Tribunal fédéral
Tribunale federale
Tribunal federal
{T 0/2}
8C 407/2011
Urteil vom 1. September 2011
I. sozialrechtliche Abteilung
Besetzung
Bundesrichter Ursprung, Präsident,
Bundesrichterin Niquille, Bundesrichter Maillard,
Gerichtsschreiberin Durizzo.
Verfahrensbeteiligte
H.________,
vertreten durch Rechtsanwalt Alex Beeler,
Beschwerdeführerin,
gegen
Schweizerische Unfallversicherungsanstalt (SUVA), Rechtsabteilung, Postfach 4358, 6002 Luzern,
Beschwerdegegnerin.
Gegenstand
Unfallversicherung (Invalidenrente),
Beschwerde gegen den Entscheid des Verwaltungsgerichts des Kantons Luzern
vom 26. April 2011.
Sachverhalt:
A.
H.________, geboren 1951, arbeitete bei der X.________ AG, und war bei der Schweizerischen Unfallversicherungsanstalt (SUVA) für die Folgen von Berufs- und Nichtberufsunfällen sowie Berufskrankheiten versichert, als sie am 9. Februar 2005 einen Skiunfall erlitt und sich dabei an der rechten Schulter verletzte (Schulterluxation). Am 26. April 2005 wurde sie operiert (geschlossene Schultermobilisation, Schulterarthroskopie und arthroskopische Synovialektomie), am 16. September 2005 musste sie sich erneut einem Eingriff unterziehen (offene Revision und Tenodese der langen Bizepssehne im Sulcus, Verschluss des RM-Intervalles und sparsame Acromioplastik). Am 20. März 2006 konnte sie ihre Tätigkeit im Verkauf auf das angestammte 60%-Pensum steigern. Am 2. August 2007 und am 17. März 2008 wurden zwei weitere Schulterarthroskopien durchgeführt. Nach der Untersuchung durch SUVA-Kreisarzt Dr. med. B.________ am 19. Juni 2008 wurde das Pensum zunächst mit Rücksicht auf die Beschwerden reduziert auf 25 % und in der Folge konnte H.________ im gleichen zeitlichen Umfang an einem Schonarbeitsplatz im Back Office eingesetzt werden. Dr. med. B.________ erachtete nach einer weiteren kreisärztlichen Untersuchung am 10. Februar 2009 eine Steigerung
als möglich, da die Tätigkeit im Büro dem Leiden angepasst sei. Die Arbeitgeberin teilte indessen mit, dass sie eine entsprechende Ausdehnung der Tätigkeit nicht anbieten könne. Im Mai 2009 kündigte sie das Arbeitsverhältnis. Dr. med. B.________ stellte nach der Untersuchung vom 30. Juli 2009 fest, dass die therapeutischen Bemühungen keinen Effekt mehr gezeigt hätten, und er nahm Stellung zur Restarbeitsfähigkeit und den verbleibenden Unfallfolgen. Mit Verfügung vom 9. Oktober 2009 schloss die SUVA den Fall ab und sprach H.________ eine Invalidenrente bei einer Erwerbsunfähigkeit von 16 % sowie eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von 15 % zu. Daran hielt sie auch auf Einsprache hin fest, nachdem sie eine Ärztliche Beurteilung ihrer Abteilung Versicherungsmedizin, Dr. med. S.________, vom 10. Februar 2010 eingeholt hatte (Einspracheentscheid vom 15. Februar 2010).
B.
Die dagegen erhobene Beschwerde wies das Verwaltungsgericht des Kantons Luzern mit Entscheid vom 26. April 2011 ab.
C.
H.________ lässt Beschwerde in öffentlich-rechtlichen Angelegenheiten führen mit dem Antrag, unter Aufhebung des angefochtenen Entscheides sei ein medizinisches Gutachten bei einem Schulterspezialisten einzuholen; eventualiter sei ihr eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von mindestens 51 % sowie eine Integritätsentschädigung bei einer Integritätseinbusse von mindestens 25 % zuzusprechen.
Während die SUVA auf Abweisung der Beschwerde schliesst, verzichtet das Bundesamt für Gesundheit auf eine Vernehmlassung.
Erwägungen:
1.
1.1 Die Beschwerde kann wegen Rechtsverletzung gemäss Art. 95
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 95 Droit suisse - Le recours peut être formé pour violation: |
|
a | du droit fédéral; |
b | du droit international; |
c | de droits constitutionnels cantonaux; |
d | de dispositions cantonales sur le droit de vote des citoyens ainsi que sur les élections et votations populaires; |
e | du droit intercantonal. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 96 Droit étranger - Le recours peut être formé pour: |
|
a | inapplication du droit étranger désigné par le droit international privé suisse; |
b | application erronée du droit étranger désigné par le droit international privé suisse, pour autant qu'il s'agisse d'une affaire non pécuniaire. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 42 Mémoires - 1 Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
|
1 | Les mémoires doivent être rédigés dans une langue officielle, indiquer les conclusions, les motifs et les moyens de preuve, et être signés. |
2 | Les motifs doivent exposer succinctement en quoi l'acte attaqué viole le droit. Si le recours n'est recevable que lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, il faut exposer en quoi l'affaire remplit la condition exigée.15 16 |
3 | Les pièces invoquées comme moyens de preuve doivent être jointes au mémoire, pour autant qu'elles soient en mains de la partie; il en va de même de la décision attaquée si le mémoire est dirigé contre une décision. |
4 | En cas de transmission électronique, le mémoire doit être muni de la signature électronique qualifiée de la partie ou de son mandataire au sens de la loi du 18 mars 2016 sur la signature électronique17. Le Tribunal fédéral détermine dans un règlement: |
a | le format du mémoire et des pièces jointes; |
b | les modalités de la transmission; |
c | les conditions auxquelles il peut exiger, en cas de problème technique, que des documents lui soient adressés ultérieurement sur papier.18 |
5 | Si la signature de la partie ou de son mandataire, la procuration ou les annexes prescrites font défaut, ou si le mandataire n'est pas autorisé, le Tribunal fédéral impartit un délai approprié à la partie pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
6 | Si le mémoire est illisible, inconvenant, incompréhensible ou prolixe ou qu'il n'est pas rédigé dans une langue officielle, le Tribunal fédéral peut le renvoyer à son auteur; il impartit à celui-ci un délai approprié pour remédier à l'irrégularité et l'avertit qu'à défaut le mémoire ne sera pas pris en considération. |
7 | Le mémoire de recours introduit de manière procédurière ou à tout autre égard abusif est irrecevable. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 108 Juge unique - 1 Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
|
1 | Le président de la cour décide en procédure simplifiée de ne pas entrer en matière: |
a | sur les recours manifestement irrecevables; |
b | sur les recours dont la motivation est manifestement insuffisante (art. 42, al. 2); |
c | sur les recours procéduriers ou abusifs. |
2 | Le président de la cour peut confier cette tâche à un autre juge. |
3 | L'arrêt est motivé par une brève indication de la cause de l'irrecevabilité. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 106 Application du droit - 1 Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
|
1 | Le Tribunal fédéral applique le droit d'office. |
2 | Il n'examine la violation de droits fondamentaux ainsi que celle de dispositions de droit cantonal et intercantonal que si ce grief a été invoqué et motivé par le recourant. |
1.2 Im Beschwerdeverfahren um die Zusprechung oder Verweigerung von Geldleistungen der Militär- oder Unfallversicherung ist das Bundesgericht nicht an die vorinstanzliche Feststellung des rechtserheblichen Sachverhalts gebunden (Art. 97 Abs. 2
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 97 Établissement inexact des faits - 1 Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
|
1 | Le recours ne peut critiquer les constatations de fait que si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95, et si la correction du vice est susceptible d'influer sur le sort de la cause. |
2 | Si la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le recours peut porter sur toute constatation incomplète ou erronée des faits.89 |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 105 Faits déterminants - 1 Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
|
1 | Le Tribunal fédéral statue sur la base des faits établis par l'autorité précédente. |
2 | Il peut rectifier ou compléter d'office les constatations de l'autorité précédente si les faits ont été établis de façon manifestement inexacte ou en violation du droit au sens de l'art. 95. |
3 | Lorsque la décision qui fait l'objet d'un recours concerne l'octroi ou le refus de prestations en espèces de l'assurance-accidents ou de l'assurance militaire, le Tribunal fédéral n'est pas lié par les faits établis par l'autorité précédente.99 |
2.
Das kantonale Gericht hat die Bestimmungen und Grundsätze zur Leistungspflicht des Unfallversicherers gemäss Art. 6
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 6 Généralités - 1 Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
|
1 | Si la présente loi n'en dispose pas autrement, les prestations d'assurance sont allouées en cas d'accident professionnel, d'accident non professionnel et de maladie professionnelle. |
2 | L'assurance alloue aussi ses prestations pour les lésions corporelles suivantes, pour autant qu'elles ne soient pas dues de manière prépondérante à l'usure ou à une maladie: |
a | les fractures; |
b | les déboîtements d'articulations; |
c | les déchirures du ménisque; |
d | les déchirures de muscles; |
e | les élongations de muscles; |
f | les déchirures de tendons; |
g | les lésions de ligaments; |
h | les lésions du tympan.21 |
3 | L'assurance alloue en outre ses prestations pour les lésions causées à l'assuré victime d'un accident lors du traitement médical (art. 10). |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 4 Accident - Est réputée accident toute atteinte dommageable, soudaine et involontaire, portée au corps humain par une cause extérieure extraordinaire qui compromet la santé physique, mentale ou psychique ou qui entraîne la mort. |
SR 832.202 Ordonnance du 20 décembre 1982 sur l'assurance-accidents (OLAA) OLAA Art. 11 Rechutes et séquelles tardives - Les prestations d'assurance sont également versées en cas de rechutes et de séquelles tardives; les bénéficiaires de rentes d'invalidité doivent toutefois remplir les conditions posées à l'art. 21 de la loi. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 18 Invalidité - 1 Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
|
1 | Si l'assuré est invalide (art. 8 LPGA50) à 10 % au moins par suite d'un accident, il a droit à une rente d'invalidité, pour autant que l'accident soit survenu avant l'âge de référence51.52 |
2 | Le Conseil fédéral règle l'évaluation du degré de l'invalidité dans des cas spéciaux. Il peut à cette occasion déroger à l'art. 16 LPGA. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 16 Taux d'invalidité - Pour évaluer le taux d'invalidité, le revenu que l'assuré aurait pu obtenir s'il n'était pas invalide est comparé avec celui qu'il pourrait obtenir en exerçant l'activité qui peut raisonnablement être exigée de lui après les traitements et les mesures de réadaptation, sur un marché du travail équilibré. |
SR 832.20 Loi fédérale du 20 mars 1981 sur l'assurance-accidents (LAA) LAA Art. 24 Droit - 1 Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
|
1 | Si, par suite de l'accident, l'assuré souffre d'une atteinte importante et durable à son intégrité physique, mentale ou psychique, il a droit à une indemnité équitable pour atteinte à l'intégrité.66 |
2 | L'indemnité est fixée en même temps que la rente d'invalidité ou, si l'assuré ne peut prétendre une rente, lorsque le traitement médical est terminé. Le Conseil fédéral peut fixer la naissance du droit à un autre moment dans les cas spéciaux, notamment en cas d'atteinte à la santé liée à l'inhalation de fibres d'amiante.67 |
3.
Gestützt auf die Einschätzung des Dr. med. B.________ vom 31. Juli 2009 geht die Vorinstanz davon aus, dass die Beschwerdeführerin in einer leidensangepassten Tätigkeit, welche anhand des Berichtes des SUVA-Kreisarztes näher umschrieben wird, uneingeschränkt arbeitsfähig sei. Auf die von der Versicherten eingeholte Stellungnahme ihres behandelnden Arztes Dr. med. M.________ könne nicht abgestellt werden und eine unfallbedingte zeitliche Einschränkung in der Arbeitsfähigkeit sei nicht anzunehmen.
4.
Demgegenüber wird beschwerdeweise sinngemäss im Wesentlichen geltend gemacht, dass die Angaben des Dr. med. B.________ widersprüchlich seien und aufgrund der Stellungnahme des Dr. med. M.________ berechtigte Zweifel an der Schlüssigkeit der Berichte der SUVA-Kreisärzte bestünden.
5.
Wie das Bundesgericht in BGE 125 V 351 erkannt hat, haben Versicherungsträger und Sozialversicherungsrichter die Beweise frei, d.h. ohne Bindung an förmliche Beweisregeln, sowie umfassend und pflichtgemäss zu würdigen. Für das Beschwerdeverfahren bedeutet dies, dass das Sozialversicherungsgericht alle Beweismittel, unabhängig davon, von wem sie stammen, objektiv zu prüfen und danach zu entscheiden hat, ob die verfügbaren Unterlagen eine zuverlässige Beurteilung des streitigen Rechtsanspruches gestatten. Insbesondere darf es bei einander widersprechenden medizinischen Berichten den Prozess nicht erledigen, ohne das gesamte Beweismaterial zu würdigen und die Gründe anzugeben, warum es auf die eine und nicht auf die andere medizinische These abstellt. Hinsichtlich des Beweiswertes eines Arztberichtes ist entscheidend, ob der Bericht für die streitigen Belange umfassend ist, auf allseitigen Untersuchungen beruht, auch die geklagten Beschwerden berücksichtigt, in Kenntnis der Vorakten (Anamnese) abgegeben worden ist, in der Beurteilung der medizinischen Zusammenhänge und in der Beurteilung der medizinischen Situation einleuchtet und ob die Schlussfolgerungen des Experten begründet sind. Ausschlaggebend für den Beweiswert ist
grundsätzlich somit weder die Herkunft eines Beweismittels noch die Bezeichnung der eingereichten oder in Auftrag gegebenen Stellungnahme als Bericht oder Gutachten (BGE 125 V 351 E. 3a S. 352).
In BGE 135 V 465 hat das Bundesgericht festgehalten, dass Berichten versicherungsinterner medizinischer Fachpersonen zwar stets Beweiswert zuerkannt wurde, dass ihnen jedoch praxisgemäss nicht dieselbe Beweiskraft wie einem gerichtlichen oder einem im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
Aus dem Grundsatz der Waffengleichheit folgt gemäss BGE 135 V 465 das Recht der versicherten Person, mittels eigener Beweismittel die Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der ärztlichen Feststellungen der versicherungsinternen Fachpersonen in Zweifel zu ziehen. Die von der versicherten Person aufgelegten Berichte sind daraufhin zu prüfen, ob sie auch nur geringe Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der Feststellungen versicherungsinterner Ärztinnen und Ärzte wecken. Um solche Zweifel auszuräumen, wird das Gericht entweder ein Gerichtsgutachten anzuordnen oder die Sache an den Versicherungsträger zurückzuweisen haben, damit dieser im Verfahren nach Art. 44
SR 830.1 Loi fédérale du 6 octobre 2000 sur la partie générale du droit des assurances sociales (LPGA) LPGA Art. 44 Expertise - 1 Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
|
1 | Si l'assureur juge une expertise nécessaire dans le cadre de mesures d'instruction médicale, il en fixe le type selon les exigences requises; trois types sont possibles: |
a | expertise monodisciplinaire; |
b | expertise bidisciplinaire; |
c | expertise pluridisciplinaire. |
2 | Si l'assureur doit recourir aux services d'un ou de plusieurs experts indépendants pour élucider les faits dans le cadre d'une expertise, il communique leur nom aux parties. Les parties peuvent récuser les experts pour les motifs indiqués à l'art. 36, al. 1, et présenter des contre-propositions dans un délai de dix jours. |
3 | Lorsqu'il communique le nom des experts, l'assureur soumet aussi aux parties les questions qu'il entend poser aux experts et leur signale qu'elles ont la possibilité de remettre par écrit des questions supplémentaires dans le même délai. L'assureur décide en dernier ressort des questions qui sont posées aux experts. |
4 | Si, malgré la demande de récusation, l'assureur maintient son choix du ou des experts pressentis, il en avise les parties par une décision incidente. |
5 | Les disciplines médicales sont déterminées à titre définitif par l'assureur pour les expertises visées à l'al. 1, let. a et b, et par le centre d'expertises pour les expertises visées à l'al. 1, let. c. |
6 | Sauf avis contraire de l'assuré, les entretiens entre l'assuré et l'expert font l'objet d'enregistrements sonores, lesquels sont conservés dans le dossier de l'assureur. |
7 | Le Conseil fédéral: |
a | peut régler la nature de l'attribution du mandat à un centre d'expertises, pour les expertises visées à l'al. 1; |
b | édicte des critères pour l'admission des experts médicaux et des experts en neuropsychologie, pour les expertises visées à l'al. 1; |
c | crée une commission réunissant des représentants des différentes assurances sociales, des centres d'expertises, des médecins, des neuropsychologues, des milieux scientifiques, ainsi que des organisations d'aide aux patients et aux personnes en situation de handicap qui veille au contrôle de l'accréditation, du processus, et du résultat des expertises médicales. Elle émet des recommandations publiques. |
6.
Beschwerdeweise wird gerügt, dass die Stellungnahmen des Dr. med. B.________ vom 20. Juni 2008 und vom 31. Juli 2009 sich widersprechen würden, indem der Kreisarzt im ersten Bericht eine Arbeitsfähigkeit von lediglich 25 %, ein Jahr später jedoch eine volle Arbeitsfähigkeit attestiert habe.
Wie jedoch zu Recht eingeräumt wird, bezog sich die volle Arbeitsfähigkeit auf eine leidensangepasste Tätigkeit. Im Juni 2008 war die Beschwerdeführerin noch im angestammten Beruf im Verkauf tätig. Dr. med. B.________ wies darauf hin, dass drei Monate nach dem vierten operativen Eingriff Überkopftätigkeiten sowie Tätigkeiten in Zwangshaltungen oder mit Widerstand für die Schulter Schmerzen auslösten, weshalb er eine Reduktion der Arbeitstätigkeit auf 25 % empfahl (Bericht vom 20. Juni 2008). Bei der nächsten Untersuchung am 10. Februar 2009 klagte die Beschwerdeführerin zwar weiterhin über Dauerschmerzen, sie hatte jedoch die Schmerzmedikation deutlich reduzieren können (von dreimal täglich auf dreimal wöchentlich). Sie war nunmehr von der Arbeitgeberin im Büro eingesetzt worden, was sie gut tolerierte. Der SUVA-Kreisarzt erachtete es denn auch mit dem aktuellen Befund vereinbar, die Einsätze zeitlich von zwei auf vier bis fünf Stunden täglich zu steigern (Bericht vom 11. Februar 2009). Am 31. Juli 2009 berichtete der Kreisarzt, dass die therapeutischen Bemühungen keinen Effekt mehr gezeigt hätten, weshalb der Fall ("aus funktioneller Sicht") abzuschliessen sei; dies bestätigte im Übrigen auch der behandelnde Arzt Dr. med.
M.________, indem er am 30. Oktober 2009 ebenfalls von einem Endzustand ausging. Dr. med. B.________ attestierte nunmehr eine volle Arbeitsfähigkeit in einer leidensangepassten Tätigkeit.
Wie dargelegt, beziehen sich die beschwerdeweise bemängelten kreisärztlichen Stellungnahmen zunächst auf die angestammte, dann jedoch auf eine leidensangepasste Tätigkeit. Ein Widerspruch lässt sich allein dadurch nicht begründen.
7.
Es wird des Weiteren die Stellungnahme des Dr. med. S.________ (vom 10. Februar 2010) beanstandet, welche die SUVA im Einspracheverfahren eingeholt hat. Die Vorinstanz hat indessen erwogen, dass diese für die Entscheidfindung nicht wesentlich sei. Es ist daher auch hier nicht weiter darauf einzugehen, jedoch anzumerken, dass Dr. med. S.________ mit dem behandelnden Arzt Dr. med. M.________ davon ausging, dass die Gewichtslimite auf 10kg festzusetzen sei; darauf ist sogleich noch zurückzukommen.
8.
Zu prüfen bleibt der Einwand, dass der behandelnde Arzt Dr. med. M.________ den kreisärztlichen Einschätzungen widerspreche, indem er eine Einschränkung der Arbeitsunfähigkeit um 30 % wegen Reizzuständen annehme.
8.1 Dr. med. M.________, Facharzt FMH für Orthopädische Chirurgie und Traumatologie des Bewegungsapparates, Klinik A.________, nahm auf Anfrage des Rechtsvertreters der Versicherten am 30. Oktober 2009 Stellung zu deren Gesundheitszustand. Er führte, nach Darlegung der (nicht streitigen) Diagnosen und Ausführungen zu den Fragen der Kausalität beziehungsweise nach unfallfremden Ursachen, aus, dass die Arbeitsfähigkeit im angestammten Beruf als Modeverkäuferin stark beeinträchtigt sein dürfte. Darauf bezogen sich auch die Angaben des Dr. med. M.________ zur Gewichtslimite, welche mit 25kg zu hoch angesetzt sei. Es ist indessen unstreitig, dass die Tätigkeit im Verkauf nicht mehr zumutbar ist. Des Weiteren ist anzufügen, dass Dr. med. B.________ nicht eine Limite von 25kg, sondern eine solche von 15-20kg genannt hatte, wobei er ausdrücklich einschränkend angefügt hatte, dass das Heben und Tragen solcher Lasten unter günstigen Hebeln zu erfolgen habe und über Brusthöhe nicht möglich sei.
8.2 Dr. med. M.________ führt weiter aus, dass eine angepasste Tätigkeit unter Vermeidung von Schulterbewegungen über die Horizontale, vorwiegend auf Tischhöhe und darunter, zu einem normalen Pensum erfolgen könne. So könne die Versicherte beispielsweise in einer vorwiegend administrativen Funktion bei entsprechender Arbeitsplatzanpassung unter Berücksichtigung der Schulterbelastungsintoleranz zu einem normalen Pensum beschäftigt werden.
Damit ist zunächst festzustellen, dass sich alle Ärzte hinsichtlich der zumutbaren Arbeitsfähigkeit einig sind.
8.3 Dr. med. M.________ nimmt schliesslich zur Frage Stellung, ob Schmerzen zu einer Einschränkung der Arbeitsfähigkeit führten. Er äussert sich dazu wie folgt: "Die schmerzhaften Reizzustände der Schulter können durchaus neben der funktionellen Einschränkung auch die Arbeitsfähigkeit limitieren in der Grössenordnung von rund 30 %. Diese Schmerzen treten sowohl positionsabhängig wie auch endphasig im limitierten Bewegungsumfang auf bei Belastung."
Entscheidwesentlich ist nach der dargelegten Rechtsprechung, ob die Angaben des behandelnden Arztes Zweifel an der Zuverlässigkeit und Schlüssigkeit der versicherungsinternen Stellungnahme zu erwecken vermögen. Dazu ist zunächst darauf hinzuweisen, dass Dr. med. M.________ ein normales Pensum ausdrücklich für zumutbar hält. Soweit er eine Leistungseinbusse um 30 % erwähnt, sind seine diesbezüglichen Angaben, wie zitiert, sehr vage, sodass auch aus diesem Grund kaum darauf abgestellt werden kann. Dr. med. M.________ nimmt zudem an, dass ein Reizzustand positionsabhängig und bei Belastung auftreten könne. Dies ist jedoch mit Blick auf das von Dr. med. B.________ geschilderte Profil einer leidensangepassten, leichten wechselbelastenden Tätigkeit ohne Zwangshaltungen und unter Berücksichtigung des eingeschränkten Bewegungsumfanges (bis Brusthöhe) zu verhindern. Sofern dennoch eine Reizung auftreten sollte, ist auch aufgrund der Angaben des behandelnden Arztes nicht davon auszugehen, dass es sich um einen anhaltenden Zustand handelt, zumal sich den Ausführungen des Dr. med. M.________ nichts Entsprechendes entnehmen lässt, namentlich auch nicht, dass er bei seiner Untersuchung vom 12. August 2009 einen Reizzustand festgestellt hätte.
8.4 Zusammengefasst ist festzustellen, dass als Unfallfolge eine schmerzhafte Bewegungseinschränkung der Schulter verblieben ist. Nach übereinstimmender Auffassung aller Ärzte ist die Beschwerdeführerin vollumfänglich arbeitsfähig. Streitig geblieben ist, ob dabei eine behinderungsbedingte Leistungseinbusse besteht. Die Angaben des behandelnden Arztes lassen indessen nicht darauf schliessen, dass bei einer zumutbaren leidensangepassten Tätigkeit, die insbesondere die eingeschränkte Schulterbeweglichkeit berücksichtigt (kein Heben und Tragen von schwereren Lasten über Brusthöhe), anhaltende Reizzustände auftreten, die zu weitergehenden, zeitlichen Einschränkungen in der Arbeitsfähigkeit führen (vgl. aber E. 9 zu den erwerblichen Auswirkungen). Die von der Versicherten eingeholte Stellungnahme ihres behandelnden Arztes vermag daher keine Zweifel an der Zuverlässigkeit der versicherungsinternen Berichte zu erwecken, weshalb Verwaltung und Vorinstanz ohne Verletzung des Grundsatzes der Waffengleichheit darauf abstellen durften. Auf die weiteren Einwände hinsichtlich der Berücksichtigung von Schmerzzuständen im Allgemeinen ist nach dem Gesagten nicht näher einzugehen.
9.
Verwaltung und Vorinstanz haben beim Einkommensvergleich auf Seiten des Invalideneinkommens auf die Durchschnittslöhne gemäss Schweizerischer Lohnstrukturerhebung des Bundesamtes für Statistik (LSE) abgestellt und einen leidensbedingten Abzug von 10 % gewährt (BGE 129 V 472 E. 4.2.3 S. 481; 126 V 75 E. 5 S. 78 ff.). Beschwerdeweise wird die Reduktion um 25 % beantragt. Es fehlt diesbezüglich jedoch an einer Begründung, weshalb darauf nicht weiter einzugehen ist. Im Übrigen wird die Invaliditätsbemessung nicht beanstandet und gibt keinen Anlass zu Weiterungen. Damit muss es mit dem von Verwaltung und Vorinstanz ermittelten Anspruch auf eine Invalidenrente bei einem Invaliditätsgrad von 16 % sein Bewenden haben.
10.
Es wird schliesslich die Zusprechung einer höheren Integritätsentschädigung beantragt. Dabei wird, wie schon im vorinstanzlichen Verfahren, geltend gemacht, dass gemäss SUVA-Tabelle 7 auch die Schmerzen zu berücksichtigen seien. Tabelle 7 betrifft indessen Integritätsschäden bei Wirbelsäulenaffektionen und ist hier daher nicht anwendbar. Das kantonale Gericht hat sich dazu einlässlich und zutreffend geäussert; es kann darauf verwiesen werden.
11.
Das Verfahren ist kostenpflichtig (Art. 65
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 65 Frais judiciaires - 1 Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
|
1 | Les frais judiciaires comprennent l'émolument judiciaire, l'émolument pour la copie de mémoires, les frais de traduction, sauf d'une langue officielle à une autre, et les indemnités versées aux experts et aux témoins. |
2 | L'émolument judiciaire est calculé en fonction de la valeur litigieuse, de l'ampleur et de la difficulté de la cause, de la façon de procéder des parties et de leur situation financière. |
3 | Son montant est fixé en règle générale: |
a | entre 200 et 5000 francs dans les contestations non pécuniaires; |
b | entre 200 et 100 000 francs dans les autres contestations. |
4 | Il est fixé entre 200 et 1000 francs, indépendamment de la valeur litigieuse, dans les affaires qui concernent: |
a | des prestations d'assurance sociale; |
b | des discriminations à raison du sexe; |
c | des litiges résultant de rapports de travail, pour autant que la valeur litigieuse ne dépasse pas 30 000 francs; |
d | des litiges concernant les art. 7 et 8 de la loi du 13 décembre 2002 sur l'égalité pour les handicapés24. |
5 | Si des motifs particuliers le justifient, le Tribunal fédéral peut majorer ces montants jusqu'au double dans les cas visés à l'al. 3 et jusqu'à 10 000 francs dans les cas visés à l'al. 4. |
SR 173.110 Loi du 17 juin 2005 sur le Tribunal fédéral (LTF) - Organisation judiciaire LTF Art. 66 Recouvrement des frais judiciaires - 1 En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
|
1 | En règle générale, les frais judiciaires sont mis à la charge de la partie qui succombe. Si les circonstances le justifient, le Tribunal fédéral peut les répartir autrement ou renoncer à les mettre à la charge des parties. |
2 | Si une affaire est liquidée par un désistement ou une transaction, les frais judiciaires peuvent être réduits ou remis. |
3 | Les frais causés inutilement sont supportés par celui qui les a engendrés. |
4 | En règle générale, la Confédération, les cantons, les communes et les organisations chargées de tâches de droit public ne peuvent se voir imposer de frais judiciaires s'ils s'adressent au Tribunal fédéral dans l'exercice de leurs attributions officielles sans que leur intérêt patrimonial soit en cause ou si leurs décisions font l'objet d'un recours. |
5 | Sauf disposition contraire, les frais judiciaires mis conjointement à la charge de plusieurs personnes sont supportés par elles à parts égales et solidairement. |
Demnach erkennt das Bundesgericht:
1.
Die Beschwerde wird abgewiesen.
2.
Die Gerichtskosten von Fr. 750.- werden der Beschwerdeführerin auferlegt.
3.
Dieses Urteil wird den Parteien, dem Verwaltungsgericht des Kantons Luzern, Sozialversicherungsrechtliche Abteilung, und dem Bundesamt für Gesundheit schriftlich mitgeteilt.
Luzern, 1. September 2011
Im Namen der I. sozialrechtlichen Abteilung
des Schweizerischen Bundesgerichts
Der Präsident: Ursprung
Die Gerichtsschreiberin: Durizzo