Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8F 8/2009
Urteil vom 3. Dezember 2009
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichter Frésard, Bundesrichterin Niquille,
Gerichtsschreiberin Kopp Käch.
Parteien
G.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Dieter Studer,
Gesuchsteller,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), 6002 Luzern,
Gesuchsgegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung,
Revisionsgesuch gegen das Urteil des Bundesgerichts 8C 270/2008 vom 20. Mai 2008.
Sachverhalt:
A.
Mit Verfügung vom 23. Februar 2007, bestätigt durch den Einspracheentscheid vom 4. April 2007, legte die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) die Arbeitsunfähigkeit des 1952 geborenen G.________ auf 50 % fest und richtete ihm ein Taggeld im Rahmen von 50 % ab 1. Juli 2006 aus. Die dagegen erhobene Beschwerde, mit welcher G.________ die Ausrichtung eines auf einer Arbeitsunfähigkeit von 100 % basierenden Taggeldes über den 1. Juli 2006 hinaus beantragen liess, wies das Obergericht des Kantons Schaffhausen mit Entscheid vom 25. Januar 2008 ab. Diesen Entscheid bestätigte das Bundesgericht mit Urteil vom 20. Mai 2008 (Urteil 8C 270/2008).
B.
Mit Eingabe vom 18. August 2009 lässt G.________ gestützt auf zwei interne Berichte des Kreisarztes Dr. med. K.________ vom 29. Mai und 21. Oktober 2008 um Revision des Urteils des Bundesgerichts vom 20. Mai 2008 und um Zusprechung eines vollen Taggeldes rückwirkend ab 1. Juli 2006 ersuchen.
Die SUVA schliesst auf Abweisung des Revisionsgesuches. Das Bundesamt für Gesundheit verzichtet auf eine Vernehmlassung.
Mit Eingabe vom 12. Oktober 2009 lässt G.________ an seinen Anträgen festhalten.
Erwägungen:
1.
1.1 Urteile des Bundesgerichts erwachsen am Tag ihrer Ausfällung in Rechtskraft (Art. 61
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 61 Force de chose jugée - Les arrêts du Tribunal fédéral acquièrent force de chose jugée le jour où ils sont prononcés. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 121 Violation de règles de procédure - La révision d'un arrêt du Tribunal fédéral peut être demandée: |
|
a | si les dispositions concernant la composition du tribunal ou la récusation n'ont pas été observées; |
b | si le tribunal a accordé à une partie soit plus ou, sans que la loi ne le permette, autre chose que ce qu'elle a demandé, soit moins que ce que la partie adverse a reconnu devoir; |
c | si le tribunal n'a pas statué sur certaines conclusions; |
d | si, par inadvertance, le tribunal n'a pas pris en considération des faits pertinents qui ressortent du dossier. |
1.2 Gemäss Art. 123 Abs. 2 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 123 Autres motifs - 1 La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
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1 | La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
2 | La révision peut en outre être demandée: |
a | dans les affaires civiles et les affaires de droit public, si le requérant découvre après coup des faits pertinents ou des moyens de preuve concluants qu'il n'avait pas pu invoquer dans la procédure précédente, à l'exclusion des faits ou moyens de preuve postérieurs à l'arrêt; |
b | dans les affaires pénales, si les conditions fixées à l'art. 410, al. 1, let. a et b, et 2 CPP112 sont remplies; |
c | en matière de réparation d'un dommage nucléaire, pour les motifs prévus à l'art. 5, al. 5, de la loi fédérale du 13 juin 2008 sur la responsabilité civile en matière nucléaire114. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 123 Autres motifs - 1 La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
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1 | La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
2 | La révision peut en outre être demandée: |
a | dans les affaires civiles et les affaires de droit public, si le requérant découvre après coup des faits pertinents ou des moyens de preuve concluants qu'il n'avait pas pu invoquer dans la procédure précédente, à l'exclusion des faits ou moyens de preuve postérieurs à l'arrêt; |
b | dans les affaires pénales, si les conditions fixées à l'art. 410, al. 1, let. a et b, et 2 CPP112 sont remplies; |
c | en matière de réparation d'un dommage nucléaire, pour les motifs prévus à l'art. 5, al. 5, de la loi fédérale du 13 juin 2008 sur la responsabilité civile en matière nucléaire114. |
Gesuchstellers unbewiesen geblieben sind. Erheblich ist ein Beweismittel, wenn anzunehmen ist, es hätte zu einem anderen Urteil geführt, falls das Gericht im Hauptverfahren davon Kenntnis gehabt hätte. Ausschlaggebend ist, dass das Beweismittel nicht bloss der Sachverhaltswürdigung, sondern der Sachverhaltsermittlung dient (BGE 110 V 138 E. 2 S. 141; 108 V 170 E. 1 S. 171; ferner nicht publ. E. 4.1 des Urteils 134 III 286).
1.3 Das Revisionsgesuch ist gemäss Art. 124 Abs. 1 lit. d
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 124 Délai - 1 La demande de révision doit être déposée devant le Tribunal fédéral: |
|
1 | La demande de révision doit être déposée devant le Tribunal fédéral: |
a | pour violation des dispositions sur la récusation, dans les 30 jours qui suivent la découverte du motif de récusation; |
b | pour violation d'autres règles de procédure, dans les 30 jours qui suivent la notification de l'expédition complète de l'arrêt; |
c | pour violation de la CEDH115, au plus tard 90 jours après que l'arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme est devenu définitif au sens de l'art. 44 CEDH; |
d | pour les autres motifs, dans les 90 jours qui suivent la découverte du motif de révision, mais au plus tôt cependant dès la notification de l'expédition complète de l'arrêt ou dès la clôture de la procédure pénale. |
2 | Après dix ans à compter de l'entrée en force de l'arrêt, la révision ne peut plus être demandée, sauf: |
a | dans les affaires pénales, pour les motifs visés à l'art. 123, al. 1 et 2, let. b; |
b | dans les autres affaires, pour le motif visé à l'art. 123, al. 1. |
3 | Les délais particuliers prévus à l'art. 5, al. 5, de la loi fédérale du 13 juin 2008 sur la responsabilité civile en matière nucléaire116 sont réservés.117 |
2.
2.1 Der Entscheid des Obergerichts des Kantons Schaffhausen vom 25. Januar 2008 und das Urteil des Bundesgerichts vom 20. Mai 2008 beruhen im Wesentlichen auf den kreisärztlichen Beurteilungen des Dr. med. M.________ vom 31. Juli und 23. Oktober 2006 sowie auf den Attesten des behandelnden Arztes Dr. med. E.________, vom 12. Dezember 2006, 22. Januar und 10. Februar 2007. Gestützt auf diese Berichte wurde davon ausgegangen, dass der Versicherte infolge diverser Verletzungen im Hüftbereich, die er sich bei einem Motorradunfall zugezogen hatte, in der erlernten Tätigkeit als Maschinenbaumeister 100 % arbeitsunfähig, jedoch für eine wechselbelastende, vornehmlich sitzende wie die zuletzt ausgeübte administrative Tätigkeit 50 % arbeitsfähig sei. Dementsprechend wurde die Ausrichtung eines Taggeldes im Rahmen von 50 % ab 1. Juli 2006 bestätigt.
2.2 Mit dem Revisionsgesuch vom 18. August 2009 gibt der Versicherte zwei Berichte des Kreisarztes Dr. med. K.________ vom 29. Mai 2008 und 21. Oktober 2008 zu den Akten. Daraus geht hervor, dass Dr. med. K.________ am 29. Mai 2008 im Rahmen einer internen ärztlichen Stellungnahme ausführte, infolge fehlender Röntgenbilder könne er nur bedingt zur Frage möglicher Ursachen der in der Hüftregion geklagten invalidisierenden Schmerzen Stellung nehmen. Auf dem CT des Beckens vom 28. März 2008 konnte er jedoch eindeutig eine Pseudarthrose des Sitzbeins verifizieren. Aufgrund der ihm zur Verfügung stehenden Unterlagen - so der Kreisarzt - könne er nicht sagen, wann es zur Fraktur gekommen sei. Dass eine solche Pseudarthrose Beschwerden, insbesondere im Sitzen, erzeugen könne, sei indessen nachvollziehbar. Es seien jedoch auch andere Ursachen der Schmerzen denkbar. Zusammenfassend lasse sich festhalten, dass die geschilderten Beschwerden erklärbar seien, dass er die Frage nach dem Erreichen des Endzustandes mangels Vorliegens des gesamten Röntgendossiers nicht schlüssig beantworten könne und dass die ab 1. Juli 2006 attestierte 50%ige Arbeitsfähigkeit eher nicht haltbar sei. Nach Unterbreitung des vervollständigten Dossiers erstattete Dr.
med. K.________ der SUVA am 21. Oktober 2008 nochmals Bericht. Er hielt fest, an objektivierbaren Unfallrestfolgen lägen ein Status nach Einbau einer zementlosen Hüfttotalprothese wegen einer posttraumatischen Hüftkopfnekrose mit unsicherer Frühlockerung der Prothese, eine Pseudarthrose des Sitzbeins sowie möglicherweise eine Meralgia parestetica vor. Die Pseudarthrose des Sitzbeins sei eindeutig auf dem CT des Beckens vom 28. März 2008 nachzuweisen. Sie sei als Spätkomplikation der Primärverletzung anzusehen, bei der sich der Versicherte nicht nur eine Azetabulumfraktur (Hüftpfanne) sondern auch eine Doppelfraktur des Os ischii zugezogen habe. Die Osteosynthese der Azetabulumfraktur sei mit vereinzelten Schrauben dürftig versorgt worden. Die Fraktur des Sitzbeines sei nicht einbezogen worden, weshalb es zur Pseudarthrose gekommen sei. Aufgrund dieser Pseudarthrose verspüre der Versicherte gut erklärbare Schmerzen beim Sitzen, weshalb die Arbeitsfähigkeit mit 50 % wahrscheinlich zu hoch eingeschätzt worden sei. Sollte sich der Verdacht der Frühlockerung der Prothese bestätigen, seien auch die Beschwerden im Stehen und Gehen gut erklärbar. Der Kreisarzt hielt auf die Frage nach dem Vorliegen von neuen Tatsachen und Beweismitteln ab
1. Juni 2007 weiter fest, die Diagnose Pseudarthrose des Sitzbeins stelle keine neue Tatsache dar. Sie habe sich auf den konventionellen Röntgenbildern, die man nach dem Einbau der Hüftprothese regelmässig durchgeführt habe, nicht mehr klar nachweisen lassen, weil die dafür notwendigen Inzidenzen (Bildeinstellungen) nicht zur Verfügung gestanden hätten. Im Rahmen der CT-Abklärungen sodann sei jeweils die Situation nur im Bereich des Azetabulums beurteilt worden, während das Sitzbein auf diesen Bildern manchmal gar nicht zur Darstellung gekommen sei. Von diesen beiden internen Berichten - so der Gesuchsteller - habe er erst am 26. Juni 2009 Kenntnis erhalten, als die SUVA die Akten seinem Rechtsvertreter auf dessen Einsichtsgesuch vom 19. Juni 2009 hin zukommen liess.
2.3 Die Gesuchsgegnerin bestreitet das Vorliegen erheblicher Tatsachen oder Beweismittel, welche nicht schon im damaligen Verfahren hätten beigebracht werden können. Zudem - so die SUVA - wäre auch die Frist von 90 Tagen ab Entdeckung des Revisionsgrundes nicht eingehalten. Der Versicherte habe ohne anwaltliche Vertretung bereits am 17. Juni 2008 ein Gesuch um Revision des Urteils vom 20. Mai 2008 gestellt und sei damals mit Bestimmtheit zumindest im Besitz von Röntgenbildern gewesen, welche es ihm ermöglicht hätten, den im jetzigen Revisionsgesuch vertretenen Standpunkt darzutun.
3.
3.1 Die beiden Berichte des Dr. med. K.________ vom 29. Mai und 21. Oktober 2008 sind nach Erlass des angefochtenen Urteils vom 20. Mai 2008 erstellt worden. Aus ihnen geht hervor, dass erst mit dem CT vom 28. März 2008 bekannt worden war, dass sich eine Pseudarthrose des Sitzbeins entwickelt hatte, wobei sich nach Vervollständigung des Röntgendossiers zeigte, dass es sich dabei um eine Spätkomplikation der Primärverletzung handelte, welche dadurch entstand, dass die Fraktur des Sitzbeins in der Osteosynthese nicht einbezogen worden war. Gestützt auf diese Feststellungen bezeichnete Dr. med. K.________ die Arbeitsfähigkeit von 50 % ab 1. Juli 2006 als eher nicht haltbar bzw. wahrscheinlich zu hoch. Die Entwicklung der Pseudarthrose des Sitzbeins und die daraus resultierenden Auswirkungen auf die Arbeitsfähigkeit wurden von den Ärzten, deren Berichte dem vorinstanzlichen Entscheid vom 25. Januar 2008 und dem Urteil des Bundesgerichts vom 20. Mai 2008 zu Grunde gelegt worden waren, nicht erkannt. Die beiden kreisärztlichen Berichte vom 29. Mai und 21. Oktober 2008 verändern somit die tatbeständliche Grundlage des Urteils in erheblichem Ausmass. Die neue Sachlage ist geeignet, zu einer andern Entscheidung über die Leistungspflicht
der SUVA zu führen.
3.2 Von den beiden internen kreisärztlichen Berichte vom 29. Mai und 21. Oktober 2008, auf welche sich das Revisionsgesuch stützt, konnte der Gesuchsteller unbestrittenermassen erst am 26. Juni 2009 Kenntnis nehmen, nachdem sie seinem Rechtsvertreter auf ein Akteneinsichtsgesuch hin zugestellt wurden. Mit der Eingabe vom 18. August 2009 ist die Frist von 90 Tagen ab Entdeckung des Revisionsgrundes eingehalten. Aus dem Umstand, dass der Versicherte bereits vor dem 26. Juni 2009 über zahlreiche Röntgenbilder verfügte, kann entgegen der Auffassung der SUVA nicht abgeleitet werden, dass er - als medizinischer Laie - Kenntnis vom Revisionsgrund hatte, zumal ausser Dr. med. K.________ auch die involvierten Ärzte die Pseudarthrose des Sitzbeins nicht erkannt hatten. Das vom Versicherten selber am 17. Juni 2008 eingereichte Revisionsgesuch sodann erfolgte vor der Zustellung der beiden kreisärztlichen Berichte und beschränkte sich auf drei Sätze, mit welchen er unabhängig von medizinischen Fakten seinem Unmut über das Urteil vom 20. Mai 2008 Ausdruck gab. Die Eingabe genügte den Anforderungen an ein Revisionsgesuch hinsichtlich Begehren und Begründung nicht und wurde im vereinfachten Verfahren ohne Durchführung eines Schriftenwechsels
erledigt. Für das vorliegende Revisionsverfahren ist es nicht relevant.
3.3 Nach Gesagtem sind die vom Gesuchsteller mit Eingabe vom 18. August 2009 vorgebrachten neuen Tatsachen im Sinne von Art. 123 Abs. 2 lit. a
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 123 Autres motifs - 1 La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
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1 | La révision peut être demandée lorsqu'une procédure pénale établit que l'arrêt a été influencé au préjudice du requérant par un crime ou un délit, même si aucune condamnation n'est intervenue. Si l'action pénale n'est pas possible, la preuve peut être administrée d'une autre manière. |
2 | La révision peut en outre être demandée: |
a | dans les affaires civiles et les affaires de droit public, si le requérant découvre après coup des faits pertinents ou des moyens de preuve concluants qu'il n'avait pas pu invoquer dans la procédure précédente, à l'exclusion des faits ou moyens de preuve postérieurs à l'arrêt; |
b | dans les affaires pénales, si les conditions fixées à l'art. 410, al. 1, let. a et b, et 2 CPP112 sont remplies; |
c | en matière de réparation d'un dommage nucléaire, pour les motifs prévus à l'art. 5, al. 5, de la loi fédérale du 13 juin 2008 sur la responsabilité civile en matière nucléaire114. |
4.
4.1 Die Kosten des Revisionsverfahrens sind bei diesem Verfahrensausgang der Gesuchsgegnerin aufzuerlegen (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
|
1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 68 Dépens - 1 Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
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1 | Le Tribunal fédéral décide, dans son arrêt, si et dans quelle mesure les frais de la partie qui obtient gain de cause sont supportés par celle qui succombe. |
2 | En règle générale, la partie qui succombe est tenue de rembourser à la partie qui a obtenu gain de cause, selon le tarif du Tribunal fédéral, tous les frais nécessaires causés par le litige. |
3 | En règle générale, aucuns dépens ne sont alloués à la Confédération, aux cantons, aux communes ou aux organisations chargées de tâches de droit public lorsqu'ils obtiennent gain de cause dans l'exercice de leurs attributions officielles. |
4 | L'art. 66, al. 3 et 5, est applicable par analogie. |
5 | Le Tribunal fédéral confirme, annule ou modifie, selon le sort de la cause, la décision de l'autorité précédente sur les dépens. Il peut fixer lui-même les dépens d'après le tarif fédéral ou cantonal applicable ou laisser à l'autorité précédente le soin de les fixer. |
4.2 Die in der Sache 8C 270/2008 für das bundesgerichtliche Verfahren zu erhebenden Gerichtskosten gehen ausgangsgemäss zu Lasten der Beschwerdegegnerin (Art. 66 Abs. 1
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Das Revisionsgesuch wird gutgeheissen und das Urteil des Bundesgerichts vom 20. Mai 2008 (Verfahren 8C 270/2008) aufgehoben.
2.
In der Sache 8C 270/2008 wird wie folgt neu entschieden:
"1.
Die Beschwerde wird in dem Sinne gutgeheissen, dass der Entscheid des Obergerichts des Kantons Schaffhausen vom 25. Januar 2008 und der Einspracheentscheid der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) vom 4. April 2007 aufgehoben werden und die Sache an die Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA) zurückgewiesen wird, damit sie, nach erfolgter Abklärung im Sinne der Erwägungen, über den Leistungsanspruch neu verfüge.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 500.- werden der Beschwerdegegnerin auferlegt.
3.
Die Sache wird zur Neuverlegung der Parteientschädigung des vorangegangenen Verfahrens an das Obergericht des Kantons Schaffhausen zurückgewiesen."
3.
Die Gerichtskosten des Revisionsverfahrens von Fr. 750.- werden der Gesuchsgegnerin auferlegt.
4.
Die Gesuchsgegnerin hat den Gesuchsteller für das Revisionsverfahren mit Fr. 2'000.- zu entschädigen.
5.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Obergericht des Kantons Schaffhausen und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 3. Dezember 2009
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Die Gerichtsschreiberin:
Ursprung Kopp Käch