101 dans le mois qui suit le dépôt du recours.102 |
6.4. Im Übrigen erweist sich die Beschwerde insgesamt als unbegründet und ist abzuweisen.
7.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
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1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
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1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 800.- werden dem Beschwerdeführer auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Sozialversicherungsgericht des Kantons Zürich und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 5. Februar 2020
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Maillard
Die Gerichtsschreiberin: Durizzo