Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Corte I
A-6526/2020
Sentenza del 5 luglio 2022
Giudici Annie Rochat Pauchard (presidente del collegio),
Composizione Keita Mutombo, Raphaël Gani,
cancelliera Sara Pifferi.
A._______,
Parti rappresentata dalla B._______,
ricorrente,
contro
Amministrazione federale delle contribuzioni AFC, Divisione principale dell'imposta sul valore aggiunto, Schwarztorstrasse 50, 3003 Berna,
autorità inferiore.
Oggetto Imposta sul valore aggiunto (1° trimestre 2008 - 4 trimestre 2009; operazioni realizzate all'estero; prove).
Fatti:
A.
La A._______, con sede a X._______, ha per scopo sociale segnatamente « [...] (...) [...] ». Detta società (di seguito: contribuente) è iscritta dal 18 febbraio 2000 quale contribuente IVA presso l'Amministrazione federale delle contribuzioni (AFC). Per i periodi fiscali controllati, essa ha allestito i rendiconti secondo il metodo effettivo in base alle controprestazioni ricevute.
B.
B.a Nei mesi di luglio e agosto 2013, l'AFC ha eseguito un controllo fiscale presso la contribuente, in particolare per i periodi fiscali dal 1° gennaio 2008 al 31 dicembre 2009. In tale occasione, essa ha riscontrato delle irregolarità, tra l'altro degli incassi non dichiarati nei rendiconti trimestrali, sicché il 25 settembre 2013 l'AFC ha emesso nei confronti della contribuente l'avviso di tassazione n. 286'766 nel quale ha cifrato la rettifica d'imposta per detti periodi fiscali a 7'794 franchi, oltre accessori.
B.b Il 4 ottobre 2013, la contribuente ha chiesto la rettifica del succitato avviso di tassazione. Il 3 novembre 2016, essa ha poi inoltrato della documentazione atta, a suo avviso, a dimostrare di avere effettuato in Germania l'attività che avrebbe generato gli incassi non dichiarati nei rendiconti trimestrali.
B.c Con decisione dell'11 luglio 2017, l'AFC ha confermato la rettifica fiscale del succitato avviso di tassazione, ritenendo che la documentazione inviata dalla contribuente non era atta a dimostrare che i ricavi siano frutto di operazioni eseguite all'estero non imponibili all'IVA.
B.d Avverso la predetta decisione, la contribuente - per il tramite della sua rappresentante - ha inoltrato reclamo 8 settembre 2017 dinanzi all'AFC, postulandone in sostanza l'annullamento. Essa ha ribadito di avere fornito le prestazioni alla base della rettifica in Germania, producendo vari documenti a comprova delle sue allegazioni.
B.e Con decisione su reclamo del 19 novembre 2020, l'AFC ha respinto il predetto reclamo e posto a carico della contribuente l'importo di 7'794 franchi a titolo di IVA, oltre accessori, da lei dovuta per i periodi fiscali dal 1° gennaio 2008 al 31 dicembre 2009. In sostanza, l'AFC ha ritenuto nuovamente le prove fornite dalla ricorrente come non idonee a comprovare che le prestazioni alla base della rettifica sono state invero da lei fornite in Germania.
C.
C.a Avverso la predetta decisione su reclamo, la contribuente (di seguito: ricorrente o società ricorrente) - per il tramite della sua rappresentante - ha inoltrato ricorso 24 dicembre 2020 dinanzi al Tribunale amministrativo federale, postulandone in sostanza l'annullamento. Per gli stessi motivi adotti dinanzi all'AFC (di seguito: autorità inferiore), essa ha chiesto che venga riconosciuto che le prestazioni oggetto della ripresa fiscale sono state effettuate all'estero, sicché non è tenuta a pagare l'importo di 7'794 franchi a titolo di IVA, oltre accessori. A comprova delle sue allegazioni, essa ha prodotto vari documenti, in gran parte già prodotti dinanzi all'autorità inferiore.
C.b Con risposta 16 febbraio 2021, l'autorità inferiore si è essenzialmente riconfermata nella propria decisione, postulando la reiezione del ricorso.
D.
Ulteriori fatti e argomentazioni verranno ripresi, per quanto necessario, nei considerandi in diritto del presente giudizio.
Diritto:
1.
1.1 Giusta l'art. 31
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 31 Principe - Le Tribunal administratif fédéral connaît des recours contre les décisions au sens de l'art. 5 de la loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA)20. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 5 - 1 Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
|
1 | Sont considérées comme décisions les mesures prises par les autorités dans des cas d'espèce, fondées sur le droit public fédéral et ayant pour objet: |
a | de créer, de modifier ou d'annuler des droits ou des obligations; |
b | de constater l'existence, l'inexistence ou l'étendue de droits ou d'obligations; |
c | de rejeter ou de déclarer irrecevables des demandes tendant à créer, modifier, annuler ou constater des droits ou obligations. |
2 | Sont aussi considérées comme des décisions les mesures en matière d'exécution (art. 41, al. 1, let. a et b), les décisions incidentes (art. 45 et 46), les décisions sur opposition (art. 30, al. 2, let. b, et 74), les décisions sur recours (art. 61), les décisions prises en matière de révision (art. 68) et d'interprétation (art. 69).25 |
3 | Lorsqu'une autorité rejette ou invoque des prétentions à faire valoir par voie d'action, sa déclaration n'est pas considérée comme décision. |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 33 Autorités précédentes - Le recours est recevable contre les décisions: |
|
a | du Conseil fédéral et des organes de l'Assemblée fédérale, en matière de rapports de travail du personnel de la Confédération, y compris le refus d'autoriser la poursuite pénale; |
b | du Conseil fédéral concernant: |
b1 | la révocation d'un membre du conseil de banque ou de la direction générale ou d'un suppléant sur la base de la loi du 3 octobre 2003 sur la Banque nationale26, |
b10 | la révocation d'un membre du conseil d'administration du Service suisse d'attribution des sillons ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration, conformément à la loi fédérale du 20 décembre 1957 sur les chemins de fer44; |
b2 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 22 juin 2007 sur la surveillance des marchés financiers27, |
b3 | le blocage de valeurs patrimoniales en vertu de la loi du 18 décembre 2015 sur les valeurs patrimoniales d'origine illicite29, |
b4 | l'interdiction d'exercer des activités en vertu de la LRens31, |
b4bis | l'interdiction d'organisations en vertu de la LRens, |
b5 | la révocation du mandat d'un membre du Conseil de l'Institut fédéral de métrologie au sens de la loi du 17 juin 2011 sur l'Institut fédéral de métrologie34, |
b6 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'Autorité fédérale de surveillance en matière de révision ou l'approbation de la résiliation des rapports de travail du directeur par le conseil d'administration selon la loi du 16 décembre 2005 sur la surveillance de la révision36, |
b7 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse des produits thérapeutiques sur la base de la loi du 15 décembre 2000 sur les produits thérapeutiques38, |
b8 | la révocation d'un membre du conseil d'administration de l'établissement au sens de la loi du 16 juin 2017 sur les fonds de compensation40, |
b9 | la révocation d'un membre du conseil de l'Institut suisse de droit comparé selon la loi du 28 septembre 2018 sur l'Institut suisse de droit comparé42; |
c | du Tribunal pénal fédéral en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cbis | du Tribunal fédéral des brevets en matière de rapports de travail de ses juges et de son personnel; |
cquater | du procureur général de la Confédération, en matière de rapports de travail des procureurs qu'il a nommés et du personnel du Ministère public de la Confédération; |
cquinquies | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail de son secrétariat; |
cter | de l'Autorité de surveillance du Ministère public de la Confédération, en matière de rapports de travail des membres du Ministère public de la Confédération élus par l'Assemblée fédérale (Chambres réunies); |
d | de la Chancellerie fédérale, des départements et des unités de l'administration fédérale qui leur sont subordonnées ou administrativement rattachées; |
e | des établissements et des entreprises de la Confédération; |
f | des commissions fédérales; |
g | des tribunaux arbitraux fondées sur des contrats de droit public signés par la Confédération, ses établissements ou ses entreprises; |
h | des autorités ou organisations extérieures à l'administration fédérale, pour autant qu'elles statuent dans l'accomplissement de tâches de droit public que la Confédération leur a confiées; |
i | d'autorités cantonales, dans la mesure où d'autres lois fédérales prévoient un recours au Tribunal administratif fédéral. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 83 Réclamation - 1 Les décisions de l'AFC peuvent faire l'objet d'une réclamation dans les 30 jours qui suivent leur notification. |
|
1 | Les décisions de l'AFC peuvent faire l'objet d'une réclamation dans les 30 jours qui suivent leur notification. |
2 | La réclamation doit être adressée par écrit à l'AFC. Elle doit indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve et porter la signature du réclamant ou de son mandataire. Ce dernier doit justifier de ses pouvoirs de représentation en produisant une procuration écrite. Les moyens de preuve doivent être spécifiés dans le mémoire de recours et annexés à ce dernier. |
3 | Si la réclamation ne remplit pas ces conditions ou que les conclusions ou les motifs n'ont pas la clarté requise, l'AFC impartit au réclamant un délai supplémentaire de courte durée afin qu'il régularise sa réclamation. Elle l'avise que, s'il ne fait pas usage de cette possibilité dans le délai imparti, elle statuera sur la base du dossier ou que, si les conclusions, les motifs, la signature ou la procuration font défaut, elle déclarera la réclamation irrecevable. |
4 | Si la réclamation est déposée contre une décision de l'AFC motivée en détail, elle est transmise à titre de recours, à la demande de l'auteur de la réclamation ou avec son assentiment, au Tribunal administratif fédéral. |
5 | La procédure est poursuivie, nonobstant le retrait de la réclamation, si des indices donnent à penser que la décision attaquée n'est pas conforme à la loi. |
SR 173.32 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral (LTAF) LTAF Art. 37 Principe - La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la PA57, pour autant que la présente loi n'en dispose pas autrement. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 2 - 1 Les art. 12 à 19 et 30 à 33 ne sont pas applicables à la procédure en matière fiscale. |
|
1 | Les art. 12 à 19 et 30 à 33 ne sont pas applicables à la procédure en matière fiscale. |
2 | Les art. 4 à 6, 10, 34, 35, 37 et 38 sont applicables à la procédure des épreuves dans les examens professionnels, les examens de maîtrise et les autres examens de capacité. |
3 | En cas d'expropriation, la procédure est régie par la présente loi, pour autant que la loi fédérale du 20 juin 1930 sur l'expropriation12 n'en dispose pas autrement.13 |
4 | La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la présente loi, pour autant que la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral14 n'en dispose pas autrement.15 |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
|
1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 2 - 1 Les art. 12 à 19 et 30 à 33 ne sont pas applicables à la procédure en matière fiscale. |
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1 | Les art. 12 à 19 et 30 à 33 ne sont pas applicables à la procédure en matière fiscale. |
2 | Les art. 4 à 6, 10, 34, 35, 37 et 38 sont applicables à la procédure des épreuves dans les examens professionnels, les examens de maîtrise et les autres examens de capacité. |
3 | En cas d'expropriation, la procédure est régie par la présente loi, pour autant que la loi fédérale du 20 juin 1930 sur l'expropriation12 n'en dispose pas autrement.13 |
4 | La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la présente loi, pour autant que la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral14 n'en dispose pas autrement.15 |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
|
1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
1.2 Pacifica è poi la legittimazione a ricorrere della società ricorrente, essendo la stessa destinataria della decisione qui impugnata e avendo un interesse al suo annullamento (art. 48
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 48 - 1 A qualité pour recourir quiconque: |
|
1 | A qualité pour recourir quiconque: |
a | a pris part à la procédure devant l'autorité inférieure ou a été privé de la possibilité de le faire; |
b | est spécialement atteint par la décision attaquée, et |
c | a un intérêt digne de protection à son annulation ou à sa modification. |
2 | A également qualité pour recourir toute personne, organisation ou autorité qu'une autre loi fédérale autorise à recourir. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 20 - 1 Si le délai compté par jours doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication. |
|
1 | Si le délai compté par jours doit être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de la communication. |
2 | S'il ne doit pas être communiqué aux parties, il commence à courir le lendemain de l'événement qui le déclenche. |
2bis | Une communication qui n'est remise que contre la signature du destinataire ou d'un tiers habilité est réputée reçue au plus tard sept jours après la première tentative infructueuse de distribution.50 |
3 | Lorsque le délai échoit un samedi, un dimanche ou un jour férié selon le droit fédéral ou cantonal, son terme est reporté au premier jour ouvrable qui suit. Le droit cantonal déterminant est celui du canton où la partie ou son mandataire a son domicile ou son siège.51 |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 50 - 1 Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
|
1 | Le recours doit être déposé dans les 30 jours qui suivent la notification de la décision. |
2 | Le recours pour déni de justice ou retard injustifié peut être formé en tout temps. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
|
1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
2.
2.1 Con ricorso al Tribunale amministrativo federale possono essere invocati la violazione del diritto federale, compreso l'eccesso o l'abuso del potere di apprezzamento (cfr. art. 49 lett. a
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 49 - Le recourant peut invoquer: |
|
a | la violation du droit fédéral, y compris l'excès ou l'abus du pouvoir d'appréciation; |
b | la constatation inexacte ou incomplète des faits pertinents; |
c | l'inopportunité: ce grief ne peut être invoqué lorsqu'une autorité cantonale a statué comme autorité de recours. |
2.2 Il Tribunale amministrativo federale non è vincolato né dai motivi addotti (cfr. art. 62 cpv. 4
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
|
1 | L'autorité de recours peut modifier la décision attaquée à l'avantage d'une partie. |
2 | Elle peut modifier au détriment d'une partie la décision attaquée, lorsque celle-ci viole le droit fédéral ou repose sur une constatation inexacte ou incomplète des faits: pour inopportunité, la décision attaquée ne peut être modifiée au détriment d'une partie, sauf si la modification profite à la partie adverse. |
3 | Si l'autorité de recours envisage de modifier, au détriment d'une partie, la décision attaquée, elle l'informe de son intention et lui donne l'occasion de s'exprimer. |
4 | Les motifs invoqués à l'appui du recours ne lient en aucun cas l'autorité de recours. |
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 52 - 1 Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
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1 | Le mémoire de recours indique les conclusions, motifs et moyens de preuve et porte la signature du recourant ou de son mandataire; celui-ci y joint l'expédition de la décision attaquée et les pièces invoquées comme moyens de preuve, lorsqu'elles se trouvent en ses mains. |
2 | Si le recours ne satisfait pas à ces exigences, ou si les conclusions ou les motifs du recourant n'ont pas la clarté nécessaire, sans que le recours soit manifestement irrecevable, l'autorité de recours impartit au recourant un court délai supplémentaire pour régulariser le recours. |
3 | Elle avise en même temps le recourant que si le délai n'est pas utilisé, elle statuera sur la base du dossier ou si les conclusions, les motifs ou la signature manquent, elle déclarera le recours irrecevable. |
2.3 Allorquando l'autorità reputa come chiare le circostanze di fatto e che le prove assunte le abbiano permesso di formarsi una propria convinzione, essa emana la propria decisione. In tale ipotesi, se procedendo in modo non arbitrario ad un apprezzamento anticipato delle prove proposte, è convinta che le stesse non potrebbero condurla a modificare la sua opinione, essa può porre un termine all'istruzione (cfr. DTF 133 II 384 consid. 4.2.3 con rinvii; [tra le tante] sentenze del TAF A-2888/2016 del 16 giugno 2017 consid. 3.2 con rinvii; A-5070/2013 del 9 dicembre 2014 consid. 2.3.1 con rinvii; Moser/Beusch/Kneubühler, op. cit., n. 3.144). Tale modo di procedere non è contrario al diritto di essere sentito garantito dall'art. 29 cpv. 2
SR 101 Constitution fédérale de la Confédération suisse du 18 avril 1999 Cst. Art. 29 Garanties générales de procédure - 1 Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
|
1 | Toute personne a droit, dans une procédure judiciaire ou administrative, à ce que sa cause soit traitée équitablement et jugée dans un délai raisonnable. |
2 | Les parties ont le droit d'être entendues. |
3 | Toute personne qui ne dispose pas de ressources suffisantes a droit, à moins que sa cause paraisse dépourvue de toute chance de succès, à l'assistance judiciaire gratuite. Elle a en outre droit à l'assistance gratuite d'un défenseur, dans la mesure où la sauvegarde de ses droits le requiert. |
A-2176/2020 del 20 gennaio 2021 consid. 2.3 con rinvii).
Se al contrario, l'autorità di ricorso rimane nell'incertezza dopo aver provveduto alle investigazioni richieste dalle circostanze, essa applicherà le regole sulla ripartizione dell'onere probatorio. In tale contesto, e a difetto di disposizioni speciali in materia, il giudice s'ispirerà all'art. 8
SR 210 Code civil suisse du 10 décembre 1907 CC Art. 8 - Chaque partie doit, si la loi ne prescrit le contraire, prouver les faits qu'elle allègue pour en déduire son droit. |
Applicate al diritto fiscale, tali regole presuppongono che l'amministrazione fiscale sopporti l'onere della prova delle circostanze di fatto che determinano l'imposizione o l'importo dell'imposta dovuto, ovvero i fatti che fondano o aumentano l'imposizione, mentre l'assoggettato di quelle che diminuiscono o azzerano l'imposizione, ovvero i fatti che l'esonerano o riducono l'importo d'imposta dovuto (cfr. DTF 133 II 153 consid. 4.3; sentenze del TF 2C_814/2010 del 23 settembre 2011 consid. 5.4; [tra le tante] sentenze del TAF A-2176/2020 del 20 gennaio 2021 consid. 2.3 con rinvii;
A-5070/2013 del 9 dicembre 2014 consid. 2.3.3 con rinvii). Se le prove raccolte dall'autorità forniscono sufficienti indizi dell'esistenza di elementi imponibili, spetta poi di nuovo al contribuente stabilire l'esattezza delle sue affermazioni e sostenere l'onere della prova del fatto che giustifica la sua esenzione (cfr. DTF 133 II 153 consid. 4.3; [tra le tante] sentenza del TAF A-2888/2016 del 16 giugno 2017 consid. 3.2 con rinvii). Tuttavia, ciò si applica solo se risulta impossibile, nell'ambito della massima inquisitoria e in applicazione del principio del libero apprezzamento delle prove, stabilire i fatti corrispondenti con un grado di verosimiglianza sufficiente alla realtà (cfr. DTF 139 V 176 consid. 5.2; [tra le tante] sentenze del TAF
A-5842/2020 del 31 marzo 2021 consid. 2.3; A-2176/2020 del 20 gennaio 2021 consid. 2.3 con rinvii).
3.
La LIVA è entrata in vigore il 1° gennaio 2010. Fatto salvo l'art. 113
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 113 Application du nouveau droit - 1 Pour déterminer si les conditions de libération de l'assujettissement fixées à l'art. 10, al. 2, sont remplies à l'entrée en vigueur de la présente loi, le nouveau droit doit être appliqué aux opérations imposables en vertu de la présente loi et exécutées dans les douze mois qui précèdent. |
|
1 | Pour déterminer si les conditions de libération de l'assujettissement fixées à l'art. 10, al. 2, sont remplies à l'entrée en vigueur de la présente loi, le nouveau droit doit être appliqué aux opérations imposables en vertu de la présente loi et exécutées dans les douze mois qui précèdent. |
2 | Les dispositions sur le dégrèvement ultérieur de l'impôt préalable fixées à l'art. 32 s'appliquent également aux prestations pour lesquelles le droit à la déduction de l'impôt préalable n'existait pas avant l'entrée en vigueur de la présente loi. |
3 | L'art. 91 excepté, le nouveau droit de procédure s'applique à toutes les procédures pendantes à l'entrée en vigueur de la présente loi. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 112 Application de l'ancien droit - 1 Sous réserve de l'art. 113, les dispositions de l'ancien droit ainsi que leurs dispositions d'exécution sont applicables à tous les faits et rapports juridiques ayant pris naissance avant leur abrogation. La prescription est toujours régie par les art. 49 et 50 de l'ancien droit. |
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1 | Sous réserve de l'art. 113, les dispositions de l'ancien droit ainsi que leurs dispositions d'exécution sont applicables à tous les faits et rapports juridiques ayant pris naissance avant leur abrogation. La prescription est toujours régie par les art. 49 et 50 de l'ancien droit. |
2 | L'ancien droit est applicable aux prestations fournies avant l'entrée en vigueur de la présente loi ainsi qu'aux importations de biens pour lesquelles la dette au titre de l'impôt sur les importations est née avant l'entrée en vigueur de la présente loi. |
3 | Les prestations fournies en partie avant l'entrée en vigueur de la présente loi sont imposées conformément à l'ancien droit pour cette partie. Les prestations fournies en partie après l'entrée en vigueur de la présente loi sont imposées conformément au nouveau droit pour cette partie. |
Riguardo invece alla procedura, fatto salvo l'art. 91
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 91 Prescription du droit d'exiger le paiement de l'impôt - 1 Le droit d'exiger le paiement de la créance fiscale, des intérêts et des frais se prescrit par cinq ans à compter de l'entrée en force de la créance. |
|
1 | Le droit d'exiger le paiement de la créance fiscale, des intérêts et des frais se prescrit par cinq ans à compter de l'entrée en force de la créance. |
2 | La prescription est suspendue tant que le débiteur ne peut être poursuivi sur le territoire de la Confédération. |
3 | La prescription est interrompue par tout acte tendant au recouvrement, tout sursis de la part de l'AFC et tout acte de l'assujetti tendant à l'exercice de son droit. |
4 | L'interruption et la suspension de la prescription ont effet à l'égard de tous les débiteurs. |
5 | Le droit d'exiger le paiement de l'impôt se prescrit dans tous les cas par dix ans à compter de la fin de l'année pendant laquelle il est entré en force. |
6 | Lorsqu'une créance fiscale fait l'objet d'un acte de défaut de biens, la prescription du droit d'exiger le paiement de l'impôt est régie par la LP157. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 113 Application du nouveau droit - 1 Pour déterminer si les conditions de libération de l'assujettissement fixées à l'art. 10, al. 2, sont remplies à l'entrée en vigueur de la présente loi, le nouveau droit doit être appliqué aux opérations imposables en vertu de la présente loi et exécutées dans les douze mois qui précèdent. |
|
1 | Pour déterminer si les conditions de libération de l'assujettissement fixées à l'art. 10, al. 2, sont remplies à l'entrée en vigueur de la présente loi, le nouveau droit doit être appliqué aux opérations imposables en vertu de la présente loi et exécutées dans les douze mois qui précèdent. |
2 | Les dispositions sur le dégrèvement ultérieur de l'impôt préalable fixées à l'art. 32 s'appliquent également aux prestations pour lesquelles le droit à la déduction de l'impôt préalable n'existait pas avant l'entrée en vigueur de la présente loi. |
3 | L'art. 91 excepté, le nouveau droit de procédure s'applique à toutes les procédures pendantes à l'entrée en vigueur de la présente loi. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
|
1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
4.
In concreto, oggetto del litigio è la ripresa fiscale di 7'794 franchi, oltre accessori, operata dall'autorità inferiore nei confronti della società ricorrente per degli incassi relativi a delle operazioni da lei effettuate, ma non dichiarate nei rendiconti trimestrali per l'imposizione all'IVA svizzera, nei periodi fiscali dal 1° gennaio 2008 al 31 dicembre 2009. In estrema sintesi, l'autorità inferiore ha ritenuto che, in assenza della prova secondo cui tali operazioni sarebbero state eseguite all'estero, esse andrebbero considerate come effettuate in Svizzera e dunque imposte all'IVA svizzera. Tale ripresa fiscale è qui recisamente contestata dalla società ricorrente che sostiene che le predette operazioni sarebbero invero state interamente eseguite all'estero, come risultante dalle prove da lei prodotte, sicché non sarebbero soggette all'IVA svizzera.
Ciò premesso, prima di pronunciarsi al riguardo (cfr. consid. 5 del presente giudizio), qui di seguito verranno richiamati i principi applicabile alla presente fattispecie (cfr. considd. 4.1-4.7 del presente giudizio).
4.1 Giusta l'art. 5
IR 0.632.314.891.1 Accord agricole du 24 juin 2004 entre la Suisse et le Liban Art. 5 - Les Parties se déclarent prêtes à poursuivre leurs efforts en vue d'une libéralisation progressive des échanges agricoles, dans le cadre de leurs politiques agricoles respectives. |
A-3677/2016 del 6 agosto 2018 consid. 3.1 con rinvii).
Secondo l'art. 6 vLIVA, vi è fornitura di un bene quando viene trasferito il potere di disporne economicamente in nome proprio (cpv. 1). Vi è parimenti fornitura quanto un bene sul quale sono stati eseguiti lavori è consegnato, anche se non è stato modificato, ma semplicemente esaminato, verificato, regolato, controllato nel suo funzionamento o sottoposto a un qualsiasi altro trattamento o quando un bene è messo a disposizione per l'uso o il godimento (cpv. 2). Secondo l'art. 7 vLIVA, si considera prestazione di servizi ogni prestazione che non costituisce fornitura di un bene.
4.2 Eccetto per quel che concerne il consumo proprio, un'operazione è imponibile sul territorio svizzero unicamente se è effettuata a titolo oneroso. Il carattere oneroso di un'operazione ha dunque un'importanza primordiale. Per costante giurisprudenza un'operazione ha carattere oneroso, (1) qualora i partecipanti all'operazione siano in un rapporto di fornitore (o prestatore) e d'acquirente (o destinatario), (2) la prestazione è fornita in cambio di una controprestazione e (3) sussiste un legame economico diretto tra la prestazione e la controprestazione (cfr. [tra le tante] sentenza del TAF A-3677/2016 del 6 agosto 2018 consid. 3.2 con rinvii; MOLLARD/OBERSON/TISSOT BENEDETTO, Traité TVA, 2009, pag. 214 n. 165).
4.3 In ogni caso, un'operazione soggiace all'IVA svizzera unicamente se è localizzata sul territorio svizzero ai sensi dell'art. 5 vLIVA. A tal proposito, la legislazione in materia IVA opera una distinzione per quanto concerne il luogo della fornitura di un bene (cfr. art. 13 vLIVA) e il luogo della prestazione di servizi (cfr. art. 14 vLIVA).
4.3.1 Giusta l'art. 13 vLIVA, è considerato luogo della fornitura di beni quello (lett. a) in cui si trova il bene al momento del trasferimento del potere di disporne economicamente, della consegna o della messa a disposizione per l'uso o il godimento; (lett. b) quello dal quale inizia il trasporto o la spedizione del bene a destinazione dell'acquirente o, su suo ordine, a destinazione di un terzo.
L'art. 13 lett. a vLIVA tratta quindi del luogo quando il trasferimento del potere di disporre economicamente avviene direttamente tra l'acquirente e il fornitore, mentre l'art. 13 lett. b vLIVA, determinante per la fornitura è un trasportatore per la prestazione o la spedizione del bene a destinazione dell'acquirente. Questa disposizione fissa il luogo della fornitura nel luogo in cui inizia il trasporto o la spedizione dell'acquirente. In questo caso, il luogo in cui inizia il trasporto prevale sul luogo di ricezione del bene così come per esempio sul luogo di fatturazione. Infatti, sebbene la fattura rivesti una grande importanza per l'esistenza dell'operazione, la fattura non ha alcuna incidenza per la localizzazione della fornitura di beni (cfr. [tra le tante] sentenza del TAF A-6692/2012 del 23 luglio 2014 consid. 4.1.2 con rinvii; Mollard/Oberson/Tissot Benedetto, op. cit., pag. 205 n. 129 segg.).
4.3.2 Giusta l'art. 14 cpv. 1 vLIVA, fatti salvi i cpv. 2 e 3, si considera luogo della prestazione di servizi il luogo in cui il prestatore ha la sede della sua attività economica o uno stabilimento d'impresa a partire dai quali la prestazione di servizi viene effettuata, oppure, in assenza di simili sede o stabilimento, il suo domicilio o il luogo dal quale svolge la sua attività.
4.4 Ora, la non imposizione all'IVA svizzera di un'operazione è ammessa unicamente se è dimostrato che la sua realizzazione si situa all'estero. Nella misura in cui l'onere della prova degli elementi che riducono o azzerano l'obbligo fiscale è a carico del contribuente (cfr. consid. 2.3 del presente giudizio), spetta dunque a quest'ultimo dimostrare l'esportazione o la realizzazione all'estero di un'operazione. La prova dell'esportazione di beni e prestazioni di servizi soggiace ad esigenze particolarmente rigorose, poiché in generale non è possibile effettuare un controllo presso il destinatario, dal momento che costui si trova all'estero. Per questo motivo, non è tenuto conto di documenti non contemporanei alle operazioni in oggetto (cfr. DTF 133 II 153 consid. 7.2; sentenza del TF 2C_614/2007 del 17 marzo 2008 consid. 3.4; sentenza del TAF A-6927/2013 del 26 maggio 2015 consid. 4.4.3 con rinvii). Sotto l'egida della vLIVA, la prova circa la localizzazione di un'operazione all'estero sottostà alle condizioni restrittive dell'art. 20
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 20 Attribution des prestations - 1 Une prestation est réputée fournie par la personne qui apparaît vis-à-vis des tiers comme le fournisseur de la prestation. |
|
1 | Une prestation est réputée fournie par la personne qui apparaît vis-à-vis des tiers comme le fournisseur de la prestation. |
2 | Lorsqu'une personne agit au nom et pour le compte d'une autre, la prestation est réputée fournie par la personne représentée si celle qui la représente remplit les conditions suivantes: |
a | elle peut prouver qu'elle agit en qualité de représentant et peut clairement communiquer l'identité de la personne qu'elle représente; |
b | elle porte expressément le rapport de représentation à la connaissance du destinataire de la prestation ou ce rapport résulte des circonstances. |
3 | Lorsque l'al. 1 s'applique à une relation tripartite, il y a prestation aussi bien entre la personne qui apparaît comme fournisseur et celle qui fournit effectivement la prestation qu'entre la personne qui apparaît comme fournisseur et le destinataire de la prestation. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 20 Attribution des prestations - 1 Une prestation est réputée fournie par la personne qui apparaît vis-à-vis des tiers comme le fournisseur de la prestation. |
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1 | Une prestation est réputée fournie par la personne qui apparaît vis-à-vis des tiers comme le fournisseur de la prestation. |
2 | Lorsqu'une personne agit au nom et pour le compte d'une autre, la prestation est réputée fournie par la personne représentée si celle qui la représente remplit les conditions suivantes: |
a | elle peut prouver qu'elle agit en qualité de représentant et peut clairement communiquer l'identité de la personne qu'elle représente; |
b | elle porte expressément le rapport de représentation à la connaissance du destinataire de la prestation ou ce rapport résulte des circonstances. |
3 | Lorsque l'al. 1 s'applique à une relation tripartite, il y a prestation aussi bien entre la personne qui apparaît comme fournisseur et celle qui fournit effectivement la prestation qu'entre la personne qui apparaît comme fournisseur et le destinataire de la prestation. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
|
1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
4.5
4.5.1 In ambito IVA, la dichiarazione e il pagamento dell'imposta avvengono secondo il principio dell'autotassazione (cfr. art. 46
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
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1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
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1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
In virtù del suo obbligo d'informare il contribuente, l'AFC ha redatto delle istruzioni all'attenzione di quest'ultimo ai sensi dell'art. 52 vLIVA, nella forma di direttive, di circolari e opuscoli informativi. In virtù del principio dell'autotassazione, le conseguenze delle scelte operate da un contribuente in ambito IVA sono reputate come a lui note. Egli non può appellarsi all'ignoranza delle istruzioni emanate dall'AFC o del fatto che quest'ultima non ha attirato la sua attenzione su un punto preciso ivi figurante (cfr. [tra le tante] sentenza del TAF A-5061/2014 del 26 ottobre 2015 consid. 5.2; Rivier/Rochat Pauchard, op. cit., pag. 11 e pag. 167).
4.5.2 Tra gli obblighi spettanti a ogni contribuente vi è in particolare quello della tenuta della contabilità (cfr. sentenze del TF 2A.552/2006 del 1° febbraio 2007 consid. 3.1; 2A.109/2005 del 10 marzo 2006 consid. 2.1 segg.; [tra le tante] sentenza del TAF A-5061/2014 del 26 ottobre 2015 consid. 5.3 con rinvii). Giusta l'art. 58 cpv. 1 vLIVA, il contribuente deve tenere i suoi libri di commercio in modo da consentire di constatare facilmente e con sicurezza i fatti importanti per determinare l'assoggettamento come pure per il calcolo dell'imposta e delle imposte precedenti deducibili. L'art. 58 cpv. 2 vLIVA precisa che il contribuente deve conservare regolarmente i suoi libri di commercio, i giustificativi, le carte d'affari ed altre registrazioni finché il credito fiscale a cui si riferiscono detti documenti non è ancora prescritto. Tra i documenti che devono essere conservati vanno menzionati le ordinazioni, le fatture (fatture dei fornitori e copie delle fatture ai clienti), i contratti di compravendita, i giustificativi di pagamento, le dichiarazioni d'esportazione, i certificati d'importazione, ecc. (cfr. [tra le tante] sentenza del TAF A-5061/2014 del 26 ottobre 2015 consid. 5.3 con rinvii; Mollard/Oberson/Tissot Benedetto, op. cit., pag. 825 n. 80).
4.6 Il sistema di rendiconto, secondo il quale il contribuente dichiara l'IVA all'AFC, è regolamentato dall'art. 44 vLIVA. Di norma il rendiconto è allestito secondo le controprestazioni convenute (cfr. art. 44 cpv. 1
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
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1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
5.
5.1 Stabiliti i principi applicabili alla presente fattispecie, il Tribunale osserva che, nella decisione impugnata, l'autorità inferiore ha in sostanza indicato di aver riscontrato, per gli anni 2008-2009, nella contabilità della ricorrente degli incassi non dichiarati nei rendiconti trimestrali. Detti incassi, a dire della ricorrente, non sarebbero stati imposti all'IVA, in quanto risulterebbero da prestazioni (lavori di carrozzeria) non imponibili poiché effettuate sul territorio estero, in Germania. Ritenendo tali allegazioni come non corroborate dalla ricorrente dai relativi giustificativi, l'autorità inferiore ha proceduto alla conferma della ripresa d'IVA di 7'794 franchi, oltre accessori, per le seguenti operazioni registrate nella contabilità generale 2008-2009 della ricorrente (cfr. atto n. 1a dell'incarto prodotto dall'autorità inferiore [di seguito: inc. AFC]) ed elencate nell'allegato all'avviso di tassazione n. 286'766 del 25 settembre 2013 (cfr. atto n. 1e dell'inc. AFC), qui suddivise per praticità in due gruppi:
a) registrazioni contabili relative alla cifra d'affari non dichiarata:
28.02.2008 al conto n. 6100 « Ricavi da forniture e prestazioni » con la descrizione « C._______ (senza IVA) », per l'importo di 9'100 franchi;
27.11.2008 al conto n. 6100 « Ricavi da forniture e prestazioni » con la descrizione « D._______ (senza IVA) », per l'importo di 1'939 franchi;
b) registrazioni contabili relative alla cifra d'affari non imposta all'IVA:
31.12.2008 di cui due registrazioni contabili al conto n. 6001 « Ricavi da lavoro » con la descrizione « Incassi lavori in Germania » per gli importi di 73'445 franchi e 11'995 franchi;
08.05.2009 al conto n. 6002 « Altri ricavi » con la descrizione « Ricavi 2008 grandine », per l'importo di 10'000 franchi.
In tale contesto, il Tribunale rileva preliminarmente che la società ricorrente è segnatamente attiva nell'ambito della gestione di una carrozzeria, la riparazione, l'acquisto e la vendita di autoveicoli, l'acquisto e la vendita di pezzi di ricambio (cfr. relativo estratto del registro di commercio). Le operazioni di cui sopra riguardano essenzialmente dei « lavori di carrozzeria ». In quanto tali, di principio esse costituiscono delle forniture di beni ai sensi dell'art. 6 cpv. 2 lett. a vLIVA (cfr. consid. 4.1 del presente giudizio), per le quali la localizzazione è dunque disciplinata dall'art. 13
SR 641.20 Loi fédérale du 12 juin 2009 régissant la taxe sur la valeur ajoutée (Loi sur la TVA, LTVA) - Loi sur la TVA LTVA Art. 81 Principes - 1 La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
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1 | La PA147 est applicable, à l'exclusion de l'art. 2, al. 1.148 |
2 | Les autorités établissent d'office les faits pertinents. |
3 | Le principe de la libre appréciation des preuves est applicable. L'acceptation d'une preuve ne doit pas dépendre exclusivement de la présentation de moyens de preuves précis. |
Ciò premesso, nello specifico, per il Tribunale si tratta essenzialmente di esaminare se le prove fornite dalla ricorrente dinanzi all'autorità inferiore, rispettivamente in questa sede, sono idonee o meno a comprovare che invero le operazioni oggetto della ripresa fiscale dell'autorità inferiore sono invero state effettuate all'estero, e meglio in Germania, come sostenuto dalla ricorrente nel proprio ricorso. A tal fine, per maggiore chiarezza, qui di seguito il Tribunale analizzerà separatamente le operazioni di cui alla lett. a (cfr. consid. 5.2 del presente giudizio) e le operazioni di cui alla lett. b (cfr. consid. 5.3 del presente giudizio) citate poc'anzi.
5.2
5.2.1 Per quanto concerne le prime operazioni di cui alla lett. a, l'autorità inferiore ha indicato di disporre di una copia di due fatture dalle quali risulterebbe che non solo entrambi i relativi destinatari hanno sede in Svizzera - ovvero C._______ (fattura del 19 febbraio 2008) e D._______ (fattura del 21 ottobre 2008) - ma anche che su entrambe le fatture figurerebbe la dicitura IVA 7.6% con il relativo importo. In tali circostanze, l'autorità inferiore ha ritenuto che il luogo della fornitura delle prestazioni - e meglio dei lavori di carrozzeria - si trova in Svizzera, per cui dette prestazioni soggiacerebbero all'IVA svizzera. Inoltre sulla fattura indirizzata alla D._______ vi sarebbero la dicitura « IVA 7.6% fr. 147.40 » e l'aggiunta a mano « dedotto IVA (sconto cliente) » (cfr. decisione impugnata, consid. 8.1).
5.2.2 A tal proposito, il Tribunale rileva come le conclusioni dell'autorità inferiore trovino riscontro negli atti dell'incarto, e meglio dalla contabilità della società ricorrente (cfr. atto n. 1a dell'inc. AFC) e dalle due citate fatture del 19 febbraio 2008 e del 21 ottobre 2008 (cfr. atto n. 1b dell'inc. AFC). In tali circostanze, si può ritenere che le operazioni di cui alle fatture del 19 febbraio 2008 e del 21 ottobre 2008 intestate a due società con sede in Svizzera sono chiaramente ubicabili in Svizzera. In quanto tali, dette operazioni andavano pertanto dichiarate dalla ricorrente e conseguentemente assoggettate all'IVA. Ora, nessun documento prodotto dalla ricorrente dinanzi all'autorità inferiore e in questa sede permette di ritenere il contrario e di mettere in discussione tali conclusioni, sicché vi è luogo di qui confermarle. Su questo punto, il ricorso va pertanto respinto.
5.3
5.3.1 Per quanto concerne invece le operazioni di cui alla lett. b, l'autorità inferiore ha ritenuto che nessun documento prodotto dalla ricorrente sarebbe tale da fare ritenere che le stesse siano invero state effettuate all'estero, e meglio in Germania. Dinanzi all'autorità inferiore, la ricorrente ha sostenuto che si tratterebbero di operazioni realizzate all'estero sotto forma di riparazioni per grandine, erogate dal signor E._______ che lavorerebbe per la ditta F._______ di Y._______. Essa ha indicato diversi luoghi delle prestazioni in Germania ed allegato un articolo di giornale in cui viene spiegato il lavoro svolto dal signor E._______. Su invito dell'autorità inferiore a produrre i relativi giustificativi mancanti, con e-mail del 22 agosto 2013, la ricorrente ha trasmesso sette fatture indirizzate alla ditta F._______ di Y._______ (e meglio: n. 08/0707 del 4 luglio 2008, n. 08/0707 del 4 luglio 2008, n. 08/7010 del 5 agosto 2008, n. 08/0711 del 6 agosto 2008, n. 08/0712 del 9 agosto 2008, n. 08/7013 del 14 agosto 2008 e n. 08/0714 del 1° settembre 2008) e un estratto conto della Banca G._______ al 31 dicembre 2008 in cui figurerebbero accrediti da parte della ditta F._______ riconducibili a tre delle sette fatture presentate (n. 08/7070, 08/7010 e 08/0713; cfr. decisione impugnata, consid. 8.1).
Al riguardo, l'autorità inferiore ha rilevato che dalla scheda contabile « 6001 Ricavi da lavori » della ricorrente per l'anno 2008 risulterebbero con la dicitura « Incassi lavori in Germania » gli importi di 73'445 franchi e di 11'995 franchi oggetto della rettifica contestata. Essa ha ritenuto che da tale scheda risulterebbe che tali importi sono stati incassati in contanti poiché contabilizzati quali cassa a ricavi. In tale contesto, essa ha ritenuto che le fatture e l'estratto conto prodotti dalla ricorrente non erano di alcun sostegno alle sue affermazioni poiché non sarebbero riconducibili agli importi incassati in contanti non dichiarati e non troverebbero riscontro nella contabilità. Lo stesso varrebbe per l'importo di 10'000 franchi contabilizzato quali « Ricavi 2008 grandine » nella scheda contabile « 6002 Altri ricavi » della ricorrente per l'anno 2009. L'autorità inferiore ha altresì ritenuto che, benché nell'estratto conto bancario figurerebbero le date di alcune fatture presentate dalla ricorrente, non sarebbe tuttavia possibile evincere quando la ricorrente abbia incassato sulla cassa, quindi in contanti, gli importi oggetto della rettifica d'imposta. Poiché la ricorrente avrebbe allestito i rendiconti secondo le controprestazioni ricevute (cfr. consid. 4.7 del presente giudizio), questi incassi andavano quindi dichiarati al momento dell'incasso e la contabilità andava allestita secondo il movimento finanziario per poter giustificare contabilmente l'incasso. In assenza di un nesso tra i documenti prodotti dalla ricorrente e gli importi non dichiarati, l'autorità inferiore ha poi ritenuto che l'articolo di giornale « Blechkünstler gegen Hagelschäden » prodotto dalla ricorrente e le richieste di audizione dei testi non le sarebbero di alcun aiuto, poiché oltre a non essere contemporanei ai fatti si limiterebbero a ribadire che il signor E._______ ha lavorato in Germania, senza tuttavia dimostrare che la cifra d'affari oggetto della rettifica sia effettivamente frutto di operazioni svolte all'estero (cfr. decisione impugnata, consid. 8.1).
5.3.2 A tal proposito, il Tribunale osserva come anche in questo caso le conclusioni dell'autorità inferiore trovino riscontro negli atti dell'incarto. Come giustamente rilevato dall'autorità inferiore, agli atti difettano i documenti giustificativi a comprova delle registrazioni contabili relative alle operazioni di cui alla lett. b e i documenti prodotti dalla ricorrente non sono idonei a comprovare le sue allegazioni. Più nel dettaglio, tra le sette fatture intestate alla ditta F._______ di Y._______ (cfr. allegati all'atto n. 1d dell'inc. AFC), l'estratto conto della banca G._______ al 31 dicembre 2008 (cfr. allegato all'atto n. 2 dell'inc. AFC) presentati dalla ricorrente dinanzi all'autorità inferiore e gli importi non dichiarati registrati nella contabilità della ricorrente (cfr. atto n. 1a dell'inc. AFC) non è ravvisabile alcun nesso di causalità. In effetti, da un confronto tra gli importi menzionati nelle fatture prodotte dalla ricorrente e gli importi menzionati nelle registrazioni contabili, non vi è alcuna corrispondenza. Detto in altri termini, le fatture prodotte dalla ricorrente non sono idonee a comprovare che le registrazioni contabili sono afferenti a delle operazioni effettuate all'estero, e meglio in Germania. L'estratto conto della banca G._______ non gli è poi di alcun aiuto, considerato come dalle registrazioni contabili relative alle operazioni di cui alla lett. b risulta che i ricavi sono stati incassati a contanti. In tale contesto, come giustamente ritenuto dall'autorità inferiore, gli articoli di giornale e le diverse testimonianze proposte dalla ricorrente (cfr. allegati all'atto n. 6 dell'inc. AFC) non sono qui sufficienti a comprovare che le operazioni di cui alla lett. b sono state fornite in Germania, in quanto - oltre a non essere contemporanee ai fatti - esse potrebbero semmai unicamente dimostrare che il signor E._______, uno dei suoi dipendenti, avrebbe lavorato in Germania, ma non di certo che le operazioni di cui alla lett. b siano state effettuate all'estero. Analogo discorso vale per le ricevute degli alberghi, dei ristoranti e dei rifornimenti di carburante intestate al signor E._______ e le stesse dichiarazioni scritte del signor E._______ (cfr. allegati all'atto n. 4 dell'inc. AFC), come pure l'indicazione da parte della ricorrente dei vari Garage presso i quali il signor E._______ avrebbe lavorato in Germania (cfr. atto n. 6 dell'inc. AFC).
Ora, in questa sede, a comprova della localizzazione delle operazioni all'estero, la ricorrente ha essenzialmente prodotto la medesima documentazione già prodotta dinanzi all'autorità inferiore, che, come detto, non è sufficiente a dimostrare le sue allegazioni. Le ulteriori testimonianze proposte, così come la nuova dichiarazione del 22 dicembre 2020 del garage H._______ allegata al ricorso, oltre a non essere contemporanee ai fatti, possono semmai solo dimostrare che il signor E._______ ha lavorato in Germania, ma non ancora che le operazioni di cui alla lett. b sono state effettuate all'estero. In tali circostanze, procedendo ad un apprezzamento anticipato delle prove, il Tribunale non intravvede alcun valido motivo per ordinare l'audizione dei testi segnalati dalla ricorrente in questa sede, tali prove non essendo idonee a comprovare le sue allegazioni (cfr. circa l'apprezzamento anticipato delle prove, consid. 2.3 del presente giudizio). Analogo discorso vale per l'articolo di giornale allegato al ricorso che, a dire della ricorrente, sarebbe apparso in Germania nel periodo delle prestazioni, emesso dal garage I._______ per conto della ditta F._______, dove verrebbe spiegato il lavoro del signor E._______. Tale articolo di giornale non è infatti idoneo a comprovare che proprio le operazioni di cui alla lett. b sarebbero state effettuate all'estero.
Alla luce di quanto precede, si deve dunque ritenere che la ricorrente non è stata in grado di dimostrare che le operazioni di cui alla lett. b sono state invero effettuate all'estero, e meglio in Germania. In assenza nei necessari giustificativi, si deve dunque ritenere tali operazioni come ubicate in Svizzera e dunque soggette all'IVA svizzera. Di conseguenza, il ricorso va respinto anche su questo punto.
5.4 In definitiva, si deve concludere che la società ricorrente non è stata in grado di dimostrare dinanzi al Tribunale che le operazioni elencate alle lett. a e b al consid. 5.1 del presente giudizio e oggetto della ripresa fiscale dell'autorità inferiore, sono state effettuate all'estero, e meglio in Germania. Le prove addotte dalla ricorrente non sono infatti idonee a comprovare che le registrazioni contabili afferenti alle cifre d'affari da lei non imposte all'IVA, si riferiscono invero ad operazioni effettuate all'estero. Tali prove possono semmai unicamente dimostrare che un suo dipendente ha lavorato in Germania. In tali circostanze, si deve ritenere che è a giusto titolo che l'autorità inferiore ha assoggettato tali operazioni all'IVA, procedendo nei confronti della ricorrente alla ripresa fiscale di 7'794 franchi, oltre accessori. Ciò posto, nella misura in cui i crediti d'imposta per i periodi fiscali 2008-2009 non risultano poi ancora prescritti (cfr. art. 49 vLIVA; cfr. [per i dettagli circa la prescrizione] sentenze del TAF A-1336/2020 del 12 ottobre 2021 consid. 10.2.1; A-3044/2009 del 21 dicembre 2011 consid. 2.1), vi è dunque luogo di confermare la predetta ripresa fiscale. Ne consegue che il ricorso della ricorrente va qui integralmente respinto.
6.
In considerazione dell'esito della lite, giusta l'art. 63 cpv. 1
SR 172.021 Loi fédérale du 20 décembre 1968 sur la procédure administrative (PA) PA Art. 63 - 1 En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
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1 | En règle générale, les frais de procédure comprenant l'émolument d'arrêté, les émoluments de chancellerie et les débours sont mis, dans le dispositif, à la charge de la partie qui succombe. Si celle-ci n'est déboutée que partiellement, ces frais sont réduits. À titre exceptionnel, ils peuvent être entièrement remis. |
2 | Aucun frais de procédure n'est mis à la charge des autorités inférieures, ni des autorités fédérales recourantes et déboutées; si l'autorité recourante qui succombe n'est pas une autorité fédérale, les frais de procédure sont mis à sa charge dans la mesure où le litige porte sur des intérêts pécuniaires de collectivités ou d'établissements autonomes. |
3 | Des frais de procédure ne peuvent être mis à la charge de la partie qui a gain de cause que si elle les a occasionnés en violant des règles de procédure. |
4 | L'autorité de recours, son président ou le juge instructeur perçoit du recourant une avance de frais équivalant aux frais de procédure présumés. Elle lui impartit pour le versement de cette créance un délai raisonnable en l'avertissant qu'à défaut de paiement elle n'entrera pas en matière. Si des motifs particuliers le justifient, elle peut renoncer à percevoir la totalité ou une partie de l'avance de frais.101 |
4bis | L'émolument d'arrêté est calculé en fonction de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la manière de procéder des parties et de leur situation financière. Son montant est fixé: |
a | entre 100 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 100 et 50 000 francs dans les autres contestations.102 |
5 | Le Conseil fédéral établit un tarif des émoluments.103 L'art. 16, al. 1, let. a, de la loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal administratif fédéral104 et l'art. 73 de la loi du 19 mars 2010 sur l'organisation des autorités pénales105 sont réservés.106 |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 4 Emolument judiciaire dans les contestations pécuniaires - Dans les contestations pécuniaires, l'émolument judiciaire se monte à: |
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
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1 | La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
2 | Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion. |
3 | Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens. |
4 | Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens. |
5 | L'art. 6a s'applique par analogie.7 |
(il dispositivo è indicato alla pagina seguente)
Per questi motivi, il Tribunale amministrativo federale pronuncia:
1.
Il ricorso è respinto.
2.
Le spese processuali, pari a 1'700 franchi, sono poste a carico della ricorrente. Alla crescita in giudicato del presente giudizio, tale importo verrà interamente dedotto dall'anticipo spese di 1'700 franchi da lei versato a suo tempo.
3.
Non vengono assegnate indennità a titolo di spese ripetibili.
4.
Questa sentenza è comunicata alla ricorrente e all'autorità inferiore.
I rimedi giuridici sono menzionati alla pagina seguente.
La presidente del collegio: La cancelliera:
Annie Rochat Pauchard Sara Pifferi
Rimedi giuridici:
Contro la presente decisione può essere interposto ricorso in materia di diritto pubblico al Tribunale federale, 1000 Losanna 14, entro un termine di 30 giorni dalla sua notificazione (art. 82 e
SR 173.320.2 Règlement du 21 février 2008 concernant les frais, dépens et indemnités fixés par le Tribunal administratif fédéral (FITAF) FITAF Art. 7 Principe - 1 La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
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1 | La partie qui obtient gain de cause a droit aux dépens pour les frais nécessaires causés par le litige. |
2 | Lorsqu'une partie n'obtient que partiellement gain de cause, les dépens auxquels elle peut prétendre sont réduits en proportion. |
3 | Les autorités fédérales et, en règle générale, les autres autorités parties n'ont pas droit aux dépens. |
4 | Si les frais sont relativement peu élevés, le tribunal peut renoncer à allouer des dépens. |
5 | L'art. 6a s'applique par analogie.7 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 48 Observation - 1 Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse. |
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1 | Les mémoires doivent être remis au plus tard le dernier jour du délai, soit au Tribunal fédéral soit, à l'attention de ce dernier, à La Poste Suisse ou à une représentation diplomatique ou consulaire suisse. |
2 | En cas de transmission électronique, le moment déterminant pour l'observation d'un délai est celui où est établi l'accusé de réception qui confirme que la partie a accompli toutes les étapes nécessaires à la transmission.20 |
3 | Le délai est également réputé observé si le mémoire est adressé en temps utile à l'autorité précédente ou à une autorité fédérale ou cantonale incompétente. Le mémoire doit alors être transmis sans délai au Tribunal fédéral. |
4 | Le délai pour le versement d'avances ou la fourniture de sûretés est observé si, avant son échéance, la somme due est versée à La Poste Suisse ou débitée en Suisse d'un compte postal ou bancaire en faveur du Tribunal fédéral. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
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1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
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