Tribunal administratif fédéral
Tribunale amministrativo federale
Tribunal administrativ federal
Cour III
C-5970/2014
Arrêt du 4 novembre 2017
Madeleine Hirsig-Vouilloz (présidente du collège),
Composition Christoph Rohrer, Michela Bürki Moreni, juges,
Audrey Bieler, greffière.
A._______,France,
Parties représenté parMaître Karim Hichri,
recourant,
contre
Caisse suisse de compensation (CSC),
Avenue Edmond-Vaucher 18,
Case postale 3100, 1211 Genève 2,
autorité inférieure.
Objet Assurance-vieillesse et survivants, calcul de la rente, protection de la bonne foi, décision du 18 septembre 2014,
Faits :
A.
A._______ (ci-après : l'assuré ou l'intéressé), ressortissant franco-suisse, né le [...] avril 1949, notamment père d'un enfant né le [...] avril 1996 (encore en étude en 2014 ; pce 116 p. 3), a atteint l'âge de la retraite en avril 2014 (cf. le livret de famille ; pce 89).
Il a cotisé en France du 1er janvier 1967 au 30 septembre 1981 (pces 15 et 53) et ensuite en Suisse jusqu'en décembre 1990 (pce 5) avant d'être mis au bénéfice d'une demi-rente d'invalidité du 1er février 1991 au 31 octobre 1991, puis du 1er octobre 1995 au 31 octobre 1998 (cf. la décision du 12 septembre 1996 de l'Office AI du canton de Fribourg
[ci-après : l'OAI-FR ; pce 10 p. 18]).
Depuis le 1er novembre 1998 (cf. la décision de l'OAI-FR du 27 août 1999 [pce 10 p. 3]), l'intéressé bénéficie d'une rente entière d'invalidité qui s'élève en 2014 à CHF 2'078 et d'une rente pour enfant de CHF 831 (pces 13 pp. 7 à 9, 17 pp. 7 à 9 et pce 74 ; cf. la demande du 14 janvier 1991 et les décisions des 29 janvier 1996 et 12 septembre 1996 ; pces 1 ss et en particulier les pièces 10, 14, 17, 18 et 28).
Le 1er janvier 2002, l'assuré quitte définitivement la Suisse (pces 12 et 18).
B.
En réponse à une demande du 21 mai 2012 de l'assuré (pces 62 à 64), la Caisse suisse de compensation (ci-après : la CSC) lui indique, par courrier du 30 août 2012 (pces 69 et 96 pp. 2 s), le calcul provisionnel de sa future rente de vieillesse à laquelle il aura droit dès le mois de mai 2014. Il ressort de ce courrier que le montant de la rente d'invalidité (CHF 2060) étant plus élevé que celle de vieillesse (CHF 886) il bénéficiera du montant de la rente d'invalidité au moment de la retraite. Il est précisé en page 2 que cette correspondance a valeur de renseignement au sens de l'art. 27 al. 1

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
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1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |
C.
C.a Le 10 mars 2014 (pce 86), l'assuré, domicilié en France, dépose une demande de rente de vieillesse auprès de la CSC.
C.b Par décision du 7 avril 2014 (pces 94 et 96 pp. 4 ss), la CSC octroie à l'assuré dès le 1er mai 2014 une rente de vieillesse de CHF 897 assortie d'une rente pour enfant de CHF 359 (cf. la feuille de calcul du 7 avril 2014 [pce 92] et les extraits de comptes individuels [pces 5 et 81 à 83]). La CSC se base sur un revenu annuel moyen déterminant de CHF 64'584 et sur une période totale de cotisations de 9 années engendrant l'application de l'échelle de rente 19. Il est précisé en page 4 que les périodes d'assurance étrangères ont été soustraites lors du calcul fait selon l'art. 33bis

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |
C.c L'assuré s'oppose par courrier du 22 avril 2014 à cette décision considérant qu'il a droit au montant ressortant du calcul prévisionnel qui lui a été présenté par la CSC (pce 96 p. 1).
C.d Par décision sur opposition du 10 juin 2014 (pce 100), la CSC confirme la décision du 7 avril 2014 en indiquant par erreur comme voie de droit le Tribunal cantonal compétent. Il est mentionné en page 3 « quant au montant prévisionnel communiqué le 30 août 2012, nous avions malheureusement omis de retrancher les périodes d'assurance françaises pour le calcul selon les bases AI, ce dont nous nous excusons ». Par ailleurs, la CSC fait remarquer à l'assuré que son droit à un complément différentiel basé sur la Convention bilatérale de sécurité sociale entre la Suisse et la France du 3 juillet 1975 dépend du montant de sa pension française.
C.e Par courrier du 21 juillet 2014, l'assuré indique à la CSC que sa rente de vieillesse française s'élève à 317.85 euros par mois et qu'il perçoit de plus des allocations mensuelles de 154.95 euros (pce 106). Il requiert que le complément différentiel soit égal à la différence entre le total de ces deux montants et le total des rentes d'invalidité (principales et pour enfant) qu'il a reçues jusqu'à l'âge de la retraite.
D.
D.a Dans le cadre du recours interjeté le 18 août 2014 (pce 109) par l'assuré contre la décision sur opposition du 10 juin 2014 auprès de la Cour de justice de la République et canton de Genève, chambre des assurances sociales, la CSC reconsidère sa position par décision du 18 septembre 2014 (cf. courrier explicatif du 22 septembre 2014 de la CSC ; pce 121).
D.b Par cette décision de reconsidération du 18 septembre 2014 (pce 120), la CSC remplace la décision du 7 avril 2014 et alloue à l'assuré une rente mensuelle ordinaire de vieillesse d'un montant de CHF 2'130, ainsi qu'une rente ordinaire pour enfant liée à la rente du père de CHF 359. La CSC se base sur un revenu annuel moyen déterminant de CHF 64'584 et sur une période totale de cotisations de 9 années engendrant l'application de l'échelle de rente 19. Le nouveau calcul tient compte du droit à un complément différentiel d'un montant de CHF 1'233 (calcul du 18 septembre 2014 ; pce 118). La CSC indique que l'autorité compétente pour connaître d'un éventuel recours contre cette décision est le Tribunal administratif fédéral.
E.
Le 15 octobre 2014, A._______ (ci-après : le recourant) dépose un recours auprès du Tribunal administratif fédéral (ci-après : le TAF ou le Tribunal). Il conclut à la réformation de la décision du 18 septembre 2014 de la CSC et à ce que la rente de vieillesse de l'AVS pour enfant à laquelle A._______ a droit soit fixée à CHF 831 par mois (TAF pce 1). Il requiert que le montant de ses prestations de vieillesse soit égal au montant qu'il recevait au titre de l'assurance invalidité. Il se prévaut du principe de la bonne foi, invoquant qu'avant de quitter définitivement la Suisse en janvier 2002, l'assurance lui a donné des renseignements erronés en lui garantissant le même montant que sa rente d'invalidité, renseignements confirmés dans le calcul prévisionnel ressortant du courrier du 30 août 2012 (pce 69).
F.
Par réponse du 12 décembre 2014 (TAF pce 3), la CSC conclut au rejet du recours et au maintien de la décision entreprise. Il est invoqué qu'une des conditions cumulatives concernant la protection de la bonne foi n'est pas remplie, considérant qu'il ne ressort d'aucunes pièces au dossier que l'autorité compétente ait donné un renseignement erroné au recourant en 2002. Le dossier du recourant, ainsi que celui de son épouse sont transmis au Tribunal.
G.
Par réplique du 27 janvier 2015, le recourant insiste sur le fait qu'en été 2001, l'Office AI du canton de Fribourg - qui était à l'époque compétent - a assuré à son épouse par téléphone qu'en cas de départ pour la France, il recevrait une rente de vieillesse du même montant que la rente d'invalidité reçue jusque-là. La même réponse a été faite au recourant par lettre du 30 août 2012. Selon le recourant, cette réponse, bien qu'elle soit sans doute erronée engage l'assurance AVS/AI suisse en raison du principe de la bonne foi (TAF pce 5).
H.
Par duplique du 10 février 2015, la CSC estime que l'intéressé n'a amené aucun élément nouveau et maintient ses précédentes conclusions (TAF pce 7). Par ordonnance du 10 mars 2015, le Tribunal porte à la connaissance du recourant un double de la duplique (TAF pce 8).
Il sera revenu si besoin sur les faits déterminants dans la partie en droit.
Droit :
1.
1.1 Sous réserves des exceptions - non réalisées en l'espèce - prévues à l'art. 32

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 32 Eccezioni - 1 Il ricorso è inammissibile contro: |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 31 Principio - Il Tribunale amministrativo federale giudica i ricorsi contro le decisioni ai sensi dell'articolo 5 della legge federale del 20 dicembre 196821 sulla procedura amministrativa (PA). |

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 33 Autorità inferiori - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni: |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 85bis Autorità federale di ricorso - 1 In deroga all'articolo 58 capoverso 2 LPGA391, i ricorsi di persone all'estero sono giudicati dal Tribunale amministrativo federale. Il Consiglio federale può prevedere che tale competenza sia attribuita al tribunale delle assicurazioni del Cantone in cui ha domicilio o sede il datore di lavoro dell'assicurato.392 |
1.2 La procédure devant le Tribunal administratif fédéral est régie par la loi fédérale sur la procédure administrative (PA, RS 172.021) pour autant que la LTAF, la loi fédérale sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA, RS 830.1) ou la LAVS ne sont pas applicables (cf. art. 37

SR 173.32 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale amministrativo federale (LTAF) LTAF Art. 37 Principio - La procedura dinanzi al Tribunale amministrativo federale è retta dalla PA60, in quanto la presente legge non disponga altrimenti. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 3 - Non sono regolate dalla presente legge: |
|
a | la procedura di autorità nel senso dell'articolo 1 capoverso 2 lettera e in quanto contro le loro decisioni non sia ammissibile un ricorso direttamente ad un'autorità federale; |
b | la procedura di prima istanza in materia di personale federale concernente l'istituzione iniziale del rapporto di servizio, la promozione, gli ordini di servizio e l'autorizzazione al procedimento penale contro l'agente; |
c | la procedura di prima istanza nelle cause amministrative penali e la procedura d'accertamento della polizia giudiziaria; |
d | la procedura della giustizia militare, compresa la giustizia militare disciplinare, la procedura in affari in materia di comando giusta l'articolo 37 come pure la procedura speciale giusta gli articoli 38 e 39 della legge militare del 3 febbraio 199517,18 ...19; |
dbis | la procedura in materia di assicurazioni sociali, sempre che la legge federale del 6 ottobre 200021 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali sia applicabile; |
e | la procedura d'imposizione doganale; |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 2 Campo d'applicazione e rapporto tra la parte generale e le singole leggi sulle assicurazioni sociali - Le disposizioni della presente legge sono applicabili alle assicurazioni sociali disciplinate dalla legislazione federale, se e per quanto le singole leggi sulle assicurazioni sociali lo prevedano. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 1 - 1 Le disposizioni della legge federale del 6 ottobre 20007 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) sono applicabili all'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti disciplinata in questa prima parte, sempre che la presente legge non preveda espressamente una deroga alla LPGA. |
1.3 Selon l'art. 59

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 59 Legittimazione - Ha diritto di ricorrere chiunque è toccato dalla decisione o dalla decisione su opposizione e ha un interesse degno di protezione al suo annullamento o alla sua modificazione. |
1.4 En outre, déposé en temps utile et dans les formes requises par la loi (art. 39 al. 2

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 39 Osservanza dei termini - 1 Le richieste scritte devono essere consegnate all'assicuratore oppure, a lui indirizzate, a un ufficio postale svizzero o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
|
1 | Le richieste scritte devono essere consegnate all'assicuratore oppure, a lui indirizzate, a un ufficio postale svizzero o a una rappresentanza diplomatica o consolare svizzera al più tardi l'ultimo giorno del termine. |
2 | Se la parte si rivolge in tempo utile a un assicuratore incompetente, si considera che il termine è stato rispettato. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 60 Termine di ricorso - 1 Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
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1 | Il ricorso deve essere interposto entro 30 giorni dalla notificazione della decisione o della decisione contro cui l'opposizione è esclusa. |
2 | Gli articoli 38-41 sono applicabili per analogia. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
|
1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
2.
2.1 Le Tribunal administratif fédéral établit les faits et les preuves d'office et librement (art. 12

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 12 - L'autorità accerta d'ufficio i fatti e si serve, se necessario, dei seguenti mezzi di prova: |
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a | documenti; |
b | informazioni delle parti; |
c | informazioni o testimonianze di terzi; |
d | sopralluoghi; |
e | perizie. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 62 - 1 L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
|
1 | L'autorità di ricorso può modificare la decisione impugnata a vantaggio di una parte. |
2 | Essa può modificare a pregiudizio di una parte la decisione impugnata quando questa violi il diritto federale o poggi su un accertamento inesatto o incompleto dei fatti; per inadeguatezza, la decisione impugnata non può essere modificata a pregiudizio di una parte, a meno che la modificazione giovi ad una controparte. |
3 | L'autorità di ricorso che intenda modificare la decisione impugnata a pregiudizio di una parte deve informarla della sua intenzione e darle la possibilità di esprimersi. |
4 | L'autorità di ricorso non è vincolata in nessun caso dai motivi del ricorso. |
2.2 Les parties doivent également collaborer à l'établissement des faits (art. 13

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 13 - 1 Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
|
1 | Le parti sono tenute a cooperare all'accertamento dei fatti: |
a | in un procedimento da esse proposto; |
b | in un altro procedimento, se propongono domande indipendenti; |
c | in quanto un'altra legge federale imponga loro obblighi più estesi d'informazione o di rivelazione. |
1bis | L'obbligo di cooperazione non comprende la consegna di oggetti e documenti inerenti ai contatti tra una parte e il suo avvocato autorizzato a esercitare la rappresentanza in giudizio in Svizzera secondo la legge del 23 giugno 200033 sugli avvocati.34 |
2 | L'autorità può dichiarare inammissibili le domande formulate nei procedimenti menzionati alle lettere a e b, qualora le parti neghino la cooperazione necessaria e ragionevolmente esigibile. |

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 52 - 1 L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
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1 | L'atto di ricorso deve contenere le conclusioni, i motivi, l'indicazione dei mezzi di prova e la firma del ricorrente o del suo rappresentante; devono essere allegati la decisione impugnata e i documenti indicati come mezzi di prova, se sono in possesso del ricorrente. |
2 | Se il ricorso non soddisfa a questi requisiti o se le conclusioni o i motivi del ricorrente non sono sufficientemente chiari, e il ricorso non sembra manifestamente inammissibile, l'autorità di ricorso assegna al ricorrente un breve termine suppletorio per rimediarvi. |
3 | Essa gli assegna questo termine con la comminatoria che, decorrendo infruttuoso, deciderà secondo l'inserto o, qualora manchino le conclusioni, i motivi oppure la firma, non entrerà nel merito del ricorso. |
2.3 Si l'administration ou le juge, se fondant sur une appréciation consciencieuse des preuves fournies par les investigations auxquelles ils doivent procéder d'office, sont convaincus que certains faits présentent un degré de vraisemblance prépondérante et que d'autres mesures probatoires ne pourraient plus modifier cette appréciation, il est superflu d'administrer d'autres preuves (appréciation anticipée des preuves ; Ueli Kieser, ATSG-Kommentar, 3ème éd. 2015, art. 42 n°30 p. 561 ; ATF 122 II 469 consid. 4a). Une telle manière de procéder ne viole pas le droit d'être entendu selon l'art. 29 al. 2

SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 29 Garanzie procedurali generali - 1 In procedimenti dinanzi ad autorità giudiziarie o amministrative, ognuno ha diritto alla parità ed equità di trattamento, nonché ad essere giudicato entro un termine ragionevole. |
3.
3.1 S'agissant du droit applicable dans le temps, il convient de rappeler le principe selon lequel les règles applicables sont celles en vigueur au moment où les faits juridiquement déterminants se sont produits (ATF 136 V 24 consid. 4.3 et 130 V 156 consid. 5.2). Le recourant a atteint l'âge de la retraite le [...] avril 2014. L'état de fait (l'accomplissement de la 65ème année) qui doit être apprécié juridiquement ou qui a des conséquences juridiques s'est réalisé le 1er mai 2014, conformément aux articles 21 al. 1 let. b

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 21 Età di riferimento e rendita di vecchiaia - 1 Le persone che hanno compiuto i 65 anni (età di riferimento) hanno diritto a una rendita di vecchiaia senza riduzioni né supplementi. |
3.2
3.2.1 L'affaire présente un aspect transfrontalier, le recourant, ressortissant franco-suisse résidant en France, a requis le versement d'une rente de vieillesse en Suisse en ayant cotisé en Suisse (pce 5) et en France (pce 15). La cause doit donc être tranchée non seulement au regard des normes du droit suisse mais également à la lumière des dispositions de l'Accord entre la Suisse et la Communauté européenne et ses Etats membres sur la libre circulation des personnes du 21 juin 1999 (ALCP, RS 0.142.112.681), entré en vigueur pour la relation avec la Suisse le 1er juin 2002 (ATF 133 V 269 consid. 4.2.1, 128 V 317 consid. 1b/aa).
3.2.2 Dans ce contexte, l'ALCP fait référence depuis le 1er avril 2012 au règlement (CE) n°883/2004 du Parlement européen et du Conseil du 29 avril 2004 portant sur la coordination des systèmes de sécurité sociale (ci-après : le règlement n°883/04 ; RS 0.831.109.268.1) ainsi qu'au règlement (CE) n°987/2009 du Parlement européen et du Conseil du 16 septembre 2009 fixant les modalités d'application du règlement (CE) n°883/2004 (ci-après : le règlement 987/2009 ; RS 0.831.109.268.11; art. 1 al. 1 de l'annexe II en relation avec la section A de l'annexe II).
3.2.3 Conformément à l'art. 4 du règlement n°883/2004, à moins que le règlement n'en dispose autrement, les personnes auxquelles ce règlement s'applique bénéficient en principe des mêmes prestations et sont soumises aux mêmes obligations, en vertu de la législation de tout Etat membre, que les ressortissants de celui-ci.
3.2.4 Par ailleurs, dans la mesure où l'ALCP et en particulier son annexe II qui régit la coordination des systèmes d'assurance sociales (art. 8

IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale) ALC Art. 8 Coordinamento dei sistemi di sicurezza sociale - Conformemente all'allegato II, le parti contraenti disciplinano il coordinamento dei sistemi di sicurezza sociale per garantire in particolare: |
|
a | la parità di trattamento; |
b | la determinazione della normativa applicabile; |
c | il calcolo totale, per la concessione e il mantenimento del diritto alle prestazioni, nonché per il calcolo di queste, di tutti i periodi presi in considerazione dalle diverse legislazioni nazionali; |
d | il pagamento delle prestazioni alle persone che risiedono sul territorio delle parti contraenti; |
e | la mutua assistenza e la cooperazione amministrative tra le autorità e le istituzioni. |
3.3 L'art. 153a al. 1 let. a

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 153a - 1 Ai cittadini svizzeri o di uno Stato membro dell'Unione europea che sono o sono stati soggetti alla legislazione in materia di sicurezza sociale della Svizzera o di uno o più Stati membri dell'Unione europea, ai rifugiati o agli apolidi residenti in Svizzera o in uno Stato membro dell'Unione europea, nonché ai familiari e ai superstiti di queste persone, in merito alle prestazioni che rientrano nel campo d'applicazione della presente legge, si applicano i seguenti atti normativi nella versione vincolante per la Svizzera dell'allegato II sezione A dell'Accordo del 21 giugno 1999457 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (Accordo sulla libera circolazione delle persone): |
|
a | regolamento (CE) n. 883/2004; |
b | regolamento (CE) n. 987/2009; |
c | regolamento (CEE) n. 1408/71; |
d | regolamento (CEE) n. 574/72. |
4.
En l'espèce, le litige porte sur le bien-fondé de la décision sur opposition du 18 septembre 2014 octroyant au recourant une rente de vieillesse et une rente pour enfant liée formant un total d'un montant inférieur à celui qu'il recevait au titre de l'assurance invalidité jusqu'au 30 avril 2014.
4.1 Le recourant invoque que l'autorité compétente en 2001 avait assuré à son épouse lors d'une conversation téléphonique qu'au moment de la retraite, même s'il quittait la Suisse, sa rente de vieillesse serait du même montant que sa rente d'invalidité. Lorsque deux ans avant l'âge de la retraite, il a demandé un calcul prévisionnel de sa rente, ce même renseignement lui a été donné par courrier du 30 août 2012 (pce 69). En admettant qu'il s'agissait d'un renseignement erroné, le recourant invoque le principe de la bonne foi et estime que l'administration doit lui verser la rente qu'on lui a par deux fois garantie. Il invoque qu'il ne serait pas parti habiter en France s'il avait été correctement informé et qu'il aurait ainsi pu bénéficier de prestations complémentaires en Suisse.
4.2 L'autorité inférieure maintient son calcul qu'elle estime correct et conforme aux dispositions légales suisses et européennes. De plus, elle refuse d'octroyer au recourant une rente de vieillesse équivalente au titre de la protection de la bonne foi comme le demande le recourant au motif que l'une des conditions cumulatives n'est pas remplie, à savoir que l'intéressé n'a pas pris ou omis de prendre des dispositions qu'il ne peut plus annuler ou prendre après coup sans subir un dommage.
5.
5.1 Aux termes de l'art. 27 al. 1

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
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1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
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1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |
L'art. 27

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
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1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |

SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 5 Stato di diritto - 1 Il diritto è fondamento e limite dell'attività dello Stato. |

SR 830.1 Legge federale del 6 ottobre 2000 sulla parte generale del diritto delle assicurazioni sociali (LPGA) LPGA Art. 27 Informazione e consulenza - 1 Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
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1 | Gli assicuratori e gli organi esecutivi delle singole assicurazioni sociali, nei limiti delle loro competenze, sono tenuti ad informare le persone interessate sui loro diritti e obblighi. |
2 | Ognuno ha diritto, di regola gratuitamente, alla consulenza in merito ai propri diritti e obblighi. Sono competenti in materia gli assicuratori nei confronti dei quali gli interessati devono far valere i loro diritti o adempiere i loro obblighi. Per le consulenze che richiedono ricerche onerose, il Consiglio federale può prevedere la riscossione di emolumenti e stabilirne la tariffa. |
3 | Se un assicuratore constata che un assicurato o i suoi congiunti possono rivendicare prestazioni di altre assicurazioni sociali, li informa immediatamente. |

SR 101 Costituzione federale della Confederazione Svizzera del 18 aprile 1999 Cost. Art. 9 Protezione dall'arbitrio e tutela della buona fede - Ognuno ha diritto d'essere trattato senza arbitrio e secondo il principio della buona fede da parte degli organi dello Stato. |
5.2 Valant pour l'ensemble de l'activité étatique, le principe de la bonne foi protège le citoyen dans la confiance légitime qu'il met dans les assurances reçues des autorités, lorsqu'il a réglé sa conduite d'après des décisions, des déclarations ou un comportement déterminé de l'administration.
Selon la jurisprudence, un renseignement erroné de l'administration peut obliger celle-ci à consentir à un administré un avantage contraire à la réglementation en vigueur aux conditions cumulatives suivantes :
a) que l'autorité soit intervenue dans une situation concrète à l'égard de personnes déterminées,
b) qu'elle ait agi ou soit censée avoir agi dans les limites de ses compétences,
c) que l'administré n'ait pas pu se rendre compte immédiatement de l'inexactitude du renseignement obtenu,
d) qu'il se soit fondé sur les assurances ou le comportement dont il se prévaut pour prendre des dispositions auxquelles il ne saurait renoncer sans subir de préjudice,
e) que la réglementation n'ait pas changé depuis le moment où l'assurance a été donnée.
5.3
5.3.1 En l'espèce, il s'agit de déterminer si l'assuré a pris des dispositions auxquelles il ne saurait renoncer sans subir de préjudice suite à un conseil erroné de l'administration. Le seul renseignement erroné avéré en l'espèce est celui ressortant du calcul prévisionnel du 30 août 2012, considérant que la CSC avait omis de retrancher les périodes de cotisations françaises lors de son calcul. Le recourant n'invoque pas avoir pris de dispositions particulières sur cette base. Par contre, il affirme qu'il est parti s'établir en France en 2002 sur la base des indications reçues de l'administration par son épouse par téléphone en 2001 s'agissant du montant de sa rente de vieillesse et qu'ainsi il a renoncé à percevoir à l'âge de la retraite des prestations complémentaires en Suisse en allant s'installer en France.
5.3.2 Si la CSC a bien fourni un renseignement erroné au recourant par courrier du 30 août 2012 après avoir procédé au calcul prévisionnel de sa rente de vieillesse (pce 69), le dossier ne porte pas trace de la conversation téléphonique que l'épouse du recourant indique avoir eu avec la Caisse de compensation du canton de Fribourg. Seul le témoignage de l'épouse du recourant permettrait de prouver qu'un renseignement erroné a bien été donné au recourant avant son départ pour la France. La valeur probante d'un tel témoignage se pose considérant l'intérêt de l'épouse du recourant dans cette affaire.
Toutefois, même en admettant qu'un renseignement erroné a bien été donné oralement par l'administration à la femme du recourant en 2001, celui-ci n'amène pas la preuve qu'il ne serait pas parti s'installer en France s'il avait été correctement informé du futur montant de sa rente de vieillesse. En effet, il semble peu vraisemblable au Tribunal que la décision du recourant et de son épouse d'aller s'établir en France au 1er janvier 2002 reposait uniquement sur le fait de savoir s'il pouvait compter au moment de la retraite, soit douze années plus tard, sur le montant exact qu'il percevait mensuellement au titre de l'invalidité à l'époque, soit une rente entière de CHF 1829, ainsi que deux rentes pour enfant complémentaires de CHF 549 et CHF 732 (cf. la décision de l'Office AI pour les assurés résidant à l'étranger [OAIE] du 20 décembre 2001 ; pce 18), surtout si l'on considère qu'une révision du droit à la rente du recourant entraînant une réduction ou une suppression ne pouvait être exclue par le recourant.
Par ailleurs, le recourant ne pouvait pas compter à long terme sur les rentes complémentaires pour enfant, celles-ci n'étant dues que pour les enfants de moins de 18 ans ou pour les enfants en formation de moins de 25 ans. Pour finir, le Tribunal relève que la rente de vieillesse octroyée par la décision entreprise (CHF 2'130) est supérieure au montant qu'il percevait en 2001 (CHF 1829), montant sur lequel il s'est basé pour prendre la décision d'aller s'installer en France. Dès lors, l'argument du recourant tombe à faux.
A cet égard, force est au Tribunal de constater que le recourant affirme remplir les conditions découlant du principe de la bonne foi, sans toutefois pouvoir faire valoir quelles dispositions il aurait prises sur la base d'un renseignement oral en 2001 ou sur la base du calcul provisionnel de sa rente de vieillesse en été 2012, ni quel préjudice il subirait s'il devait y renoncer. En effet, le recourant n'indique pas quel préjudice il subirait s'il devait revenir s'installer en Suisse.
5.3.3 Ainsi, une des conditions cumulatives du principe de la protection de la bonne foi n'étant clairement pas remplie, le recourant ne peut se prévaloir du droit à obtenir une rente supérieure à ce que prévoit le droit suisse et européen même si, par hypothèse, le renseignement devait être erroné.
6.
6.1 Le recourant satisfait aux conditions posées par les articles 21 al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 21 Età di riferimento e rendita di vecchiaia - 1 Le persone che hanno compiuto i 65 anni (età di riferimento) hanno diritto a una rendita di vecchiaia senza riduzioni né supplementi. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29 Beneficiari: rendite complete e rendite parziali - 1 Possono pretendere una rendita ordinaria di vecchiaia o per superstiti tutti gli aventi diritto ai quali possono essere computati almeno un anno intero di reddito, di accrediti per compiti educativi o assistenziali, oppure i loro superstiti.127 |
|
a | rendite complete agli assicurati che hanno una durata di contribuzione128 completo; |
b | rendite parziali agli assicurati che hanno una durata di contribuzione incompleta.129 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 30 Estinzione del diritto - Il diritto alla rendita si estingue nel momento in cui l'assicurato: |
|
a | anticipa la riscossione della totalità della rendita di vecchiaia in virtù dell'articolo 40 capoverso 1 LAVS222, salvo se l'anticipazione è avvenuta dopo la richiesta di prestazioni dell'assicurazione invalidità e prima della concessione di una rendita d'invalidità; |
b | acquisisce il diritto a una rendita di vecchiaia poiché ha raggiunto l'età di riferimento secondo l'articolo 21 capoverso 1 LAVS; |
c | decede. |
6.2 Il reste encore à vérifier que le calcul de la rente de vieillesse a été fait correctement par l'autorité inférieure au regard du droit suisse et européen, notamment en ce qui concerne l'application de l'art. 16 al. 2 de la Convention de sécurité bilatérale conclue le 3 juillet 1975 entre la France et la Suisse (RS 0.831.109.349.1 ; ci-après : la Convention franco-suisse), qui prévoit que "si le total des prestations auxquelles un assuré peut prétendre de la part de chacun des régimes d'assurances-vieillesse des deux pays est inférieur au montant de la pension ou rente d'invalidité, il a droit à un complément différentiel à la charge du régime qui était débiteur de ladite pension ou rente" (à cet égard cf. le consid. 8 ci-dessous).
6.3 En l'espèce, l'autorité inférieure a alloué au recourant une rente mensuelle ordinaire de vieillesse d'un montant de CHF 2'130, ainsi qu'une rente ordinaire pour enfant liée à la rente du père de CHF 359. Pour ce faire, celle-ci a appliqué les règles de calcul de type invalidité. Elle s'est basée sur un revenu annuel moyen déterminant de CHF 64'584 et sur une période totale de cotisations de 9 années engendrant l'application de l'échelle de rente 19. Le calcul tient compte du droit à un complément différentiel d'un montant de CHF 1'233 (cf. la motivation de la décision [pce 121] et le calcul du 18 septembre 2014 [pce 118]).
7.
7.1
7.1.1 Dans le cas d'un assuré qui a cotisé en Suisse ainsi que dans un ou plusieurs Etats membres, une demande de prestations de vieillesse doit être déposée dans chaque Etat concerné (cf. les art. 45 ss du règlement n°987/2009). Ainsi, en matière de rente AVS, l'assuré reçoit une rente versée par la sécurité sociale de chaque Etat membre où il a travaillé et cotisé.
Selon l'art. 48 du règlement n°883/04, les prestations d'invalidité sont converties, le cas échéant, en prestations de vieillesse dans les conditions prévues par la législation de laquelle elles sont servies - ici la législation suisse - et conformément au chap. 5 du règlement concernant les pensions de vieillesse et de survivants (art. 50

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 30 Estinzione del diritto - Il diritto alla rendita si estingue nel momento in cui l'assicurato: |
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a | anticipa la riscossione della totalità della rendita di vecchiaia in virtù dell'articolo 40 capoverso 1 LAVS222, salvo se l'anticipazione è avvenuta dopo la richiesta di prestazioni dell'assicurazione invalidità e prima della concessione di una rendita d'invalidità; |
b | acquisisce il diritto a una rendita di vecchiaia poiché ha raggiunto l'età di riferimento secondo l'articolo 21 capoverso 1 LAVS; |
c | decede. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 30 Estinzione del diritto - Il diritto alla rendita si estingue nel momento in cui l'assicurato: |
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a | anticipa la riscossione della totalità della rendita di vecchiaia in virtù dell'articolo 40 capoverso 1 LAVS222, salvo se l'anticipazione è avvenuta dopo la richiesta di prestazioni dell'assicurazione invalidità e prima della concessione di una rendita d'invalidità; |
b | acquisisce il diritto a una rendita di vecchiaia poiché ha raggiunto l'età di riferimento secondo l'articolo 21 capoverso 1 LAVS; |
c | decede. |
7.1.2 Les art. 6 et 51 du règlement n°883/04 fixent dans quelle mesure des périodes de cotisation effectuées dans un autre Etat membre doivent être prises en compte lors du calcul d'une rente de vieillesse. Ce principe de « totalisation des périodes» consiste à tenir compte des périodes de cotisations étrangères dans le cas où l'ouverture du droit à une rente est subordonnée à une clause de durée de périodes d'assurances, ceci afin d'éviter que les personnes qui ont fait usage de la libre circulation ne soient désavantagées par le morcellement de leur carrière d'assurance entre plusieurs régimes nationaux différents.
L'art. 52 du règlement n°883/04 prévoit par ailleurs une méthode de calcul des prestations de vieillesse concrétisant le principe de l'égalité de traitement consacré à l'art. 4 dudit règlement. Le but de cette méthode de calcul dite de « proratisation » est d'éviter qu'une personne qui percevra une rente de vieillesse dans plusieurs Etats membres se voie au final octroyé une rente globale moins élevée que la pension minimale qu'elle aurait pu percevoir dans son Etat de résidence.
7.1.3 Il est possible de renoncer au procédé « totalisation/proratisation » si le montant qui en résulterait est de toute façon égal ou inférieur à celui obtenu en vertu du seul droit national (art. 52 al. 4 et 5 du règlement n°883/04). Le Tribunal fédéral dans un ATF 131 V 371 (consid. 6) et un arrêt 8C_468/2009 du 11 mai 2010 (consid. 3.5.2) a repris le principe « Petroni » (CJCE affaire 24/75 Petroni) selon lequel ce procédé ne doit pas être appliqué si cela revient à amoindrir les prestations auxquelles le justiciable peut prétendre en vertu de la législation d'un seul Etat membre (Kaddous/Grisel, Libre circulation des personnes et des services, Dossiers de droit européen 26, 2012, p. 927 ; Kahil-Wolff Bettina, Droit social européen, Union européenne et pays associés, Dossiers de
droit européen 25, 2017 n°717, p. 435 ; Michel Valterio, Droit de l'assurance-vieillesse, survivants [AVS] et de l'assurance-invalidité [AI], 2011, n°903, p. 263 ; Circulaire sur la procédure pour
la fixation des prestations dans l'AVS/AI [CIBIL], valable
depuis le 4 avril 2016, édictée par l'OFAS, n°3007 [https://www.bsvlive.admin.ch/vollzug/documents/index/lang:fre]).
Dans cet ATF 131 V 371, le Tribunal fédéral constate que le calcul autonome en vertu de la législation suisse d'une rente de vieillesse est conforme aux règles de coordination de l'ALCP et de ses règlements. Bien qu'elle ait été développée sous l'art. 46 par. 1 de l'ancien règlement (CEE) n°1408/71 du Conseil du 14 juin 1971 relatif à l'application des régimes de sécurité sociale aux travailleurs salariés, aux travailleurs non-salariés et aux membres de leur famille qui se déplacent à l'intérieur de la Communauté (ci-après : le règlement n°1408/71), cette jurisprudence est toujours applicable sous l'art. 52 du règlement n°883/04 (cf. l'arrêt du TAF C-3690/2013 du 25 mars 2013 consid. 6.2).
7.1.4 Concrètement, sous l'empire de l'ALCP et du règlement n°883/04, les rentes de vieillesse et les rentes d'invalidité suisses sont fixées de manière autonome, c'est-à-dire compte tenu seulement des périodes accomplies sous la législation nationale (cf. ATF 133 V 229, consid. 4.4, 131 V 371 consid. 6 p. 379). Le principe de totalisation ne s'applique pas au calcul des rentes de vieillesse suisses, considérant le période d'attente très courte prévue par l'art. 29

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29 Beneficiari: rendite complete e rendite parziali - 1 Possono pretendere una rendita ordinaria di vecchiaia o per superstiti tutti gli aventi diritto ai quali possono essere computati almeno un anno intero di reddito, di accrediti per compiti educativi o assistenziali, oppure i loro superstiti.127 |
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a | rendite complete agli assicurati che hanno una durata di contribuzione128 completo; |
b | rendite parziali agli assicurati che hanno una durata di contribuzione incompleta.129 |
7.2
7.2.1 Il ressort de l'art. 33bis al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |
7.2.2 En l'espèce, la rente d'invalidité allouée au recourant en Suisse en 1991 (demi-rente) et en 1998 (rente entière) tenait compte des périodes françaises de cotisation, conformément à l'art. 13 de la Convention franco-suisse, laquelle est une convention de type A régie par le principe du risque. Selon ce principe, l'invalide qui en remplit les conditions reçoit à la place de deux rentes partielles versées par les assurances des deux pays dans lesquels il a cotisé, une seule rente qui est versée par l'assurance à laquelle il était affilié lors de la survenance de l'invalidité (cf. ATF 133 V 329 consid. 3, 130 V 247 consid. 4).
L'ALCP et le règlement n°883/04 (anciennement le règlement n°1408/71) ont mis en place un régime de type B impliquant le droit à des prestations venant de deux Etats correspondant aux cotisations effectuées
dans les deux Etats respectifs (cf. notamment les art. 44 ss

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |
7.2.3 Ainsi, une rente de vieillesse suisse, qui doit être fixée selon le principe ressortant de l'ALCP et du droit communautaire et qui succède à une rente d'invalidité suisse qui a été calculée en tenant compte des périodes de cotisations françaises selon la Convention franco-suisse, est établie uniquement selon les périodes de cotisation suisses, considérant que, conformément au droit communautaire, la France qui avait été jusqu'alors libérée du versement d'une prestation, doit verser à son tour une rente de vieillesse (ATF 131 V 371 consid. 7.1 ; l'arrêt du TAF
C-3690/2011 précité du 25 mars 2013 consid. 6).
Dans le cas concret, le recourant touche également une rente de vieillesse française calculée sur la base des cotisations effectuées en France du 1er janvier 1967 au 30 septembre 1981 (cf. supra Faits let. A), ainsi, en lieu et place d'une seule rente d'invalidité suisse, il a droit à deux rentes de vieillesse partielles versées par les assurances suisse et française (rentes calculées au prorata des périodes d'assurances accomplies dans ces pays).
7.3
7.3.1 En l'espèce, le recourant bénéficiait d'une rente d'invalidité au moment de la survenance de l'âge de la retraite (cf. supra Faits let. A), dès lors la CSC a - à juste titre - appliqué l'art. 33bis al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |
7.3.2 Afin de pouvoir déterminer quelle rente est avantageuse, deux calculs sont effectués selon les règles assorties à la LAVS et à la LAI. Il s'ensuit que les rentes calculées selon les modes différents en question doivent être comparées et le mode le plus favorable au bénéficiaire retenu sous réserve de la prise en compte des seules années de cotisations suisses pour déterminer l'échelle de rente. En effet, comme soulevé plus haut sous consid. 7.2.1, lors du calcul comparatif prévu à l'art. 33bis al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33bis - 1 Le rendite di vecchiaia o per superstiti che sostituiscono una rendita in conformità della LAI168 sono calcolate fondandosi sugli stessi elementi che per la rendita di invalidità, se deriva un vantaggio all'avente diritto. |
Le recourant a atteint l'âge de la retraite en avril 2014 et son droit à une rente de vieillesse est ouvert au 1er mai 2014. Il a cotisé en France de 1965 à septembre 1981 (pce 53) et touche au moment déterminant (mai 2014) au titre de prestations de vieillesse une rente mensuelle de 342.70 euros brut (pce 110 p. 2), soit CHF 420. Le recourant a ensuite cotisé en Suisse durant 20 années et 3 mois (243 mois) entre octobre 1981 et décembre 2001 un montant de CHF 693'917 (pces 57, 83, 92, 96 p. 8).
7.4 Calcul selon les bases de l'AVS :
7.4.1 Années de cotisation et échelle de rente
Selon l'art. 29bis al. 1

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29bis Disposizioni generali per il calcolo della rendita - 1 La rendita è calcolata al raggiungimento dell'età di riferimento. |
|
a | dei mesi di contribuzione trascorsi durante l'anno di inizio del diritto alla rendita; |
b | dei periodi di contribuzione precedenti il 1° gennaio dell'anno successivo a quello in cui l'avente diritto ha compiuto i 20 anni; |
c | degli anni concessi in più; e |
d | dei periodi di contribuzione totalizzati dopo il raggiungimento dell'età di riferimento. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30ter Conti individuali - 1 Per ogni assicurato obbligato a pagare i contributi, è tenuto un conto individuale, sul quale sono annotate le indicazioni necessarie al calcolo delle rendite ordinarie. Il Consiglio federale precisa i particolari. |
|
a | non lavora più per il datore di lavoro quando il salario gli viene versato; |
b | fornisce la prova che il reddito soggetto a contribuzione proviene da un'attività lucrativa esercitata in un anno precedente e per la quale sono stati versati contributi inferiori a quello minimo.158 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29ter Durata di contribuzione completa - 1 La durata di contribuzione è completa se una persona presenta lo stesso numero di anni di contribuzione degli assicurati della sua classe d'età. |
|
a | durante i quali una persona ha pagato i contributi; |
b | durante i quali il suo coniuge, giusta l'articolo 3 capoverso 3, ha versato almeno il doppio del contributo minimo; |
c | durante i quali possono essere computati accrediti per compiti educativi o d'assistenza. |
Les rentes ordinaires sont servies sous forme de rentes complètes aux assurés qui comptent une durée complète de cotisation (art. 29 al. 2 let. a

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29 Beneficiari: rendite complete e rendite parziali - 1 Possono pretendere una rendita ordinaria di vecchiaia o per superstiti tutti gli aventi diritto ai quali possono essere computati almeno un anno intero di reddito, di accrediti per compiti educativi o assistenziali, oppure i loro superstiti.127 |
|
a | rendite complete agli assicurati che hanno una durata di contribuzione128 completo; |
b | rendite parziali agli assicurati che hanno una durata di contribuzione incompleta.129 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29bis Disposizioni generali per il calcolo della rendita - 1 La rendita è calcolata al raggiungimento dell'età di riferimento. |
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a | dei mesi di contribuzione trascorsi durante l'anno di inizio del diritto alla rendita; |
b | dei periodi di contribuzione precedenti il 1° gennaio dell'anno successivo a quello in cui l'avente diritto ha compiuto i 20 anni; |
c | degli anni concessi in più; e |
d | dei periodi di contribuzione totalizzati dopo il raggiungimento dell'età di riferimento. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29ter Durata di contribuzione completa - 1 La durata di contribuzione è completa se una persona presenta lo stesso numero di anni di contribuzione degli assicurati della sua classe d'età. |
|
a | durante i quali una persona ha pagato i contributi; |
b | durante i quali il suo coniuge, giusta l'articolo 3 capoverso 3, ha versato almeno il doppio del contributo minimo; |
c | durante i quali possono essere computati accrediti per compiti educativi o d'assistenza. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29 Beneficiari: rendite complete e rendite parziali - 1 Possono pretendere una rendita ordinaria di vecchiaia o per superstiti tutti gli aventi diritto ai quali possono essere computati almeno un anno intero di reddito, di accrediti per compiti educativi o assistenziali, oppure i loro superstiti.127 |
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a | rendite complete agli assicurati che hanno una durata di contribuzione128 completo; |
b | rendite parziali agli assicurati che hanno una durata di contribuzione incompleta.129 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 38 Calcolo - 1 La rendita parziale corrisponde a una frazione della rendita completa calcolata conformemente agli articoli 34 a 37.191 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 38 Calcolo - 1 La rendita parziale corrisponde a una frazione della rendita completa calcolata conformemente agli articoli 34 a 37.191 |
Pour déterminer les rentes, des tables ont été établies, dont l'usage est obligatoire (art. 30bis

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30bis - Il Consiglio federale emana prescrizioni per il calcolo delle rendite.153 A tale scopo può arrotondare per eccesso o per difetto il reddito determinante e le rendite.154 Esso può emanare disposizioni sul computo delle frazioni di anni di contribuzione e dei corrispondenti redditi e prevedere che gli anni di contribuzione e i redditi di un'attività lucrativa nel periodo di tempo per il quale fu erogata una rendita d'invalidità non siano computati.155 |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 21 Età di riferimento e rendita di vecchiaia - 1 Le persone che hanno compiuto i 65 anni (età di riferimento) hanno diritto a una rendita di vecchiaia senza riduzioni né supplementi. |
Selon les Tables des rentes 2013 (p. 8), pour un assuré de la classe d'âge de 1949, la durée possible de cotisations est de 44 ans au plus, lors de la survenance du cas d'assurance (retraite) en 2014. Ainsi, au vu des 20 années entières de cotisation du recourant en Suisse, celui-ci a le droit à une rente partielle selon l'échelle de rente 20 (Tables des rentes 2013 p. 10).
7.4.2 Revenu annuel moyen et montant de la rente
La rente est calculée sur la base du revenu annuel moyen (RAM) de l'assuré. Celui-ci se compose des revenus de l'activité lucrative sur lesquels des cotisations, des bonifications pour tâches éducatives et des bonifications pour tâches d'assistance ont été versées (art. 29quater

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29quater - La rendita è calcolata in base al reddito annuo medio. Esso si compone: |
|
a | dei redditi risultanti da un'attività lucrativa; |
b | degli accrediti per compiti educativi; |
c | degli accrediti per compiti assistenziali. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29quinquies - 1 Sono presi in considerazione soltanto i redditi risultanti da un'attività lucrativa sui quali sono stati versati contributi. |
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a | tra il 1° gennaio che segue il compimento dei 20 anni e il 31 dicembre che precede l'insorgere dell'evento assicurato per il coniuge che ha per primo diritto alla rendita, fatto salvo il caso della riscossione anticipata della rendita secondo l'articolo 40; e |
b | in periodi durante i quali entrambi i coniugi sono stati assicurati presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e per i superstiti. |
c | il matrimonio è sciolto mediante divorzio; |
d | entrambi i coniugi hanno diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità; o |
e | uno dei coniugi ha diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità e l'altro raggiunge l'età di riferimento. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30 5. Determinazione del reddito annuo medio - 1 La somma dei redditi dell'attività lucrativa è rivalutata in funzione dell'indice delle rendite previsto nell'articolo 33ter. Il Consiglio federale determina annualmente i fattori di rivalutazione. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33ter Adeguamento delle rendite all'evoluzione dei prezzi e dei salari - 1 Di regola ogni due anni all'inizio dell'anno civile, il Consiglio federale adegua le rendite ordinarie all'evoluzione dei prezzi e dei salari fissando, su proposta della Commissione federale dell'assicurazione per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità, un nuovo indice delle rendite. |

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 51bis Fattori di rivalutazione - 1 L'UFAS stabilisce ogni anno i fattori di rivalutazione dell'ammontare dei redditi dell'attività lucrativa secondo l'articolo 30 capoverso 1 LAVS.218 |
Par ailleurs, la loi prévoit expressément, qu'à l'exception des revenus réalisés durant l'année du mariage ainsi que durant l'année de la dissolution du mariage, les revenus que les époux ont réalisés pendant les années civiles de mariage commun sont répartis et attribués pour moitié à chacun des époux pour chaque année civile durant laquelle les deux conjoints ont été assurés à l'AVS ("splitting"; art. 29quinquies al. 3

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29quinquies - 1 Sono presi in considerazione soltanto i redditi risultanti da un'attività lucrativa sui quali sono stati versati contributi. |
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a | tra il 1° gennaio che segue il compimento dei 20 anni e il 31 dicembre che precede l'insorgere dell'evento assicurato per il coniuge che ha per primo diritto alla rendita, fatto salvo il caso della riscossione anticipata della rendita secondo l'articolo 40; e |
b | in periodi durante i quali entrambi i coniugi sono stati assicurati presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e per i superstiti. |
c | il matrimonio è sciolto mediante divorzio; |
d | entrambi i coniugi hanno diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità; o |
e | uno dei coniugi ha diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità e l'altro raggiunge l'età di riferimento. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29quinquies - 1 Sono presi in considerazione soltanto i redditi risultanti da un'attività lucrativa sui quali sono stati versati contributi. |
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a | tra il 1° gennaio che segue il compimento dei 20 anni e il 31 dicembre che precede l'insorgere dell'evento assicurato per il coniuge che ha per primo diritto alla rendita, fatto salvo il caso della riscossione anticipata della rendita secondo l'articolo 40; e |
b | in periodi durante i quali entrambi i coniugi sono stati assicurati presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e per i superstiti. |
c | il matrimonio è sciolto mediante divorzio; |
d | entrambi i coniugi hanno diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità; o |
e | uno dei coniugi ha diritto a una rendita dell'assicurazione per l'invalidità e l'altro raggiunge l'età di riferimento. |

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 50b - 1 I redditi dei coniugi sono divisi a metà per ogni anno civile durante il quale entrambi i coniugi erano assicurati presso l'AVS.201 |

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 50b - 1 I redditi dei coniugi sono divisi a metà per ogni anno civile durante il quale entrambi i coniugi erano assicurati presso l'AVS.201 |
La somme des revenus provenant de l'activité lucrative et d'un éventuel splitting est ensuite revalorisée par un facteur, soit en fonction de l'indice des rentes prévu à l'art. 33ter

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33ter Adeguamento delle rendite all'evoluzione dei prezzi e dei salari - 1 Di regola ogni due anni all'inizio dell'anno civile, il Consiglio federale adegua le rendite ordinarie all'evoluzione dei prezzi e dei salari fissando, su proposta della Commissione federale dell'assicurazione per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità, un nuovo indice delle rendite. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30 5. Determinazione del reddito annuo medio - 1 La somma dei redditi dell'attività lucrativa è rivalutata in funzione dell'indice delle rendite previsto nell'articolo 33ter. Il Consiglio federale determina annualmente i fattori di rivalutazione. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33ter Adeguamento delle rendite all'evoluzione dei prezzi e dei salari - 1 Di regola ogni due anni all'inizio dell'anno civile, il Consiglio federale adegua le rendite ordinarie all'evoluzione dei prezzi e dei salari fissando, su proposta della Commissione federale dell'assicurazione per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità, un nuovo indice delle rendite. |

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 51bis Fattori di rivalutazione - 1 L'UFAS stabilisce ogni anno i fattori di rivalutazione dell'ammontare dei redditi dell'attività lucrativa secondo l'articolo 30 capoverso 1 LAVS.218 |
S'agissant du revenu annuel moyen, l'autorité inférieure a retenu un montant de CHF 46'332 compte tenu des bonifications pour tâches éducatives et après splitting (pce 92). Ce calcul n'est pas tout à fait correct. En effet, l'autorité inférieure a retenu que le recourant a cotisé en Suisse une somme globale de CHF 681'796, laquelle après application des règles de splitting se monte à CHF 613'796. En réalité, la somme de CHF 4'997 cotisée de août à décembre 1986 par l'ex-épouse a été omise par erreur lors du splitting. De plus, deux fois la somme de CHF 6'178 cotisée entre octobre et décembre 1995 par le recourant n'a pas été prise en compte (pce 92 p. 2).
Au vu de ce qui précède, doivent être prise en compte les années 1981 à 2001, pour lesquelles le recourant a versé des cotisations AVS d'un montant global de CHF 693'917 (pce 92 avec correction). Un splitting doit être effectué sur la période de 1982 à 1989 considérant que le recourant a été marié à B._______ de mars 1974 à février 1990 et étant précisé que les montants cotisés durant l'année du mariage et l'année de sa dissolution ne sont pas soumis au splitting. Le recourant s'est remarié en avril 1994 avec C._______, née en septembre 1960, mais celle-ci n'a pas encore atteint l'âge de la retraite. Les cotisations versées entre 1989 et 1994 par le recourant alors qu'il n'était pas marié (CHF 217'412) et celles versées durant son second mariage entre 1995 et 2001 (CHF 126'751) lui sont entièrement attribuées pour un total de CHF 344'163.
Le recourant a cotisé durant son premier mariage (période déterminante : 1982-1989) un montant de CHF 340'771. Selon les informations au dossier, l'ex-épouse du recourant a cotisé durant la même période un montant de CHF 210'225 (pce 76 p. 2). Durant l'année 1981, l'ex-épouse du recourant n'était pas assurée et le montant de CHF 8'983 cotisé cette année-là par le recourant lui est également attribué entièrement. Les revenus réalisés durant ce premier mariage maintenant dissous doivent être partagés, de sorte que seule la moitié des revenus du recourant est portée au compte de l'intéressé, auquel il faut toutefois ajouter la moitié des revenus réalisés par son ex-épouse durant ces mêmes années.
Partant, la somme totale des revenus à prendre en compte pour le calcul de la rente du recourant s'élève à un total de CHF 628'644 :
1981CHF 8'983
1982 à 1989 (splitting)CHF 275'498 ([340'771+210'225] : 2)
1990 à 2001CHF 344'163
Le recourant ayant versé les premières cotisations en Suisse en 1981, il faut appliquer à ce montant un facteur de revalorisation de 1.056 (Tables des rentes 2015 p. 15); l'on obtient ainsi un montant de CHF 663'848 (628'644 x 1.056). Le revenu moyen résulte de la division de ce montant par la durée de cotisations de l'ayant droit (cf. art. 30 al. 2

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30 5. Determinazione del reddito annuo medio - 1 La somma dei redditi dell'attività lucrativa è rivalutata in funzione dell'indice delle rendite previsto nell'articolo 33ter. Il Consiglio federale determina annualmente i fattori di rivalutazione. |
Le recourant a eu un enfant de chaque mariage, le premier né en août 1978 et le second né en avril 1996 (cf. pces 86 et 89). Ainsi, il peut prétendre à une bonification pour tâches éducatives pour les années durant lesquelles il était assuré à l'AVS et exerçait l'autorité parentale sur ses enfants âgés de moins de 16 ans (art. 29sexies

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29sexies 3. Accrediti per compiti educativi - 1 Un accredito per compiti educativi è computato agli assicurati per gli anni durante i quali essi esercitano l'autorità parentale su uno o più fanciulli che non hanno ancora compiuto i 16 anni. Tuttavia, ai genitori che esercitano in comune l'autorità parentale non sono accordati due accrediti cumulativi. Il Consiglio federale disciplina i dettagli, in particolare l'assegnazione dell'accredito per compiti educativi, nei casi in cui:143 |
|
a | uno o entrambi i genitori abbiano in custodia fanciulli senza però esercitare l'autorità parentale; |
b | soltanto uno dei genitori sia assicurato presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e i superstiti; |
c | le condizioni per l'assegnazione di un accredito per compiti educativi non siano adempite per l'intero anno civile; |
d | genitori divorziati o non coniugati esercitano in comune l'autorità parentale. |
Ces bonifications représentent des revenus fictifs sur lesquels aucune cotisation n'est due; elles ont pour but de compenser d'éventuelles pertes de revenus subies pendant la période de l'éducation des enfants. Concernant les années où le conjoint n'était pas assuré auprès de l'AVS suisse, il est prévu d'attribuer la bonification pour tâches éducatives entière au parent assuré (art. 52f al. 4

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 52f Computo di accrediti per compiti educativi - 1 Gli accrediti per compiti educativi sono sempre attribuiti per l'intero anno civile. Nessun accredito è attribuito per l'anno in cui sorge il diritto. Sono invece attribuiti accrediti per l'anno in cui il diritto si estingue. È fatto salvo il capoverso 5. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29sexies 3. Accrediti per compiti educativi - 1 Un accredito per compiti educativi è computato agli assicurati per gli anni durante i quali essi esercitano l'autorità parentale su uno o più fanciulli che non hanno ancora compiuto i 16 anni. Tuttavia, ai genitori che esercitano in comune l'autorità parentale non sono accordati due accrediti cumulativi. Il Consiglio federale disciplina i dettagli, in particolare l'assegnazione dell'accredito per compiti educativi, nei casi in cui:143 |
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a | uno o entrambi i genitori abbiano in custodia fanciulli senza però esercitare l'autorità parentale; |
b | soltanto uno dei genitori sia assicurato presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e i superstiti; |
c | le condizioni per l'assegnazione di un accredito per compiti educativi non siano adempite per l'intero anno civile; |
d | genitori divorziati o non coniugati esercitano in comune l'autorità parentale. |

SR 831.101 Ordinanza del 31 ottobre 1947 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (OAVS) OAVS Art. 52f Computo di accrediti per compiti educativi - 1 Gli accrediti per compiti educativi sono sempre attribuiti per l'intero anno civile. Nessun accredito è attribuito per l'anno in cui sorge il diritto. Sono invece attribuiti accrediti per l'anno in cui il diritto si estingue. È fatto salvo il capoverso 5. |
Ainsi, il faut ajouter au revenu moyen provenant d'activités lucratives, les bonifications pour tâches éducatives, le recourant bénéficiant de 13 ans de demi-bonifications selon le décompte de l'autorité inférieure (pce 92 p. 7).
Le montant de la bonification pour tâches éducatives correspond au triple de la rente de vieillesse annuelle minimale au moment de la survenance du cas d'assurance (cf. art. 29sexies al. 2

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 29sexies 3. Accrediti per compiti educativi - 1 Un accredito per compiti educativi è computato agli assicurati per gli anni durante i quali essi esercitano l'autorità parentale su uno o più fanciulli che non hanno ancora compiuto i 16 anni. Tuttavia, ai genitori che esercitano in comune l'autorità parentale non sono accordati due accrediti cumulativi. Il Consiglio federale disciplina i dettagli, in particolare l'assegnazione dell'accredito per compiti educativi, nei casi in cui:143 |
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a | uno o entrambi i genitori abbiano in custodia fanciulli senza però esercitare l'autorità parentale; |
b | soltanto uno dei genitori sia assicurato presso l'assicurazione svizzera per la vecchiaia e i superstiti; |
c | le condizioni per l'assegnazione di un accredito per compiti educativi non siano adempite per l'intero anno civile; |
d | genitori divorziati o non coniugati esercitano in comune l'autorità parentale. |

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 30 5. Determinazione del reddito annuo medio - 1 La somma dei redditi dell'attività lucrativa è rivalutata in funzione dell'indice delle rendite previsto nell'articolo 33ter. Il Consiglio federale determina annualmente i fattori di rivalutazione. |
In casu, il résulte pour 13 années de demi-bonification un montant de CHF 273'780 ([42'120 x 13 ans] : 2), qu'il convient de diviser par la durée de cotisations déterminante pour le calcul de la rente, puis d'annualiser ([273'780 : 243 mois x 12 mois]), pour obtenir la moyenne annuelle des bonifications, soit CHF 13'520.
Au total, le revenu annuel moyen déterminant s'élève à CHF 46'303 (32'783 + 13'520). En application de l'échelle de rente 20, il résulte une rente de vieillesse mensuelle d'un montant de CHF 834 (Tables des rentes 2013 p. 66).
7.5 Calcul selon les règles assorties à l'AI
Au vu des articles 36 al. 2

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 36 Beneficiari e calcolo - 1 Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.232 |
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1 | Hanno diritto a una rendita ordinaria gli assicurati che, all'insorgere dell'invalidità, hanno pagato i contributi per almeno tre anni.232 |
2 | Le disposizioni della LAVS233 si applicano per analogia al calcolo delle rendite ordinarie. Il Consiglio federale può emanare prescrizioni completive.234 |
3 | ...235 |
4 | Le quote pagate all'AVS prima dell'entrata in vigore della presente legge sono computate. |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 37 Importo delle rendite d'invalidità - 1 L'importo delle rendite d'invalidità corrisponde a quello delle rendite di vecchiaia dell'AVS.236 |
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1 | L'importo delle rendite d'invalidità corrisponde a quello delle rendite di vecchiaia dell'AVS.236 |
1bis | Se entrambi i coniugi hanno diritto a una rendita, per la riduzione delle due rendite l'articolo 35 della LAVS237 si applica per analogia.238 |
2 | Se un assicurato con una durata intera di contribuzione non ha ancora compiuto i 25 anni al momento dell'insorgenza dell'invalidità, la sua rendita d'invalidità e le eventuali rendite completive ammontano ad almeno il 1331/3 per cento dell'importo minimo della corrispondente rendita completa.239 |
Pour le calcul de la rente de vieillesse selon les bases de l'AI, il faut prendre en considération que le recourant a été reconnu invalide à partir du 1er décembre 1990 (cf. supra Faits let. A). A l'époque, les périodes de cotisations françaises avaient été prises en compte. Toutefois, comme relevé plus haut sous consid. 7.2, il sied lors du calcul comparatif de retrancher les périodes de cotisations étrangères. En 1991, le recourant présentait une durée de cotisation en Suisse de 9 années et 4 mois (octobre 1981 à janvier 1991).
La durée complète de cotisation pour les assurés de la même classe d'âge du recourant est de 21 ans (Tables des rentes 2013 p. 6). Ainsi, la rente du recourant est déterminée d'après l'échelle 19 (Tables des rentes 2013 p. 11).
Selon la première décision de la rente d'invalidité du 12 septembre 1996 (pces 10 et 17) le revenu annuel moyen déterminant s'élevait en 1991 à CHF 53'544. En 2014, ce montant correspond à CHF 64'584, après adaptation à l'évolution des salaires et des prix au sens de l'art. 33ter

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 33ter Adeguamento delle rendite all'evoluzione dei prezzi e dei salari - 1 Di regola ogni due anni all'inizio dell'anno civile, il Consiglio federale adegua le rendite ordinarie all'evoluzione dei prezzi e dei salari fissando, su proposta della Commissione federale dell'assicurazione per la vecchiaia, i superstiti e l'invalidità, un nuovo indice delle rendite. |
En 2014, une rente de vieillesse calculée sur de telles bases, s'élève selon l'échelle 19 à CHF 897 par mois (Tables des rentes 2011 p. 68).
7.6 En conclusion, le Tribunal constate que la CSC a correctement déterminé le montant de la rente de vieillesse du recourant qui s'élevait en 2014 à CHF 897 par mois.
La rente pour enfant qui s'élève à 40% de la rente principale se monte à CHF 359 par mois (art. 35

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 35 Rendite completive per i figli - 1 Le persone legittimate alla rendita d'invalidità hanno diritto a una rendita completiva per ogni figlio che, qualora esse fossero morte, avrebbe diritto a una rendita per orfani dell'assicurazione per la vecchiaia e i superstiti. |
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1 | Le persone legittimate alla rendita d'invalidità hanno diritto a una rendita completiva per ogni figlio che, qualora esse fossero morte, avrebbe diritto a una rendita per orfani dell'assicurazione per la vecchiaia e i superstiti. |
2 | ...228 |
3 | I figli elettivi affiliati soltanto dopo l'insorgere dell'invalidità non danno diritto alla rendita completiva salvo qualora si tratti di figli dell'altro coniuge.229 |
4 | La rendita completiva per i figli è versata come la rendita cui è connessa. Sono salve le disposizioni per un impiego appropriato della rendita (art. 20 LPGA230) e le disposizioni contrarie del giudice civile. In deroga all'articolo 20 LPGA, il Consiglio federale può disciplinare il pagamento in casi speciali, segnatamente per i figli di coppie separate o divorziate.231 |

SR 831.20 Legge federale del 19 giugno 1959 sull'assicurazione per l'invalidità (LAI) LAI Art. 38 - 1 La rendita per i figli ammonta al 40 per cento della rendita d'invalidità che corrisponde al reddito medio annuo determinante.242 Se entrambi i genitori hanno diritto a una rendita per figli, le due rendite per figli vanno ridotte qualora la loro somma superi il 60 per cento della rendita massima d'invalidità. L'articolo 35 della LAVS243 si applica per analogia al calcolo della riduzione.244 |
|
1 | La rendita per i figli ammonta al 40 per cento della rendita d'invalidità che corrisponde al reddito medio annuo determinante.242 Se entrambi i genitori hanno diritto a una rendita per figli, le due rendite per figli vanno ridotte qualora la loro somma superi il 60 per cento della rendita massima d'invalidità. L'articolo 35 della LAVS243 si applica per analogia al calcolo della riduzione.244 |
2 | Sono applicabili le regole valide per il calcolo delle corrispondenti rendite d'invalidità. |
8.
S'agissant de l'art. 16 par. 2 de la Convention franco-suisse entraînant l'octroi d'un complément différentiel, se pose la question de savoir si cette disposition est applicable au présent cas qui est soumis au règlement n°883/04 en particulier à son article 8 (cf. supra consid. 6.2).
8.1
8.1.1 L'art. 8 du règlement n°883/04 règle la coordination de ce règlement avec les conventions bilatérales. Il prévoit à son paragraphe 1 que :
Dans son champ d'application, le présent règlement se substitue à toute convention de sécurité sociale applicable entre les Etats membres.
Toutefois, certaines dispositions de conventions de sécurité sociale que les Etats membres ont conclues avant la date d'application du présent règlement restent applicables, pour autant qu'elles soient plus favorables pour les bénéficiaires ou si elles découlent de circonstances historiques spécifiques et ont un effet limité dans le temps.
Pour être maintenues en vigueur, ces dispositions doivent figurer à l'annexe II.
S'agissant des relations de sécurité sociale entre la Suisse et les Etats membres de l'UE, en particulier la France, cette disposition est venue remplacer au 1er avril 2012 l'art. 6 du règlement n°1408/71. A ainsi été codifiée la jurisprudence de la Cour de justice des communautés européennes (CJCE) qui prévoit l'applicabilité de conventions bilatérales plus favorables en protection des droits acquis (« principe du traitement le plus favorable » ; CJCE C-227/89 affaire Rönfeldt, C-475/93 affaire Thévenon ; Maximilan Fuchs (éd.), Europäisches Sozialrecht, 5e éd. 2010, ad art. 8, n°10, p. 148).
L'article 8 par. 1 première phrase du règlement n°883/04 pose le principe de primauté du droit communautaire. Toutefois, cette disposition prévoit que certaines règles de conventions conclues entre Etat membres restent applicables en tant qu'elles sont citées dans son annexe II (phrases 2 et 3 de l'art. 8 par. 1 précité ; cf. anciennement l'art. 7 lit. c et l'annexe III du règlement n°1408/71).
De plus, la jurisprudence de la CJCE dite Rönfeldt-Thévenon précitée continue à s'appliquer sous l'empire du règlement n°883/04. Ainsi, une convention - même si elle ne ressort pas de l'annexe II du règlement n°883/04 - peut être invoquée par un justiciable au-delà de l'entrée en vigueur des règlements communautaires si elle renferme des droits plus favorables et si elle protège des droits acquis durant des périodes antérieures à leur entrée en vigueur. Pour bénéficier de la protection des droits acquis et se prévaloir d'une convention bilatérale plus favorable, l'intéressé doit avoir exercé son droit à la libre circulation avant
la date d'application du règlement n°883/04 (cf. p. 7 de la Circulaire n°DSS/DACI/2010/461 du 27 décembre 2010 relative à l'entrée en application des nouveaux règlements (CE) n°883/2004 et 987/2009 de coordination des systèmes de sécurité sociale : champs d'application, grands principes et dispositions générales [circulaire R.883 n°2],
édictée par la Direction de la sécurité sociale [DSS],
division des affaires communautaires et internationales [DACI], http://circulaires.legifrance.gouv.fr/ ; Kaddous/Grisel, op. cit., p. 839). Cette règle a pour but de protéger un justiciable qui pouvait raisonnablement s'attendre à se voir appliquer l'accord en question (Kahil-Wolff Bettina, op. cit., n°1023 s. , p. 571).
8.1.2 L'art. 20

IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale) ALC Art. 20 Relazione con gli accordi bilaterali in materia di sicurezza sociale - Salvo disposizione contraria contenuta nell'allegato II, gli accordi bilaterali tra la Svizzera e gli Stati membri della Comunità europea in materia di sicurezza sociale vengono sospesi a decorrere dall'entrata in vigore del presente Accordo qualora il medesimo campo sia disciplinato da quest'ultimo. |
Sous l'ancien art. 6 par. 1 du règlement CE n°1408/71, le Tribunal fédéral, dans un ATF 133 V 390, a repris la jurisprudence de la CJCE Rönfeldt-Thévenon dans le cadre de l'application de l'art. 20

IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale) ALC Art. 20 Relazione con gli accordi bilaterali in materia di sicurezza sociale - Salvo disposizione contraria contenuta nell'allegato II, gli accordi bilaterali tra la Svizzera e gli Stati membri della Comunità europea in materia di sicurezza sociale vengono sospesi a decorrere dall'entrata in vigore del presente Accordo qualora il medesimo campo sia disciplinato da quest'ultimo. |
Le Tribunal estime que la jurisprudence ressortant de l'ATF 133 V 329 développée sous l'ancien règlement n°1408/71 reste applicable sous l'empire de l'art. 8 par. 1 du règlement n°883/04, considérant que la jurisprudence de la CJCE sur laquelle le TF s'est basé est toujours considérée comme opérationnelle (cf. supra consid. 8.1.1). Le sens de cette jurisprudence est toujours d'actualité, à savoir éviter que l'application du droit communautaire entraîne la perte d'avantages de sécurité sociale découlant d'une convention bilatérale intégrée dans leur régime national et ainsi favoriser la libre circulation des personnes. L'interprétation de l'art. 20

IR 0.142.112.681 Accordo del 21 giugno 1999 tra la Confederazione Svizzera, da una parte, e la Comunità europea ed i suoi Stati membri, dall'altra, sulla libera circolazione delle persone (con allegati, protocolli e atto finale) ALC Art. 20 Relazione con gli accordi bilaterali in materia di sicurezza sociale - Salvo disposizione contraria contenuta nell'allegato II, gli accordi bilaterali tra la Svizzera e gli Stati membri della Comunità europea in materia di sicurezza sociale vengono sospesi a decorrere dall'entrata in vigore del presente Accordo qualora il medesimo campo sia disciplinato da quest'ultimo. |
Une convention bilatérale en matière de sécurité sociale peut ainsi être appliquée si elle est plus favorable que le règlement n°883/04 auquel l'ALCP renvoie, à condition que la personne en question ait exercé son droit à la libre circulation avant l'entrée en vigueur de l'ALCP (1er juin 2002) et avant la mise en application pour la Suisse du règlement n°883/04 (1er avril 2012).
8.1.3 En l'espèce, il est constant que le recourant a exercé son droit à la libre circulation avant le 1er juin 2002, date d'entrée en vigueur de l'ALCP. En effet, l'intéressé, en tant que ressortissant français (ayant obtenu la nationalité suisse en mars 2000), a travaillé et habité en Suisse entre 1981 et 1990 (pce 5) avant de devoir cesser son activité professionnelle en raison d'atteintes à la santé pour lesquelles lui a été accordé une demi-rente d'invalidité du 1er février 1991 au 31 octobre 1991 et, après un essai de réadaptation, du 1er octobre 1995 au 31 octobre 1998, puis une rente entière d'invalidité dès le 1er novembre 1998 (cf. supra Faits let. A).
Pour fixer les montants de prestations d'invalidité, la période d'assurance a été déterminée en application de l'art. 13 de la convention franco-suisse qui permet la totalisation des périodes d'assurance française et suisse pour le calcul des rentes d'invalidité (cf. la décision de rente du 12 septembre 1996 de l'Office AI du canton de Fribourg [pce 10 p. 18]).
On peut donc admettre, à l'instar de l'autorité inférieure, que le recourant disposait d'une expectative liée à la Convention bilatérale.
8.1.4 Ainsi, l'autorité inférieure a avec raison appliqué l'art. 16 al. 2 de la Convention de sécurité bilatérale conclue le 3 juillet 1975 entre la France et la Suisse et pris en compte un complément différentiel dans le cadre du calcul de la rente de vieillesse suisse du recourant.
8.2
8.2.1 Conformément à l'art. 16 al. 2 de la Convention franco-suisse, un complément différentiel est dû jusqu'à concurrence du montant de la rente d'invalidité suisse à laquelle succède la rente de vieillesse lorsque la somme des rentes de vieillesse dues tant par l'assurance suisse que par l'assurance française est inférieure à la rente d'invalidité suisse, calculée en tenant compte des périodes d'assurance françaises, qui a été servie immédiatement avant la naissance du droit à la rente de vieillesse suisse. Ce complément différentiel est, dans son entier, ajouté à la rente principale. La rente principale se compose, en pareil cas, du montant de base auquel vient s'intégrer celui du complément différentiel (cf. la circulaire de l'OFAS sur la conversion des rentes [CRR], valable dès le 1er janvier 2013, n°4022 ss, pp. 14 à 16).
8.2.2 Le calcul effectué par l'autorité inférieure du complément différentiel a été correctement effectué. Il sied en effet de comparer le montant de la rente AI suisse à remplacer (montant total y compris les rentes complémentaires et les rentes pour enfants) avec le montant de la rente AVS suisse qui prend naissance (montant total y compris les rentes complémentaires et les rentes pour enfants), additionné du montant des pensions de vieillesse françaises au moment de la naissance de la rente de vieillesse suisse. Le montant du complément différentiel correspond à la différence entre les deux montants (cf. l'arrêt du TAF C-505/2012 du 2 octobre 2012, consid. 7.2).
8.2.3 En l'espèce, la rente AI suisse à remplacer se montait en avril 2014 à CHF 2'078 pour la rente principale, à laquelle ajoute le montant de la rente pour enfant de CHF 831 pour donner un total de CHF 2'909. Dès le mois de mai 2014, le recourant a le droit à une rente de vieillesse de CHF 897, à une rente complémentaire pour enfant de CHF 359, ainsi qu'à une rente de vieillesse française d'une montant de CHF 420 (cf. supra consid. 7.3.2), soit à un total de CHF 1'676.
8.2.4 Ainsi, il convient, à l'instar de l'autorité inférieure dans la décision entreprise, de retenir que le complément différentiel venant s'ajouter à la rente AVS suisse se monte à CHF 1'233 selon la formule "(Rente d'invalidité suisse) - [Rente de vieillesse suisse + rente de vieillesse française])".
9.
C'est dès lors à raison que la CSC a fixé la rente de vieillesse du recourant à CHF 897, à laquelle s'ajoute le complément différentiel d'un montant de CHF 1'233, pour donner une rente principale de CHF 2'130 due au 1er mai 2014. La rente pour enfant fixée à CHF 359 a été également correctement calculée.
10.
Partant, le recours du 15 octobre 2014 est rejeté et la décision du 18 septembre 2014 est maintenue.
11.
Il n'est pas perçu de frais de procédure, la procédure étant gratuite pour les parties (art. 85bis al. 2

SR 831.10 Legge federale del 20 dicembre 1946 sull'assicurazione per la vecchiaia e per i superstiti (LAVS) LAVS Art. 85bis Autorità federale di ricorso - 1 In deroga all'articolo 58 capoverso 2 LPGA391, i ricorsi di persone all'estero sono giudicati dal Tribunale amministrativo federale. Il Consiglio federale può prevedere che tale competenza sia attribuita al tribunale delle assicurazioni del Cantone in cui ha domicilio o sede il datore di lavoro dell'assicurato.392 |
Il n'est pas non plus alloué de dépens (art. 64 al. 1

SR 172.021 Legge federale del 20 dicembre 1968 sulla procedura amministrativa (PA) PA Art. 64 - 1 L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
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1 | L'autorità di ricorso, se ammette il ricorso in tutto o in parte, può, d'ufficio o a domanda, assegnare al ricorrente una indennità per le spese indispensabili e relativamente elevate che ha sopportato. |
2 | Il dispositivo indica l'ammontare dell'indennità e l'addossa all'ente o all'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, in quanto non possa essere messa a carico di una controparte soccombente. |
3 | Se una controparte soccombente ha presentato conclusioni indipendenti, l'indennità può essere messa a suo carico, secondo la propria solvenza. |
4 | L'ente o l'istituto autonomo, nel cui nome l'autorità inferiore ha deciso, risponde dell'indennità addossata a una controparte soccombente, in quanto non possa essere riscossa. |
5 | Il Consiglio federale disciplina la determinazione delle spese ripetibili.106 Sono fatti salvi l'articolo 16 capoverso 1 lettera a della legge del 17 giugno 2005107 sul Tribunale amministrativo federale e l'articolo 73 della legge del 19 marzo 2010108 sull'organizzazione delle autorità penali.109 |

SR 173.320.2 Regolamento del 21 febbraio 2008 sulle tasse e sulle spese ripetibili nelle cause dinanzi al Tribunale amministrativo federale (TS-TAF) TS-TAF Art. 7 Principio - 1 La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
|
1 | La parte vincente ha diritto alle ripetibili per le spese necessarie derivanti dalla causa. |
2 | Se la parte vince solo parzialmente, le spese ripetibili sono ridotte in proporzione. |
3 | Le autorità federali e, di regola, le altre autorità con qualità di parte non hanno diritto a un'indennità a titolo di ripetibili. |
4 | Se le spese sono relativamente modeste, si può rinunciare a concedere alla parte un'indennità a titolo di ripetibili. |
5 | L'articolo 6a è applicabile per analogia.7 |
Par ces motifs, le Tribunal administratif fédéral prononce :
1.
Le recours est rejeté.
2.
Il n'est pas perçu de frais de procédure, ni alloué de dépens.
3.
Le présent arrêt est adressé :
- au recourant (Acte judiciaire)
- à l'autorité inférieure (n° de réf. _._._._ ; Recommandé)
- à l'Office fédéral des assurances sociales (Recommandé)
La présidente du collège : La greffière :
Madeleine Hirsig-Vouilloz Audrey Bieler
Indication des voies de droit :
La présente décision peut être attaquée devant le Tribunal fédéral, Schweizerhofquai 6, 6004 Lucerne, par la voie du recours en matière de droit public, dans les trente jours qui suivent la notification (art. 82 ss

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 82 Principio - Il Tribunale federale giudica i ricorsi: |
|
a | contro le decisioni pronunciate in cause di diritto pubblico; |
b | contro gli atti normativi cantonali; |
c | concernenti il diritto di voto dei cittadini nonché le elezioni e votazioni popolari. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 90 Decisioni finali - Il ricorso è ammissibile contro le decisioni che pongono fine al procedimento. |

SR 173.110 Legge del 17 giugno 2005 sul Tribunale federale (LTF) - Organizzazione giudiziaria LTF Art. 42 Atti scritti - 1 Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
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1 | Gli atti scritti devono essere redatti in una lingua ufficiale, contenere le conclusioni, i motivi e l'indicazione dei mezzi di prova ed essere firmati. |
1bis | Se un procedimento in materia civile si è svolto in inglese dinanzi all'autorità inferiore, gli atti scritti possono essere redatti in tale lingua.14 |
2 | Nei motivi occorre spiegare in modo conciso perché l'atto impugnato viola il diritto. Qualora il ricorso sia ammissibile soltanto se concerne una questione di diritto di importanza fondamentale o un caso particolarmente importante per altri motivi, occorre spiegare perché la causa adempie siffatta condizione.15 16 |
3 | Se sono in possesso della parte, i documenti indicati come mezzi di prova devono essere allegati; se l'atto scritto è diretto contro una decisione, anche questa deve essere allegata. |
4 | In caso di trasmissione per via elettronica, la parte o il suo patrocinatore deve munire l'atto scritto di una firma elettronica qualificata secondo la legge del 18 marzo 201617 sulla firma elettronica. Il Tribunale federale determina mediante regolamento: |
a | il formato dell'atto scritto e dei relativi allegati; |
b | le modalità di trasmissione; |
c | le condizioni alle quali può essere richiesta la trasmissione successiva di documenti cartacei in caso di problemi tecnici.18 |
5 | Se mancano la firma della parte o del suo patrocinatore, la procura dello stesso o gli allegati prescritti, o se il patrocinatore non è autorizzato in quanto tale, è fissato un congruo termine per sanare il vizio, con la comminatoria che altrimenti l'atto scritto non sarà preso in considerazione. |
6 | Gli atti illeggibili, sconvenienti, incomprensibili, prolissi o non redatti in una lingua ufficiale possono essere del pari rinviati al loro autore affinché li modifichi. |
7 | Gli atti scritti dovuti a condotta processuale da querulomane o altrimenti abusiva sono inammissibili. |
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